vendredi 2 avril 2021

Nord Seine & Marne - De Château Thierry à La Ferté Gaucher Prom 23 Bellot 2


N-S&M Bellot 2 Autour du Petit Morin


Mais Bellot c’est ou ?
C’est à une petite dizaine de kilomètres de la ferté Gaucher. A une vingtaine de kilomètres de La Ferté Sous Jouarre à l’Ouest et de Montmirail à l’Est.

C’est au carrefour de la D6 et de la D 46. La D 46 c’est la route directe en venant de la Ferté Gaucher. Pour la D6, c’est un peut plus compliquer. Mais on l’atteint grâce à l’axe reliant La Ferté Sous Jouarre, à Montmirail et aux départementale 407 & 933, au milieu se trouve Viels Maisons avec la D15 & D6
On trouve un parking au pied de l’église.
   Carte IGN              Trace GPS et Topo sans Commentaires         Trace Randogps                           
 
 Le code mobile de cette randonnée est b323006

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KM    Temps    Arrêt     V/d     V/g     Dénivelé
33        5h20      0h40      6,2      5,6         450+
 
Le départ se fait du petit parking de  l'église de Bellot

Bellot vient du latin Betulla (le bouleau). Le nom du village s’est s’orthographié Belo en 1112 (plus ancienne date connue de l’existence du village), Belloy en 1145, Bello en 1325 et Bellot-en-Brie au 17ème siècle. Un passé plus lointain est très probable : le site près d’une rivière et d’un Rû dans une vallée sûrement giboyeuse convenait parfaitement à un peuplement. De plus, les traces au-dessus du hameau de la Fée laissent à penser que le secteur a connu au moins une occupation celte et gauloise. Bellot a sans doute eu un seigneur en place, mais c’est seulement en 1620 qu’est mentionné le nom de Louis de Clèdre (orthographié Clédrier), conseiller du roi. Bellot se  présente comme un village double. En bas, le bourg … en haut, les hameaux du plateau : Doucy,  Les Crochots, Le Cendrier, Doucy aval, La Farrière, Retourneloup, Launoy-Brûlé, Saincy, Champ-Martin, Culoison (ferme fortifiée), La Courteloire (en forêt), Les Hauts-Champs et le hameau d’Enroux (aujourd’hui disparu, à côté des Denizets – source Le Terrier de Bellot, Claude  Macé). Quant au Château de Bellot (au  Fourcheret), il est passé à la commune de Villeneuve sur Bellot, mais le nom est resté. « Le château du Fourcheret, aujourd’hui propriété de la famille Parichault, a été bâti sur le fief de Nacelles  par le seigneur de Bellot à qui appartenait ce fief. Comme il y avait déjà un château à Villeneuve et qu’il n’y en avait pas – et probablement jamais eu – à Bellot, on l’a tout naturellement appelé « Château de Bellot », nom     qu’il a toujours conservé. C’est ce qui explique que  soit restée dans la mémoire collective bellotière l’idée confuse que le Fourcheret avait autrefois fait partie de Bellot. C’était à la fois vrai puisqu’il dépendait en partie de la seigneurie de Bellot, et faux puisqu’il a toujours appartenu à la paroisse, devenue commune, de Villeneuve-sur-Bellot. Cette configuration ambiguë sera d’ailleurs à l’origine d’un conflit de privilèges entre les seigneurs de Bellot et de Villeneuve, le premier revendiquant son droit à posséder des places réservées dans l’église de Villeneuve, le second le lui refusant. Sur cette épineuse question, un tribunal sera même saisi. Il accordera au seigneur    de Bellot le privilège revendiqué. » - Claude Macé. Extraie du site trouvé sur la page internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr
L’ÉGLISE SAINT-LOUP : Jusqu’à la Révolution, l’influence de l’Église est considérable comme dans tout le royaume, en raison de ses attributions : l’éducation religieuse et scolaire, la tenue des registres (naissances et décès) et bien       sûr la supervision de la vie morale. L’église  actuelle est édifiée entre le 12ème et le 13ème siècle (la tradition nous affirme que le clocher aurait été bâti par les anglais). Elle est dédiée à Saint-Loup (évêque de Troyes qui défendit sa ville contre Attila) et 
Saint-Maur en est le patron secondaire. Aux 15ème et 16ème siècles, l’église est remaniée et prend son aspect actuel. L’église est dotée d’une sacristie 1893-1894 - souscription), un nouveau coq (1962 – budget communal) et d’une nouvelle horloge (1959 –souscription et budget communal) « Le cadran de l’horloge sera remplacé en 2018 ou 2019. Un dossier de subvention est en cours d’instruction »– François Housseau L’aménagement intérieur  date du 18ème siècle, avec fresques murales représentant les évangélistes et lambris de chêne du chœur. Le chemin de croix est érigé en 1864 (offert pas Berthe de Corlieu) et les reliques déposées en 1842. L’église dispose de deux cloches nommées Marie-Marguerite et Catherine (la troisième a été déposée à la Révolution). Sans doute fêlée pour avoir sonné le tocsin durant l’incendie de la nuit du 21 septembre 1834, Marie-Marguerite est refondue puis remontée le 27 décembre 1854. Elle est alors rebaptisée Marie - Hermance (l’un des prénoms de l’épouse de Jacques Potel, alors maire et parrain de la cloche). Elle est à nouveau déposée, restaurée et remontée en 2013, sous le mandat de Jean Gallois. Extraie du site trouvé sur la page internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr
[Bellot dans La bataille des Deux Morins
La bataille des Deux Morins est une bataille de la Première Guerre mondiale qui se déroule du 5 au 9 septembre 1914 lors de la bataille de la Marne. Elle oppose d'une part la 5e armée française (commandée par le général Franchet d'Espèrey) et le BEF (commandé par le maréchal French) aux Ire et IIe armées allemandes (des généraux von Kluck et von Bülow). Le 5 septembre, Von Kluck devant les attaques de l'armée de Maunoury sur l'Ourcq repositionnent ses corps d'armée en les repliant vers le nord pour combattre cette 6e armée française. Ce mouvement crée un vide dans l'alignement allemand masqué par des divisions de cavalerie. Les forces de la 5 e armée française et du BEF avancent dans la brèche à partir du 6 septembre et repoussent les troupes allemandes. Le BEF est opposé aux troupes de la I re armée allemande, la 5e armée française tente de tourner la IIe armée allemande. Devant ses manœuvres, la IIe armée allemande doit se replier et entraîne avec le repli de toutes les armées allemandes et la victoire des troupes alliées. Lors du déclenchement de la Première Guerre mondiale, les armées allemandes pénètrent en Belgique afin de tourner les armées françaises et les détruire.
La 5e armée française est affaiblie par la retraite de 350 km réalisée pendant presque 15 jours, elle change aussi de commandant, le général Lanzerac cède son poste au général Franchet d'Espèrey. 8 septembre : la gauche de la IIe armée allemande est bousculée. Des observations aériennes ont vu des colonnes d’infanterie, d’artillerie et de voitures battant en retraite vers le nord. La région de Rebais, 
La Ferté-sous-Jouarre - Coulommiers est vide d’ennemis, les colonnes se dirigent vers le nord pour franchir la Marne entre La Ferté-sous-Jouarre et Château-Thierry. La cavalerie française conserve sa mission d’assurer la liaison avec l’armée anglaise. Ses avant-gardes doivent se mettre en route à 6h à partir de Champ-Martin - Villers-les-Maillets, entre le Grand et le Petit Morin. Les avant-gardes signalent que les Allemands se sont retirés jusqu’au Petit Morin. 7h : Les éclaireurs de pointe, arrivés devant Bellot, sont accueillis à coups de fusil. Les Allemands tiennent la vallée sous le feu, de leur position dominante de Château-Renard. 9h : La brigade légère, qu’accompagnent le groupe cycliste et une batterie, réussit à entrer dans Bellot mais ne parvient pas à franchir le Petit Morin. Le gros de la 4e division s’engage sur le plateau mais est accueillie par des obus, ce qui l’immobilise. Or, elle n’a devant elle que des arrière-gardes. Pendant que von Kluck se bat sur l’Ourcq, appuyant sa gauche à la Marne, le cours de la Marne est surveillé par deux divisions de cavalerie. L’intervalle entre La Ferté-sous-Jouarre et Villeneuve-en-Bellot, soit 25 km est tenu par la 5e division de cavalerie et la cavalerie de la Garde, décimée. Sur un front de 12 km, aucune unité allemande ne garde le Petit Morin. 9h30 : L’infanterie anglaise est arrivée sur le Petit Morin et va forcer le passage. Une grosse colonne allemande se dirige de Montmirail vers Château-Thierry, une autre vers Chézy et Nogent-l’Artaud. L’armée anglaise va attaquer la deuxième colonne, le 9e corps d’armée, rappelé par Von Kluck. Le général Conneau expédie à ses trois divisions l’ordre d’attaquer le 9e corps d’armée. Mais cet ordre n’est finalement pas exécuté. 11h : Le plateau de Château-Renard a été nettoyé par l’infanterie anglaise qui a franchi le Petit Morin à Sablonnières et à Bellot. 18h30 : La division de cavalerie française d’Abonneau fait mouvement vers Vieils-Maisons pour attaquer une colonne allemande mais celle-ci est déjà à Château-Thierry. 20h30 : Les trois divisions de cavalerie françaises sont dans leur cantonnement sur les deux rives du Petit Morin. Quant aux anglais, la division de cavalerie Allenby est à Replonges, le 1e corps d’armée à Bassevelle, le 2e corps d’armée aux Feuchères, le 3e corps d’armée 788888 portes de La Ferté-sous-Jouarre. La droite de l’armée von Bülow s’est retranchée en aval de Boissy-le-Repos. Pour en savoir plus : http://www.sambre-marne-yser.be/article.php3?id_article=78
Extraie du site trouvé sur la page internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr

Prenons la D 6 en direction de Villeneuve sur Bellot (rue de Villeneuve ), traversons le ru de Bellot, nous sommes sur un balisage bleu, laissons l'allée des Iris sur la droite  coupons la D 46 se trouvant à notre gauche et prenons sur notre droite la rue de Bellot à Saincy en direction de la Fontaine aux Lièvres et Courteloire balisage bleu et GR. Nous grimpons vers la Fontaine aux lièvres, hameau que nous traversons. De rue nous passons à chemin. Bois et champs se succèdent. Laissons un chemin sur la droite, un peu plus loin le chemin tourne sur la gauche et fait fourche, nous prenons a gauche et entrons dans le bois. Sur la route nous avons vue une pancarte noté gîte, nous voilà  sur le chemin et dans le bois et toujours pas de maison, en voiture je serais inquiet d'emprunter un chemin mal empierré traversant un bois et de ne rien voir venir, a moins d'être prévenu à l'avance. Totalement isolé, nous trouvons une première maison puis une clairière ou se trouve enfin le gîte de la montagne de Bellot. Nous sommes à La Courteloire.  Après la clairière nous poursuivons le Gr et le balisage bleu dans le bois, puis longeons sa lisière nous arrivons au carrefour avec un chemin, abandonnons les balisages tournant sur la gauche et poursuivons par le chemin de droite, au loin nous apercevons une tour ou un pigeonnier derrière le hameau. Nous débouchons dans le hameau de Saincy après avoir traversé le ru ‘’de ville’’ allant se jeter dans celui de Bellot. De chemin nous passons à  bitume. Nous étions rue ‘’chemin du clos Jose’’ nous rencontrons la rue principale (rue Lapoujade), nous faisons un esse droite-gauche et prenons un chemin très herbeux entre deux clôtures, très peu entretenu, j'espère que ce chemin restera accessible. Nous traversons un bois puis longeons sa lisière. Dans les champs nous apercevons une ferme avec un pigeonnier.  Nous arrivons à un carrefour au milieu des champs nous prenons à gauche en direction de la ferme de Culoison avec son pigeonnier. Je pensais l'avoir loupé. Après la  ferme la route d'accès tourne en angle aigu sur la droite,  quittons le bitume et poursuivons par le chemin dans les champs tout droit. Coupons un chemin, longeons la lisière d'un bois, laissons un chemin sur la gauche, longeons de nouveau la lisière du bois puis nous traversons les champs, 
pour retrouver la lisière d'un bois, une fois à  droite et le chemin herbeux disparait a la lisière  du bois situé à  notre gauche, sur la carte il est existant, heureusement le champ est planté de maïs rabougris facile de suivre la lisière. A l’angle de ce bois nous débouchons sur une route formant Té nous la prenons à droite, laissons le chemin menant à la ferme des Farots, nous arrivons a une intersection comportant un réservoir d'eau, et la D 42, nous prenons la départementale sur la gauche. Nous rencontrons une patte d'oie avec la D 113, poursuivons la D42. Nous arrivons à  Villiers les Maillets, puis à une fourche, face a nous des bâtiments. La D113 part sur la gauche, la D 42 sur la droite, longeons sur la droite les communs du château. A l'angle de ce dernier, nous quittons la D 42 et poursuivons la route du château face à nous. (je ne vous parlerais pas du château. Les arbres du parc nous cachent ce dernier. Le propriétaire n'est pas sympa. D'après ce que j'ai lu, il n'y a plus de tête couronnée dans ce lieu, pouvant se croire encore au Moyen Age. Dans ce lieu perdu au milieu de la Brie. En voulant prendre des photos du lieu derrière les grilles fermées, je m'y suis fait courser sur la route. Le propriétaire est sortie a pied de sa demeure pour me surveiller, mais j'étais déjà sur la route. Heureusement que nous ne sommes plus sous l'ancien régime, il serait bien sortie en grand habit sur son cheval accompagné de son garde chasse retenant sa meute, prêt a lâcher les chiens sur le manant osant s'intéresser à  sa propriété. Je m'éloignais tranquillement, comme la route montait légèrement, j'ai sauté le fossé et mis les pieds sur la jachère non clôturée. le propriétaire gesticulait et aboyait plus fort qu’une meute, au bout du champ, et par de grands gestes me fit comprendre que je salissais son espace et m'a ordonné  de sortir de cette terre non clôturé. Il m’a suivi jusqu'à son extrémité.) Nous arrivons au hameau du Champ Bardin, que nous traversons par la rue du château. Un peu plus loin traversons la D 215 et poursuivons en face vers Marvilliers. Juste avant le hameau nous prenons le chemin sur la gauche, nous longeons une clôture, le chemin fait fourche nous prenons à droite, chemin longeant des poteaux électriques. Nous arrivons au hameau de la Butte, de chemin nous passons à  rue, au carrefour nous poursuivons en face. A la sortie du hameau nous retrouvons un chemin de terre, passons le ru du val et dirigeons nous vers le bois, longeons sa lisière. N'essayez pas de couper en prenant un peu plus loin le chemin sur la droite, se dirigeant vers un bois qui semble beaucoup plus grand que le précédent, a partir du bois nous ne trouvons plus le chemin, j'ai terminé  en coupant par le champ avec trois kilos de terre sous mes chaussures. Il faut poursuivre jusqu’à la D 42, prendre le chemin de droite, laisser un premier chemin sur la droite. Poursuivre tout droit dans les champs, le chemin débouche sur un chemin formant Té nous prenons à droite, longeons la lisière du bois puis nous le traversons, le chemin fait fourche poursuivons tout droit passons une clairière, nous retrouvons les champs et prenons le chemin de gauche.  Nous retraversons le ru du val mais cette fois ci il faudra se mouiller les pieds, sous les ronces, il y a bien un pont mais il n'a plus de tablier. Traversons une route et poursuivons en face, nous arrivons sur une route que nous prenons à gauche et entrons  dans le hameau du Bois Saint Père. A la fourche nous prenons la première rue à droite longeons une maison, après sa clôture laissons un chemin sur la droite poursuivons la route, dans un virage la route fait fourche nous ne prenons pas le large chemin tout droit, mais poursuivons le bitume. Nous arrivons au hameau des Thénières, longeons un centre équestre, coupons la route et poursuivons en face, après  quelques  maisons, nous retrouvons les champs, en vue du hameau de La Grande Renoue lorsque la route tourne sur la gauche, nous abandonnons le bitume pour prendre un chemin sur la droite. Le chemin tourne sur la gauche puis nous prenons le chemin de gauche vers la maison isolée. Le chemin fait une équerre  nous prenons le premier chemin sur la droite.  Ne pas poursuivre tout droit vers le bois. Nous nous approchons de Flégny, nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche et arrivons sur la D 215 que nous prenons à gauche. Laissons la route de la Croix Belle Chair, vers ‘’ Chaudron et Coupigny’’ sur la gauche, et prenons la voie communale sur la droite se dirigeant vers Buternet. Nous prenons le premier chemin sur la gauche et retrouvons le balisage jaune, nous entrons dans le hameau du Bois Huon par les jardins, et débouchons sur une route que nous prenons à gauche. Nous abandonnons le balisage jaune partant sur la gauche, traversons un bois et de retour dans la pleine, nous apercevons un gros bourg sur la gauche c'est la Ferté  Gaucher. Nous sommes route de la cloison et descendons vers le hameau de La Frévillard, après les premières maisons nous débouchons sur la D 46 que nous prenons à droite, puis à gauche la rue de la Petite Vigne ‘’C3’’ en direction de Montigny et Jouy sur Morin. Nous retrouvons le balisage jaune. Passons un drôle de lavoir, il récupère 
Aujourd'hui faudra ce mouiller les pieds
l'eau sale de la route… Après observation le premier bassin récupère l'eau de la route ou à l'époque du chemin, mais c'est un abreuvoir, qui sert également a la décantation de l'eau. Seul l'eau décantée passe par les petits trous et rempli le lavoir. Un peut avant la sortie du hameau nous prenons le chemin balisé en jaune sur la
gauche.
Nous sommes dans un autre siècle
  Passons un ru et prenons le chemin sur la gauche, un peu après on se dirige vers la lisière d'un bois. Nous débouchons sur un chemin, faisons un esse gauche – droite et l'on se dirige vers des serres. Nous débouchons rue de Jariel et faisons un esse gauche-droite et reprenons un chemin en direction d'un bois nous avons quitté le balisage jaune. Au petit bois le chemin fait fourche, prenons à gauche. Nous débouchons sur un chemin formant Té, prenons à gauche, nous arrivons sur le bitume que nous prenons à droite (laissons le chemin de droite). Nous sommes sur un balisage que je n'ai pas sur ma carte et il nous indique que nous devons tourner 
Abreuvoir, et Lavoir
à droite dans 700 mètres. Il ne faut pas faire la même  erreur que moi prendre un chemin sur la 
droite se dirigeant vers un bois, il ne dessert que des cabanes de chasse ensuite ont est bloqué  par un ru et des barbelés. Continuer la route, laisser une rue sur la droite desservant une maison, poursuivre jusqu'à la rencontre de la route desservant les hameaux du grand et du petit Champcormolin que nous prenons à droite nous retrouvons le GR 14, passons un lavoir et traversons la hameau du Grand Champcormolin.  Après la sortie du village prenons le chemin bitumé de 
droite. De bitume nous passons à  chemin, longeons la lisière  d'un bois et arrivons à  la ferme ou aux fermes des Hauts Champs. J'ai eu l'impression de rentrer dans la cour  de la ferme et au milieu de cette cour entourée de bâtiments nous trouvons un chemin sur la droite, nous retrouvons les champs, nous sommes toujours sur le GR. Nous arrivons sur un chemin formant Té nous prenons à droite, au carrefour, nous prenons à gauche. (Ne  pas aller jusqu'au petit bois et les grandes barrières.) Une balise nous indique que nous allons tourner à 700 m sur la gauche, nous apercevons le vallons, je me crois arrivé ce ne sera que déconvenue. Nous arrivons de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, en direction du château d'eau, nous laissons un chemin sur la droite et débouchons sur la D 42,que nous prenons à droite, passons devant le château d'eau. Nous sommes à l'entrée de Doucy au lieu dit le Cendrier. Depuis un petit moment je pensais être bientôt arrivé, mais il me reste encore quelques kilomètres à faire, j'ai mal aux jambes, j'ai marcher un peu vite. Mon périple en montagne m’a un peu éprouvé, et je me suis aperçu  que ce n'était pas les deux fois quinze kilomètres du parcours montagne de la foret de Fontainebleau, avec ces un peu moins de mille mètres de dénivelés qui permettent de ce tenir en forme pour tenir tout les jours ou presque les milles mètres de dénivelé positif. Je vais essayer d'augmenter ma vitesse moyenne de mes randos de la journée, j'espère ainsi que ce sera moins dure en montagne. Nous passons quelques maisons et prenons le premier chemin sur la droite, nous sommes toujours sur le GR, nous coupons la D 46, poursuivons en face, le chemin balisé en blanc et rouge tourne sur la gauche, il nous fait contourner le village de Doucy, nous coupons la D 42. Après les champs nous traversons un bois, puis de nouveau les champs, nous retrouvons le bitume que nous prenons à droite jusqu'au hameau de Doucy Aval, puis nous prenons la route de la source sur la gauche (nous l'entendons couler cette source, même après plusieurs mois sans pluie. La rue fait un esse, on abandonne le bitume devant une placette pour prendre un chemin sur la droite toujours le GR et un balisage jaune. Nous passons le ru de Bellot, complètement à sec, c'est également le confluent du ru de ville et à en voir les lits tout caillouteux lorsqu'ils sont en eau se doit être de beau cours d'eau. Nous entrons dans le bois et descendons un vallon, pour remonter sur l'autre versant, il faut bien faire attention dans le haut de la pente le GR et le balisage jaune tourne sur la gauche et entre dans le bois. Si vous poursuivez tout droit vous retrouverez le GR et vous pourrez refaire la balade.  Nous longeons la clairière puis entrons dans le bois, le chemin fait fourche, nous poursuivons par le vilain chemin descendant, mal empierré, on se croirait sur un pierrier en montagne. Gare aux chevilles, nous descendons vers Bellot, passons un ru et entrons en ville en longeant la piscine, la rue débouche sur la D 46 (rue de la Ferté Gaucher) que nous prenons à droite et nous retrouvons l'église et le parking. 
 




Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html




Nord Seine & Marne - De Château Thierry à La Ferté Gaucher Prom 22 Saint Ouen sur Morin


De Château Thierry à la Ferté Gaucher

N-S&M Prom N°22 Saint Ouen sur Morin

Promenade en boucle
Février 2019


     Carte IGN             Trace GPS et Topo sans Commentaires    Trace Randogps                           
 
Le code mobile de cette randonnée est b323003

 Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Km      Temps      Arrêt        V/d       V/g       Dénivelé
33        5h          1h           6,2        5,2          528 +

Saint Cyr sur Morin se trouve à 6 km à vol d’oiseau de la Ferté Sous Jouarre et à 16 km de la Ferté Gaucher.
A la ferté Sous Jouarre : Au grand rond point avec le monument mémorial de la guerre de 1914, poursuivre la D 402 tout droit. Au second rond point, poursuivre tout droit par la D 407 sur environ 6 km, en direction d’Epernay & Montmirail. Au village de Montapeine prendre à droite la D 68 jusqu’à Saint Ouen sur Morin.
De La Ferté Gaucher : Prendre la D 204 en direction de Rebais et La Ferté Sous Jouarre. A Rebais poursuivre la D 204 en direction de La Ferté Sous Jouarre. A la Fourche quitter la D 204 pour prendre sur la droite la D 68 en direction de Saint Ouen sur Morin & Saacy.

Saint Ouen sur Morin [Saint Oien au XIIIe siècle ; Saint Ouyn en 1325 ; Saint Oyen en 1381 et en 1487 ; Saint-Ouen en 1801. Du saint éponyme, Ouen de Rouen, patron du village, Le suffixe « sur Morin » est rajouté en 1860.wikipédia] Nous trouvons un petit parking au cimetière situé en limite de Saint Cyr sur Morin, rue Lucien Devos. Revenons sur nos pas et prenons la rue sur la gauche la rue Lucien Devos (CC2). Au stop prenons à gauche la D 68 et un balisage jaune, nous sommes protégés par un petit trottoir ou une piste cyclable. La route fait fourche nous prenons à droite en direction des Hameaux et des terres blanche, nous sommes toujours protégés par un petit trottoir. A cet endroit le sentier fait fourche la branche de gauche part sur la vallée du Petit Morin, Poursuivons sur la droite le balisage en direction de Saint Ouen sur Morin, nous avons toujours notre petit trottoir. Nous trouvons sur la gauche un trou avec plus ou moins d’eau, peut être un exutoire de la Fontaine Bécquet. De l’autre coté de la rue peut être, les terres du château de la Brosse (nous en verrons les toitures à notre retour) [C’est sur le territoire de la commune de Saint-Ouen, aussi, que se trouve le domaine de la Brosse, aménagé par le duc de Montmorency (1765), dès qu’il fut devenu seigneur des lieux, et dont il ne reste aujourd’hui que l’orangerie d’hiver et le petit château. Si cela vous intéresse, vous laisse lire la suite dans  http://www.histoire-locale.fr/Modules/Journaux/pdf/29082006.pdf La mention du château n’est là que pour l’agrément de la légende [La princesse et le sonneur : Dans les jardins du château de la brosse, une jeune princesse nommé Eugénie jouait avec une balle en or. Ce cadeau offert par son père termina sa course dans la fontaine 
Becquet. Alors qu'elle pleurait, une voix légère l'interpella. Lorsqu’elle se rendit compte qu'elle provenait d'un petit crapaud sonneur, elle fut horrifiée. Malgré son ventre jaune et noir, c'est yeux en forme de cœur, la princesse le trouvait 
Photo crapaud sonneur Yvan Orecchioni / ONF
très laid. Pour elle, Il était verruqueux, pestilentiel et nauséabond. L’expression de dégoût de la jeune fille n'arrêta pas pour autant le crapaud. Il lui proposa un marché. Il lui rendrait sa balle si, en échange elle promettait qu'il deviendrait tous deux inséparables. Elle accepta, le crapaud s'exécuta, mais la princesse ne tint pas sa promesse. Ce dernier vint tous les jours quémander l'amitié d’Eugénie. Cela parvint aux oreilles du roi, qui fit la morale à sa fille sur l'importance de respecter ses engagements si l'on veut un jour devenir Reine. Elle se plia à contrecœur aux injonctions paternelles. Partout où elle allait, le crapaud la suivait. Un soir, il exigea de dormir sur ses draps de soie. Eugénie se mi en colère et, dans un accès de dégoût, le jeta contre le mur, Quelle ne fut pas sa surprise lorsque, en plein vol, le crapaud se métamorphosa à en jeune homme ! Prise de remords, elle se confondit en excuses. François, ainsi se prénommait-il, lui expliqua alors qu'il avait été victime d'une malédiction. C’est ainsi qu’Eugénie et François devinrent amis pour la vie. (panneau d’information)] Laissons une route se dirigeant vers « Les Hameaux » continuons tout droit le balisage jaune. Nous sommes sur le chemin de la Fontaine Bécquet. A la sortie du Hameau nous quittons le bitume pour prendre le chemin du crapaud sur la droite. (J’ai surnommé ce chemin « du crapaud » ayant trouvé un fléchage avec ce batracien. (Il se nomme chemin du Ponçet.)  Mais le Crapaud Sonneur existe bien : [7 cm de long pour un poids de 15 grammes.
Photo crapaud sonneur Yvan Orecchioni / ONF
 Il a une pupille en forme de cœur ou deux gouttes d'eau inversé. Le dessus de son corps verruqueux, grisâtre, le rend invisible dans la boue, sa partie ventrale et jaune vif avec des taches noires. Il peut vivre une dizaine d'années. La femelle pond des grappes d'une vingtaine d’œuf dans des ornières ou de petites mares soleillées. Par la suite, il recherche les lieux ombragés pour s’alimenter, se reposer et se déplacer. En déclin, par suite de la destruction de son habitat, il est protégé à l'échelon européen et national. La vallée du Petit Morin abrite la plus grosse population d'Île-de-France de crapauds sonneurs. (Panneau d’information)] Nous entrons dans les terres blanches, nous abandonnons le balisage jaune, et poursuivons la rue. [La Montagne Blanche : le
raisin a longtemps poussé sur ses coteaux bien exposés. Les cépages donnaient des grains à peau rouge et à chair blanche. Au XIX e siècle 30 % des Audoniens étaient vignerons. La vigne sera présente en Brie durant vingt siècles jusqu'à l'attaque du phylloxéra est l'arrivée du chemin de fer, qui permettra le transport de meilleur vin. (Panneau d’information)] Nous longeons quelques maisons, un terrain de sport, et un pressoir [Le pressoir Bacchus et le cep de vigne. Un jour, Bacchus reçut l'ordre de se rendre chez son précepteur à Saint-Ouen sur Morin chemin. Le jeune dieu remarqua une petite plante si belle qui décida de l'emporter en protégeant les racines dans un os d'oiseau trouvé là. Elle croissait si vite que bientôt elle dépassa l’os d'oiseau. L'enfant trouva alors un os de sanglier, plus gros, pour y mettre sa protégée. Peu de temps après, l’os fut à son tour trop petit Bacchus du coincer l'ensemble dans un os d’âne. Dès son arrivée, il planta l’arbrisseau tel quel dans le jardin de 
son précepteur. La vigne, car c'était un cep de vigne, crut rapidement et donna un vin divin. Alors Bacchus ce fut témoin d'un prodige : quand les hommes ont commençaient à boire ils se mettaient à chanter comme des oiseaux, quand ils buvaient un peu plus, ils se sentaient puissant comme des sangliers et quand ils buvaient trop, ils devenaient bêtes des ânes ! (panneau s’information)] Nous débouchons sur le bitume et un balisage jaune, et prenons à droite  (rue de Nonvalles), nous sommes sur le PR d’Orly sur Morin, puis à gauche la rue du Petit Morin. [La source de la rivière est sur la commune de Val-des-Marais, dans les Marais de Saint-Gond dans le département de la Marne. Se dirigeant vers l'ouest, le Petit Morin arrose Montmirail puis après un bref passage dans le sud de l'Aisne, il pénètre en Seine-et-Marne. Il coule parallèlement au Grand Morin au nord de ce dernier, de manière générale vers l'ouest. Il conflue avec la Marne à La Ferté-sous-Jouarre après un parcours de 86,3 km. Wikipédia] Attention le balisage bifurque sur la gauche pour prendre un sentier
intra muros au niveau d’un poste de transformation situé à une vingtaine de mètres d’un arrêt de bus. Malgré le balisage, il est facile de louper ce passage. Nous traversons le Petit Morin [Si cette passerelle et aujourd'hui utilisée par les promeneurs, à l'origine elle permettait aux habitants de rejoindre directement à pied la route de Rebais sans être tenus de traverser le Petit Morin par le pont du Champ de la Croix ou par le Grand Pont des Perron. Elle fut reconstruite plusieurs fois : en bois dans les années 1890, puis en fer et bois où elle perdura jusque dans les années 1980, et finalement en bois dans son état actuel. (Panneau d’information)] [Légende la Meuve : il existait jadis dans le Petit Morin un esprit maléfique nommer « la Meuve » cette affreuse créature prenait plaisir à noyer les enfants, afin d'acquérir leur force. Malgré les efforts des villageois, rien n'était venu à 
bout de cet être malfaisant et plusieurs enfants disparaissaient chaque année. Jean un adolescent du village était fort comme un bœuf, solide comme un chêne et dépassait les 2 mètres de haut. Il était aussi généreux que gentil. Orphelin depuis sa naissance, il habitait à la ferme chez un oncle qui l’avait recueilli. Les temps étaient difficiles et malgré tout le travail que pouvait abattre jean dans une journée, la nourriture qu’il consommait depuis quelques mois était si importante, que son oncle n'avait plus les moyens de subvenir à ses besoins. A contrecœur celui-ci lui demanda donc de trouver besogne et hospitalité dans une autre ferme. Un jour désespéré pour avoir été remercié une fois de plus. Jean s’assit près de la rivière. Soudain, des cris de 
détresses lui parvinrent. Sur la rive opposée, une jeune fille tentait désespérément de retenir sa petite sœur. L’horrible Meuve avait saisi la fillette et s’acharnait à la tirer vers le fond opaque du Petit Morin. Sans réfléchir jean sauta dans la rivière, agrippa la Meuve et se battit avec elle. Il était si fort et si grand qu'il en vint à bout. Vidée de sa force et de son énergie la Meuve s'éteignit est disparut. A partir de ce jour Jean devint un héro et plus jamais, il ne manqua de quoi que ce soit. (Panneau d’information)] Nous débouchons à Busserolles dans la rue des Vieux Clos que nous prenons à droite, traversons la D 31 (route de la Vallée) et poursuivons en face la rue du Rond des Fées, la rue tourne à l’équerre sur la gauche et débouche sur une route dans les champs.
Nous faisons un esse droite gauche en direction d’Orly sur Morin se trouvant à 1,5 km. [Le rond des Fées ; Formant des ronds de Fées ou de Sorcières, les champignons qui poussent en cercle dans les prés ne sont pas forcément là pour que des êtres légendaires s’y asseyent : ces champignons se développent en anneaux à partir de la germination d’une spore ou sur les radicelles des arbres. Panneau d’information] [La légende des Lutins : Concernant le rond des fées de Busserolles , un habitant se souvient de l’histoire que son grand-père lui racontait alors : Chaque soir de pleine lune, la reine des fées avait coutume de transporter son trône en or, hors du champ puis de s’y installer, tandis que les lutins des bois, des champs, des prés et des terriers se rejoignaient 
en une folle ronde. Toute personne qui observait de trop près cette farandole se trouvait prise dans la danse et, lors de son réveil le lendemain, constatait qu’elle avait vieilli de quelques années. Le matin, le trône était caché dans ce même champ, mais à un emplacement différent. Il ne subsistait de l’ancienne cachette qu’un léger rond dans le sol. Panneau d’information.] Le chemin après le virage est bordé de gros chênes, sur la gauche caché part un rideau d’arbre le Petit Morin serpente doucement, nous traversons un bois et arrivons devant une ferme isolée, qui se trouve être le moulin des
Brus. De chemin, nous passons au bitume, nous sommes dans la rue sans issu de la Montagne Blanche. Nous longeons un hameau [Comme souvent dans la région, les hameaux se sont développés autour d’une exploitation agricole et une source. Si les hommes s’installent au sein de leurs terres agricoles, les matériaux dont ils construisent leurs fermes, les granges, et leurs maisons sont autant de façon de « lire le sous sol ». Panneau d’information.] Nous débouchons sur la D 31e (mon topo dit vicinal 2) que nous prenons à gauche, quittons le balisage jaune,
longeons ce qui ressemble à une ancienne gare sncf [La pierre Meulière est omniprésente dans l’architecture francilienne du pavillon de banlieue, à la maison bourgeoise. On remarque également la brique. Hors des zones de production de cette matière, la brique était peu utilisée, il fallut attendre 1889 et l’arrivée du train dans la vallée du Petit Morin pour la voir apparaître dans les nouvelles constructions. Le train permettait « d’importer » de la brique des régions de production et « d’exporter » sa pierre meulière, et le gypse, mais c’est une autre histoire. Panneau d’information.]  Traversons de nouveau le Petit Morin, poursuivons par la rue de la Borde, laissons la rue des Ouchettes desservant le hameau des Coutures se trouvant sur la gauche, nous arrivons à l’entrée d’Orly sur Morin, la rue fait fourche et nous poursuivons la rue de la Borde sur la gauche. Devant la Mairie école nous prenons à droite la D 31 (rue de l’Hêtre), passons devant
l’église, nous retrouvons un balisage jaune en provenance de la gauche. Poursuivons tout droit, dépassons les rues du lavoir et la place des marronniers. Nous arrivons rue de la Planchette ou le balisage fait fourche laissons la branche de droite partant sur le moulin du pont et Bitibout. Poursuivons quelques dizaine de mètres la D(31), la rue change de nom, elle devient rue de la Charlerie, et prenons sur la gauche la rue du Chêne Madame et le balisage jaune en direction de Boitron. Après les champs, nous entrons dans le bois de Boitron, (je remarque qu’il est bien entretenu, pas trop de taillis, pas trop de ronces ou d’épineux asphyxiants le sous bois « il est agréable à regarder ».) Le chemin fait fourche nous prenons à droite, puis nous débouchons sur une route (Route d’Orly sur Morin) que nous prenons à droite, nous faisons un esse et descendons légèrement. Dans une
trouée d’arbres nous avons une belle vue sur le village entouré de petite colline et la vallée du Petit Morin. Il me semble que c’est par ici que j’ai vue une pancarte avec cette dénomination La Petite Suisse Briarde [Le Petit Morin, comme la Marne dans laquelle il va se jeter à La Ferté-sous-Jouarre, entre en Seine-et-Marne par le nord-est du département. Sa vallée entaille le plateau agricole de la Brie, en deux séquences distinctes. La première, en amont, constitue la petite entité des collines du Petit Morin, des confins orientaux du département jusqu’à Verdelot. La vallée est ample et ouverte sur de larges terres cultivées, le fond couvert de 
nombreuses prairies. Paysage résiduel d’une agriculture extensive en perte de vitesse, les collines du Petit Morin abritent les villages de Verdelot et de Montdauphin. En aval de Verdelot, la physionomie de la vallée change pour devenir plus fermée, encaissée entre des versants aux reliefs marqués et couverts de boisements. De Villeneuve-sur-Bellot jusqu’à sa confluence avec la Marne à La Ferté-sous-Jouarre, la Petite Suisse briarde voit ses ambiances changer au rythme des ondulations et de l’encaissement de la rivière, de la présence plus ou moins affirmée des espaces agricoles ou de la forêt, offrant ainsi des alternances de paysages ouverts ou, au contraire, sombres et escarpés. En dehors des limites des petites villes qui ponctuent la 
RD 31, seul axe au fond de la vallée, l’urbanisation tend à se diffuser sous la forme de résidences individuelles sur les coteaux les mieux exposés.
 Nous arrivons dans un carrefour situé en virage, en angle aigu sur la droite, nous poursuivons le balisage jaune sur la gauche. Le long de la route, un profond fossé, et en cette fin février c’est devenu un torrent. Attention à la sortie du bois, nous longeons une clôture de barbelé et prenons le premier chemin sur la droite, le balisage n’est pas très bien fait. Nous arrivons devant un lavoir et le chemin tourne sur la gauche, il est très herbeux et on à du mal à reconnaître le champ du chemin. Nous
longeons l’orée du bois, puis traversons le taillis, puis la clôture d’une maison isolé. De chemin nous passons à bitume, rue des Marnières, nous débouchons sur la D 55, faisons un esse droite, gauche, et prenons la rue du Chemin du Moulin Neuf. De chemin nous passons de nouveau à bitume nous débouchons sur une route formant Té avec la notre, et prenons à gauche nous traversons le bois par le chemin des vignes, arrivée sur un chemin formant Té, le balisage se divise en deux, nous prenons à gauche et grimpons le coteau. Sur la carte le lieu se nomme le Vignoble, (avec le chemin 
des vignes c’est un souvenir d’une époque révolue, ou comme le dit Jean Ferrat dans sa chanson «La Montagne en 1964» ‘’Le vin ne sera plus tiré, C'était une horrible piquette, Mais il faisait des centenaires, A ne plus que savoir en faire, S'il ne vous tournait pas la tête’’.) Nous sommes sur un balisage vert. Nous arrivons de nouveau sur un chemin formant Té, nous prenons à droite, le chemin est en faite un ruisseau, faut dire que ses derniers jours, il a beaucoup plu. Je tombe mal, le bois en pleine exploitation, les traces de tracteur sont partout, on a du mal à suivre le bon chemin dont le balisage est intermittent. Nous sortons du bois faisons un esse et débouchons sur une route que nous suivons sur la droite. Nous arrivons au hameau de Marlande,  une grosse exploitation agricole avec quelques maisons autour. Juste à la sortie du hameau nous prenons le chemin sur la droite, longeons une ferme et nous perdons le balisage vert. Nous arrivons de nouveau sur un chemin formant Té, prenons à gauche, et 
au hameau Le Jariel, nous longeons un long corps de bâtiment, avant de déboucher sur une route que nous prenons à droite. A la patte d’oie avec un terre plein central en forme de triangle et un poteau électrique en son milieu, nous continuons sur la droite, un chemin bitumineux avec de l’herbe au milieu. Nous avons retrouvé le balisage vert, (ancien jaune, couleur qui s’aperçoit sous la nouvelle couleur.)  Nous longeons un corps de ferme devenu habitation, débouchons sur un chemin formant Té et nous prenons à gauche, comme nous sommes au milieu des champs, nous avons perdu le balisage. La Seine & Marne n’est pas foutu de baliser correctement ses itinéraires de promenade par l’implantation de poteaux directionnelle, comme on en trouve ailleurs, et pas si loin, notamment en Essonne ou nous trouvons bien souvent un meilleur suivi que dans le pays des betteraviers… Nous débouchons sur la route de Jariel-Marlande et le rousset (C6) que 
nous poursuivons tout droit (balisage vert, que nous retrouvons), quelques centaines de mètres plus loin nous arrivons sur la D31 (route D’Orly), nous arrivons au village de Sablonnières, au carrefour avec la D 222 nous prenons à droite en direction de la Ferté Gaucher. (Nous quittons le balisage.) [Une autre ressource de cette région permettait au hommes de rester sur cette terre, c’est un cailloux tendre de couleur brune, ou blanc composé de cristaux ou ressemblant à une pierre blanche, le Gypse. (Dénommé aussi gypsite, ou pierre à plâtre , est une roche tendre saline ou une évaporite commune, voire abondante, entièrement cristallisée, composée principalement du minéral gypse, un sulfate doublement hydraté de calcium, décrite par la formule CaSO4 · 2 H2O et qui constitue le premier fin dépôt dans les marais salants. Elle possède un domaine de stabilité assez étendu, mais en général dans des conditions haute température et de migration aisée d'eau, cède sa place à l'anhydrite, plus dense et plus dure. Sa texture cristalline est en général 
moyenne à fine, elle peut être granulaire à fibreuse. Wikipédia) La pierre à plâtre, abonde en vallée du petit Morin. Déshydraté, puis Boyé, mélangé avec du sable et de la chaux, il constituait, jusqu’au début du XXe siècle, l’enduit de la plupart des maisons. L’utilisation de l’enduit était autrefois un signe social de prospérité. Panneau d’information.] Nous passons un ru, puis le Petit Morin (à moins que le ru ne soit qu’un petit bras éphémère de la rivière du à se hautes eaux.) Nous arrivons devant le cimetière de La Chenée, quittons la D 222 pour prendre à gauche la rue en direction de
Bellot et Sablonnières village. Nous longeons le cimetière par la C1, en direction du Plessier & du Brodarts. Nous retrouvons un balisage provenant de notre droite, nous poursuivons tout droit, laissons partir sur la gauche le balisage, et poursuivons le bitume, nous entrons dans la Brie Laitière… Je n’ai pas vue beaucoup de vaches durant tout mon périple dans le Nord de la Seine et Marne, mais nous sommes fin février, début mars, les vaches doivent être en stabule. Nous arrivons à une patte d’oie avec une route (C 13) se dirigeant vers Le Plessier, poursuivons à gauche. Sur notre gauche le Morin. [La batail du Petit Morin : La ligne de chemin de fer qui longeait le Morin, offre aux Allemands un couvert pour l’installer leur défense, les soldats étant à couvert grâce au ballast. Des mitrailleuses étaient installées aux passages à niveaux. En établissant son plan de défense, Von Richtofen a prévu un dégagement en échelle les soldats placés au bord de la voies ferrée doivent prendre 
l’ennemi sous leur feu durant quelques dizaines de minutes puis se retirer vers la rivière. La seconde ligne proche de la rivière couvre le retrait de la première ligne qui fuit en abandonnant leur matériel qu’ils ont rendu inutilisable, ils se rétablissent en troisième position et couvrent le retrait de la deuxième ligne. Panneau d’information] Nous arrivons au hameau des Brodarts. Traversons ce dernier, la route fait un grand esse droite, gauche, poursuivons jusqu’au poste de gaz ou je prends un chemin sur la droite, malheureusement au printemps je ne pense pas que ce petit raccourcie soit utilisable, le chemin n’est pas entretenu et rempli de petits orties, en sortant de
ce chemin nous prenons la D6 sur la droite. (Dans le cas ou, le chemin est impraticable, poursuivre jusqu’à l’entrée de Bellot et prendre la D6 sur la droite.) Nous trouvons sur la gauche la une petite route en direction de Retourneloup et Launoy Brûlé que nous prenons. Nous débouchons sur une route formant Té à l’entrée de Retourneloup, prenons à droite, traversons le village, de rue nous passons à chemin, nous passons devant un lavoir et retrouvons un balisage jaune, dont on cherche les traces… nous ne trouvons que les croix au niveau de la départementale. Coupons cette dernière, longeons un bois, puis, le chemin fait fourche continuons tout droit, coupons la D 222 et poursuivons en face par la C 4 en direction de Coupigny, les Mirats, Champ la Bride, La Trétoire. Au milieu des champs nous abandonnons le balisage jaune partant sur la droite et poursuivons le bitume. Nous arrivons à l’intersection avec la route deservant sur la droite Les Mirats et sur la gauche Coupigny, poursuivons tout droit. Nous arrivons à Champ la Bride, a l’entrée du village nous prenons un chemin sur la droite, nous faisant éviter le centre du hameau (dans mon topo oral je parle d’un ru, sur la carte le ru des Moines est beaucoup plus haut. Avec toute la pluie que nous avons eu ce n’est peut être qu’un fossé plein d’eau.) Nous
débouchons dans le virage de la rue principale (rue de la grange) que nous prenons à droite, au milieu du virage nous poursuivons tout droit par le chemin nous faisant rejoindre les champs et l’antenne de transmission, il fait fourche et prenons à gauche, nous débouchons sur une route que nous prenons à droite. Nous abandonnons cette route sans issu (elle se termine au hameau de la Fontaine l’Auge) pour prendre sur la gauche le chemin dans les champs. Laissons sur la gauche un accès au champ et poursuivons ce chemin mal pavé en bordure d’un taillis. Nous arrivons à un carrefour retrouvons un balisage vert et poursuivons tout droit ce
chemin mal empierré qui normalement est balisé. Nous arrivons en vue du Hameau de La Forge, coupons la route d’accès, abandonnons le balisage vert et poursuivons en face avec le balisage jaune. [Au matin du 8 septembre, les brigades de cavalerie britanniques, suivies de près par l’artillerie, approchent de la lisière du plateau qui domine la rive sud du Morin. Ils aperçoivent des retardataires allemands… Voici l’anecdote apparaît sous la plume de James E. Edmonds. Une reconnaissance menée par quelques Greys (la 5ème Brigade) permit de découvrir un bataillon de chasseurs et une brigade de cavaleries ennemies au niveau du hameau de Gibraltar, confortablement 
installés, ils mangeaient leur petit déjeuner. Se retirant distraitement, les éclaireurs indiquèrent la position à la batterie J, installée à Bois Baudry, qui mit brutalement fin au pique-nique avec ses shrapnels. L’ennemi dut se replier vers la vallée en dénombrant de considérables pertes. Panneau d’information.] Nous longeons le moulin de Coton [Le petit Morin à un débit normal de 3,4 m/s à son confluent avec la Marne. Lors de grandes crues, ce débit peut être multiplié par 15. De l’énergie pour les moulins… Pour qu’un moulin à eau fonctionne il faut une chute d’eau d’environ deux mètres. On dénombrait une trentaine de moulins dans la vallée. Certain pour le blé, d’autres pour le Lin ou pour le broyage de l’écorce de chêne. Certain jusqu’en 
1960 produisaient de l’électricité pour les industries situées en font de vallée. Extraie Panneau d’information.] Nous retrouvons le bitume que nous prenons à droite. Dans le virage, nous poursuivons tout droit par un chemin gravillonné (piste VTT) balisage jaune. Laissons l’accès sur la gauche au hameau de Saint Georges. Nous devons être sur l’ancien cheminement de la ligne SNCF. Nous arrivons à une fourche et à une intersection de sentiers. Tout droit le balisage se dirige vers Orly sur Morin, nous prenons à gauche le PR de Saint Ouen, (sur la carte c’est le  chemin du Pré de Cosselette). Nous contournons le hameau du Moulin du Pont. Dans le virage, laissons sur la droite la rue du moulin du pont passant dans le cœur du hameau et juste avant la fourche prenons sur la gauche le chemin grimpant le coteau, le long d’une prairie et d’un bois. Nous
par ce panneau en fonte nous sommes hors du temps
longeons un profond fossé plein d’eau en cette saison des pluies, et débouchons sur une route, le balisage se divise en deux, nous prenons à gauche sur une dizaine de mètres puis un chemin sur la droite, nous nous dirigeons vers Bitibout. Nous débouchons route de la tuilerie que nous prenons à droite. Au milieu du hameau, nous prenons à gauche la cour des meulières (balisage jaune) au banc prenons à droite entre les deux maisons, nous retrouvons notre route un peu plus haut que nous suivons jusqu’au hameau de Gibraltar. A la route formant Té avec la notre nous prenons à droite, coupons la D68 au niveau du stop et de l’arrêt de bus. Poursuivons en face en direction de Doue, par la route de Bois Baudry, longeons le
hameau, la route fait fourche dans un virage, nous prenons la rue creuse sur la droite, de rue nous passons à chemin dans les champs (balisage jaune). Nous longeons de plus ou moins loin la D 68 puis le chemin fait fourche et nous prenons à gauche, longeons la lisière d’un bois, le chemin fait de nouveau fourche, poursuivons tout droit, nous débouchons sur une route quittons le balisage jaune (inexistant dans les champs, la Seine et Marne à oublié d’informer sur le terrain ses touristes randonneurs, hors mis une belle carte dans certain village et quelques traits jaune sur le terrain, il n’y a rien. Devrait prendre des stages de formation en Essonne.) Prenons
la route sur la droite, nous arrivons Au Neuillis. En traversant le hameau nous retrouvons des traces de peinture jaune. Nous débouchons sur une route formant Té que nous prenons à droite et retrouvons le balisage jaune. A la sortie du bois, dans une sorte de clairière en forme de triangle, le chemin fait fourche et nous prenons à droite. Nous arrivons au hameau de Courcilly, le chemin fait de nouveau fourche, j’ai pris le chemin de gauche, nous débouchons dans la rue de Courcilly, que nous prenons à droite, elle tourne sur la gauche et débouchons sur la D 68, que nous prenons à gauche. [Nous trouvons l’ancienne halte du petit train qui reliait La 
Ferté Sous Jouarre à Montmirail jusqu’en 1947. Panneau d’information] La rue fait fourche, nous rencontrons la D 31 venant de notre droite poursuivons tout droit, passons le Petit Morin, nous entrons dans saint Ouen, Je quitte le balisage jaune partant sur la gauche et poursuit la rue tout droit. Devant une petite place, nous prenons sur la droite la D 68 en direction de Montapeine et Saacy (route de Saacy). Sur la droite un haut mur, fort décrépie, derrière le château de la Roche. Nous n’en apercevons que les toitures. Après
le château nous prenons le chemin de l’Ouche sur la gauche. Laissons sur la droite la rue du chemin, nous retrouvons le monument aux morts et la rue Lucien Devos que nous prenons à droite jusqu’à notre parking.
 














 





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