jeudi 2 mars 2023

Petite Promenade 135-2 en Limousin ; Godeix La Pierre du Roi et La Font du Loup

Le petit circuit de Gaudeix et de la Pierre du Roy est un circuit de randonnée situé sur la commune de Saint-Sulpice-Laurière en Haute-Vienne (87).

Après mes déboires avec mes circuits improvisés butant sur des chemins disparaissant sous le socle de la charrue, et le bitume je m’appuis sur les circuits locaux. (Reprise des fiches Nature et patrimoine).

Ou se trouve Gaudeix ? Proche de la D 914 entre Ambasac et Laurière. Face à Saint Sulpice Laurière.

 En venant de Laurière ; prendre la D 914 direction Ambazac, La Jonchère Saint Maurice, Saint Sulpice. Au carrefour de la D8 A1, comportant deux haricots en triangles (Saint Sulpice Laurière), poursuivre tout droit direction Ambazac, La Jonchère Saint Maurice, Jabreuilles. Passons le pont SNCF et 200 ou 300 m plus loin nous trouvons sur la gauche la C 10 Gaudeix et La Ribière.

 En venant d’Ambazac ; prendre la D 914 direction Laurière, Saint Léger la Montagne, La Jongère St. Maurice, St. Sylvètre. Traversons La Jongère St. Maurice, au feu tricolore poursuivre la D 914 en direction de Saint Sulpice Laurière et Laurière. Passons le col de Roche, poursuivons vers Laurière, peut de temps après nous trouvons la C 10 sur la droite en direction de Gaudeix et La Ribière.

Si vous dépassez le pont vous avez loupé la route. Dépasser le premier groupe de Maisons.

 Il n’y a pas de parking, nous trouvons un espace pouvant recevoir une ou deux voitures au niveau du Lavoir. Entre les deux groupes de hameaux formant Gaudeix. Il me semble qu’il n’y a aucun espace dans le hameau permettant d’y garer une voiture.

 

Carte GPS et Topos sans commentaires      Carte IGN       Carte Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346569

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Km    Temps     Arrêt     V/d        V/g       Dénivelé         

8        1h40        0h15     4,8         4,2            286          

Remontons la route, nous suivons le balisage point rouge, traversons le hameau de Gaudeix avec sa rue étroite et ses belles maisons traditionnelles en pierre. La rue fait fourche devant une maison, prenons sur la droite, elle possède un panneau avec une flèche promenade, nous sommes sur un balisage rond rouge. Dans le haut du village le bitume se termine devant une fourche, poursuivons tout droit par un chemin qui lors de mon passage avait été tondu. Nous n’avons plus de balisage. Nous pénétrons dans la foret, et commençons le tour de la colline du Peu du Berger, colline situé au dessus de Gaudeix. Le chemin fait fourche prenons à gauche, nous descendons légèrement, et débouchons sur une route, avec des panneaux d’informations ; sur la gauche nous partons sur le hameau de La Ribière. Prenons à droite, cette route plus ou moins caillouteuse et bitumineuse en direction de La Courrière. Nous grimpons. On aperçoit par moment des ronds rouge, malheureusement bien trop parcimonieux. Nous sommes au pied de la colline qui est très boisé, la vallée du Grand Combeau s’étale sur notre gauche, longeons l’étang, laissons un chemin sur la droite, puis débouchons sur un chemin formant Té en bout de la vallée. (Attention la carte n’est peut être pas à jour, ou comme le secteur était en exploitation j’ai rencontré bon nombres de chemins, c’était peut être des chemins d’exploitations. Restons sur le chemin principal, à peu prêt sur la même courbe de niveau). Nous débouchons sur un chemin formant Té avec un virage sur la gauche, devant une sorte de clairière, nous trouvons une pancarte la Font du Loup à 50m [Une fontaine se trouve au niveau d’un pré. La Font-du-Loup ancienne fontaine-lavoir totalement restaurée par des bénévoles de l'association Nature et Patrimoine. Sa restauration a valu à l'association le 2ème prix " Patrimoine rural et savoir-faire " au concours départemental 2005 organisé par le Conseil Général de la Haute-Vienne. Malheureusement je n’ai pas remarqué cette fontaine, j’ai fait le tour de la clairière, mais je n’ai vu qu’un terrain ravagé par les tracteurs de débardage, je suis remonté par le chemin vers le sommet du Peu du Berger sans rien voir. N’ayant pas beaucoup de temps je n’ai pas cherché plus avant]. Prenons à gauche et longeons le Bois du Royau. Le chemin fait fourche, (Fourche qui n’existe pas sur la carte IGN) prenons à gauche, nous trouvons une pancarte avec la direction de La Courrière, c’est un petit sentier en pente douce. Nous longeons certainement le Rivalier ou un ruisseau venant ce jeter dans ce dernier. Le chemin fait fourche, nous rencontrons la rivière. Faisons un virage sur la gauche, laissons un sentier remontant le ruisseau sur la droite, passons le Rivalier sur un petit pont et remontons sur l’autre rive par un chemin caillouteux [D’après Wikipédia ; De 18,4 kilomètres de longueur, le Rivalier prend sa source en Creuse,au nord-est de la tourbière de Friolouse, à Saint-Goussaud, et à l'est de Jabreilles-les-Bordes, à 615 m d'altitude. (D’après la Carte IGN, c’est le Ruisseau de La Vergne qui prend sa source à St. Gousseau. Ce Ruisseau vient se jeter dans le Rivalier en amont du château et de l’étang de La Ribière, au pied du Peu du Berger.) Toujours d’après la carte le Rivalier prendrait sa source en dessous du Puy de Jabreuilles et du hameau d’Agnot entre 579 m et 577 m d’altitude et Sous le hameau de Cateraud dans un creux de vallée dont les sommets s’élève entre 604, 613 et 611 m. Je n’ai pas posé la question aux résidents. Les deux formant la rivière proche de leur source, il y a peut être une erreur d’interprétation dans wikipédia. Je ne remarque qu’une anomalie et pose qu’une interrogation dont je ne peux résoudre le problème. Au résident de la Haute Vienne ou de la Creuse de corriger l’anomalie, s’il y a anomalie dans wikipédia, ou à l’IGN. Il alimente l'étang de la Papeterie à Saint-Sulpice-Laurière, puis se jette dans le ruisseau du Pont qui lui-même se jette dans l'Ardour en amont du viaduc de Rocherolles, entre les trois lieux-dits le moulin du Montheil, Le Chambon et la Touille, à 295 m d'altitude. Wikipédia]. Nous débouchons sur la route de La Courrière. Nous abandonnons le balisage rond rouge, et prenons la route à droite avec un balisage triangle bleu. Une fois sur la route retourner vous, mois j’aime bien, j’ai l’impression d’être vraiment loin de tout et de tout soucis c’est le calme, un lieu propice à la méditation… Nous sommes au pied de ce que je crois être le Champ Tabard culminant à 607 m. Remontons la route. Remarquez sur le mur de soutènement du talus à notre gauche, le mur est décalé et forme marches pour rejoindre les terres situées au dessus. Poursuivons le bitume serpentant à l’assaut de la montagne, certain arbres sont encore magnifiques. Laissons un chemin qui semble être carrossable sur la droite, poursuivons le bitume le long de prairies et des bois. Coupons un ruisseau passant sous la route, ce ruisseau ce jette dans le Rivalier. Nous arrivons à une fourche. Attention sur la carte cela semble une route bitumée, mais ce n’est qu’une route en stabilisée. Nous trouvons deux pancartes l’une avec une flèche vers le bitume, indiquant la pierre du crapaud. Malheureusement je n’ai pas vue d’autres informations sur la route, c’est peut être ce rocher sur la gauche de la route bitumée au niveau de la fourche. On aperçoit un rocher dans le taillis ressemblant peut être à un crapaud [La pierre du Crapaud (énorme rocher de granite à la forme caractéristique)]. L’autre en direction de la piste en stabilisée en direction de Considat, prenons cette dernière direction. Nous longeons un ruisseau. Normalement nous sommes sur le balisage triangle bleu et un rond rouge. Traversons une nouvelle fois le Rivalier puis nous sortons de la foret, le chemin traverse une alternance de champs et de bois. Dans une courbe nous abandonnons notre chemin en stabilisé et le balisage rouge en direction de Considat pour prendre sur la droite un chemin avec le balisage triangle bleu, pénétrant dans la foret. A ce carrefour nous apercevons des bâtiments, peut être les premières maisons de Considat, mais surtout une casse auto. Dans un champ une multitude de voitures abandonnées et de pneus. Poursuivons notre grimpette, laissons un chemin sur la droite menant à un champ. Nous arrivons à une intersection avec des informations ; Gaudeix sur la droite, balisage rond bleu, rond rouge et, La Pierre du Roi sur la gauche. Prenons à gauche, balisage triangle bleu. Nous approchons de trois antennes émettrices prenons le chemin sur la droite, point de vue de la Pierre du Roy. Nous trouvons en effet une belle pierre, avec logiquement un point de vue, mais les arbres ont bien poussés, un peut plus loin une table d’orientation illisible par le lichen incrusté dessus, que j’avais pris de loin pour un puits. [Le site de la Pierre-du-Roy : une table d'orientation permettait d'admirer un magnifique paysage qui s'ouvrait sur le site de Saint Sulpice Laurière et le bois des Échelles. Aujourd'hui, le panorama est en partie occulté par la présence de nombreux sapins. Légende : À proximité de la table d'orientation se trouve la Pierre-du-Roy, lieu des rendez-vous galants de Louis XIV et de Mme. De Montespan dont la famille possédait des biens au village d'Agnot.]. Revenons devant les antennes, empruntons la route, prenons à droite un chemin après la troisième antenne en direction du col de la roche, nous longeons une clôture. (Le chemin n’est pas sur la carte) notre chemin descend le long d’un parcours de cross. Le terrain est dégagé, nous avons une vue sur la plaine. Notre beau chemin traverse la foret, puis tourne en angle d’équerre sur la droite. Nous poursuivons notre descente dans une belle foret et arrivons à une fourche. Laissons le chemin de droite, poursuivons la descente par la gauche. Le chemin fait de nouveau fourche quittons le balisage bleu que l’on voit a peine sur le chemin de gauche, (il se dirige vers Saint Sulpice Laurière), et poursuivons notre beau chemin sur la droite. Notre chemin reste  à flanc de colline, entame un large virage sur la gauche puis descend, il devient beaucoup moins visible, et je commence à regretter de ne pas avoir pris l’autre branche vers Saint Sulpice. Je me trouve bloqué par un grillage, trouve un passage et débouche sur une courbe d’une ancienne route (je n’ai rien trouvé d’exploitable sur la droite malgré que la carte nous montre un chemin). Prenons à gauche, nous débouchons sur la D 914 que nous prenons à droite sur environ 200 m. Nous trouvons un chemin sur la droite remontant en foret, il fait une première fourche prenons à gauche, grimpons le flanc de la colline, il fait fourche, j’ai eu tord de prendre à gauche, j’aurais dût certainement remonter par le beau chemin de droite. Prenons à gauche, le chemin devient ronceux, nous descendons, ce que nous venons de monter et notre chemin disparaît dans le taillis, il ne doit plus être utilisé, n’y par les randonneurs, n’y par les chercheurs de champignons, j’aurais du remonter par le chemin de droite surtout que j’avais sur ma carte GPS le chemin supérieur se dirigeant vers Gaudeix. Nous débouchons sur un chemin formant Té face à une clôture J’essaie de suivre sur la droite le sentier en pointillé au dessus  

de la route. Il est bien trop difficile, je descends le talus (on peut le faire dès le grillage) et poursuis mon chemin par la route. A l’entrée de Godeix nous avons une pancarte Point de Vu. Mais ce n’est pas entretenu et l’on ne voit rien. Traversons le hameau de Gaudeix et nous retrouvons notre point d’arrêt à coté du lavoir entre les deux groupes   d’habitations.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  



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Petite Promenade en Loire-Atlantique N°135 Tharon – Saint Michel Chef-Chef

 Petite Promenade en Loire Atlantique

Carte IGN    Trace gps & Topo sans Commentaires          Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346568

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Km    Temps    Arrêt     V/d     V/g       Dénivelé
12      2h10       15         5,5        5            154 +

 

Tharon se trouve entre Pornic et l’embouchure de la Loire sur la D 213.

Lorsque l’on est sur la D 213. Prendre la sortie Tharon Plage, la Dalonnerie. Au rond point suivre Tharon Plage. Au rond point avec l’énorme balise verte prendre à droite la plage, le port par l’avenue de Nantes. Au rond point suivant prendre la rue Pasteur et la direction de Saint Michel, centre. La rue Pasteur change de nom de devient sur certaine carte ‘’de Tharon’’, nous arrivons au rond point avec une balise jaune au nom de la Poupinière, nous prenons à gauche l’avenue de la Poupinière, nous débouchons boulevard de l’Océan que nous prenons vers la droite et nous trouvons des places de Parking.

Mon départ se fait du Port de Comberge à Saint Michel Chef-Chef, mais suivant ou vous avez garé votre voiture, il pourra être vu en premier ou en dernier. [LE PORT DE COMBERGE C’est le 18 août 1960, que fut mis en place le chantier des ouvrages portuaires... Le site de Comberge avait été choisi, après maintes hésitations, en raison de sa facilité d’accès, aussi bien pour les marins pour débarquer leur cargaison (poisson ou autres) que pour les plaisanciers pendant l’été. Un phare à feux tournants signale l’entrée du port pendant la nuit. 
Les premières installations du port ont été inaugurée en 1962. Par la suite d’autres aménagements ont été effectués.
Extraie du Texte de Mme Raymonde Dufils https://www.pornic.com/le-port-de-comberge.html]. Prenons l’avenue de l’océan, (front de mer) nous avons le choix entre le bitume balisage jaune & GR8 ou la plage (à marée basse). Si vous choisissez le bitume des passages sont aménagés sur la petite dune. Les maisons bordant le boulevard sont principalement modernes. On y remarque l’Herbadilla construite en 1905 et à côté une autre maison avec une tour. [C’est en 1895 que les chalets commencèrent à se construire sur la plage. En 1902 fut signé par trois amis, Boismain, Du Chatelier et Guillou, un acte d’achat en indivision d’une propriété située entre Le Calais et Le Tharon, d’une superficie de 120 ha 48 ca, dont 21 ha de vignes. Ces amis décidèrent de lotir pour vendre «Les Sables» et firent appel à M. Chevrier, dessinateur à Nantes (d’où le nom de notre avenue Ernest-Chevrier). En 1906, l'inauguration de la ligne ferroviaire Pornic-Paimbœuf à voie métrique, favorisera l'essor de Tharon-Plage. Une gare y sera construite à cet effet (située à l'emplacement de l'actuel office de tourisme). La ligne sera néanmoins fermée en 1939. En 1910, il y avait 188 lots vendus. Les acheteurs venaient de Nantes, du Pays de Retz, puis, plus tard, de la région d’Angers. Ainsi, naquit Tharon-Plage, la « Perle de la Côte de Jade ». Du passé de Saint-Michel-Chef-Chef, il reste quelques moulins, sans leurs ailes, mais bien entretenus et quelques maisons bourgeoises (Chanteloup, Beaulieu, La Doucinetterie), ainsi qu’une tour, avenue du Vieux-Tharon, vestige du château seigneurial des « Michel ». http://www.stmichelchefchef.fr/tharon-plage

Tharon-Plage l'une des plus importantes de la côte de Jade, est reconnue comme Pavillon bleu. C’est une station balnéaire de la commune de Saint-Michel-Chef-Chef, l’aménagement de la station de Tharon-Plage au début des années 1900.wikipédia] Vers les immeubles de l’Atlantide, prenons le plan incliné descendant vers la plage de la source. Nous trouvons sur la droite au niveau de la plage un grand mur carrelé. [la source de Tharon Située en contrebas de la route, et de l'accès à la grande plage de Tharon (commune de Saint Michel Chef Chef). La source de Tharon donne une eau bonne à boire. De nombreux Michelois et touristes viennent s’y abreuver. Mais elle a besoin d’une rénovation. En effet, les effets de l’air marin et de la pluie, du vent et du sable ont mis à mal la faïence. Le carrelage de la façade a déjà été enlevé pour être remplacé par une protection en bois. Mais il faudra attendre le mois de septembre pour voir la conclusion des travaux. Et les lieux seront fermés au public pratiquement tout le mois de septembre. À l’issue des travaux, la source aura retrouvé tout son éclat. Ouest France Publié le 29/07/2020 https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-michel-chef-chef-44730/saint-michel-chef-chef-la-source-de-tharon-va-etre-restauree-6921480 Eau régulièrement testée et très prisée l'été.
Dernier test Juin 2016 : CONFORME BACTERIOLOGIQUEMENT et CHIMIQUEMENT aux références et aux limites de qualité des eaux destinées à la consommation humaine (selon Art R.1321-1 à-66 Code Santé
publique)] Avançons un peu sur la plage vers la falaise et les pêcheries de carrelet [méthode de pêche utilisant un carrelet mis à l'eau à partir d'un bateau de pêche ou d'une pêcherie sur pilotis. En France, la technique de pêche au carrelet est pratiquée dans les estuaires de la Loire, de la Charente et de la Gironde. Elle est également pratiquée sur les zones côtières entre ces estuaires. Elle est réglementée en raison de la construction d'un ponton sur le domaine public maritime. En Vendée et en Loire-Atlantique les installations de pêche au carrelet sont appelées des pêcheries. En Charente-Maritime les autochtones utilisent plutôt le terme de ponton, sous-entendu ponton de pêche au carrelet, pour désigner ces installations, mais avec l'évolution du langage, c'est le nom de carrelet qui est improprement utilisé actuellement pour désigner l'ensemble de l'installation de pêche, ce qui entraîne une certaine confusion, le carrelet étant uniquement le filet. Carrelet est aussi le nom couramment donné à la plie commune. Le carrelet est un filet carré d'une superficie de quelques mètres carrés tendu sur une armature plane et descendu horizontalement au moyen d’un treuil depuis un ponton qui avance en mer et sur lequel est généralement construit un abri, voire un petit logement. Après quelques minutes d'attente, pour dissipation du trouble causé par la descente, le filet est remonté assez rapidement, emprisonnant en principe les poissons qui se trouvaient entre lui et la surface (un appât « boît » peut être placé en son centre).

Cette pêche peut être également pratiquée en amateur soit avec de petits filets ronds (< 1 m2), appelés balances, simplement remontés à la main, souvent le long des quais des ports, soit avec des filets un peu plus grands, manœuvrés par un treuil rudimentaire accroché le temps de la partie de pêche à la rambarde d'un pont.

Il existe aussi le carrelet portable toujours munis d'un filet avec corde, poulie et bras métallique ou en bois comportant à sa base un support et un cordage pour pêcher depuis un surplomb rocheux que l'on accroche à une pierre. On relève le filet en tirant sur une corde fixée au cadre du filet. L'appât est constitué de moules écrasées et mélangées à du sable que l'on jette au milieu du filet quand celui-ci est descendu. Wikipédia] remontons sur le front de mer, longeons le parking puis les manèges, nous apercevons d’un peu plus haut les pêcheries. On peut à marée basse longer les carrelets, nous trouvons un escalier permettant de rejoindre le Front de mer au niveau du quatrième carrelet. Dépassons les gros pins abritant une construction qui si je me souviens doit être un sanitaire. Nous arrivons à un rond point juste avant le panneau Tharon plage. Quittons le GR8 et prenons sur la gauche la direction de Tharon Centre, nous sommes dans l’avenue d’Anjou sur un balisage jaune (tour de la commune de Tharon fin de variante plage). La rue est bordée de magnifiques pins, puis les pins forment voûte au dessus de la rue. Dans le haut nous arrivons devant un muret de couleur ocre comportant une tour d’angle surmonté d’un toit en poivrière (certainement un ancien moulin) ou [le seule vestige du vieux château seigneurial des ‘’Michel’’ http://www.stmichelchefchef.fr/tharon-plage]. Coupons l’avenue du vieux Tharon et penons face à nous l’allée engazonnée le long du mur. Cette large allée devient sentier entre les résidences, et locations saisonnières, nous longeons un fossé. Coupons la rue du Romarin, poursuivons le sentier en face, il tourne en angle d’équerre sur la gauche et, débouche à l’angle des rues de la Verveine et du Laurier. Poursuivons tout droit sur une dizaine de mètres et prenons de suite à droite un petit bout de rue sans issu. Nous débouchons rue des Aubépines que nous prenons à gauche. Nous pouvons prendre soit la rue des Peupliers, soit poursuivre tout droit par la rue des Frênes dans ce cas nous longeons le mur du cimetière tournons sur la gauche, nous retrouvons la rue des peupliers que nous prenons à droite. Nous débouchons avenue Ernest Chevrier que nous prenons à droite. Au rond point avec une balise nous indiquent qu’il faut si l’on était en mer contourner le danger par l’Ouest, nous poursuivons en prenant la seconde rue sur la droite (rue de la Dalonnerie, C7), direction Pornic. Attention c’est la rue principale pour se rendre de la D 213 aux plages de Tharon. Sortons du village, nous perdons le trottoir. Sur la droite nous avons un sentier piéton, protégé par des piquets en bois. Nous entrons dans La Dolonnerie, laissons deux voies sans issu sur la gauche desservant des maisons et prenons sur la gauche la rue du Pinier, nous retrouvons le balisage jaune. Au loin, nous apercevons l’église de Saint Michel Chef-Chef. La rue débouche dans la rue des Gatineaux que nous prenons à droite en direction de l’Etang des Gatineaux et le Haut Village (balisage jaune).  A l’approche de la départementale D 213 nous suivons le balisage jaune empruntant la route sur la gauche (piste cyclable Vélocéan Saint Michel 3 km) la route descend un peut passons sous la départementale, la route devient chemin en stabilisé, A l’approche de l’étang des Gâtineaux nous longeons de petites barrières et prenons le chemin à gauche (route de l’étang) nous longeons l’étang, [Réserve d'eau potable. C’est 48ha d'eau poissonneuse]. Longeons la station d’épuration ou de traitement des eaux, poursuivons la route dans les champs. Nous longeons le camping et arrivons au haut Village. La route débouche sur une autre formant Té, nous quittons le balisage jaune et prenons la rue du même nom sur la gauche. Au carrefour prenons le chemin de la plaine sur la droite, c’est une route bitumée (sur la droite au milieu d’une touffe d’arbres un petit calvaire. Nous arrivons sur une route formant Té (route du pont Maurice) traversons et prenons en face le chemin bordé sur la droite de beaux arbres, et sur la gauche d’une haie de taillis. Nous sommes dans les champs traversons la D 136, aux premières maisons du hameau du Moulin des Landes nous prenons à gauche le chemin du Caillou Blanc, de bitume nous passons à chemin. Poursuivre le chemin jusqu’au premier carrefour, prenons le chemin de gauche, (balisage mauve) le chemin est bordé de beaux chênes, longeons une ferme, coupons une route (sur la gauche elle se nomme Le Moulin de beaulieu, sur la droite Le Brizais. Nous y trouvons un moulin accolé à une maison individuelle. Coupons la route et poursuivons en face, nous débouchons route de l’Aubaudière que nous prenons à gauche. Nous entrons dans le hameau de L’Aubaudière, débouchons sur la route de Chauve, (balisage jaune), que nous prenons à droite (D 136). Nous débouchons sur la voie de sortie de la route de Pornic à Saint Nazaire prenons à droite la direction de Saint Michel et Saint Père, nous longeons la route express, débouchons sur un rond point et prenons sur la gauche la route passant sous le pont. Nous entrons dans Saint Michel Chef Chef. [Saint Michel Chef Chef ; La présence de l’homme est attestée depuis la plus haute Antiquité sur notre côte. Les fouilles préhistoriques de la Roussellerie et de Gohaud en témoignent (restes de poteries en particulier). Il est difficile de suivre l’histoire de Saint-Michel au fil des siècles. Les documents restent assez discrets. Son origine, vers le IXe siècle, pourrait être une aumônerie ou une léproserie. Vers 1104-1113, une terre, dite de Cheveché, paraît avoir appartenu très anciennement aux seigneurs de Retz. En 1275, nous voyons Girard II Chabot se dire « seigneur de la paroisse de Saint-Michel de Chevescier » et c’est la première mention que nous ayons de l’église de Saint-Michel. En 1413, Saint-Michel échoit par échange à Guy de Laval, qui n’est autre que le père de Gilles de Retz, célèbre compagnon de Jeanne d’Arc, Maréchal de France, mais aussi célèbre, après la mort de Jeanne, par la peur qu’il fit régner sur le Pays de Retz par ses crimes d’enfants et la pratique de la sorcellerie qui le ruina. Après la mort de Jeanne d’Arc, il se retire dans ses terres et dépense son immense fortune. Saint-Michel fit partie de la débâcle et fut cédé, le 10 juin 1435, à Jean de Malestroit, évêque de Nantes, qui le convoitait depuis longtemps. Gilles de Retz fut brûlé à Nantes en 1440. En 1448, Saint-Michel est rendu aux sires de Retz, à Marie, fille de Gilles de Retz. Marie mourut en 1457 et Saint-Michel passa aux mains de René (frère de Gilles de Retz). Son fils André n’eut pas d’enfant, ce qui provoqua une crise de succession qui dura 46 ans. Le domaine du dernier duc de Retz se transforma en « lotissement féodal », en particulier les fiefs de Saint-Michel, Sainte-Marie et La Plaine. L’acte est du 22 mars 1782. Ainsi, s’évanouissait un des plus beaux domaines de France, dont l’histoire familiale avait su se maintenir 800 ans.

À la veille de la Révolution, Saint-Michel est une petite paroisse de 800 habitants, qui présente alors un certain nombre de terres bien cultivées et quelques prairies. Mais, les landes dominent et, pourtant, le sol de ces landes paraît mériter les soins des cultivateurs. Les habitants de Saint-Michel sont presque tous marins et pêcheurs. Saint-Michel était déjà, à l’époque, un lieu de passage, comme en témoigne le cahier de doléances daté du 3 avril 1789 : « que l’ouverture et l’entretien des grandes routes ne soient plus à notre charge, mais que la dépense en soit faite par le Trésor Public, puisqu’elles sont utiles à tous ». En 1843, Saint-Michel possédait seulement une cinquantaine de maisons groupées autour de l’église et du cimetière. Saint-Michel-Chef-Chef se nommait jadis Saint-Michel du Chevecier et dépendait du Duché de Retz. Jean de Malestroit nommé évêque de Nantes en 1419, acquit de Gilles de Retz cette paroisse. En consultant les archives municipales et les registres paroissiaux, on constate que diverses orthographes interviennent selon les époques. Ces changements sont dus semble-t-il à des prononciations différentes et aux transcriptions fantaisistes des scribes. Du XIe au XVIe siècle, on peut relever : Chevecier, Chevechier, Chevescier, Chevescher, Cheveché, etc. Ces appellations se transforment avec l’introduction de la lettre F et nous voyons alors apparaître Chevechef et Chef-cier. De 1630 à 1673, Chevechef sera d’usage courant. Chefchef ou Chef-Chef apparaîtra ensuite. Le 16 nivôse an II (1792), pour satisfaire à un décret de la convention qui ordonne aux communes de changer leurs noms respectifs s’ils rappellent les souvenirs de la royauté, de la féodalité et de la superstition, le Conseil décide de s’en tenir au seul nom de Chef-Chef. Puis, le premier pluviôse an II (1793), il est décidé de nommer la commune : Les Sablons. Enfin, le 12 brumaire an IV (1794), le Conseil municipal décide, à la demande des concitoyens, de reprendre le nom de Saint-Michel-Chef-Chef. http://www.stmichelchefchef.fr/un-peu-d-histoire  http://www.stmichelchefchef.fr/pourquoi-chef-chef
La commune de Saint-Michel-Chef-Chef inclut la station balnéaire de Tharon-Plage et est aussi connue comme siège de la Biscuiterie Saint-Michel, qui produit notamment la « galette Saint-Michel ». Nous trouvons une autre version du nom de Saint Michel Chef Chef dans wikipédia Le nom de la localité est attesté sous les formes Chemicherium au XIIe siècle, Sancti Michaelis de Chevecier en 1287. Le nom de Saint-Michel-Chef-Chef, dont l’étymologie est discutée, est une déformation de la forme ancienne Saint-Michel-de-Chevesché, issue du bas-latin Terra de Chevesché, ancien nom de la Pointe Saint-Gildas toute proche. Le terme Chevesché est une déformation de chevecier-chef, qui désignait naguère en langue ecclésiastique celui qui surveillait le chevet d'une église et qui, par extension, avait la garde du trésor. Ce dignitaire religieux qui percevait les revenus d'une abbaye (ici en l'occurrence celle de Pornic), logeait dans une chefferie.
En ce qui concerne l'archange Saint Michel, il suffit de rappeler que les lieux nommés Saint-Michel sont très courants en France et qu'ils dérivent de lieux antérieurement consacrés à une divinité celtique, Lug, la divinité éponyme de Lugdunum (Lyon), interprétée par les Romains comme un avatar de Mercure. Le cas le plus remarquable de cette filiation est Saint-Michel-Mont-Mercure en Vendée. L’occupation du territoire est attestée au Néolithique, comme en témoigne la découverte du site de l'éperon des Gâtineaux et, à peu de distance plus au sud, le menhir de la Souchais. Plusieurs autres sites mégalithiques (dolmens et menhirs) existaient sur le territoire de la commune, mais ils furent détruits à la fin du XIXe siècle. Pendant la période de déchristianisation des années 1792-1800, Saint-Michel reçoit le nom de Sablons. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, alors que la Loire-Inférieure est libérée au mois d'août 1944, Saint-Michel-Chef-Chef fait partie des territoires qui restent occupés par les Allemands dans la Poche de Saint-Nazaire qui s'étend de l'estuaire de la Vilaine à Pornic.Ici, la libération n'a lieu que le 11 mai 1945, trois jours après la capitulation de l'armée allemande. Église Saint-Michel de style néo-Renaissance (fin XIXe siècle), possède une statue de saint Michel terrassant le démon par Vallet. Nombreuses décorations représentants des fruits de mer. Une plaque commémorative de la guerre de 14-18 se trouve à droite en entrant sous un vitrail représentant des actes de guerre dans les tranchées. wikipédia] Au rond point, prendre la D 78, rue chevecier (Saint Michel centre Tharon Plage) longeons le parking de la mairie, nous arrivons à l’église. [A Saint-Michel, la première église date du XIème siècle. Cette paroisse apparaît dans divers écrits sous le nom de " Terra de Chevesche". Elle aurait été donnée à l'abbaye de Saint Serge à Angers vers 1104. Au XVème, l'église avait deux autels latéraux, l'un consacré à Saint Blaise, l'autre à saint Mathurin.
 La première pierre de la nouvelle église de style néo-Renaissance, fut bénite le 1er août 1886. Le clocher-porche se trouve en avant-corps. De chaque coté du clocher, une tourelle d'escalier donne accès au niveau médian, éclairé par une grande baie sur la place. Au-dessus, se trouve l'horloge, et au même niveau sans doute, la chambre des cloches de section octogonale. Sur les quatre coins de l'entablement carré du niveau précédent se dressent des petites tourelles à colonettes qui achèvent les angles de l'octogone. Au-dessus se trouve la flèche en pierre, percée de 4 petits fenestrons en bâtière, donnant sur les 4 points cardinaux. Enfin, cette flèche est surmontée par un lanternon à jour, lui-même de section octogonale aussi, surmonté d'une petite flèche. La croix siège sur l'ensemble. L'église a trois nefs, un transept et un chevet à pans. Deux sacristies sont accolées aux bras de transept. L'édifice est orienté d'est (façade) en ouest. Des motifs marins décorent l'intérieur, où l'on peut aussi admirer le remarquable ensemble de vitraux remarquables de couleurs et de luminosité : d'un côté, à gauche en entrant, on peut voir la vie de la Vierge Marie et à droite la vie de Jésus. possède une statue de saint Michel terrassant le démon par Vallet. Nombreuses décorations représentants des fruits de mer. Une plaque commémorative de la guerre de 14-18 se trouve à droite en entrant sous un vitrail représentant des actes de guerre dans les tranchées.] Passons par le chevet puis traverser par la gauche le petit parking nous rejoignons la rue Redois que nous prenons à droite, puis la rue du moulin sur la gauche, moulin sans ailes que nous verrons en extrémité de rue. Traversons l’avenue du Commandant l’Herminier, faisons un esse droite-Gauche et prenons le chemin du Bel Essor (bitumé). Chemin entre les jardins ou les parcs des propriétés du quartier du Bel Essor, nous débouchons rue du Bel Essor, faisons un esse droite-gauche, pour prendre l’avenue des sports, puis à droite l’avenue des Rochettes. Au rond point prenons la rue du port sur la gauche, à la fourche nous poursuivons sur la droite la rue du port. Nous arrivons sur le front de mer et le port.






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