lundi 2 janvier 2017

Le Limousin : Lac de Saint Pardoux

Le petit tour du lac de Saint Pardoux


Le code mobile de cette randonnée est b310084
 
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km      temps    arrêt    V/d     V/g     dénivelé
25,7     5:37      0:27    5,4      4,9        532 +

Sa superficie est de 330 hectares, et il est situé à une altitude de 360 mètres NGF. Il se trouve au confluent de la Couze et du Ritord.
Son jeune âge fait que sa superficie n'est pas encore stabilisée, l'érosion plus rapide des berges est toujours en cours. Il a servi de sujet d'étude pour une thèse sur l'évolution morphologique des lacs de barrage artificiel.
Le lac a fait l'objet de plusieurs polémiques quant à sa réputation d'avoir un taux de radioactivité supérieur à la normale, du fait de l'extraction d'uranium à proximité par la Cogéma mais aussi par la simple présence de ce minerai à l'état naturel dans le sol de la région. Les anciens travaux de sécurisation du site avaient ainsi été mis en cause. En conséquence, la vidange périodique du lac, initialement prévue en 2008, a été avancée de deux ans et a eu lieu à l'hiver 2006-2007. À cette occasion, les installations ont été vérifiées et les sédiments ont été curés par Areva. Wikipédia

LIMOGES
Environnement

samedi 10 avril 2010 - 11:34

La pollution radioactive du lac de Saint-Pardoux (87) serait plus
forte qu’avant le curage. Le collectif "Sous nos pieds" (*) demande la transparence.

En 2007, les niveaux de radioactivité relevés sur les sédiments dans le lac avaient conduit le Conseil général et Areva à procéder à un curage, à l’occasion de la vidange. Problème réglé pour les uns, forcément pérenne pour d’autres : la polémique subsistait.
De sorte qu’a été mis en place un dispositif vérifiant la radioactivité des nouveaux sédiments, sous le contrôle d’un comité technique. « Le public et le milieu associatif en ont été écartés et plus aucune information n’est délivrée quant à la réalité des pollutions actuelles », déplore le collectif "Sous nos pieds".
Or, selon ce dernier, une récente étude du laboratoire universitaire Pe@rl, commandée par le Conseil général, confirmerait les craintes : « Le lac serait aujourd’hui plus pollué encore que lors de la récente vidange », indique le collectif, soupçonnant le Conseil général de garder le secret alors que se profile la saison estivale.

Aussi demande-t-il copie du rapport de Pe@rl, avec l’objectif d’assurer l’information du public, tout en interrogeant le Conseil général et Areva sur leurs intentions pour remédier à cette situation.
(*) Créé il y a quelques mois, "Sous nos pieds, héritage nucléaire du Limousin", rassemble une quinzaine d’associations et des mouvements politiques : Adepal, Adex, Objecteurs de croissance, Air de nos campagnes, Attac, Chlorophylle, Limousin Nature Environnement, Corrèze Environnement, Guéret Environnement, Sources et rivières du Limousin, Vélorution, Gauche alternative et écologiste, Jeunes démocrates, les Verts, NPA, Parti occitan ? http://www.sortirdunucleaire.org/Saint-Pardoux-la-radioactivite

En effet curé en 2007 le Lac de St Pardoux semble à nouveau atteindre les mêmes niveaux de pollution 3 ans après.
Pour le moment le débat n’est pas sanitaire, aucune étude épidémiologique n’a jamais été réalisé par le passé afin de mesurer les impacts réels sur la santé. Toutefois le débat est bien démocratique puisque nous devons tous demander des comptes sur l’avenir de notre environnement comme le demande le collectif Sous Nos Pieds depuis sa création : déchets liés à l’ancienne exploitation des mines d’uranium, pollutions de l’eau…Communiqué de presse du 4 août 2010
Pollution radioactive du lac de St Pardoux :
tourisme ou déchets il va falloir choisir
A l’occasion de la manifestation « Randonnez vous au Lac de St Pardoux, organisation d’une campagne d’information sur la pollution radioactive du lac.
Le collectif « Sous nos pieds, l’héritage nucléaire du Limousin » s’était étonné il y a quelques mois que le comité de suivi de la contamination radioactive du lac de Saint-Pardoux soit resté muet sur les résultats de 2008 et 2009. A notre demande insistante, le Conseil Général a bien voulu enfin nous les faire parvenir.
Site touristique d’importance du département de la Haute Vienne, le site est en effet situé au coeur des anciens sites miniers d’uranium aujourd’hui sites de stockage de déchets radioactifs.
La pollution radioactive du lac avait été reconnue après plus de 10 ans d’alertes du milieu associatif, et le lac était curé en 2007 à l’occasion de sa dernière vidange. (Ces 11000 m3 de boues contaminées sont aujourd’hui stockées comme déchets radioactifs au centre de stockage de Bellezanne.)
Dés 2007, le milieu associatif alertait le Conseil Général et AREVA sur le fait que cette opération de curage ne réglerait pas le problème de la pollution continue du lac, en l’absence de mesures de traitement à la source du problème.
A cette époque le Conseil Général clamait au contraire que le problème était réglé, titrant même son bulletin d’information ainsi : « un étang tout neuf ! »


A la demande des associations un piège à sédiments avait alors été mis en place afin de vérifier la
contamination éventuelle des nouveaux sédiments arrivant dans le lac, et un comité technique avait été créé. C’est le résultat de ses observations que le Conseil Général cachait jusqu’alors que nous voulons rendre public, car elles montrent la persistance d’une pollution radioactive du lac bien supérieure au seuil fixé par l’arrêté préfectoral du 31 décembre 2003, prescrivant à COGEMA le suivi et la surveillance de ses rejets d’eau aboutissant au lac de Saint-Pardoux
Cette pollution est située au niveau de l’anse de Chabannes, à l’arrivée du cours d’eau le Ritord, lui aussi très contaminé.

Le collectif Sous nos Pieds a donc décidé de profiter de la manifestation touristique du 5 septembre afin d’informer le public de la réalité des pollutions. La contamination des sédiments du lac de Saint-Pardoux n’est cependant qu’un exemple de la pollution des eaux en aval des anciens sites miniers, reconvertis aujourd’hui pour certains en lieux de stockage de différents déchets radioactifs.
Le collectif demande maintenant que toute la lumière soit faite sur ce que comptent faire le CG et AREVA pour remédier enfin à cette situation.
http://blog.vertchezmoi.net/pollution-radioactive-du-lac-de-st-pardoux/
 http://www.lepopulaire.fr/saint-pardoux/transport/2016/04/08/la-piscine-de-saint-pardoux-prend-forme-peu-a-peu_11861777.html

Nous voilà prévenu. C’est certainement pour cette raison qu’un complexe aquatique est en construction à Santrop. Une fois en service (2017), il faudra le rentabiliser au plus vite et les eaux du lac seront certainement interdite … ce n’est qu’une supposition de ma part. Faudra certainement interdire également la planche à voile (sauf pour ceux qui ne tombe jamais à l’eau) et le ski nautique...

J'ai eu l’occasion de me rendre assez souvent dans le Limousin. Un jour, je décide de faire le tour du lac, sans étudier la carte au préalable j'ai simplement recopié la trace GPS sur internet, je pensais que c'était fort simple... L'eau d'un coté, les bois de l'autre. C'était sans compter avec les villages de bordures et les deux circuits autour du lac.
Le circuit jaune proche de l'eau que j'ai appelé le petit tour.
Le circuit orange, quittant de temps en temps les bords du lac pour se promener dans la campagne et la foret.

Le lac de Saint Pardoux, 330 hectares d'eau, une véritable mer intérieure nichée au cœur de la foret Limousine. 

Je me rends donc au village de Saint Pardoux. Charmant village ou nous trouvons tout les commerces pour préparer le repas de notre journée. Ce n'est certainement pas le meilleur lieu pour garer la voiture. Excentrer du lac, il vaut mieux choisir les sites aménagés de Fréaudour - Santrop ou Chabanne. L’inconvénient c'est que ces villages n'ont aucuns commerces.
Si j'avais débuté de ses lieux je ne me serais certainement pas trompé. J'aurais tout de suite compris que c'était le balisage jaune qu'il fallait suivre.
Après être passé devant l'église et la halle nous sortons du village en passant devant un petit étang comportant un lavoir sur la rive opposée. Nous arrivons à un carrefour et trouvons les informations une piste cyclable et les deux balisages un jaune et un orange, nous emmènent au lac. Traversons le carrefour et prenons la piste cyclable, c'est un peut plus long que la route, mais plus tranquille. Nous grimpons dans le bois et débouchons dans les champs, nous avons une vue sur les monts et au loin une petite tache bleu, le lac. Vingt quatre kilomètres cette petite tâche bleu ? Il se fout de nous... Nous arrivons à une intersection de sentier avec une information pas très clair. Le poteau référence ce nomme de Bures  365m d'altitude. En effet un balisage jaune part sur la droite, normale, cela peut être un départ dans le sens inverse des aiguilles d'une montre, mais je veux le faire dans l'autre sens et je ne vois rien. Comme cette information est loin du lac, que je le vois à quelques centaines de mètres, je suis la piste cyclable qui ce dirige vers ce bras d'eau. En bordure de l'eau, je rencontre le GRP et le balisage orange et certainement le jaune, mais je n'y prête pas attention, persuadé que le tour du lac est orange. Généralement les balisages jaunes sont de petits boucles. 
Sur la piste cyclable je trouve des noix à moitiés écrasées personne ne les avaient ramassées. Ils en restaient quelques unes entières et j'ai remplie une poche de mon sac à dos. Nous arrivons au village de Fréaudour. et c'est là que je me trompe. Ma trace me fait rejoindre les bords du lac, mais je ne comprend pas comment. Je n'ai aucune trace me faisant partir sur la droite rejoignant l'eau rapidement. Je suis le balisage, orange et GRP qui traverse le village. Je vois bien la croix du balisage jaune, mais n'y prête pas attention. Je traverse le village suis l'orange, fait demi tour au château d'eau, redescend jusqu'au bord du lac mais constate que des clôtures condamnent le passage, 
remonte, ne prête absolument pas attention au balisage jaune, et me dis ; le chemin à du être modifié. C'est bien après lorsque j'ai vu la direction du pont de Santrop que je me suis rendu compte qu'il fallait suivre le jaune, et que je me rend compte que l'orange c'est le grand tour.
Revenons à notre itinéraire. Nous entrons quelques mètres dans le village, constatons la croix jaune sur un panneau de circulation, abandonnons le GRP et le balisage orange, pour prendre sur la 
droite un chemin qui descend. Chemin, semblent ne desservirent que des maisons. Il se poursuit entre de petits murs et les haies des prairies. Nous arrivons en bordure de l'eau prenons sur la gauche. Nous faisons le tour de cette langue de terre entrant dans cette mer intérieure artificielle. Nous traversons un bois de sapin et retrouvons la piste cyclable Juste avant le pont en béton de Santrop nous poursuivons par un pont en bois au dessus d'une zone spongieuse et longeons la départementale. Traversons un parking. Ici je n'ai pas trop compris le balisage.... Il me semble que le plus simple est de traverser le parking perpendiculairement puis la route et de poursuivre les bords du lac de l'autre coté.
Ou ; Longer le parking, nous arrivons en bordure du lac ou nous trouvons une belle vue sur le lac et nous pouvons poursuivre en passant sous le pont. Mais je n'ai pas vu de balisage. Attention à cet endroit il doit tout juste faire deux mètres de haut. On s'éloigne un peu du lac et l'on retrouve le balisage orange et GRP provenant de la gauche. 
           [Certain passage ne sont pas facile] Poursuivons le balisage jaune autour du lac. Nous arrivons sur une route. On abandonne le balisage orange et poursuivons sur la droite le GRP et le jaune, nous arrivons au village de La Ribière abandonnons le GRP, le jaune tourne à droite et nous regagnons la rive du lac.
 
Nous retrouvons un peut plus loin le GRP qui passait par le village. Attention à partir d'ici le chemin est commun au VTT. Nous sommes au font du lac et passons sur une passerelle immense, un peu glissante par temps de pluie, au dessus d'une tourbière, ou un espace spongieux. Nous arrivons au poteau d'information Puypérier. On laisse le beau chemin qui monte vers le village, et l'on prend le sentier à droite rejoignant le bord du lac et le bas du village. Balisage jaune, GRP et l'on retrouve l'orange. Nous apercevons 
entre les arbres en fond de ce bras d'eau un bâtiment en bordure de l'eau, poursuivons, nous entendons de l'eau coulé, et apercevons une cascade. Nous trouvons un sentier dans les ronces nous permettant de rejoindre cette cascade. Revenons sur notre balisage. Nous arrivons au poteau d’information Razes   Etang de Couze altitude 366m nous quittons le GRP des Monts d’Ambazac partant à gauche et poursuivons sur la droite un chemin passant sur un pont et au dessus de la cascade, nous trouvons sur la droite une espèce de caverne, grotte, ou simplement un abri ? l’entrée est renforcée par de beaux blocs bien appareillés. nous traversons une digue : à gauche l’Etang de Couze et à droite le lac. Nous sommes sur le sentier
jaune et orange. Ne vous laissez pas embarquer par ce large chemin qui grimpe, le balisage tourne brusquement à droite et rejoint les rives du lac. Nous sommes passés sur l’autre rive et notre paysage change quelques peu. Suivons ce long beau chemin qui s’éloigne du bord. Après une petite montée le chemin fait un grand virage à angle aigu (sur la droite nous apercevons le château d’eau du village de Friaudour ) ce détour doit éviter le pont de Santrop. Traversons la route D44 et prenons le chemin sous les arbres, nous retrouvons le balisage au dessus de la plage. 
Prochainement un centre aquatique sera ouvert 2017 et je suppose que le lac sera interdit à la baignade. Ne suivons pas les pancartes de l’accro branches grimpons et à mi pente nous prenons le sentier de droite. Balisage jaune et orange. Nous longeons l’acro branches. Dans cet espace une tyrolienne traverse un petit bras du lac pour atterrir sur un arbre en bordure de la rive et l’on revient par une autre tyrolienne un peut moins haute. Nous passons devant un mariage improbable un chêne et un hêtre entrelacé. Dans une monté, nous 
quittons les rives du lac  par un virage à gauche et nous arrivons sur un plateau rempli de fougères et de bruyères callune. 
                                            
[Il est possible de suivre la rive du lac par le petit sentier que nous apercevons, il n’est plus employé ou rarement, un peu encombré de branches et de fougères, agréable dans sa première partie car plan. Beaucoup plus délicat au niveau du village du Moulin de Chabannes, il grimpe perpendiculairement à la pente pour rejoindre 

le chemin, et l’on risque de ce retrouver les fesse dans l’eau mais la marche est haute…. Quoi que les arbres peuvent nous retenir. D’ou la déviation.] Nous débouchons à l’entrée du village, le balisage ne nous fait pas pénétré dans ce bout du monde ou nous trouvons des pancartes un peu partout propriété privés, défense de stationner, On a pas l’impression d’être bien accueilli dans ce dernier. Faut dire qu’il n’y a qu’une rue sans issu se terminant au bord de l'eau. Les propriétés ne permettent pas  de 
suivre la rive, alors prenons la route à gauche jusqu’au affreux escalier métallique que nous prenons à droite servant à protéger ce passage fragilisé par le passage des randonneurs et vététistes. Nous arrivons sur le parking du site de Chabannes et de son centre de voile. On perd le balisage, traversons le parking et remontons par l’entrée la plus proche du site. Traverser la route et prendre le chemin qui surplombe la plage de sable fin. Nous arrivons au poteau d’information Compréniac
site de chabanne 365 m on quitte le balisage orange  pour prendre le sentier balisage jaune sur la droite nous trouvons de longue passerelle au dessus de terrains spongieux. Nous arrivons à un nouveau poteau d’information ou le site de Chabanne est à 22 km je pense qu’il y a une erreur ce doit être 2.2 km ou alors la flèche est dans le mauvais sens. Nous passons une nouvelle digue avec un étang sur la gauche que je ne retrouve pas 
vraiment sur la carte. Il devait y avoir un pont sur ce bras. Nous arrivons à Villebert traversons le village, nous retrouvons le GRP à la sortie de ce dernier. Nous avons une patte d’oie, la branche de droite mène à des propriétés privées, nous prenons la branche de gauche qui ce dirige vers le lac. A la pierre blanche nous abandonnons le balisage orange  et poursuivons le GRP et le balisage jaune tout droit en bordure du lac. Prenons les passerelles nous permettant de marcher sur les fonds spongieux sans ce mouiller les pieds. On quitte le large chemin pour suivre un sentier
à flanc de rive. Au loin nous apercevons la grande digue fermant le lac. Nous abandonnons une nouvelle fois le GRP et retrouvons le balisage orange. Traversons le barrage en suivant le balisage orange et jaune. Et de l’autre coté pas une trace de rivière. Pas d’eau tout est canalisé. Au poteau « digue du lac 360m » on nous dit que Friaudour est à 1,8km. On perd le balisage orange à l’entrée du parking il part sur la gauche et l’on perd totalement le 
balisage jaune en traversant le parking suivre la route, passons devant le hameau de gîtes, nous grimpons sur la gauche après la route d’accès au gîte, nous trouvons la piste cyclable et le balisage jaune. Nous traversons la route et sommes arrivés. Nous revenons à Saint Pardoux par la piste cyclable sur la gauche.







 

 

 

 

 

Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html

Rando Insolite en foret de Fontainebleau N° 8 Les Trois Pignons

Randos Insolite pour ouvrir les yeux... N°8


Je me posais la question suivante : Qu’elles points d’intérêts pourraient faire parcourir la foret à un randonneur peu motivé pour une promenade de la journée ? Personnellement je peux partir un matin sans but précis, faire et refaire les mêmes secteurs, avec la même joie, et découvrir ici un arbre avec une lucarne, là un rocher aux formes bizarres. Parfois de l’amertume lorsque les parcelles traversées ne sont pas dans l’état que l’on espérait les revoir. C’est en parcourant le Fort des Moulins qu’il m’est venu l’idée de réaliser des randos montrant les traces laissées par nos ancêtres. Ce secteur en est riches. Des traces du style inscriptions sur des rochers (sauf les rupestres), Monuments, ou fondations de bâtiments, plaques commémoratives. 
Il y a quelques temps sur un chemin de rando, j’ai croisé un groupe monstrueux. Il a fallut que je me pousse dans les ronces pour laisser passer ce troupeau. Qui m’a vu ? Qui m'a salué ? Peu de monde. La tête baissée, ils regardaient leurs pieds. Ils papotaient. Fallait voir leur têtes, lorsque je leurs disais bonjours…….. ! Peu la  lève.... la tête. Un peu lourde en ce dimanche matin. Peux ont entendu, ceux qui me découvre, on des yeux stupéfait, "c’est qui ce C.. "qui nous dérange !!!!  Il n’était que 10h00, ils n’étaient certainement pas exténués. Je me croyais dans le métro à une heure de pointe. A un moment je leur ai crié ne regardez pas vos pieds mais le paysage......
Cela ma donnée l’envie de rechercher dans mes souvenirs les points, ou Denecourt et d'autres Sylvains remerciaient ses donateurs par une inscription sur un rocher, une plaque de marbre, ou en fonte d'un jeune sculpteur. C’est un bon point de départ. Quelques recherches sur internet me font compléter ceux que je ne connaissais pas. J’en arrive à réaliser sept circuits de plus de 20 km regroupant un bon nombre de ses points. Bien sur, les circuits restes ouverts, n’ayant pas la prétention de tout connaître. On pourra me prévenir de modifier tel ou tel circuit pour se rendre sur un point inconnu de moi.
J’ai omis tous ce qui est gravures rupestres, d’une part parce que j’en connais fort peu. A
l’époque ou je fréquentais les promenades du GERSARD je ne marquais pas sur la carte les « trous » "appelés chambre ou grotte tout dépend de leur formations" ou l'on trouvaient ses marques. Je comptais sur ma mémoire, qui aujourd’hui est défaillante. Et, puis les gravures rupestres, elles datent des époques gauloise ou moyenâgeuse, il faut les respecter et éviter cela.
Un prénom gravés sur une triple enceintes, emprunte rupestre assez fréquente en foret, datant je crois du moyenne âge. Je ne souhaite pas être la cause de se ravage. Par contre des gravures modernes, visages, poissons, noms, phrases vous en aurez, elles me semblent moderne et plus curieuse qu’historique.
Il est vrai de demain..... elles seront historique.



  Carte IGN avec Repères   Trace GPS & Topo sans Commentaires    Trace Randogps  

Le code mobile de cette randonnée est b310080

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Attention les repères Longitude et latitude des gouttes d'eau ne sont pas exactes...

Hé oui ! je n’ai pas mis non plus les points GPS. On ne joue pas au géocache.... Avec les points GPS on ne regarde plus autour de soit, mais son écran. Le tracé passe à coté de ce que l’on doit voir, à vous d’ouvrir les yeux, d’être curieux, de regardez, autour de vous. Ne soyez pas comme les moutons d'écrits plus haut. Si vous ne trouvez pas ce que j’ai vu, ce n’ai pas grave, vous aurez peut être vu autre chose, la foret rengorge de très beaux chênes, hêtres, arbres reliés, arbres greffés, champignons aux couleurs diverses, végétaux plus ou moins rares dans nos contrées.  

Une chose encore. Le temps de parcours ne tient absolument pas compte du temps de recherche. Sur certain point inconnu de moi, je suis revenu trois, quatre, cinq fois. Parfois après avoir abandonné plusieurs semaines, je revenais les idées plus clair et trouvais en trois minutes ce que j’avais cherché des heures.
Bonne promenade.

 Circuit 8     Les Trois Pignons


Janvier 2016

KM     Temps     Arret    V/d    V/g     Dénivelé

 26        5h50       1h30   4,5    3,6        712+
Attention : Dans ce parcours nous emprunterons certaine partie du Sentier Montagne (Les Milles ou encore plus connu sous le nom des 25 bosses) comme on l’appelle. Il vaut mieux être bien chaussé et en bonne condition physique.



Départ : De Fontainebleau la D 409 direction Arbonne et Milly. C’est le premier grand parking sur la gauche après l’autoroute.

De Milly la D837 direction Fontainebleau, C’est le parking situé après l’auberge abandonnée ‘’Le Coquibus’’ et la route de Noisy sur Ecole. Il est situé, sur la droite après le panneau département de Seine et Marne. Un peut avant le pont de l’autoroute



 Nous prenons le chemin de la Borne à l’Enfant situé face à l’entrée du parking c’est également le sentier bleu. Quittons le sentier bleu au premier vrai chemin que l’on trouve sur la droite sans pancarte. Le secteur proche du parking est truffé de sentiers, on trouve également un balisage jaune. Le chemin fait fourche nous prenons la branche de gauche débouchons sur le chemin de la Sapinière que l’on prend à droite. Quittons le sentier jaune au premier chemin sur la gauche on aperçoit une zone dégagé et un monticule de sable tout en longueur c’est l’aqueduc de la vanne se trouvant en souterrain. Nous prenons à gauche le chemin longeant l’aqueduc. Nous retrouvons un balisage jaune et nous arrivons devant l’ouvrage aérien, nous passons sur la droite et dans le creux de la vallée nous trouvons le chemin de trappe charrette. Nous quittons le balisage jaune pour prendre dans la parcelle un petit sentier sur la gauche du chemin de trappe charrette, grimpant vers le Laris qui Parle & la Plaine de la Charme. Le sentier serpente dans les rochers, la bruyère et les fougères. Dans sa partie haute nous trouvons le sentier bleu que nous prenons à droite. Laissons le raccordement 16-16 sur la gauche et poursuivons le bleu, laissons le second raccordement 16-16 et poursuivons le sentier bleu, à longeant le flanc de la colline. J’ai choisi le sentier bleu pour la simplicité, (mais l’on pourrait couper par la gorge aux chats.) Après un agréable détour parmi de beaux rochers une descente assez dangereuse, très glissante par les racines affleurant le sol. Le sentier coupe le chemin de la gorge aux chats et grimpe en face. Nous arrivons au sommet de la colline, nous passons dans une ancienne carrière marqué ‘’M’’ et trouvons sur notre droite un beau point de vue sur la plaine et cette masse sombre sans forme particulière au dessus de la colline (certain le décrive comme un arbre d’autre comme une tour de château) C’est le château d’eau de la ville de Maisse. Nous trouvons également 
 

La station 1 ; les restes d’une ancienne plate forme (du moins je le pense) des wagons de transport des pavées.

Un peut plus loin sur la droite un rocher marqué ‘’N’’
 
La station 2 ; gros rocher, fort découpé. Nous y trouvons des gravures modernes et une tentative d’un dessin de chariot ou de voiture.
  

Poursuivons le sentier bleu et passons au milieu d’une ancienne carrière. Remarquable par son volume de pavés non conforme.  
Le sentier descend légèrement et sur l’un des rochers à notre droite, juste avant la seconde carrière, nous essayons de trouver

La station 3 ; Sur la face opposé au sentier entre des rochers nous trouvons sur une surface a peu prés plane un beau dessin de diablotin.
Revenons sur le sentier arrivée à la seconde carrière nous trouvons dans le creux de la vallée un sentier sur la droite descendant dans la bruyère pour rejoindre le chemin de la Plaine du Pommier Sauvage que nous prenons à droite. (Si vous loupé ce chemin ce n’est pas grave poursuivez le sentier bleu et à la rencontre du chemin le prendre à droite.) Si vous avez loupé le diablotin vous pouvez le retrouver par le chemin du bas sur la droite vous avez une petite vallée avec au départ un sentier bien marqué au sol, il remonte vers les rochers puis disparaît. Remonter sur la droite vers un rocher avec un trou et en cherchant bien vous verrez la trace de peinture des cornes du diablotin derrière un rocher cachant le corps de ce dernier. Revenons à notre pommier sauvage ce chemin grimpe un peu, devient pavé puis descend et passe devant un beau rocher avec des chambres (= trou borgne) et des avaloires, ( = trou traversant de part en part). Peu après prenons sur la gauche un sentier dans la bruyère bien marqué au sol. Il n’est pas facile de trouver le sentier menant à la
                Station 4 : La grotte Rochebelle. Site important durant la guerre. Autant la première fois je l’ai trouvé du premier coup, mais lorsque je suis revenue pour synthétiser la rando, j’ai eu du mal à retrouver l’endroit. On trouve comme repère un espèce de sentier grimpant sur la gauche à la justice de Chambergeot. Il faut prendre sur la droite une trace qui serpente dans la mousse et les rochers, devient un peu plus marqué une fois atteint les pins. Après une centaine de mètres, on devrait déboucher sur une zone rocheuse un peu plus concentré dont l’un des rochers comporte une plaque commémorative. Derrière se trouve la grotte Rochebelle appelé depuis la guerre 39-45 la grotte des parachutistes.
 Une fois retrouvé je me suis posé la question ; Comment 10 caisses d’armes ont pu être cachées dans une grotte aussi peu spacieuse ?
Revenons sur le chemin et poursuivons le jusqu’aux premières maisons. Le sentier débouche sur le chemin formant Té. Prenons la branche de gauche, longeons les clôtures. Après avoir passé une barrière et traversé une ancienne esplanade servant de parking le chemin des ‘’Patis Godeau’’ fait fourche prenons la branche de gauche. Nous arrivons au chemin de la Charme que nous prenons à gauche. Nous rencontrons le sentier rouge que nous prenons à droite nous le quittons à la rencontre du chemin que nous prenons à gauche jusqu'à la rencontre du sentier rouge (l’autre branche) que nous prenons à droite, nous grimpons au Pignon des Maquisards et arrivons à
La Station  5 : La Croix de Lorraine

Nous quittons le sentier rouge pour suivre dans un premier temps un balisage blanc (sentier Publican permettant de monter à la croix par un sentier serpentant comme à la montagne.) Abandonnons le balisage blanc lorsqu’il descend sur la gauche et poursuivons le sentier de crête (sans balisage) jusqu’au sentier rouge que l’on prend à gauche après avoir regardé le paysage. Poursuivons le sentier rouge qui redescend pour franchir le chemin de la Plaine de Jean des vignes et nous remontons sur le rocher de la Souris, pour redescendre tout de suite après et remonter on reste un peu sur la crête passons devant


La station 6 : une borne en ciment de l’IGN (elle n’a aucun intérêt mais c’est juste pour ouvrir les yeux.) après un parcours difficile sur ce sentier rouge, nous descendons la bosse remontons sur l’autre pour redescendre et couper un chemin remontons le Rocher du Guetteur et à son extrémité juste avant de descendre nous trouvons
La Station 7 : Un calice et un Croix ou une épée.
On redescend une dernière fois et le sentier n’est pas facile il faut faire attention à ne pas chuter. Dans le bas nous trouvons un chemin que nous prenons à gauche, nous débouchons sur le chemin du Mont Pivot, formant Té que nous prenons à gauche débouchant lui même sur un chemin formant Té nous prenons à droite. Cette route conserve le même nom. Coupons une route  au carrefour des Guetteurs, parcelles ‘’135-134-129. Coupons la route en renforcé calcaire de Jean des Vignes, nous prenons en face le chemin du Cul de Chien sur une centaine de mètres et nous suivrons sur la droite un petit sentier dans la bruyère. Nous sommes parallèle au Chemin de la Plaine de Jean des Vignes. Nous nous approchons d’une zone rocheuse sur notre gauche, nous trouvons des petits sentiers grimpant vers les rochers nous prenons le troisième et nous 
nous dirigeons vers le sommet. A partir d’ici il n’est pas simple d’expliquer ou se trouve la gravure les chemins n’existe plus ou, il y en a trop. Nous sommes dans une zone de ‘’grimpe le 91,1’’ le mieux est de suivre les numéros et les couleurs des circuits d’escalade. Jaune ‘’ancien orange’’ N° 30 – jaune 31. La gravure est en retrait entre deux rochers.
                 




La Station 8 : Une épée d’environ 80 cm, sur la surface plane d’un petit rocher
Toujours en suivant le balisage des varappeurs on se dirige plutôt vers ‘’l’Est’’ passons une bosse et nous arrivons dans un immense désert de sable et



la station 9 : Le Bilboquet qui ressemble également à une tête de chien
Ensuite ce n’est pas facile, pas de chemin dans cette immense plage Stampienne. On se dirige ‘’Nord-Nord Est’’ vers les pins et plus l’on s’approche plus l’on devine un chemin entre les arbres (un peu sur la gauche) prenons ce chemin qui se nomme Chemin des Sables du Cul de Chien lorsque celui ci fait fourche prendre le sentier de droite qui serpente dans les jeunes pins. Après avoir coupé un sentier il débouche sur le chemin du rocher des Potets que l’on prend à droite. Ici aussi ce n’est pas facile à expliquer, il faut prendre un sentier de varappeur noté 2 ADT balisage orange sur la droite, on serpente entre les rochers, passons devant les  N° 1suivre la trace au sol, passons entre le 9 et la voie B passons le 11-20-22 (sur la gauche) puis traversons la bruyère ou le sentier deviens difficile à suivre pour déboucher sur une petite zone sableuse entouré de rocher en son centre
                La Station 10 : Que j’ai appelé le cercueil.
La pierre ressemble à un cercueil dessus une croix ou une épée suivi d’un calice et de son hostie le tout mesurant 1,30 m. La première fois que je l’ai vu j’ai cru qu’un chevalier en route pour Bodelut fatigué était tombé en ce lieu. Rêve, rêve cela fait du bien.
Après avoir franchi un petit rocher on trouve plutôt sur la gauche un sentier serpentant dans la bruyère et quelques rochers. Nous apercevons sur notre gauche un chemin faisant une grande boucle, nous nous dirigeons vers lui et le prenons sur la droite. Nous débouchons sur l’ancien chemin de Melun que nous prenons à droite. Laissons sur la droite le chemin de la Poulette ainsi que plusieurs chemins à droite et à gauche. Poursuivons notre ancien chemin de Melun jusqu'à la rencontre du sentier rouge que nous prenons à gauche. Il emprunte la route de la plaine de la Mée puis à droite le chemin du Guichot. Lorsque le sentier rouge tourne à droite pour se rendre au Guichot, nous poursuivons notre chemin rencontrons à nouveau le rouge laissons les branches de droite et de gauche et poursuivons par le balisage face à nous. Nous quittons le chemin du Guichot lorsque le balisage rouge tourne à gauche, coupons le GR et un balisage jaune c’est le Chemin de la Mée. Nous voilà partie pour 
grimper dans le Rocher J.A. Martin qui à brûlé il y a quelques années, ne pas prendre le raccourcie sur la gauche. Nous arrivons avec bien des difficultés au rocher Cailleau ; à son bivouac immense bivouac et

 La Station 11 : Un calice et un Hostie 1,45m
Nous quittons le sentier rouge passant derrière cet immense bivouac avec sa cheminée (cela évite un passage difficile) pour prendre le sentier sur la droite. C’est un petit sentier à flanc de colline, lorsqu’il fait fourche nous prenons la branche de gauche on remonte sur le plateau qui a brûlé et l’on serpente dans la bruyère. Nous retrouvons également la partie qui à brûlé. Nous débouchons sur le chemin des Longuevaux, ou l’on rencontre un balisage jaune , nous le suivons sur la gauche. Nous passons devant un panneau d’information.  Le chemin fait fourche suivons le balisage sur le chemin de gauche nous descendons. Nous débouchons sur le chemin de la cathédrale parcelle 161, nous quittons le balisage jaune pour prendre le chemin sur la droite. Nous rencontrons un chemin que nous prenons à gauche le chemin de l’avenir du Vaudoué. Nous grimpons. Le chemin fait fourche, si l’on prend la branche de droite grimpant plus raide au sommet nous avons

La station 12 : une grotte avec quelques gravures souvenir. (Aucun intérêt particulier mais le lieu est bien choisi pour une pose, au soleil de fin d’après midi on s’y sent bien. Ou se mettre à l’abri) Nous rencontrons le balisage rouge que nous suivons tant qu’il est sur le chemin laissons un chemin sur la gauche, lorsque le rouge tourne sur la droite et remonte dans les rochers, nous l’abandonnons et poursuivons notre chemin qui est devenu sentier serpentant dans la bruyère. Il débouche sur le beau chemin de la mée que nous prenons à droite. Nous rencontrons également le GR .
Passons le carrefour de la Potala, puis du diplodocus, (carrefour est parfois un bien grand mot, parfois de simple fourche.) nous coupons une branche du sentier rouge, laissons sur la droite le chemin de Melun au Vaudoué. A la fourche nous ne faisons pas le détour du GR par la gauche, poursuivons notre chemin, laissons une route sans nom sur la droite, puis la route du rocher fin sur la gauche (parcelle 121) et l’on rencontrera de nouveau le GR un peu plus loin. Traversons le carrefour du rocher fin, poursuivons le GR et le chemin de la Mée. Un peu plus loin le chemin fait fourche nous prenons sur la gauche le chemin de la gorge aux poivres (si vous avez loupé se passage ce n’est pas grave suivez le GR.) Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite. Nous arrivons dans une clairière sableuse (carrefour mal défini) et nous apercevons le GR sur la droite, coupons le chemin du Pied des Monts et nous prenons le GR face à nous, Nous coupons le sentier rouge. Nous sommes sur le chemin des gros sablons, nous arrivons au carrefour situé dans un virage laissons le chemin descendant sur la gauche il fait un esse et prenons à droite débouchons sur un chemin formant Té prenons la branche de droite. Nous aboutissons sur le chemin des cassis que l’on prend à gauche, puis à droite, on descend, pour aboutir sur un nouveau chemin formant Té c’est le chemin de la Maison Poteau que nous prenons à gauche (on à une belle vue sur la croix de Lorraine. On trouve également du moins en 2016 un pin dont le tronc fait un cercle avant de repartir vers la lumière.) Nous arrivons au carrefour de la Maison Poteau nous rencontrons le sentier bleu et le balisage jaune. Nous laissons tout cela sur la droite et poursuivons face à nous le chemin de la Maison Poteau coupons plusieurs routes et nous arrivons sur le chemin de la Gorge aux Chats formant Té avec le notre nous prenons à droite. Sur la gauche du carrefour nous trouvons la


La Station 13 : Une cave voûtée. Est-ce la cave de cette maison poteau ?
Je n’ai rien trouvé sur internet pour satisfaire ma curiosité.
Coupons le sentier bleu. Nous arrivons à un carrefour avec une belle vue sur la plaine de la charme. Au pied des rochers nous trouvons un sentier peut être la continuité du chemin du Plateau qui descend dans la très belle gorge. Dans le bas nous retrouvons la route de la gorge aux chats. Sur la gauche nous trouvons un sentier dans la fougère qui grimpe à flanc
de colline. Vers le milieu de cette grimpette, il faut bien faire attention ou l’on met le pied, nous marchons sur un chaos rocheux recouvert plus ou moins de mousse et de sable, il subsiste entre les rochers des espaces non rempli, il est possible que le pied se coince dans les trous entre les rochers. Dans le haut le sentier est un peut moins marqué, à 
moins que plus bas cherchant ou poser le pied en toute sécurité j’ai perdu la trace. L’effort et le hasard (pas tout à fait ; la trace GPS y est pour quelque chose.) est récompensé, j’arrive face au ruine de la
               

 La Station 14 : Le Télégraphe de Noisy 
Et à son pied le sentier bleu, que nous prenons à gauche sur a peine cinquante mètre, nous trouvons un sentier sur la droite descendant dans une faille entre le premier banc de rocher et aboutissant sur un autre sentier que nous prenons à droite longeons le pied du banc de grès sur une trentaine de mètres et nous trouvons
                La Station 15 : Gravure du Télégraphe
Revenons sur le sentier bleu suivons le sur la droite jusqu'à la branche du sentier bleu descendant sur la droite pour retrouver le parking de la Feullardière par le chemin de la borne à l’enfant.
Cette rando risque d’évoluer je vais essayer de retrouver les cinq ou six gravures moderne que je ne connais pas.
Pour ma part j’ai terminé mes sorties pour ‘’ouvrir les yeux’’ Vous me 
direz il manque les bois de la Commanderie et une partie de la foret de Fontainebleau…. Le coté Butte Monceau et le bois Gauthier. Je n’ai pas trouvé nécessaire de réaliser un parcours pour ne voir à ma connaissance que deux points : Dans le bois Gauthier, la fontaine Saint Aubin, qui n’est pas la vrai. Puisque la vrai se trouve dans le parc du château de la Rivière. Les bornes couronnées de la fontaine aux biches. Je ne l’ai connaissaient pas, je les ai facilement trouvé. j’ai modifié ma promenade 36 pour en voir qu’une celle situé au milieu de la foret, les autres étant le bornage des jardins des pavillons je n’ai pas trouvé nécessaire de faire vadrouiller des groupes en fond de jardins des propriétaires. Le but étant de vous faire connaître l’existence des particularités de cette magnifique foret. http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/01/36-petite-promenade-en-foret-de.html  
 
En 2020 je remets mon blog à jour et malheureusement je n'ai pas trouvé le temps de chercher les gravures qui me manque...


LECXIQUE
                La station 3 ; ’’Le diablotin’’ cela fait environ une quarantaine d’année qu’un artiste inconnu à dessiné sur ce rocher
             
   La station 4 ; La grotte Rochebelle ou du parachutiste.
La Grotte du Parachutiste est aujourd'hui en Forêt domaniale des Trois Pignons. C'est cette grotte que les allemands recherchaient en 44 lorsqu'ils incendièrent la forêt. En effet, suite à la dénonciation du réseau Publican, et ne trouvant pas la cache d'armes dans les environs de la Croix Saint Gérôme, ils larguèrent des bombes incendiaires le 26 juillet qui brûleront plus de 1 100 ha (1/3 des Trois Pignons). Protégée par des coupes feu, les armes furent disponibles pour les FFI à la libération de Paris.                           
 Le parachutage de la Vallée Close dans la nuit du 21-22 juin 1943 :
C'est le message diffusé sur les ondes de Radio Londres : « C’est en Touraine qu’on parle le meilleur français » qui annonce le parachutage, aux résistants. . Dans la nuit de pleine lune du 21 au 22 juillet 1943, 10 containers sont parachutés au lieu dit « La Vallée close ». C'est Marcel Fox et Maurice Braun qui assurent le guidage des avions en maniant des signaux lumineux en haut du piton rocheux. Les containers largués contiennent des mitraillettes Sten de 9mm, des pistolets, des grenades incendiaires, des mines antichars, des provisions de chargeurs, des pains de plastic, des détonateurs, des tubes et boîtes d’abrasif pour le sabotage des essieux et des wagons de train. Parachutage et réception sont réussis. En deux voyages, le charretier auguste Van Den Kinderen transporte toute la cargaison jusqu’à la grotte de Rochebelle, devenue aujourd’hui la « grotte du parachutiste ». Armes et munitions stockées dans la grotte sont ventilées vers Arbonne-la-Forêt, Château-Landon, Brie-Comte-Robert et Paris.
Une seconde opération est prévue pour une prochaine lunaison, avec pour message : « Paulette sois bien sage, ton papa pense bien à toi ». Mais cette nuit-là, plusieurs faits empêchent le parachutage : un bombardement allié dans la région de Melun, l’édification récente par les Allemands d’une tour de guet non loin du site et un avion de chasse rodant dans la région. Par prudence, l’équipe se sépare tout de même mais le parachutage avorte.
 La plaque commémorative en bronze fut enlevée par la Mairie de Noisy-sur-Ecole il y a quelques années et a été remplacée par une réplique en résine, ceci pour la préserver d'un éventuel vol
              
  Station 5 : La Croix de Lorraine & le Réseau publican
Le maquis s’installe dans les Trois-Pignons où il réceptionne armes et munitions parachutées par les avions anglais. Les Allemands, pour les déloger, bombardent la forêt de projectiles incendiaires, brûlant 1200 hectares entre le 26 juillet et le 6 août 1943. Mais le réseau du Spécial Opérations Exécutive (SOE) de résistance « Ernest Publican » réussit à poursuivre sa mission et les armes sont livrées et servent à la libération de Paris.
Après guerre sera édifié un monument commémorant l'action du « réseau Publican » sous la forme d'une croix de Lorraine à La-Roche-au-Four dans le massif des Trois-Pignons sur le Circuit des 25 bosses.
Cette imposante croix qui se dresse sur l’étroite platière rocheuse qui surplombe la Vallée Close est un monument érigé en hommage aux résistants de la Seconde Guerre Mondiale qui opéraient dans le secteur.
Il se présente sous la forme d’une pyramide tronquée en pavés de grès surmontée d’une Croix de Lorraine. Elle sur-élève ce pignon de 10 m 30 dont 3,30 m pour la seule croix  et l'alourdi de 110 tonnes ! Contrairement à ce que l'on entend, ce pignon s'appelle pignon de la "Roche au four". Ce lieu n'a pas été choisi au hasard ! Il s'agit du site où a fonctionné, pendant l’occupation allemande, un projecteur de liaison avec les avions venus d’Outre-Manche, porteurs d’armes et de munitions largués par parachutes dans la Vallée de la Mée. Il rappelle donc les sacrifices du réseau « Publican » créé en 1942. En effet, une plaque posée à sa base commémore les noms des 5 morts et des 18 déportés de cette organisation clandestine. Son inauguration officielle eut lieu le 22 Juin 1946 en présence du Général REVERS et du Maréchal SALISBURY. Le réseau Ernest Publican fut crée à la fin 1942 par Maurice Braun (alias Ernest, alias Marcel Barde ou encore Letellier), commandant de réserve et chef de mission des FFC (forces Françaises Combattantes) et par le capitaine Marcel Fox, ancien officier de l’armée britannique en 1939-1940 et officier du SOE (Special Operations Executive).  Ce réseau se rattache au vaste réseau de renseignements du colonel Buckmaster (SOE). L’organisation clandestine, implantée en différents points de la région parisienne (nord de la Seine-et-Marne – secteur de Meaux et dans l’Oise secteur de Brégy et de Versigny) a pour mission le sabotage de lignes de chemin de fer, de gares de triage, d’usines mécaniques et aéronautiques. Maurice Braun et Marcel Fox ont préparé minutieusement un parachutage d’armes et de munitions en forêt de 

Fontainebleau. Pour ce faire, ils recrutent localement une équipe de réception et de sécurité : Emile Bouchut, forestier qui connaît donc bien le terrain et les sentiers de la forêt. Il sera accompagné dans son travail par Benjamin Destré, garde-chasse du Bois-Rond, également habitué de la forêt. Ces deux hommes aidés du jeune Lucien Saroul (18 ans) et du maçon Raphaël Bourdin délimitent le secteur géographique du parachutage : ce sera  « la Vallée Close », clairière sablonneuse du sud du « massif des Trois Pignons » entre Arbonne-la-Forêt et Noisy-sur-Ecole. A ce noyau dur d’agents, vient s’en greffer d’autres : ainsi, le capitaine Eugène Defontaine, industriel, qui propose d’utiliser une grotte (« la grotte de Rochebelle ») située dans sa propriété pour entreposer les armes parachutées. On compte aussi dans les rangs du groupe Publican de Noisy, Charles Bourgelat, Eugène Thailler, ancien combattant de 14-18, Antoine et Lucie Stimac. Pour signaler la zone de largage, il faut un balisage aérien. Parmi les divers escarpements rocheux qui entourent la clairière, le pignon de la Roche au four est le plus escarpé, et difficile d’accès, promesse que les Allemands ne parviendront pas à trouver le site.
Un premier parachutage eu lieux dans la Vallée Close dans la nuit du 21-22 juin 1943, fut réussi, le second avorta.
Maurice Braun et Marcel Fox, responsables d’Ernest Publican, continueront leurs activités de parachutages dans l’Oise. Au cours de l’été 1943, le réseau Publican est démantelé par la Gestapo. Maurice Braun est arrêté à Paris et interné près de 12 mois à la prison de Fresnes. Le 15 août 1944, il fait partie du dernier convoi de déportés partant pour Buchenwald. Il en revient miraculeusement en 1945. Marcel Fox, arrêté lui aussi, est déporté au camp de Flossembourg, où il est pendu à la veille de la délivrance par les troupes américaines. http://tl2bleau.blogspot.fr/2003/06/cest-quoi-cette-croix-de-lorraine-dans.html
                La Station 7 : Un calice et un Croix ou une épée
Station 7 – 8 – 10 – 11 sont classées dans les gravures modernes. Le GERSAR dans les années 1980 en dénombrait 13 en comptabilisant celles de Coquibus j’en connais 7 il me reste les 6 autres à trouver.
Voilà ce que nous disait le cahier de 1983 sur ses gravures.
Ce sont des gravures de plein air exécutées sur des rochers extérieures aux cavités gréseuses. Elles sont obtenues par percussion, au marteau et au burin, sur des surfaces pratiquement planes. La plupart ont des dimensions considérables, la plus grande que nous connaissions mesurant 1,82 m. Les motifs gravés présentent une unité d'inspiration certaine : calices, hosties, croix ou épées.
Elles sont toutes d'exécution récente, postérieure à 1950, une vieille fréquentation des Trois Pignons nous permettant d'être aussi affirmatif. Les roches gravées classiques présentent des surfaces patinées, certaines étant même couvertes de fins lichens. Or les parties gravées sont exemptes de patine ou de lichen.
Pourquoi ces symboles chrétiens dans les sites sauvages et grandioses des Trois Pignons ? Il est difficile d’envisager un acte fortuit et gratuit, l’importance du travail de gravure exclut cette hypothèse. Dès 1960, on a pu lire dans la presse des échos sur la pratique de rites religieux dans le cadre des rochers de la Forêt de Fontainebleau.  La survivance des anciens cultes n'apparaît pas comme un phénomène fortuit...mais comme un fait profondément enraciné..". P. Doignon, en 1974, évoquait ces cérémonies rituelles .
Les : Calice, hostie, croix, clef, serpent sont des symboles chrétiens, de même que l'épée que les Croisés tenaient par la lame en la brandissant comme un crucifix.
Le calice symbolise le Saint-Graal. C'est Ie vase à boire qui aurait servi à Jésus-Christ lors de Ia Cène et dans lequel Joseph d'Arimathie aurait recueilli le sang du Christ coulant de son flanc percé par la lance du Centurion. Au Moyen Age, les romans de chevalerie ont évoqué "la Quète du Graal". Chrétien de Troyes composa vers 1182 les 9000 vers de son "Perceval". Cette œuvre a profondément contribué à inspirer Richard Wagner dans son "Parsifal". Les figurations de Graal- sont fréquentes en pays de langue d'Oc, régions où les doctrines cathares ont eu une grande audience. On sait que ces doctrines ont survécu aux massacres de leurs fidèles. Pour les pèlerins cathares Montségur avait reçu en dépôt le Saint-Graal. Nos étranges gravures sont-elles, en un temps où la renaissance occitane est amorcée, une manifestation de l’esprit cathare ?
LES PROBLEMES DE DATATION ET DE SIGNIFICATION
Personne, jusqu’à présent (1983), n’a pu répondre de façon certaine aux deux questions souvent posées : à quelles époques peut-on attribuer ces gravures et quelle est leur signification ?
Notre propos n’est pas de résumer ici à nouveau les thèses, hypothèses et théories développées depuis une centaine d'années par différents auteurs, mais de mettre en évidence les difficultés rencontrées dans les domaines de la datation et de la signification de cet art rupestre.
                Station 14 : Le Télégraphe de Noisy 
La télégraphie aérienne de « A à Z» ( Page 186 )
Noisy-sur-Ecole
Commune du département de Seine-et-Marne, poste (10*) de la ligne Paris-Lyon. Cette station intrigue les spécialistes de la télégraphie Chappe à un double titre. D'une part, pourquoi, connue d'abord (cf. "Guide illustré des 40 postes télégraphiques de Paris à Grange-du-Bois" de 1806 et liste des "Noms des postes composant les diverses lignes télégraphiques" de 1807) sous le nom d'Arbonne, est-elle ensuite mentionnée sous celui de Noisy-sur-Ecole ?
La raison plausible en était que le poste était plus proche d'Arbonne (à 2 400 m au NE) que de Noisy (à 4 000 m au SO). Comme il se trouve sur le territoire de Noisy, il a dû changer de dénomination en 1808 quand l'Administration télégraphique a décidé (1) de désigner les postes par le nom des communes sur lesquelles ils étaient établis (AN F90/1431. 24 décembre 1807).
D'autre part, le "Guide illustré (...)" indique, dans la légende du télégraphe d'Arbonne "le poste est situé sur le sommet de rochers très élevés. Pour construire ce poste, on a pratiqué dans les rochers de près de 115 marches pour y monter". Or cet escalier ne se trouve pas à proximité des ruines actuelles du télégraphe, mais à 3 500 m au NO, au lieu-dit "Le Coquibus", endroit où on ne trouve aucun vestige de station. Par ailleurs, la légende du "Guide (...)" précise que "le poste est à une lieue et demie de Milly" ; or les ruines du télégraphe d'Arbonne sont bien à 6 km de Milly-la-Forêt tandis que le Coquibus n'en est qu'à 3 km. Au stade actuel des recherches, ces diverses données paraissent difficiles à concilier.
La carte d'Etat-Major au 1/80 000ème de 1839 et la carte IGN au 1/25 000ème 2417 ouest de 1998 portent le "Télégraphe de Noisy" à la cote 123/122 m, à 1 000 m au SO du carrefour que font aujourd'hui l'autoroute A6 et la D409 (ex. N387).
Là subsiste une construction qui, sur un plan carré de 4x4 m, était bâtie en moellons et dont le mur méridional, resté plus élevé, n'a plus qu'un mètre au maximum (en 1991) alors qu'à l'origine, d'après l'Atlas Kermabon, la tour avait 9 m de hauteur. Près de cette ruine, Madame Ludwig a relevé en 1989 des inscriptions gravées dans le rocher : deux noms de stationnaires, un dessin de télégraphe et 9 signaux. Du site, proche des Trois Pignons, la vue s'étend à la forêt de Fontainebleau et à son pourtour occidental. Ses correspondants : Fleury-en-Bière et Chapelle-la-Reine (La).
(1) NDLR : Décision qui n'a pas été appliquée pour de nombreux postes. (Exemple : Saint-Quentin, Delme, Château-Salins, etc.). Cependant la directive de l'Administration télégraphique de 1807 a dû être appliquée dans plusieurs cas.
Archives FNARH (L. Nieto 1981 - E. Ludwig. 1991) http://www.claudechappe.fr/tour.php?NumTour=499
 Etat des Postes télégraphiques des lignes de Toulon et de Strasbourg dans le département de Seine et Marne
(ADSM 6PP 80 )
Arrondissements
Cantons
Communes
Observations
Fontainebleau
La Chapelle la Reine
La Chapelle la Reine
 Ligne de Toulon, brigade de la Chapelle la Reine
Isolé, d'un abord facile, sur le bord du chemin de communication de Villiers sous Gretz et de Recloses. Eloigné de 500 mètres des maisons les plus rapprochées de la Chapelle la Reine; construction spéciale neuve; les préposés habitent au centre de la commune.

La ligne achève la traversée du massif des Trois
Pignons par un trajet parallèle à la coulée séparant
les  forêts des Trois Pignons et de Fontainebleau
http://arhfilariane.org.pagesperso-orange.fr/patrimoine/chappe/chapelle.htm
le télégraphe optique présenté par Claude Chappe (1763-1805) à la tribune de l'Assemblée législative, le 22 mars 1792, fut favorablement accueilli. La ligne de télégraphie Chappe se compose de deux stations terminales, entre lesquelles sont placées des stations intermédiaires. A leur sommet est installé un mat sur lequel pivotent des bras de bois qui peuvent prendre
différentes positions. Le système de communication de Chappe réside dans un code préétabli de ces positions. Ce premier réseau de télécommunications permet au gouvernement de transmettre des ordres à distance dans le moins de temps possible. Il est adopté par la Convention le
1er avril 1792, Chappe devenant ainsi le premier ingénieur télégraphe.
Le système est rapide (pour l’époque) : 2h00 pour acheminer un message entre Paris et Strasbourg (contre 4 jours en diligence) et sûr, car seuls celui qui compose le message et celui qui le reçoit en bout de ligne connaissent le code. Mais il a des inconvénients : il ne peut fonctionner que le jour et par beau temps. La nuit, le brouillard, la pluie ou la brume de chaleur empêchent les transmissions. Il cessera ses activités vers 1850, remplacé par le système du télégraphe électrique, plus rapide et plus pratique. Le
poste d’Arbonne se situe entre celui de Fleury (à 6,5 km) et celui de la Chapelle la Reine.
La base de la tour est encore visible au lieu-dit le Télégraphe de Noisy, à l'extrémité de la platière dite "Laris qui parle", barre rocheuse de 120 m d'altitude moyenne.
Le télégraphe Chappe (ou télégraphe aérien) est un moyen de communication visuel par sémaphore, sur des distances de plusieurs centaines de kilomètres, mis au point par Claude Chappe en 1794. Les sémaphores sont en général placés sur des tours dites tours Chappe. Une tour Chappe était constituée :
  • du signal (mât muni d'un régulateur pivotant et de deux indicateurs articulés)
  • d'une salle de travail à l'étage où le stationnaire observait les tours voisines et actionnait le système de manœuvre du signal
  • d'un local de repos en dessous, où le stationnaire pouvait descendre se reposer un quart d'heure après le coucher du soleil à un quart d'heure avant le lever du soleil.
Deux stationnaires étaient affectés à une tour, et ils se relayaient chaque jour à midi. Au début, les mécanismes sont construits par les ateliers de l'administration centrale dans les locaux même de l'administration du télégraphe. En 1833, ils étaient construits dans l'atelier Guillaume Jacquemart Atelier pour la confection des télégraphes et autres machines, passage du Désir, faubourg Saint Denis, numéro 88.


Le mécanisme est constitué :
  • d'un mât de 7 mètres de couleur bleu ciel en partie extérieure intégrant une échelle pour permettre d'accéder aux éléments mobiles et réaliser leur entretien ;
  • d'un bras principal de couleur noire nommé « régulateur », de 4,60 m de long sur 0,35 m de large ;
  • de deux ailes noires nommées « indicateurs », de 2 m sur 0,30 m ;
  • de contrepoids gris pour chaque indicateur, nommés « fourchettes » ;
  • d'un système de manœuvre au pied du mat en salle de travail, nommé « manipulateur », reproduisant à l'identique les positions du signal ;

image wikipédia
  • d'un système de transmission par câbles et poulies de renvoi.
Les régulateurs et indicateurs sont munis de persiennes fixes pour réduire la prise au vent.

Le mât et les structures du régulateur et des indicateurs sont en chêne, les persiennes en bois de pin, les poulies en orme, les poignées en frêne, les mécanismes sont en fer, bronze et laiton. (Wikipédia)

                Station 15 les gravures
A vous de déchiffrer les gravures (Table trouvé sur http://www.tl2b.com/2014/01/sur-les-traces-du-telegraphe-de-chappe.html)
 
 
Image wikipédia


Le télégraphe Chappe, encore appelé télégraphe aérien, bien que réseau privé, restera toujours sous le contrôle de l'Etat pour des besoins politiques ou militaires, à l'exception d'une courte période où il transmit les résultats de la Loterie Nationale ! 
Dans wikipédia on a une bonne explication du fonctionnement et l’on se end compte que ce n’était pas aussi évident que cela
 




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