vendredi 2 octobre 2020

Petite Promenade en Auvergne : Prom 103 Le rocher de l’Aigle.


 Le rocher de l’Aigle.

Une promenade réalisée l'hiver. Même l’hiver, je chausse mes après skies pour marcher sur des sentiers invisibles ou des pistes de raquettes. Il me semble que la trace est réalisable l'été. Cette fois ci, je suis à peut prêt sur de ma trace. Je viens de changer de téléphone, le mien ayant pris l’eau le dernier jour de mon périple, et j’ai un peut d’internet. Cela me permet avec ma tablette de tracer grossièrement une trace (pas facile d’être précis avec le doigt), d’enregistrer la carte et de reporter dans l’application pour téléphone son numéro. J’utilise quelques minutes internet, juste le temps que l’apli trouve la trace et l’affiche. Je copie les dalles IGN nécessaire à la rando et je peux suivre ma trace, grâce au GPS du téléphone, hors connexion.
L’année dernière j’avais fait une promenade autour du rocher de l’Aigle et au dernier moment, j’avais bifurqué, je n’avais pas gravi le rocher. En proposant la promenade sur internet je m’étais dit que j’avais peut être loupé quelque chose. Revenant à La Bourboule, j’ai voulus voir ce que j’avais loupé et agrémenter la promenade de deux cascades. Parfois il vaut mieux rester sur ses idées et son imagination.
Le départ se fait du parking du stade à la sortie de La Bourboule en direction du Mont Dore, avenue De Lattre de Tassigny D130. Longeons la Dordogne coté rive gauche. Juste avant le panneau de fin d’agglomération nous trouvons une patte d’oie, un petit parc et l’information Division Routière Départementale du Sancy, prendre cette direction (rue Fernand Forest). Le parking se trouve en bout de la rue. 

 
  carte IGN                                     Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps                              Le code mobile de cette randonnée est b322752

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Février 2019

  Km    Temps   Arrêt    V/d      V/g       Déni +       Déni –
  8        2h00      0h15     4,1       3,6        493

Redescendre la rue Fernand Forest à son extrémité prendre la départementale sur la gauche (Avenue Alsace Lorraine, puis à gauche la rue Desaix et encore à gauche la rue Henri Pourrat, on se dirige vers la Bughette. Laissons sur la droite la rue du Pré de la Hache ou du Prégnoux. Dans un virage en angle aigu sur la droite nous avons la direction du lieu dit La Bughette. Ne pas prendre cette rue qui monte, mais poursuivre tout droit vers Le Pregnoux et une vingtaine de mètre plus loin, juste après une bouche d’égout, nous trouvons sur la droite un sentier très encaissé gravissant le 
talus, on y trouve un reste de marches en rondin. Le chemin butte sur le mur de clôture des maisons de La Bughette, tourne sur la gauche en angle aigu et grimpe dans le bois jusqu’aux premières maisons de Pregnoux. Nous débouchons dans la rue haute desservant le village. Traversons le hameau, laissons une rue sur la gauche, puis une seconde, notre rue remonte sur la droite et de bitume nous retrouvons un chemin de terre. Nous grimpons dans la foret et arrivons à une intersection, nous sommes sur le PR du Sancy 
pancarte fond verte, un PR jaune et un rond jaune difficilement visible. Nous abandonnons le chemin balisé sur la carte IGN, pour prendre sur la gauche un chemin inexistant sur L’IGN mais présent sur Open Street, balisage jaune et rond jaune. Nous arrivons sur un nouveau carrefour que nous prenons à droite et retrouvons un balisage, nous poursuivons notre grimpette. Le chemin fait fourche le sommet du rocher de l’aigle se fait en prenant le chemin de droite, rond jaune, je poursuis donc à droite ma grimpette et arrive au sommet à 1231 mètres. Et 
déception. Je pensais voir quelque chose, nous sommes plus haut que sur le rocher de Vendeix, et l’on ne voit rien. Nous sommes en foret et les arbres sont bien trop haut et nous bouche le paysage. Je redescends de l’autre coté et retrouve le chemin principal. Nous descendons et avons un beau paysage entre les arbres, sur la chaine des monts que je pense être le Puys dé Monne, Barbier, de l’Angle. Nous sortons de la foret, longeons des propriétés isolées, poursuivons de descendre, sur la gauche nous avons une vue sur la Banne d’Ordanche, et le Puy Gros.  Nous arrivons dans une prairie, la route sur la droite (sur un poteau 
électrique nous avons un rond et un trait jaune, nous longeons une clôture. Nous arrivons à une intersection avec des informations. (Face à nous le Mont Dore est à 7km, La Stele à 4km, et Chamablanc à 0,5 km. De l’autre coté La Bourboule est à 4km et Platoune à 1,4 km.) Nous prenons à gauche poursuivons par La Bourboule 4km, le Mont Dore 6km, Gibeaudet 0,9km, nous avons l’impression de revenir sur nos pas. Longeons l’orée du bois et après une prairie nous entrons dans la foret, laissons une construction sur la droite. Nous arrivons à une intersection, nous 
prenons à droite,flèche jaune et VTT 18-23 (laissons le triangle barré sur la gauche.) très beau cépé de hêtres sur la droite nous sommes dans la parcelle 12C et le triangle noir N°5, on descend assez fortement.
Le chemin fait fourche, on quitte les VTT et prenons sur la droite nous continuons de descendre en serpentant dans les sapins. J’ai voulu suivre le balisage et des traces de pas inscrits dans la neige. Je me suis un peut perdu sur les pentes boisée de la montagne. Bloqué par une clôture, absence de marques et sentier recouvert de 
neige, je regagne ma trace en suivant mon GPS. J’ai du, mal définir ce que voulait indiquer cette balise. Enfin, je retrouve le chemin parcelle 11 que je n’aurais jamais du quitter. Nous prenons à gauche dans la parcelle 14 E, puis suivons le triangle Noir N°5 parcelle 12 De passons une bâtisse, on entame un large virage et descendons vers le ruisseau de Cliergue. De nouveau nous avons des intersections. Avant le ruisseau nous sommes à la rencontre de deux sentiers laissons sur la gauche le VTT marron 18-19.Traversons le ruisseau par un petit pont de bois et derrière nous avons une intersection avec des informations prenons la direction du VTT 23, Murat le Quaire 5km, La Bourboule 3,5 km et Pré du pont 0,1km, sur la gauche et descendons le 
long de la rivière. Puis nous nous éloignons tout en descendant et arrivons à une fourche ou nous trouvons des panneaux d’informations sur la droite Le Mont Dore à 9 km, et 4 km (suivant que l’on se dirige vers la station ou la ville) Plat du chien à 0,8 km et sur la gauche La Bourboule à 3,5 km et Murat le Quaire à 5 km, et le Plat de la Barbe à 0,5 km, nous prenons à gauche. Nous avons abandonné les vététistes et le balisage. Nous passons un chemin isolé, et nous trouvons des informations sur la droite Le Mont Dore à 3,5 km, le Salon du Capucin en 3,8 km et Rigolet Bas à 800m, nous prenons à gauche Murat le Quaire à 4,5 km La Bourboule à 3 km et zone artisanale à 0,5 km. Le chemin s’enfonce entre deux talus bordés de très vieux châtaigniers. Je pensais 
rejoindre la cascade, mais le chemin sur la carte est derrière une clôture, je n’ai pas pu le prendre. Il faut peut être partir de plus haut, mais il n’y a pas de chemin. Je poursuis ma descende et arrive dans la zone industrielle Des Vernières. De chemin nous passons à rue bitumée desservant les petites bâtisses des entrepreneurs. Laissons la rue de droite menant au rond point, poursuivons tout droit et nous trouvons un chemin remontants sur la gauche, il fait fourche, ne pas prendre le chemin de gauche il est privé et mène à des propriétés. Nous passons de nouveau le ruisseau et grimpons dans la foret en suivant un balisage jaune, et un VTT rouge barré, par un chemin qui à la fonte des neiges et après plusieurs heures ou jours de pluie doit se transformer lui aussi en ruisseau. On longe 
un ruisseau qui doit être à sec l’été. Bois, prairie se succèdent, on coupe le ruisseau à gué et avec la fonte des neige, je patauge dans l’eau froide. De l’autre coté je me rends compte qu’il y avait un sentier qui passait au sec par la prairie. le chemin fait patte d’Oie nous prenons à droite nous longeons des clôtures, je retrouve un chemin avec des informations sur la gauche le Mont Dore 6 km, pont de Cliergue 1,2km, sur la droite La Bourboule 2,5 et Prégnoux 0,3 km, nous prenons à droite et débouchons au beau milieu du virage de la route menant à Pregnoux, nous prenons à droite, descendons la rue, retrouvons la rue Henri Pourra et nous prenons sur la droite la rue Desaix puis d’Alsace Lorraine et enfin Fernand Foret. Belle balade en foret tout de même.
 


 



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Petite Promenade en Auvergne Prom 102 Le Lac Guéry


Petite Promenade en Auvergne : Le Lac Guéry.

Une promenade réalisée l'hiver. Même l’hiver, je chausse mes après skie pour marcher sur des sentiers invisibles ou des pistes de raquettes. Mais surtout marcher à l'aventure. Il me semble que la trace est réalisable l'été. Cette fois ci, je suis à peut prêt sur de ma trace. Je viens de changer de téléphone, le mien ayant pris l’eau le dernier jour de mon périple, et j’ai un peut d’internet. Cela me permet avec ma tablette de tracer grossièrement une trace (pas facile d’être précis avec le doigt), d’enregistrer la carte et de reporter dans l’application pour téléphone son numéro. J’utilise quelques minutes internet, juste le temps que l’apli trouve la trace et l’affiche. Je copie les dalles IGN nécessaire à la rando et je peux suivre ma trace, grâce au GPS du téléphone, hors connexion.
Le départ se fait entre Murat au parking du col Guéry sur la D 983.
 

 

Carte IGN                                       Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps                           Le code mobile de cette randonnée est b322751

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Février 2019
  
 Km    Temps   Arrêt    V/d      V/g       Déni +       Déni –
   9        2h00       30         4,5      3,6        271         

Du bout du parking nous avons une vue sur les Roches Tuilière et Sanatoire.
Cette fois ci je vais en voiture jusqu’au lac comme ceci je suis sur de le voir. A la sortie du parking nous trouvons le GR 30 que nous suivons dans sa descente vers le lac. Nous traversons le bois. Faisons attention aux faut sentiers. Le chemin fait fourche nous prenons le GR 30 et le balisage vert sur la droite, puis encore à droite, nous traversons sur de petits ponts de bois ce qui l’été doit être une tourbière. Nous apercevons le lac en contrebas. Nous arrivons à une fourche prenons à droite, et longeons les 
rives du lac. [lac de montagne d’origine volcanique situé dans les Monts Dore, au cœur du Massif central. C'est le plus haut des lacs d'Auvergne. Le lac de Guéry résulte de l'obstruction de deux cours d'eau par une coulée de lave il y a deux millions d'années. Il s'est créé à la suite de l'érosion par surcreusement glaciaire. Situé à une altitude de 1 244 m, ce lac de 25 hectares est dû à une coulée de lave qui a barré le cours d'un torrent venu du Puy Gros. Il est de forme presque parfaitement ovale, et peu profond puisque sa profondeur maximum est de 16 m. Le lac est complètement gelé en hiver, mais la pêche y est possible début mars, en creusant un trou dans la glace. La pratique de cette technique est unique en France. La glace doit atteindre au minimum 15 cm d'épaisseur, afin de s'y aventurer en sécurité. La pêche y est ouverte de début mars au 15 novembre. On peut pêcher des truites arc-en-ciel, des truites fario, des saumons de fontaine, des ombles chevalier, des perches, des brochets 
et des carpes. Wikipédia] Nous débouchons sur un chemin formant Té laissons un chemin local partir sur la droite et prenons à gauche le GR et un PR balisage vert – bleu et le chemin du renard. Nous avons de très belles vues sur le lac ‘’gelé’’ et la montagne derrière. Le chemin fait fourche nous prenons à gauche passons le ruisseau des Mortes de Guéry, sur une passerelle, nous sommes sur le GR et le balisage vert. [Si l’on remonte une centaine de mètres sur la droite nous pouvons faire un aller-retour à la cascade (chose que je n’avais pas prévu dans cette promenade voici une photo. http://www.paysdauvergne.fr/wp-content/uploads/2015/11/Cascade-du-Guery-3.jpg ] Nous grimpons un peut dans le bois pour redescendre en bordure de l’eau après un virage sur la gauche. Poursuivons le GR, nous 
entrons dans un bois (parcelle 14) Longeons la berge par la droite et arrivons à la route d’accès du restaurant du lac. Suivons le GR sur la droite longeant l’orée de la foret et menant certainement à la ferme de Guéry, traversons la prairie puis la foret Domaniale de Guéry. A la sortie du bois le GR ne rentre pas dans les prairies, il longe sur la droite une clôture et la lisière du bois. Cela grimpe bien, nous sortons de la foret et poursuivons le sentier dans la prairie, je me retrouve dans la même plaine que lorsque j’ai fait le tour du Puy Gros, la vue est toujours aussi fascinante. Nous trouvons les monts Chantauzet et Puy may le plus 
proche de nous et nous barrant la vue le Puy Gros et la Banne D’Ordanche. Sur la carte Open Street le chemin fait fourche avec un autre sur la gauche poursuivons le GR tout droit, de Nouveau le chemin fait fourche, nous abandonnons le GR partant un peut sur la gauche et prenons sur la droite un chemin longeant une clôture. (Je ne suis pas certain que ma trace soit exacte sur le chemin, ce dernier étant utilisé par une piste de skie de fond. Je longe la piste dans la neige vierge pour ne pas abîmer cette dernière par l’emprunte de mes pas. C’est magnifique. Je quitte ma piste pour rejoindre un bois, c’est peut être ici que l’été la trace d’hiver n’est plus possible je suis dans un champ de neige avec deux pistes de skie et la dameuse en action, trace un raccourcie. Je modifie ma trace afin que cette promenade soit réalisable l’été. Je 
poursuis le chemin retraverse le ruisseau des Mortes de Guéry le chemin devient route et entame un large virage sur la droite. Nous longeons la lisière d’un bois, débouchons sur un chemin formant Té que je prends à gauche, puis au second chemin formant Té nous prenons à droite et retrouvons des balises. Abandonnons cette belle route pour prendre sur la gauche le sentier découverte (balisage …) Nous grimpons légèrement et débouchons sur un plateau dénudé tout autour de nous les sommets se dessinent, nous longeons la cassure du plateau. Le sentier découverte 
descend brusquement sur la droite, l’hiver ce n’est pas possible il y a un filet nous faisons un grand détour jusqu’à ce le plateau descende légèrement pour rejoindre un chemin. (J’ai coupé cette portion de ma trace.) Entrons dans le bois et coupons un chemin nous descendons par un chemin balisé (Information raquette A-B-C rouge et vert les poteaux doivent rester en place l’été et nous sommes revenus sur le sentier découverte) serpentant dans la foret domaniale de Guéry. Par endroit nous apercevons les roches Tuilière et Sanatoir [Il n’en reste plus que la cheminée (Tuilière) et un morceau de 
cône (Sanadoire) séparés par une vallée en auge. Elles marquent la limite entre les Monts Dores et le massif de la Banne d’Ordanche et émergent dans le cirque du Chausse, au pied du col du Guéry. Elles bornent la vallée Fontsalade (en auge) et sont formées par deux culots de lave qui furent dégagés par le glacier qui occupait le cirque.
Les prismes réguliers, nés du lent refroidissement de la lave, se délitent en plaques minces et régulières, les lauzes. Elles furent longtemps exploitées pour couvrir les toits des maisons et des églises dans un large périmètre, donnant ainsi son nom à la roche Tuilière.

La roche Sanadoire, “roche sonnante”, car la phonolite résonne quand on la frappe, culmine à 1290 m. Elle a porté jusqu’au XVe siècle un château réputé imprenable. Il servit de repaire aux mercenaires (routiers), amenés par les anglais, qui ravagèrent la contrée pendant la guerre de Cent Ans. Un effondrement de la partie sommitale (certainement dû au tremblement de terre de 1477, qui secoua fortement la région et endommagea la Basilique d’Orcival), en a complètement effacé les traces. https://www.auvergnevolcansancy.com/villages/roches-tuiliere-sanadoire/] poursuivons notre sentier balisé en laissant les chemins de droite 
et de gauche. Le chemin fait un angle aigu sur la droite, nous longeons une ‘’pourvoirie*’’ Derrière une palissade de petits chalets disséminés dans la foret, sous la neige et au milieu de la foret nous avons l’impression d’être dans la belle province de Québec… Un peu plus loin le chenil et les chiens de traîneaux. Nous débouchons sur un chemin sur une route que nous prenons à gauche. Nous retrouvons la D 983 et notre parking sur la gauche.
* Une pourvoirie (originellement au Québec), (en anglais Outfitter), est une entreprise qui offre, en échange d'une rémunération, des services et des infrastructures à des fins récréatives en lien avec la pratique de la chasse, de la pêche ou encore de la trappe. Ces entreprises mettent souvent également à disposition un service d'hébergement, de location d'équipement et de guide. Par extension, le terme de pourvoirie est utilisé pour désigner le terrain occupé par l'établissement. wikipédia
Il est ou le lac ?
 



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Petite Promenade en Auvergne : Prom 101 - Autour de La Bourboule, le puy Gros

Le Puy Gros ; une promenade improvisée.

Février 2019. En 2020, je devais vous présenter la promenade ÉTÉ. Mais voilà en 2020, il y a très peu de neige, vous me direz ; cela a dut vous arranger pour la trace... Mais non nous avions promis à notre petite fille des cours de ski et un bonhomme de neige. Les cours de ski sont annulés coté Mont Dore, mais se poursuivent coté Besse en Chandesse (ils ont des canons à neige), alors tant pis pour l'emprunte carbone (canons à neige + trajets en voiture, faut que je fasse quelque chose pour la planète... pas des arbres, ils stockes le carbone, mais le restituent lors de leur pourrissement, ou lorsqu'ils sont brulés.) Je me moque un peu, mais à 5 ans lorsque papy, mamy promettent... On fait tout pour satisfaire. Tout mon programme fut balayé. Les Navettes menant aux pistes du Mont Dore s'arrêtaient pas très loin de la location, Emprunte carbone minimum. Je vous présenterais les trois toutes petites promenades réalisées, prochainement.

Revenons à cette promenade réalisé en 2019 et que je devais vous présenter en deux versions en 2020 vous n'aurez que le détail réalisé l'hiver, d’où cette trace au milieu de nul part. Même l’hiver, je chausse mes après ski pour marcher sur des sentiers invisibles ou des pistes de raquettes. Mais surtout marcher à l'aventure. Toute la trace n'est pas réalisable l'été. Tout ce qui est en blanc sur la carte, sont des prairies avec barbelés. L’été avec des animaux c’est infranchissable, il n’y a pas de route, n’y de chemin. L’hiver on enjambe la dernière ligne de barbelé qui arrive à la cheville ou aux mollets, en 2019 il y avait de la neige. Il faut attention aux ponts de neige au dessus des ruisseaux. Mon idée première était de rejoindre le lac Guéry. Une fois sur place je me suis rendu compte que je n’en n’avais pas le temps.
Il vaudrait mieux faire le tour du Puy Gros, par le GR 30 redescendre par La Sagne, les Planoles et le bord de la Dordogne. c'est l'itinéraire en rouge sur la carte.
Si je retourne, à la Bourboule Promis je refais l’itinéraire que je vous préconise. J'y suis revenu mais je n'ai pas réussi à refaire cette promenade. En 2020 peu de neige, je ne fais pas de ski, mais ma petite fille en fait. Les cours au Mont Dore sont supprimés, mais pas à Super Besse, alors le temps qui devait être consacré à la rando, devient un itinéraire de voiture.
 
 
Carte IGN                                 Trace GPS et Topo sans commentaires
 
Trace Randogps
                            Hiver         Le code mobile de cette randonnée est b322748
Trace Randogps                              
                            Eté             Le code mobile de cette randonnée est b322749

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Le départ se fait entre Murat le Quaire et le Mont Dore sur la D 219 au hameau des Planches.
On trouve un parking un peut en retrait du café, sur la gauche en remontant vers Murat le Quaire. Comme cette promenade n'est pas préparé, je n'ai pas pris le bon chemin pour en faire une trace été comme hiver.
                        Km    Temps   Arrêt    V/d      V/g       Déni +       Déni –
   Trace Jaune - 11      3h40       30        4,5      3,6       637          
   Trace rouge - 11                                                         715

Je laisse à tord la rue face au parking (si j'ai l'occasion je modifierais cette trace pour qu'elle soit également réalisable l'été.) Je passe devant le café et remonte sur la gauche la rue desservant les dernières maisons ou nous trouvons le GR 30. Nous quittons rapidement le bitume pour prendre sur la droite un chemin qui grimpe dans la foret. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, Nous grimpons entre deux lignes de barbelés un chemin raviné par les traces d’un tracteur. Après un coude nous entrons dans le hameau de Lusclade traversons le centre du hameau, nous sommes à 1069 m d'altitude. Nous trouvons une fontaine abreuvoir laissons la rue de gauche et les directions des Rousses, et de Murat le Quaire, à 4,5 
km . Tout droit le Lac Guéry 6,5 km, poursuivons dans cette direction. Laissons un chemin sur la droite. Poursuivons notre grimpette, notre chemin tourne sur la gauche, laissons un chemin sur la droite, nous poursuivons notre grimpette dans les bois, le chemin fait fourche prenons à droite, c’est bien balisé, passons le ruisseau des rousses, le temps étant aux radoucissements cela coule un peut de partout. Un virage aigu à gauche et l'autre à droite nous sortons de la foret par un chemin bordé de beaux hêtres, dont les branches fond un peu auvent. On a une vue sur toute la vallée Murat le Quaire, La Bourboule, Charlannes, le Puy de Sancy. Nous arrivons à une intersection de sentier Murat le Quaire est à 4 km sur la gauche (les Pans ou les Bans à 500m) 
poursuivons tout droit le GR 30 et le PR 10 nous continuons de grimper dans la foret. Nous arrivons de nouveau à une fourche nous prenons à gauche ce joint à nous le chemin de VTT 48-43. Nous arrivons certainement à l’intersection ou le GR entame sa grimpette vers le Puy Gros. Je pense que nous sommes à 1339 m et normalement avec une connections de sentiers  local et d'un petit sentier partant d'un côté  vers le rocher du Tenon et la Banne d'Ordange et de l'autre il redescend dans la vallée, mais 
je n'ai rien vu, que le blanc immaculé de la neige, et tout juste une trace de raquette, et ce qui m’inquiète une pancarte indiquant le Lac Guéry à 6km. Je n’ai pas avancé d’un poil depuis la dernière information. Six kilomètres aller et six retour cela fait un peut plus de deux heures, il est bien tard je n’y arriverais jamais. A partir d'ici malheureusement je n'en fait qu'a ma tête. Je ne suis pas ma trace qui emprunte le GR 30, je suis subjugué par cette immensité 
blanche entourées de montagnes. Et puis j'ai mon objectif atteindre le lac Guéry, ce dernier doit être la bas juste derrière le rideau d'arbre. Je me dis ; le lac Guéry est à 6h par le Gr, mais si je traverse la grande étendue blanche, je devrais m'y rendre plus vite et je reviendrais par la trace, et puis il y a quelques traces de raquettes qui me montrent le chemin. Sur la droite j'aperçois une ferme ou un buron qui me semble en ruine (important ce point de 
repère). Je suis la trace des raquettes, qui pour l'instant suit mon chemin puis ma trace tourne à droite comme le Gr et doit grimper sur le puy gros. J'oblique à gauche, puis abandonne la trace des raquettes, il me semble qu'elle se dirige vers La Banne. J'oblique un peut sur la droite pour ne pas gravir le Puy May. Je me dirige a vu vers le rideau d'arbres. Sur mon GPS je me rends comte qu'il y a beaucoup de ruisseaux, ne sachant pas s'ils sont taris, gelés ou si, il y a un pont de neige au dessus, j'essaie de différencier la couleur de neige, pour ne pas me retrouver les pieds dans l'eau, voir un peu plus. Au vu des piquets dépassant la neige, je l’estime à un peu plus d’un mètre. Je traverse ainsi toute cette étendue blanche en franchissant quelques clôtures avec du fil barbelé je me rends compte de la hauteur de neige… car, je n'ai qu'à soulever le pied pour passer au dessus du dernier fil. Je fais un crochet pour éviter un passage difficile au dessus du ruisseau des mortes de Guéry et des zones de glace, la neige à été soufflé par le vent, et comme un imbécile j’ai oublié mes chaînes pour souliers. Je traverse une piste de skie de fond en longe deux autres. J''arrive à un bois longe sa lisière. A la fin du bois, rien. Je suis sur une piste de skie de fond, face à moi, encore un étendue blanche avant un bois. C'est la déception le lac n'est pas la, mais certainement là-bas. Il ne me reste plus qu'à revenir par la trace du GPS. Je ne prends pas le chemin qui est une piste de skie de fond l'hiver. Je le longe en suivant d'un peu loin la lisière du
bois. Je trouve planté au milieu de nulle part un poteau avec des informations sur les itinéraires pédestres. Murat le Quaire est à 9 km, La Bourboule à 8km et Parasudas (je ne garanti pas l’orthographe) à PR 11 à 2 km. Je me dirige vers la banne. Des traces de raquettes coupent le Gr et grimpe sur le Chantauzet 1385m ce désert blanc me fascine. Je redescends en faisant très attention, le vent a soufflé la neige, et part endroit une pellicule de glace apparaît, je n'avais pas jugé utile de prendre des 
raquettes, il ne s'agirait pas de se casser quelque chose, je suis presque seul dans cette montagne. Cela ne se bouscule pas sur la piste de ski de fond à peine une dizaine de personnes, et en cette fin d'après midi je n'ai pas croisé grand monde en raquette. Seul deux points noir grimpent le puy gros. Les traces de raquettes me font rejoindre le GR 30 à l'altitude de 1340 mètres. Maintenant il ne reste plus qu'a suivre les traces… Chose que je fais sans vraiment 
réfléchir et en arrivant à l'altitude de 1371 m j’avais reconnu à tord la maison abandonnée, ma bordure de hêtres avec ses branches formant auvent. Comme il commence à ce faire tard, que les traces de raquettes descendaient, les arbres, les ruines, je suis sur mon chemin du retour. Je ne réfléchi pas, lorsque je suis monté, j'avais le Puy Gros sur ma droite et maintenant il est toujours sur ma droite, alors que pour la descente il devrait se retrouver à ma gauche. Cette trace qui descend et que je prends pour la mienne m'arrange bien 
elle m'évite les cent mètres de dénivellation du Puy Gros. Tout en descendant cela me semble bizarre je ne retrouve pas mes traces de pas dans la neige, il y en à bien, mais comme moi elle descende. Après avoir longé la bordure de hêtres, je retrouve un vieux balisage jaune un peu effacé. Le sentier balisé descend en foret tout en serpentant. On oblique sur la gauche après le ruisseau que l'on a traversé, on entame un grand virage sur les pentes du Puy Gros. Je regarde enfin mon GPS houaaa !!! Je suis loin de ma trace. Trop tard pour remonter. Qu'elle ‘’couillon’’ Pour être sur ma trace il fallait que je franchise le Puy Gros. Nous passons devant un ancien buron ou une ferme transformée en maison de vacances. Isolé au milieux de nulle part mais qu'elle vue !!!  Je 
passe deux barrières, nous remontons par un beau chemin vers le hameau des Sagnes. Mais je pense être à Lusclade. Je quitte le balisage qui descend vers le Mont Dore, et prends une belle allée, longeant les clôtures des propriétés. Je suis à flanc de montagne et d'après le GPS en direction de la voiture. Je passe la dernière habitation ‘’Chez Tamboine’’ je laisse la route d'accès sur la gauche et poursuis le chemin, chemin qui malheureusement semble se terminer dans une fermer en restauration. Impossible d'aller plus loin. Tous les champs sont 
clôturés. Plus le temps de faire demi-tour. Sur la carte il y a bien un chemin qui passe sur la droite de la maison, mais avec la neige je ne vois rien. Existe-t-il encore ? [Je ne fais pas la trace que je vous présente qui est celle du chemin que je n'ai pas vu. La trace que j’ai fais est bien trop dangereuse et j’ai franchi les clôtures des prairies. Les animaux sont à l’étable mais cet été cela sera différent.] Bien tard pour un demi-tour. Dans ce terrain mi neige mi boue (vingt mètres plus bas il n'y a plus de 
neige) je remarque au loin le hameau de Lusclade, je me dis qu'en traversant les prairies je pourrais rejoindre mon point de départ. Cela semble facile. J'entre dans la prairie dont la porte est ouverte, bien sur elle est clôturée. Les barbelés sont un peu lâche, je les franchis, mais de l'autre côté ce n'est plus le même terrain, je suis dans un bois qui a poussé sur la roche, la pente devient plus raide, il faut que je franchisse de nombreux ravins encore plus raides. La fonte des neiges rend le terrain difficilement praticable. 
L’eau coule dans le fond des ravins. Avant de descendre je suis obligé de monter pour trouver ce qui me semble être un passage moins dangereux. Après le bois, je retrouve un terrain pour les chèvres ou les moutons, je suis leur traces descend par palier avant de retrouver une prairie, débouchant sur un chemin proche du hameau. Ce passage très difficile aux pieds des orgues basaltique est très acrobatique. Heureusement à Lussclade il y a la fontaine qui me permet de laver chaussures et 
pantalon maculées de boue. Je retrouve le GR 30 que je suis jusqu'au parking.
Si vous faite cette promenade, il est préférable de suivre la trace rouge. Lorsque vous arrivez au ‘’Sagnes’’, suivez le balisage et le chemin descendant sur la gauche, passer les ‘’Planoles’’, vous déboucher sur la route, passer les ‘’Legal’’ puis le ‘’Pré de Maraud’’. Nous descendons la route ‘’chemin des Legal'' laissons un premier chemin sur le droite (menant à une chambre d'hôte )  puis elle fait fourche laisser sur la  
gauche l'allée  des champs Bas, poursuivre à droite la route. Laissons une impasse sur la droite, nous débouchons sur la D 996 que nous prenons sur la gauche, coupons le ruisseau de l'Enfer et prenons sur la droite la route des Marais. On passe la Dordogne et avant la ligne de chemin de fer nous trouvons un chemin sur la droite, tous ceci est balisé (du moins sur la carte), ne l'ayant pas fait, je ne peut pas vous en dire la couleur. On longe la Dordogne, traversons un bois avant de couper la rivière [prend naissance au Puy de 
Sancy (1 885 m), point culminant du Massif central, dans la chaîne des monts Dore. Elle conflue avec la Garonne pour former l'estuaire de la Gironde qui débouche sur l'océan Atlantique. Contrairement aux apparences, le nom de la Dordogne n'est pas un assemblage récent des noms de la Dore et la Dogne. Son nom vient d'un ancien Durānius, dérivé de la racine préceltique dur-, dor- (cf. la Durance, le Douro/Duero, etc.).
Les formes médiévales ont adopté un suffixe redoublé -ononiaDorononia fluvius (vie siècle), Dornonia (viiie siècle) qui évolue en Dordonia (ixe siècle) par un phénomène de dissimilation donnant ainsi l'impression d'une étymologie Dore-DogneAimoin de Fleury est le premier auteur connu à utiliser le nom dordonia. Wikipedia ] nous poursuivons notre chemin dans le bois. Nous arrivons au moulin de la Compissade (centrale électrique) il y a également des sources pétrifiantes du moins d'après  la carte. Juste avant le pont le chemin fait fourche, laissons sur la droite le sentier des Sources, repassons la Dordogne, nous entrons de nouveau dans un bois, laissons sur la droite le chemin menant au  source Croizat, poursuivons tout droit. Le chemin fait de nouveau fourche, nous prenons à droite. Nous sommes toujours sur le Sentier des Sources. Nous passons la Dordogne au source Félix après le pont le chemin fait fourche nous prenons le chemin de gauche, nous avons retrouvé le GR 30 que nous suivons jusqu’à Genestoux. Nous débouchons sur une route que nous 
prenons à gauche. Nous retrouvons un chemin sur la gauche que nous prenons, entrons dans le bois, passons sous la ligne SNCF, poursuivons le GR en bordure de la Dordogne nous arrivons dans les faubourgs de la Bourboule, boulevard des Vernières que nous prenons à droite. Prenons la première rue à droite, laissons l'accès a un magasin, poursuivons notre bitume qui devient chemin, traverse la ligne SNCF, contourne une voie de garage et remonte vers  les planches, le chemin fait fourche, nous prenons sur la gauche. De chemin nous passons à bitume. Nous arrivons au rond point des D219-996 et du maréchal Leclerc, ou nous retrouvons le parking.
 



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