jeudi 2 juin 2022

Promenade N S&M, N° 43 Servon – La Foret Notre Dame 1

 Dans mon cycle des promenades situées dans le nord de la Seine et Marne je vais vous proposer, soit de petits rando, soit des rando, dans les forets périurbaines, appelées la Ceinture Verte. Foret de Bréviande, poumon vert du nord de Melun, du Mée, et de l’extrémité ‘’Est’’ de la ville nouvelle de Melun Sénart. Du Rougeau, de Sénart, poumon vert de Melun Sénart. De Notre Dame, poumon vert de la banlieue parisienne. J’ai poussé le plus loin possible vers l’urbanisation sans y entrer. Je vais vous proposer également des promenades quelques peu surprenante en bordure de l’Yerres. Lorsqu’elle entre dans sa partie urbaine. Un écran de verdure, cachant un monde minérale en béton. Surprenant. Je ne pensais pas réaliser des promenades dans ses forets lointaines que longtemps, par mépris j’ai appelé des bois en les comparants à Fontainebleau. La pandémie du Covid 19 et l’ interdiction de sortir, plus d’une heure et à 1 km autour de chez soit, m’a fait réviser mon jugement. L’ouverture des horaires et des distances à 20 km et à 3 h 00, m’a fait rechercher des ‘’Bois’’ inconnu pour moi et inscrit dans le cercle autorisé. Ce fut les petites rando de Bréviande, et du Rougeau. Il me restait à pousser un peut plus loin mes découvertes avec les forets Périurbaines de Grosbois, Notre Dame et Sénart.  Pour cela il fallait attendre le déconfinement total. Pour l’instant j’ai un peu oublié mes parcours dans le Nord du département, il me reste quatre ou cinq promenades à réaliser autour de Crécy la Chapelle et Mouroux. La pandémie fait que je ne prends plus le train pour me rendre à mes points de départ, et c’est un peut loin en voiture.

Avant de partir Présentation de ce bois… Pardon La Foret Notre Dame

 

Carte IGN             Trace GPS & Topo sans commentaires             Trace Randogps

 

Le code mobile de cette randonnée est b345794

 

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

   

La foret Notre Dame ; Ancienne propriété ecclésiastique et nobiliaire, de 2.056 ha. Le Bois Notre-Dame a été acquis par l'Etat en 1975 pour le préserver de l'urbanisation. La forêt domaniale de Notre-Dame est aujourd'hui la principale forêt de "l'Arc boisé" qui comprend aussi la forêt domaniale de Lagrange et la forêt régionale de Gros-Bois. Située dans un environnement très urbanisé, à cheval entre la Seine-et-Marne et le Val-de-Marne, cette forêt est le plus vaste espace naturel accessible au public du Val-de-Marne.  Le schéma directeur de la région Île-de-France (SDRIF. de 1994) a édicté une interdiction de construire à moins de 50 mètres des lisières du massif. Elle est classée en Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 2 et portée à l'Inventaire national du patrimoine naturel.

Composée principalement de chênes sessiles et de châtaigniers, elle abrite de nombreuses mares et un vaste espace ouvert formé de landes à bruyère, à molinie ou à fougère, parsemé de chênes pédonculés, bouleaux et trembles.

Dans ce contexte périurbain, l'accueil du public et la prise en compte des paysages et des richesses écologiques sont les objectifs prioritaires de la gestion. L'ONF mène ces actions en concertation avec les acteurs locaux dans le cadre de la charte forestière de "l'Arc boisé". Les peuplements sont aujourd'hui vieillissants. Des coupes sont nécessaires pour les renouveler et les maintenir en bonne santé, tout en assurant la sécurité du public. Dans la zone des landes, très riches en biodiversité, les forestiers accordent la priorité au maintien des espaces ouverts et de la mosaïque de milieux. Au nord-ouest de la forêt, le carrefour des Huit Routes, aussi appelé Etoile royale, témoigne des aménagements réalisés pour les chasses à courre royales. http://www1.onf.fr/enforet/notre-dame/explorer/decouverte/20130828-133101-774969/@@index.html

Pour cette Promenade j’ai choisi comme point de Départ le village de Servon. Situé en bordure de la D19, proche de la Francilienne et de la sortie de Brie Comte Robert. Elle offre des parkings dans sa zone commerciale.

Pour se rendre à Servon ; Suivre la N°19 Au feu tricolore Servon centre. Utiliser le parking du centre commercial sur la gauche.

La Francilienne N°104 :

De Melun ; Sortie 21 direction Créteil, Brie Comte Robert, Servon, Boissy saint Léger. Au rond Point à droite N 19 Créteil, Sénart, Boissy, Servon, passer sous le pont et prendre la seconde sortie (sans informations) mais se dirigeant vers Créteil. Au feu tricolore prendre à droite et utiliser le parking du centre commercial sur la gauche.

De Paris ; Sortie 21 direction Créteil, Brie Comte Robert, Boissy saint Léger. Sur la Bretelle restez à gauche N 19 Créteil, Brie centre, Boissy saint Léger. Sur la voie d’accès rester à droite N°19 Créteil, Servon, Boissy Saint Léger. Au feu tricolore prendre à droite et utiliser le parking du centre commercial sur la gauche.

Servon : Le centre historique, noyau initial de la commune, s’est constitué autour de l’église : maisons paysannes et petites maisons de maître, ainsi que trois grandes propriétés et leur parc : la Dame Blanche, le château de Servon et le château de Villemenon. Des lotissements ont progressivement été réalisés depuis une cinquantaine d’années : quartiers de la Porte Rouge (près de l’ancienne gare SNCF), du Pied de Coq, de la Jarrie et de la Croix Blanche (de chaque côté de la route menant à Forcilles et Férolles-Attily), la ZAC de la Butte aux Bergers (qui compte 245 pavillons). Et plus récemment un lotissement des Marronniers et un autre à la place de l'Ancienne-École. elon Albert Dauzat, dérivé de silvus : nom qui évoque les bois. Autre hypothèse : mentionné « Un fief dit la Motte de Servon » en 1483, du latin superior, comparatif de superus, soit « plus au-dessus, plus haut, plus élevé », d’où le gallo-roman °SUPERIORE > a.f. sevror, sevreux, et par métathèse servor, serveux. Cette hypothèse pose problème avec les formes anciennes, mais correspond à la situation de Servon sur une éminence, elle s'appuie sur le celte ser (rivière), qui donnerait au nom du village une origine topographique, signifiant « la colline près de la rivière » ou « la source sur le coteau. Des fouilles archéologiques en 1992 dévoilent les traces d'une villa gallo-romaine. L'église, avec un sanctuaire, est du XIIIe siècle. La commune a été longtemps desservie par la ligne de Vincennes, qui reliait la gare de la Bastille à la gare de Verneuil-l'Étang et comprenait la gare de Santeny - Servon. Le service destiné aux voyageurs s'est arrêté en 1953 et celui des marchandises en 1970. La ligne de Vincennes a été reprise jusqu'à Boissy-Saint-Léger par le RER A, et la gare de Servon est tombée à l'abandon. Elle fut détruite dans les années 2010. Ce que nous ne verrons pas les murs étant trop haut.

Le château de Servon : l'ancien château aurait hébergé Anne Boleyn, proche du seigneur de la région. Son parc aurait été en particulier aménagé au XVIIIe siècle ou XIXe siècle. Le château de Villemenon : Le domaine du château de Villemenon est traversé par le Réveillon qui coule en provenance de Lésigny. Situé à l’extérieur du village, sur la route en direction de Lésigny, le domaine de Villemenon est un fief rival de Servon existant depuis

le 12ème siècle, qui changera de nombreuses fois de propriétaires. François de Verthamon, conseiller au Parlement de Paris, a acheté Villemenon (château, terres, titres et droits seigneuriaux) en 1645 à Suzanne Parent. Louis XIII était venu déjeuner au château de Villemenon. Le château actuel ; Le château actuel a été construit dans le style Renaissance vers 1840. Depuis les années 60, Hélène Martini, impératrice des nuits parisiennes, ayant possédé jusqu’à dix-sept cabarets et théâtres à Paris, dont Les Folies Bergère et Mogador, avait discrètement choisi comme havre de paix le château de Villemenon. Suite au décès d’Hélène Martini le 05 août 2017, le portail et la cheminée Renaissance du château de Villemenon, se sont retrouvés aux enchères à Drouot, provoquant un certain émoi pour les défenseur du patrimoine local. La conservatrice de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) avait décliné sa compétence pour protéger ces éléments patrimoniaux, ceux-ci n’étant pas protégés au titre des Monuments historiques de Seine-et-Marne. Une impressionnante collection de 6 000 costumes de scènes et accessoires créées par et pour les Folies Bergère était stocké, jusqu’en 2012, dans une dépendance du château de Villemenon, avant d’avoir été dispersée lors de ventes aux enchères.  

Polémiques autour de la destruction de la ferme Bombon ; Située dans le vieux bourg de Servon, la Ferme Bombon et sa maison de maître s’étendait sur près de 9 000 m2, sur un site datant de 1406. La propriétaire était décédée en octobre 2012, et sa ferme vendue à l’AFTRP (devenu Grand Paris Aménagement), qui là céda au promoteur immobilier Nexity. La Ferme se situait dans le périmètre de protection de l’église Saint-Colombe classée monument historique. En 2013, une association de riverains et d’habitants de Servon s’est constituée, pour contester en justice un projet immobilier sur la Ferme Bombon. La municipalité et le promoteur Nexity souhaitait y implanter 90 logements. Jugé trop dense, le projet avait été réduit à 69 logements, et le nombre de places de parking revu à la hausse (140 places). Wikipédia] Vous trouverez également sur le site https://histoireservon.fr/ un peut plus de détails sur l’histoire de ce village, emprisonné entre la N 19, la Francilienne et les centres industrielles et commerciaux. Un fort dilemme pour un maire, conserver son aspect campagnard au porte de l’urbanisation et se développer sans y perdre son âme. Je dois avouer que je suis souvent passé en voiture à Servon sur la N° 19 et je préfère y voir ce que je vois aujourd’hui plutôt que ce que j’y voyais hier. Les restes d’infrastructures en béton à l’abandon, ou des friches comportant des déchets sauvages, ce n’était pas très jolie. Bien sur j’aurais préférer un peu plus de nature, ou des roseraies (on est dans le pays de la rose, mais derrière il y a la ligne TGV. Au moins les bâtiments stop le bruit des trains. On ne peut pas tout avoir.

Janvier 2021

KM     Temps     Arret     V/d     V/g     Dénivelé

22       3h50       0h30      5,6      4,8       114+

Sortons du parking et dirigeons nous par l’Avenue Guerin qui deviendra rue de la République vers le centre du village. Nous trouvons le GRP de la Ceinture verte de l’Ile de France. Face à nous l’église [Située sur un étroit éperon de terre soutenu par un mur, au-dessus d’une source, probable lieu de culte druidique, l’église est dédiée à Ste Colombe de Sens et à Saint Louis. Elle surplombe le lavoir. Le chœur en pierre de style gothique date du début du 13 e siècle, embellissant un bâtiment antérieur, comme l’indique une pierre dédicatoire tardive portant la date de 1394, jour de la St Louis, de fait second patron de l’Eglise. Sur le mur de " chevet" trois fenêtres basses murées sont cachées par une sacristie sur poteaux de bois ajoutée au 17e S ;  au dessus, cinq fenêtres accolées puis une  rosace (inspirée de la cathédrale de Laon et du croisillon ouest de Chartres) qui ne se voit plus de l’intérieur depuis l’abaissement du toit et la disparition des voûtes ;  un « triforium » a été dégagé et restauré à l’intérieur en 1984. Le clocher avait été prévu pour quatre cloches. Elle conserve la plus petite mesurant 1,12 m de diamètre de 900 Kg, s’appelant Colombe, datant de 1635. Autrefois, le son des cloches rythmait la vie, annonçant autant les événements joyeux que les mauvaises nouvelles. Au Moyen-Age, l’orientation des Eglises étant très précise, elle devait indiquer exactement l’Est, « partie du ciel où le soleil se lève à l’époque des équinoxes ». Or l’église de Servon est orientée Nord-Est. C’est peut être la réutilisation d’un site déjà existant. L’église fut inscrite à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques en 1939. Le culte de Sainte Colombe, martyrisée à Sens, était très populaire dès le VIe siècle. On venait donc à Servon pour y invoquer Sainte Colombe et sa source favorisant le mariage. Servon, proche de Brie-Comte-Robert fut très éprouvé par la guerre de cent ans ainsi que par la Fronde. Référence : « Histoire de Servon » de Mme Lantz-Grenier. https://www.servon.fr/histoire-de-servon/leglise-sainte-colombe/ & https://histoireservon.fr/2000-ans-d-histoire/index.html]. (Une question sans réponse pourquoi se nomme t’elle sur Google Map Saint d’Auxerre ?) Sur la gauche le Château de Servon [Proche de l’église et autrefois reliée à elle par un corps de bâtiment le château actuel fut modifié et réduit vers 1810. Il conserve un pigeonnier rond du 16 e S. Le premier seigneur connu, Paganus, est cité en archives vers 1142, comme un premier curé vers 1269, desservant une église et une paroisse déjà existantes. Au 16 e siècle la jeune Anne Boleyn, future seconde épouse du roi d’Angleterre Henri VIII aurait vécu à Servon chez sa tante Marguerite de Hébert, femme du seigneur Jacques du Moulin. En 1588 le seigneur Claude Mallier constitua la première rente pour financer une école, l’une des plus anciennes de toute la région. Sous Louis XIV, le seigneur Henry de Lyonne fut fait comte et chevalier de l’ordre de Saint Louis ; la famille posséda le château pendant  deux siècles. https://histoireservon.fr/2000-ans-d-histoire/index.html]. Descendons le long de l’église au chevet de celle-ci, une ancienne mare pavée devant certainement servir à abreuver les animaux de la ferme, lorsqu’ils remontaient des prés. Cette ferme se trouvant, si j’ai bien lu l’histoire du village au centre de ce dernier. Nous trouvons entre deux murs après l’ancienne mare la ruelle aux chiens que nous prenons (balisage GRP). Nous débouchons dans une rue un peut plus 
large portant le même nom que notre sentier intra muros, que nous prenons à gauche, puis à droite la rue de la Dehors et enfin à gauche la ruelle Baron. Nous sortons du village et entrons dans une prairie parsemé d’étangs ‘’ les étangs de la prairie de Servon’’ sur la droite, la rivière le Réveillon serpente dans un profond lit. [Le Réveillon est un affluent de l'Yerres, d'une longueur de 21,6 km. Il prend sa source dans la forêt d'Armainvilliers à Gretz-Armainvilliers et se termine dans la commune d'Yerres dans l'Essonne. Son débit moyen est de 0,304 m3/s. Son principal affluent est le Ru de la Ménagerie. Le Réveillon prend sa source en forêt, puis traverse une plaine agricole entre Gretz-Armainvilliers  et Marolles-en-Brie  ; il traverse ensuite une vallée verdoyante à Villecresnes et se termine dans une forêt limitrophe entre Yerres et Brunoy pour se jeter dans l'Yerres au niveau de l'ancienne abbaye de Yerres. Dans la commune de Villecresnes, un étang fut construit, en 1989, pour la régulation de la rivière pendant les inondations. Wikipédia.] Le chemin fait fourche, nous prenons à droite afin de longer la rive du coté droit. Nous sommes sur le GRP de la Ceinture verte d’Ile de France. Longeons les deux grands étangs, et traversons le barrage en terre avant le dernier (Si vous poursuivez tout droit ce n’est pas grave on retrouve le GRP à l’extrémité de la pièce d’eau.) En extrémité le chemin fait fourche. Tout droit il passe une barrière et se retrouve sur la route, sur la gauche le GRP passe un portillon et débouche sur la même route au niveau d’un petit parking. Nous remontons à gauche la rue de la Dehors, nous sommes à la limite des départements de la Seine et Marne et du Val de Marne. Prenons le premier chemin sur la droite, longeons la prairie aux chevaux. Sur la droite, un charmant tableau. Perché au sommet de la petite colline l’église de Senteny. A l’approche des pavillons et de la rue bitumée, nous prenons à droite vers l’étang du ‘’Do’’ le chemin, entre les maisons et la prairie. Après l’étang situé à l’ombre des arbres, ou nous apercevons le pigeonnier de l’ancienne ferme de Lyons, longeons le petit étang, traversons le parc, nous débouchons avenue du Générale Leclerc. Sur la droite nous avons de nouveau un charmant tableau ; le vieux pont sur le Réveillon au pied du village de Santeny et en arrière plan le pigeonnier du XVII e. [Pittoresque et estimable, avec ses trois arches irrégulières, ce pont est l'un des rares de la région à avoir conservé intactes ses piles en forme de bec, dont l'intérêt était de diminuer la force de pression des éventuels obstacles dérivant sur la rivière. L'édification du colombier à pied a suivi de peu le changement de nom du fief dans la première moitié du XVIIe siècle. On peut toujours s'interroger sur l'origine du nom des Lyons « qu'on écrit parfois Lions. Certains ont invoqué la présence de deux lions sculptés au portail de l'ancien château, mais c'est sans doute là prendre l'effet pour la cause, à moins qu'il ne s'agisse de la contraction littérale des mots li ons ou li oms » les hommes, dans la langue d'alors, ceux qui, vivants ou mourants, devaient paraître devant le seigneur du lieu pour représenter la propriété. https://www.flickr.com/photos/73553452@N00/23300189911]  Entrons dans Santeny [situé aux portes de la Brie, Santeny s’étend sur 991 ha et demeure l’une des dernières communes rurales du département du Val de Marne. Le site se caractérise par une vallée verdoyante creusée par le Ru du Réveillon et un urbanisme maîtrisé constitué essentiellement de maisons individuelles. Le village s’est implanté sur la rive droite du Réveillon et sur les coteaux nord et sud de chaque côté de la rivière. Au sud, une vaste plaine céréalière annonce la Brie. Les espaces boisés recouvrent 500 ha du territoire communal. L’agriculture en occupe le quart. Les nombreux espaces verts, parcs privés magnifiquement plantés, berges du Réveillon aménagées et sites protégés de la vallée, contribuent à donner à la commune un cadre de vie verdoyant et paisible. https://www.mairie-santeny.fr/notre-ville/presentation. En 1138, un texte mentionne pour la première fois le bourg. Un groupe de chevaliers-brigands qui sévissaient dans la région a restitué à l’évêque de Paris les différentes paroisses sous leur influence dont Santeny. En 1290, l'ordre du Temple (Templiers) acquiert la seigneurie de Santeny qui appartenait alors au seigneur de Villemenon. Ils étendent ainsi leur pouvoir sur toute la vallée de l'Yerre et la forêt de Sénart. De cette seigneurie dépendait également les fiefs de Cossigny et d'Ormoy (Tigery). L'ordre disparaît au début du XIVe siècle et ses biens sont dévolus aux Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem. La guerre de Cent Ans n'épargne pas Santeny. Les Anglais occupent le village entre 1419 et 1439. Le village possède de nombreux fiefs dont celui de Montanglos dont le portail est toujours visible. En 1734, Germain-Louis Chauvelin rachète le château de la Commanderie aux Hospitaliers et constitue le marquisat de Grosbois. Le village connait une ère de prospérité durant tout le XIXe siècle. Les terres briardes sont riches et fertiles. À partir de 1875, la population diminue peu à peu en raison de la disparition des vignes, et malgré la reconversion dans la culture de la rose. Wikipédia.] Remontons l’avenue du Générale Leclerc (GRP et balisage jaune), entrons en ville. Passons devant le porche de l’ancienne ferme transformée en appartements. Remontons à gauche (toujours GRP) vers l’église par la Grande Rue. Nous arrivons sur la toute petite place du village et prenons à droite la rue de l’église.  [Les fondements de Saint Germain d’Auxerre datent sans doute du XIIIe. Complètement reconstruite en 1880, l'ancienne église remonte sans aucun doute au XIIIe siècle. Une vierge à l'enfant datant du XIVe siècle est encore visible à l'intérieur. Vitrail " Vie de Saint Nicolas", XIIIe siècle, église Saint-Germain. Panneau d’information.] Prenons sur la droite la rue du Rocher. Quittons le GRP prenant sur la droite la rue du clos et poursuivons notre rue, nous faisant passer devant le château de Santeny  Nous retrouvons le GRP avant le virage de la rue et poursuivons en prenant sur la gauche la voie aux vaches (GRP et Balisage & jaune). Passons les barrières. Aux feu tricolores coupons la D 261 (avenue du Rollet), poursuivons en face vers les quatre saules (le balisage jaune tourne sur la gauche. Nous poursuivons le GRP). Nous longeons les écoles, passons une nouvelle barrière et après les champs nous entrons dans la foret de Notre Dame par la route neuve de Santeny (Voir le topo sur cette foret en début de page). A l’entrée de la foret, le chemin fait fourche (Parcelles 70-71-72). Nous quittons le GRP prenant à gauche l’allée de Villemon, et prenons sur la droite la route Neuve de Santeny. Laissons un sentier sur la droite et prenons sur la droite la route sylvie formant Té avec la notre (parcelles 60-74-73). Elle est renforcée et bordée de fossés. Nous longeons une boulaies, c’est la première fois que j’en vois autant. Elle est parsemée de vieux chênes [Les bouleaux poussent en général sur les terres pauvres et souvent siliceuses, jusqu'à 2 000 m d'altitude, ainsi que dans les régions arctiques. Les bouleaux sont des plantes pionnières qui constituent souvent la première formation arborée lors de la reconquête ou de la colonisation de landes par la forêt. Ils apprécient les sols plutôt acides et humides. Les bouleaux forment des futaies appelées boulaies ou boulinières ou encore des bétulaies. Il existe quatre espèces de bouleaux en Europe, dont deux arbres largement répandus : Betula pendula, le bouleau verruqueux, et Betula pubescens, le bouleau pubescent, En climat tempéré, les bouleaux vivent moins longtemps (30-40 ans), mais plus au nord (Suède, Finlande, Russie, etc.) ils peuvent vivre jusqu’à 100 ans et plus. Cet arbre caduc de la famille des betulaceae fleurit d'avril à mai. Le bouleau est très connu pour son écorce blanche, lisse et brillante, ses petites feuilles colorées de teintes vert clair au printemps et jaune à l’automne. Sa couleur blanche est due à la bétuline, son principal constituant. Le port du branchage est souvent dressé et relativement aéré, filtrant la lumière en été sans la bloquer. Le bouleau est donc considéré comme un bel arbre d'ornement et ses caractéristiques lui permettent de s'adapter à tous les types de jardin. Ses inflorescences sont des chatons allongés de 10 cm de longueur, dressés puis pendants pour les mâles et de 3 cm dressés pour les femelles. Ses fruits sont des samares groupées en chatons. Cet arbre à l'écorce blanche écaillée peut atteindre 20 à 30 m de hauteur et jusqu'à 60 cm de diamètre à la base. Les racines des bouleaux sont peu profondes. On attribue à sa sève, ainsi qu'à son écorce, de nombreuses propriétés médicinales et autres. Wikipédia]. Puisque nous parlons arbres, vous remarquerez tout au long de la promenade de magnifiques chênes. Coupons une route, parcelle 83. Laissons une allée sur la droite parcelle 78. Prenons le chemin sur la gauche entre la parcelle 83-82, nous traversons la boulaie, ou les vieux chênes noirs ressortent sur le gris du ciel et le blanc des bouleaux. Coupons la route de Monsieur, nous arrivons dans une clairière sous les lignes à haute tension (parcelle 84). Cet espace est planté de poteaux à toits jaune. Pour une fois il y a eu concertation intelligente sous la ligne à haute tension, on y a fait passer les canalisations d’hydrocarbures et de gaz.  Passons sous la ligne à haute tension, et faisons un esse gauche-droite pour prendre l’allée Madame parcelle 84 (Je vous mets le nom des routes sur le topo, c’est uniquement pour vous y retrouver sur une carte papier, sur le terrain, les noms des routes et chemins ne figure pas à l’entré des chemins. Elle ne figure que sur des poteaux en fonte au milieu des carrefours en étoile.) Prenons le premier chemin sur la droite, au carrefour suivant nous rencontrons le GR 14. Nous débouchons sur une route formant Té (Route du vieux Pavé de Paris) que nous prenons à droite comme le GR et balisage jaune. Laissons un petit sentier sur la droite, et prenons à gauche le chemin Noir, Parcelles 129 -98. Coupons au carrefour noir, la route de Monthéty et nous arrivons au grand carrefour en étoile dauphine, nous prenons à droite le chemin du Vieux Colombier, (2ème chemin sur la droite. Parcelles 125-127). Le chemin est très boueux, nous arrivons devant la propriété du château de la maison blanche (parcelle 137) [Le Domaine de Maison Blanche a été acquis et érigé par le Baron Hottinguer dans les années 1870. Le Château est de style « anglo-normand ». Aujourd’hui, la propriété comprend toujours le territoire de chasse clos aménagé à l’époque. On y chasse encore sanglier, chevreuil, gibier à plume… Le parc de 30 hectares saura vous séduire grâce à ses espaces verts, son accès direct à la forêt, et ces pâtures où se promènent chevaux et poneys. Récemment rénové tout en préservant l’authenticité et la beauté du lieu, le Château vous offre désormais la possibilité d’organiser vos évènements privées ou professionnels dans un cadre magnifique. http://chateau-maison-blanche.fr/presentation/ ]. Je ne m’approche pas le terrain est impraticable de la boue jusqu’au cheville. De toute façon je suis coté parc boisé, je ne verrais pas le château. Nous prenons sur la gauche l’allée entre la parcelle 125 et 126 nous suivons toujours le GR 14 (Le GR 14 part de Paris et ce termine à Corbion en Belgique. J’en ai suivi une partie lors de mon périple dans l’Est de la France autour de Sedan). Le chemin fait fourche, laissons la route sur la gauche poursuivons le GR, et au carrefour (parcelles 123-124) (le carrefour ne correspond pas tout à fait à ce que l’on trouve sur la carte. Nous abandonnons le GR 14 pour prendre sur la gauche le sentier découverte, matérialisé par une belle route et des poteaux d’informations. Nous arrivons au carrefour en étoile ou nous coupons le chemin Noir (parcelles 112-124-108-11), nous poursuivons le sentier découverte légèrement à droite. Le chemin fait fourche laissons le chemin de droite, un peut plus loin à la patte d’oie inversée poursuivons sur la droite. Nous arrivons au carrefour des huit routes (Parcelles 48-113-111-109-110-57-51-49). Nous poursuivons tout droit par l’Allée Dauphine. Et j’ai un soucie. Plus de piles dans mon GPS et mes piles de rechange ne sont pas neuves, elles n’ont pas tenue longtemps. D’habitude je fais beaucoup plus attention que cela, j’avais chargé mes piles au maxi, mais elles sont vielles et ne tiennent plus la charge. Bien entendu je n’ai pas chargé ma trace sur mon téléphone avec l’appli Randogps. Le reste de la promenade est réalisé uniquement en essayant de me souvenir de la trace. Autosatisfaction, je ne suis pas trop mécontent de cette fin de parcours, j’ai simplement loupé au niveau du domaine de Santeny et la bute de Choigny un chemin me permettant d’éviter un bon bout de bitume, mais sur la carte map street du téléphone je n’avais ou je n’ai pas vue le chemin traversant les champs. Poursuivons l’allée Dauphine, sur la carte il est indiqué ‘’Chêne Notre Dame’’dans la parcelle 51, il me semble que ce chêne remarquable est tombé. [Les deux « forêts » sont liées par leurs chênes, d'une qualité exceptionnelle. Au Moyen Age, comme la majorité des espaces forestiers d'Ile-de-France, ce qui n'était pas encore désigné comme la Forêt de Notre-Dame appartenait à l'évêché de Paris. Parmi les plus proches et les plus denses de la capitale, ses chênes ont ainsi servi à la construction de la charpente de la cathédrale. Des pontons étaient utilisés sur la Marne pour acheminer les pièces de bois. Les deux « forêts » sont liées par leurs chênes, d'une qualité exceptionnelle. Au Moyen Age, comme la majorité des espaces forestiers d'Ile-de-France, ce qui n'était pas encore désigné comme la Forêt de Notre-Dame appartenait à l'évêché de Paris. Parmi les plus proches et les plus denses de la capitale, ses chênes ont ainsi servi à la construction de la charpente de la cathédrale. Des pontons étaient utilisés sur la Marne pour acheminer les pièces de bois. Extraie du Parisien Par Bartolomé Simon Le 8 mai 2019 à 12h55]. Nous coupons le chemin de Saint Nicolas (parcelle 39-40-46-50) et prenons un peu plus loin parcelles 34-39 l’allée Marthe c’est un chemin balisé par de petites salamandre appelé le sentier des mares, (sur un arbre nous trouvons une croix jaune.) Nous coupons l’allée madame, (parcelles 32-34-38-37) au carrefour suivant, nous prenons à gauche un petit sentier bordé d’un fossé traversant la parcelle 37. Il débouche sur un chemin formant une patte d’oie inversé que nous prenons à gauche, (balisage jaune) nous sommes sur le chemin de la Gueule Noire, nous coupons de nouveau le chemin de saint Nicolas, poursuivons tout droit (parcelles 52-54). Nous arrivons à la route Royale et faisons un esse gauche-droite poursuivons par un sentier entre les parcelles 55-56. Nous débouchons chemin des Bœufs que je prends à gauche (parcelle 59). (J’aurais eu une carte IGN je serais allé jusqu’au chemin balisé) Je me dirige vers le carrefour en étoile du parc aux Boeufs, (Parcelles 58-104-103-94-62-59), poursuivons tout droit le chemin des bœufs, (parcelles 94-103). Nous coupons le GRP de la ceinture verte et balisage jaune. Poussons jusqu’au carrefour en étoile de la petite Patte-d’Oie (Parcelles 100-97-96-102). Nous prenons à droite (parcelle 96) le sentier (chemin) de Monthéty, nous retrouvons le GR. au carrefour suivant ou nous trouvons le chemin du Vieux Pavé de Paris (parcelle 88-89-87), prenons sur la gauche, la route neuve de Santeny, entre la parcelle 87-88. Nous coupons à nouveau notre clairière sous les lignes à haute tension. Laissons la route Sylvie que nous avons pris tout à l’heure, mais prenons le chemin suivant (parcelles 72-73) (à la pancarte route de Santeny) sur la gauche. Le départ est mal marqué au sol, nous faisons un esse gauche - droite pour contourner un point très humide avant de trouver le chemin bien tracé au sol. Nous longeons les dernières maisons de la zone pavillonnaire de Santeny, coupons un chemin qui sur la droite conduit aux maisons. Poursuivons tout droit. Nous débouchons sur un chemin formant Té (parcelle 77) que nous prenons à droite, coupons le chemin de Grattepeau. J’aurais pu prendre le chemin de Grattepeau sur la droite, comme Open Street me l’indique, mon idée étant de rejoindre Servons en directe, je tente le sentier face à moi qui ne se trouve pas sur cette carte. Je débouche dans le domaine de santeny, rue François Couperin, que je prends à droite. (Avec la carte IGN, je serais partie à gauche, mais je ne suis pas sur que le petit sentier en bout de la rue existe toujours, il n’est pas tracé sur les autres cartes.) Traversons la zone pavillonnaire. ‘’Une tranchée verte coupe les pavillons par l’allée de Villemenon. (Des traces de VTT me tentent bien, il débouche bien quelque part puisqu’il est emprunté par des cyclistes. Sur ma carte Open Street, il se termine en bout du domaine de Santeny. Je crains qu’il ne retourne en foret ou qu’il débouche sur la D 51. Sur les autres cartes en bout du domaine de Santeny il bifurque sur la droite et rejoint la route de Servons sans traverser le domaine pavillonnaire. Ile est la continuité du chemin de Grattepeau) Poursuivons le bitume, la rue devient rue du rocher, un peut plus loin rue Couperin. Nous sortons du domaine et arrivons sur un rond point, nous prenons à gauche la D 261 en direction de Lésigny et Servon. Descendons la vallée. Nous sortons de Santeny arrivons devant un nouveau rond point nous prenons la seconde sortie, direction Lésigny et Servon. La plaine sur la droite, les murs et le pavillon du gardien du château de Choigny sur la gauche [Château construit entre 1785 (plan d'intendance) et 1810 (cadastre). A l'emplacement du bâtiment ouest détruit après 1810 construction d'une orangerie, qui abrite aujourd'hui un haras, et de communs en meulière et pan de bois; entre 1923 et 1929 il appartient au grand duc Nicolas de Russie qui fait construire dans le parc une petite chapelle orthodoxe (sans décor). L'édifice, de plan symétrique, est composé d'un sous-sol, d'un étage carré et étage de comble. Le gros œuvre: enduit, meulière et pan de bois. Elévation ordonnancée surmontée d'un toit à longs pans ; toit en pavillon et croupe. http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-val-marne-chateau-a-santeny-chateau-choigny.html] Malheureusement nous n’en verrons pas plus. Remontons la vallée encore verdoyante (un trottoir bitumé que l’on ne voit pas sur la carte Google Map de 2018. Heureusement que la route à été refaite pour nous piéton ou cycliste d’après les images en 2018, il n’y avait pas de place pour nous.) Traversons un bois, nous arrivons devant une patte d’oie, prenons à droite la direction Servon. ( A ce carrefour je vois sur la gauche derrière une barrière le chemin de Villemenon qui débouche sur la route.) Nous redescendons dans la vallée par la route de Villemon longeons une maison en meulière et sur la gauche le mur du château de Villemenon [Villemenon existe comme terre et fief depuis le 13e  siècle, avec un premier château médiéval et un grand parc traversé  par le Réveillon ;  Louis  XIII y fut reçu à déjeuner -  il changea souvent de propriétaire, les droits seigneriaux de l’ancien régime suivant la propriété.  Au 17e S, François de Verthamon  fut mécène pour l’église mais se querella fort avec le comte de Lyonne ( l'autre seigneurie) et l’archevêque de Paris ;  on note comme péripéties l’effacement des titres de seigneur sur des pierres tombales  - regravées ensuite, et une histoire de sépulture d’enfant refusée avec bagarre dans l’église.. au final Verthamon perdit ses procès.  Plus tard, saisi comme « bien national » et vendu à la Révolution, l’ancien château fut démoli vers 1840. L’actuel  est construit vers 1860 dans le style renaissance ; dans le salon des vitraux retracent l’ histoire  du fief. sa dernière propriétaire etait madame Hélène Martini, décédée en 2017 sans héritier ; le château, possédé par une SCI dont on ne connait plus les porteurs de parts (une fondation animalière, ou un fonds suisse ? ) sera sans doute vendu, ainsi que son étonnant mobilier créé par le décorateur et joailler Erté : meubles incrustés de coquillages, ou faits de nacre ou corne.
l'étonnante madame Martini. Née en 1924 en Pologne, de parents français et russe, Helène de Creyssac émigre à Paris après la  guerre. En 1945, elle est mannequin aux Folies Bergère. Elle rencontre et épouse en 1955  Nachat Martini, d’origine syrienne ; ils investissent dans des cabarets à Pigalle et achètent Villemenon. Après la mort en 1960 de Nachat d’une crise cardiaque à Servon, Helène consolidera son empire en acquérant d’autres lieux de spectacle parisiens – Bouffes parisiens, Mogador, Comédie de Paris, Folies Bergère, Raspoutine et autres cabarets. Elle est surnommée la « reine de la nuit parisienne ». Après plusieurs décennies elle revend les établissements et leurs matériels et costumes.

Le château de Villemenon et son appartement parisien sont dotés d’un mobilier très particulier :  Décédée à 93 ans, sans enfant, elle aurait légué ses biens à une fondation animalière (information non confirmée) ; aussi la vente est probable… L’entrée du château, décorée différemment, est visible dans le film «  Monsieur » avec Jean Gabin sorti en 1964. https://histoireservon.fr/actualites.html

Extraie du Parisien : Le château est démantelé par petit bout. Le portail et surtout la cheminée Renaissance du château de Villemenon. Mais qui pourrait placer une telle cheminée dans son salon? ; 4,20 m de haut, 3,55 de large, et des décorations si merveilleuses et élégantes qu'on voudrait les admirer encore et encore. L'exceptionnelle cheminée Renaissance qui orne le château de Villemenon, à Servon, sera mise en vente aux enchères, chez Drouot à Paris. En pierre calcaire finement sculptée et moulurée, dotée d'une corniche à oves et denticules, d'un manteau à deux panneaux en bas-relief représentant une chasse au lion et un choc de cavalerie dans des encadrements d'angelots, elle affiche en lettres capitales « Il n'est qu'adresse de grand bien mérite ». Son acheteur viendra arracher ce trésor aux murs sur lesquels il a été installé à la construction du bâtiment vers 1865. Au grand regret du cercle historique de Servon qui craint que ce patrimoine, qui vécut au rythme des Princes de Condé et des dames de Saint-Cyr au château d'Arnay-le-Duc (Côte d'Or) jusqu'en 1864, ne s'envole à l'étranger. Extraie du parisien. Par Faustine Léo Le 5 novembre 2019 à 11h02, modifié le 5 novembre 2019 à 19h15. Vous trouverez dans l’article des photos du château. https://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/seine-et-marne-un-monument-de-la-renaissance-en-vente-chez-drouot-05-11-2019-8186568.php ]. De ce château nous ne verrons que la toiture du pigeonnier au crépi délabré, un portail atypique avec ses clous. Remontons vers Servon. Nous passons le Réveillon sans nous en rendre compte et entrons dans Servon. Nous arrivons devant un rond point et prenons la première sortie. Poursuivons notre grimpette par la rue de la République. Ce retour nous donne une autre vision de l’église. De ce coté on se rend bien compte que la sacristie est suspendue ou accroché sur le chevet de l’église. Il nous suffit de suivre la rue de la République, puis la rue Guerrin (notre itinéraire d’allé) pour retrouver notre parking.

 



Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; 

https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
 

Promenade - N–S& M ; Prom 42 Foret de Gretz Armainvilliers

Pour cette promenade nous avons trois départs. Gare d’Ozoir la Férrière. (Se rendre au départ d’Ozoir.) Lorsque vous arriverez au parking de la Barrière Noire, il suffira de revenir en début de page pour retrouver le point de départ.

Gare de Gretz Armainvilliers. Prendre la sortie Rue D’Alsace (sur la passerelle, il faut tourner le dos à la gare)

Parking de la maison forestière de la Barrière Noire, à la sortie de Gretz.

Gretz Armainvilliers ; desservie par le RER E (Paris • Haussman • Saint-Lazare • Tournan-en-Brie). C'est la dernière ville avant le terminus de la ligne.

La commune est desservie par deux axes majeurs :

  • la nationale 4 qui décrit un axe ouest-est, de Paris vers Nancy,
  • la départementale 471, sur un axe nord-sud, de Melun à Lagny-sur-Marne.

En venant de Paris par la N°4 prendre la sortie D 471 & 216 Gretz, Ozoir, Coubert au feu tricolore à gauche Ozoir, Gretz (centre). Passer le pont, poursuivre la D 471 direction A 4, Pontcarré, Ozoir. Après quelque km, nous trouvons un panneau annonçant la foret et la barrière noire, suivre Gretz centre. Passer une premier feu tricolore, le pont SNCF et au second feu prendre à droite D 350 Gretz centre. Passer une usine de traitement des déchets qui à subit un incendie en 2020. A près un virage nous trouvons un panneau d’information Barrière noire, environ 150m plus loin nous trouvons un parking à gauche et à droite de la route.

En Venant par ‘’l’Est’’  (Esternay- Sézanne) par la N4 prendre la Sortie D 471 & 216 Brie Comte Robert, Chevry-Cossigny , Ozoir, Gretz-Bois Vignolles (Attention dans la sortie ne pas prendre à droite Gretz ) poursuivre D 216 Ozoir, Brie.  Se diriger vers le pont. Au feu tricolore prendre à droite la D 471 direction A 4, Pontcarré, ozoir. On trouve une information ‘’foret d’Armainvilliers, aire de la Barrière noire 3 km suivre Gretz Armainvilliers. Passer le premier feu, puis le pont au dessus de la ligne SNCF, avant le second feu prendre Gretz centre D 350. Passer une usine qui à brûler et en cours de rénovation. Traverser la foret jusqu’au parking se trouvant à droite et à gauche de la route.

De Melun ; Ce rendre au carrefour situé dans le haut de Melun, coté Rubelles, direction Meaux, Coulommiers et château de Vaux le vicomte. A ce grand rond point vous abandonnez ses direction quittez la 636 pour prendre la D 471 Gretz, Tournan. Au rond point suivant toujours la 471 direction Soignollles. Passer l’autoroute A 4. Poursuivre direction Gretz-Tournan-Soignolles. Au feu tricolore poursuivre Gretz-Tournan, Soignolles, Lissy. Traverser Lissy. Au rond point prendre sur la gauche Marne la Vallée, Gretz-Tournant, Coubert. Prendre la troisième sortie sur la droite A 4, Marne la Vallée, coubert, Gretz-Tournan, Grisy Suines. Au rond point suivant prendre la seconde Gretz-Tournan. Passons sous la ligne TGV nous entrons dans la foret d’Armainvilliers (attention à votre vitesse sur cette route toute droite…) nous trouvons ‘’enfin’’ un panneau d’information Gretz Armaivilliers foret d’Armainvilliers, aire de la barrière Noire 3,5 km. Au premier feu ne pas prendre Gretz centre poursuivre A 4 Pontcarré-Ozoire passer le pont au dessus de la N 4 au second feu toujours tout droit. On trouve une nouvelle information ‘’foret d’Armainvilliers, aire de la Barrière noire 3 km suivre Gretz Armainvilliers. Passer le premier feu, puis le pont au dessus de la ligne SNCF, avant le second feu prendre Gretz centre D 350. Passer une usine qui à brûler et en cours de rénovation. Traverser la foret jusqu’au parking se trouvant à droite et à gauche de la route.

  Carte IGN       Trace GPS & Topo sans Commentaires      Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346067

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Km    temps     arrêt      V/d     V/g      Dénivelé

27       4h40      0h15       5,8    5,5        65 m

À la découverte de Gretz-Armainvilliers et de son histoire.

Sous l’ancien régime, une grande partie de la Seine-et-Marne forme une région réputée pour la richesse et l’importance de ses moissons. Il s’agit, bien entendu, de la Brie, surnommée, à l’époque, le grenier de Paris. Le village de Gretz existait déjà au IXe siècle comme un hameau dépendant de la paroisse de Tournan. En 820, appelé Graium, son nom changea au cours des siècles : Gres (1182), Grez (1209), Gressium (1280), Gres en Brie (1289).
On peut supposer que le nom de Gresum, qui désignait un terrain rocailleux à l’époque gallo-romaine, est à l’origine du nom de notre commune.
Le premier maître des lieux fut le Sieur Jehan de Grez.
Le nom d’Armainvilliers proviendrait plutôt d’Hermainvilliers qui signifie la Villa de Hermann et cela remonterait aux alentours du début du XIIe siècle.

On peut affirmer avec certitude que Gretz et Armainvilliers étaient deux fiefs différents avant le XIVe, car ils ne figuraient pas ensemble dans les titres nobiliaires. Un des seigneurs du domaine d’Armainvilliers fut Pierre de Beringhen 1er valet du Roi Henri IV. Son fils, Henri de Beringhen, acheta par la suite le Grand Mesnil et fut anobli en décembre 1610 en devenant le Seigneur d’Armainvilliers. C'est lui qui construisit le premier château d’Armainvilliers.

Le domaine d'Armainvilliers et la famille Rothschild.
Ce château était, à l'époque, composé de bâtiments élevés à la française, c’est-à-dire, en pierre de grès, couverts d’ardoises, entourés de fossés pleins d’eau et de deux pavillons sur lesquels on entre par un pont-levis. Il appartint à plusieurs générations de la famille Beringhen avant que Louis XV devienne brièvement propriétaire de ces terres. Plus tard, le Duc de La Rochefoucault céda le domaine à la famille Rothschild.
En 1877, Edmond de Rothschild fit raser le château historique pour bâtir l’actuelle demeure en style anglo-normand. Un rail décroché de la gare de Gretz-Armainvilliers, située en face de sa grille d'honneur, parvenait jusqu’à son sous-sol. On assiste à la construction de deux îles dans l’étang pour permettre aux visiteurs d’effectuer quelques excursions en bateau à vapeur.

La famille Péreire.

Isaac et Émile Péreire ont acquis d’autres terres à Armainvilliers et sur la commune d'Ozoir-la-Ferrière. Comme la famille Rothschild, les frères Péreire revendiquèrent l’appellation de domaine d’Armainvilliers ce qui présenta, à l'époque, quelques difficultés pour les invités : certains, devant se rendre chez l’un, se présentaient chez l’autre ! Le château des frères Péreire, qui s’installèrent à Gretz-Armainvilliers en 1852, a malheureusement été détruit en 1950.

À la fin du XIXe siècle, la famille Péreire et le Baron de Rothschild, possédaient à eux deux, autour du petit village de Gretz presque tous les bois compris entre Mortcerf et les bords du Grand Morin, jusqu’à Émerainville et Lagny-sur-Marne. L’émulation entre les familles Péreire et Rothschild, pour ne pas dire la compétition, favorisa l’essor de Gretz-Armainvilliers.
La famille Péreire et le Baron de Rothschild furent les actionnaires principaux des compagnies de chemin de fer dont l'arrivée à Gretz-Armainvilliers, avec la création de la ligne Paris – Bâle fut le moteur du développement de la ville. Gretz a vu son essor grâce à l’arrivée du chemin de fer, dont les premiers travaux ont été effectués en mai 1855, lors de la construction de la ligne Paris–Mulhouse. En juillet 1859, à l’initiative de Monsieur Péreire, La Compagnie de l’Est entra en possession des terrains nécessaires à la construction d’une ligne entre Gretz-Armainvilliers et Mortcerf. Ce nouveau tracé fut inauguré le 2 février 1861.
Depuis ce temps, Gretz-Armainvilliers est une ville
ouvrière ferroviaire avec de nombreux cheminots qui sont restés attachés à notre commune.

Clément Ader.

Gretz-Armainvilliers est aussi le berceau de l’aviation. Dans le domaine de la famille Péreire, Clément Ader fit décoller Éole, le premier avion.

Pour ce projet onéreux, Clément Ader trouva en son ami Isaac Péreire son mécène. Le premier vol concluant eu lieu le 9 octobre 1890, à 16 h 05, dans les jardins du domaine. Un procès-verbal a été rédigé, mais non signé, attestant que « Le 9 octobre 1890, à 4 heures 5 minutes du soir, dans le parc du château de Madame Péreire, à Armainvilliers, près de Gretz, a eu lieu une expérience concluante de navigation aérienne. L’avion numéro 1, portant le nom d’Éole et monté par Monsieur Ader, son inventeur, a perdu Terre et s’est soutenu dans l’air, sur ses ailes, en rasant le sol sur une distance d’environ 50 mètres, avec la seule ressource de sa force motrice. L’aire de manœuvre ayant 200 mètres de longueur et 25 mètres de largeur, sur de la terre battue par un rouleau ».
Ce vol, réalisé devant plusieurs témoins, ne fut officialisé qu’au XXe siècle.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’armée allemande stationnait dans les châteaux de Gretz-Armainvilliers. Une infirmerie avait même été aménagée dans les sous-sols du domaine de Rothschild.
Le village fut, pendant cette période et grâce à sa gare de triage, une des plaques tournantes dans l’approvisionnement de l’est de la France.
Le 22 juin 1944, à 19 h 19 exactement, la gare et les trains furent mitraillés à plusieurs reprises par les groupes alliés. Ce jour-là, il suffira de quelques minutes pour endommager les voies, les machines stationnées le long des quais et les trains de munitions dans la gare de triage.
Ces bombardements nourris ont également
occasionné de graves dommages aux châteaux.

Gretz-Armainvilliers fut définitivement libérée le 26 août 1944. http://www.gretz-armainvilliers.fr/decouvrir_gretz.html

Une dernière chose au parking coté plan d’eau ne pas tenter de prendre la petite route en pensant couper le crochet de la D 350. La route est coupée au niveau de la ligne SNCF. L’électrification de la ligne à supprimé le pont et il n’a pas été reconstruit, et malheureusement il n’y a pas de tunnel.

 

Octobre 2020


 

La forêt d'Armainvilliers :
La forêt d’Armainvilliers a été à l’origine de l’installation des familles Rothschild et Péreire.
Cette forêt aux essences multiples est restée en grande partie préservée par tous ses propriétaires. À l'automne, les grandes étendues d'eau accueillent un grand nombre d'oiseaux migrateurs. http://www.gretz-armainvilliers.fr/decouvrir_gretz.html

Après avoir fait le tour de l’étang longeons la D 350 le long du parc du château d’Armainvilliers, puis la ligne SNCF, on a un semblant de sentier en bordure de la route, nous menant au trottoir.  Nous entrons dans Gretz, longeons le parking, nous arrivons à la fois à la gare et à la grille d’honneur du château d’Armainvilliers. Malheureusement on ne le verra pas. [Le château d'Armainvilliers est un fief très ancien, dont on trouve mention au XIIe siècle. Il s'étend aujourd'hui sur les communes de Tournan-en-Brie et de Gretz-Armainvilliers. Un château y est mentionné dès le XIVe siècle, qui donne refuge à François Ier en 1544 après la prise de Château-Thierry par Charles-Quint. À partir de cette époque, il devient la résidence des seigneurs de Tournan et de Gretz-Armainvilliers (les Beringhen aux XVIIe- XVIIIe siècles : Jacques-Louis de Beringhen (1651-1723), Premier écuyer du roi, est titré comte d'Armainvilliers en juin 1704).

Au XVIIe siècle, il appartient donc aux Beringhen, puis au comte d'Eu et au duc de Penthièvre, mais il est en partie détruit pendant la Révolution.

Il est acquis en 1808 par l'agent de change Claude Bailliot.

Les La Rochefoucauld-Doudeauville le restaurent sous le second Empire, y font remonter les boiseries du château de Bercy et aménager le parc. Sosthènes de La Rochefoucauld, 2e duc de Doudeauville, ancien aide-de-camp du roi Charles X, y décède en 1864.

Acquis en 1877 par Edmond de Rothschild, le château est complètement rasé et remplacé par une résidence moderne, complétée par de luxueux pavillons de gardes, des fermes en style normand, de vastes communs, une grande orangerie, sur le modèle anglais.

Pendant la Première Guerre mondiale, une infirmerie y est aménagée et, pendant la Seconde Guerre mondiale, il est occupé par des troupes allemandes.

Dans les années 1980, il a été acquis par Hassan II roi du Maroc, qui a réalisé des travaux très important de réhabilitation et a été revendu par son fils devenu le roi du Maroc Mohammed VI en 2008. Wikipédia]. Ce diriger vers la gare et prendre la passerelle traversant les voies sur la droite.

 

Départ gare d’Armainvillers.

Sortons du petit passage, nous débouchons dans la rue sans issu d’Alsace que nous prenons à droite, longeons les immeubles et le petit parking de la résidence. Nous devrions être sur un balisage jaune, mais il semble effacé. A l’extrémité de la rue nous entrons en foret par un petit chemin sur la gauche nous faisons esse gauche droite et prenons l’allée en stabilisé. Les poteaux d’informations sont pourris. Sur le chemin nous avons de beaux arbres, le chemin fait fourche, nous prenons à droite. Le chemin monte un peu, nous arrivons au carrefour ou se trouvait le pont permettant de rejoindre le 

parking de la Barrière Noire, prenons à gauche, et longeons un étang, (vous pouvez prendre le petit sentier longeant l’eau au plus prêt, il ressort sur le chemin en extrémité de ce dernier. A la patte d’oie nous prenons à droite, derrière le grillage nous découvrons le golf du parc Péreire [Émile Pereire (Jacob Rodrigue Émile) (3 décembre 1800 à Bordeaux - 5 janvier 1875 à Paris) et Isaac Pereire (Isaac Rodrigue) (25 novembre 1806 à Bordeaux - 12 juillet 1880 au château d'Armainvilliers) sont des entrepreneurs et hommes d'affaires français. Ils ont eu un rôle capital dans le « décollage industriel » de la France du Second Empire. Ils créérent et développèrent de nombreuses entreprises dans, notamment, la banque, l'immobilier, les chemins de fer, les transports maritimes et les assurances. Leur nom peut s'écrire soit Pereire, soit Péreire (suite sur wikipédia)]. Nous arrivons à une fourche, prenons à droite et à la rencontre sur notre gauche du chemin herbeux d’Espinosa, (parcelle 79), nous quittons la belle allée pour le prendre. Sur la carte nous sommes sur un PR sur le terrain il a été supprimé ou il manque cruellement d’entretien. Nous entamons un demi-cercle. Je n’ai pas trouvé le sentier traversant la parcelle. Nous débouchons sur un chemin formant Té et prenons à droite. Nous arrivons au carrefour de la Marsaudière sur la D 471. Traversons la Départementale, (attention ; route très circulante.) Longer la route sur la droite, environ cinquante mètres et prenons le premier chemin sur la gauche. C’est un beau chemin en stabilisé et à moitié bitumée. Longeons le domaine d’Armainvilliers, puis une prairie en creux ou un réservoir récupérant les eaux de ruissellement (à sec lors de mon passage). Poursuivons tout droit dans une bande de foret paysagée. Nous entrons dans Ozoir-La-Ferrière, par le chemin du plume vert, [Bien que l’on ne possède que peu de documents sur l’histoire de la ville avant le IXe siècle, des fouilles archéologiques ont permis d’établir que l’immense forêt sur laquelle est située la commune abritait autrefois des forges de fer : les "Ferrières". À une époque où on n’employait d’autre combustible que le bois, il n’est pas étonnant que le travail du fer ait pris une grande importance au sein de cette forêt proche de Paris. On note ainsi dans une monographie consacrée à la commune écrite en 1889 par l’instituteur E. Millard : "On retrouve dans le voisinage de l’Église, en creusant le sol, une grande quantité de scories de fer".

En 856, un acte d’échange précise que le lieu d’Ozoir est simplement appelé "Oratoire". Imbert, évêque de Paris, parlait dans une charte de l’an 1050, d’une église située "In Silva Ferrariensi". En ce temps, les bûcherons se réunissaient là pour l’office du dimanche. Cette chapelle, érigée sous le vocable de St Pierre, marqua l’emplacement d’une localité qui prit le nom de Horeor. La déformation de l’appellation d’origine nous amène à l’orthographe actuelle d’Ozoir-la-Ferrière. De Horeor en 1166 on passe à Oroir la Ferrière en 1312. La prononciation brioise tendant à effacer le R au profit du Z.

Au XIIIe, l’archevêque de Paris qui avait réuni à son archevêché l’abbaye de Saint-Maur, fit l’abandon de la forêt à ses hôtes en l’an 1238 à condition que ceux-ci la défrichent et qu’ils la mettent en culture. Plus tard, on trouve la trace d’une contestation entre le curé du lieu "Jean" et l’abbaye qui se conclura en 1241 par un accord ratifié par l’évêque de Paris, Guillaume d’Auvergne.

Au XIVe siècle, plusieurs propriétaires se partageaient les lieux, et le Roi lui-même en possédait 24 arpents. A son tour, Charles V les donna à l’abbaye de Saint-Maur en 1362 pour d’autres biens.

Évolutions importantes

Au XVIIe, Hardoin de Beaumont de Péréfixe, membre de l’Académie, nommé archevêque de Paris en 1662, après avoir été précepteur de Louis XIV et évêque de Rodez, voulu procurer quelques avantages au village d’Ozoir-la-Ferrière dont il était devenu le seigneur en 1668. Il obtint des lettres du Roi qui accordaient à Ozoir la possibilité de tenir deux foires par an et un marché par semaine.

En 1759, la forêt devint la propriété du Roi Louis XV qui fit ouvrir les routes et allées de chasse qui existent encore. La principale était la route Royale reliant Versailles à la forêt de Crécy.

Ozoir et la Révolution

En 1789, les biens de l’archevêché situés sur le territoire de la commune étaient constitués de 730 arpents de bois. Ils furent mis à la disposition de l’État et vendus comme biens nationaux en vertu des décrets de l’Assemblée Constituante du 13 mai et 16 juillet 1790. Les officiers municipaux élus à cette époque prirent alors le nom de Maire, de Procureur de la commune et de Secrétaire greffier. Ils eurent à régler beaucoup de différents.

 

Le 22 janvier 1790, à la demande des administrateurs du département, la commune constitue une liste des mendiants résidant alentours afin de réduire leur nombre et d’améliorer leur sort en créant des activités de cantonniers et de filage pour les jeunes filles pauvres.

Au mois de juillet 1792, lorsque l’Assemblée proclame la Patrie en Danger, Ozoir fournit son contingent de volontaires "brûlant du désir de venger la Patrie contre les tyrans qui veulent l’opprimer". À la même période la ville ouvre des ateliers de fabrication de salpêtre destinés à la confection de poudre à fusil et de piques.

Le XIXe siècle

L’Empire se conclura en 1814 et 1815, par l’occupation d’Ozoir-la-Ferrière par les Russes auxquels on attribue de nombreuses exactions. Le cinquième du montant des contributions personnelles de l’arrondissement de Melun fut même réquisitionné pour fournir à l’artillerie russe des fers à cheval, des clous et de la graisse.

En 1832 une épidémie de choléra ravage la population de juin à août. Sur environ 700 habitants, 49 décès sont déplorés. En 1836 l’agrandissement du lavoir public devenu insuffisant occasionne l’acquisition d’un terrain par la commune pour la somme de 500 F. Le 8 juin 1839, c’est un orage de grêle épouvantable qui occasionnera de nombreux dégâts sur les récoltes dont la destruction des jardins et arbres fruitiers, au point d’entraîner la ruine de quelques fermiers qui ont dû abandonner leur ferme. En 1846 la commune se dote d’une Mairie-École, l’actuelle Maison Commune située à côté de l’Église, les locaux de la Mairie étant à l’étage et la salle de classe au rez-de-chaussée. En 1867, le clocher de l’église est équipé d’une horloge qui coûtera 1500 F à la commune.

1870/1871 fut une période noire pour Ozoir qui subit l’occupation du deuxième régiment d’artillerie prussienne, les troupes allemandes Wurtembergeoises. La ville n’a pas subit de combats. Pourtant ce ne sont pas moins de 4000 hommes qui investirent la localité le jour de la bataille de Champigny.

Les temps modernes

Les combats de 1914-18 n’ayant pas atteint la région d’Ozoir-la-Ferrière, la forêt n’eut pas à souffrir de la Première Guerre Mondiale.

L’occupation allemande au cours de la Seconde Guerre Mondiale, occasionna la disparition des plus beaux arbres de la région et notamment les chênes qui servirent à la construction de divers ouvrages. Après ces années de guerre, les châtelains récupérèrent leurs biens en fort mauvais état. A tel point que le château de la Chauvennerie dut même être rasé. Le magnifique château de "La Chauvennerie" se trouvait sur la route menant d’Ozoir à Chevry-Cossigny. Il était entouré d’environ 120 ha de terre et de forêts permettant de se livrer à la chasse. Il fut détruit par son propriétaire en 1946, les pierres ayant probablement servi à la reconstruction de l’église de Tournan. Une partie des communs existe encore aujourd’hui.

Évolution de la ville

De 1870 à 1900, seule la partie centrale du village connut une évolution d’une trentaine de maisons entre la Ferme des Agneaux et celle de la Doutre. Une deuxième Mairie-École (garçons & filles) voit le jour en 1899, l’actuelle école Arluison. Entre 1900 et 1926, 27 maisons seront encore construites autour du centre mais le réel développement de la localité commence en 1927 avec les lotissements de l’Archevêché et de la Doutre (2600 lots). Suit une nouvelle urbanisation en 1956 avec des logements HLM et 598 pavillons en 1968 dans le quartier de la Brèche aux loups. Le quartier Notre-Dame se dote aussi de 610 pavillons en 1972 et depuis la ville n’a cessé de s’agrandir jusqu’à atteindre ses limites de constructibilité aujourd’hui. http://www.mairie-ozoir-la-ferriere.fr/Ozoir-toute-une-histoire ] Nous débouchons sur l’avenue du Général De Gaulle que nous prenons à gauche. Passons l’espace vert et la Mairie, au rond point nous poursuivons tout droit et arrivons sur la petite place de l’église ["En 856, un acte d’échange précise que le lieu d’Ozoir est simplement appelé "Oratoire". Imbert, évêque de Paris, parlait dans une charte de l’an 1050, d’une église située "In Silva Ferrariensi". En ce temps, les bûcherons se réunissaient là pour l’office du dimanche. Cette chapelle, érigée sous le vocable de Saint-Pierre, marqua l’emplacement d’une localité qui prit le nom de Horeor. La déformation de l’appellation d’origine nous amène à l’orthographe actuelle d’Ozoir-la-Ferrière. De Horeor en 1166 on passe à Oroir la Ferrière en 1312. Façade percée d'un portail en plein cintre à tympan trilobé et voussures, surmonté d'une baie circulaire. Pignon couronné d'une croix en pierre.

Tour-clocher latérale, à la place de la première travée du bas-côté sud, cantonnée par quatre contreforts, percée à l'ouest d'un portail en plein cintre, de deux oculi et de baies en plein cintre pourvues d'abat-sons, surmontée d'un toit en pavillon. 

Murs de la nef épaulés par des contreforts et percés par des baies en plein cintre.
Chevet plat percé de baies en plein cintre couvert d'une toiture en double-pente.

Pourtour des baies et angles des contreforts en pierre. Le reste en enduit. " (@ville d'Ozoir-la-Ferrière), https://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/77-Seine-et-Marne/77350-Ozoir-la-Ferriere/169031-EgliseSaint-Pierre]. Poursuivons la rue en traversant le parking, jusqu’au petit parc, franchissons la grille, entrons dans le parc jusqu’au ru de la ménagerie [principal affluent du Réveillon. Sa longueur est de 10,99 km. Le "Ru" prend sa source à Favières, puis fixe la limite communale entre Lésigny et Férolles-Attilly avant de se jeter dans le Réveillon au niveau de la commune de Férolles-attilly. Sa confluence s'effectue au niveau de l'ancienne abbaye d'Hyvernau, actuel hôtel du golf du Réveillon.

Ce cours d'eau fut souvent confronté à des problèmes de pollution, principalement en raison de rejets effectués dans la zone industrielle d'Ozoir qui se trouve à proximité de la source. Le problème de rejets des zones pavillonaires fut réglé dans les années 1970 avec l'installation de petites stations d'épuration. Deux étangs furent aménagés sur le cours du Ru de la Ménagerie à Lésigny dans les années 1980. Ils permettent la pratique de la pêche. Wikipédia] Remontons son cours sur la droite, nous sommes sur le GR 14. Nous sortons du parc, traversons la rue du Lavoir, prenons la petite allée traversant l’espace vert, elle fait fourche prenons à gauche, nous débouchons rue de Braque, prenons à gauche, Curieux, je prends la route de Roissy sur quelques mètres, jusqu’à la maison en ruine avec sa tour. Revenons sur nos pas et prenons la rue de Lesigny (GR). Au rond point avec un kiosque nous poursuivons légèrement à droite la Rue de Lésigny (seconde rue). Au second rond point, nous prenons la seconde rue (Mellerio), la rue fait tout de suite fourche prenons à gauche, (rue en sens interdit en 2020) nous sommes toujours sur le GR, au troisième rond point nous prenons à droite (première rue) l’avenue de la clairière. Au rond point composé de plots en plastique blanc (plus nous approchons de la gare et moins les ronds points sont jolies) nous prenons la première rue (avenue Anatole France) sur la droite. Au carrefour sans rond point, nous prenons à droite la rue du Rond Buisson, passons le ru de la Ménagerie sans le voir et aux immeubles prendre tout de suite la rue de gauche se dirigeant vers le parking de la gare. Se diriger vers le fond de celui-ci prendre sur la droite la dernière allée et sur la gauche dans le virage du parking vous trouverez une allée cimentée entre des grillages donnant accès au pont passant sous la ligne SNCF (Attention c’est le seul passage).

Départ Ozoir : Sortir de la gare. Sur le parvis prendre à droite, le petit passage menant au parking, entre une pharmacie et un commerce, rester sur la droite longeant les voies. On trouvera le passage dans le virage du parking sur la droite.

Nous sommes toujours sur le GR et un balisage vert. Tout de suite après le pont nous quittons le GR et le vert, pour prendre tout de suite à gauche, le pont passant au dessus du ru de la Ménagerie, nous faisons un esse. Le chemin fait tout de suite fourche, prenons à droite (ne pas suivre la ligne SNCF), balisage jaune. Nous sommes dans la parcelle 51. Nous débouchons sur l’allée de la mare du cygne que nous prenons à droite (parcelles 38-37-50). Au carrefour suivant, nous retrouvons le GR 14 et le balisage vert que nous prenons à gauche (parcelles 37-36) route en stabilisée des Charbonniers (parcelles 36-37-49-50). Au carrefour du sanglier (parcelles18-19-36-37) nous quittons le GR et prenons sur la gauche la Route Royale (route en stabilisée, bordée de fossés). Nous arrivons au carrefour de la Mare à la Chaise (parcelles38-20-23) nous prenons la deuxième route sur la droite formant un angle droit avec la notre, le long des parcelles 22-23. Nous serions sur une vielle trace de GR barrée. Nous arrivons au carrefour de Diane, traversons la D 35, prenons sur une dizaine de mètres la route bitumée menant à une usine et prenons le premier chemin sur la droite (parcelle 226-224) passons la barrière. Coupons la D 21 prenons en face la route du château de Croissy (parcelles 248-223) chemin en stabilisé calcaire, ne pas s’endormir en voyant au loin, le grand carrefour en étoile avec son poteau en fonte, nous prenons le petit chemin de la route des Jondelles sur la gauche entre les Parcelles 247-248. Au vue de la zone pavillonnaire, nous prenons à droite, entre les parcelles 260 & 247 un petit chemin traversant les deux parcelles. Nous débouchons sur la route des Princes et faisons un esse gauche-droite pour prendre un sentier entre les parcelles 259-246, nous coupons le Morbras (un fosé pour moi) et une route faisons un petit esse droite-gauche et poursuivons en parcelles 258 – 245, un petit sentier, voir plutôt une laie forestière empruntée par les animaux. Nous débouchons route de Roissy que nous prenons à gauche. Dans la parcelle 244 nous trouvons une clairière et un chemin permettant d’accéder grâce à un petit pont à la Mare du Cormier [Le Cormier ou Sorbier domestique (Sorbus domestica L.) est un arbre de la famille des Rosacées. Il donne des fruits appelés « cormes » ressemblant à des petites poires, d'où leur surnom de poirillons. Il fait partie des espèces testées en agrosylviculture en France, dans des champs ou vignes. Au Canada, l'espèce appelée cormier est le sorbier d'Amérique, espèce voisine. Il est souvent confondu avec le sorbier des oiseleurs. Wikipédia] Dommage dans le centre de cette îlot il y avait une belle table en bois. Pourrie elle est renversée au sol. Elle est remplacée par une table en plastique amenée certainement par un promeneur du ‘’dimanche’’. Il est dommage que dans cette foret péri urbaine ayant survécue au rouleau compresseur des zones pavillonnaires, resté là, uniquement pour l’accueil du public, il n’y est pas plus d’aménagements. Simplement le nom des routes se trouvant en dehors des grands carrefours en étoile. Poumon vert de l’Est parisien tourné et aménagé pour que les résidents tassés dans leur pavillons à touches -touches, puissent décompresser le dimanche après midi dans un peu de verdure. (J’ai habité durant 25 ans dans une zone pavillonnaire de ce type. J’y étais très bien en semaine, peu de bruit, bien isolé, ce qui permettait de bien dormir et d’être en forme le lendemain pour le boulot. Le petit jardin était entretenu en début de soirée (je partais travailler, de bonne heure, et rentrait pas trop tard. Mais les week-ends l’été surtout, s’était le calvaire… Manger dehors était devenu difficile sans jouer les voyeurs. Le grillage ne comportait pas de haie, ou d’écouter les conversations des voisins qui parlaient normalement.  Ma façade ne faisant que dix ou douze mètres de large. Il était important pour moi de me rendre à Fontainebleau ou lorsque c’était impossible en foret de Sénart. Je ne me plein pas, je faisais partie des privilégiés. On n’habitait pas aux 25 ème étages d’une barre d’immeuble, face à une barre d’immeuble. Lorsque nous avions achetés l’agence nous avait dit une petite zone pavillonnaire proche du vieux village, avec commerces, des écoles, une résidence pour cadres et fonctionnaires… sous entendu que des gens bien… aujourd’hui je pense que l’on ne pourrait plus dire cela. C’est vrai que nous avons été tranquilles. Autour il y avait encore des champs qui au furent et à mesure que les années passèrent se sont rempli de maisons, ou de zones industrielles. Ce poumon vert qu’était la foret de Sénart, proche de cette ville nouvelle était indispensable, pour mon équilibre. Je sentais bien que derrière, je ne retrouvais pas ce que je croyais être une foret ‘’sauvage’’ la foret de Fontainebleau. Toutes ses forets périurbaine mon toujours fait pensé au bois de Vincennes et au Bois de Boulogne construit et aménagés par le baron Hausmann, lors de la rénovation de Paris. Je sais bien que la foret de Fontainebleau fut construite par les Roi, pour des Rois. A Fontainebleau ce n’ai pas la beauté des arbres, grands, beaux, majestueux que je recherche, Fontainebleau c’est bien plus. C’est une variété de paysage, une grande variété d’arbres, certain très beau, d’autres très moches pour un forestier, mais très beau par sa bizarrerie. Fourchu, des branches tortueuses, des racines entourant des rochers, ou sur des rochers, ayant puisées toute leur forces à rechercher la nourriture, et les rares gouttes d’eau dans les profondeurs de ses soixante mètres de sable. Sa souffrance est une beauté. Ses plaines, naturelles, ou artificielles (ancien champs de tir) parfois arborées, ses chaos de rochers, les petits sentiers me faisaient penser à une foret sauvage. Ce que l’on ne retrouve pas dans d’autres forets, ou tous les arbres sont magnifiquement haut et beaux, ou le terrain est plat, ou je m’ennuie… Poursuivons le petit sentier sur la droite en ressortant du pont, nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite. Nous sommes sur le GR 14 accès. Recoupons la route de Croissy, poursuivons dans la parcelle 243, coupons un chemin, et dans la parcelle 218 nous trouvons un carrefour, prenons à droite, un petit sentier bordé de fossés. Longeons une mare, coupons un fossé certainement un ancien ru par un pont de bois complètement délabré. Il vaut mieux passer dans le fossé qui est sec. Recoupons la route de Roissy faisons un esse droite-gauche et poursuivons le GR dans la parcelle 219, regarder le tronc sur la gauche il est sculpté. Totem tombé ? Ou sculpture volontairement couchée ? On la voit mal. Notre chemin fait fourche, nous prenons à gauche, et sommes toujours sur le GR 14 accès. Coupons une route sableuse et poursuivons ce petit sentier très boueux bordé de fossés. Par un petit pont passons un ru, débouchons sur un chemin en stabilisé formant Té que nous prenons à gauche, le GR et un ancien balisage jaune effacé par de la peinture blanche. Nous arrivons au carrefour de la Ferrandière avec un beau poteau en fonte malheureusement en mauvais état, plaques indicatrices cassées, et comme les autres un peut rouillé. En bois je suis sur qu’il serait pourri. Attention à ce grand carrefour, nous avons également une intersection entre le GR 14 accès à une gare et le GR 14. Ne pas poursuivre les traces blanche et rouge en face, prenons le GR 14 et balisage jaune sur la droite, ‘’chemin de Braque’’, c’est une belle route en stabilisée. Nous longeons un hameau, coupons la D 21 (rue de la gare) poursuivons en face, (parcelles 202-179) jusqu’au carrefour des Plants avec un poteau en fonte. A ce carrefour, nous quittons le GR 14 pour prendre la route des princes en stabilisé calcaire sur la gauche (parcelles 179-158), nous sommes sur un balisage jaune. Nous longeons les quelques maisons en lisière de la foret coupons une rue sans issu poursuivons tout droit nous arrivons à une seconde rue (Grand Rue) mais se poursuivant après une butte de terre en piste cyclable. Une Rue Grande sans issu ? Je suppose que cette route ne se terminait pas en cul de sac. A une époque c’était certainement la D 471 reliant Melun à Torcy et traversant Pontcarré. Passons sous la D 471, nous sommes toujours sur un PR dont le balisage est parcimonieux. Au carrefour de la Parenterie (parcelles 136-141-142-147-148) nous poursuivons tout droit vers les (parcelles 142-136). Nous arrivons au carrefour Chenot avec un poteau en fonte et des informations sur la foret, [Mettre le photos ](parcelles 134-3-119-118-132-133), nous prenons à droite la route de la barrière Noire. Nous y retrouvons une branche du GR 14 accès que nous suivons (parcelles 134-3). Nous coupons la route neuve. Attention le GR 14 accès ce divise en deux, la branche de gauche se dirige vers la gare de Tournant. Poursuivons tout droit vers la gare de Gretz. C’est également un balisage vert. Peu de temps après, le GR prend sur la droite la route Mamelard. (Je n’ai pas suivi cet itinéraire mon idée était d’approcher l’étang d’Armainvilliers, j’espérais pouvoir en faire le tour (sans vraiment y croire). Je suis arrivée devant des fossés et un grillage très arboré ne me permettant pas en cette fin d’automne de voir l’étang, puis j’ai longé un haut mur, pour butter dessus lors d’un changement de direction.  J’étais au milieu de la parcelle sans aucun chemin). Suivons le GR ou poursuivons tout droit. Longue route rectiligne ou au loin nous apercevons briller sous le soleil, les pares brises de voitures. Cet éclat ne grossit pas vite. Si vous avez suivi l’allée tout droit, et toute droite, vous arriverez directement au carrefour des étangs, ou, nous retrouvons le GR que nous prenons à gauche après un petit pont au dessus d’une buse pour l’écoulement de l’eau nous prenons à droite la route D’Amboise. Nous butons sur le mur du château d’Armainvilliers, faisons un virage d’équerre sur la droite et nous arrivons à notre parking.

Pour retrouver la gare d’Armainvilliers il faut suivre la départementale sur la gauche. Idem pour retrouver la Gare d’Ozoir.

Pour Ozoir : A la gare de Gretz soit prendre le train, mais ce ne serait pas très randonneur, ou poursuivre l’itinéraire en suivant l’itinéraire en début de page. 

 




Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html