Etape 8
Départ Sully la Chapelle sur la D 921. Nous trouvons un parking au niveau de l’église.Carte IGN Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
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Octobre 2014
25,7 4h54 30mn 5,4 4,8 94+
le GR traverse le village et nous en sortons par la D 921 en suivant la direction de Vrigny et Pithiviers. Vers la sortie du village la route est encore bordée par de beaux arbres. Nous arrivons devant une belle allée bordée d'énormes platanes. Dans le virage nous retrouvons quelques maisons et une rue partant sur la gauche
vers la Motte des Ruets. Nous prenons cette rue coupons à nouveau cette magnifique allée (Je ne l'ai pas pris au départ, il y avait un panneau propriété privée.) Un peut plus loin nous trouvons le "château ou propriété de la Motte des Ruets. Dommage, avec la végétation nous n’apercevons pas
cette grosse maison bourgeoise.
[J'ai trouvé cette article lors de mes recherches et cela ma fait sourire : Voici ce que j’ai trouvé sur internet concernant la foret d’Orléans : Document d'objectifs – Site Natura 2000 "Forêt d'Or
La Forêt d'Orléans, qualifiée par Plinguet au XVIIIème siècle, de "contrée humide ou noyée, située dans un pays affreux, malsain, malheureux, où l'on trouve nulle part les moindres commodités, ni même, le plus souvent, les premiers besoins de la vie ; où l'on respire partout un air méphitique, et d'où l'on apporte le plus souvent des maladies".] pour prendre Nous quittons la large allée avant l’orée de la foret d'Orléans, et prenons un petit sentier sur la droite, nous traversons un fossé sur un pont constitué d’anciens poteaux électrique en béton. Nous arrivons au carrefour avec la route de la petite cour Dieu et de la vallée jaune. Abandonnons le GR partant sur la droite pour continuer tout droit en légère monté. Au carrefour de la femme morte nous avons une stèle en l’honneur du maquis de Chilleurs. Voici ce que j’ai trouvé sur internet
[Un ancien combattant a rappelé l'histoire tragique de ces résistants, morts
le 13 août 1944. Ces derniers appartenaient à un groupe de maquisards composé
d'habitants de la commune. Le 8 août, plus d'une centaine d'entre eux prirent
le maquis. Le 11, l'ennemi recevait l'ordre « d'exterminer les terroristes ».
Le 13, deux unités allemandes débarquaient au château de Chamerolles - 200 à
300 hommes et une trentaine de véhicules. Les corps des six maquisards sont
retrouvés le 16 août. La gendarmerie rapporte alors que « les cadavres étaient
ligotés les uns aux autres par des cordes de parachutes et criblés de balles ».
Plusieurs autres hommages ont été rendus. Le premier aux trois autres
maquisards, morts le 14 août 1944, à Sully-la-Chapelle. Le second aux capitaine
Giry et lieutenant Thomas, deux figures de l'histoire locale. Le troisième,
enfin, aux parachutistes anglais et à l'aviateur américain William R. Powell,
également tués par les Allemands.
À la fin de la cérémonie, les personnes présentes ont entonné, notamment, Le Chant des partisans et La Marseillaise. Avant cela, le maire de Chilleurs-aux-Bois, Gérard Legrand, a pris la parole, visiblement ému, rappelant : « Nous sommes là, ce soir, pour clamer haut et fort que le dévouement de ces victimes n'a pas été vain. Nous pensons également à leur descendance, qui doit savoir à quel point leurs pères ou grands-pères étaient courageux, des héros ! » Anne-Laure Le Jan annelaurelejan.larep@gmail.com]
Au carrefour avec la route du Marchais Rond nous
rencontrons le GR 3B que nous prenons à droite, nous trouvons sur la droite une allée avec avec le GR 32 doublé du 655E, nous continuons tous droit le triptyque GR 3B-32-655E et arrivons à la route de la Cour Dieu. Laissons le GR 32-et 655E partant sur la gauche et prenons à droite
la route de la cour dieu qui ce trouve être le GR 3B. Sortons de la foret, arrivons sur la D 921 que nous
prenons à droite nous passons devant une
ancienne Abbaye "La Cour Dieu" se trouvant sur notre gauche. Nous ne la verrons pas.
[L'abbaye a été fondée en 1119 par l'évêque Jean II. Une église abbatiale
est édifiée à partir de 1170
puis consacrée en 1216. Elle est partiellement détruite en 1399 puis pillée durant
les Guerres de religions par les Protestants en 1562 et 1567. La maison du prieur et de l'abbé sont construites en 1720. En 1791, l'abbaye
est abandonnée. Au XIXe siècle, les propriétaires démolirent une partie des bâtiments. Les
matériaux la constituant commencent à être vendus.
Les vestiges de l'ensemble de l'abbaye ont été classés monuments historiques par arrêté du 5 septembre 2012. Ceux de l'église abbatiale avaient été auparavant inscrits à l'inventaire supplémentaire par arrêté du 6 mars 1928 ; les vestiges en élévation et les sols de l'abbaye avaient été inscrits le 22 février 2007 ; ces inscriptions ont été annulées suite au classement de l'ensemble de l'édifice. Les bâtiments de l'abbaye, formant un quadrilatère, étaient entourés par un mur et des fossés.
Plusieurs composantes de l'abbaye ont subsisté : une grande porte en
arc brisé et une maison de la porterie ; la façade ouest et le transept nord
de l'église ; quelques constructions de l'aile sud ainsi que le préau du cloître.
L'abbaye est actuellement résidence privée et ne se visite pas. (Wikipédia)]
Vous trouverez plus de détail à l'adresse ci dessous
(http://www.loomji.fr/ingrannes-45168/monument/ancienne-abbaye-notre-dame-cour-dieu-42867.htm)
On trouve des cartes postales des ruines de l’abbaye à l’adresse suivante www.communes.com/centre/loiret/ingrannes_45450/cartes-postales-anciennes.html
Je me demande si certain bâtiments ne sont pas transformés en appartement
(vu le nombre de boîtes aux lettres à l’entrée,) je n’ai réussi qu’a prendre le
porche en photo. Au carrefour nous prenons sur la gauche la D343, nous passons un pont
au dessus d’un ru alimentant le petit et le grand étang de l’ancienne abbaye et un peu plus loin nous
prenons sur la gauche un chemin forestier pénétrant dans la foret d’Orléans
nous quittons le GR 3 B et poursuivons tout droit la route de la mairie.
Le GR
quitte notre itinéraire en suivant un sentier sur la gauche dans la parcelle
1000, continuons tout droit. Au carrefour suivant nous prenons à droite la
route Duguesclin. Nous débouchons sur une route goudronnée que nous prenons à
droite sur une centaine de mètres puis à gauche, route de la Rochelle, nous
sommes au lieu dit « la Rochelle » Nous arrivons à Ingrannes village
ne comportant pas de panneaux d’entrée. Traversons le village en
prenant la route de droite puis la route de gauche nous faisant passer devant
l’église continuons cette route vers la ferme des essarts. Quittons la route et
penons en face
le chemin nous faisant arrivée à la lisière de la foret, prenons le chemin de droite : chemin de la bordure. Nous passons devant
l’étang des crots. Puis nous traversons la D 343 et nous nous dirigeons vers
l’arboretum des Grandes Bruyères. Nous passons devant l’entrée continuons notre
chemin. L’arborétum se trouve derrière des palissades. Au carrefour nous
trouvons une croix puis nous longeons l’étang de la comtesse. Nous arrivons à
la D 143 que nous prenons dans un premier temps à droite jusqu’au château de
centimaisons.

[Il s'agit actuellement d'un ancien
château fortifIé entouré de ses douves en eau. On y accède par un pont dormant
de pierre donnant accès à une porte protégée par deux murs qui ont gardé des
traces de meurtrières. La place forte conserve une enceinte avec des restes de
tours. La maison d'habitation construite sur deux niveaux de facture très
simple, flanquée de 2 tours dont l'une ne présente plus que sa base, supportée
par deux corbeaux. D'après
les rumeurs locales, l'édifice, qui ne manque pas d'authenticité, aurait
appartenu à la famine de Polignac.]
Revenons sur nos pas,
poursuivre la route, nous ne prenons pas la première allée sur la gauche c’est
un chemin privé, prenons le second (c’est la même parcelle) mais nous n’avons
pas d’interdiction... au premier carrefour
à droite jusqu'à la route. {au cas ou des barrières soient installées continuer
la D 143 jusqu’au carrefour et l’on prend la route sur notre gauche} Arrivée
sur la route nous prenons à gauche (de ce coté pas de barrière et pas de
panneaux d’interdictions) nous suivons la route jusqu'à la ferme de Cercoeur sur
cette route nous rencontrons des croix qui m’ont paru
bien entretenue (comme
celle de Cercoeur) La route faisant un virage à angle droit, nous la quittons
pour prendre tout droit une large allée pénétrant dans la foret. Nous nous
trouvons au milieu de bois privés mais le chemin semble public nous y
remarquons de vieilles marques jaune. Nous arrivons à la route que nous prenons
à gauche vers "Les Merlins", puis le premier chemin à gauche vers Les Merlins,
(route de la mardelle) ce chemin ne me dit rien, je me demande s’il ne dessert pas uniquement la maison. je ne suis pas tranquille, au début nous trouvons une boite aux lettres. Ne serait-ce pas un chemin privé ou devenu privé ? Dès que l'on aperçois la maison nous ne sommes pas plus rassuré. Abandonné ou en cours de réhabilitation ? cela manque de fleurs de couleurs, un chien ne va t'il pas sortir d'une porte entre ouverte et nous courser.
Je n'aimerais pas habiter dans un lieu si isolé. Je passe devant, rien ne bouge pas un bruit. Je ne vois personne. La maison est dépassé, je me dis ce n'est pas possible quelqu'un va sortir, un gourdin à la main et me crier de ne pas aller plus loin. Mais non personne. Nous arrivons à l’orée de la foret, passons un grillage effondré pour
pénétrer dans la foret domaniale. (Ce sont des grillages afin d’éviter aux animaux de pénétrer sur les terres
agricoles, mais si ce grillage n'était pas couché, nous n’aurions pas pu passer)
Nous sommes sur la route du haut merlin, au carrefour nous prenons la Route de
la Chaine sur la droite en direction de
Nestin à Sully.
Coupons cette dernière route vers Grand Cour la Chesnaie. Au
hameau de la Grand Cour nous prenons à gauche puis à droite vers le hameau de
l’Anglochère quittons la route et poursuivons tout droit. Traversons les champs, pénétrons dans un bois et nous arrivons sur une route
que nous prenons à droite. Longeons la propriété et après la clôture nous
trouvons un passage dans la haie pour rejoindre la chemin de hallage le long du
canal d’orléans [Le canal d'Orléans est une ancienne voie d'eau
navigable entièrement située dans le Loiret. D’une longueur de 78,65 km,
ce canal relie la Loire au canal
du Loing et au canal de Briare. Il assure ainsi la
continuité par
voie d'eau entre Orléans et Paris vers le nord et Briare et les
canaux du Centre vers le sud.
Un premier tronçon est creusé par Robert Mahieu entre Vieilles-Maisons-sur-Joudry et Buges entre 1676 et 1678 et ouvert au transport du bois et du charbon. La construction du canal jusqu’à la Loire est ensuite entreprise de 1681 à 1687 et est inaugurée en 1692. De 1692 à 1793 le canal est en plein essor. De 1 500 à 2 000 bateaux remontent chaque année la Loire depuis Nantes pour gagner Paris. En 1793 le canal devient bien national.
De 1908 à 1921, alors que le trafic de marchandises par voie fluviale est en pleine régression, des travaux de prolongement du canal entre Combleux et Orléans sont entrepris. Avec la disparition complète du trafic, le canal est déclassé en 1954 des voies navigables et entre dans le domaine privé de l’État.
Un mandat de gestion a été confié en 1984 au Département jusqu'en 2035. Celui-ci,
après une étude stratégique en 2004, a engagé un lourd programme de réhabilitation ayant pour objectif une
réouverture totale au tourisme fluvial en 2020 : navigation de plaisance et aménagement des
abords pour la randonnée pédestre et cycliste,
avec en particulier la construction d'une véloroute. (wikipédia)]
Nous passons l’écluse et devant l’ancienne
centrale électrique [Pour faire face à la baisse de fréquentation des bateaux
marchands à la fin du 19ème, plusieurs initiatives sont prises telle la loi
Freycinet de 1879 agrandissant les écluses mais la conséquence fut que les besoins en eau augmentèrent ! Chaque éclusée
consomme de l’eau proportionnellement au volume du bassin de l’écluse. Alors
les ingénieurs de cette époque imaginent une alimentation artificielle en
construisant l’usine élévatoire de Fay-aux-Loges entre 1908 et 1911.
Elle dispose de :
· 1 bâtiment central comprenant une salle des chaudières et un atelier de réparation
· une aire réservée au dépôt de charbon
· une cheminée
les maisons autour de cet usine sont les logements :
· du contre-maître
· du conducteur
· de l’électricien
· du mécanicien
· et du chauffeur-concierge
Elle est mise en service en 1911.Elle fonctionne à la
vapeur et produit de l’électricité distribuée à 11 sous-stations de pompage
installées à chaque écluse du versant Loire. Puisée dans la Loire à Combleux, cette
eau est élevée de bief en bief grâce à l’électricité de l’usine, jusqu’au point
de partage. Une 12ème sous-station placée au pied de la digue de l’étang de la
vallée permet de mettre en réserve l’eau des périodes pluvieuses, pour
l’utiliser en cas de sécheresse.
Sans l’usine, l’alimentation naturelle en eau du Canal d’Orléans ne permet d’assurer une navigation normale que pendant les deux tiers de l’année.
Elle fonctionne jusqu’en 1922, car vu les manques de crédits et de trafic, il n’était plus nécessaire de faire appel à l’alimentation artificielle.
Elle fut abandonnée des décennies. En 1995, un restaurateur, conquis par ce bâtiment, releva le défi de le faire revivre ! En effet, l’usine devient, après des travaux d’une ampleur exceptionnelle pour mettre ces bâtiments aux normes de qualité et de sécurité, « les Salons de l’Ecluse » . Mr Charles Pathé organise des réceptions, des soirées, des séminaires etc…
Puis le 17 septembre 1999, le syndicat mixte de gestion du Canal d’Orléans fait l’acquisition de ce bâtiment. Il rentre dans le patrimoine du Canal. Sa cheminée et sa façade sont classés au bâtiment de France le 4 mars 1999.À ce jour, son devenir est toujours en suspens !]
La Forêt d'Orléans, qualifiée par Plinguet au XVIIIème siècle, de "contrée humide ou noyée, située dans un pays affreux, malsain, malheureux, où l'on trouve nulle part les moindres commodités, ni même, le plus souvent, les premiers besoins de la vie ; où l'on respire partout un air méphitique, et d'où l'on apporte le plus souvent des maladies".] pour prendre Nous quittons la large allée avant l’orée de la foret d'Orléans, et prenons un petit sentier sur la droite, nous traversons un fossé sur un pont constitué d’anciens poteaux électrique en béton. Nous arrivons au carrefour avec la route de la petite cour Dieu et de la vallée jaune. Abandonnons le GR partant sur la droite pour continuer tout droit en légère monté. Au carrefour de la femme morte nous avons une stèle en l’honneur du maquis de Chilleurs. Voici ce que j’ai trouvé sur internet
À la fin de la cérémonie, les personnes présentes ont entonné, notamment, Le Chant des partisans et La Marseillaise. Avant cela, le maire de Chilleurs-aux-Bois, Gérard Legrand, a pris la parole, visiblement ému, rappelant : « Nous sommes là, ce soir, pour clamer haut et fort que le dévouement de ces victimes n'a pas été vain. Nous pensons également à leur descendance, qui doit savoir à quel point leurs pères ou grands-pères étaient courageux, des héros ! » Anne-Laure Le Jan annelaurelejan.larep@gmail.com]
Les vestiges de l'ensemble de l'abbaye ont été classés monuments historiques par arrêté du 5 septembre 2012. Ceux de l'église abbatiale avaient été auparavant inscrits à l'inventaire supplémentaire par arrêté du 6 mars 1928 ; les vestiges en élévation et les sols de l'abbaye avaient été inscrits le 22 février 2007 ; ces inscriptions ont été annulées suite au classement de l'ensemble de l'édifice. Les bâtiments de l'abbaye, formant un quadrilatère, étaient entourés par un mur et des fossés.
L'abbaye est actuellement résidence privée et ne se visite pas. (Wikipédia)]
Vous trouverez plus de détail à l'adresse ci dessous
(http://www.loomji.fr/ingrannes-45168/monument/ancienne-abbaye-notre-dame-cour-dieu-42867.htm)
On trouve des cartes postales des ruines de l’abbaye à l’adresse suivante www.communes.com/centre/loiret/ingrannes_45450/cartes-postales-anciennes.html
Un premier tronçon est creusé par Robert Mahieu entre Vieilles-Maisons-sur-Joudry et Buges entre 1676 et 1678 et ouvert au transport du bois et du charbon. La construction du canal jusqu’à la Loire est ensuite entreprise de 1681 à 1687 et est inaugurée en 1692. De 1692 à 1793 le canal est en plein essor. De 1 500 à 2 000 bateaux remontent chaque année la Loire depuis Nantes pour gagner Paris. En 1793 le canal devient bien national.
De 1908 à 1921, alors que le trafic de marchandises par voie fluviale est en pleine régression, des travaux de prolongement du canal entre Combleux et Orléans sont entrepris. Avec la disparition complète du trafic, le canal est déclassé en 1954 des voies navigables et entre dans le domaine privé de l’État.
· 1 bâtiment central comprenant une salle des chaudières et un atelier de réparation
· une aire réservée au dépôt de charbon
· une cheminée
les maisons autour de cet usine sont les logements :
· du contre-maître
· du conducteur
· de l’électricien
· du mécanicien
· et du chauffeur-concierge
Sans l’usine, l’alimentation naturelle en eau du Canal d’Orléans ne permet d’assurer une navigation normale que pendant les deux tiers de l’année.
Elle fonctionne jusqu’en 1922, car vu les manques de crédits et de trafic, il n’était plus nécessaire de faire appel à l’alimentation artificielle.
Elle fut abandonnée des décennies. En 1995, un restaurateur, conquis par ce bâtiment, releva le défi de le faire revivre ! En effet, l’usine devient, après des travaux d’une ampleur exceptionnelle pour mettre ces bâtiments aux normes de qualité et de sécurité, « les Salons de l’Ecluse » . Mr Charles Pathé organise des réceptions, des soirées, des séminaires etc…
Puis le 17 septembre 1999, le syndicat mixte de gestion du Canal d’Orléans fait l’acquisition de ce bâtiment. Il rentre dans le patrimoine du Canal. Sa cheminée et sa façade sont classés au bâtiment de France le 4 mars 1999.À ce jour, son devenir est toujours en suspens !]
Le
canal fait un crochet permettant à une péniche de faire demi tour ou de se
garer. Nous quittons ici notre itinéraire et nous y rencontrons également le GR
32 nous prenons sur la droite passons devant le parking sur la route nous
prenons à droite puis le premier chemin sur la gauche (GR 32-655) nous arrivons
dans les champs.

C’est la première fois que je vois au sol un dé de ciment avec
de la mosaïque rouge et blanc et je me dit si le chemin n’est pas bien
entretenu on ne le voie plus. C’est peut être un essaie, il est bien difficile
de suivre un balisage dans les champs. Un peu plus loin la dégradation du dé de
balisage me donne raison on le devine à moitié enfoncé dans la terre par les
roues de tracteurs. Nous entrons de nouveau dans la foret par la route de Fay
aux Loges à Chilleurs aux Bois. Le balisage en fin de parcours n’est pas
évident, beaucoup de broussailles, le GR tourne sur la droite et débouche sur
une route goudronnée au grange Brulée. A la Croix de Nessy nous quittons la
route pour suivre à droite un chemin. Puis nous prenons le premier chemin à gauche. Nous
sommes toujours sur le GR 32.
Nous coupons la route de "l’orteil coupé" continuons
en face la route bitumée, nous coupons la route et poursuivons dans un chemin
situé face à nous jusqu'à Sully. Derrière la pépinière nous trouvons le château de
Claireau
[Ce château comprend un vaste corps de logis du XVIIe siècle
flanqué de deux tours rondes, seuls vestiges de 'ancien manoir féodal qui
avait appartenu à Richard de Longueau, maître de la garde de Courcy en forêt
d'Orléans, avant de passer en 1524 à Jean de Pathay dont le petit-fils
Claude épousa en 1602 Louise du Lac, fille de Lancelot du Lac, seigneur de
Chamerolles, Claude de Pathay tut seigneur de Claireau de 1636 à 1643. Puis la
seigneurie de Claireau fut érigée en baronnie & passa à la famille des
du Benay, c'est ainsi que François René, marquis du Bellay et baron de
Claireau, époux de Marthe-Suzanne de Rochechouart, rebâtit en 1699 le château
actuel. Claireau resta dans la même famille jusqu'à ce qu'il fut acheté en
1733 par Louis François Roussel, baron de Courcy, conseiller au Parlement.
Les terres de Courcy et de Claireau
furent ensuite réunies & érigées en
marquisat en 1751 par Louis XV en récompense des services rendus par Louis
Francois Roussel et sa famille au Parlement ainsi qu'à l'armée par un de ses
fils mort des blessures reçues à Fontenoy. Claireau est toujours resté dans la
famille de Courcy qui s'illustra dans la diplomatie. (http://www.chateau-fort-manoir-chateau.eu/chateaux-loiret-chateau-a-sully-chateau-de-claireau.html) ] Nous retrouvons notre D 921 entrons dans sully et
retrouvons notre voiture au parking
Etape : 2
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32- presentation_3.html?view=magazine
Etape : 3
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-3.html?view=magazine
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-de-la-loire-gr-32-etape-5.html
Etape 6
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Etape 7
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-7.html
Etape 8
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-la-loire-gr-32-etape-8.html
Etape 9
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ;
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Sully la Chapelle |
Les autres étapes
Etape :1
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Etape : 3
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Etape : 4
Etape 5 http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/06/de-la-seine-de-la-loire-gr-32-etape-5.html
Etape 6
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Etape 7
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Etape 8
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Etape 9

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