lundi 2 mai 2016

63 - Petite Promenade. Que y a t-il sur la rive droite de la Seine ? Blandy les Tours

Blandy les Tours
Que y a t-il derrière la Seine
Voilà un peut plus de soixante petites Promenades réalisé coté rive gauche de la Seine, mais qu’y a t’il rive droite. Il y a la Brie. Les betteraviers…… Surnommé ainsi par mes collègues de travaille  citadins. Pour eux la Seine et Marne ce n’est, à l’automne, qu’un défilé de camions boueux sur des routes boueuses transportant des tonnes de betteraves. J’avais beau leur dirent : Fontainebleau c’est un désert de sable planté d’arbres entre la Brie et la Beauce, rien à faire j’étais un betteravier…..
  Ado, j’aimais bien me promener à vélo de l’autre coté de la Seine, Je trouvais ses petits villages charments, les routes tranquilles. Cela me changeait un peu de la foret, mais je revenais vite à mes premiers amours ; La foret de Fontainebleau.

 Au centre du plateau de la Brie humide, ce territoire présente de nombreuses richesses naturelles et bâties. Encadré à l’ouest et au sud par les boucles de la Seine, il est traversé d’est en ouest par deux rivières, le ru d’Ancoeur et celui de la Vallée Javot, le long desquelles s’animent de charmants villages. Un véritable livre d’histoire de France à ciel ouvert s’offre à vous : laissez-vous impressionner par les fastes du château de Vaux-le-Vicomte, imaginez la vie féodale au temps du château fort de Blandy-les-Tours ou encore les chants et cérémonies données dans la collégiale Saint-Martin à Champeaux.



Trace GPS & Topo sans Commentaires   Carte GPS       Trace Randogs
 
Le code mobile de cette randonnée est b309636
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Novembre 2015
 
Km    Temps    arret      V/d     V/g    Dénivelé
10      2h00     10mn      5,4     5,1        87 +
 
Pendant deux siècles et demi après la guerre de Cent Ans, ses propriétaires sont alliés aux familles d'Orléans-Longueville, de Bourbon-Soissons, de Savoie, de Nemours.
Le XVIIIe siècle marque un tournant majeur dans l’histoire de Blandy cristallisé autour d’un personnage : le maréchal Claude-Louis-Hector de Villars (1652-1734). Ce dernier, élevé au rang de duc en 1705 et devant acquérir des terres pour légitimer l’accès à son nouveau rang, achète à l’héritier de la Duchesse de Nemours le comté de Melun et la seigneurie de Blandy.
Son nouveau titre est alors attaché aux terres de Vaux-le-Vicomte, dont il acquiert le château la même année. Dés 1707, le Maréchal
transforme le château de Blandy en une simple ferme agricole. Aussi, il fait retirer les toitures des tours du château, éventrer la porte d’entrée et combler le fossé.
L’édifice sera petit à petit abandonné et ses fortes détériorations vont le conduire dans un état de ruine avancée. Au milieu du XIXe siècle, les ruines du château suscitent l’intérêt des érudits locaux. En 1883, le comte Choiseul-Praslin accepte de vendre le château à la commune. Six ans plus tard, il est classé au titre des Monuments historiques. Mais le château atteint très rapidement un
état de ruine critique. Ce n’est qu’en 1986 qu’un projet de restauration est élaboré. Son rachat au franc symbolique par le Conseil Général de Seine-et-Marne va permettre sa concrétisation menée par Jacques Moulin, architecte en chef des Monuments historiques. http://www.chateau-blandy.fr/histoire]

Une fois passer le pont, prendre à gauche le long du cour d’eau. Balisage jaune et vert. Quittons le balisage lorsqu'il tourne à droite, continuons tout droit jusqu'au joli pont au dessus du ru. Nous suivons sur notre droite la route vicinale menant au Petit Moissenay. Après une petite cote nous pouvons faire une pose au niveau du banc. Retournez vous, et admirons la 
perspective sur le château. Traversons le hameau de Beaumont et après le bois nous prenons le chemin sur la gauche et suivons la ligne à haute tension. Nous trouvons à nouveau un balisage jaune. Sur la gauche des perspectives sur le château. Nous passons devant un abreuvoir, sur la carte Fontaine Viviais . Nous arrivons à une patte d'oie laissons le balisage jaune sur la gauche et prenons le chemin de droite. (sur la carte c’est un carrefour classique sur le terrain il manque le chemin de droite.) Poursuivons notre chemin qui va se terminer en formant Té avec un
autre. Nous prenons la branche de gauche. Belle vue sur le château. Nous sommes sur le chemin de l'Aiguillon et le GR 1, nous retrouvons du balisage jaune,  et entrons dans les faubourgs de Blandy. Nous prenons la rue Vauchevres sur la gauche puis le chemin du Réservoir sur la droite, nous avons quitté le GR et le sentier jaune. Nous débouchons sur la D 47 (route de Chatillon) que nous prenons à droite. Nous poursuivons par le chemin des Frileux et retrouvons le GR ainsi qu'un balisage jaune et vert. Nous arrivons à un carrefour de chemins au milieu des champs, sur un poteau nous trouvons un balisage bleu, nous quittons ''l'arc en ciel'' de couleurs des chemins balisés, pour suivre le balisage bleu sur la gauche. Au loin et sur notre gauche nous apercevons une grosse bâtisse. Notre chemin en rencontre un autre formant Té, nous prenons la branche de gauche (toujours le balisage bleu.) Nous quittons le balisage bleu pour continuer le long de la ferme Chaunoy. Jetons un coup d’œil à travers les barreaux de la grille. Dans la cour nous apercevons d’immenses sculptures. [C’est la maison d’un sculteur. On peut apercevoir  les sculptures monumentales d’Héloïse et Abélard, également exposées devant la médiathèque de Melun. Ce sculpteur a aussi réalisé la Vierge à l’Enfant de la chapelle de Roiblay. http://www.chateau-blandy.fr/library/Plaquette-un-chemin--une-ecole]
Nous passons devant une balance à tombereau, un puits, et longeons le domaine de Chaunoy. Nous rencontrons une route goudronnée continuons en face (route goudronnée avec circulation) c'est également le balisage vert. Nous passons devant l’ancien moulin de Chaunoy, nous avons perdu les marques verte. La route grimpe et en son sommet nous apercevons le mur d'une propriété ainsi que notre balisage vert et une pancarte Blandy les Tours pour piétons. Nous suivons sur la gauche ses trois informations. Derrière le mur nous devinons le parc d'un château.  A la fin du mur, laissons le chemin tout droit et prenons à droite pour passer devant la façade du château d'Aunoy. [La construction initiale, de caractère médiéval, fût détruite en 1750. Par un incendie. JB de Chabert, un financier parisien fit reconstruire le château, actuel à un autre emplacement, avec cette fois une charpente en pierre, afin d’éviter un nouveau sinistre. en l'entourant d'un parc à l'anglaise, un des premiers en France. Pour éviter un nouvel incendie, la nouvelle construction utilise des voûtes catalanes ou sarrasines, ce qui permet d'exclure le bois mais nécessite des murs de plus de 2 
mètres d'épaisseur. Ses successeurs, comme Pierre Jean Baptiste Gerbier, avocat au Parlement et conseiller secrétaire du roi, continuent son œuvre. Le château d'Aunoy devient une authentique "Folie" Louis XV. http://www.chateau-blandy.fr/library/Plaquette-un-chemin--une-ecole complété par wikipédia ]
En bout nous prenons à gauche direction Blandy (au loin dans la plaine la collégiale de Champeau.) Le chemin nous fait passer devant deux fermes, ou une maison et une ferme, nous restons à l'orée du bois. Nous longeons un bon moment bois et champs et trouvons une clairière nous donnant une vue sur Blandy et son château. Peut de temps après, nous arrivons sur la route D 47, que nous prenons à gauche. Une pancarte nous indique Blandy, un trottoir nous ramène ver notre parking après être passé devant la fontaine Notre Dame de la source. [ La Fontaine Monferton, et la statue de Notre Dame de la source installée le 12 septembre 1954, par les habitants, statue de 1617 qui se trouvait dans le jardin du Presbytère. Elle a été mise à l’abri depuis, car elle avait malheureusement été dérobée. http://blandy77.free.fr/village/VISITE%20DE%20MON%20VILLAGE31122011.pdf

] Nous arrivons au Pont Paillard qui sera pour certain notre parking, dans le cas contraire continuer la rue jusqu'au château. En faire le tour si ce n'est déjà fait, on peut même visiter l'intérieur, sur la place du colombier nous trouvons un moulin à pomme. [Ce dernier fut installé en ce lieu en 1990 en lieu et place du colombier du château disparu à la révolution. Ce broyeur se trouvait rue grande. Circonférence 6m, profondeur 0,50m la meule écrasait les pommes additionnées d'eau tiré par un cheval. Cette mixture était ensuite portée au pressoir attenant.]

L'église : (L’église Saint Maurice remonte au début du Moyen Age. Le 

clocher, la nef de style Gothique datent du XIV ème La nef, à trois travées n’a qu’un seul bas coté. Au XVI l’évolution de l’église se confond avec l’histoir du château. En 1557 Jacqueline de Rohan introduit le calviniste dans le village. Le retable et le maître-autel datent du XVIII. Les pierres tombales datent du XVI et XVIII. Extraie du panneau d’affichage.)

Je vous mets également le lien sur un document concernant Blandy, on y trouve de très belles photos, ou cartes postales anciennes cela ma beaucoup plus. http://blandy77.free.fr/village/VISITE%20DE%20MON%20VILLAGE31122011.pdf
En prenant la rue de la fontaine nous pouvons descendre jusqu'au lavoir. 
                                                            

62- Petite Promenade. Que y a t-il sur la rive droite de la Seine ? Vaux Le Vicomte


Que y a t-il derrière la Seine
Voilà un peut plus de soixante petites Promenades réalisées coté rive gauche de la Seine, mais que y a t’il rive droite. Il y a la Brie. Les betteraviers…… Surnommé ainsi par mes collègues de travaille  citadins. Pour eux la Seine et Marne ce n’est, à l’automne, qu’un défilé de camions boueux sur des routes boueuses transportant des tonnes de betteraves. J’avais beau leur dirent : Fontainebleau c’est un désert de sable planté d’arbres entre la Brie et la Beauce, rien à faire j’étais un betteravier…..
  Ado, j’aimais bien me promener à vélo de l’autre coté de la Seine, Je trouvais ses petits villages charmants, les routes tranquilles. Cela me changeait un peu de la foret, mais je revenais vite à mes premiers amours ; La foret de Fontainebleau. 
 

  Trace GPS & Topo sans Commentaires         Carte IGN     Trace Randogps
 
Le code mobile de cette randonnée est b185302
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Décembre 2015
 
Km     heures     arret     V/d      V/d    dénivelé
12,2   2h10         13mn    5,6       5,1         92

Départ : Château de Vaux le Vicomte. De Melun vous trouverez des panneaux vous indiquant ce merveilleux château  sur la D 215. De Melun prendre la D636 direction Meaux, passez un rond point la D 215 c’est une petite route sur la droite. Mais trouverez-vous une place sur le parking du château ? L’hiver certainement, l’été, les week-ends certainement pas.
Je préconise au lieu de partir directement du château, de partie de Maincy petit village situé sur la D 82E2. C’est la même direction que le château mais vous trouverez au rond point cité plus haut la
direction de ce village.
Pourquoi partir du Château ? C’est un magnifique château, l’un des plus beaux. Aussi beau que Versailles, puisqu’il en a été le précurseur. Louis XIV à utilisé les mêmes architectes et décorateurs. Alors il vaut mieux visiter le château avant la promenade, après nous risquons d’être un peu boueux. Avec la visite du château, prévoir la journée. Les appartements et les jardins
prennent un certain temps surtout si vous allez à pied jusqu'au grand bassin et que vous en faite le tour par la statue d’Hercule. Cela représente déjà un bon tour……
[Vaux le vicomte :
  En 1641, Nicolas Fouquet, jeune parlementaire, acquiert le fief de Vaux-le-Vicomte. Vingt ans plus tard, il en fait un chef-d’œuvre unique : le château et le jardin sont parmi les plus beaux de France. Pour la première fois dans l’histoire, ce visionnaire réunit sur un même projet l’architecte Louis Le Vau, le peintre-décorateur Charles Le Brun et le jardinier André Le Nôtre. 
Victime d’un complot, Fouquet est arrêté puis condamné au bannissement puis à la prison à vie par Louis XIV en 1661. Vaux-le-Vicomte est alors mis sous scellés et  le roi saisit la quasi intégralité de ce qu’il contient : 

tapisseries, mobilier, peintures, livres, tapis… jusqu’aux orangers ! Madame Fouquet mettra 10 ans à récupérer son bien où elle se retirera avec son fils aîné. Après la mort de celui-ci, elle se résout à se séparer du château de Vaux-le-Vicomte qui est mis en vente en 1705. Claude-Louis-Hector de Villars, Maréchal et Pair de France, l’acquiert, et en apprécie le charme pendant de longues années. Son fils le vend en 1764 au Duc de Praslin. Ses descendants le conserveront pendant plus d’un siècle, dont 30 ans d’abandon, avant de le remettre en vente.
En juillet 1875, alors que le château est vide et que le jardin à la française n’est plus qu’un lointain souvenir, le domaine de Vaux-le-Vicomte est mis aux enchères publiques. Un amateur d’art, Alfred Sommier, l’achète et commence un immense travail de restauration pour restituer au domaine son incomparable beauté d’origine. (Cession du Château de Vaux-le-Vicomte. Depuis 30 ans, le Château de Vaux-le-Vicomte est laissé à l'abandon : le château est inhabité, en partie démeublé et vide et les jardins sont en friche. En 1875, Gustave Guyot de Villeneuve, amateur d'art et bibliophile, informe son ami Alfred Sommier de la vente prochaine par les ducs de Choiseul-Praslin du Château de Vaux-le-Vicomte, qui risque d'être démoli. Le 15 juin 1875 à Paris, celui-ci fait acheter par son notaire, à la bougie :
  • les château et terre de Vaux-Praslin,
  • jardin et parc clos de murs (370 hectares),
  • dépendances (27 hectares),
  • ferme de la Basse Cour (144 hectares),
  • ferme de la Ronce (139 hectares),
  • ferme des Granges (203 hectares),

L'Almont à la sortie du grand canal
en 3 lots, réunis pour 2 275 400 francs-or. De 1875 à 1908 le couple Sommier consacre l'énorme somme de 5 558 000 francs-or pour financer les gigantesques travaux de restauration des bâtiments vieux de 2 siècles, menés par le célèbre architecte Hippolyte Destailleur. Edme Sommier, fils d'Alfred Sommier, et Germaine Casimir Périer, son épouse poursuivront l'œuvre familiale.http://www.histoireeurope.fr/RechercheLocution.php?Locutions=Alfred+SommierSes enfants poursuivront son œuvre après sa mort, et, aujourd’hui, ses descendants directs, Patrice et Cristina de Vogüé, épaulés par leurs enfants Jean-Charles, Alexandre et Ascanio poursuivent l’œuvre commencée il y a 140 ans. http://www.vaux-le-vicomte.com/decouvrir/lhistoire/3-siecles-dhistoire-2/]. A la sortie du château ce diriger vers Melun en longeant le mur (sur la carte vers le point 79) C’est également le GR. A l’angle du mur prenons à gauche toujours le GR le chemin descend et pénètre dans un bois. Nous arrivons au ru de l’Almont des grilles permettent d’entre apercevoir le grand bassin. Une rivière qui change de nom : [L'Almont est un affluent de la Seine en rive droite. Elle porte le nom de ru de Courtenain de sa source au village de Fontenailles, puis ru d'Ancœur jusqu'au parc du château de Vaux-le-Vicomte, pour devenir l’Almont jusqu'à sa confluence avec la Seine à Melun. (Wikipédia)]. Descendons son cours qui serpentes lentement dans ce vallon. Nous débouchons sur la D82e2 que nous prenons à gauche, passons au dessus de l’Almont, nous entrons dans Maincy [Maincy a été créé au Moyen Âge, comme en témoigne son église romane. C'était le village rattaché au château de Vaux-le-Vicomte, au XVIIe siècle. Auparavant, la manufacture des Gobelins était dans ce village. Elle a été déplacée à Paris par ordre du roi Louis XIV, qui avait évincéNicolas Fouquet, son surintendant des finances, et premier propriétaire de Vaux-le-Vicomte.] Par la rue des Carmes. Nous nous arrêtons quelques instant devant cette façade [Les religieuses de l'ordre mendiant du Carmel s'installent en 1590 dans l'ancien hôtel de Mons, cité dès le XIVe siècle, dont elles deviennent propriétaires en 1597. Après leur départ du village, Nicolas Fouquet, en 1658, acquiert le domaine qui comprend encore une chapelle et le dortoir des religieuses, pour y implanter sa manufacture de tapisseries dirigée par le peintre Charles Le Brun. Il fonde dans l'ancien hôtel une maison de charité destinée aux tapissiers de la manufacture, aux ouvriers du château et aux man'uvriers et vignerons de la paroisse. 

Moissenay
300 ouvriers dont 19 tapissiers flamands travaillent dans la manufacture divisée en ateliers, magasins et logements pour les ouvriers. Elle est transférée à 
Les Carmes
 Paris au bout d'une dizaine d'années et constitue le principal noyau de la manufacture des Gobelins. http://fr.topic-topos.com/maison-dite-des-carmes-maincy] Poursuivons par la rue Basse Poignet toujours le GR et nous l’abandonnons pour prendre sur la droite un chemin intra muraux balisé en jaune. Nous arrivons à la Ruelle du Ru, nous prenons à droite puis sur notre gauche la rue du pavé de L’église 

     
[A l'origine, une tour gallo-romaine était édifiée à l'emplacement du clocher actuel. Aux environs de l'an mille, un premier sanctuaire est édifié, déjà dédié à Saint ETIENNE.
Vers 1200, sous le règne de PHILIPPE AUGUSTE, une église est construite à l'emplacement actuel, en intégrant la tour de défense surélevée en clocher.

De cet édifice, subsiste aujourd'hui quelques éléments de maçonnerie et aussi les quatre gargouilles du clocher actuel. Au XVIII ème siècle, lorsque FOUQUET acheta le domaine de VAUX-LE-VICOMTE pour faire construire son château, il fit agrandir l'église de MAINCY.
Le travail fût confié à l'architecte Louis LE VAU, la décoration intérieure était confiée aux menuisiers et peintres de FOUQUET, ceux-là même qui étaient chargés des travaux au château de VAUX-LE VICOMTE. Le caractère primitif de l'édifice ne fût pas préservé, les restaurations furent exécutées dans un style LOUIS XIII qui confère l'originalité à l'église telle que nous pouvons la découvrir aujourd'hui. A la période de la révolution, l'église eut à souffrir surtout d'un défaut d'entretien.
La famille SOMMIER, qui acheta en 1889 le domaine de VAUX-LE-VICOMTE, s'intéressa aussi beaucoup à l'église : des travaux importants y furent exécutés jusqu'au début de la première guerre mondiale.
Les derniers travaux de restauration intérieure datent des années 1960 et lui donnent son aspect actuel.
http://www.maincy.com/Main.aspx?numStructure=80778&numRubrique=492245]
Remontons la rue et prenons la première à gauche. Nous retrouvons notre ruelle du ru prenons à droite suivons le cour d’eau et nous débouchons devant le Lavoir. Prenons à gauche puis à droite la rue Basse Poignet et encore à droite la rue du Four poursuivons par la rue de la Borderie et à gauche un nouveau sentier intra muraux, nous débouchons dans une ruelle qui débouche dans la rue Alfred et Edmé Sommier que nous prenons à gauche, et enfin à droite la rue Marcelle Certener, débouchant dans la rue de Sivry que nous prenons à gauche. Nous longeons un mur C’est encore le parc du château. Nous débouchons sur la D 408 nous la traversons et continuons en face.  Nous arrivons sur la D 605 que nous prenons à gauche sur une centaine de mètres, puis tout de suite à gauche passons devant une ferme ‘’les granges’’ le chemin devient bitumé.
Gué au moulin
Pourquoi ce détour : J’ai suivi le mur du parc du château. Un large talus bien entretenu le permet. Mais la D 408 mène à l’autoroute et, il s’y trouve beaucoup de voitures et je n’ai pas trouvé cela agréable.
Revenons à notre trace. Retraversons la D408 et prenons le chemin face à nous.  Nous arrivons au mur du château et la propriété du Moulin de Pouilly. [Avant d'arriver à la clôture de parc de Vaux-le-Vicomte, se trouve le Moulin de Pouilly (Pouilly était le nom d'un des villages détruits pour construire le parc).
“ Moulin de Poily la Ronce, moulin farinier (à eau) de M. Jérôme PIFFAULT, en l'an X ”

Pouilly-la-Ronce, se situant à l'emplacement du parc de Vaux-le-Vicomte, fut réunie à Moisenay en 1657.“ Le moulin de la Ronce n'existe plus, mais la ferme du même nom appartient à M. le duc de Praslin, propriétaire aussi de celle de Pouilly, non habitée, et du moulin du même nom, ainsi que de celui dit Soufflet, La ferme de La Ronce, ainsi que celle de Pouilly, et le moulin de Soufflet appartiennent à M. le duc de Praslin. Le moulin de La Roue, au Petit Moisenay, appartient à madame Ve Deneufchâtel  celui de Pouilly est occupé par le sieur Charpentier. http://www.3moulins.net/ancueil2.htm]
L'Ancoeur avant le parc
Nous rencontrons le GR1 passons le gué au Moulin de Pouilly remontons la rue et nous trouvons après un grillage un sentier sur la gauche. Nous avons quitté le GR. Le sentier suit la clôture de la propriété (attention sur la droite vous trouverez un apiculteur (je ne suis pas sur que se dernier soit en activité, mais la présence de ruches sur le terrain {peut être vide} nécessite d’être prudent.) Nous retrouvons le mur du château à l’endroit ou l’Ancoeur entre dans le parc. Souvenez-vous ce cours d’eau change de nom. En effet ici avant d’entrée dans le parc C’est l’Ancoeur à la sortie du parc c’est l’Almont. Nous arrivons à l’orée du village de Moissenay.

Le sentier le long du mur devient impraticable de toute façon après le bois impossible de poursuivre dans le champ. Le sentier se dirige vers la droite et abouti sur une petite route que nous prenons à gauche. Nous retrouvons le GR1 que nous suivrons jusqu’au château en empruntant la D 215 sur la gauche. Route très roulante avec des talus mal entretenus. Il serait étonnant que vous sortiez de ce petit bout de route sans griffures ou piqures d’orties. 

 



Mes autres Petites Promenades