mardi 2 juin 2015

De la Seine à la Loire GR 32 : étape 6 Ecrenne - Château de Chamerolle

Départ ; Ecrenne, rue principale du moins ce que j'appelle la rue principale celle qui monte de la rivière et qui passe devant l'école il y a un parking devant l'école.
 

Carte IGN           Trace GPS & Topo sans Commentaires          Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b307169

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Septembre 2014







KM     Temps     arrêt     V/g     V/d     Dénivelé
34,3    6h19      25mn    5,4     5,1        98+
octobre 2014

 Etape 6

Nous trouvons de la place en haut du village devant l'école. Nous descendons la rue et prenons à droite l'entrée du parc en bordure de l'œuf. [Cette rivière l'Œuf  naît peu avant d’alimenter les douves du château de Chamerolles (Chilleurs-aux-Bois) et se faufile vers le bassin de l’Essonne via Pithiviers.] Nous passons le pont et remontons le cours d'eau. Nous y trouvons des informations sur l'enfant du pays Louis Boussenard (1847-1910) [Louis-Henri Boussenard, né à Escrennes le 4 octobre 1847 et mort à Orléans le 11 septembre 1910, est un écrivain français, auteur de romans d'aventure. Surnommé de son vivant le Rider Haggard français, il est plus connu aujourd'hui en Europe de l'Est, où quarante volumes de ses œuvres furent publiés dans la Russie impériale en 1911, que dans les pays francophones.
Ses contes et nouvelles paraissent dans de nombreux journaux tels que Le Figaro et Le Petit Parisien. Un premier roman, Le Tour du monde d'un gamin de Paris, connaît un grand succès populaire, prépublié en feuilleton en 1879 dans le Journal des voyages.
« Entre deux voyages, il revient au pays natal où il écrit romans sur romans, la plupart paraissant en feuilletons avant d'être édités en librairie. Il promène ses héros à travers le monde ; il les expose à tous les périls, mais fait toujours en sorte que le bon triomphe et que le méchant soit puni : le succès est considérable.] Vous pourrez lire la suite soit sur les panneaux d'informations réparties tout au long

du parc, soit en allant sur Wikipédia d'où provient l'extraie ci dessus. Nous quittons ce parc et continuons dans cette ville toute en longueur. Nous débouchons sur une route, et entrons dans les champs, nous conduisant à la ferme "La Grouelle". Le GR nous fait prendre à gauche. Au départ l'herbe est coupé, mais après plus rien. Le terrain n'est plus entretenu. Il faut contourner la ferme en suivant le grillage sur la droite dans les hautes herbes folles et les branches basses. Nous débouchons devant des silos en fibre, peut être abandonnée, et nous retrouvons un chemin desservant les champs beaucoup mieux entretenu. Nous arrivons à l'autoroute, j'espère que le chemin abouti à un tunnel. Sur Géoportail l'autoroute est construite sur la planche utile aux automobiliste, (échelles 500m & 50m) et 50m correspond au plan de quartier planche inutilisable pour une rando de 30 km. mais toujours en construction sur la planche indispensable aux chemineux comme nous. (Planche 100 & 200 m) Comme l'autoroute à été terminée (d'après la carte en 2009) après le tracé de GR  (j'ai un grand doute........ Mais qu'attend l'IGN pour tenir ses cartes à jour ? Lorsque l'on travail sur une planche et que l'on est consciencieux on met les autres planches également à jour. Ce qui veut dire que si j'achète une carte papier au 1/25000 ème elle ne sera pas à jour......... à environs 12 euros la carte au 1/25 000 c'est une honte. Et si la carte papier est à jour et que Géoportail (gratuit) ne l'ait pas c'est également une honte. Ce n'est pas la première fois que je me plains de cette grande institution, mais il n'y a pas une sortie ou je constate des erreurs de graphisme. Dit comme cela, ça fait anecdotique et digne d'un Français ; jamais content et toujours bougon. Mais lorsque vous avez vingt ou vingt cinq kilomètre dans les jambes, que votre itinéraire fait une bonne trentaine de bornes, vous contez sur la justesse de votre carte pour ne pas en rajouter. Alors messieurs et dame sortez de vos bureaux allez marcher avec vos cartes qui ne sont plus d'actualité et je suis sur que vous reprendrez vos photos aérienne pour mettre vos planches à jour. Oui c'est mon coup de gueule. 
Après le tunnel, Ouf il existait, le GR quitte le chemin en faisant un coude à quatre vingt dix degrés sur la gauche nous traversons une ligne SNCF à voie unique, nous coupons la départementale 152 et prenons en face la D 145 menant à Marreau aux bois. A Marreau (j'ai cherché l'histoire du nom de ce village et je ne l'ai pas trouvé. Par contre sur l'un des sites visités, il est noté en bordure de l'Essonne. Hors d'après ce que j'ai lu et la carte IGN nous le prouve, l'Essonne n'est pas encore formé ici. Ce village est en bordure de l'Œuf et de la Varenne. Il est vrai que cela fait moins classe.)  faite bien attention après un virage nous prenons sur la droite un chemin stabilisé au calcaire entre maisons et champs (je n'ai pas vu le marquage et je ne m'en suis aperçu qu'a la sortie du village.) Cela fait un bon moment que je ne vois plus l'Œuf et nous sommes dans une succession de champs et de bois. Parfois je me sens bien isolé dans cette campagne. Nous arrivons au château de 
Chamerolle [A l'aube de la Renaissance, Lancelot du Lac, Chambellan de Louis XII, gouverneur d'Orléans, entreprend la construction d'un lieu de plaissance et de détente, merveille de l'architecteur du XVIè. Cette demeure deveindra la première place forte protestante des environs d'Orléans. Restauré par le conseil Général aujourd'hui Chamerolles s'admire grâce à sa promenade des parfums. Son jardin renaissance vous permetra de prolonger cette promenade. Voilà ce que nous dit le panneau à l'entrée du parking.] 
                  


Faisons le tour du mur des communs, le balisage nous fait passer par le parking des cars, surprenant... En bout, il est également surprenant, et pas évidant de passez entre la haie (bien entretenu) pour rejoindre et suivre un cours d'eau. Il faut bien sortir de ce guet-apens (il manque un balisage ou un poteau d'information.) Remontons ce cours d'eau il n'y a pas vraiment de chemin (chemin propre et bien marqué), nous sommes dans les herbes et les mottes de terres du champ récemment labouré. Cela manque 
de balisage. Nous arrivons dans la foret d'Orléans [La forêt d'Orléans a jadis porté le nom de forêt des Loges. La forêt d'Orléans a une superficie de 50 000 hectares environ répartis sur 35 communes, dont 35 000 hectares de forêt domaniale, ce qui en fait la plus vaste forêt domaniale de France métropolitaine. La forêt est encerclée par les régions naturelles de la Beauce au nord, du Gâtinais à l'Est et du Val de Loire au Sud ; elle s'étend au Nord de la Loire sur un vaste arc de cercle d'environ 60 km de longueur, d'Orléans à Gien, et de 5 à 20 km de largeur.
Elle comprend trois grands massifs reliés entre eux par des bois privés : à l'Est, le massif de Lorris, environ 14 400 ha (Nord-est, Est et Sud-est de Sully-sur-Loire) ; au centre, le massif d'Ingrannes, environ 13 600 ha (autour d'Ingrannes et Sully-la-Chapelle), enfin, à l'Ouest, le massif d'Orléans, environ 6 600 ha (immédiatement au Nord de l'agglomération orléanaise). Elle devient royale à la fin du Xe siècle.

À la fin du XVIe siècle, la superficie de la forêt détenue par la couronne de France n'est plus que de 39 000 hectares, amputée qu'elle est par les défrichements et les donations au clergé. Au XVIIe siècle, la forêt est revendue au Duc d'Orléans. Plinguet est élève des ponts et chaussées, ingénieur en chef du duc d'Orléans. Après avoir satisfait le Duc dans le travail d'aménagement de la forêt de Montargis qu'il lui avait confié en 1784, il est chargé de réformer l'aménagement de la forêt d'Orléans. Sur la base des archives dont il dispose, il considère que cette forêt a perdu 15 000 hectares entre 1671 à 1721, suite à ce qu'il appelle l’« usurpation des vides », c'est-à-dire l'occupation par les riverains de vides « où la négligence des maitrises laissait croître la bruyère à la place du taillis » et en raison de trop fréquents changements dans les stratégies d'aménagements du massif. 
Plinguet donne des avis sur les routes forestières qu'il faudrait dit-il établir « non pas au hasard, les unes après les autres, mais en combinant d'avance un réseau de grandes artères et de moindres voies, qui embrasse tout un massif » ; il se désespère des énormes abus du pâturage effectué dans les parcelles recépées ou replantées dès l'âge de trois ou quatre ans, livrant les taillis de la forêt d'Orléans aux« ravages de 17,000 bêtes aumailles, 2,500 chevaux et 32,000 bêtes à laine. 
tous les ménages de quarante-huit paroisses obtenaient le droit de prendre dans la forêt d'Orléans telle quantité de glands qu'il leur plaisait, soit pour vendre, soit pour nourrir des troupeaux de porcs. La nature, cette mère commune produit et mûrit le gland qui tombe, germe et pique en terre une racine, laquelle pivote et nous donne un arbre sans le secours d'aucun travail humain. C'est pourtant ce beau, ce sage procédé de la nature que l'on détruit par ces adjudications de paisson et de glandée, tandis que, d'un autre côté, on dépense des sommes pour faire des plantations et créer des bois !
 
À partir de 1789, la Révolution française met fin à son travail. Très abimée à la fin du XVIIIe siècle, la forêt est classée domaniale en 1848, et les services de l'Office national des forêts se chargent de la reboiser dès le début du XIXe siècle.
Le massif de Lorris héberge les Résistants français pendant la Seconde Guerre mondiale. Le 14 août 1944, 49 résistants sont tués dans le maquis de Lorris, au carrefour d'Orléans. (Wikipédia)] Nous quittons le GR à la route forestière de Lourry à Courcy, nous prenons sur la gauche le balisage jaune en direction de la maison forestière de Castille. Nous sommes sur une route bien large et bien droite. Dans les hautes herbes du bas coté  je découvre de belle fleurs que je pense être des (fleures à safran) je me trompe peut être. (Cela ressemble à du crocus, mais c'est peut être une adventis : les Anther ne sont pas jaune.) Il me semble que le loiret est réputé pour la culture du safran c'est la raison qui ma fait penser à cette plante. Ici je comprends la fauche tardive surtout mécanisé au tracteur et girobroyeur. Ces pauvres fleurs doivent faire un effort surhumain pour voir le jour, mais au giro elles auraient disparu depuis longtemps même si ce n'est que des adventifs. Nous arrivons à la maisons forestière, nous quittons le balisage jaune et continuons par la route tout droit. Pensant que j'avais le temps et un long moment sur cette route je ne regarde pas mon GPS (nous ne sommes plus sur le GR, il faut regarder souvent la carte) et je loupe mon chemin à l'orée de la foret qui me faisait contourner le village. Faut dire que cette route est bordée de maisons, des maisons isolées et une sur deux ou trois non occupées en permanance. Ici c'est la tranquilité totale, peut être un peut trop tranquille, pour y habiter en permanence. Je me rends conte trop tard de mon erreur, je ne fais pas demi tour et compte sur ma carte...... pour rattraper ma trace. En bout je prends la départementale 109 jusqu'à Courcy, je traverser le village et rejoins ma trace à sa  sortie. Le village est tout en longueur, cette fois si, j'ai le gps dans la main. A la patte d'oie je prends bien la branche de droite. Après l'étang je retrouve ma trace et un balisage jaune. J'ai laissé la trace en passant par la foret. La fois prochaine, nous passerons par là. Une fois dépasser la maison forestière nous trouvons sur un poteau électrique une vieille trace jaune peut de temps après dans la foret, une barrière sur la droite, nous suivons le chemin nous passons derrière les maisons et je constate que chaque maison à son étang. Le lieu porte bien son nom "Les Gâtis 

(Les termes gâtine ou gastine (avec l'ancienne graphie) sont à l'origine des noms des anciennes provinces françaises du Gâtinois et du Gâtinais. Il désigne au sens le plus ancien un « terrain inculte, inhabité », mais aussi « le pillage, la ruine ». Ils partagent le même radical que les termes gâter et l'ancien français gast « désert, inculte ».{Wikipédia} Le chemin fait un grand virage au carrefour nous laissons les chemins de droite passons devant un grand étang nous trouvons une route goudronnée passons devant quelques maisons nous sommes au Brossillon. Nous arrivons à une intersection et prenons à gauche puis sur la droite entre deux maisons un sentier intra muros et nous retrouvons le balisage jaune. Nous serpentons entre les jardins traversons la D145 continuons en face. nous passons un cours d'eau et arrivons à une aire de jeu le chemin passe dans une allée bordée "d'arbres des naissances" dans la commune. (en réalité il y a deux chemins). Le chemin n'est pas bien marqué au sol, mais bien tondu. Soit on arrive par la gauche de l'école (trace sur la carte) soit par la droite de l'école (Ce que j'ai fais) on emprunte devant l'établissement scolaire la D 109 sur la droite puis à gauche le chemin de la Varnelle. (Ce chemin je le ferais dans l'étape suivante.)
 Revenons à notre itinéraire.
 Dommage j'aurai bien déjeuné autour de cet étang, au soleil et bien installé sur des tables de pique nique, mais les places sont déjà prises par un groupe de marcheurs. J'emprunte donc le chemin sur la gauche (chemin de la Varnelle). Jusqu'à la la D 921, que nous empruntons sur la gauche puis à droite la D144 vers Vrigny.  Puis à gauche au lieu dit la Brûlerie, en bout de ce chemin nous avons une vue sur le château de La Brosse nous prenons le chemin de droite. Je passe devant un beau château dont toute les fenêtres sont fermé, le château de la Brosse.
 [Château de la Brosse XVIIème et XVIIIème siècle ; dans le parc, cèdre du Liban planté en 1734 par Duhamel de Monceau. Ancien château médiéval ; chapelle antérieure à 1663 ; château reconstruit en 1663. Le château de La Brosse portait autrefois le nom de \La Motte-Renault\. Il était, en 1353, la propriété de Guillaume du Moutier ; en 1359 de Bertrand Ysambert ; en 1488 d' André Boutizeau. Il fut acquis en 1503 par Charles de la Motte, seigneur de la Brosse-sous-Buno (Seine-et-Marne), qui lui donna son nom. Il passa ensuite, en 1579 à Jacques de Morainville ; en 1595 à Sébastien Archambault, commissaire royal des Guerres ; et en 1645 il était la propriété de Jean de Guéribalde. Revendu et reconstruit en 1663, il passa à Louis Richer, à Raymond d' Arfeuil puis à Alexandre Du Hamel de Denainvilliers. Il est aujourd\hui entouré de douves. La chapelle est antérieure à la reconstruction de 1663. La bibliothèque du château possède un portrait de Du Hamel du Monceau par Drouet, des manuscrits, des livres et des collections végétales provenant de ce savant. Le parc renferme un Cèdre du Liban planté par Duhamel en 1734.  
http://www.culture.gouv.fr/public/mistral/mersri_fr?]  
Nous en faisons le tour et arrivons dans le village de Vrigny. Avec beaucoup de maisons abandonnées. A la sortie du village nous retrouvons les champs. Nous sommes sur le PR à la "cote 121" nous prenons à gauche et retrouvons la D344 que l'on prend à droite, jusqu' au village de la croix Allard, nous débouchons sur la D921 que nous prenons à gauche puis à droite un chemin nous faisans entrée dans la foret. c'est le chemin des Gaubertins.  A la sortie du bois je ne peux prendre le chemin que j'avais prévu après le ru, il est barré par une ficelle. Une pancarte indique ; propriété privée. Un chemin qui n'existe pas sur ma carte se trouve devant le ru, il me semble parallèle à ma trace, je prends donc ce chemin et m'aperçois un peu plus loin par dessus les arbustes qui poussent dans le fossé qu'il n'y a plus du tout de chemin derrière le cours d'eau éphémère (ce cours d'eau est la Varenne, affluent de l'Œuf) on trouve une pièce de terre d'un seul tenant. Ma crainte c'est que ce chemin, ne débouche pas et ne servent qu'a atteindre des pièces de terre en culture. Mais non, il s'éloigne de ma trace, et cela m'arrange. Au loin, je vois la ferme ou je devais passer et le chemin que je devais prendre qui franchissait le ru par un petit pont, mon chemin qui suit ce cours d'eau m'évite ce petit détour et je retrouve au pont mon itinéraire, pour une fois le socle de la charrue ma fait faire un raccourci, je continue sur la droite. A ma gauche je reconnais le clocher de Marreau au Bois, bientôt j'en verrais le bout je commence à avoir mal aux jambes, normale nous approchons les 28 kilomètres. Cela grimpe un peu jusqu'à la route que je prends à gauche, puis le premier chemin à droite, au loin l'autoroute. De nouveau je suis obliger de changer mon itinéraire, le chemin à disparu, par contre vingt mètres plus loin, j'en trouve un autre qui lui dessert une grange ou un abri pour matériel agricole. Un peu plus loin mon chemin à de nouveau disparu, comme je suis en terrain dégagé (je n'ai qu'aucune parcelle de maïs) je me dirige au jugé vers la route et son pont au dessus de l'autoroute. Je ne sais pas si c'est la construction de l'autoroute qui a modifié la cartographie du lieu, mais l'IGN ou le cadastre aurai pu refaire ses cartes. Je comprends que des chemins au milieu d'une parcelle n'ayant aucune utilité de communication venant butter sur le talus grillagé de l'autoroute disparaisse pour la culture (un choux, c'est un choux) et l'on met au moins deux rangs de betteraves sur sa largeur. Pour un chemineux comme moi, (ou nous) ses chemins sans issus sont inutiles et trompeurs. Alors vaut mieux les supprimer. Mais il faut mettre les cartes à jour. Avec trente kilomètres dans les jambes, lorsque l'on a pas une vision d'ensemble, venir butter sur un grillage ou un champ et, être obligé de faire demi tour. Messieurs de l'IGN s'il vous plait, si vous lisez ses lignes, pencher vous sur vos planches aux 1/25000ème et tenez les à jour, sortez un peu de vos bureaux confortables pour arpenter un peu la campagne. Arpenteur c'est bien le nom des premiers cartographes!!!!!!
Je continue la route jusqu'au village de Laas, je devais prendre un chemin devant me faire traverser une ferme avec une tour, mais ce n'ai qu'une grande pièce de terre. A l'entrée du village je trouve un nouveau chemin (il en faut bien) qui me fait retrouver la D833 de l'étape 5, ici aussi je circule a vue, d'une part j'en ai mare, j'ai dépassé les 30 km et j'ai reconnu au loin la grosse usine spécialiste de la fabrication tubulaire pour séparation des animaux (stabul, ou mangeoire) tant pis je n'aurai que du bitume jusqu'à Ecrenne qui doit ce trouver à une petite à une petite heure. 

Les autres étapes
Etape :1
Etape : 2
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32- presentation_3.html?view=magazine
Etape : 3
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-3.html?view=magazine
Etape : 4
Etape 5
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-de-la-loire-gr-32-etape-5.html
Etape 6
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-6.html
Etape 7
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-7.html
Etape 8
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-8.html
Etape 9
 



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