samedi 4 avril 2015

De la Seine à la Loire GR 32 Présentation et Etape 2 -Maisse - Malesherbes

C'est le dernier parcours ou je prends le train. Trop compliqué. Trop long, alors que Maisse n'est qu'a 30 mn de Fontainebleau. Pour réaliser le parcours en ligne droite, j'ai pris la voiture que je laisserai à Maisse et une fois à  Malesherbes, je prendrais le train, il y en un, toute les heures et c'est direct donc pas de soucis.



 
 Carte IGN            Trace GPS et Topo sans commentaires

Randogps             Le code mobile de cette randonnée est b307119

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
 KM    Temps    Arrêt    V/d    V/g    Dénivelé
33,6    6h02      1h13     5,5     4,6          198 +

Halle de Milly

Je ne me suis pas garé à la gare, le parking devant celle-ci est en zone bleu et le parking de la gare est en renfoncement un peut à l'écart et pas une voiture ne se trouve dessus. Soit personne prend le train soit les voitures sont dégradées et les gens gare leur voitures ailleurs. J'ai trouvé de la place dans la rue principale.
J'espère profiter un peu plus de ce début de circuit, du moins après la zone industrielle. La dernière fois un peu paniqué par mon manque de préparation, je n'ai pas trop fait attention au paysage.  
 

Carrière au dessus de Maisse
Remontons la D 837 en direction de Milly jusqu'à la rencontre du GR 1. C'est le sentier qui se trouve sur la droite après le feu tricolore. Le sentier (balisage jaune et GR) se trouvant après un chemin grimpe fortement le long d'un grillage d'une propriété. Nous y trouvons des rochers comme à Fontainebleau. Normal nous avons le même terrain, une dune de sable un peu rude à grimper en se début d'itinéraire.
A la rencontre du chemin nous abandonnons le GR pour prendre sur la gauche le chemin et le balisage jaune. Nous traversons la route de Milly, D837 et faisons le tour de la zone industrielle. Le balisage est bien fait nous suivons le grillage sur la droite et une carrière sur la gauche, puis nous tournons à droite à l'orée de la foret, nous suivons toujours le grillage et en bout de celui-ci (ou presque) nous prenons le chemin de gauche qui rentre dans une foret de chêne.
C'est très bien indiqué. Suivons ce chemin balisé jusqu'à l'intersection de sentier, il ne faut pas se laisser endormir par ce chemin tout plat, si nous continuons tout droit nous allons à Moigny. Il faut prendre le chemin sur la droite. Nous trouvons un piquet avec les informations. J'aimerai que la Seine et Marne et la foret de Fontainebleau prennent exemple. Il y a eu des progrès sur les sentiers bleu, mais rien sur les GR et TMF, débrouillez-vous. Acheter un guide pour une rando et qui ne vous servira plus par la suite. Je trouve cela inutile. Par contre au départ, j'aimerais bien un petit panneau avec le kilométrage, le temps puis le long du parcours aux intersections délicates ou inter sentier un petit poteau directionnelle. Un petit quelques chose de touristique et pour promeneur de passage. Touriste ne veut pas dire approfondir une région au point d'acheter un guide.
 Ma réflexion de “randonneur radin” comme je l'ai lu récemment dans un livre sur Compostelle.... ou l'écrivain qualifiait le randonneur de radin. Pour qu'elle raison j'achèterai un recueille sur les GR 1, 2, 11, 13 (ceux qui passe par Fontainebleau donc 4 livrets) pour ne réaliser que quelques kilomètres de ces circuits. Pour le petit randonneur que je suis, je n'en vois pas l'intérêt. C'est comme lorsque je parts en vacances, je ne fais pas que de la marche, je visitais la région en voiture alors j'achète un guide de la région pour la voiture sachant que je ferais peu de marche. Je me satisfais des cartes, feuille de chou que l'on trouve gratuitement au syndicat d'initiatives (qui en manque souvent... d'initiatives) ou les offices de tourisme (fermé le dimanche..... Oui cela ce trouve aussi) un échantillonnage gratuit sur quelques randos de la journée ou quelques heures de promenades dans le coin ou je réside provisoirement. Je ne vois pas l'intérêt d'acheter un livret avec vingt ou trente promenades pour en faire qu'une ou deux. Revenons à notre itinéraire nous venons de tourner à droite, je rêvasse à ce qu'il faudrait faire pour que les jeunes trouvent chaussures à leurs
Château de Milly
 pieds et sorte un peu de leur jeux vidéo, (même en basket), afin de bouger un peu, et, dans ce bois juché sur cette butte je ne regarde plus le balisage, croyant connaître (je suis passé par là, la semaine dernière, j'oublie de regarder le GPS et puis c'est tellement bien indiqué, voila je suis égaré. Plus de balise jaune. je sors le GPS et rattrape ma trace en prenant de petit sentier (de chasseurs ou d'animal) qui serpente dans les épineux et des chênes tortueux. Au moins je n'ai pas fait demi tour. Aujourd'hui j'ai un peu plus de
trente kilomètres et je ne souhaitais pas me rallonger surtout que le balisage ne passait pas trop loin. Après une heure de marche me voici rendu à Milly la Foret, nous entrons en ville par la rue du Rousset et poursuivons par la rue Pachau qui tombe dans la rue Saint Pierre et la rue Langlois. Nous passons devant le château, puis l'église ou je retrouve le balisage du GR 32 et plus rien. D'après la carte, nous passons devant la halle pour rejoindre le GR 11 (par la rue Langlois et le Bd Foch) comme je n'ai pas vue ce balisage. Lors de la précédente promenade ayant pas mal tourné dans Milly je décide de prendre les petites rues que je n'ai pas encore faite. En arrivant à la fourche je prends à droite la rue grande puis la seconde à droite la rue Saint Jacques puis à gauche la rue Jean Cocteau et nous arrivons à la chapelle saint Blaise [La chapelle Saint-Blaise-des-Simples est une chapelle de confession catholique, dédiée à l'évêque et médecin Blaise de Sébaste.
La chapelle est l'unique vestige d'une maladrerie du XIIe siècle, Saint Blaise ayant la réputation d’être guérisseur par les plantes médicinales, appelées « simples ». Au XVIIIe siècle, la léproserie tomba en ruine, il ne subsistait que la chapelle.
Lors de sa restauration en 1959, l'ancienne chapelle fut décorée par Jean Cocteau qui résidait dans la ville depuis 1945, à la sollicitation des élus. Le poète dessina les vitraux et des fresques murales représentant respectivement la Résurrection du Christ et des plantes médicinales, les simples qui donnent leur nom à la chapelle. Ces plantes médicinales (aconit, belladone, menthe, renoncule, valériane...) cultivées traditionnellement par les moines sont appelées ainsi car on n'utilisait au départ

 qu'une seule plante. Elles sont toujours cultivées dans le petit jardin attenant où est exposée la cloche des halles qui sonnait autrefois le début du marché.
À sa mort en 1963, Cocteau voulut être enterré dans ce lieu, son corps fut transféré en 1964 dans la
chapelle qu'il avait décorée, son caveau étant recouvert d'une pierre tombale offerte par Francis Palmero, sénateur-maire de Menton, dont Jean Cocteau était citoyen d’honneur. Cocteau se contenta de faire graver sur la dalle l'épitaphe portant son écriture « Je reste avec vous ». En 1964, Arno Breker offrit un buste en bronze de Cocteau et en 1971 il fit don de deux vitraux pour le 7e anniversaire de sa mort. Son fils adoptif Édouard Dermit fut inhumé dans le même caveau en 1995.
La chapelle est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis le 17 février 1982. (Donnée Wikipédia)

En temps que marcheur la visite ne m'intéressait pas (je n'avais pas le temps, ce n'était pas comptabilisé dans le parcours) mais j'aurai aimé en faire le tour pour la photographier et c'est impossible, on à laissé pousser une haie jusqu'à trois mètres de haut.
On a l'impression qu'en photographiant l'extérieur, on vole les peintures qui se trouve à l'intérieure, alors toute prise de vue est devenue impossible. Çà m'agace un peut ce procédé du tout payant, un muret, ou un grillage aurai suffi, à protéger le jardin des simples. C'est dommage pour un site touristique, je ne suis pas sur que : 

de l'intérieur avec les arbres nous ayons un bon recule pour un petit photographe comme “moi”. Je lui tourne le dos et m'éloigne en bougonnant 'j'frais pas pub, c'est une chapelle comme tant d'autre'.
Grosse colère, car elle à tout de même été peinte par Cocteau, sinon oui c'est une chapelle comme une autre.
[Contracté en Orient, la lèpre fut répendue en France par les croisés. La chapelle du XIIe siècle est le dernier témoin de l'existence d'une maladrerie, les
lépreux venaient prier Saint Blaise le guérisseur. Le jardin autour de la chapelle rappelle la tradition de la culture des plantes médicinales à Milly, donné à l'époque pour soulager les souffrances des lépreux].
Je n'ai retrouvé une balise qu'au alentour de la chapelle. Nous arrivons dans les champs, ou  l'on cultive les simples, il reste peut de champs face à nous ou l'on aperçois un peut de culture, mais nous sommes en mars un peu tôt pour la pousse.
[C'est grâce aux qualités particulières de son sol que la région de Milly à été durant plus d'un siècle le premier site de production de plantes médicinales et aromatique en France. Les plantes médicinales sont appelées simples, par opposition à la médecine composée, elles étaient utilisées seules et non en association.] Un reportage ressent (2014) à la télé parlait de cette activité toujours en production.   
Sur notre gauche nous avons le Coquibus et face à nous les Trois Pignons, avant de bifurquer sur Malesherbes nous longerons les villages au pied des Trois Pignons, (Oncy sur Ecole-Noisy sur Ecole-Le Vaudoué). Nous arrivons dans les bois. Le GR 32 et commun au GR 11, puis semble disparaitre au profit du 111, [ De Milly-la-Forêt à Longpont-sur-Orge (Essonne) 155km] nous arivons sur une route que nous prenons à droite. Nous arrivons à Oncy, le lavoir à l'entrée du village à été totalement graffité. Qu'elle dommage. [Oncy fut un centre de culture du cresson. Plante aquatique, les premières cressonnière furent installées vers 1900 à Moigny et Courrances dix ans plus tard à Milly. Les terres humides, sablonneuses et calcaires permettaient la culture d'une grande diversité de plantes. Beaucoup de terres furent laissé à l'abandon pour des raison de mécanisation et de rentabilité. Hier, on travaillait à la main, avec beaucoup de personnel, aujourd'hui les engins motorisés s'enfoncent dans les zones trop humide.]
(désolé, lors du brouillon j'ai encore oublié de noter les références sur l'histoire des villages traversés, ils doivent provenir soit de wikipédia, soit du site des mairies décrivant le village)
Dans le village nous retrouvons le balisage du GR 32. Le GR 111 tourne à droite, le 32 tourne à gauche et nous suivons ce dernier. Nous arrivons par la route a Auver (ce n'est pas celui de L'oise) mais celui de l'Essonne. (beaucoup de routes et de villages dans cette partie.)
Nous rencontrons la rivière l'école : Classée en première catégorie, on doit y trouver des truites. Sur ses rives, on y instruis également les enfants ; en remplacement les maths et le français, à l'art de la pêche,  d’où son nom. l'Ecole. Qu'elle chance.
Seule des enfants ayant comme moi des difficultés dans ses matières pourraient y croire..... mais non rien à voir. L'ecole fut appelé l'escolle voir même la Cole, cela viendrait du latin “colare” qui veut dire écouler.
Elle prend sa source non loin du Vaudoué. Elle se jette dans la Seine à Ponthierry après un parcours de 26,7 km ]
Nous entrons ensuite dans les bois et nous y trouvons le même terrain qu'a Fontainebleau avec son sable et ses rochers. Nous longeons ce qui me semble être un terrain de paintball. Nous arrivons à Noisy sur école ou nous passons devant un puits tout rond (le quartier semble s'appeler le puits) en traversant le village je constate que l'église à un long clocher ressemblant à celui de Château Landon. 
Commanderie de Fourche
[Le bas-côté sud de cette église, visiblement rapporté sur le mur de la nef et englobant le clocher, constitue une habitation utilisée d'abord comme presbytère, puis comme maison particulière. L'édifice abrite de nombreuses pierres tombales, notamment celles des châtelains de Chambergeot et de La Renommière, les deux châteaux du village. elle date du XII et XVè].            
Nous prenons un sentier intra muro. Je suis un peu frustré par cette partie de promenade ou nous sommes loin de l'école et ou nous passons de
village en village, de rue en rue, de broussailles en broussailles, alors que tout autour nous avons collines et bois qui nous entourent, mais c'est peut être privé et clôturé. Après le Vaudoué, enfin notre chemin traverse des bois et des collines. Nous nous dirigeons vers Boissy aux Cailles. [La caille, n'est pas l'oiseau, mais de petits silex rond que l'on trouve dans le sable et qui ressemble a des œufs de ce même animal.] Faisons un petit arrêt géologique !!!!! Après la vallée et les
villages en enfilades, le paysage change et j'ai eu l'impression d'être à des kilomètres de la civilisation et je comprend mieux l'ancien nom du village de Boissy : Boissy le Repos.
[Après l'épisode sédimentaire du Stampien pendant lequel s'est déposée une importante couche de sable, se sont déposés des limons qui constituent la couche fertile et cultivée. Au quaternaire la mise en place du réseau hydrographique, creuse une profonde vallée et fait apparaître, sur les flancs, des grès provenant de la recristallisation du sable.
La structure de cette commune est très particulière. En effet elle est composée pour une part de terres du plateau, en openfield, et pour l'autre part d'une vallée profonde de 50 mètres. La rivière « École » prend maintenant sa source sur la commune du Vaudoué mais elle prenait sa
source autrefois à Jacqueville (commune d'Amponville) ou peut être même à la Chapelle-la-Reine et traversait l'emplacement du village actuel de Boissy. La vallée se creuse près du hameau de Marlanval et descend jusqu'au village. Elle continue ensuite jusqu'au Vaudoué. La vallée sèche est déserte ce qui permet à de nombreux animaux sauvages d'y vivre. Cette vallée est boisée, sur ses flancs, de son origine jusqu'au Vaudoué, le plateau en revanche ne l'est pas à l'exception de quelques bosquets.Avant 1793, le village s'appelait Boissy-le-Repos. Comme souvent l'origine du nom n'est pas attestée, on trouverait cependant en 1113 l'appellation Bussiacum du nom de personne latin Bussius ou Buccius ou du gallo-roman BUXU (latin buxus) « buis », suivi du suffixe d'origine gauloise -(i)acum, initialement localisant. Le mot de Cailles qui lui a été accolé a la même origine que cailloux. Il s'agit de petites boules de pierre naturellement polies que l'on trouve très fréquemment dans les champs. Merci Wikipédia]
Nous passons devant l'ancienne commanderie des templiers de Fourches en plein milieu des bois.
[La commanderie remonte au XIIè et accueillait pour les soigner les lépreux. Maladie que les croisés avaient rapportée d'orient. Après la dissolution de l'ordre du Temple elle fut attribuée en 1320 aux chevaliers de Saint Jean de Jérusalem. Au XVIIè la léproserie devient ermitage, jusqu'a la suppression des ordres religieux en
1790. Fourche tomba dans l'oublie. En 1974 le centre de recherche et de documentation médiévales entrepris la première campagne de fouille. La vierge en majesté est scellée au centre de l'abside de la chapelle des templiers, n'est qu'une représentation moderne de ce qui devait existé à l'époque médiévale. Les templier ayant pris la vierge pour patronne.] (résumé des informations trouvé sur place)
 Nous trouvons sur le chemin sablonneux des petits cailloux rond “les cailles” Voyez les deux photos ci dessous, ici nous sommes perdu au milieu de nul part dans ce creux pas de réseau. Quand je pense que certain se perde en montagne et arrive à téléphoner aux secours, je me dis qu'il y a problème, ce n'ai pas le pont critique, bon nombre de secteur en foret de Fontainebleau son sans réseau. Nous sommes commun au GR 1 et GR 32. Après les champs nous parcourons un bois difficile. Difficile par l'état du chemin, Celui-ci, étant peu large à servi pour l'exploitation du bois ou le passage des tracteurs.

Ornières de la boue jusqu'au genoux 
En février 2014, nous avons eu énormément de pluie et ce chemin est tailladé de deux ornières profondes, boueuses, remplie d'eau, et cela fait deux semaines qu'il n'a pas plu. Nous avons le choix de s'arracher, bras et jambes en passant au plus près des épineux, ou de marcher dans la gadoue jusqu'au genoux. Çà m'énerve, ils pourraient refaire leur chemin après exploitation en passant l'espèce de "pousse grume"  pour boucher les ornières. Si se sont des tracteurs agricoles il ont tous aujourd'hui un godet
qui pourrait remettre le chemin en état. Nous sortons du bois "comme le loup" pour parcourir les champs avant de rentrer de nouveau dans un bois ou nous devons faire attention, le chemin étant en bon état, on fille vite le long de la D 152 et l'on ne s’aperçoit pas suffisamment tôt que le GR tourne à gauche pour couper la Départementale. Dans mes pensées, j'ai loupé le virage à quatre vingt dix degré sur la gauche et il a fallut que je remonte le talus. Nous remontons la D 152 sur une centaine de mètres pour prendre le chemin entre les champs sur la droite. Nous nous dirigeons vers le château d'eau. Juste avant d'arrivée à Auxy. [La prononciation traditionnelle et correcte est ossi. Toutefois, depuis la Seconde Guerre mondiale, on note une proportion croissante de gens prononçant oksi. C'est même aujourd'hui la seule prononciation utilisée pour désigner la commune, y compris chez les personnes âgées, et ce depuis les années 1980. L'orthographe "Auxy" provient des moines copistes du duché de Bourgogne qui avaient pris la convention d'écrire deux "s" comme un "x" (ou deux "s" dos à dos). On devrait bien dire "ossi" comme on dit -ou devrait dire- "Ausserre","Bussy" et même "Brusselles" qui faisait partie du duché de Bourgogne. Merci wikipédia]
Nous tournons à droite et suivons la clôture, nous avons le balisage sur les pierres au sol, avec de l'herbe haute, elles seront invisibles, en bout de la clôture nous tournons à gauche et suivons l'autre face de la clôture (la croix sur un arbre du chemin se voit bien), je ne comprends pas bien....? Nous avons contourné le village pour revenir dans le village..... Ensuite, nous entrons dans la foret sablonneuse avec ses rochers comme à Fontainebleau.  Nous entrons sur le domaine de Buthiers. Mais pour l'instant ses rochers ne sont pas pour nous, mais pour les propriétés privées. Nous suivons la route, encore la route, toujours la route. Et les rochers ? Et la foret ? Apparemment ce n'est pas pour nous. Nous sommes dans un espace semi privé, malgré les rochers je ne m'y sent pas à l'aise, trop d'aménagement humain, ce plus un espace naturelle.
                n'est Je me plaints des escaliers en bois à Fontainebleau, que je ne trouve pas esthétique au pays du grès. Mais la, on a fait mieux c'est un plan incliné, ce doit être géniale pour les VTT. J'attendais autre chose de Buthiers, j'en avais lu que du bien dans le 'Loiseau' édition 1970  je pensais me trouver dans un espace naturel protégé, je me rends compte que c'est devenu un espace de loisir, ou la nature doit s'adapter. Ma première impression est négative, c'est peut être du à la fatigue, nous verrons la prochaine fois si le parcours est plus intéressant. C'est bien dommage que le GR ne contourne pas cette partie : Parkings et piscine ne sont pas des plus jolies alors que nous sommes aux pieds des rochers. Nous quittons le GR 32 qui part sur la gauche pour prendre le GR 1 continuent la route qui nous mènera à la gare de Malesherbes. Après le passage d'une zone marécageuse et d'une rivière, le balisage laisse un peu a désirer, mais nous sommes sur le parking d'une garderie pour enfant il faut se diriger vers le petit pont passant sous la déviation routière de Malesherbes. Nous trouvons de l'autre coté, un bon balisage qui nous fait contourner le parc du château et passer devant l'église. Château posé au milieu d'un écrin de verdure et que nous ne verrons pas, puis une rue sur la gauche nous fera grimper jusqu'à la gare. Un peut rapide comme explications mais le balisage est bien fait. Heureusement, qu'il ne faut pas le chercher. il me reste 15mn avant le départ du train, je sais ou se trouve la gare, à l'opposé d'où je suis. Ça grimpe fort, le prochain train est dans une heure. Je n'ai pas mon billet, alors encore une fin de parcours ou je force l'allure.
A la gare j'ai secoué un peu le guichetier qui sommeillait au fond de son bureau. Surpris devant ma présence il se retourne mais ne bouge pas. J'ai trouvé qu'il ne se déplaçais pas bien vite. Essoufflé, la voix mal posé par la soif et 6h de silence, je lui demande s'il est possible d'obtenir un billet pour enfin le voir ce déplacer. J'espère que la pendule, avance, il me reste trois minutes, le billet en poche, faut encore le composter, et faire le tour par l'arrière du train, traverser les voies pour être sur le bon quai. Cela ce fait au pas de course. Ma chance, une famille avec une poussette ce trouve devant moi, j'espère que le chauffeur sera galant et qu'il attendra une minute de plus le temps que la poussette soit dans le train. La famille se présente à la dernière porte du dernier wagon, je double monte à la suivante du même wagon, les portes se referme Ouf, NOUS avons eu le train, le chauffeur galant à attendu les deux ou trois minutes nécessaires à monter la poussette et à pris autant de retard dès le départ. De toute façon c'est la ligne D, il va jusqu'à
Villiers le Bel, d'ici là, il aura soit le temps de le rattraper ou d'en prendre un peut plus. Et à mon avis pour avoir subit la ligne D durant vingt ans, il ne prendra que du retard. En traversant les parkings, je me suis aperçu qu'ils sont plein, j'aurai eu du mal à me garer.


Les autres étapes
Etape :1

Etape : 3
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-3.html?view=magazine

Etape : 4

Etape : 5

Etape  : 6

Etape : 7

Etape : 8

Etape :  9

Etape :10


 

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