jeudi 2 juillet 2020

Nord -Seine et Marne ; De la Marne à la rivière Ourcq - Prom 15 - Nanteuil - Crouy


Nord -Seine et Marne ; De la Marne à la rivière Ourcq - Nanteuil - Crouy


C'est un parcours assez surprenant, partir de la Marne traverser le plateau et se retrouver en bordure de l'Ourcq. Et je n'ai pas pris le plus cours chemin. J'ai choisi de réaliser ce parcours en utilisant une partie du GRP de l'Omois. [Herbert de Vermandois, Comte d'OMOIS. L'OMOIS, sorte de "Principauté", englobait le sud du département traversé par la vallée de la Marne et dont Château-Thierry était le centre de rayonnement. Les limites de cette petite région se maintiendront jusqu à la révolution.
PAYSAGES ET CONTRASTES :
L'OMOIS, une identité géographique qui se conjugue avec diversité:
- Au nord-est, le Tardenois. Contrée ancienne, où les lourdes terres brunes des cultures et pâturages flirtent avec les étendues sablonneuses plantées de pins et de roches géantes tendues vers le ciel comme un souvenir de préhistoire Coincy, Fère, Cierges). Plus loin, les plateaux ondulés sont coiffés de bois (Saponay, Rognac, Meunière, La Tournelle) et de forêts (Fère, Nesles).
- Au-delà de Dravegny, sur le domaine de Montaon, on devine derrière les massifs forestiers, l'Abbaye d'Igny, lieu de contemplation et d'inspiration pour l'écrivain Huysmans.
- Au sud-est de Château-Thierry, jusqu'à l'extrême pointe sud de notre territoire, s'affiche la Brie Galveuse. Ce terroir, aux traits géographiques plus rudes, possède le château de Condé-en-Brie l'un des fleurons de notre histoire locale. Avec ses vastes fermes jadis fortifiées, comme seuls obstacles au vent (heurtebise), il s'est fait apprivoiser par l'homme pour devenir terre de culture et d'élevage avec une présence affirmée du vignoble dans la vallée du Surmelin.
 Carte pris sur http://omois.chez.com/geographie.htm

- Comme "une gracieuse balafre" la Vallée de la Marne s'étire d'Est en ouest à la grande joie des vignes et vergers qu'elle arrose !
L'OMOIS, DES RIVIERES :
Condé-en-Brie, à cheval sur la Dhuys, est le centre d'une multitude de villages charmants surveillant la vallée du Surmelin. Là, l'OMOIS est "comme l'eau, il est comme l'eau vive" ... Une précieuse richesse que la ville de Paris a très tôt convoitée. C'est ainsi qu'en 1862, elle a canalisé l'eau de la Dhuys (Pargny-la-Dhuys) et du Surmelin réunis, dans un aqueduc souterrain qui traverse cinq départements (131 km) pour rejoindre par gravité le réservoir de Ménilmontant. L'ensemble de cet itinéraire est synonyme de promenades et de verdure. Un sentier balisé (GR 14) l'accompagne à flanc de coteau. L'Aqueduc, œuvre d'art du 19 éme, approvisionne toujours la capitale en eau potable. On tenta plus d'une fois d'empoisonner ses eaux ou de bombarder ses canalisations lors des grands conflits de 1870, 1914/1918 et 1939/1945.
Trait d'union de 11 km entre Viffort et Azy, le Dolloir alimentait autrefois plus de six moulins. Il arrose Essises, Montfaucon et Chézy-sur-Marne où ses rives sont un lieu de promenade apprécié des flâneurs.
L'Ourcq s'étire sur 85 km et prend naissance dans le Tardenois. Canalisées à la Ferté-Milon, ses eaux réveillent chaque matin les rues de la capitale.
Petit ruisseau pittoresque, l'Ordrimouille, avec son nom qui chatouille la curiosité, promène ses eaux entre Trugny et Armentières où elles se marient à celles de l'Ourcq. Il tire son nom à consonance bizarre des moines de Coincy qui à l'époque de l'abbaye, "mouillaient" leur linge c'est-à-dire, le lavaient dans ce petit ruisseau (l'ordre-y-mouille).
Le décor est maintenant planté nous pouvons partir. Cette fois ci nous ne ferons qu’effleurer le territoire de l’Ormois

Mars 2018

 Prom 15 - Nanteuil - Crouy

KM     Temps      Arrêt      V/d      V/g      Déplacement
34       6h20         0h30       5,7       5,2            579 +

Trajet ouvert départ gare de Nanteuil jusqu’à la gare de Crouy. On peut revenir à  Nanteil en changeant à Meaux terminus de la portion de ligne Meaux – La Ferté  Milon.



  Carte IGN                                                               Trace GPS & Topo sans commentaires

Trace Randogps                          Le code mobile de cette randonnée est b322568

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici


À la sortie de la gare de Nanteuil en provenance du quai en direction de la province nous partons sur la gauche. En bout du parking nous trouvons un mémorial. C'est un wagon du dernier train en partance pour l’Allemagne. ["Ce Mémorial rend hommage aux 2.400 résistants et résistantes, extraits notamment de la prison de Fresnes et du Fort de Romainville, qui ont quitté Paris (Quai aux bestiaux de la Gare de Pantin) le 15 août 1944 pour l'Allemagne.
  Le 16 au matin, le train s'est arrêté dans la plaine de Luzancy car le pont ferroviaire enjambant la Marne avait été détruit par l'aviation britannique. Les prisonniers, encadrés par des SS, vont parcourir à pied plusieurs kilomètres pour rejoindre la gare de Nanteuil-Saâcy, de l'autre côté de la Marne, en traversant les villages de Luzancy, Méry, Nanteuil et Saâcy. Un autre train conduira,en une semaine, les hommes à Buchenwald et les femmes à Ravensbruck.
  La plus grande partie des hommes sera ensuite transférée dans l'enfer des camps de Dora, Ellrich et Nordhausen. 85% n'en reviendront pas.
  Pour perpétuer le devoir de mémoire, le Comité s'est proposé d'installer un wagon, sur un terrain proche de la gare. La Direction de la SNCF a immédiatement donné son accord à ce projet. Le Comité Central d’Entreprise a apporté son appui. La SNCF a retrouvé un wagon en bois (40 hommes - 8 chevaux) d'époque et qui a servi à la déportation. Elle l'a généreusement offert au Comité."  http://www.fnaut-paysdelaloire.org/article-inauguration-du-memorial-du-dernier-convoi-de-deportes-a-nanteuil-saacy-107314414.html] Nous 
prenons la D55 sur la gauche. Tout de suite avant la ligne de chemin de fer nous rencontrons le GR 14A en provenance ‘’du chemin vert’’ à notre droite. Traversons les voies. Un peu plus loin nous trouvons une information sur les GR et nous nous dirigeons vers le GR 11A. Traversons la Marne qui en ce mois de janvier est proche de déborder, ce qui n'est pas tout à fait normale, puis coupons la D 402. Nous entrons dans Nanteuil par la rue du bac. A la petite place avec un parking, nous prenons à gauche la rue Alexandre Morlot, puis la petite rue de l’église sur la gauche. Je fais un petit détour pour voir l'église. Je me rends compte que la rue sans issu est atypique, petite cour, maisons peut larges dont tout l'espace est utilisé pour l'éclairage. Revenons sur nos pas. Remontons la rue, prenons un cour 
moment la rue de Passy sur la droite, puis tout de suite à gauche la rue de la Charrière. Longue rue grimpant sur le coteau, ici pas une place de perdu, si l’appellation est ‘’champagne’’ on plante de la vigne entre quatre murs, [Leur dos et leurs articulations souffrent mais ils gardent le sourire. A Saâcy-sur-Marne, Nanteuil-sur-Marne et Citry, les trois villages d'Ile-de-France qui bénéficient de l'appellation champagne, les vendanges s'achèvent sur les 105 ha classés. Le rachat de la production du meunier, du pinot noir et du chardonnay, est limité à 10300 kg par hectare. Comme la plupart de ses collègues seine-et-marnais, le producteur vend ses raisins à une maison. Extraie du Parisien 2013 http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/champagne-on-vendange-aussi-en-seine-et-marne-12-10-2013-3217375.php] Laissons les rues et chemins adjacents poursuivons notre grimpette. Nous 
difficile le chemin
arrivons à la rencontre du GR11A. Quittons le GR 14A partant sur la gauche devenant commun au 11A et prenons un peu plus haut sur la droite le chemin emprunté par le GR 11A. Nous sommes dans les vignes. Nous avons une belle vue sur les coteaux plantés de vigne. Sur le replat juste avant l’autre petite montée et la fin de la colline, nous quittons le GR et prenons à gauche le chemin qui monte toujours dans les vignes (sur la carte c'est à la côte 160) C'est un petit raccourci, si vous le manquez ce n'est pas grave le GR débouché sur le GRP de l'Omois qu'il faudra prendre à gauche. En prenant le raccourci nous retrouvons le GRP de l'Omois entre prairie et vignes. Le chemin forme un Y et l'on continue 
tout droit. Nous quittons les vignes traversons des prairies et pénétrons en forêt. La ‘’glurie’’ qu'il s'appelle ce bois et avec raison j'en sorts avec de la boue jusqu'aux hanches des longues ornières pleines d'eau créés par des tracteurs, impraticable, il faut marcher dans le sous bois gadouilleux. Le chemin fait un Y inversé, poursuivront tout droit. Nous sortons de la forêt, longeons la corne du bois et tournons à gauche. Cette fois ci le changement de direction est bien indiqué. Laissons sur la droite un chemin de service pour la vigne puis nous en rencontrons un autre formant Té, nous prenons à droite. De nouveau nous sommes dans les vignes, attention ne pas confondre le chemin et les allées cimentées 
desservant les cultures. Le balisage est très distant, hors mis les poteaux en début de vigne soutenant les fils de fer on ne trouve rien d’autre. Nous apercevons le village de Bézu le Guéry. [Bézu-le-Guéry était autrefois une vicomté : ses seigneurs étaient des vicomtes, titre attaché à la seigneurie du lieu. Le dernier seigneur était De Forget, capitaine des fauconniers. Plus tard, le comte de Boisrouvraye, capitaine de chevalerie, « comte de Villiers, Domptin, Champversy et d'autres lieux », réside de préférence à Champversy (hameau de Bézu-le-Guéry). En 1789, le comte de Boisrouvraye représente la région aux États généraux. Le 10 juillet 1790, il siège à l'Assemblée constituante. La chute de la monarchie, les 
événements de 1792, le contraignirent à fuir. Il meurt en exil en 1800. La comtesse revient habiter le château de Villers qui sans doute, du fait de sa présence, est sauvé du désastre, tandis que le château de Champversy est abandonné et démoli. Le village de Bézu-le-Guéry n'a pas souffert des bombardements, n'étant ni un point stratégique, ni un lieu de concentration de troupes. Il y eut néanmoins quelques escarmouches au début de 1914 entre les Britanniques et les arrière-gardes de l'armée allemande en retraite après la bataille de la Marne. Le village fut toutefois pillé par l'occupant. Les troupes françaises, puis la 2e division américaine occupèrent successivement les bois et les grandes fermes de La Longue, Larget et Ventelet. Wikipédia] Laissons à une première fourche le chemin cimenté se dirigeant vers les vignes et après le virage à la seconde fourche quittez le GR partant sur la gauche pour rejoindre la route et prendre le chemin créé par un tracteur sur la droite ce petit raccourcie nous permet d’éviter un bout de bitume. Traversons cette route (Rue de Nanteuil) et prenons en face la rue des 
Vignes. Nous passons à l’extrémité du village. Nous débouchons rue grande, à l’angle du carrefour un petit lavoir. Au monument aux morts, prenons à gauche la rue grande et passons devant un château ou une ancienne grosse ferme fortifiée. Je n’ai rien trouvé de plus précis. Poursuivons la D 16 fréquenté par beaucoup de voitures & camions un bien trop long moment. Nous trouvons sur notre gauche dans le talus un abri formant grotte dont l’entrée est constituée par des moellons travaillés. Abri pour pèlerin ou pour ce que l’on appelait avant les cantonniers ?   Dans la descente avec la glissière de sécurité, nous quittons enfin le bitume pour prendre un chemin sur la droite et 

traverser une foret de hêtre. On grimpe bien une cinquante de mètres le chemin fait fourche et rien nous indique qu’il faut tourner à droite. Sur le plateau nous longeons une ferme ou du moins une ancienne ferme totalement isolé, lors de mon passage, je ne sais trop si c’est en restauration ou à l’abandon. Faut dire qu’il y a du travail. Bois et champ se succèdes. A l’orée d’un bois nous avons un carrefour mal foutu (cote 149) avec trois chemins. Le balisage fait un coude sur la gauche.  Mais il faut à la limite de la prairie en pointe prendre à gauche puis le chemin de droite nous entrons dans le bois. A la sortie du bois nous retrouvons les vignes. Nous arrivons à Montreuil aux Lions en prenant sur la droite [la 
grotte-abri-carrière ?
ruelle des vignes. Un peu d'Histoire : La signification étymologique de ce nom a été transmise de bouche à oreilles au fil des siècles et reste incertaine. 
Il existe quatre hypothèses :
" Battus comme des lions " : Montreuil était sur la route des invasions
" Monstriolum " : Petit monastère
" C'est un lieu où se trouvaient de nombreux vestiges romains (dans la forêt). Les romains y auraient amené leurs lions pour les acclimater à la région.
Ou bien cela fait référence à la vaillance des Templiers venus s'installer à Montreuil aux Lions (hypothèse la plus probable) https://fr.geneawiki.com/index.php/02521_-_Montreuil-aux-Lions] Nous passons au pied de l'église. [Périodes de construction : 12e siècle ; 13e siècle ; 16e siècle https://fr.geneawiki.com/index.php/02521_-_Montreuil-aux-Lions] Coupons la 
rue de Paris D 1003. Approchons nous du parking et de ce ravin ou un filet coule en son fond. On trouve un passage face au 44 de la rue de Paris c’est en bout du parking sur notre gauche le chemin longe des maisons, nous passons un pont au dessus du ru de l'arche (il devait être important ce ru pour avoir creusé une telle ravine… le chemin grimpe un peu, après les dernières clôtures, au carrefour le balisage prend à droite en angle droit, nous sommes toujours sur le GRP de l'Ormois, nous grimpons encore plus. Le coteau est dur à gravir nous débouchons dans le village d' Haloup nous coupons la rue principale et prenons un chemin intra muros herbeux en face. Nous débouchons chemin de la marre aux loups que nous prenons à gauche. Quittons le bitume, laissons le chemin de gauche poursuivons le balisage à la seconde fourche, nous prenons la branche de gauche, la configuration des lieux fait que nous allons tout droit) nous passons devant un bâtiment (attention le balisage est parcimonieux à totalement disparu. Le chemin fait une nouvelle fourche, nous prenons à droite nous 
débouchons sur une route que nous prenons à gauche. Bizarre nous approchons de vergers, mais le balisage traverse la zone de stockage et d’expéditions. Lors de la récolte avec le va et viens des tracteurs et camions ce doit être l'horreur ce passage. Dans un virage laissons le chemin de droite pénétrant dans le verger, poursuivons le chemin sur la gauche vers la peupleraie et l’autoroute, puis nous la suivons, pour déboucher sur une route que nous prenons à droite, passons au dessus de la voie expresse et des vies du TGV. Jusqu’à Villiers le Vaste nous ne quitterons pas le bitume et c’est une alternance de bois et de champs. Nous coupons la D 845, poursuivons en face par la rue du lavoir. Nous 
trouvons ce dernier au carrefour avec la rue sans issu de la pierre aux fées que nous prenons sur la gauche. Traversons le village. La rue fait fourche nous prenons à droit le chemin de la Garenne qui se termine en chemin. Nous sommes toujours sur le GRP descendons dans le vallon du ru des Ermites, que nous traversons sur un petit pont le chemin remonte dans un bois que nous traversons. Nous débouchons dans une prairie par le chemin de La Fontaine des Pigeons, sur la gauche nous remarquons une grosse ferme ressemblant à une forteresse. Nous arrivons à Marigny en Orxois par la rue de la Croix Blanche prolongation de La Fontaine des pigeons. (Dans mon topo orale c’est le chemin de Saint Vaste. [La 
formation de l'actuel village semble dater du Moyen Âge. Les parties les plus anciennes XIIe siècle serait un châtel fortifié lors de la guerre de Cent Ans puis agrandi et aménagé en château au XIVe siècle ; sous Louis XIII et surtout sous Louis XV, règne durant lequel il acquiert sa plus grande partie, de style classique. Au XXe siècle, il a subi de gros travaux de restauration et d'amélioration. wikipédia] Au carrefour avec le monument aux morts je remarque une maison avec des tourelles et les panneaux routier de directions me font sourire. [Le bourg se situe sur un petit plateau où autour s'éparpillent de multiples hameaux dont certains portent des noms étranges ou savoureux comme : Écoute s'il Pleut ; on raconte que c'est à cause d'un moulin à eau qui y était installé sur le « ru Cormont » après la cascade et qu'un jour le débit de l'eau ne faisant plus tourner la roue, la femme du meunier voyant venir la ruine se lamentait en demandant à 
son époux « écout's'il pleut »... À noter que ce nom est porté par un ruisseau et une rue dans la commune de Valognes (50700) dans la Manche. Wikipédia] A ce carrefour nous prenons à droite la D11 en direction de Veuilly la Poterie et La Ferté Milon. Laissons le premier chemin sur la gauche contournant la grosse ferme des Marionnettes. Dans le milieu du virage en épingle à cheveux nous trouvons un chemin plus ou moins pavés descendant dans un bois, (pas de balisage). Un passage est difficile en font de vallée ; arbres en travers et ronces nous complique le passage. Le chemin fait fourche continuons tout droit, longeons un ru, le chemin tourne sur la gauche et traverse le ru par un 

pont en béton, puis le chemin est défoncé par les tracteurs venus exploité la peupleraie. Puis nous traversons des champs en marchant entre des clôtures. Ou bien on n’a pas d’informations ou on en a trop … Ils ont du apposer sur cet arbres toute les pancartes et toute la peinture qui leur restait dans leur besaces. Nous entrons de nouveau dans un bois. Alternance de bois et de champs, ou nous trouvons une table de pique nique, et une belle vue sur un champ d’éolienne. Cela me semble toujours étonnant une table au milieu de nulle part… Nous passons une grosse ferme. Nous arrivons au niveau du cimetière du village de Gandelu. Face à nous entre les charmilles j’aperçois un beau château, mais je n’en verrais pas plus. [Gandelu est situé dans la vallée du Clignon et possède un fort passé historique car il fût situé durant plusieurs siècles sur l’ancien chemin de Paris à Reims ; il eut ses heures de gloire notamment après la construction du château Rennaissance par Anne de Montmorency puis il devint la propriété de la 
famille Potier, ducs de Gesvres jusqu'à la révolution. http://www.gandelu.com/
Gandelu est indiqué dans les documents les plus anciens sous les noms de Gandeluz (1172), Wandeluz (1198), Vandelux (1201), Vuandeluz (1218), Gandelux (1238), Gandelucus (1254, 1261), Castrum de Gandeluco (1303), Gandeluze (1324). Ce nom de Gandeluz, Vandelux paraît dériver des deux mots celtiques cand = tête et luc = bois, forêt (à savoir également que cand en persan = forteresse).
Les seigneurs de Gandelu ont possédé jusqu'à la Révolution le droit de gruerie (droit royal de percevoir une partie des coupes de bois et une portion des amendes, confiscations, etc. prononcées pour abus et malversations dans les bois sujets au droit de gruerie). Sur les bois situés entre Mareuil et la Marne, et ce droit remonte à une époque fort reculée, quelques auteurs, transformant le mot Gandelucus, ont pensé que l'emplacement de Gandelu était occupé dans les temps du paganisme par un bois sacré de grande étendue

Le château datant probablement initialement du XIIe siècle, reconstruit au XVIe siècle, dont il reste les remparts et une tour rénovée wikipédia] La carte n’est pas à jour, ou il y a erreur dans le balisage sur place le GRP tourne à droite ainsi qu’un balisage jaune et violet. Sur ma carte IGN il longe le cimetière sur la gauche… Nous prenons à gauche. Laissons le balisage jaune partir tout droit et prenons la route à droite. Plus on descend moins on voit le château, et plus on est impressionné par la hauteur du mur de soudainement. Le chemin débouche rue du jeu d’arc que nous prenons à gauche. Nous retrouvons un balisage de GRP. Nous débouchons sur la D 940 (rue d’Orléans). L’ église Saint-Remi 12ème est classée Monument Historique.
Elle fût remaniée au 16ème et 17ème siècle (ancienne chapelle seigneuriale jusqu'en 1554) : vitraux 16ème, pierres tombales ; riche mobilier, statue de saint 

j'aimerais habiter à Ecoute s'il Pleut, mais pas au Glandon...
Remi 14è http://www.gandelu.com/] Nous arrivons rue Grande que nous prenons à gauche sur quelques dizaines de mètres, puis à droite la Ruelle du nid (une rue pavés), un chemin intra muros sur la gauche nous fait arrivée rue de la Prairie que nous prenons à droite, c’est la D 9 ainsi que le GRP. (Nous quittons le balisage jaune que nous avions.) Nous sortons du village et commençons à traverser le marais traversé par le Clignon. [rivière de l'Aisne et de Seine-et-Marne et un affluent de l'Ourcq. C'est donc un sous-affluent de la Seine par l'Ourcq et la Marne. La rivière naît à Bézu-Saint-Germain puis adopte la direction de l'ouest. Elle marque la limite entre l'Aisne et la Seine-et-Marne (l'Île-de-France et les Hauts-de-France) pendant les 10 derniers kilomètres de son cours puis rejoint l'Ourcq en face de Neufchelles 
(Oise). La longueur de son cours d'eau est de 30 km. Ses eaux sont détournées à Montigny-l'allier par le canal de dérivation du Clignon afin d'alimenter le Canal de l'Ourcq, qui fait partie du réseau des Canaux parisiens. Wikipédia] Trop confiant à mon entourage qui me semble impénétrable je ne vois pas le changement de direction du balisage qui normalement tourne à gauche dans le marais. Faut dire que deux GRP sont commun sur cette route celui de l’Ormois et des quatre vallées. Je poursuis donc la D 9 jusqu'à la rencontre avec la D 22 ou je retrouve mes le balisage. Prenons la D 22 sur la droite, en direction de Chézy en Orxois. Longeons la clôture sur environs 150m et prenons le chemin sur la 
Serait-ce l'Ourcq ?
gauche longeant toujours la clôture d’une propriété. Nous sommes toujours sur le GRP. Le chemin devient rue du château nous faisons le tour du village sur la droite on aperçoit le cimetière qui est bien isolé du village, avec une belle chapelle à l’intérieure, nous débouchons rue Thérèse Poard, nous quittons le GRP partant à droite et prenons à gauche vers l’église. Nous entrons dans Brumetz nous arrivons rue Grande que nous prenons sur la gauche sur quelques dizaine de mètres puis à droite la rue du Clignon. Nous traversons de nouveau le marais, Nous arrivons à Bremoiselle par la rue du Clignon. Le chemin n’est pas très clair par ici prendre le chemin sur la droite le long du hangar il permet de couper le virage de la route. Nous retrouvons le bitume à son extrémité que nous prenons à droite puis à la fourche (juste avant la D 17) prendre à droite en direction de Hervilliers. Je suis inquiet, il me semble aux vues du temps passé et la fatigue ressentie dans mes jambes je devrais approcher de Crouy sur Ourcq, je ne vois aucune indication de direction. Cette 
route du moins tout ce bitume me semble long, ce plateau permet de découvrir les vallons, inquiet je ne vois pas, même de loin un seul poteau de caténaire. Y a-t-il encore une gare au bout de ma trace… Oui puisque j’en ai vue le nom sur les cartes du réseau ferré. Nous arrivons à Hervilliers. Le chemin en pointillé que l’on voit sur la carte n’existe plus, il faut poursuivre la route traversant le hameau. Dans le esse formé par la D91 (cote 146) nous prenons à droite. Toujours pas l’information de la direction de Crouy. Sur ce plateau ma seule distraction fut de regarder un tracteur traitant son petit champ avec un épandeur beaucoup trop grand pour la surface. Faut dire qu’il n’a pas de chance des poteaux électrique 
J'ai tellement d'informations, que je ne sais ou aller
sont implantés et il est obligé à chaque poteau de manœuvrer, replier un bras pour traiter sa surface. Nous arrivons sur la D 94 que nous prenons à gauche, traversons le bois et je rencontre un balisage jaune qui à l’orée du bois tourne sur la droite. (Je ne sais pas d’où il vient sur la carte il part ou s’arrête au milieu de la route, sur la route je n’ai pas vu de traces de peinture. Sauf à ce carrefour.) Enfin à ce carrefour la direction de Crouy est indiquée, le village est à moins d’un kilomètre. Poursuivons tout droit par la D 94 nous entrons dans Crouy par la rue Montanglos longue rue qui serpente dans le village. [CROUY, viendrait de "CROIA", qui a donné "CROYACUM", "terre humide, marécageuse". Il est vrai que le village paraît bloti dans le fond de la vallée de l'Ourcq, la rivière ayant creusée un lit large dans les plateaux. https://www.crouy-sur-ourcq.fr/] Je traverse le centre du village par la D 94 (je laisse sur la gauche la 102a1),  Je laisse l’église sur la droite je ne me souvient plus de l’horaire du train mais il me semble que c’est bientôt et il n’y a qu’un train toute les heures. Nous débouche rue du Général de Gaulle que l’on prend à droite, je vois la direction de la gare. 
Gandelu
La rue tourne à gauche, puis débouche place du Champivert que l’on prend à droite. Longue rue bordé d’un lycée et d’un espace libre planté d’arbres. Toujours pas de gare. La rue fait fourche et je prends à gauche la rue de la gare, gare que je ne vois pas, mais barrant la rue le passage à niveau fermé et le train qui s’en va. Si je ne m’étais pas arrêté 3 minutes au carrefour, pour vider ma vessie et en profiter pour me désaltérer, normal ce sont les vases communiquant j’aurais eu mon train. Mémoire, mémoire lorsque tu nous fais défaut… Cela me laisse une 
heure pour me restaurer et admirer les ruines du château. [Dès le XIIe siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château fort est construit par Jean III de Sépois. Il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652. L'ordonnance du 8 juin 1834 fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs. Crouy-sur-Ourcq et Gesvres ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points. Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions territoriales. Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps 
immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité.
  Château du Houssoy (XIVe siècle) : l'aile garnie de mâchicoulis s' étendant sur l'avenue de la Gare est classée par l'arrêté du 3 juin 1932 ; le donjon et le grand mur pignon de l'ancien logis y compris les cheminées qui y sont adossées, sont classés monuments historiques par l'arrêté du 12 octobre 1962. Wikipédia
Le château du Houssoy a été construit sur les bases d'une maison forte du XIe siècle, au bord de la rivière Ourcq, par le seigneur Robert de Sepoix. Assorti d'une ferme, comme d'usage au Moyen Âge, il est dominé par un donjon carré, érigé vers 1390. Dans la région, Septmonts, dans l'Aisne, et Vez, dans l'Oise, recèlent tout deux un donjon carré de la même époque. À la suite du siège du château par le duc de Lorraine en 1652, le logis brûle entièrement, à l'exception de trois cheminées encore visibles, ainsi que ses habitants. Le donjon, lui, résiste à l'incendie et sert de pigeonnier pendant de nombreuses années avant d'être peu à peu abandonné. Il comprend cinq étages voûtés couronnés d'une galerie circulaire. Il jouxte la ferme forte coiffée de mâchicoulis qui est aujourd'hui une propriété privée indépendante. http://notrebellefrance.com/v5/node/1443

Crouy

 
 Le Chateau de Crouy

Petit clin d'oeuil Paris le Bassin de l'Arsenal ou L'Ourcq après s'être épanché dans le bassin de La Villette et traversé Paris par le canal Saint Martin se jette dans la Seine après avoir traversé le port de plaisance du Bassin de l'Arsenal.
L'ourcq l'une des rare rivière en France à pouvoir se jeter dans deux fleuves ; La Marne par son cour normal et la Seine grace au détournement d'une grosse partie de son eau vers le canal
 



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Nord de la Seine et Marne Prom 14- Autour de Crouy

Autour de Crouy sur Ourcq

Promenade en boucle de la gare de Crouy



Carte IGN                                            Trace GPS & topo sans commentaires

Trace Randogps       Le code mobile de cette randonnée est b322564

    Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici   

Km      Temps      Arrêt        V/d       V/g       Dénivelé
31        4h50         0h45         6,3        5,4          418

J’ai choisi le train pour me rendre à Crouy. Du sud de la région parisienne ce n'est pas simple, surtout lorsque la SNCF prend du retard. Avec deux changements, dont l'un est d'une quinzaine de minutes. En 2019 on prend des risques.
En venant de Meaux, nous sortons de la gare par la queue du train. [CROUY, viendrait de "CROIA", qui a donné "CROYACUM", "terre humide, marécageuse". Il est vrai que le village paraît bloti dans le fond de la vallée de l'Ourcq, la rivière ayant creusée un lit large dans les plateaux. https://www.crouy-sur-ourcq.fr]

Nous apercevons le château en ruine [Dès le xiie siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château fort est construit par Jean III de Sépois. Il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652. Wikipedia ] L'ordonnance du 8 juin 1834 fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs.
Crouy-sur-Ourcq et Gesvres ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points. Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions territoriales.
Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité.
Un témoignage sur les faits survenus pendant la Seconde Guerre mondiale du 9 au 11 juin 1940 à Neufchelles et Crouy-sur-Ourcq, est dû à Maître Pierre Véron. La commune a accueilli une antenne du Bureau pour le développement des migrations dans les départements d'outre-mer à compter de 1965 jusqu'à sa dissolution.
Dès le xiie siècle sont mentionnés deux seigneurs, les deux frères Olivier et Henry de Crouy. Le château fort est construit par Jean III de Sépois. il est partiellement détruit pendant les guerres de la Fronde et saccagé par les Espagnols en 1652.
L'ordonnance du 8 juin 1834 fixe la limite territoriale de la commune de Crouy avec celle de Coulombs.
Crouy-sur-Ourcq et Gesvres ont formé deux paroisses distinctes jusqu'en 1790. L'histoire des deux localités se confond en bien des points. Situé sur les limites du Valois et de la Brie champenoise, Crouy a été placé tantôt dans l'une, tantôt dans l'autre de ces divisions territoriales.
Bénéficiant d'une « heureuse situation » pour le commerce, la commune en tirait toute sa richesse. Dès 1610, c'est une place commerciale renommée. Crouy possédait de temps immémorial un marché qui attirait une foule nombreuse. En 1770, on y comptait 70 artisans et commerçants, 47 maraîchers et chanvriers. La création du Canal de l'Ourcq participa également au développement de la localité.
Wikipédia]. Laissons le passage à niveau sur la gauche et prenons à droite la D 20, nous sommes sur le GR 11 et traversons le marais et les tourbières constituées, autour de la rivière Ourcq. Nous passons plusieurs ponts et arrivons au canal de l'Ourcq [Depuis le XVème siècle, le pays d'Ourcq alimente la capitale en céréales, en bois de chauffage et de construction. Plusieurs projets de dérivations de la rivière Ourcq seront mis à l'étude avant la Révolution. La décision de construire le canal tel que nous le connaissons aujourd'hui revient à Napoléon Bonaparte, en 1802.

Petit résumé pour ne pas alourdir la page.
[Le canal de l’Ourcq. La rivière Ourcq prend sa source dans une prairie humide au sud de Courmont (Aisne) à quelques pas de l'autoroute A4 dans le département de l'Aisne.
À partir du petit village de Silly-la-Poterie, au lieu-dit Port-aux-Perches au bord de la forêt de Retz, commence la partie canalisée de la rivière. Cette petite rivière suit une large vallée et se jette dans la Marne, à Mary-sur-Marne, près de Lizy-sur-Ourcq, après un cours d'environ 87 km. Les travaux de canalisation ont détourné la rivière à partir de Mareuil. La majeure partie de son eau se dirige alors vers Paris par un canal en site propre, le canal de l'Ourcq proprement dit, d'une longueur de 96,6 km. Les premiers travaux furent inspirés par les besoins de l'approvisionnement de la capitale en bois de chauffage et de construction tirés de la forêt de Retz, propriété sous l'Ancien Régime des familles de Valois et d'Orléans. C'est Léonard de Vinci qui aurait réalisé les premiers essais d'écluse à sas de France, sur la rivière de l'Ourcq. Après 1560 commence la canalisation de l'Ourcq, la construction de réservoirs dont les étangs de la Ramée et d'un système de flottage et d'écluses simples (des pertuis) permettant d'acheminer vers Paris les produits de la forêt.
Un canal du Bassin parisien. Avant de commencer à Mareuil-sur-Ourcq pour rejoindre le bassin de la Villette à Paris, la rivière l'Ourcq est canalisée et navigable depuis le « Port aux Perches » sur la commune de Silly-la-Poterie. Avec le canal Saint-Denis, le bassin de la Villette et le canal Saint-Martin, il constitue le réseau des 
canaux parisiens, long de 130 km et qui appartient à la ville de Paris. La construction du canal tel que nous le connaissons à débuté en 1802 et s'achève en 1825. Il fait l'objet par la suite de plusieurs remaniements notamment l'ajout de cinq écluses, d'une usine alimentant le canal en eau à Trilbardou et l'élargissement du gabarit sur les onze premiers kilomètres. À l'origine, le canal a pour premier objectif d'alimenter Paris en eau potable ; aujourd'hui, son utilisation est réservée à la voirie. Jusque dans les années 1960, il est parcouru sur toute sa longueur par les flûtes d'Ourcq, péniches adaptées au petit gabarit de la plus grande partie du canal. Depuis 1962, seuls les onze premiers kilomètres, entre le bassin de la Villette et Aulnay-sous-Bois, exempts d'écluses, sont ouverts au trafic commercial : environ un million de tonnes sont 
Eglise de May en Multien
transportées chaque année par des péniches dont le port en lourd ne peut excéder 400 tonnes. Au-delà, le canal, dont la profondeur est désormais de 80 cm, est dédié à la plaisance. Le canal de l'Ourcq est également utilisé depuis sa création pour alimenter en eau les canaux Saint-Martin et Saint-Denis. Wikipédia] Je vous invite à lire la très longue histoire du canal ou du moins l’exploitation de la rivière Ourcq de 1415 sous Charles VI et se terminant en 1822 pour son ouverture. Je vous laisse lire la suite de cette longue histoire sur : https://aufildelourcq.org/histoire/] la route tourne sur la droite, un peu avant le pont, dans ce virage nous trouvons le passage pour rejoindre le bord du canal. Prenons le chemin de halage sur la gauche, nous sommes toujours sur le GR et le balisage jaune. Nous entamons un large virage, passons une bâtisse. Nous arrivons à un pont, laissons le balisage jaune sur la gauche, poursuivons le chemin de halage et le Gr 11, un peut plus loin nous trouvons sur la droite l’embouchure du ruisseau de la Gergogne. [La Gergogne est une petite rivière, affluent, de l'Ourcq en rive droite, puis du canal de l'Ourcq dès sa mise en service. Son cours est entièrement dans l'ancien pays de Multien situé au nord de la ville de Meaux. La Gergogne, Jergogne ou Jargogne peut signifier « Eaux qui gargouillent ou qui gazouillent ». Jargogne remonte à un type *Gargonnia, avec un premier élément qui peut être le même que dans "gargouiller" : jargoillier « (des oiseaux) gazouiller » et "gargouille" anc. gargoule « conduit pour l'écoulement des eaux », d'une racine indo-européenne *garg- ou onomatopéique garg- que l'on retrouve dans "gargariser", "gargarisme". L'évolution régulière en français est jarg- (comme GARDINU) jardin ; le second élément est une finale hydronymique : ouna ou unna « eaux » À l'époque romaine, la région défrichée s'arrête à la hauteur de Réez-Fosse-Martin, sur la rivière. Au nord se trouve la forêt de Retz, dont la limite reculera pour devenir, plus tard, la forêt de Villers-
Cotterêts. La Gergogne prend sa source entre la ferme de Gueux et le hameau de Poix sur le territoire de la commune de Bouillancy, à 100 m d'altitude. Elle coule globalement du nord-ouest vers le sud-est. Plus loin, elle atteint la vallée de l'Ourcq et conflue alors avec le canal de l'Ourcq à 63 m d'altitude. L'ancienne jonction, à 56 m d'altitude, sur la rivière d'Ourcq, se situe tout près du château de Gesvres-le-Duc sur la commune de Crouy-sur-Ourcq.
Au Moyen Âge, pour passer la rivière qui serpente dans une vallée marécageuse, des gués sont aménagés et empierrés. Tel est probablement le cas de l'ancien gué de Rosoy-en-Multien, sur l'ancienne route de Paris à La Ferté-Milon, au lieu-dit le « Cailloti ». En ces temps-là, les premiers moulins hydrauliques sont construits sur le cours de la rivière. On trouve une trace écrite de l'existence d'un moulin à Rosoy, dans un document de 1250. En 1540, sous François Ier, la rivière sert de limite méridionale à la gruerie de Nanteuil, entre sa source et Acy, « en vertu d'un
procès-verbal de M. Mille commissaire, député par le Conseil d'État pour faire cette délimitation. ». Plus tard, en 1609, un plan de la gruerie montre d'une façon imagée des détails du cours de la rivière, des villages aux abords, des moulins et des bornes de la dite gruerie. On peut constater sur ce document la présence de certains hameaux, tels Migny et Tresmes, qui en 2010, ont complètement disparu depuis longtemps.  Je vous laisse lire la suite sur wikipédia.] Comme nous sommes en Seine et Marne, nous n'avons aucune information sur le circuit jaune ou nous sommes. Heureusement qu'il y a le GR. Au pont de May nous quittons le balisage jaune, traversons le pont en suivant le GR 11. Comme toujours en Seine-et-Marne nous quittons le balisage jaune pour en retrouver un autre sans aucune information. Nous sommes sur une route, que nous abandonnons après un virage, et grimpons dans un bois en direction de May en Multien en suivant le GR et le balisage jaune partant sur la droite. Cela monte fortement. Nous laissons un 
chemin sur la gauche, poursuivons la grimpette. Au sommet nous trouvons un point de vue avec un calvaire. Malheureusement j'ai un brouillard à couper au couteau. Le chemin fait fourche nous prenons à droite, la rue menant à l'église de May en Multien [C’est au VIIe siècle qu’apparaît pour la première fois le nom de May dans les archives. Le nom de notre village est inchangé depuis 1553. May à travers les siècles ; May vient du latin « Mallum » qui signifie le plaid, autrement dit un lieu d’assemblée. En effet, dès le début du Moyen-âge et jusqu’au XVIe siècle, May fut le siège d’une importante juridiction (celle du pays de Meaux), au sein de laquelle des jugements étaient rendus devant une grande assemblée populaire au milieu des champs “ à quelques jets d’arc” de May. C’est de là que viendrait le nom de notre village. Multien vient du latin «pagus Meldianus» qui signifie du pays de Meaux.
 
Bien qu’ayant longtemps appartenu aux Comtes de Champagne, May est passé aux mains de différentes familles, les Ducs de Valois, d’Orléans, puis enfin de Gesvres. http://www.may-en-multien.fr/histoire] Nous traversons un parking par la rue de la Cheveaupierre, nous arrivons au carrefour et prenons légèrement à droite la rue du Moutier toujours le GR. Laissons les rues sans issus tout de suite à droite, puis sur la gauche la rue du Chanois. Nous arrivons à l'église Notre-Dame de l'Assomption avec sa tour carrée. [L’église de l’Assomption de la Vierge Marie, classée aux Monuments Historiques depuis 1911, vit ses travaux commencer au XIIe siècle grâce aux 
seigneurs de Girême, le chantier prit fin au XVIe siècle. Jadis un château s’élevait derrière elle, Louis 1er duc d’Orléans (1372-1407) en fut même un des plus prestigieux propriétaires. Malheureusement, il subit tellement d’attaques qu’il fut abandonné en ruines dès le XVIIe siècle. Lors de la Grande Guerre, May-en-Multien a subi énormément de pertes qu’elle reçut le 18 septembre 1921 La Croix de Guerre avec palmes. http://www.may-en-multien.fr/histoire] Prenons la rue de Crouy sur la gauche (D 94). Laissons sur la gauche la cour du château.  Prenons à gauche la rue de la Fontaine aux Chiens la rue fait fourche avec un beau cèdre, nous prenons à droite la ruelle du Pressoir. Nous arrivons au rond point avec un nouveau cèdre de la place de l'ancien Calvaire. Nous prenons sur la droite la rue du Pré Gault. Laissons les rues sur la gauche et sur la droite.  La rue fait fourche, nous laissons sur la gauche le GR jaune empruntant la rue du Gué Breton, poursuivons à droite le GR. Nous arrivons à un carrefour, ou nous prenons sur la 
gauche la (D 147) un talus nous permet de marcher en sécurité. Nous sommes toujours sur le Gr 11. La rue fait fourche nous prenons à gauche en direction de Vernelle et Marnoue. Nous descendons vers Vernelle par la route en suivant le GR, nous longeons un bois, et arrivons à Vernelle.  [On trouve trace de ce hameau dès 1559. Une légende racontait qu’il y eut jadis l’existence d’un temple dédié à Venus (Venus verna ou maison de Vénus). C’est sur les ruines de ce fameux temple qu’un prieuré avec une chapelle dédiée à Notre-Dame y fut élevé. L’étymologie de Vernelle viendrait du celte: gwern, synonyme d’aulne (arbre qui pousse rapidement dans les endroits humides et qui s’y plaît). http://www.may-en-multien.fr/histoire] que nous traversons après un virage en épingle à cheveux. Nous quittons la rue pour traverser le pont de Vernelle au dessus du canal de l'Ourcq au KM 82. Nous retrouvons un balisage jaune. Nous prenons à droite et longeons le canal. Passons sous le viaduc du TGV. Laissons le pont des Vaches 
d’Echampeu PK 79,75 le chemin fait fourche nous prenons le chemin le plus proche du canal, nous arrivons dans une courbe à droite, avec un déversoir, nous nous approchons de la D 102. Quittons le GR 11 et poursuivons le balisage jaune sur la gauche empruntant la D 102. Passons au dessus de la rivière Ourcq, puis sous le pont SNCF. Nous entrons dans Ocquerre. [Le village est mentionné pour la première fois dans un texte de 1135 qui fait état du fait que le chapitre de la cathédrale de Meaux dote l'abbaye de Châage de plusieurs paroisses dont celle d'Ocquerre. En 1830, le territoire de la commune est constitué de terres cultivées et de prairies. Des carrières de grès à pavés sont exploitées en 1900. Cinq aubergistes y exerçaient à cette époque. http://www.ocquerre.fr/sites-monuments] Après le pont, laissons la petite route sur la droite longeant la ligne de chemin de fer, puis les départementales font fourche, laissons la D102 partant sur la gauche vers Crouy et Montigny. Prenons à droite la D 102a1 vers le centre du village en direction de Vendrest, Coulombs et Gandelu. Après un bâtiment agricole, bâtit sur un promontoire nous longeons un long mur en pierres, la rue fait de nouveau fourche et nous prenons sur la droite la Grande Rue, à l’angle de cette fourche nous avons une ancienne ferme. Si les portes sont ouvertes 
ferme des 3 cheminées
vous apercevrez la ‘’Ferme dite aux trois cheminées ‘’ (j’ai la photo) [Cette demeure Renaissance était un rendez-vous de chasse à l'époque d'Henri IV. Le corps de logis a été construit par René Baillet, président du Parlement de Paris, seigneur de Sceaux et de Tresmes, qui avait acquis la seigneurie d'Ocquerre dans la première moitié du XVIe siècle. La maison est l'un des rares bâtiments civils bien conservés de cette époque. Sur l'une des cheminées est inscrit « 1546 Honor deo. » À l'intérieur de la partie nord, non remaniée dans les années 1930 à l'inverse de la partie sud, subsistent encore deux cheminées 
Renaissance. http://www.ocquerre.fr/sites-monuments] Nous passons devant la mairie et l'église Saint Etienne [Restauré au XVIIe siècle par Nicolas Fourault, l'architecte du château royal de Monceaux-en-Brie, le chœur a conservé deux chapiteaux du XIIIe siècle. Les deux premières travées de la nef et sans doute le portail et le clocher ont été entièrement démolis en 1898 et reconstruit grâce à la générosité de Melle Noailly, tante du comte de Mony Colchen, alors maire du village, qui a offert la somme de 30 000 francs, par l'architecte parisien E. Saint-Ange et le maître d'œuvre Paul Féret, entrepreneur local de maçonnerie. La reconstruction de l'église est achevée en 1901. Le clocher reçoit alors l'ancienne cloche d'un diamètre de 94 centimètres et d'un poids de 500 kilos environ, qui 
porte en minuscules gothiques l'inscription : « Je fus faicte pour Auquoire 1581. » Le toit couvert de tuiles, comme ceux des habitations, a été refait entièrement en ardoises. http://www.ocquerre.fr/sites-monuments] Laissons la rue de l’église sur la droite et, poursuivons la rue grande, (balise jaune) sortons du village, nous longeons un ruisseau (Ruisseau Jean Racet) et arrivons sur la D17 que nous prenons à gauche en direction de Vendrest, Coulombs et Gandelu. Attention cette départementale est très fréquenté et l’on n’a pas beaucoup de place pour ce garer surtout si les bas côtés ne sont pas tondues. Je n'ai rien trouvé d'autre chemin pour rejoindre Rademont. Même le balisage jaune passe par là. Enfin la route fait fourche et nous prenons la C8 sur la droite en direction de Rademont et châton. Nous entrons dans le village de Rademont. La rue fait fourche, en prenant sur quelques 
mètres la rue de Crépoil à droite, nous trouvons un lavoir en bordure du chaton. Lavoir avec des panneaux coulissants. Pour se protéger de la pluie ?, du vent ? Peut être des deux. Revenons dans la rue principale et Poursuivons la rue de Chaton vers le village du même nom par la C6 nous laissons sur la gauche la C11 en direction de Vendrest. Après un virage nous trouvons un chemin dans les champs sur la droite (c'est le CR 48 chemin de Blanc Savart). Nous passons le ruisseau du chaton, le chemin tourne brusquement à l'équerre sur la gauche au milieu des champs (nous sommes sur le chemin CR 4 et sur le balisage jaune). Le chemin retrouve le ruisseau, fait 
fourche avec le CR 47, traversons le ruisseau et entrons dans le village de Chaton, par la rue du Lavoir.  Nous arrivons au carrefour face au lavoir, nous prenons sur la gauche la rue de la Forge (C6). Laissons quelques rues à droite et à gauche et prenons sur la droite un peu avant la fin du village la rue des Lourdelets (CR 29). De bitume nous passons à chemin faisant fourche nous quittons le balisage jaune partant à droite pour continuer tout droit dans les champs et les bois.  Nous traversons le Bois de Beauregard, dans une courbe nous apercevons d’anciennes maisons de villégiatures, passons un réservoir d’eau et nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche, nous sortons du bois et 
retrouvons les champs. Le chemin bifurque en angle aigu sur la gauche, (et miracle on retrouve un balisage jaune que l’on a pas sur la carte, le précédent s’étant arrêté net.) Puis longeons la lisière du bois et après les champs nous débouchons sur la C10 que nous prenons à gauche, (route c’est vite dit) et sur la carte on retrouve le PR dont la trace réapparaît à cet endroit. Nous arrivons à Vendrest. Un peu avant l’entrée de la ville nous avons une fourche de chemins sur la droite à trois dents. Le plus visible est perpendiculaire à la route, l’autre se voit moins bien dans l’herbe, on le cherche un peu, mais il est en oblique, entre la route et l’autre chemin, il descend légèrement. Pour qu’elle raisons le balisage 
prend ce chemin, il faudrait le demander au créateur de l’itinéraire. Mais l’on peu continuer la C10 et entrer dans le village par la rue des Fossettes sans problèmes. Revenons à notre itinéraire. Prenons le chemin en oblique partant sur la droite de la route, on trouve un balisage nous rassurant sur l’itinéraire, sur le tronc d’un arbre, après un virage nous entrons dans Vendrest par la rue de la Paudée, qui débouche dans la rue Julienne que nous prenons à gauche toujours le balisage jaune. Nous laissons sur la gauche la rue des Fossettes, et prenons un peu plus loin sur la droite, la rue de la Recette. Nous arrivons à la belle petite place de la Mairie, avec sa fontaine. Sur la droite l’église Église Saint-Julien-et-
Saint-Jean-Baptiste et son clocher-porche carré des (Xe siècle)-(XVIIIe siècle). Poursuivons par la (C11) rue du Presbytère neuf, la rue fait fourche, c’est également une intersection de balisage jaune. Nous prenons à droite la rue à l’eau. Rue sans issu passons le lavoir , de rue nous passons à chemin nous poursuivons dans les champs arrivons à la station d’épuration ou nous entamons un virage sur la droite, nous retrouvons le bitume remontons vers le cimetière, nous débouchons rue de l’Eglise que nous prenons à gauche. (Ici aussi, je me pose la question, pourquoi place de la Mairie nous ne prenons pas directement la rue de l’église ?) Cette rue débouche sur la D 17 après avoir coupé le ru ‘’Jean 
Racet’’, traversons la départementale. (Ici j’ai eu un peu honte pour ma région la Seine et Marne, les panneaux directionnels sont illisibles, les lettres bleu sont effacées par le temps. Comment voulez-vous que les balisages jaune soient bien indiqués comme dans l’Essonne avec de petits poteaux portant le nom du sentier et la direction que l’on prend, alors que l’on n’est pas foutu d’entretenir nos panneaux d’informations routier. J’ai cru que c’était un phénomène Seine et Marnais, mais je l’ai constaté également en Limousin. Aujourd’hui (2019) ou l’on fait le bilan budgétaire des nouvelles régions, je me rends compte que les économies sont réalisées sur l’information routière au lieu de celui du fonctionnement. C’est un raccourcie, mais cela fait du bien.) Face à nous, nous trouvons un chemin qui grimpe légèrement, nous longeons la lisière de plusieurs bois espacés par des champs, nous passons sous la ligne de TGV, toujours balisage jaune. Longeons plus ou moins le bois de Raroy  (suivant les cartes vous trouverez un chemin longeant le bois, mais ce n’est pas celui là que j’ai pris.) Nous débouchons sur un chemin formant Té ou de nouveau nous avons un croisement de balisage jaune. Le jaune de gauche part sur Gesvres, le chemin de droite sur Certigny.  Nous prenons à droite en direction de Certigny. Longeons la lisière du bois du Conduit et arrivons à Certigny, par la rue de Tresmes, poursuivons sur la gauche par la rue de L’Amandière (C11). Nous longeons l’ancienne ferme du pigeonnier transformée en restaurant le tout semble à l’abandon. Nous sortons du village, pour entrée un peu plus loin dans le hameau de Crotigny. La rue de l’Amandière peu large fait un esse gauche, droite et dans ce dernier virage nous trouvons sur la gauche un chemin partant dans les champs, un peu avant le village de Fussy nous apercevons sur la droite le château de Belle-Vue malheureusement je n’ai pas trouvé l’histoire de ce château. Aujourd’hui il appartient à une société louant des salles. Poursuivons par une petite descente et
entrons dans Fussy par la rue de la Cavée, nous débouchons dans une rue et prenons à droite c’est toujours la rue de la Cavée qui débouche rue de la Libération (D102) que nous prenons à droite. Nous rencontrons sur la gauche la petite route bitumée menant au château de Gesvres et May en Multien (balisage jaune) poursuivons sur quelques mètres la départementale qui à également un balisage jaune et nous trouvons sur la gauche un chemin avec un balisage jaune et bien sur tout cela sans étiquette d’informations. Prenons ce chemin bitumé sur les premiers mètres, pénètrant dans le marais de la grande prairie. C’est le passage que j’ai loupé dans l’avant dernière étape de ‘’En route vers La Ferté Milon’’ étape de Trilport à Crouy ‘’ et dans cette longue étape j’ai bien eu raison de ne pas avoir rallongé l’itinéraire par ce parcours qui ma déçu. On pénètre dans le marais entre deux clôtures, on longe un ru, les terrains ne sont pas entretenus faut dire que ce ne doit pas être facile, les cabanes installées sur les terrains avec 
des étangs ne relèvent pas l’idée d’un certain abandon. Le chemin butte sur une clôture et tourne à angle aigu sur la droite, on passe un vieux pont. Le chemin devient un peu difficile presque sentier, on longe un fossé avec une eau stagnante fort sale. Heureusement que je passe par ici l’hiver car l’été je suppose que c’est infesté de moustiques. Des arbres sont en travers du chemin part manque d’entretien. De chemin nous passons à bitume, longeons la station d’épuration, nous débouchons rue des Meuniers que nous prenons à gauche. Nous suivons la rue des Meuniers jusqu’à une fourche mal foutu avec un haricot central ou nous 

laissons sur la droite la rue Bellet poursuivons sur la gauche la rue Menier. Laissons la rue du Cygne sur la droite et poursuivons tout droit. Nous arrivons place du Champivert face au collège traversons la place et prenons sur la gauche l'avenue de la gare ou nous retrouvons le GR. La gare se trouve sur la droite.




C'est ce que j'appelle une honte pour notre département, malheureusement ce n'est pas le seul, j'ai remarqué des panneaux dans le même état sur d’autres routes. Moi cela m'attriste. Vous devez penser que je suis un vieux c.., et qu'aujourd'hui avec les GPS on a plus besoin de ses hideux panneaux "qui pollue" notre espace visuel. Mais avez vous remarquez que votre (notre) GPS vous emmène toujours, (ou au mieux) le plus souvent sur une autoroute ! Même si vous ne voulez pas y aller, c'est toujours l'autoroute. Ce qui est dramatique c'est que l'on ne peut pas tracer notre propre itinéraire et l'enregistrer sur ce GPS voiture. Lorsque l'on veut rejoindre en voiture un lieu de randonné sans ce rendre sur l'autoroute, il faut prendre une carte et suivre le circuit que l'on a choisi en suivant la carte (qu'il faut savoir lire) et les panneaux de direction que l'on trouve sur le bord des routes. Mais lorsqu'ils sont dans cet état, il est rébarbatif au copilote de suivre un itinéraire. Il lui faut à la fois regarder la carte  et parfois chercher bien loin une direction sur cette même carte alors que le village a 3 km, n'est même pas indiqué. On ne peut plus se fier aux informations trouvées sur place, n'y à l'ordinateur de bord qui vous emmènera vers une voie rapide. On manque par ce système directionnelle imposé bien des beautés de notre France. Mais aujourd’hui plus d’initiatives soyons connecté et suivons ce que les autres ont décidés pour vous.   


 



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