vendredi 2 février 2018

GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. Etape 8 Boissy la Rivière - Méréville


GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. 

GR 111 Boissy la Rivière - Méréville : Etape 8

(trace bleu, GR 111 - Traces rouge, les "tiroirs", Traces de couleur "le retour" ) Pour la compréhension de la carte il n'y figure que les boucles du retour que l'on pourrait appeler promenade en Essonne.


GR 111E : Deux étapes en foret de Fontainebleau (sncf) pour rejoindre Mily la Foret
GR 111A : Puiselet le Marais rejoint La Ferté Alais (sncf)
GR 111B : Chalo St Mars rejoint Etampes (sncf)
GR 111D : Richarville rejoint Villeconin
GR111C : Montcouronne rejoint Saint Chéron (sncf)
Comme je suis un grand malade "de la marche" et que l'on emprunte de long parcours au GR 655  (Saint Jacques de Compostelle). Je me suis dit  ; pourquoi ne pas rentrer avec ce dernier, puis GR 1 & 11. Mais il y avait du déjà fait. Je suis revenu sur cette idée en remarquant que nous coupions de nombreux balisages locaux bien tracés et entretenus. Par chance, ils figurent sur la carte, j'ai donc tracé un long parcours sur le 655 pour rejoindre le centre de cet arc de cercle constitué par le GR 111. Je reviens sur Fontainebleau en butinant de ci de là avec de très bonne surprises. Bonne rando  

Carte :  GR 111 Boissy la Rivière - Méréville : Etape 8



Carte IGN    Trace GPX & Topo sans Commentaires     Trace Randogps 

Le code mobile de cette randonnée est b310994

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

février 2016


GR 111Boissy la Rivière - Méréville Etape 8

KM     Temps    Arret     V/d      V/g     dénivelé
29        5 :14       0 :20     5,5        5,2         321 +

Départ de Boissy la Rivière village situé entre Pithiviers et Etampe. Nous trouvons un parking proche de l’église.

Nous passons devant la mairie et prenons la rue des sauciers, plus tranquille que la rue de la République qui est un peu plus circulante puisqu’elle est la liaison entre les villages. Malheureusement nous rejoignons cette route et poursuivons sur la gauche en longeant des marais alimenté par la Juine. [La Juine prend sa source dans le département du  Loiret, dans le bois de Chambaudoin, près d'Autruy-sur-Juine. L'origine de son nom lui vient du hameau de Juines qu'elle longe avant d'entrer dans le département de l'Essonne. Elle rejoint l'Essonne en limite des communes d'Itteville et de Vert-le-Petit, après 52,6 km. Elle alimente de nombreux moulins aujourd'hui abandonnés. Du XVe au XVIIIe siècles, elle formait avec l'Essonne et la Seine une voie navigable, empruntée par des bateaux à fond plat qui transportaient le blé de la Beauce
région céréalière, vers Paris. La Juine est une rivière très régulière, bénéficiant de la nappe de Beauce qui agit comme un puissant régulateur (caractéristique que l'on retrouve aussi notamment en Champagne crayeuse et dans la Hesbaye belge). Une bonne part de son débit provient en effet de cette nappe, et le régime de la rivière est largement tributaire du niveau de l'eau dans la nappe. La nappe de Beauce a une capacité de stockage estimée à 20 milliards de mètres cubes, soit 20 km3 ou encore dix-huit fois le volume du lac d'Annecy. Elle joue un rôle régulateur du débit des rivières très important, car elle contribue à l'alimentation naturelle des cours d’eau qui lui sont liés, tels le Loing, le Loir, l'Essonne, la Conie, etc. Elle fournit à l'ensemble de ces cours d'eau une masse d'environ 500 millions de m3/s par an en moyenne, soit 16 m3/s environ (wikipédia)]

Nous arrivons à Jaugy et prenons à droite, traversons la rivière et débouchons sur la route menant à Saint Cyr la Rivière. Le balisage à changé par rapport à la carte nous prenons à droite puis nous trouvons sur la gauche un chemin nous faisant gravir la colline. Sur le plateau nous retrouvons les champs, puis l’ancien balisage.  Nous rencontrons le GRP de l’Hurepoix au moment ou notre GR 111 tourne à droite, traversons les champs et débouchons sur la rue des Graveriots. Nous descendons vers Sacla. Traversons l’ancienne ligne SNCF ou la maison du garde barrière est toujours habitée.
Calme assuré. La ligne ne sert plus.  Au carrefour nous prenons la rue rené Croizet. Je quitte le GR pour voir l’église et retrouve ma trace rue de la mairie D 49. Nous quittons le GR 111 en prenant une petite allée sur la droite (je n’ai pas vu le balisage du GRP, traversons un bras de la Juine nous sommes dans un jolie parc. Puis traversons la Juine, nous quittons le GRP et prenons sur la gauche la rue des louveries en bout de la rue nous retrouvons le GR 111. Prenons à droite la rue Bidochon, à la fourche à droite la rue de la roche noire. De rue nous passons à chemin et retrouvons les champs. Au carrefour nous avons un brusque virage à gauche, nous descendons et retrouvons le bitume. Au carrefour nous poursuivons par la droite. Longue route bordée de maisons, dans les jardins des rochers

comme à Fontainebleau.  Nous passons à Bossenval (moi je n'aimerais pas habité par ici les maisons sont en bas de la colline et en face des terres humides bordées par la juine) nous passons Boigny et à la sortie du village nous quittons enfin le bitume pour prendre un sentier sur la gauche, nous évitant la fourche composé par trois routes. Encore un petit bout de bitume et nous retrouvons un sentier sur la droite à flanc de colline, se nomment le chemin des Cailles. (Les cailles ne sont peut être pas les 

petits oiseaux migrateurs d’environ 15 cm de long. Cela se rapporte peut être à une formation géologique. La butte est peut être constitué de terre et de petits silex tout ronds comme des œufs de caille. C’est une idée qui m’est venue en tapant le topo. Je ne me souviens plus comment la colline est constituée hormis qu’il y avait un taillis touffu m’empêchant de voir la Juine.) Nous débouchons sur une route que nous prenons sur la gauche et arrivons à Méréville. Au loin nous apercevons une tour ressemblant à un phare.
 [La Tour Trajane
Classée monument historique en 1978, la Tour faisait partie des fabriques du parc du Château. Elle fut construite entre 1790 et 1792 d'après un dessin d'Hubert Robert par le Marquis Jean-Joseph de Laborde, dernier seigneur de Méréville, pour l'alignement de son parc.
Haute de 100 pieds (35m), Un escalier de 199 marches est aménagée à l'intérieur du fût de la colonne et permet d'accéder à la plateforme offrant ainsi un beau point de vue sur la Beauce cette colonne fut réalisée par des maçons spécialement venus du Limousin. A partir de 1793, elle fut utilisée par Delambre et Bellet pour des opérations de mesures de l'arc du méridien terrestre. http://www.mairie-de-mereville.fr/decouvrir/un-peu-d-histoire.html & wikipédia. 
Cette tour à la demande de Jean-Joseph Laborde pour orner les jardins de son château. Cet « obélisque antique », comme l'appelait son inventeur, Hubert Robert, est l'une des multiples « fabriques », ou monuments décoratifs, du parc romantique.
Située dans l'axe direct du château, « la colonne Trajane présente la particularité d'être entièrement composée de pierres identiques à celles ayant servi pour la construction de la cathédrale de Chartres ». L'escalier en colimaçon et son éclairage naturel méritent également le déplacement. « J'ai marqué la 100 e marche pour encourager les visiteurs déjà parvenus à la moitié à continuer », plaisante Jean-Paul 


Dorat. Mais la vue du haut de l'édifice récompense les plus courageux. « D'ici, on domine toute la Beauce », assure notre guide, jumelles à la main. http://www.leparisien.fr/mere-78490/une-colonne-trajane-qui-domine-la-beauce-10-08-2009-602943.php]
Cette tour, nous ne la verrons que de loin, notre trace ne nous y emmène pas. Mais on peut passer devant en voiture.  [Méréville :  

Merezvilla, Merelisvilla au XIe siècle, Merevillam en 1190, Mereville en 1262.
Au XIe siècle, le nom de la ville est rendu par le latin Merervilla, ce qui semble indiquer selon Bernard Gineste, un ancien seigneur du lieu répondant au nom d'origine germanique Merhier (mar-hari), ou Merila. La commune fut créée en 1793 avec son nom actuel. "La mère-ville" et l'interprétation, du nom de la localité[Informations douteuses] , donnée par professeur de littérature 

française Claude Leroy. Au début du XVIe siècle, Louis XII accorde au seigneur local, Bertrand de Reilhac, le droit de tenir quatre foires annuelles ainsi qu'un marché par semaine. Au XVIIIe siècle le château est racheté, à la veille de la Révolution, par le riche financier Jean-Joseph de Laborde et connaît un grand rayonnement. wikipédia] Entrons en ville et prenons sur notre gauche l’avenue de la République, puis à la fourche sur la gauche l’avenue Pasteur puis à droite la rue Jean Jacques Rousseau et à gauche la rue Victor Hugo, puis à droite et nous longeons la superbe Halle en bois. Je n’ai pas suivi la trace du GR voulant voir l’église sans penser que ce bourg est le départ de l’étape 9 et que je me garerais autour de l’église

normalement on y trouve un parking. Cela ma permis de voir qu’il n’y avait aucunes places de stationnements. Je rejoints la Halle, un très beau bâtiment. 
[La Halle (XVIe)
Nous ne pouvons pas être sûrs de la date précise de sa construction, car la plupart des archives ont été brûlées à la Révolution », émet avec un bémol Bernard Binvel, président de la Société historique et archéologique du canton de Méréville. Au début du XVIe siècle,  
Seule certitude : en 1511 Louis XII accorde au seigneur local, Bertrand de Reilhac, le droit de tenir 4 foires annuelles ainsi qu'un marché par semaine. Ce dernier fit alors édifier la Halle que l'on peut encore admirer de nos jours. Ses proportions sont vastes (40m x 18m). Sa charpente et ses 4 rangées de piliers sont en chêne. L'ensemble repose sur des socles de pierres. La Halle accueille aujourd'hui de grandes manifestations culturelles http://www.mairie-de-mereville.fr/decouvrir/un-peu-d-histoire.html]
 « Il espérait qu'elle devienne une sorte de Rungis. Mais ce n'est pas ce qui s'est passé », continue l'historienne Raymonde Autier-Lejosne.
Car si elle a attiré pendant un temps les habitants des alentours pour son 

blé, son foin, ses œufs, ses volailles ou encore ses alouettes. Son histoire est surtout celle d'un déclin. « Du XVIIe siècle à aujourd'hui, elle n'a cessé de voir son activité diminuer », précise-t-elle. Beaucoup d'hypothèses expliquent cette triste destinée : les intempéries et les incendies détruisant les récoltes et les marchandises; les événements historiques tels que la Fronde (période de troubles frappant le royaume de 1648 à 1653, pendant l'enfance de Louis XIV) qui a fait d'importants ravages autour 
d'Etampes, la guerre de 1870 ou encore celle de 1940.
Mais aussi la loi du marché. « Méréville est isolé des grands axes de circulation contrairement à d'autres grandes villes, continue la spécialiste. Elle subissait également la concurrence d'Etampes où les commerçants n'avaient pas de taxes à payer. Par ailleurs, sous l'Ancien Régime, elle était affermée à un marchand d'Etampes qui acheminait les blés directement là-bas sans passer par Méréville. »
Les progrès technologiques assènent le coup final. Les camions ne pouvant se garer sous le bâtiment surélevé, le marché est délocalisé, dans les années 


1960, derrière la mairie. La halle, qui vivotait depuis 1920, devient définitivement un lieu de mémoire.
Si son rôle économique a été assez limité, celui de lien social ne l'était pas. « Dans un document de 1860, il est raconté que les saltimbanques, des montreurs d'animaux et des jongleurs y donnaient des spectacles », décrit Bernard Binvel. « Les gens venaient également s'y faire recruter pour la tonte des moutons. On appelait ça le marché aux hommes », ajoute Raymonde Autier-Lejosne. L'historienne ajoute qu'à la libération, Méréville avait fait une publicité pour appâter les touristes. Les Parisiens venaient se ressourcer en logeant à l'hôtel du Parc et se retrouvaient sous la halle pour 

des bals. Une tradition qui, le 26 juin, devrait renaître. Des festivités sont prévues pour fêter les 500 ans de la halle.  La halle couvre une surface de 720m² (40m x 18m). Sa charpente en chêne est soutenue par 4 rangées de 11 piliers en châne reposant sur des socles de pierre taillée en dé. C'est Bertrand de Reilhac, par une grâce spéciale de Louis XII en 1511 qui obtint le droit de tenir 4 foires par an et un marché hebdomadaire. http://www.leparisien.fr/etampes-91150/500-ans-d-histoire-s-sous-la-halle-de-mereville-27-04-2011-1424253.php#xtref=https%3A%2F%2Fwww.google.fr et wikipédia]
Nous descendons par la rue Danton, retrouvons la rue curie et l’avenue de
   
 la république nous traversons la Juine sur la gauche un ancien moulin …. Enfin la ruine d’un moulin et encore heureusement que la carte nous dit que c’est un moulin….. Placé ou il est on se demande comment la roue était en contacte de l’eau.  Sur la droite un lavoir. Remontons un peu la D 18 et prenons la rue du larris sur la droite puis le chemin des cressonnières.  [Le cresson est un des légumes verts les plus riches en minéraux, en anti-oxydants et en vitamines. Il apporte très peu de calories mais c’est une sorte de 

fortifiant naturel en raison de la combinaison de fer et d’acide folique qui sont tous deux nécessaires à la fabrication des globules rouges et de la présence de vitamine C qui favorise l’absorption du fer. Autrefois, le ramassage de cette plante, connue seulement à l’état sauvage, se faisait au bord des fontaines et ruisseaux, c'est-à-dire aux endroits où le cresson poussait et se reproduisait naturellement. On ne sait pas trop d’ailleurs, s’il s’agissait de cresson, de cardamine ou de barbarée, deux espèces assez proches du cresson. Sa consommation était peu répandue.

Pour avoir réellement connaissance de culture, il faut attendre CARDON, gestionnaire des hôpitaux de la Grande Armée, se trouvant au quartier général d’ERFURT (en THURINGE) pendant la campagne napoléonienne de 1809-1810. S’inquiétant de l’approvisionnement sanitaire des soldats (le scorbut menaçant), il fut surpris, dit on, de voir un vaste bassin de verdure qui contrastait avec les champs de neige aux alentours. C’était une cressonnière exploitée depuis le XVIIe siècle. Il se documenta soigneusement et de retour en France, eut lui aussi l’idée d’introduire chez nous la pratique de cette culture. Il créa alors à SAINT-LEONARD, dans l’Oise, entre Senlis et Chantilly, la première cressonnière désignée comme telle. Il réussit dans son entreprise et fit des émules.
 
En 1835, il existait plus de cinquante cressonnières artificielles qui faisaient vivre au moins 300 familles. C’est en prospectant la région parisienne, que d’autres pionniers ont essaimé dans les vallées du grand-sud francilien, et notamment dans les vallées de l’Essonne, de l’Ecole, de la Chalouette et de la Juine. La culture prospéra, des voitures à cheval acheminaient le cresson jusqu’aux gares d’où il était transporté tout frais cueilli vers les Halles de Paris. Là, les mandataires revendaient cette fragile et précieuse denrée aux enchères montantes. Cette plante, 


qui est entièrement dépendante d’une eau de source (ou de forage) indemne de toute pollution, et riche en oligo-éléments. Elle se cultive dans des fonds de vallées, dans un cadre généralement préservé et d’une grande beauté. La récolte de la plante n’a pas beaucoup évolué depuis un siècle et demi. Le cressiculteur doit toujours avoir les pieds dans l’eau et pour outils : un couteau, des bottes, des liens, etc…. Le ramassage mécanisé en vrac est apparu ainsi que la substitution des berges en terre par des berges en dur, mais la plus grosse évolution de ces vingt dernières années est l’apparition du voile de forçage, l’hiver pour protéger du froid. http://www.cressonnieres.net/histoire.htm

Nous débouchons rue des Grenouillères que nous prenons à droite  nous arrivons dans un carrefour situé dans un virage que nous prenons à droite et au milieu du virage à gauche, le chemin des malmorts. Nous passons devant d’anciennes cressonnières pas de ciment, de grandes fosses peu profondes en terre légèrement en pente avec d’un coté l’arrivée de l’eau et de l’autre la sortie. Laissons un sentier sur la gauche et poursuivons notre chemin non loin de la Juine. Nous débouchons sur un chemin formant Té avec le notre. Quittons le GR 111. Nous prenons la branche de gauche, nous sortons des bois pour retrouver les champs et traversons la D49 au rond point et prenons en face la D 18 vers 
‘’Estouche-Pithiviers-Malesherbes’’. Quittons le bitume et prenons le premier chemin sur la gauche. Nous serpentons dans les champs, droite- gauche- droite, traversons la ligne de chemin de fer abandonnée. Nous apercevons le village de petit Villiers que nous contournerons. Prenons sur la droite le petit bout de route puis face à elle le chemin dans les champs. Coupons un chemin et prenons le second sur la gauche nous arrivons à la ferme de Grand Villiers. Prenons l’interminable route goudronnée sur notre droite (presque face à nous.) Passons des granges et nous rencontrons le GRP de L’Hurepoix poursuivons par la route qui descend fortement. Après le cimetière nous trouvons un sentier sur la gauche que nous prenons.  Nous sommes à Arrancourt et nous débouchons dans la rue des prés. Au carrefour à gauche la rue de l’Eclimont nous retrouvons le GRP. j’ai failli me tromper en prenant ce dernier sur la droite. Nous passons la rivière de 

L’Eclimont  [affluent de la Juine d’une longueur de 7,7km (wikipédia)] quitter le GRP et prendre la rue Fontaine du Faussillon sur la gauche. Au sablon nous quittons la route pour gravir la colline par un chemin dans les bois sur notre droite. Longeons la lisière du bois jusqu'à la D 721 et au hameau de Court Pain Remarqué cette immense bâtisse avec une tour, le tout à l’abandon.  Logiquement on aurait du poursuivre en face, il me semble que les propriétaires des maisons ce sont attribués le chemin permettant d’évité la route. Une fois à la maison je vérifie la 

carte. Si l’on agrandi cette dernière à 50 m nous ne trouvons plus de chemin. C’est encore l’IGN qui na pas mit ses planches à jour. Longeons la D 721 sur 500m, (la sente des loges n’existe plus.) et prenons le chemin du Montoir de Jaugy sur la gauche puis le premier chemin sur la droite et au bois à gauche. Nous sortons des champs pour pénétrer dans les bois et nous retrouvons le GR 111 sur la route des sauciers que nous prenons à droite. En bout de cette rue nous retrouvons l’église et notre parking.

 Les autres étapes de ce parcours Les autres étapes de ce parcours Cliquez sur la trace le nom de la promenade et l'adresse de la page de l'article s'affichent.
Sélectionner l'adresse Http
Copier là, par l'assemblage des touches "Ctrl + C" (je n'ai pas trouver la façon de le faire avec la sourie.)
Reportez là dans la barre de recherche de votre navigateur.



 Vous trouverez la carte de mes randos de la journée à l'adresse suivante. 
Toute mes randos de la journée
 Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit. 
Cliquez sur l'une des lignes, le nom de la promenade et l'adresse de la page de l'article s'affichent.
Sélectionner l'adresse Http
Copier là, par l'assemblage des touches "Ctrl + C" (je n'ai pas trouver la façon de le faire avec la sourie.)
Reportez là dans la barre de recherche de votre navigateur.




Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html

 

GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. Etape 7 Puiselet le Marais - Marolles en Beauce - Ormoy la Rivière


GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. 

GR 111 de Puiselet le Marais - Marolles en Beauce - Ormoy la Rivière : Etape 7

(trace bleu, GR 111 - Traces rouge, les "tiroirs", Traces de couleur "le retour" ) Pour la compréhension de la carte il n'y figure que les boucles du retour que l'on pourrait appeler promenade en Essonne.


GR 111E : Deux étapes en foret de Fontainebleau (sncf) pour rejoindre Mily la Foret
GR 111A : Puiselet le Marais rejoint La Ferté Alais (sncf)
GR 111B : Chalo St Mars rejoint Etampes (sncf)
GR 111D : Richarville rejoint Villeconin
GR111C : Montcouronne rejoint Saint Chéron (sncf)
Comme je suis un grand malade "de la marche" et que l'on emprunte de long parcours au GR 655  (Saint Jacques de Compostelle). Je me suis dit  ; pourquoi ne pas rentrer avec ce dernier, puis GR 1 & 11. Mais il y avait du déjà fait. Je suis revenu sur cette idée en remarquant que nous coupions de nombreux balisages locaux bien tracés et entretenus. Par chance, ils figurent sur la carte, j'ai donc tracé un long parcours sur le 655 pour rejoindre le centre de cet arc de cercle constitué par le GR 111. Je reviens sur Fontainebleau en butinant de ci de là avec de très bonne surprises. Bonne rando  

Carte : GR 111 de Puiselet le Marais - Marolles en Beauce - Ormoy la Rivière



Carte IGN    Trace GPX & Topo sans Comentaires    Trace Randogps    

Le code mobile de cette randonnée est b310992
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

février 2016

Km    Temps     Arret     V/d        V/g        Dénivelé
34,5   6h40       0h23      5,7          5,3            350+

Du Puiselet le Marais - Marolles en Beauce - Ormoy la Rivière

départ Puiselet le Marais. je trouve une place sur le petit parking face à l’école situé en centre ville sur la D 145.
      Dans l'étape 6 nous avions fait un départ de ce village et suivi le GR111a jusqu'à la Ferte Alais. Poursuivons aujourd'hui la branche principale.
Nous remontons la départementale (Rue de la Grande Vallée) et retrouvons le GR par le chemin de Saint Germain qui est également une branche du jacquaire. Nous débouchons sur une route que nous suivrons peu de temps à gauche avant de retrouver un chemin dans les champs. Nous longeons la lisière d'un bois, et débouchons sur un champ. Notre chemin fait un Té nous prenons à gauche suivons l'orée du bois et au carrefour suivant encore à gauche nous pénétrons dans

le bois. Sur la carte, à la cote 103  le GR tourne à droite. Nous avons une alternance de bois et de champs. Nous longeons ensuite un champ et nous débouchons sur la D 63 que nous prenons à droite, longue ligne droite plantée d'arbres. Le balisage n'est pas trop bien fait, il me semble que l'on prend le deuxième chemin, (Le chemin à prendre est en angle aigu par rapport à la route.) Puis, nous prenons le premier chemin sur la gauche. Le balisage a dut être modifie. Il doit continuer le chemin tout droit. Chemin qui n'existe pas sur la carte.  J'ai suivi ma trace. C'est à dire le tracé de la carte, mais je n'ai pas vu de balisage, le chemin partant à quatre vingt dix degrés sur la droite, n'est pas facile à voir surtout que nous sommes en plein champ. Je n'ai rencontré que de vieilles traces à moitiés effacées sur les arbres en font du vallon.
Après un virage à droite, nous gagnons une route que nous prenons à gauche et traversons le village de Mesnil Girault.
La châtellenie de Mesnil-Girault, dont les origines remontent au 11e siècle s’étendait sur les paroisses de Boissy, Ormoy, Fontaine Marolles en Beauce et la Forêt sainte croix. Le château était situé avec quelques fermes au cœur de ce territoire, l’actuel hameau de Mesnil-Girault.
Sans doute laïque à l’origine, cette châtellenie fut possédée très tôt par le Chapitre de la Collégiale Sainte Croix d’Orléans et bénéficiait d’une quasi-indépendance dans le baillage d’Etampes. Ces habitants avaient été libérés du servage moyennant le versement de la « gerbe de a liberté, soit une partie de la récolte.
 
Véritable gestionnaire des revenus et de la vie des habitants, la châtellenie percevait par les dîmes, champarts et autres taxes une partie des récoltes. Elle fonctionnait comme une entreprise intégrée, possédait des granges, le moulin des Clercs et des entrepôts situés à Etampes dans le petit hôtel de Mesnil-Girault alors construit à l’emplacement de l’actuelle place de l’Ancienne Comédie, rue de la Tannerie.
Les « Messieurs du Chapitre » de Sainte-Croix d’Orléans ne géraient pas directement leur domaine mais le confiaient à un fermier, l.e « receveur de Mesnil-Girault » qui, moyennant une somme d’argent et quelques avantages en nature fixés par un bail, percevait les revenus et payait les charges telles que la pension congrue (salaire) des curés et du vicaire des paroisses. La châtellenie rendait la justice dans le petit hôtel de Mesnil-Girault qui comportait une salle d’audience et une prison disparue dans la tourment révolutionnaire. http://www.boissy-la-riviere.fr/index.php/le-village/un-peu-dhistoire/ ] Dans le village, notre chemin forme Té, nous prenons à droite la rue du Mesnil Girault qui change de nom après la ferme et devient Route de Boissy en direction de Dhuilet et Ormoy la rivière. Faisons un crochet par la ferme fortifiée. Revenons dans la rue principale, nous sortons du village poursuivons la route. Nous sommes toujours sur le GR & le Jacquaire. Nous prenons enfin un chemin sur la droite dans les champs, (cote 140 sur la carte).

Nous sommes dans les champs. Après un virage à gauche, laissons le chemin menant à Dhuilet. Nous traversons la D721, poursuivons en face. Une intersection n'est pas facile à négocier, le chemin fait une fourche à trois branches nous prenons à droite . Au carrefour suivant nous rencontrons le PR qui viens ce joindre à notre itinéraire. Nous prenons à gauche, un chemin un peut mieux matérialisé  s'appelant chemin de Topineau. Nous arrivons Ormoy. L'itinéraire me surprend un peu, dans un premier temps nous prenons la Rue Grande à gauche vers le centre ville, mais rapidement nous prenons un chemin sur la droite, entre la zone industriel et des petits jardins avec maisonnettes. J’espérais passer un peu plus près de la rivière.
  Il tourne  à quatre vingt dix degrés sur la gauche et de sentier passe à route même s'il a conservé son nom de ''chemin des prés''. Nous sommes toujours sur le GR. Je me demande si passer en ville n’est pas plus jolie. Nous débouchons rue de l'église que nous prenons à droite. La rue fait un esse et traverse la Juine. J’ai bien aimé le vieux pont et le lavoir. Vieux pont de pierre du 18e siècle. Poursuivons la rue de Lendreville, coupons la route de D’Artondu, Poursuivons par le chemin de la Malmaison, au pied du château de Bellevue. [La Juine prend sa 
source dans le département du  Loiret, dans le bois de Chambaudoin, près d'Autruy-sur-Juine. L'origine de son nom lui vient du hameau de Juines qu'elle longe avant d'entrer dans le département de l'Essonne. Elle rejoint l'Essonne en limite des communes d'Itteville et de Vert-le-Petit, après 52,6 km. Elle alimente de nombreux moulins aujourd'hui abandonnés. Du XVe au XVIIIe siècles, elle formait avec l'Essonne et la Seine une voie navigable, empruntée par des bateaux à fond plat qui transportaient le blé de la Beauce, région céréalière, vers Paris. La Juine est une rivière très régulière, bénéficiant de la nappe de Beauce qui agit comme un puissant régulateur (caractéristique que l'on retrouve aussi notamment en Champagne crayeuse et dans la Hesbaye belge). Une bonne part de son débit provient en effet de cette nappe, et le régime de la rivière est largement tributaire du niveau de l'eau dans la nappe. La nappe de Beauce a une capacité de stockage estimée à 20 milliards de mètres cubes, soit 20 km3 ou encore dix-huit fois le volume du lac d'Annecy. Elle joue un rôle régulateur du débit des rivières très important, car elle contribue à l'alimentation naturelle des cours d’eau qui lui sont liés, tels le Loing, le Loir, l'Essonne, la Conie, etc. Elle fournit à l'ensemble de ces cours d'eau une masse d'environ 500 millions de m3/s par an en moyenne, soit 16 m3/s environ (wikipédia)] Après une bonne grimpette nous arrivons à une intersection du GR. Laissons le chemin Jacquaire partir sur la droite et poursuivons dans le bois. Nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche. Rapidement nous prenons un chemin en lisière de bois sur notre gauche ensuite nous avons un mauvais virage à droite il faut pas le louper mais le
balisage est bien fait avec des petits poteaux. (Ha! si le sud de la Seine et Marne et la foret de Fontainebleau pouvait prendre exemple…..) Sur la carte nous prenons le chemin du Montoir de Bierville nous redescendons, coupons une route, brusque virage à droite nous remontons. Nous rencontrons une tour  avec une inscription un peu effacé Régina P … OGN.  Au pied de la tour le sentier fait un brusque virage à gauche. Puis nous suivons ce qui ressemble à un chemin de croix Dommage les marbres pouvant donner des explications sont détruites [Dans la forêt a été tracé un chemin de croix, dont le départ se situe à proximité de l'ancienne gare de Bierville,] Nous longeons une ancienne ligne de chemin de fer, nous arrivons à l’ancienne gare encore habité. Tout est resté en place même les futurs travaux stoppé net par l'abandon d'exploitation. Traversons le petit potager prenons la rue en face et nous arrivons au 
château de Bierville. [Au XIe siècle, il est fait mention d'un domaine appartenant au chevalier Lancelot de Bierville. Seul le pigeonnier (XIVe siècle) du château féodal a survécu. Le bâtiment principal a dans ses grandes lignes son aspect actuel depuis le milieu du XVIIIe siècle.
Le château et le domaine appartiennent successivement à de familles apparentées aux Richelieu (les Fuzée de 1604 à 1737, les Poilloüe de Saint-Mars jusqu'à la Révolution, où ils deviennent bien national en 1794, un des fils du propriétaire étant accusé d'avoir émigré malgré les dénégations de son père qui soutenait qu'il était mort). Ils sont ensuite acquis au XIXe siècle par la famille Van Loo.

Le château et le domaine sont achetés en 1921 par Marc Sangnier, député démocrate-chrétien avant la lettre, pionnier du mouvement des Auberges de Jeunesse en France3, élu maire de Boissy-la-Rivière en 1925, avant d'être légués à la CFTC (devenue CFDT en 1964).

C'est aujourd'hui un centre de formation syndicale et de séminaires (wikipédia) J’ai lu également que l’on pouvait louer des salles] Longeons par la route l’enceinte du château coupons à nouveau la Juine, puis l’Eclimont. Nous arrivons à Boissy la rivière [Histoire de la commune de Boissy-la-Rivière
du latin buxus, « buis », désignant un lieu couvert de cet arbrisseau, et du bas-latin ripars, dérivé du latin ripa, « rive, bande de terre bordée d'un cours d'eau ».

Implanté dans la vallée de la Juine, Boissy-la-Rivière est un lieu de passage dès le Néolithique. En septembre 1115, l'église du village est cédée par Daimbert, archevêque de Sens, aux chanoines de l'abbaye Sainte-Croix d'Orléans. Philippe Auguste ayant placé leurs terres hors de l'autorité de la ville d'Étampes, les chanoines possèdent alors tout pouvoir, spirituel et temporel, sur les serfs de Boissy-la-Rivière. La totalité du territoire, à l'exception de Bierville, appartient à l'abbaye. En 1224, les serfs sont affranchis moyennant le paiement de la gerbe de la liberté, soit une gerbe sur 12. Ils doivent la porter à plusieurs kilomètres du bourg, dans les granges de la châtellenie de Mesnil-Girault appartenant au chapitre de Sainte-Croix. Celui-ci est représenté par le « receveur général de la terre de Mesnil-Girault » qui perçoit l'ensemble des impôts. Lors de la vente des biens nationaux pendant la Révolution, Mesnil-Girault est démantelé, et Boissy-la-Rivière est érigé en commune dans les limites de 

l'ancienne paroisse, incluant le hameau de Bierville avec son château et les terres de Mesnil-Girault. http://fr.topic-topos.com/patrimoine-boissy-la-rivierehttp://fr.topic-topos.com/patrimoine-boissy-la-riviere
Nous passons devant l’église et abandonnons le GR 111 en prenant sur la gauche la rue de la mairie. Nous débouchons sur la rue de la fraternité et poursuivons la grimpette par la rue des grands rebords. Coupons la D 721 et prenons le chemin dans les champs. J'ai rencontré quelques problèmes avec les chemins dans cette partie de rando non balisée. Le socle de la charrue ayant supprimé le passage, ou une carte IGN non à jour n'ayant pas noté les déplacements de chemin. il faut juste bien suivre la carte ou la trace.
 Nous arrivons à Marolles en Beauce par le chemin de Boissy. La première modification ce trouve entre les repères sur la carte 141 et 146 dans la pièce dite des carolins, il n'est plus possible de traverser t'elle que la carte l'indique il faut contourner la pièce de terre, on retrouve le chemin que l'on prend à gauche. Notre chemin débouche sur un autre faisant Té que l'on prend à droite. Nous rencontrons le même souci entre la cote 138 et 137 le chemin à disparu dans la pièce de terre nous sommes obligés de réaliser un triangle afin de rejoindre le chemin de Boissy. Nous débouchons sur la D 145 que nous prenons à gauche, (Grande Rue) après l’église nous prenons le chemin des vignes qui débouche dans les champs. Nous faisons un esse droite gauche. Ici, j’ai eu des soucis avec les chemins. Je trace mes itinéraires sur la carte avec l’échelle 100m et ma trace utilise les chemins dessinés à ce niveau. Sur place lorsque je ne retrouve pas de chemin j’accuse les agriculteurs de passer le socle de la charrue pour obtenir des champs plus grands afin d’éviter toute les manœuvres que l’on doit faire dans un petit champ, et puis une fois de retour afin d’obtenir les noms des rues lorsque l’ont traverse les villages j'utilise l'échelle 50 ou 20 m et le chemin qui se trouve sur la planche des 100 m à disparu. Sur la carte à l'échelle 20 m c'est le chemin serpentant à l'orée du bois qui apparait.
Ce n’est pas l’agriculteur qu’il faut accuser, mais l’IGN qui n’a pas mis toute ses planches à jour. Donc après un virage de notre chemin à gauche, nous passons un bois et prenons à gauche le chemin en lisière de ce même bois. Nous zigzaguons en lisière entre champ et bois, débouchons sur un chemin que nous prenons à droite puis à gauche à la cote 139, un chemin qui n'existe pas sur la carte .
Après un tracé un peut compliqué dans les champs ou il faut avoir la carte ou le GPS continuellement à la main. Nous rejoignons un chemin existant sur la carte. Après un petit bois dans la pièce de terre s'appelant la roche au loup, nous apercevons le château d’eau, le clocher et les bâtiments d’une grosse usine d'un village mon chemin sur ma carte   tourne à gauche contournant le petit bois et rejoint la D 145. Des traces de quad partent sur la droite vers le château d’eau, je tente l'itinéraire.  Mais mon chemin semble déboucher sur une jachère et un stockage de paille. Je rejoins la route en coupant à travers la jachère qui devient chemin. Nous arrivons à La Foret Sainte Croix par le chemin de la mare Michon. Nous passons devant l’usine à 
l’abandon, et débouchons  sur la D 63 que nous prenons à gauche. [Les outils en pierre taillée ou polie ramassés sur le territoire de la commune indiquent qu’il a été fréquenté par les hommes depuis les temps préhistoriques, il y a plus de 35000 ans, et que le défrichement, commencé au mésolithique (- 10000 ans), s’est poursuivi au néolithique (- 5000 ans), puis avec les Gaulois de l’Âge du fer (- 850 ans). Les monnaies, les débris de tuiles et de céramiques montrent que les exploitations agricoles des Gallo-romains ont remplacé les fermes gauloises, jusqu’à leur destruction lors des Grandes Invasions du début du V siècle. Les taillis et la forêt recouvrirent alors les terres qui n’étaient plus cultivées, jusqu’à la reprise des défrichements mis en œuvre par les seigneurs du Moyen Âge. 
La Forêt-Sainte-Croix fut, ainsi, fondé, en 1155, par le chapitre des chanoines de 

la cathédrale Sainte-Croix d’Orléans. wikipédia] Comme le clocher ma intrigué je me détourne de ma trace pour suivre la rue grande et passer devant l’église. [Au chevet de l’édifice, le puits, qui alimentait le village avant l’adduction d’eau réalisée à partir de 1925, est protégée par une charpente couverte qui abritait le mécanisme du 19ème wikipédia] Traversons le village. A un carrefour en forme de patte d'oie nous laissons la rue grande sur la gauche et poursuivons la départementale sur la droite. A la sortie du village dans un virage  à gauche nous laissons la départementale et prenons le chemin dans les champs sur la droite, il fait rapidement fourche et l'on prend la branche de gauche. Nous descendons vers le bois (cote 121 sur la carte), à l'orée nous prenons le chemin sur la droite et lorsque nous arrivons de nouveau à un bois  nous prenons à gauche. Ensuite j’ai eu quelques soucis entre la côte 122 et 110 dans la parcelle ‘’Les Vieux Brûlés’’ je me trouve devant une clôture. Je suis fatigué et le chemin sur la droite me rallonge de plusieurs kilomètres. De l’autre coté de cette parcelle clôturée, le chemin continu. Je décide de contourner la clôture en passant dans le champ. Pas facile de marcher entre les plantations et la clôture surtout au niveau du bois, ou les branches gênent le passage.
je rejoins un chemin puis ma trace. J’arrive à la ferme des Mézières et je prends la rue sur la gauche (rue des Mézières) longue route que nous ne quitterons plus jusqu’au Puiselet le Marais. Cette rue se termine en descendant. Je devais reprendre un chemin sur la droite afin de retrouver un bout du GR 111 de l’étape 6, lorsque j’ai vu la pente à gravir, je me suis dit que cela ne valait pas le coup. J’ai donc poursuivi le bitume, puis la D 145 pour arriver au centre du village et à mon petit parking.  

Sur cette longue route j'ai eu la chance de rencontrer beaucoup d'animaux.
     


Les autres étapes de ce parcours Cliquez sur la trace le nom de la promenade et l'adresse de la page de l'article s'affichent.
Sélectionner l'adresse Http
Copier là, par l'assemblage des touches "Ctrl + C" (je n'ai pas trouver la façon de le faire avec la sourie.)
Reportez là dans la barre de recherche de votre navigateur.

Vous trouverez la carte de mes randos de la journée à l'adresse suivante. 
Toute mes randos de la journée
 Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit. 
Cliquez sur l'une des lignes, le nom de la promenade et l'adresse de la page de l'article s'affichent.
Sélectionner l'adresse Http
Copier là, par l'assemblage des touches "Ctrl + C" (je n'ai pas trouver la façon de le faire avec la sourie.)
Reportez là dans la barre de recherche de votre navigateur.




Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html