lundi 6 avril 2015

De la Seine à la Loire GR 32 Etape 4 Briarres sur Essonne - Pithiviers


avril 2014


 
Trace Randogps                        Le code mobile de cette randonnée est b307121

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

KM     Temps     Arret     V/d     V/g     dénivelé
33,5     6h16       0h38      5,3      4,8           213







 Départ Parking de Briarres. Ce village ne manque pas de place, même si les parkings sont petits.
Le balisage étant bien fait nous ne pouvons pas nous tromper, quoi que ……la pancarte à l’église ne me semble pas tournée dans le sens du GR, mais du PR. ce n’est pas trop grave dans la mesure ou la peinture rectifie le sens de la marche. Prenons la rue des Coquereaux puis un bout de la D 27 sur notre gauche et à droite la route du Pourtour. Poursuivons par la gauche un chemin bordé de clôture et de pairie,  nous pénétrons dans un bois de taillis.
Comme d'habitude je ne rencontre personne sur le GR, personne, pas tout à fait ; Je ne rencontre que des escargots, des gros, comme avant hoooo!!! il ya longtemps, bien longtemps, on les appelaient des bourgognes. J’en vois plein, au moins deux douzaines, c’est trop rare. Lorsqu’ils sont dans le milieu du chemin je les déplace et les pose délicatement hors de porté des semelles de nos gros godillots, pour ne pas les écraser (je leur fait gagner au moins 3h00) Dit moi escargot comment fais tu pour transporter ta maison sur ton dos ! Ha c’est comme moi avec mon sac t’en bave……. Facile hein.
Francorville
Dans cette partie du GR 32 nous sommes aussi sur le GR 665 le circuit Jacquaire.   Nous sortons du bois pour traverser les champs et débouchons sur un chemin formant T, prenons la branche de gauche. Il y a bien un panneau d’information, mais il est pour le PR. Nous nous dirigeons vers un marais bordé par un ru on ne voie pas encore l’Essonne. On tourne à droite et suivons l’orée du bois. On est un peu perdu, ça manque de balisage, on ne voit rien, le taillis est vraiment en taillis impénétrable (moche). Nous entrons dans le bois par un chemin qui descend. Nous débouchons dans une prairie bien entretenu c’est l’ancienne ferme de Francorville ou château car il y a un pigeonnier (signe de richesse) et un moulin [En effet une information nous dit que ce nom viendrait d’un cantonnement de mercenaires francs implanté dès le IIIème siècle c’est une ferme fortifié remarquable par ses proportions et son pigeonnier]
Nonville
Neuville
Puis le moulin datant de 1720 que nous ne verrons pas  [à fonctionné jusqu’en 1942 la meule sert aujourd’hui de table]. Nous sommes sur la route. Contournons le marais par la droite,  nous avons eu beaucoup de pluie, mais le marais me semble s’assécher. Nous arrivons aux maisons de Foussereau et prenons sur la droite la D 26 le balisage est mal fait ; parallèle à la route, on ne le voit que lorsque l’on est dessus. A Ondreville, nous passons devant l’église, qui ne me semble pas construite sur le plans de la croix latine mais un plan rectangulaire.

Neuville
 [bâtiment de la période romane (XIIè siècle) avec une très belle abside en « cul de four » qui aurait pu être détruite mais par manque de moyens, n'a vu heureusement que l'amorce d'un chevet plat. A la fin du 12è siècle, on y ajoute un clocher et un bas-côté au nord.
Dans la deuxième moitié du 13è siècle, on décide de reprendre la nef dans des proportions beaucoup plus grandes mais la guerre de cent ans
Neuville
arrêtera les travaux. Au XVI è siècle, on élèvera la Chapelle seigneuriale qui sera restaurée comme l'indique une stèle par Marie Huré en 1864.
A voir à l'intérieur, deux belles statues en bois polychrome (Saint Léger et St Blaise) les deux patrons du village du XVI è et XVIIè et remarquer les portes en bois tourné de style Louis XIII du 17è. Les fonts baptimaux de forme trèflée semblent du XIII è. Egalement dans le bas-côté nord a été replacé l'ancien coq en cuivre du clocher qui a été déposé en 1982 et qui a dominé la commune pendant 214 années et sur la queue duquel on peut lire: « Fait par moy J.Pariot père, Maître chaudronnier à Estampes le 2 sept 1768».] (http://ondreville.online.free.fr/patrimoine.htm)

 Au terrain de boule on prend sur la droite vers la Groue nous passons devant
Villa Normandie
[La villa Normande Située sur le Chemin du Moulin de la Groue, la villa normande est encore dénommée Villa le Source ou Villa sortons du village mais restons sur la route bordé de petites maisons.
Sur la droite nous remarquons une drôle de maison. Au départ, on ne comprend pas bien, et puis en s’approchant on se rend compte que les murs sont réalisés en bouteilles de verre liées par du ciment.



 Le propriétaire les a-t-il but ? pour construire sa maison ? ou les a-t-il récupérés ? pour profiter de sa maison, il a dut les récupérer. originale mais pas très jolie. (Il me semble avoir vue une émission télé très branché bobo-écolo sur les matériaux de construction isolant. Et il parait que c'est un très isolent thermique.) 
Arrivée en bout de la rue nous quittons la route qui tourne à droite et prenons à gauche le chemin qui part dans les champs. Nous débouchons sur une route communale que nous prenons à droite. Pas facile. Cette route communale est très chargée en voitures qui ne ralentissent pas lorsqu’elles me croisent.  A Macheron, je photographie un champ de lin en fleur, ce qui est étonnant c’est que nous sommes en mai et que l’année dernière sur les falaises de la manche en juin le lin commençait tout juste à fleurir. Après les pluies catastrophiques de cet hiver, les ruisseaux et les nappes phréatiques on repris vies. Les arbres
Lin en fleur
 sont en fleurs, nous avons au niveau
température presque un mois d’avance.  Dommage que le chemin ne passe pas dans les champs. (je n’ai pas vue de chemins probant  sur la carte, ce doit être pour cela). Après un château d’eau nous arrivons à un carrefour et nous prenons sur la gauche de la « rue du Pourtour Est » et entrons dans le village de La Neuville. le chemin nous fait découvrir les ruines d’un ancien château nous passons devant l’église. (Nous découvrons sur un poteau d’information une vrai coquille saint jacques avec
 une info écrit à la main. J’en verrai plusieurs sur ce parcours, c’est la seule marque qui me rappellera que c’est également un chemin jacquère). Puis à droite la rue des Barrières.
[Dans ce village que les archives manuscrites mentionnent déjà au XIVème siècle, la ruralité s'affirme par la présence marquée de nombreuses maisons représentatives du bâti traditionnel de la région. Ce sont ensuite les terres environnantes qui constituent un paysage entièrement modelé par l'agriculture. Elles dessinent un amphithéâtre arrondi qui s'étend de la rive droite de l'Essonne jusqu'au plateau calcaire.
Le fond de la vallée est exploité par les agriculteurs depuis plus d'un millénaire. Des champs s'y étagent doucement jusqu'aux bosquets des parties les plus abruptes, créant ainsi un espace harmonieux qui contraste fortement avec la Beauce et le Gâtinais que l'Essonne sépare. Enfin, ce sont les toponymes qui expriment peut-être le mieux cette identité campagnarde.
Tous font allusion au développement agraire du pays. La Neuville, du latin " Nova Villa", définit la naissance d'un nouveau domaine agricole. Ligerville évoque une propriété appartenant à Léogegar, un personnage d'origine germanique. Le Mesnil, du latin "mansio", serait un endroit favorable à la construction d'une maison. Quant aux Coutures, il faut y voir la déformation du mot culture.
La Neuville est aussi étroitement liée à l'eau. Bien que le centre de l'agglomération se soit implanté légèrement à l'écart de la rivière pour éviter ses débordements et l'humidité de ses berges, le blason neuvillois valorise le réseau hydrologique local. La réunion en un cours d'eau unique de l'Œuf qui constitue la limite Nord de la Commune et de la Rimarde qui la ceinture à l'Ouest, symbolisée par la figure du pairle en forme d’Y, n'échappera à personne. Au confluent de l'Œuf et de la Rimarde, près de la ferme de Ligerville, des pans de murs et des arcades gothiques brisées émergent de la végétation environnante. Un village existait bel et bien là, que les ravages de la Grande Peste du XIVème siècle ont fait disparaître. On s'interroge. Faut-il reconnaître les restes d'une Eglise Saint-Sulpice, détruite en 1595 durant les guerres de religion ? Rien n'est moins sûr. Certains auteurs préfèrent évoquer l'existence d'un prieuré gothique du XIIIème siècle mais sans fournir beaucoup de précisions à son sujet. Seules des fouilles archéologiques méthodiques permettraient d'en savoir davantage. Un village sans église et sans château n'est plus tout-à-fait un vrai village. A la Neuville la question ne se pose pas. Bien que sa trace ait été perdue, il est fait mention dès le XVIIIème siècle d'une tour de Grèz qui dépendait de Nemours. Et puis en face de l'Eglise, des vestiges médiévaux du
XIVème siècle sont encore visibles. Une tour, des murs, une cave souterraine, une porte sculptée, des graffitis. Sans investigations archéologiques, il sera difficile d'écrire leur histoire. Ces fragments architecturaux sont-ils ceux d'un petit château fort ou bien ceux de la maison des Templiers dont parle Dom Morin, un moine écrivain du XVIIIème siècle de l'Abbaye de Ferrières en Gâtinais ? (http://www.mairie-laneuvillesuressonne.fr/fr/patrimoine)
Et après l’église la rue de la Guercherie nous arrivons au pont traversant la Rimarde et apercevons un moulin et un château ou grosse propriété. Traversons cette rivière, et remontons son court sur la gauche. Nous trouvons sur ce parcours des panneaux d’information bien rassurant, je me croirais en Auvergne ou dans les Alpes du sud, ou chaque intersection comporte un panneau. Cela change des GR de la foret de Fontainebleau. Nous passons devant le moulin de la Rimarde nous longeons un marais et nous arrivons face au moulin et au château de Bouville (que l’on devine) nous longeons la rivière l’œuf. (Nous avons changé de cours d'eau. Ici nous sommes au confluent de deux rivières L'Oeuf et la Rimarde se rassemblent et donnent naissance à l'Esonne. Nous remontons son court à gauche. Dans cette bande de verdure  et de marais les oiseaux et les crapauds nous accompagnent par leur chants, cela change de la route à grande circulation reliant Malesherbes  à Pithiviers, que je connais pour la faire en voiture, régulièrement ou nous avons des champs à pertes de vue, cette bande de verdure au fond d'une cassure du plateau Beauçois contraste avec ce que je connais, et de la route on ne la voit pas cette cassure, on a l'impression d'une interminable ligne de champ.  Le balisage est bien fait. 
 Nous longeons une propriété comportant un bois, jusque la tout est normal sauf que le propriétaire à récupéré des panneaux routiers en ciment et qu’ils les a positionnés dans le sous bois. Cela fait bizarre. Nous passons dans un vallon encaissé bordé de taillis  et de marais. Nous grimpons et débouchons derrière une magnifique ferme en restauration (il refond la toiture) mais, juste avant nous passons derrière des bâtiments devant certainement abriter un élevage de poulet. D’énormes ventilateurs soufflent l’air intérieure vers l’extérieur et c’est d’une puanteur, à vous soulever le cœur. Cette odeur pénètre, les vêtements et la peau, l’après midi lorsque je portais mon bras à mon visage, je sentais mauvais. Jusqu’au soir cette odeur est resté. Un trempage d’une heure dans un bain aromatisé à fait partir cette senteur nauséabonde. 
Restauration de la ferme
Belle ferme d'élevage de poulets
Passons rapidement. Nous arrivons à Le Vergeret quelques maisons en bordure du chemin. J’ai loupé la chapelle Notre Dame [Située au creux de la vallée de l’Oeuf, cette petite chapelle est construite sur une source, vers 1550. Plusieurs guérison miraculeuses attestent d’un culte à « Notre Dame de Bon Secours », haut lieu de pèlerinage, les jours de fête de la Vierge Marie.] Elle se trouve entre deux maisons, j’ai eu un doute, mais j’ai cru que ce petit bâtiment appartenait à l’une des maisons, pas grand signe extérieur nous fait remarquer que c’est la chapelle. Après un virage à droite nous arrivons à la chapelle Saint Grégoire.
[L’église Saint-Martin-le-Seul est mise à disposition du culte orthodoxe depuis 2001. Mais l’utilisatrice ne fait plus partie de l’obédience qui a signé la convention avec l’église catholique.
L'église Saint-Martin-le-Seul de Bondaroy, aussi appelée chapelle Saint-Grégoire-de-Nicopolis, un lieu de calme et de recueillement, est l'objet de sérieuses discussions depuis quelques semaines au sein de l'Église et de la commune.
Pour comprendre les remous actuels, il convient de faire en retour en 2001. À cette époque, l'association cultuelle monastique orthodoxe de Saint-Grégoire, représentée par s'ur Anne, acquiert une résidence privée, jouxtant la chapelle. Cet endroit est transformé en monastère, dépendant de la Métropole orthodoxe roumaine d'Europe occidentale et méridionale.
En raison de la proximité avec la chapelle, celle-ci, appartenant à la commune de Bondaroy et affectée au culte catholique, est mise à disposition du culte orthodoxe. Une convention est signée en ce sens entre l'évêque d'Orléans, Monseigneur Gérard Daucourt, et l'archevêque et métropolite orthodoxe Joseph Pop. Ce protocole stipule qu'« au cas où cette communauté monastique ne serait plus dans l'obédience de la Métropole roumaine d'Europe occidentale et méridionale, l'accord cesserait immédiatement ».
L’église de St Martin le Seul, aussi appelée chapelle de Saint Grégoire, domine le site de Beaudrevilliers. Dédiée à Saint Martin de Vertou, un moine vivant en 887, elle est une des plus anciennes églises du département de Loiret, et sa construction daterait du IXe siècle. Elle est restaurée par Gauzelin en 1004 et en 1030 et une charte en faveur de l’abbaye de Fleury en fait mention en 1071. Construite vers 887 par les moines de St Martin de Vertou sur un plan syrien, était composée d’un chœur et la nef couverte en bois, comprenait deux tribunes d’avant-chœur, destinées au « Chorus Psalentium » caractéristique du rite oriental ancien. Il reste le nef et l’absidiole principale.
Selon la tradition, un soir de 991 trois pèlerins frappent à la porte du curé de Pithiviers. Fatigués et misérablement vêtus, ils reçoivent l’hospitalité du prêtre. L’un de trois pèlerins, Grégoire, est de noble ligne et archevêque de Nicopolis. Il aspire a une vie de prière et sacrifice. Après qu’il s’est restauré et reposé, il se rend auprès d’Héloïse, dame de Pithiviers. Cette dernière le reçoit avec beaucoup de sollicitude et lui indique la petite chapelle de Baudrevilliers. Grégoire se retire à Saint Martin Le Seul. Il va vivre sept années dans une grotte creusée de ses mains, en contrebas de la chapelle.
Il pratique le jeûne, en mangeant que le soir une poignée de lentilles ou d’autre semences, mais le dimanche « Grégoire invitait à son repas des prêtres et des ministres sacrés et même aussi de laïques pieux. Il leur servait non seulement les aliments du corps, mais aussi ceux de l’âme. Et lui-même, composant de ces propres mains un gâteau avec du miel et des épices, à la mode de son pays, il leur en offrait après le repas pendant la récitation des hymnes et des cantiques. Ses hôtes, en les dégustant, croyaient jouir de tous les délices du Paradis » (manuscrit de l’abbaye de Micy, XIe siècle).
C’était le pain d’épices, qui devait faire la renommée de la cité pithivérienne. Le 16 Mars 999, il fut inhumé dans l’église qui connut 950 ans de pèlerinage.] Extraie de ( http://www.monastere-saintgregoire.net/). Celle-ci nous ne pouvons pas la louper. Le chemin tourne à gauche le long d’un mur en ruine nous redescendons dans un bois retrouvons l’œuf  poursuivons le GR jusqu'à Bondaroy  ou nous trouvons une ferme fortifiée  [Bondaroy à absorbé l'ancienne commune de Saint-Martin-le-Seul entre 1790 et 1794] et nous arrivons au manoir de la taille [La manoir de La Taille appelé aussi château de Bondaroy, est un manoir fortifié français, édifié du XIVe au XVIe siècle et situé à Bondaroy, dans le département du Loiret et la région Centre. Son aspect a beaucoup varié au cours du temps, et il reste aujourd’hui une tourelle du XIIIe siècle, la façade ouest et ses bâtiments du XVIe siècle, et un ensemble de bâtiments et de granges de la fin du XIXe et du début XX.L'ancienne comme la nouvelle construction avaient pour rôle premier de protéger les récoltes des pillards. domaine et la forteresse sont à l'origine inclus dans le domaine royal français. Ils sont donnés en 1308 à Jean de la Taille (?-1314), alors grand maître des eaux et forêts de France, par le roi Philippe le Bel. La forteresse est détruite durant la guerre de Cent Ans par les Anglais.
Martin de La Taille (1408-1488), seigneur du lieu sous le règne de Louis XI et compagnon de Jeanne d'Arc au siège d'Orléans en 1428, hérite du domaine et y fait reconstruire un nouveau château sur les ruines vers 1450. Celui-ci se compose d’une enceinte, de tourelles rondes, d’un portail d’entrée fortifié, et d’un logis principal au centre.
Étienne de la Taille hérite du château à la mort de Martin. Par la suite, il sort de la famille de La Taille en appartenant successivement à Guillaume de Mornay (1483), L'Huillier (1497), Simon de Mornay (1502). Il revient dans le giron des La Taille en 1553 avec Louis de la Taille.
Au XVIe siècle, le poète et dramaturge Jean de La Taille (1533-1608), héritier de Louis, fait rehausser le châtelet d’entrée en y aménageant une pièce de travail. Il fait également construire les bâtiments qui le flanquent, et les tours de défense carrées qui encadrent l’ensemble.
Durant les guerres de religion, le manoir sert de refuge, et de lieu de culte protestant.
En 1617, Lancelot de La Taille, le fils de Jean, vend le domaine familial à Jacques de Guéribaldès. Parmi les successeurs, on peut citer Poisson, écuyer du Roi en 1715, puis la famille du Hamel (seigneur de Denainvilliers), dont Angélique du Hamel, dame de Bondaroy (1705-1760), suivie de la famille Fougeroux de Blaveau vers 1730, dont le botaniste Auguste Denis Fougeroux de Bondaroy (1732-1789). Enfin, en 1890, il est acquis par la famille du Hamel de Fougeroux.
Au XIXe siècle, un incendie ravage le logis central, ne laissant que l’enceinte, et la façade ouest comprenant le châtelet, les bâtiments l’encadrant et les tours carrées. Le manoir est alors transformé en ferme, avec l’ajout de plusieurs bâtiments et granges sur son pourtour. Il se détériore, au point qu’au début du XXe siècle, il est déjà quasiment à l’abandon, et se dirige vers la ruine.
En 1977, Roland de La Taille, entrepreneur et lointain descendant de Martin de La Taille, rachète le château au descendants d’Angélique Du Hamel, demande son inscription à l’inventaire des monuments historiques, et le rénove partiellement. Les façades et les toitures sont inscrites le 4 février 1974.
L'ancienne forteresse était légèrement décalée vers le sud par rapport au bâtiments qui subsistent aujourd'hui. Elle comportait une haute-cour et une basse-cour. Il n'en reste que quelques vestiges, en particulier une tourelle tronquée, et un petit portail qui donnait accès à l'ancienne basse-cour] (wikipédia)
Nous remontons la route du 19 mars 1962, traversons la D 26 je trouve sur le terrain un chemin juste en face de la route (cela ma évité de prendre la D 26) c’est à signaler car d’ordinaire les chemins sont supprimés.
 Je prends ensuite le premier chemin sur la droite puis le second sur la gauche. Nous sommes dans la plaine de la Beauce nous avons une vue à 360° jusqu'à l’horizon seul les fermes et les éolienne nous barre le paysage, ça change de notre petit sentier en bordure de l’eau avec ses taillis. La il faut bien regarder la carte ou le GPS j’ai fait au plus simple en 2014 tous les chemins existent et je ne me suis pas trompé. C’est un peu long comme parcours, les points de repères sont loin et n’avance pas vite. C’est pire en se retournant. Nous avons le clocher de Pithiviers en point de mire et il ne diminue pas vite. Heureusement que les immeubles disparaissent rapidement ça prouve que nous avançons. Par moment quelques balises jaune me fait dire que je vais m’en sortir sans tomber dans un cul de sac. Deux points délicats, dans le val d’Auneau et à la roche aux lapins, nous prenons des routes goudronnée menant aux exploitations. On se demande si cela ne va pas nous emmener sur la route. Et nous arrivons à Briarres sur Essonne dans le Loiret, notre point de départ.

Les autres étapes
Etape :1

Etape : 2
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32- presentation_3.html?view=magazine

Etape : 3
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-3.html?view=magazine

Etape : 5

Etape  : 6

Etape : 7

Etape : 8

Etape :  9

Etape :10


 

  Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html






Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire