jeudi 3 novembre 2016

Auvergne : Le Puy Nugère

Le Puy Nugère

Pour terminer mes promenades hors région parisienne de ce mois ci, je vous propose un petit tour en Auvergne. Dans le Puy de Dôme. Une région que j'aime bien avec ses volcans caractéristiques. Nous y avons passé des vacances et y revenons de temps en temps. Ou j'ai le loisir de vadrouiller, dans cet espace naturelle de 80 puys situés sur le "plateau" du Puy de Dôme et, marcher de vallées en vallées, à la rencontre de nouvelles aventures.  

Deux promenades dans le parc des volcans, bonne rando.


Carte IGN              Trace GPS & Topo sans Commentaires           Trace Randogps


Le code mobile de cette randonnée est b310044
 
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 Km    Temps     arret     V/d     V/g     Dénivelé
  7     1h05        7mn      4.5      4      162+ maxi 996


Pour me rendre au puy Nugère, je n'ai pas choisi le plus simple. A ma décharge je venais de terminer la rando du puy de Paugnat {http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/08/auvergne-le-puy-de-paugna.html} étant de très bonne heure et en regardant la carte je me suis rendu compte que le puy de la Nugère était bien proche, passant assez souvent au col j'avais remarqué un chemin balisé, cela ma incité à réaliser un second parcours sans savoir ou j'allais vraiment.

De Volvic prenons la D 986 route de Pongibaut. Dans la cote à droite D 16 direction Paugnat-Moulet Marcenat). Traversons le village en direction de Paugnat. Dans le village nous prenons la troisième rue sur la gauche l'allée de la foret. C'est une impasse. Nous allons jusqu'à l'orée de la foret ou nous trouvons de quoi nous garer le long du bois.

Avec mon GPS je fais le point et je note l'emplacement de la voiture, ne sachant pas ce que je vais trouvé comme chemins, ils y en aura peut être beaucoup, je tournerais peut être à en perdre mon sens de l'orientation, en marquant le point de retour j'aurai toujours un chemin ou une route pour la retrouver, à moi de la suivre ou de simplement m'en servir de fil d’Ariane.

Dans un premier temps je prends le chemin forestier (Filibet) dans la continuité de l'allée de la foret bordé d'un coté de sapin, et de l'autre d'une rangée de hêtre et de chêne. Le chemin se termine à proximité de la ligne de chemin de fer, mais un petit sentier nous permet de la traverser.  C'est une ligne SNCF, mais c'est loin d'être une ligne Tgv, Téos, RER ou TER, à si c'est un TER. Il y en a d'après mes recherches 5 par jours (en 2014 aujourd'hui ils ont dû être remplacés par des cars...) On peut me semble t'il ne pas prendre un très grand risque à traverser les voies. De l'autre coté nous trouvons le même petit sentier dans un bois de hêtre, nous emmenant sur un chemin entre deux murets de pierres c'est également le GR 441. A l'intersection suivante nous suivons le GR 441 sur la droite, puis à gauche toujours le GR. Nous coupons un chemin continuons tout droit dans notre foret de hêtre et de chêne. Nous arrivons à un panneau d'information : col Nugère balisage bleu : C'est une rando que je voulais faire et sans le savoir me voilà sur l'a boucle à l'opposer du départ. Cela m’arrange bien, je vais faire une boucle sans trop paniquer de me perdre. Et puis après 22 km savoir que la boucle ne fait que 3,6 km je me dis que je ne rentrerais pas trop tard de ce périple. Partons par le sentier bleu de droite, nous rencontrons un chemin que nous laissons suivons le balisage bleu, laissons le chemin de droite, continuons le bleu dans le bois de hêtre nous arrivons près de la D 943 et du point de départ du tour du puy de Nugère, nous sommes à 885m nous retrouvons le GR 441. Le cratère est à 900m c'est toujours le sentier bleu. Je parts à gauche en suivant
toujours le balisage bleu. Nous grimpons vers le cratère, cela grimpe fortement. le puy est boisé sans beaucoup de vue et c'est un cratère rond. Pas de creux au centre. Entre les branches nous apercevons la chaine des puys et le puy de Dôme. Ho! Ça grimpe bien, et le sentier n'est pas facile il doit servir de torrent les jours de pluie. Je commence à en avoir plein les sabots, le balisage nous dit de ne pas monter au sommet et tourne à droite, mais je trouve dommage d'être venu jusque là et de ne pas faire le sommet, je n'écoute pas, la raison et les balisages et continue de gravir "essoufflé" je suis déçus pas de point de vue. Les arbres sont partout c'est ce qui évite le ravinement. Nous sommes à 993m et nous apercevons entre les feuilles des arbres les puys de Ténuzet, Jume et de Coquille, et sur notre droite
Clermont Ferrant, la plaine, avec Rion et les Monts du Forez.  je redescends et ne regarde plus le paysage que l'on a du mal à voir entre les arbres, je regarde ou je mets les pieds. Je commence à comprendre la raison du détour des sentiers balisés. Le chemin est raide encombré de racines, ce qui évite le ravinement et permet au pied de se stabiliser. Ce n'est pas un chemin pour des enfants, trop pentu, trop dangereux et encore je le fais par temps très sec. Un peu plus bas nous rencontrons le sentier bleu et le GR que nous prenons à gauche. Nous suivrons le balisage jusqu'au panneau d'information. Houaaaa! Même la descente de cette partie balisée n'est pas facile, ça glisse sur cette pente sans racine. Personne n'a pensé à y mettre des rondins ou mieux, créer un chemin en lacet, c'est peut être impossible la roche étant trop proche, mais la, ça descend vraiment direct. Au pied du puy cela va mieux, Voilà la boucle est bouclée, je reprends mon chemin en sens inverse, en suivant le GR441, puis au carrefour suivant je quitte le GR pour prendre le chemin de droite, (il serait trop simple de revenir par le même chemin) et puis cela me permet d'utiliser mon GPS dans un mode que je n'utilise pas souvent celui de route. Ce programme me permettant d'obtenir un fil d’Ariane utilisant les chemins ou les routes du lieu ou je me trouve jusqu'au point GPS que j'ai choisi, cet à dire soit un "point que j'ai créé"  (le point que j'ai établi avant le départ : parking de la voiture, ) ou lieu quelconque que j'ai choisi sur une liste toute faite du GPS. Un fois que j'ai cette trace, cela me permet de prendre ce que je veux comme chemin ce 
dirigeant plus ou moins vers ce point. Lorsque nous avons le choix sur plusieurs chemins et que je ne prend pas celui que me désigne le GPS ce dernier recalcule. Ici il reste figé, le chemin que je prends n'est pas sur la carte. Ce n'est pas bien grave il suffit de conserver à l'écran la trace calculé par le GPS et le point de géolocalisation. Dans ce coin il y a beaucoup de chemins et de quoi se promener relativement à plat dans les bois, mais sur la carte il n'y a rien. Ce chemin est beau, nous marchons dans un ravin avec des pierres moussus posées les une au dessus des autres, on se croirai à Fontainebleau dans un chaos rocheux. Perpendiculairement à notre chemin d'autres chemins partent également enchâssés entre ses chaos rocheux. Plus loin le taillis est parsemé de petit muret découpant le sous bois en petites parcelles, ce bois n'existait peut être pas il y a une vingtaine d'année et c'était peut être comme sur le puy de Paugnat une terre privée appartenant à des éleveurs..?
Nous trouvons un chemin et le GR je prends à gauche et suis le balisage. Comme la promenade est courte au lieu de reprendre mon chemin de retour, je poursuis le GR dans la foret, il tourne à droite et nous débouchons sur l'écomusée et la route bitumée que nous prenons à droite (route des carrières, D 90)   
je retrouve la ligne de chemin de fer que je longe. Nous passons 
 sous le pont SNCF, Nous sommes sur la route de Moulet (D90) et arrivons au lieu dit des Goulots  sortons du village et prenons le premier chemin sur la gauche (Impasse des carriers) ma trace me dit de quitter la route et de prendre le chemin de droite. Nous arrivons à une patte d'oie et prenons la branche de gauche entre champs et foret. La voiture est au bout.


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http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/08/auvergne-gorge-de-la-sioule-meandre-de.html

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http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/11/auvergne-le-puy-nugere.html

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http://randosacaudos.blogspot.fr/2016/11/auvergne-beauregard-le-puy-de-dome-la.html
 




Mes autres PetitesPromenades

mercredi 2 novembre 2016

Auvergne : Beauregard - le Puy de Dôme "La plaine des Puys"

Beauregard - Puy de Dome

Pour terminer mes promenades hors région parisienne de ce mois ci, je vous propose un petit tour en Auvergne. Dans le Puy de Dôme. Une région que j'aime bien avec ses volcans caractéristiques. Nous y avons passé des vacances et y revenons de temps en temps. Ou j'ai le loisir de vadrouiller, dans cet espace naturelle de 80 puys situés sur le "plateau" du Puy de Dôme et, marcher de vallées en vallées, à la rencontre de nouvelles aventures.  

 bonne rando.


  Carte IGN             Trace GPS & Topo sans Commentaires           Trace Randogps
 
Le code mobile de cette randonnée est b310026
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

  Km    Temps     arret     V/d     V/g     Dénivelé
 31      5h50         1h        5.2      4.5      857+   maxi 1404

Vous allez peut être vous sentir frustré de ne pas monter sur tout les puys, mais je rêvais de me promener aux milieux d'eux. C'est une promenade que j'ai réalisé en 2014. J'espère que certaine annotation personnel sur le parcours ne sont plus d'actualité.
 
Pour joindre le parking prendre la D 943 entre Volvic et Pongibaud on trouve la route de Beauregard sur la gauche après avoir passé le col Nuguère et juste à l'entrée du Vauriat dans un virage avant le passage à niveau. C'est une voie sans issue. La route serpente dans les prairies. face à nous le puy de Dôme et à coté la chaine du Sancy.
Le parking se trouve à l'entrée du village sur la gauche.
Nous partons par la gauche avec le balisage vert en direction du volcan Luchardière. C'est une route goudronnée. Nous passons devant deux maisons et arrivons à une intersection avec des informations  sur les directions. Nous prenons à droite en direction du col Ceyssa. Au début je ne passais pas par la, mais par deux fois je me suis planté avant de me rendre compte qu'une nouvelle fois le socle de la charrue avait supprimé le chemin. Le GR à été modifié sur le terrain, mais nous fait revenir sur nos pas, j'ai essayé de couper en traversant un bois dont le chemin ne va pas jusqu'au bout, mais pas facile de suivre sa trace dans les sapins. Ce matin le puy de Dôme est dans les nuages. Nous  rencontrons le GR 4, que nous suivons. Puis nous prenons à gauche et on descend. Nous apercevons un cours instant le puy de Dôme entre les arbres. Nous rencontrons un panneau d'information et nous continuons tout droit le GR et un balisage bleu. Nous contournons le puy de Clermont et de Chaupine. Nous abandonnons le GR et le bleu qui partent sur la droite prenons à gauche un chemin en direction de Lachant, ceyssat chabat. Nous sommes dans les bois de sapin et le chemin est relativement plat. Laissons le chemin de gauche continuons tout droit vers la borne (Le GR ne passe plus là il prend à droite)
 Encore une fois la carte n'est pas à jour. Coupons la D 559 continuons en face. Après la barrière nous prenons à gauche, nous sommes toujours dans des bois de sapin. Nous coupons un chemin au niveau des parcelles 2 et 3 nous continuons tout droit. Nous arrivons à une intersection en forme de T et nous prenons à droite, nous passons une barrière avec une pancarte : foret privée, nous avons malgré tout le droit de passé en respectant les lieux. La carte ne semble pas très juste, après la barrière nous laissons le chemin de droite et penons à gauche. Nous montons, et arrivons à une autre intersection ou nous prenons à gauche, nous montons encore plus. Nous montons toujours laissons le chemin de gauche et prenons à droite pour faire le tour du Grand Sarcoui. Puis laissons le premier chemin sur la gauche qui est bien tracé et qui monte pour continuer tout droit, nous aboutissons à un T et
nous prenons à gauche nous grimpons. Le chemin est un peu raviné,  Coupons un chemin, continuons tout droit. Nous nous élevons lentement. Coupons à nouveau un chemin, continuons à grimper dans la parcelle 3 (gros 3 peint en rouge sur un arbre). J'y remarque des traces de VTT et de sabots. Nous aboutissons de nouveau sur un chemin formant T, large chemin, bien entretenu, avec un panneau puy des Goules c'est également un sentier bleu. Nous prenons à droite et grimpons au sommet, ou nous avons une vue à 360°. Le puy de Dôme, la chaine du Sancy, la Combraille et son viaduc autoroutier sur la Sioule, la chaine des puys, la 
plaine avec au font les monts de la madeleine et du forez et plus proche de nous la vallée de Clermont Ferrant et sa cathédrale toute noir (en pierre de lave) qui sort du paysage. Ce puy moins visité que le Pariou comporte également un cratère en son centre (un peu moins profond). Faisons le tour et reprenons le balisage bleu.
     
 Nous arrivons à une intersection avec un panneau d'information, l'un nous indique le puy des goules (d’où nous venons) et de l'autre sur la gauche la direction de la grotte de Sarcoui, nous prenons à gauche. Nous arrivons devant un rocher blanc gris ou nous trouvons une grande excavation  Dans le fond quelques gravures daté de 1899 j'ai remarqué deux groupes de       
cupules entouré d'un cercle, je pensais comme à fontainebleau à des traces gauloises alors je les ai photographier, et puis déjà fatigué j'ai des hallucinations  sur l'un des rochers je vois un lapin et une fois la photo sur l'écran de l'ordinateur, je ne vois plus de lapin, mais simplement un chapeau et la tête d'un bonhomme. Ou va se nicher l'imagination...... Faut dire que la pierre est tendre j'ai fais l'expérience de la gratter à la pointe de mon bâton et cela marque bien. Revenons sur nos pas et continuons le balisage bleu sur la gauche qui descend vers un parking.
Laissons les chemins sur la droite et la gauche qui sont certainement des chemins d'exploitation de bois qui ne figure pas sur la carte. Nous passons la barrière et prenons le chemin sur la gauche, poursuivons le balisage bleu. Nous arrivons dans une plaine à l'orée d'un village nommé Fontaine du Berger ou nous avons des croisés de chemins, dans la prairie, pas facile de s'y retrouvé et de suivre le bon chemin. Tout en respectant les propriétés nous prenons plutôt à droite. Nous faisons le tour d'une prairie puis d'un marchand de bois, ne pas louper le sentier qui par sur la droite après le marchand de bois et qui nous mène au parking, ou nous trouvons un passage piéton nous faisant traverser la 941, un panneau d'information nous indique la direction du puy Pariou. Balisage jaune.
 Laissons le chemin du Pariou partant sur la droite et continuons tout droit le chemin entre les clôtures. Laissons un chemin sur la gauche continuons tout droit entrons dans un bois pour contourner le Pariou. Nous trouvons un panneau d'information retour Pariou balisage jaune (je n'ai pas beaucoup vu de traits jaune) ensuite nous laissons le chemin de gauche et prenons celui de droite toujours notre pancarte retour Pariou, nous avons une vue sur notre futur étape le puy de Dôme et sur la droite
  nous apercevons les montants de la rampe des escaliers du Pariou. Dans cette montée il n'y a plus de sentier vraiment marqué. Nous arrivons au bas de l'escalier nous prenons l'un des petits sentiers sur la gauche en direction du Puy de Dôme. Attention l'un des sentiers part sur la droite et se dirige vers les deux monts Suchet. Nous arrivons à la fontaine des bergers, notre point de départ de la grimpette du Puy de Dôme, nous rencontrons le sentier jaune faisant le tour du puy, le GR 4 et 441 ne passe plus par là, il a été modifié en 2012, mais la carte n'est pas à jour. Un sentier jaune grimpe et un autre de couleur blanc vert, grimpe sur le Puy.

610+ et 15km en 2h59 v/d 5.0  v/g 4.8
Il est 11h32 nous voila partie par le chemin des chèvres. Après une première grimpette nous trouvons un panneau d'information, il me semble que cette partie est plus facile que le muletier situé de l'autre coté. Un léger faut plat, permet de reprendre son souffle. 11H43 arrivée au chemin balisé par deux ficelles à 20 cm du sol et une pancarte nous demandant de ne pas divagué à droite et à gauche. Nous arrivons à l'escalier permettant d'accéder à la plate forme du 
tram. Nous traversons la ligne du tram et continuons notre monté par la route. Belle vue sur la vallée de Clermont et du forez et bien sur, la chaine des puys en enfilade derrière nous. Nous arrivons à la gare du tram.
11h03 900m+ 1417maxi 17.3km 3h28 18mn d’arrêt. Voilà si mes erreurs sont bonnes j'ai mis 30 mn pour monté, arrêt photos compris pour 2.3km et 293m de dénivelé. Aujourd'hui je ne suis pas assez couvert pour faire le tour du Puy par les allées bétonnées, n'y de passer par le temple, Il avait annoncé du beau temps et 17 degrés,
Fontaine du Berger
 mais voilà ce matin j'avais de la gelée blanche sur le parcours et un petit vent du "Nord Est" souffle assez fortement. Je n'ai pas pris mon coupe vent, faut bien compter une bonne demi heure la haut, mais le spectacle vaut le coup.
Je redescends par le chemin des muletiers, chemin serpentant, fortement pentu et parfois un peu glissant sur les petits cailloux. 
12H26 col seyssac 19,3km 3h50 19mn arret v/d 5 v/g 4.6 dénivelé 901 + 1417maxi nous sommes au niveau du parking et du restaurant nous continuons notre chemin par le sentier de droite entre le mur et la boutique de souvenir. Balisage jaune et GR 4 c'est le départ du tour du puy de Dôme. Le chemin part dans une foret de hêtre tortueux.
Je fais la pose déjeuné à l'abri du vent. Laissons les chemins sur la gauche et continuons notre balisage jaune et GR4 . Parfois le chemin n'est pas facile à suivre, gadouilleux. Des chemins sur les cotés ont été crée. Nous débouchons dans la plaine et suivons les clôtures. Nous quittons le sentier jaune partant à droite et nous suivons le GR441 par le chemin de gauche. Nous faisons le tour du Grand Souchet. Suivons le GR par un chemin sur la gauche longeant le petit Suchet et le grand Suchet, Intolérable vision... ils ont broyés les arbres de chaque coté du chemin, c'est moche. Aujourd'hui, les nouvelles machines coupent les branches.
 Au carrefour nous laissons le chemin de gauche, nous sommes obligé de faire un détour, des tracteurs ayant défoncés le chemin, il est devenu impraticable par l'eau stagnante et la boue. Nous arrivons dans une espèce de clairière nous prenons à droite cela manque un peut de balisage. En bout de la clairière, nous avons des panneaux d'informations WE vert et blanc-GR- Liaison Vulcania ! Pied du puy de dôme 1,9. Nous prenons à droite et entrons de nouveau dans le bois, nous avons après la clairière un
bon  balisage. Comme tout à l'heure le chemin à été défoncé par les engins d'exploitations des sentiers de part et d'autres du chemin ont été créés par les Vététistes et les randonneurs. C'est ici que j'apprends que les GR ne passent plus par le Puy de Dôme au Traversin il emprunte le sentier jaune se dirigeant vers le col Seyssac. Nous avons un panneau d'informations avec des directions mais nous continuons le GR en passant au pied du puy de côme qui est interdit de "grimpette" afin d'éviter sa dégradation. Encore un chemin défoncé par les engins forestiers prendre les sentiers parallèles tout en faisant attention de suivre le chemin principale. Lorsque je pense que certain puy sont interdit au piétons pour éviter leur dégradations, mais on laisse les chemins défoncés avec des ornières boueuses, alors que les engins comporte une lame leur servant à pousser les troncs sur le coté, il pourrait une fois le débardage terminé remblayer par un coup de 
lame (je l'ai vu faire une fois à Fontainebleau) c'est donc possible. Après, tout dépend de la volonté des propriétaires privé ou non. Puis virage à gauche c'est bien matérialisé par le balisage. Il faut toujours conserver le puy de Côme sur la gauche. Nous arrivons à une intersection ou le jaune continue tout droit et le GR tourne à droite poursuivons avec les marques rouge et blanche. Maintenant le Côme est derrière nous. Laissons un chemin sur la droite et continuons le
      
notre qui est redevenu agréable à suivre. Nous débouchons sur une clairière  servant en 2014 au débardage du bois, nous continuons tout droit par le chemin qui est devenu une route et a été renforcée aux granulats. Laissons les routes sur la droite, nous arrivons au parking de Vulcania, remontons celui ci sur la droite jusqu'au rond point et traversons les routes par la gauche :  l’accès au parking et la Départementale. Nous trouvons à gauche la trace sur GR sur des rochers posé là pour éviter aux voitures de pénétrer. Nous passons au pied de la carrière de scorie du puy de lemptegy (parc à thèmes comme Vulcania) Nous sommes entre deux clôtures. On nous indique "la fontaine des pères" dans un champ à droite, mais il faut franchir la clôture en barbelé en montant sur un escalier qui ne m'inspire pas. Dans la prairie plus de traces de chemin. Est-ce, ce point protégé par cette espèce de niche ? Est-ce plus loin ? Je suis fatigué, et cela ne me dit rien de grimper ses trois marches me semblant en mauvais état. J'ai peut être tort. Nous sommes dans les prairies et les champs, je vois sur la gauche, une bonne dizaine de meules de foin éparpillées dans les champs. Elles ont passé l'hiver dans la prairie et cette année elles vont être jetées ou entassées dans un coin, alors que peut être un agriculteur du coin (au sens large) en aurait besoin. J'ai vu ça également chez nous, elles pourrissent là. Moi ça me fait mal au ventre que cela ne profite à personne, surtout qu'en 2013 certaine région pleurait le manque de paille et de foin. Les agriculteurs demandaient une chaine de solidarité.
Nous trouvons un balisage bleu. Nous arrivons à une intersection. Le GR 4 part sur la droite, nous le quittons et continuons tout droit cette route gravillonnée qui va déboucher sur une route goudronnée. Sur la gauche  nous retrouvons une trace de GR et le balisage jaune (j'ai un peu de mal à comprendre le tracé du GR) à la pointe du bois de sapin nous quittons la route pour prendre le chemin sur la droite ou nous trouvons un balisage sur une traverse de chemin de fer. Face à nous le dernier puy  de cette rando le Luchardière, cela veut dire que Beauregard n'est plus très loin.  
Je comprends maintenant la raison pour la quelle je me suis planté deux années de suite en loupant le virage du GR vers les puy. Sachant que j'étais sur le GR je ne sortais pas le GPS et je me retrouvais hors tracé. Le socle de la charrue à supprimé le chemin. Les baliseurs du GR se sont adaptés mais pas l'IGN qui n'a pas modifié sa carte. Continuons notre chemin sans nous occuper des chemins à droite ou à gauche. Enfin nous arrivons à notre parking. 
          


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Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 26 Le Neubourg - Brionne Etape 2014

Le Neubourg - Brionne


Etape 2014  Le Neubourg - Brionne 22 km  


 
 
Le code mobile de cette randonnée est b310022
 
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KM     Temps     Arrêt    V/d    V/g    Dénivelé
 22       4:00        0:20      5,4     4,9         140+
 
Mai 2016
Drôle d'hotel ; Pas de petit déjeuné pour moi ce matin. Aujourd'hui c'est férié, et le ‘’ptit dèj’’ est à neuf heures. Bien trop tard pour moi. (Je le comprends, un jour férié c'est comme un dimanche et l'on ce lèvent plus tard, et puis je dois être le seul client. Alors bien que ce soit un commerce ou normalement le client est roi, on ne va pas faire d’effort pour un chemineux de passage. Là je regrette la chambre d'hôte...)  A Brionne il n'y a que deux trains dans chaque sens par jour, il ne faut pas le louper. je prends le dernier pour Rouen 13:15.
Pas de chance j'ai retiré mon réchaud du sac... Sept heures trente, me voila partie sous le soleil et le ciel bleu. Au passage quelques photos de ce qui reste de l'ancien château, la lumière est bonne, le soleil éclaire la façade, l’atmosphère est limpide. Le balisage est très parcimonieux, faut dire que l'on ne peut guère se tromper, une immense allée bordé d'arbres, cela annonce un très beau château. Mais nous ne le verrons pas. Une immonde porte en bois d’environs 4 mètres de haut, ferme des murs tout aussi hauts. Virage à gauche, et l'on rentre en foret. Puis virage à droite sur la voie verte. Petite information pour les cyclistes. Evreux n'est qu'à 25 km. J’en ai fait 36 hier, pour le même parcours. Ensuite le balisage est toujours aussi mal fait. L'on serpente le long de cette voie verte. On en sort avant une
Voie verte
ancienne abbaye. Du moins c'est ce qui est écrit sur le portail d'entrée. Je suppose que cette voie vert est une ancienne ligne de chemin de fer et les maisons perdues en pleine nature celles des gardes barrières qui sont devenues maisons d'habitations. Autour ce sont greffés quelques maisons. Ils sont tout de même bien isolés, perdu en pleine nature. Nous empruntons une route ou l'on ne voit certainement pas beaucoup de marcheurs, les voitures ne ralentissent pas et dévient à peine lorsqu’il vous croise, reste pour se garer que le bas coté avec son herbes hautes. Quittons la route, pour prendre les champs et traversons de beaux villages ou je suis surpris de retrouver des maisons aux toits de chaume. Beaucoup ont été refaites en ardoise, plus économique et avec moins d'entretien. Nous arrivons au fabuleux château du Champs de Bataille [édifié au XVIIe siècle pour le comte Alexandre de Créqui-Bernieulles. Les historiens et toponymistes ne s'accordent pas sur l'origine du nom de Champ de Bataille. Plusieurs hypothèses sont avancées :
  1. En 935, une grande bataille se serait déroulée sur ces lieux entre deux familles : celle qui régnait sur le Cotentin et dirigée par le comte du Cotentin, contre celle de Guillaume 
  2. Longue Épée commandée par Bernard le Danois, ancêtre de la famille d'Harcourt. Guillaume Longue Épée l'ayant emporté, l'unité de la Normandie s'en trouva confortée. C'est la légende la plus communément invoquée.
  3. Le nom serait lié à l'appartenance d'un champ à un certain M. Bataille.
  4. Le nom ferait allusion à des combats de sangliers qui auraient eu lieu épisodiquement sur le site où fut construit le château.
  5. Il commémorerait une victoire de la famille d'Harcourt sur sa rivale des Tancarville.
En 1651, Alexandre de Créqui, frondeur et ami du prince de Condé, est exilé par le Cardinal Mazarin, qui gouverne la France pendant la minorité du roi Louis XIV, sous la régence de la reine Anne d'Autriche, femme de feu le roi Louis XIII. Alexandre de Crequi, condamné à résidence, décide, alors, de se faire construire un palais qui lui rappellerait les fastes de la cour des rois de France, cour qu'il n'allait plus jamais connaitre. Les travaux durèrent de 1653 à 1665.
De ce château, les seuls documents qui sont parvenus ou connus à l'heure actuelle sont deux plans attribués à Le Nôtre.
Malheureusement, faute d'une charge à la Cour, Alexandre de Créqui meurt ruiné. Son neveu, le marquis de Mailloc, hérite du château et de ses dettes. Le marquis, peu intéressé par le château, n'y résida jamais et n'y fit jamais de travaux. À sa mort, il légua le château au duc de Beuvron. Au XVIIIe siècle, Anne-François d'Harcourt, duc de Beuvron et gouverneur de Normandie, fit du château du Champ de Bataille sa résidence principale. À cette époque, le château était très délabré et les décors du XVIIe siècle étaient irrécupérables. Le duc entreprit alors d'énormes travaux. Mais la Révolution française interrompit cette tâche gigantesque. Les travaux furent suspendus et la restauration resta inachevée.
Comme beaucoup de propriétés appartenant à l'aristocratie, le château fut pillé en 1795, puis abandonné pendant de longues années.
Au retour de la monarchie, le château fut vendu. Il connut, ensuite, six propriétaires tout au long du XIXe siècle, parmi lesquels en 1877 Joseph Michon, proche du comte de Paris.
Au XXe siècle, il servit d'hospice puis de camp de prisonniers de guerre en 1944 et enfin de prison pour femmes.
De nouveau, au cours du XXe siècle, plus précisément en 1947, le château fut acquis par un duc d'Harcourt, chef de famille des seigneurs d'Harcourt, en compensation de la ruine du château de Thury-Harcourt lors de la bataille de Normandie de 1944.
En 1947, le domaine fut repris par le duc François d'Harcourt, qui restaura façades, toitures, charpentes, replanta la propriété, qui compte 110 hectares de bois avec 50 km d'allées tracées "en étoile" et 15 hectares de jardins "à La Française", ce qui l'empêchera de s'occuper de l'intérieur des bâtiments.
Le millénaire des Harcourt, réunissant les branches française et anglaise, y fut célébré dans les années soixante ; la famille vendit le château en 1981.
Pendant 20 ans, le château fut entretenu et restauré par un particulier (Monsieur Boutrolle d'Estaimbuc) qui créa l'actuel golf de renommée dans les bois. De nombreux sons et lumières et concours d'attelages s'y déroulèrent jusqu'en 1992, année de sa vente au décorateur Jacques Garcia.
Le château fait l’objet de multiples protections au titre des monuments historiques dès le 14 mai 1952 : des classements en 1952 (certains éléments extérieurs), en 1971 (abords du château), en 1995 (communs, parc) et une inscription en 1995 (parc).
Les jardins sont labellisés « Jardin remarquable » wikipédia.]
et son golf. C'est grandiose. Un golf immense et malgré cela il reste un parc dont les proportions vont avec le château. Le GR ne passe pas devant (ce qui est dommage.) De loin deux grands corps de bâtiments dont l'architecture semble vraiment grandiose. (Oui, je me répète.) Je n’ose pas me détourner pour prendre des photos. La peur de louper mon train. (Sur la trace j'ai fais le détour. Si l'on respecte la vitesse de marche, nous avons le temps de faire le détour.) Empruntons la route et pénétrons dans le bois, c'est une route menant à un village disséminé dans la foret. J'étais tellement admiratif par la densité des arbres restant autour des maisons que je n'ai pas vue le virage à gauche. Généralement on déboise, on regroupe les maisons, on laisse trois quatre tiges rabougris pour rappeler l'ancienne foret. On attribue à ce nouveau hameau le nom de l’ancien bois et le tour est joué. Les architectes sont fiers d’eux et pensent avoir réussi à intégrer les maisons dans la nature. Mais ici ce n'est pas le cas. Les architectes on construit les maisons autours des arbres. Pour retrouver ma trace, je traverse une route et trouve un petit sentier coupant un bois, mais il abouti à flanc de colline et la pente est raide. Le terrain tient sous le pied et des arbustes sont là pour m’aider au cas ou le sol se dérobe. Enfin j'ai retrouvé ma trace à la lisière des champs et des bois. Puis nous pénétrons dans le bois du colombier,  on longe, traverse ou marchons à proximité de la voie verte. dans le bois le balisage n'est pas facile à suivre et je me dis que lorsque le terrain est boueux il est beaucoup plus facile de suivre cette voie bitumé que le GR. Nous quittons la voie verte pour prendre la D 156. Nous passons devant l'ancienne abbaye du parc. Il ne doit pas rester grand chose je n'y vois que deux maisons et d'anciennes granges.
[Abbaye ou Prieuré ??
La fondation de ce prieuré remonte au XIII siècle.
Après le traité de Saint Clair sur Epte en 911, Rollon lègue le domaine d’Harcourt à Bernard le Danois. Son successeur, Robert 1er d’Harcourt édifie un premier château sur la motte féodale.
Jean 1er d’Harcourt érige ce prieuré en 1254 pour venir y prier et servir de lieu de sépulture à sa famille. Il en fût ainsi jusqu’en 1476. 12 Chanoines de l’ordre de Saint Augustin s’y installent.
En 1701 une tempête violente détruit une grande partie de ce grand prieuré.
Bien que réparé par Françoise de Branca, l’endroit fût vendu à la révolution de 1789 et utilisé en grande partie comme carrière de pierres . A ce jour il 
subsiste quelques hangars de la ferme, deux constructions carrées et les vestiges d’une crypte souterraine. http://www.lesamisdharcourt.fr/wordpress/labbaye-du-parc/] Nous quittons la départementale pour un chemin dans les champs et nous arrivons à Harcourt [Berceau ancestral de l’illustre famille d’Harcourt, le domaine d’Harcourt est aujourd’hui composé du château médiéval des XIIème et XIVème siècle (l’un des mieux conservés de Normandie) et de l’arboretum de 95 hectares d’une très grande variété. Véritable lieu de promenade et de découverte 
                                   
botanique, l’arboretum se place parmi les plus importants de France avec 400 espèces d’arbres. La visite est facilitée par un itinéraire balisé. http://www.tourismecantondebrionne.com/patrimoine/nos-communes/harcourt/] Toujours à cause de cet horaire de train qu'il ne faut surtout pas louper, je ne me détourne pas de ma trace pour allez voir le magnifique château médiévale, l'un des mieux conservé de Normandie. Je me contente du centre du village [Eglise Saint Ouen Classée monument historique, elle date du XIIIème siècle et présente une très grande homogénéité. Le chœur est terminé par une abside en hémicycle, les colonnettes sont octogonales mais la sculpture des chapiteaux et les têtes humaines qui terminent les arcs sont typiquement normands. A voir une cuve baptismale de la fin du XIII ème et un très beau lutrin à caryatides de style Louis XIV.
Les halles du XIIIème siècle et l’ensemble de maisons à pans de bois de la place du village forment un site pittoresque.]

j'aime bien le réemploi de la Halle
Nous quittons le village par un chemin dans les champs, nous passons quelques maisons isolées  pour entrer à nouveau dans les bois. Passons sous l'autoroute et nous arrivons en bout de ce plateau.

 
La mairie d'Harcourt (XIXe). Ancienne halle datant de la fin du Moyen Âge appartenant au domaine d'Harcourt. Elle est devenue la propriété de la commune en 1848 pour y installer la mairie et divers équipements communaux. (wikipédia)

Nous arrivons à une intersection de sentiers, nous trouvons le GR 222. Malheureusement les informations ont été dégradées, et pas réparé. Heureusement que j'avais mal aux cuisses et que je me suis accordé une petite pose avant de descendre dans la vallée, cela ma permis d’apercevoir les poteaux en mauvais états, de regarder le GPS et de me rendre compte que je quittais le GR 26  pour prendre le 224. Un peu plus je plongeais dans la vallée de la Risle.
 Quittons le 26 qui descend et prenons le 224 qui longe la crête de la colline. Nous arrivons à la charmante bourgade de Brionne. Petit tour en ville, jour de marcher, il y a du monde et je cherche la gare. Pas d'informations mais ma trace m'y mène directement. J’ai plus d'une heure à attendre. J'aurais du, poussez un peut plus loin au château du Champ de Bataille, au moins aller jusqu'au portail d'entrée, ou à Harcourt. Je fais le tour de cette gare totalement fermé. Le bâtiment sert de salle de réunion au troisième âge. Pas d’automate pour les billets, mais ils n’ont pas oubliés les bornes de validation. J'ai un doute sur le quai que je dois prendre et aucune information. Je n’aimerais pas me tromper de direction. Mes horaires me font passer par Rouen pour rejoindre Paris, mais de l'autre cote j'ai Bernay et Caen, comme solution de retour.
[Installée au cœur de la Vallée de la Risle. Fondation celtique, cette cité doit son existence urbaine au carrefour de voies antiques qui s’y croisaient. La situation privilégiée du site fit de Brionne l’objet de nombreux enjeux : le Duc Richard 1 céda la ville à son fils Godefroy. Assiégée par Guillaume le Conquérant durant trois années, la ville était alors resserrée sur l’île formée par les deux principaux bras de la Risle et défendu par un château de pierres et de bois érigé en fond de vallée. 
 Le nom de Brionne vient de deux mots gaulois BRIVA qui signifie PONT et DUNOS qui signifie VILLE. BRIVADUNOS : Ville sur RIvière ou Pont sur Rivière. En 57 avant Jésus Christ, les Romains conquirent la Gaule et Brivadunos devient BRIVODUNUM ou BRIVIODURUM = Pont sur le courant d'eau. Carrefour des voies romaines (Lillevonne, Evreux, Lisieux, Rouen) BRIONNE possède le camp romain du Vigneron et devient un centre important.]  

Le donjon surplombant la cité fut édifié à la fin XIsiècle. C’est un des rares donjons carrés normands conservés en Normandie. Il ne joua cependant pas de rôle important pendant la Guerre de Cent Ans. 

 A l’origine l’Eglise Saint-Martin fut créée en 1030 et détruite complètement en 1124 par Henry II d’Angleterre. Reconstruite en 1183, elle fut détruite par la foudre.
En 1356, pillée par les Anglais, l'église Saint-Martin fut utilisée comme forteresse et détruite à nouveau par les Français. Restaurée de 1452 à 1457, l’Eglise actuelle fut bénie le 1er Juillet 1458.

Encore pillée en Avril 1562 par les Protestants, endommagée en 1772 par un incendie, elle fut rapidement réparée.
La façade occidentale, la plus ancienne construction est divisée en trois 


travées par des contreforts, la porte principale a été percée en 1845 sous une grande fenêtre en ogive.
Au sud, les 4 premières fenêtres sont du XVème siècle.
Au Nord, six pilastres à pinacles et une petite tourelle donnant accès au clocher, une entrée latérale fût édifiée en 1853.
Le clocher est une tour carrée avec alternance de pierres et de silex taillés qui s’élève entre les toitures de la grande nef et celle du chevet.
Dans l’entrée 3 nefs séparées par 2 rangées de piliers rectangulaires peuvent dater de la fin du XIIIème siècle (1 200). http://www.ville-brionne.fr/pageLibre000103f0.aspx



Vers 12:30 du monde se présente sur le quai face à moi. Je demande s'ils connaissent le quai pour Rouen. ‘’Savent pas’’ et se foute un peut de moi avec mon sac à dos et mes grosses chaussures. Il fait semblant de chercher les points cardinaux pour savoir ou se trouve le nord, en déduire ou se trouve Rouen et son quai. Du C.. le bon quai pour Rouen c'est simplement celui que tu ne prends pas.  Puisque tu va sur Bernay. A l’arrivé du train, le contrôleur me confirme que c'est l'autre quai.

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