lundi 2 septembre 2019

Randonnée Le Plus Loin Possible 2019 - Etape 1054 -Col de Bouich-Col de Marrous


Col de Bouich - Col Marous


mardi 25 juin

km     temps     arret     V/d     V/g     dénivelé
18      5:00       0:30      3,6      3,3          902 +



Carte IGN                                                   Trace GPS & Topo sans Commentaires

Trace Randogps                                                      Le code mobile de cette randonnée est b313074

Pas de chance ce matin c'est de la purée de poix, un brouillard me cache les montagnes. L’hôte me dit que le temps se lève en générale vers 10h00. Je veux bien le croire mais dans la réalité ce ne sera qu'à 14h00, du parcours je ne verrais rien. Je remonte la départementale vers le village de Saint martin de Caralp, je prends à gauche la D 45 et me dirige vers le village ou je retrouve le GRP de la Barguillère. Je traverse le village et suis attiré par l'église ou on a accolé un immeuble au transept. Je quitte le GRP (mais je n'aurais peut être pas dut. J'ai cru gagner des kilomètres en utilisant le balisage local, mais c'était certainement une erreur). je traverse la
départementale et prends en face la rue sans issu de Saint Martin d'en bas, qui débouche sur un champ. Ma trace passe pourtant par là, sur la carte il y a bien un chemin balisé traversant le champ. Sur le terrain ce n'est qu'une prairie clôturée. Les foins sont fait, les balles non pas encore été ramassées, le portail est ouvert, je rentre et m'aperçois rapidement qu'il n'y a pas de chemin et encore moins de balises. Je remarque une voiture en contre bas, sur la D 11A qui se dirige dans la même direction que ma trace. Heureusement le grillage de la prairie a été arraché lors de la coupe des foins, cela me permet de sortir de là, sauter le fossé et poursuivre par la route. Dans un virage, je quitte le bitume pour prendre un chemin sur la gauche avec un balisage orange. Il est balisé, mais très herbeux, nous coupons le ruisseau de Brillet. Nous dépassons une ferme, débouchons sur le bitume de la D 145 dans un virage à angle aigu, poursuivons tout droit et traversons les quelques maisons du hameau de Caugnoux. Nous avons perdu le balisage orange et trouvons un rond jaune.  Par la route, nous arrivons à
Ourdenac, traversons le hameau et dans l'angle aigu de la rue au milieu du village le balisage se divise en deux laissons la branche qui remonte sur la droite. Poursuivons tout droit par un chemin qui à été débroussaillé. On a quitté un balisage jaune, pour retrouver un balisage jaune ou orange, longeons les prairies et entrons dans un petit bois. Encore un chemin peu facile, nous traversons deux ruisseaux celui de la Fagette et un peu plus loin celui d'Escader. Si j'avais regarde la carte j'aurais poursuivi par la route. (Le chemin n'est tracé que sur la carte IGN, il n'est pas en surbrillance sur la carte satellite et je comprends pourquoi...) Quittons les balisages
pour monter dans le village et débouchons dans une rue sans issu du hameau de Sarret. Nous faisons un esse gauche, droite, longeons les maisons, et à la fourche prenons à gauche la rue rejoignant la D 45. Les balisages ont disparus ce qui semble normal il n'y en a plus sur la carte. Avec le brouillard je ne verrais pas le rocher que nous avons traversé hier, dommage l'un de ses rochers à soit disant la forme d'un lion. Nous suivons cette dernière jusqu'à Balmajou. Nous restons en limite du village, nous avons une fourche, prenons à droite en direction de Prat de Lux et trouvons un nouveau balisage jaune et bleu... Peut être le Saint Jacques ? Laissons un

balisage jaune partir sur la droite, et l'on a perdu les autres, ou alors ils se sont transformés en jaune.Traversons le village de Prat de Lux en suivant le balisage jaune, laissons une rue sur la droite, à la rue suivante on quitte le balisage jaune pour prendre la rue de droite et nous trouvons un balisage jaune et vert, balisage distant, très distant, passons une grange et de rue nous passons à chemin. Je me suis protéger contre les tiques et heureusement, encore un chemin plein d'herbe, même les tracteurs ne l'utilisent pas. Nous rencontrons un chemin formant Té que nous prenons à gauche passons le pont au dessus du ruisseau Baloussière et tout
de suite après la D 21 sur la gauche, nous longeons le ruisseau. Nous arrivons au village de Chartels quittons la grande route, pour prendre sur la droite la rue menant au hameau que nous traversons. La rue fait fourche pour une fois le balisage est bien fait nous prenons à droite et longeons les maisons, balisage jaune et retrouvons un chemin. Dans la foret nous trouvons une fourche à trois dents le seul chemin nettoyé est celui de gauche formant un angle à quatre vingt dix degrés c'est parfait il est balisé, nous grimpons dans la foret. Le chemin forme Té nous prenons à gauche balisage jaune, le sentier devient à peine visible sur les pentes de cette

montagne, s'il m'arrive quelque chose je ne pourrais même pas me situer visuellement correctement, on ne trouve aucune informations de direction. Cela m'apprendra à vouloir utiliser d'autres balisages que ceux répertoriés GR. Nous arrivons à Darnac, et prenons la rue descendant sur la gauche (comme le balisage), j'ai suivi le balisage dans le village mais il est possible de couper quelques mètres. La rue tourne sur la gauche, débouche sur la rue Mouilheros que nous prenons à droite, nous quittons un balisage jaune pour suivre un blanc-jaune, nous prenons la rue de droite remontons un peu sur nos pas. La rue sans issu tourne sur la gauche, nous trouvons  un chemin dans le virage, nous permettant de continuer tout droit. Nous arrivons à une fourche prenons la branche de droite (tout droit nous entrons dans une propriété privée.) Dépassons la ferme puis le chemin lui donnant accès par l'autre face et nous trouvons un petit sentier sur la gauche nous faisant rejoindre le chemin principal et son balisage traversant la cour de la ferme. Ce passage n'est pas balisé. De chemin nous passons à sentier, sentier non entretenu grimpant dans les ronces. Le chemin fait fourche après avoir passé le ruisseau nous prenons la branche de gauche, le sentier grimpe dur dans la foret, on s'arrache les jambes dans les ronces, un calvaire ce sentier à flanc de montagne, à ne pas refaire, angoissant surtout avec ce brouillard, on a l'impression d'être perdu au milieu de la montagne et de la foret, à tout moment on se demande si le semblant de sentier ne va pas s’interrompre et faire face à une immense crevasse. Ma trace n'étant pas tout à fait juste, je loupe une bifurcation, suis le sentier de gauche au lieu de prendre à droite, mais c'était peut être un bien pour un mal, le sentier de gauche était peut être mieux marqué au sol. je  découvre une belle flèche en bois de GRP à moitié masqué par la mousse, souvenir du temps ou il devait passer par là... Je comprends mieux l’état du sentier !!! Abandonné, les balisages jaune et blanc, jaune ont dut eux aussi passés à la trappe. Enfin je débouche sur une route. En regardant le GPS je me rends compte que je ne suis plus sur ma trace, je prends la route sur la droite pour rejoindre cette dernière. Je retrouve une trace de balisage jaune et blanc mais plus les autres. Il y a du travail pour refaire toute les marques.  Sur la pentes de cette montagne la route grimpe en lacets, je n'ai pas vue de sentier débouchant correspondant vraiment à mon tracé. La route monte jusqu'au hameau de Layrole, quelques maisons perdues dans la montagne que nous traversons. Nous poursuivons la route qui se termine devant un chalet isolé et clôturé. L'herbe est tondu et heureusement que j’aperçois une flèche avec un balisage jaune qui me confirme que je peux poursuivre le chemin le long de la barrière et que je ne suis pas totalement dans une propriété privée. Contournons le chalet et, dans la clôture nous trouvons un passage, un fil électrique servant de portillon qu'il faut décrocher, derrière on devine dans les fougères un passage. On ne trouve pas ce chemin sur la carte aérienne google map. Dans cette promenade, j'aurais ramassé une dizaine de tiques. Je les retire après chaque passage difficile, heureusement que je me suis protégé, avec un produit sentant le pétrole mais qui semble efficace. La prévention c'est bien, j'ai rencontré deux affichettes d'informations sur ses acariens donnant la très grave maladie de Lyme, très peu diagnostiqué par les médecins français et non reconnu en France. Cette maladie peut se déclencher plusieurs années après avoir été piqué. On nous conseille de "marcher couvert" les chaussettes sur le pantalon. Difficile de marcher en étant emmitouflé avec trente degré dehors. Je ne sais pas si c'est la bonne solution de toute façon les tiques remontent sur le tissus et passerons par les manches ou le col, et viendrons sur la tête. Les plus gros, je les ai retirés en les sentant grimper sur mes jambes, ou mon bras, la sensibilité des poils à fait son travail, ensuite après chaque passage très herbeux, il faut s’ausculter sérieusement, jambes, arrière des genoux, cuisses, bas ventre et les bras. Je retire mon short et l'examine sérieusement sur toute les coutures intérieur et extérieur et fait attention à tout ce qui ressemble à un point noir même ci ce n'est que de la grosseur d'une pointe d'épingle. J'en ai retiré cinq ou six comme cela. parfois ce n'est qu'une graine des l'herbes que nous venons de traverser. Et puis je ne pique-nique plus en m'asseyant sur de l'herbe trop haute, même avec de l'herbe rase je mets une protection sur le sol.Pour moi la prévention passe également par des chemins BALISES PROPRE. Un petit coup de débroussailleuse au printemps, ce n'est pas mal non plus... Nous 
grimpons. Le chemin s'améliore et nous débouchons sur une route forestière. A la fourche nous prenons le chemin du milieu, nous grimpons dans les prairies, je ne vois rien du paysage, par moment des paquets de brouillard m'absorbent, je suis trempé et ne sais plus si c'est de la sueur ou les minuscules gouttelettes d'eau. Nous longeons l'orée de la foret puis y pénétrons.  Nous arrivons au col de l'homme, ou nous retrouvons le GR. A partir d'ici tout va mieux. Poursuivons tout droit, le chemin est excellent. Nous arrivons au col de Blazy, ou nous avons deux choix, la variante sur la droite, (sur la carte cela semble être le chemin principal) montant un peut moins haut, ou tout droit. J'avais prévu de passer par le diverticule qui montait moins haut, mais le départ du sentier était encombré de fougères, (j'en ai mare des tiques) alors j'ai pris le chemin principale mieux dégagé par le passage des véhicules forestiers, et des éleveurs. Le chemin est excellent et la grimpette n'a rien à voir avec ce que nous venons de faire. Cela me semble facile.  Nous montons de 995 m à 1017m pour redescendre à 992 m. Il est 14h00 je suis arrivée le soleil fait de timides apparitions, et petit à petit déchire les nuages, le vent ce lève un peu et dissous ce qui reste de nuage. C'est magnifique... Ma chambre donne sur la vallée et la foret du consulat de Foix, et avec le soleil le paysage est grandiose. Je resterais bien là.





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Randonnée Le Plus Loin Possible 2019 - Etape 1053 - Foix - Col de Bouich

Foix - col de Bouich

Seconde étape de cinq jours dans les Pyrénées. Difficile, très difficile. Que 91 km, mais 4146 m de dénivelés positifs. je n'ai pas privilégié les grands GR, qui me détournaient trop de l'axe que je m'étais fixé ; rester entre 1000 et 1700 mètres d'altitudes et trouver tout les soirs le gîte et le couvert, avec en supplément le pique nique. Cela ma obligé à utiliser des balisages locaux (généralement jaune) mal balisés, mal entretenus. SI JE N'AVAIS PAS EU MON GPS ET SURTOUT MA TRACE... JE ME SERAIS PERDU PLUS D'UNE FOIS ...
 L'utilisation que vous pouvez faire des informations que vous trouverez sur cette page sont de votre propre responsabilité et n'engage que vous. En randonnée, chacun est responsable de sa propre sécurité et du choix des chemins qu'il emprunte...

lundi 24 juin

km     temps     arrêt     V/d     V/g    dénivelé
9         2:20       0:20      3,9     3,4        537 +

 
Carte IGN                                     Trace GPS et Topo sans Commentaires

Trace Randogps                                         Le code mobile de cette randonnée est b313072

Pas de retard dans les transports. Aujourd'hui que 9 km, mais quelles kilomètres... Mon petit tour en ville, du mois dernier, ma fait gagner du temps, je n'ai pas eu à trop chercher mon chemin dans les rues du bourg. Heureusement, mon GPS cherche depuis plus d'une demi-heure à accrocher des satellites. Bourg que j'ai trouvé toujours aussi calme, mais cette fois ci je n'avais pas vraiment à traverser la ville, il suffisait de rejoindre la collégiale par les rues Pierre Sémard, la D 919, traverser l'Ariège par le vieux pont, continuer par la rue du vieux pont puis sur la droite la rue violet, nous arrivons à la halle que nous traversons en biais pour passer devant l'abbatiale suivre la rue de la préfecture, jusqu'au square l'Arget, prendre la D1 (rue de l'espinet) sur la gauche, puis de traverser la rivière du

l'Arget [De 23,1 km de longueur, l'Arget prend sa source dans les Pyrénées vers 1 600 m d'altitude au pic de Fontfrède, dans le massif Nord-Pyrénéen de l'Arize, et se jette dans l'Ariège en rive gauche au pied du château de Foix. La vallée de l'Arget est appelée la Barguillière.
L'Arget présente un régime pluvio-nival (maximum en mai, égal à 1,5 fois le débit moyen, minimum en août un peu supérieur à 40 % du débit moyen). Son débit est assez régulier et ses étiages en particulier sont assez soutenus en raison de sols granitiques épais, constituant de bonnes réserves dans le bassin versant.Wikipédia] venant ce jeter dans l’Ariège. [Histoire de Foix : http://armieros.blogspot.com/2018/01/voyage-dantoine-ignace-melling-dans-les.html

l'Ariège, se jette dans la Garonne au sud de Toulouse, à la hauteur de Portet-sur-Garonne, dans le département de la Haute-Garonne, après un parcours de 163,2 km.
L'Ariège prend sa source au lac Noir, dans le cirque de Font Nègre, aux environs du Pas de la Case et du port d'Envalira, un des plus hauts cols des Pyrénées (2 400 m). Coulant d'abord vers le nord-est dans une vallée étroite et souvent en gorges profondes, elle arrive à Ax-les-Thermes, où son parcours s'oriente au nord-ouest en même temps qu'elle reçoit sur sa rive droite les eaux de l'Oriège et de la Lauze, deux torrents descendus comme elle de la crête frontière et qui doublent son débit, lequel atteint alors environ 10 m3/s.
Grotte ou départ de source ? Déjà à sec fin juin
Dans son cours supérieur, elle suit un sillon d'érosion glaciaire qui s'élargit et change de direction à hauteur d'Ax-les-Thermes. Les traces de l'ancien glacier sont particulièrement remarquables jusqu'à Tarascon-sur-Ariège. Par les cluses de Foix et de Saint-Jean-de-Verges, l'Ariège tranche les chaînes calcaires du massif du Plantaurel et, gagnant la plaine de Pamiers que ses alluvions ont constituée, s'évade du domaine pyrénéen.
À l'aval d'Ax et jusqu'à Tarascon-sur-Ariège, la vallée s'élargit un peu et prend la forme d'une auge glaciaire à fond plat orientée sud-est/nord-ouest et calée entre les massifs frontaliers du Rulle et du Montcalm (3 077 m) au SO et le massif de Tabe (2 368 m) au nord-est.
Dans ce tronçon, l'Ariège coule presque sur le bord est de son bassin versant. Ainsi, alors que ses affluents de rive droite ne sont que de petits torrents descendus des flancs abrupts du massif de Tabe, ceux de la rive gauche sont plus puissants et comptent parmi eux trois artères majeures, collectant la fonte des neiges des hauts sommets et augmentant considérablement le débit de l'Ariège. 

 


Ce sont d'amont en aval, le Najar, l'Aston et le Vicdessos. Ce dernier rejoint l'Ariège à Tarascon-sur-Ariège et est l'affluent montagnard le plus important.
Juste après la confluence, le débit de l'Ariège atteint alors environ 35 m3/s et le cours prend son orientation définitive au nord. Dans le même temps la vallée se resserre alors que l'Ariège, rejoint par le Saurat et la Courbière sur sa rive gauche et l'Arnave sur sa rive droite pénètre dans la retenue du barrage de Garrabet puis passe sous le pont du Diable.



Au-delà, la rivière reçoit encore le Scios sur sa rive droite avant d'arriver à Foix, préfecture de l'Ariège célèbre pour son château comtal au pied duquel elle rencontre en rive gauche son dernier affluent montagnard : l'Arget. Au terme de son parcours montagnard, l'Ariège roule alors autour de 45 m3, pour un bassin d'environ 1 500 km2 ce qui représente un drainage important (30 l/s/km2).
La vallée de l'Ariège présente de hautes falaises calcaires creusées d'innombrables grottes qui servirent de gîte à l'homme préhistorique ou de refuge pendant les guerres de Religion. 
Après les cluses de Foix et de Saint-Jean-de-Verges à travers le Plantaurel, commence la plaine de Basse Ariège où la rivière traverse les villes de Varilhes, Pamiers et Saverdun. Au-delà, elle quitte le département de l'Ariège et rentre dans la Haute-Garonne juste avant de rencontrer l'Hers-Vif sur sa rive droite en amont de Cintegabelle.
Alors que l'Ariège n'avait rencontré depuis Foix d'autres affluents que des ruisseaux temporaires (Estrique, Crieu…) qui n'avaient que peu augmenté son débit, elle reçoit avec l'Hers-Vif la plus grosse contribution qui lui aura été versée : 15 m3 en moyenne, ce qui porte son débit à 63 m3/s. Outre cette augmentation notable du module, l'Hers-Vif modifie le régime de l'Ariège. En effet, bien que ses sources se trouvent vers 2 000 m d'altitude dans le massif de Tabe (2 368 m), l'Hers présente un régime pluvial avec des hautes eaux d'hiver et de début de printemps (de décembre à avril ou mai), alors que l'Ariège a un régime nival avec des hautes eaux d'avril à juillet à la fonte des neiges mais des débits plus faibles au cœur de l'hiver (rétention nivale). La combinaison de ces deux régimes complémentaires confère à l'Ariège un débit plus régulier et abondant une grande partie de l'année.
Cependant les étiages généralement faibles de l'Hers peuvent se répercuter sur l'Ariège et accentuer les déficits en période sécheresse, ce à quoi remédient le soutien d'étiage à partir des réserves de Montbel (Hers) et des barrages de montagne (Ariège).

 Après Cintegabelle, l'Ariège traverse encore Auterive et Venerque, reçoit la Lèze, son dernier affluent notable (2 m3/s) en rive gauche, et se jette dans la Garonne (rive droite) en face de Portet-sur-Garonne, au Sud de Toulouse. La contribution de l'Ariège (environ 75 m3) permet à la Garonne de devenir un véritable fleuve et d'atteindre un débit moyen de 200 m3/s à Toulouse.wikipédia] de l'autre coté, nous avons un panneau d'information et un balisage jaune. Le calvaire commence... Au départ c'est une rue sans issu desservant des maisons, monter sur cinquante mètres la rue du St Sauveur 
et rapidement nous la quittons pour tourner à gauche sur un sentier de montagne bordé de murettes, grimpant au dessus de Foix. Le chemin est raide, caillouteux. A froid, après 8h00 de train, c'est dur. Le mois dernier j'avais froid, aujourd'hui, j'ai trop chaud. A peine débuté cette grimpette que je suis en eau, il doit bien faire trente degrés, mais le ciel est plombé. Après avoir but une demi bouteille d'eau pour gravir les 110 m de dénivelé, j'arrive enfin au calvaire et au point de vue sur Foix. [Sur la partie ouest de la « cluse de Foix », une entaille creusée par la rivière Ariège, qui se fraye là un passage vers la plaine de Toulouse. La vue plongeante est superbe sur la ville de Foix, le cloître de l’abbaye, les allées de Villote bordées de platanes (qui permettent de repérer l’ancienne enceinte du 14e siècle) et le Pont Vieux. Au delà, on peut admirer le « pain de sucre de Montgaihlard » qui supportait un fameux bastion médiéval et qui sert de premier plan au mont Fourcat (2001m), poste avancé du massif de Tabe. http://www.foix-tourisme.com/foix/la-croix-du-saint-sauveur-a-foix/tabid/1968/offreid/ed68b7ae-b77a-41fc-be9b-330c5765bee3] Le reste de la grimpette est facile, on arrive dans les alpages. je passe un portillon grimpe toujours et je débouche sur un plateau en pente avec un troupeau de vache, toutes allongées, épuisés par la chaleur, ruminant les yeux fermés, j'ai beau les contourner, c'est la panique. Par la suite c'est catastrophique, plus vraiment de balisage et avec les layons créés par les vaches on ne sait plus par ou aller, on se perd, heureusement que j'ai le GPS. Difficultés supplémentaires le chemin plus ou moins tracé au sol se trouve bloqué par un panneau propriété privée il faut se dévier sur la gauche suivre un layon avec des points oranges entre des clôtures, puis plus rien. J'essaye de retrouver ma trace en contournant la maison en espérant ne pas me retrouver sur la pelouse de l'entrée. Difficile de se retrouver dans ses arbrisseaux et ronces entremêles. Je retrouve un chemin, que je perds rapidement, aperçois ce qui me semble être un cairn me montrant le chemin. Ce passage semble pourtant balisé par des traces pratiquement effacées, nous débouchons enfin sur une route. Route Saint Sauveur menant à la ferme. Une grosse porte de stabul. bloc l’accès à la maison.
J'ai retrouvé ma trace et suis la route sur la gauche, après un virage en angle aigu sur la droite, nous traversons le hameau de Lizonne, poursuivons la route. Laissons une route sur la droite conduisant à la ferme de Coume Torte, poursuivons tout droit nous arrivons aux fermes de Lanque, prenons sur la droite la rue de Lanque se dirigeant sur la droite vers la ferme de Couleil. Balisage jaune. On pénètre dans un bois par une "route-chemin" avec de l'herbe dans le milieu. Après un virage nous prenons un chemin sur la gauche sans aucun balisage et nous débouchons sur les soucies. Chemin ou l'on devine un balisage, mais également, et malheureusement le sentier. Nous sommes sur le Quéré de Cos. Mon idée était de suivre le chemin jusqu’à la rencontre du GRP de Barguillère, sauf que je suis dans l'herbe et les ronces jusqu'aux genoux, le tout sur des rochers plein de trous. Heureusement que j'ai mon GPS, il ne quitte plus ma main, je ne regarde plus le paysage, mon œil fait qu'un allé retour entre le GPS et mes pieds. Je retrouve enfin une vieille trace de GR à moitié effacée. Il vaudrait mieux que l'on voit ou l'on pose les pieds. Pas facile ce passage, dangereux même. (j'ai lu un petit topo d'un internaute proposant en 2012 une virée sur le Quéré de Cos il a rencontré le même problème et depuis il semble que cela n'a pas beaucoup bougé. ) Nous voilà sur le rocher dur et pur. Je n'avais pas prévus de faire de l'escalade, ce n'est pas possible je me suis trompé de chemin !!! mais non, il y a bien un semblant de balisage. Dure cette partie, cela fait au moins vingt ans que ce chemin n'a pas été utilisé. Il me fait penser à des passages difficiles dans le Verdon sur les crêtes de l'Ourbes ou les
Alpilles. Nous redescendons sur un chemin aussi dangereux que celui qui montait et nous débouchons, dans une prairie, on perd de nouveau le balisage et le sentier, déjà sur le rocher la peinture ne se voyait pas alors dans le taillis ... c'est pire. Comme je suis plus ou moins dans des alpages il est facile de se tromper avec les layons créé pas les animaux. Ils devraient leur apprendre à suivre les sentiers, cela nous arrangerait. je me dirige grâce au GPS,  m'arrache bras et jambes dans des ronces grosses comme mon pouce, je ne sais plus ou je suis, j'espère m'en sortir, enfin la clôture et une espèce de porte faite par un vieux sommier métallique, derrière un chemin et la départementale. Je passe cette porte improvisé et débouche sur un chemin faisant fourche. Je me dirige vers la route et retrouve un balisage blanc et rouge un peu plus à droite. je suis enfin arrivé.





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Randonnée Le Plus Loin Possible 2019 - Etape 1052 - Roquefixade - Foix

Roquefixad - Foix

jeudi 30 mai 

km    Temps      arret     V/d     V/g       dénivelé
20,5   5:50         0:40      3,5      3,1         593 +




Carte IGN                                        Trace GPS & Topo sans commentaires

Trace Randogps                                                Le code mobile de cette randonnée est b313069

Hier en fin de journée, j'avais mal au talon d'Achille. Pas grand chose une brûlure. J'avais pris à tout hasard du "décontractor" pommade que j'avais utilisé après avoir eu des contractures en descendant le cirque de Navacelle. les deux longues journées risquaient de me poser des soucis. Cela me fait un peut peur, j'espère que le tendon ne va pas cassé. Je parts doucement. aujourd'hui il fait beau et je n'ai que 17 km à faire, et 5 km pour rejoindre l'hôtel que j'ai choisi pour son prix en demi pension hors agglomération. J'ai tout mon temps.
Je refais le tour du village, village bien exposé, du soleil du matin au soir et avec une vue imprenable sur la montagne de Tabe ou les Monts d'Olmes (je me trompe peut être de site). Le balisage quitte le village par un beau chemin longeant la montagne de La Quière ou se trouve perché le château Cathare, un cadre exceptionnel. Je m'étais dit je n'ai pas beaucoup de kilomètres je vais monter au château, j'avais même un itinéraire bis d'une dizaine de bornes passant par la grotte des chrétiens et une cascade, mais je ne veux
pas prendre de risque avec mon talon. Nous avons une vue dégagée sur 180 degrés, les autres 180 degrés c'est la montagne qui nous obstrue la vue.  Je marche lentement en essayant de poser le pied d'un bloc, sans développer le pied pour que le tendon ne travail pas trop, j'essaye même dans les montés de ne pas le tendre, n'y de forcer. Heureusement le paysage magnifique, et me distraie un peu. Une table d'orientation m'apprend que les montagnes encore 
enneigé en cette fin mars, non pardons fin mai, culmines entre 2100 et 2500m, ce n'est donc pas les Monts d'Olmes que l'on voit, mais toute la chaine des trois Seigneurs. Le balisage est bien fait, le chemin est large et reste à peu prêt plan le long de cette vallée constituée de prairie et de bois, heureusement, je ne suis pas attentif au chemin, je ne fais que regardé le paysage au loin, c'est vraiment un secteur qui me plait. Il faut faire attention, l'un des virages à 

l'équerre, nous fait prendre le chemin de gauche, nous avons deux coudes à 
 l'équerre avant de pénétrer en foret et de passer au dessus du hameau de Charillon. Nous rencontrons un large chemin sur la droite et nous quittons le grand chemin pour un sentier, après avoir franchi une clôture électrique. Nous poursuivons dans une  belle foret de hêtres et de pins, nous changeons de vallée, par moment une trouée entre les arbres nous permet de découvrir la plaine, une immense plaine à perte de vue, de ce coté c'est la fin de la montagne. Un autre virage nous ramène sur l'autre versant. 
 

                                      
                    
 


Au Pas de Falcou, je me dévie du GR qui partant sur la gauche par un petit chemin, je continue tout droit, le chemin fait un angle aigu sur la gauche et retrouve le GR en faisant un angle aigu sur la droite, poursuivons dans la foret. Nous arrivons sur une partie délicate, le balisage s'arrête au col de Porte-Pa. La "Porte ou les portes sont fermées" Des barrières nous interdisent le passage. 
 




Il ne reste qu'un balisage local partant sur la droite. Peut être, est-ce écrit sur les plus ressent guide, ce qui m'étonnerait car il n'y a pas même de balisage de substitution. J'ai entendu parler de ce problème, par les randonneurs à Comus, mais je n'avais pas compris écoutant une conversation en cours. Puis à Roquefixade ou l'on me confirme un détour de quatre kilomètres. De gros panneaux propriété privée, interdit au public. On est repoussé vers la Départementale. Une affiche agrafée sur un panneau de bois nous informe du problème et nous renvoie sur des parcours de substitution, dont je n'y comprends rien, l'un nous revoie à Foix par un balisage jaune sur la D1. L'autre fait un parcours par l'opposé en nous faisant croire que nous trouverons un bus... SAUF le DIMANCHE et les JOURS FERRIES. Je m'étais bien aperçu d'un problème 

sur la carte le GR s'arrête net, j'avais une nouvelle fois bougonné en me disant l'IGN n'a pas vérifié son travail, on doit changer de dalles et la trace de la dalle suivante est passé à la trappe. Malin le gars, il a repéré, car le cas se produit souvent, qu'il est possible de retrouver un ancien tracé en diminuant l'échelle de la carte. (J'ai remarqué que toute les couches n'étaient pas mis à jour lors de modification.) En effet je retrouve mon GR, que je trace sur la carte, puis je l'ajuste aux chemins les plus proches. J'ai procédé ainsi pour traverser les Vosges et je n'ai pas eux trop de soucies. Mais là c'est différant on ne peut pas passer outre.

Encore un propriétaire grincheux qui veut conserver ses bois, ou qu'il ne veut pas que l'on foule son herbe, ses rochers, il tient à les conserver pour lui tout seul... On oublie souvent que ; hors mis les forets domaniale et bois communaux, tout le reste appartient à quelqu'un, en entrée libre ou clôturé. Que c'est il passer pour nous 

fermer la porte ? Des randonneurs indisciplinés ont ils laisser leurs reliefs de repas sur son terrain, et des animaux ont-ils été malades en ingurgitant les reliefs de repas  ? Trop de vététistes ravageant les terres, ou faisant peur aux animaux, trop de cueilleurs de toute sorte, ne lui laissant plus rien pour sa propre consommation ou son commerce ? peut être un simple conflit verbale avec un responsable des GR.
Le panneau d'information nous dit que le départ est transféré dans le village de Montgaillard à la place de la gare de Foix, et qu'il y a des bus, rare, mais il y en a, SAUF le dimanche et les jours 
féries. Et l'on se promène quand ? Les randonneurs encore en actives se promènent le Dimanche et les jours fériés. Donc ne compter pas sur les bus. J'ai trouvé les horaires sur internet (pas à jour 2016) du lundi au vendredi quatre rotations au départ de Foix. La première nous faisant arrivé au départ de la rando non balisé à 10h13, un peut tard pour un départ de rando itinérante... Pire le Samedi on arrive autour de 15h00. Pour le retour, du lundi au vendredi trois rotations les horaires sont un peu plus plausible pour des randonneurs 15h23 & 18h23 le samedi c'est soit trop tôt ou trop
tard 14h 54 ou 17h 02 ne loupé pas celui-la le suivant et dernier est à 19h10. Je vous mets le lien (https://www.mairie-foix.fr/download/VIVRE_FOIX/Deplacement/planpoche_fbus_weblight_22-08-16.pdf) Une flèche nous dit de tourner à gauche et puis plus rien, pas un seul trait nous emmène sur Montgaillard, pas un seul trait nous emmène à Foix, débrouillez vous les gars. Je me dis qu'heureusement que je couche à Foix j'aurais un train à prendre pour rentrer c'était foutu, quatre kilomètres en plus, en cherchant son itinéraire, c'était vraiment foutu. Il est treize heures, il fait 

très beau, nous sommes sur un beau chemin en pente douce à flanc de colline avec une vue imprenable sur les hauts sommets enneigés. Aujourd'hui, je peux prendre le pari d'un bout de terre sec, à l'abri du vent, (il n'y en a pas) et avec un paysage. Pose déjeuné, la première agréable. Toujours pas de traces rouge et blanche, le chemin nous éloigne de Foix. Je trouve sur la droite un balisage jaune et une flèche rouge, je cherche la trace sur le terrain en contre bas, le sentier descend la montagne et à été tondu. Je regarde le Gps pas même la trace de chemin.  Sur la carte papier des pointillés 

mauve. Je tente, il me semble couper au plus cour, que le large chemin. Je passe le portillon électrifié, le sentier est entretenu, l'herbe vient d'être coupé, il descend rudement jusqu'à un promontoire avec un immense cairn, la vue est magnifique, la montagne enneigée, face à nous descendant dans ce qui me semble être la vallée se dirigeant vers Foix, en effet sur la droite derrière le mole, du Pech de Naut on devine le château de Foix. Le balisage tourne à gauche, cela ne m'arrange pas. Une partie est tondue sur la droite, mais mon Gps et 

la carte papier ne m'indiquent pas de chemin. Dommage, a gauche on s'éloigne, après un bout de descente peut facile, nous arrivons sur le plat, puis longtemps après enfin sur une route et une départementale route de Roquefixade (D9a) que je prends à droite. Nous trouvons à cette intersection agrémenté d'une aire de pique-nique,  un panneau, nous indiquant le déplacement du point de départ du Gr. Je ne comprends pas comment on peut laisser le promeneur sans balisage. La route est 

longue droite, nous refaisons en bas, ce que nous avons fait la haut, je regarde mon Gps et constate que ma trace, "donc l'ancien tracé" passait sur ce mole désertique, de la garrigue, des cailloux. On ne comprend, pas vu le peut d'internet du terrain, ce qui a provoqué cette fermeture. Foix approche et j'ai un coup au cœur, un tunnel traverse la montagne et de loin je distingue des panneaux rond, si ce ne sont pas des limitations de vitesse, ils interdisent le piéton. Ouf deux cent mètres plus loin, je trouve un rond point et l'ancienne route traversant Foix. Je suis arrivé. Ma première idée visiter Foix trouver la gare pour le lendemain, ce qui m’inquiète ; Une ligne unique... Foix, il doit être 15h00 nous sommes le jeudi de l’Ascension "un pont au dessus de 
l’Ariège (métaphore) et peu de monde. Quelques motards et touristes attablés au rare café en périphérie. (Je n'ai pas accordé l’orthographe, je n'en n'ai vu qu'un vraiment d'ouvert), les autres fermaient. Je fais un tour en ville. Heureusement que j'avais demandé un casse croute, tout les commerces fermes et je me promène dans une ville déserte.
[Le site de Foix a toujours été habité. Sous l'Antiquité, les Romains s'étaient installés sur le piton du château. La ville basse se développe durant le haut moyen âge, autour de l'abbaye Saint-

Volusien. Cette dernière a été fondée en 849. Elle sera peu touchée par la croisade albigeoise. Elle atteint son apogée au XVe siècle lorsqu'elle est la capitale des comtes de Foix. La ville perdra de son importance quand les comtes de Foix iront s'installer dans le Béarn.
Les guerres de religions sont particulièrement dures à Foix. Les protestants puis les catholiques s'emparent de la ville. En 1790, en partie à cause de son passé, elle deviendra la préfecture de l'Ariège, à la création des départements.
Au moyen âge, l'activité commerciale de la ville se concentre autour de la halle Saint-Volusien. Aujourd'hui, la tradition se perpétue. Chaque 
vendredi, la halle est le théâtre d'un marché aux légumes. Revendeurs et petits producteurs locaux s'y côtoient dans une bonne ambiance.
Ce même vendredi, la halle de Vilotte, plus récente celle-là, accueille aussi son marché. On y trouve le poisson, la volaille et la viande. Là encore, producteurs locaux et revendeurs se mélangent. Les amateurs de bonne chère ne pourront qu'être au paradis. https://www.ladepeche.fr/article/2010/06/17/856824-foix-ville-chargee-d-histoire.html 

Aujourd'hui, en se promenant dans la ville, on peut encore trouver des traces de ce glorieux passé. Outre le château, magnifiquement conservé, on peut admirer les maisons à pans de bois n °36 et 37, rue Labistour, la porte de la maison, n° 23 rue de la Faurie, qui compte une belle couronne comtale sculptée. La place Parmentier compte une des plus belles maisons à colombage. Enfin, rue des chapeliers, au n° 23 se trouvait l'hôtel particulier de la famille de Tréville, dont est issu le célèbre capitaine des Mousquetaires de Louis XIII.
La rue des grands ducs avec ces passages aériens est aussi à découvrir. https://www.ladepeche.fr/article/2010/06/17/856824-foix-ville-chargee-d-histoire.html ] Promener est un bien grand mot je parcours les rues sans
vraiment regarder, il me reste cinq kilomètres, il se fait tard, j'ai mis bien plus de temps que prévu pour rejoindre Foix. Je repère la gare et gagne mon hôtel en périphérie. Je n'ai pas choisi l'itinéraire le plus simple. Je ne voulais pas suivre la départementale, et les bords de l’Ariège ne sont pas aménagés jusque là pour le piéton. J'ai choisi une rue parallèle plus calme qui grimpe un peu. Sur la carte je devais reprendre un chemin contournant le cimetière, mais il est fermé par une grille cadenassé. Le grillage est cassé, le chemin cimenté semble être utilisé. A l'angle du cimetière je renonce, je suis dans du taillis et le terrain semble abandonné, en bas il y a peut être un grillage en bon état. Je rejoins la départementale. J'ai pratiquement fait le double du chemin prévu. Je suis bien content d'être arrivé, mon talon à tenu. En sandale je n'ai pas mal. Je n'ai peut être et

même surement pas assez bu durant mes trajets j'avais pourtant trois litre d'eau en permanence. Je n'en buvais qu'un litre à un litre et demi durant les parcours, il faisait froid, et je n'en ressentais pas le besoin.

  


      
  

 

 
 









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