dimanche 2 août 2015

Auvergne : Le Puy de Paugna

Ce mois ci je vous propose un petit tour en Auvergne. Dans le Puy de Dôme. Une région que j'aime bien avec ses volcans caractéristiques. Nous y avons passé des vacances et y revenons annuellement pour des raisons de santé. Trois petites semaines ou, n'ayant pas de soins, j'ai le loisir de vadrouiller, dans cet espace naturelle de 80 puys situés sur le "plateau" du Puy de Dôme et, marcher de vallées en vallées, à la rencontre de nouvelles aventures.  

Cette année quatre promenades. je n'ai pas choisi la chaine des Puys, mais plutôt des balades moins connus dans les Combrailles. L'année prochaine quatre promenades dans le parc des volcans, mais en attendant bonne rando.

Le Puy de Paugnat est un cône volcanique de la chaîne des Puys appartenant au Parc des Volcans d'Auvergne. Il est constitué de pouzzolane, matière minérale particulière au volcanisme effusif de la chaîne des Puys.
Il a été exploité pendant plus de 50 ans comme carrière, s'inscrivant de ce fait dans l'histoire économique de la région avec l'exploitation des matières premières issues du volcanisme à l'image de la Pierre de Volvic. Cette carrière désaffectée en 2001 s'étend sur une superficie totale de 118 000 m2 se trouvant à une altitude de 898 m

Le Puy de Paugnat est inclus dans le périmètre protégé de l'impluvium des Eaux de Volvic.






Le code mobile de cette randonnée est b308010
 
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 Km    Temps     arret     V/d     V/g     Dénivelé
25km   4h43       1h21    5.3      4.1         432+   maxi 889
Altitude de départ 777m

Départ centre ville de Paugnat
Pour si rendre de Volvic : Prendre la D 986 route de Pongibaut puis sur la droite D 16 direction Moulet Marcenat, Paugniat.

Au pied du volcan nous trouvons un village typique, aux petites ruelles et maisons construites en pierre de Volvic, donnant une impression d'un village en perpétuel deuil avec ses maisons utilisant  l'alternance des pierres noir et rousses, ce qui donne au village une impression de rudesse et d'une noble tristesse. Descendons la rue principale (Route de Volvic - D 16b) nous trouvons un balisage jaune,  nous l'abandonnons lorsque celui-ci tourne à gauche, nous prenons quelques mètres plus loin à droite la route de la Védrine, nous remontons vers l’extension du village avec des maisons modernes beaucoup plus gai. Nous avons une
belle vue sur la chaine des puys. Grimpons tranquillement le bitume pour arriver à la croisée de chemins protégé par une croix en pierre de Volvic. Nous quittons la route pour prendre le chemin de droite se trouvant derrière la croix. (Attention le chemin fait une patte d'oie et l'on prend la branche de gauche.) Nous avons devant nous une enfilade de puy, nous sommes sur ce que j’appellerai une plaine haute. Intersection de chemin nous continuons tout droit. Devant nous sur se plateau nous avons une vue dégagée sur les Combrailles, la plaine de la Limagne, s'étendant jusqu'à Thiers et, déchirant l'horizon, les Monts du Forez. Sur la droite la chaine des
puys et le Puy de Dôme. Juste avant le village de Moulet Marcenat,  nous trouvons le PR que nous suivons en prenant le chemin de gauche. Laissons un chemin sur notre droite, puis celui de gauche, nous continuons le balisage jaune. Lorsque le balisage jaune tourne sur la droite nous l'abandonnons et continuons tout droit, nous laissons des chemins venant de la droite et de la gauche. Nous continuons de grimper (légèrement), lorsque nous apercevons le haut d'un poteau métallique à haute tension (gros poteau construit à la Eiffel) nous avons sur la gauche en haut de cette petite bosse un village (La Védrine) et un chalet caractéristique de montagne nous
prenons le chemin de gauche (si vous loupez ce chemin il y en a un autre un peu plus loin ; un large chemin qui est également le GR 441 qu'il faudra prendre à gauche.), donc prenons le chemin de gauche, nous avons toujours une vue grandiose sur les puys. Nous rencontrons le GR 441 et la route goudronnée formant un virage en épingle à cheveux nous suivons le GR pour traverser le village de La Védrine 796m. Se retourner pour la vue panoramique. Prenons la route goudronnée direction Les Brossons-Bonnie. Traversons le village des Brossons, GR 441 sur la droite les Combrailles et au fond vers l'autoroute une antenne rouge et blanche. Beaucoup de maisons neuves dans ce village.
Nous coupons la D 16 et prenons le chemin de gauche (le GR part sur la droite) nous laissons deux chemins sur la gauche pratiquement l'un derrière l'autre, nous longeons l'orée du bois de sapin et de l'autre coté nous avons des parcelles en régénérations de charmilles de chêne et autres arbustes conquérants. Nous retrouvons dans cette partie des murets en pierres de lave séparant de petites parcelles de terre anciennement cultivable. Le paysage change, le bois de sapin disparaît pour faire place aux charmilles. Nous débouchons sur un chemin forment T et nous prenons à droite. Nous arrivons à nouveau sur un chemin formant T avec un panneau d'informations. Nous sommes à 799m et nous prenons la direction de la védrine et Charbonnière la Varenne, nous trouvons un balisage, nous passons un ruisseau comportant une pompe solaire (une pompe relier à un panneau solaire) nous avons un poteau d'information nous sommes à 780m. Sur ce poteau il manque une information ; d'après la carte nous avons franchi l'Ambène. Ce ru nous le connaissons, il descend jusqu'à Enval et ses gorges.....(http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/08/auvergne-chatel-guyon-les-gorges-denval.html).
Nous prenons à gauche le Vauriat, Bonnies et suivons le GR 441 que nous avons retrouvé. Remontons le ruisseau qui se trouve en bordure du chemin, et faisons le tour du suc de Beaunit (C’est une montagne en forme de cône ou de dôme due aux éruptions phonolitiques. Dans le langage local le mot peut désigner tout relief saillant dans le paysage. A pour diminutif « Suchet » ou « Suchaillou »…Fin de l’ère tertiaire, ces volcans, de type péléen (sans cratères) sont apparus, il y a près de 12 millions d’années. La formation des Alpes provoqua un soulèvement du vieux socle granitique. Des failles se sont ouvertes et le magma, plus ou moins fluide, est remonté en plusieurs paliers pour se figer très rapidement en surface, selon plusieurs formes. http://www.office-de-tourisme-des-sucs-aux-bords-de-loire.fr/je-decouvre/nature-paysages/les-sucs-ces-volcans-endormis] à l'intersection suivante nous poursuivons le GR par la gauche. Laissons un chemin sur la gauche continuons notre GR et sentier jaune. Nous apercevons un village sur la droite puis nous entrons dans une foret de sapin. Nous arrivons à l'entrée du village de Beaunit. Nous quittons le GR 441 qui suit la route à gauche pour prendre dans le village la rue de droite, au croisement de deux rues formant une petite place, nous trouvons sur la gauche une petite friche en cours d'amélioration avec une croix en pierre de lave et derrière les ruines d'une maison avec sur une pierre de soubassement ce qui ma semblé être des croix gravées. (Cette rando à été réaliser en avril 2014. En 2015 lorsque je tape la rando, je vérifie mon topo en regardant la carte satellite, et je ne retrouve pas mon tas de pierres au niveau de la croix du coup, j'ai un doute sur ma mémoire seul les photos font foi mais est-ce bien dans ce village, la suite des descriptions le prouve) Je ne sais pas ce que la commune va réalisé sur ce lieu, peut être que les pierres restantes seront à la décharge et que ce soubassement disparaîtra à jamais. A la sortie du village nous prenons la route de gauche et passons

devant une petite carrière de pouzzolane. C'est étonnant nous trouvons dans ce coin perdu hors circuits touristiques une table à pique nique. Nous suivons un ruisseau bordant la route, toujours l'Ambène, nous passons la dernière carrière et la dernière maison en pierre de Volvic toujours aussi noir, égaillé part des pierres dorées, cela donne de l'allure, aux maisons.Cela nous change, de ses maisons en parpaing ou en brique et du sempiternel crépi jaune ou ocre des lotissements. Nous approchons de la D 138 (D'après la carte le chemin balisé en jaune suit un chemin sur la gauche le long du ruisseau mais je n'ai pas trouvé le passage ou, je n'ai pas fait attention alors je suis allé jusqu’à la route.) Que nous prenons à gauche sur une centaine de mètres. Le chemin part dans les champs en direction de l'autoroute.  Nous retrouvons le balisage jaune, du moins nous en voyons les croix à l'intersection des chemins qu'il ne faut pas prendre, (j'ai remarqué que les promenades étaient souvent
balisées que dans un sens. Malheureusement pour moi je ne fais jamais ou rarement la rando ou portion de rando dans le sens du balisage.) Nous quittons l'Ambène  mais le ruisseau s'est bien rétrécie j'en arrive à douter que ce soit le même. Dans la monté nous prenons le premier chemin à gauche et au chemin suivant encore à gauche, nous revenons vers le village, (Nous sommes toujours sur un chemin balisé.) Nous arrivons sur une route que nous prenons à droite. Remontons le bitume entre deux clôtures, nous quittons la  route pour prendre le chemin sur la gauche nous sommes toujours sur le PR nous arrivons à un chemin formant T
avec un panneau d'information nous sommes 816m (813 sur la carte) nous prenons à droite et grimpons dans le sous bois ou nous retrouvons le GR 441. Arrivée au carrefour suivant nous prenons à droite et poursuivons le GR. Nous sortons dans un virage du bois de sapin et nous trouvons dans une sorte de clairière un sentier sur la gauche c'est le GR que nous prenons, il faut bien faire attention ce sentier ne ce voit pas. Nous arrivons dans une prairie nous ne trouvons plus de balisage, mais le chemin est bien tracé le long de la clôture, nous traversons une zone marécageuse et arrivons sur un chemin que nous prenons à gauche, puis avant la ligne SNCF nous prenons de nouveau à gauche et quittons le GR. Nous laissons sur la gauche le sentier qui semble monté dans les hêtres, nous continuons à droite dans le bois de sapin. A l'intersection suivante, nous avons un balisage jaune nous
continuons tout droit (sur ma carte je n'ai pas de chemin sur la gauche montant sur le puy de verrières) nous coupons d'autres sentiers qui grimpent sur le volcan, il me semble que ce sont des traces de motos cross, nous coupons un autre chemin que je n'ai pas sur ma carte (numérique.) Nous quittons le volcan pour continuer notre chemin dans la foret de sapin. Nous arrivons sur une route que nous prenons à droite, nous passons un espèce de chenil isolé avec des chiens ; pas de maison, pas de maitre que les chiens en bordure de la route goudronnée au milieu de la foret. Nous arrivons sur la D90 c'est la route menant au village de Bonnie. Nous prenons la Départementale sur la droite, attention elle est roulante. Restons à droite, le bas coté est plus large. A gauche il y a un fossé. Sur la gauche nous avons une usine de pierre broyant de la pouzzolane, traversons la route et la poussière produite
Pour une image lisible
 par l'usine quittons la D90 et prenons la rue de gauche traversons la ligne de chemin de fer direction gare de charbonnière. Cette voie ferrée n'a pas vu de trains depuis belle lurette. Plus loin nous passons devant une stabule. Sur la gauche nous apercevons le ballaste d'une autre ligne de chemin de fer qui fonctionne encore « Clermont Ferrant-Le Mont Dore ou fade » Nous sommes toujours sur notre chemin entre deux clôtures, laissons un chemin et au suivant nous avons un panneau d'information Paugnat serait à 3 km nous sommes à 820m continuons tout droit sur le Vauria et Pongibaut nous avons retrouvé le GR. Nous arrivons à une autre intersection avec
un poteau d'informations, nous sommes 828m le chemin est en bordure d'un ru qui coule encore part ce mois d'avril très sec, nous abandonnons le GR qui part sur la droite pour continuer tout droit. Nous coupons la vrai ligne SNCF et l'on part sur la gauche dans le bois de hêtre celui qui grimpe légèrement avec le panneau triangulaire (ne pas prendre le sentier qui suit la ligne SNCF, n'y celui des vététistes) Par moment nous apercevons des croix jaunes sur les chemins que nous croisons, nous laissons le chemin de droite, nous trouvons un sentier sur la gauche juste avant le bois de sapin continuons le large chemin vététiste tout droit. Peut de temps après nous trouvons un autre
chemin sur la gauche, puis nous quittons le balisage jaune pour continuer tout droit. Le chemin vététiste entre dans la foret de sapin. Nous sommes passés au pied du "puy la Baneyre" et entre les "puys de la Gouly et de l'Espinasse". Nous passons trois chemins et continuons tout droit. Coté gauche une foret de sapin et à droite la foret de hêtre dont certain son tourmentés. Le chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à gauche, plus loin, à la patte d'oie à droite le chemin le mieux marqué, nous arrivons à une intersection formant Té dans un virage. Nous prenons à gauche. Nous trouvons un chemin sur la gauche, puis le chemin de droite, (pas facile ce coin, les chemins ne sont bien marqués au sol) nous débouchons sur une route empierrée et nous prenons à droite, nous retrouvons le balisage jaune continuons notre chemin
L'une des deux fourmilières
empierrés. Sur la droite un bois de hêtre et sur la gauche les sapins, en 2014 sur le bord du chemin nous rencontrons deux fourmilières géantes, je n'en ai jamais vue d'aussi grosse. Passons à nouveau la ligne de chemin de fer. Laissons le chemin sur la droite et nous nous dirigeons vers le panneau d'information. Nous y trouvons un plan de notre futur itinéraire. Deux circuits se présente à nous ; le bleu et l'orange, l'orange est le plus simple il fait le tour du puy il est plat. Le bleu est plus dur il grimpe sur le puy et nous permet d'avoir deux points de vue sur les Combrailles, la plaine de la Limagne, le Forez et Clermont Ferrant. Nous avons une vue sur le cœur du volcan qui a servi de carrière, le second
point de vue encore plus haut dispose d'une table d'orientation. Nous ferons les deux circuits. Nous prenons le chemin sur la gauche, laissons un chemin barré par des pierres sur la droite et nous trouverons une borne en pierre de Volvic avec des informations au chemin suivant, nous prenons à droite et commençons notre grimpette. Arrivée à mi pente nous trouvons un chemin sur la gauche et une borne en pierre de Volvic, c'est notre chemin de retour. Continuons de grimper jusqu’à la bordure de la carrière nous avons un point de vue sur les Combrailles, la plaine et les Monts du Forez et sur la droite Clermont Ferrand. Nous trouvons sur la
gauche un sentier qui monte avec un petit escaliers en rondin. Au sommet nous trouvons un second point de vue avec une table d'orientation. Sur notre gauche nous trouvons un petit sentier un peut moins bien marqué au sol, nous redescendons. Peu employé ce chemin est encombré de ronces à l'endroit ou des escaliers en rondin avaient été positionnés nous trouvons des ronds bleu sur les arbres le sentier serpente, nous passons une barrière et revenons sur le sentier montant au premier point de vue, que nous prenons à droite en bas, nous tournons à droite et continuons à droite le balisage orange faisant le tour du pied du puy, sur ce chemin nous trouvons des panneaux d'informations sur l'environnement ce chemin bordé de mélèze, qui au printemps on leur petite feuille (aiguille) qui poussent. le mélèze étant un pin qui perd ses aiguilles l’hiver. Nous
Pour une info plus lisible
arrivons à un chemin toujours borné par de la pierre de volvic nous indiquent le chemin de droite, nous passons devant l'ancienne entrée de la carrière continuons pour arrivée sur une route goudronnée que nous prenons à gauche, passons devant des parkings et une aire pour camping-car, traversons la D 90, prenons en face la rue Parceiraux, nous entrons dans Paugnat au bout de la rue nous trouvons des escaliers que nous descendons, nous sommes au chevet de l'église et sur une place commerçante passons le long de l'église et notre parking se trouve en face.  

 

  Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html

Auvergne : Méandre de Queuille Viaduc et Barrage de Fade


 Ce mois ci je vous propose un petit tour en Auvergne. Dans le Puy de Dôme. Une région que j'aime bien avec ses volcans caractéristiques. Nous y avons passé des vacances et y revenons annuellement pour des raisons de santé. Trois petites semaines ou, n'ayant pas de soins, j'ai le loisir de vadrouiller, dans cet espace naturelle de 80 puys situés sur le "plateau" du Puy de Dôme et, marcher de vallées en vallées, à la rencontre de nouvelles aventures. 

Cette année quatre promenades. je n'ai pas choisi la chaine des Puys, mais plutôt des balades moins connus dans les Combrailles. L'année prochaine quatre promenades dans le parc des volcans, mais en attendant bonne rando.




Le code mobile de cette randonnée est b308006

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici


 KM     Temps     Arret     V/d     D/g     Dénivelé
   9        1h45       34mn     5,1      3,8        236+    696 maxi

Promenade sur le panneau d’information de deux heures balisage jaune.  
Le parking se trouve en partie supérieur du village sur la gauche de l’église. Ce rendre aux deux esplanades aménagées pour admirer le méandre de la Sioule.
 
Cela vaut le coup. Si vous avez réalisé la promenade Chateauneuf-Queille (http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/08/auvergne-gorge-de-la-sioule-meandre-de.html) Vous avez grimpé la crête, de cette langue de chat détournant la rivière, que nous apercevons en face.
Revenons aux voitures et poursuivons par l’itinéraire jaune en remontant la rue principale du village. Faisons bien attention au balisage (qui est bien fait) et ne nous laissons pas entrainé par la rue principale et un balisage bleu. Il faut prendre à droite une ruelle entre des maisons. Nous avons plus l’impression de passer dans un chemin privé que dans une rue. Nous arrivons sur un large chemin et entrons dans une hêtraie à flanc de colline, faisons attention au brusque changement de direction. Nous prenons  à
gauche un chemin qui serpente dans la pente, comme seule les chemins de montagne savent le faire. Puis laissons le chemin qui descend sur la droite et prenons celui qui part à flanc de colline. Heureusement le chemin est large, bien tracé au sol avec un balisage impeccable. J’ai parcouru ce chemin sans trace GPS et sans carte papier,  sur la carte IGN géoportail nous n’avons aucun chemins de tracés dans cette partie. Nous ne descendons pas au niveau de la Sioule et restons à flanc de colline. Le chemin grimpe et nous débouchons sur un chemin formant T avec le notre. Nous prenons la branche de droite qui descend de nouveau, nous laissons un chemin qui continue de descendre pour prendre la branche de gauche à flanc de colline. Nous débouchons sur un autre chemin et continuons par la gauche à grimper. Sur la carte nous sommes sur la seule route tracée. Nous trouvons sur la gauche du chemin un lavoir ou, un abreuvoir annonçant un village. Nous approchons de Montfaucon. Nous débouchons sur la route que nous prenons à droite. Dans le village, à la pompe à godet. [La plus ancienne pompe connue est la pompe à godets inventée en Chine au Ier siècle après J.-C. Les pompes modernes ont été développées à partir du XVIIIe siècle. (Wikipédia)] nous prenons à gauche le long de la grange ou de la ferme. Nous avons une belle vue sur les coteaux en face. laissons le chemin sur notre droite. Nous passons un bois de sapin et arrivons dans une petite chênaie. Quittons le chemin plat pour prendre celui qui descend sur la gauche, le chemin n’est pas facile avec ses grosses pierres. Dans le bas au
niveau du ruisseau laissons le chemin partant sur la droite et montons à contre courant, à l’intersection du chemin nous continuons tout droit et passons au pied d’une source. Nous laissons un chemin sur la gauche continuons de grimper et arrivons à une intersection ou il faut prendre à droite. Sur la carte nous sommes au Pré l'Etang. [Vous êtes fatigué prenez le chemin de gauche vous ne verrez pas le viaduc mais dans 20m vous retrouverez le balisage, ou, vous attendez là les copains. Nous repasserons par ici] Donc à
droite jusqu'à la route puis, la route jusqu'à Puy Gilbert. Nous prenons à gauche chemin des Cures nous trouvons un balisage vert et bien sur notre balisage jaune, le chemin descend. Sur la droite en fond de vallée nous apercevons une armature métallique : le viaduc.
A nos pieds les Fades : Les Fades,
dérivé de fadas en provençal : lorsque l'on parle d'une personne en disant, untel " c'est un fada", dans le sens un peu excentrique. et par extension  les folles.C'est en premier lieu une légende : En aval de l'actuel barrage, il existait autrefois un moulin exploité par deux vieilles filles, quelque peu originales et farfelues, qui au terme d'une dure vie de meunières firent dont de leurs économies dans le but de faire construire un pont à la place du gué pour faciliter le passage d'une rive à l'autre de la Sioule lorsque les eaux de la rivière étaient trop hautes. le pont fut donc contruit, et baptisé "le pont des fadas" , par quelques voisins ingrats. qui devint par extention le pont des Fades.                le pont emporté par une crue dévastatrice (peut-être celle de 1866) les culées restèrent visibles jusqu'en 1912 et servir de soutien à l'une des passerelle du chantier du premier viaduc.
D'autres vous diront que " Les Fades ", ce sont aussi " Les Fées " en dialecte local, du nom de ces créatures de légende qui, dans le folklore populaire, sont les princesses éthérées qui président à nos destinées. " Fata ", nom latin de la déesse de la destinée, a donné " fada " en langue d'oc. Dans le midi de la France, ce terme est employé pour qualifier le simple d'esprit et, par analogie, celui qui accomplit des actes déraisonnables. Mais, si l'on s'en réfère au sens étymologique profond du mot, le " fada " est, par définition, le fou " inspiré " car, s'il a perdu la raison, c'est qu'il a été " touché par le doigt d'une fée "… Ainsi, la boucle est-elle bouclée ! (http://viaduc.fades.free.fr/sioule&patrimoine/decouverte.htm) 
La Sioule est dominée par le viaduc ferroviaire des Fades. Ce dernier d’une hauteur de 133m était le détenteur du record mondial de hauteur des viaducs ferroviaires jusqu’en 1976. C’est maintenant le Monténégro qui détient ce record avec 200mètres. Le viaduc des Fades est un viaduc ferroviaire français lancé au-dessus de la Sioule, entre les communes de Sauret-Besserve et des Ancizes-Comps. Il livre passage à la ligne de chemin de fer de Lapeyrouse à Volvic (tronçon de la relation de Clermont-Ferrand à Montluçon-Ville, via le plateau des Combrailles), dont l'exploitation a été suspendue le 9 décembre 2007 par la direction régionale de la SNCF. Une mesure prise officiellement « pour raison de sécurité », du fait de l'état de vétusté de l'infrastructure. La baisse de fréquentation de ladite ligne, aussi bien en voyageurs qu'en fret, explique le fait qu'elle ne bénéficiait plus d'un entretien régulier depuis des années. Depuis la date de la "suspension" l'association Sioule et patrimoine se bat pour que ce monument soit restauré et la ligne remise en service. Un combat qui n'a rien de facile puisque ni RFF de France ni les autorités compétentes ne veulent faire d'actions concrètes. Quelques promesses non tenues sans plus. Des projets existent comme un train touristique, mais ni la région ni personne ne veut s'engager pour sauver ce magnifique viaduc chef d'œuvre de la belle époque et qui représente un des plus beau fleuron de notre patrimoine. L'absence d'entretien pourrait conduire a la longue a la détérioration irréversible du géant et l'association espère toujours que certains cœurs vont se mettre a vibrer pour le sauver. Cette ligne dénommée, à l'origine, « de Saint-Éloy à Pauniat » a été déclarée d'utilité publique le 22 juillet 1881. Le 20 mars 1893, elle était concédée à la Compagnie du chemin de fer de Paris à Orléans (PO). Entre 1893 et 1896, un projet de viaduc pour traverser la profonde vallée de la Sioule est étudié successivement par les ingénieurs des Ponts et Chaussées Dupin et Guillaume, sous la direction des ingénieurs en chef Daigremont puis Draux.
À partir du 1er novembre 1896, l'ingénieur Félix Virard reprend l'étude du projet, sous la direction de l'ingénieur en chef Abel Draux. Le 26 avril 1901, le projet de l'ingénieur Virard reçoit l'approbation ministérielle. Le 25 juillet suivant, la Société française de constructions mécaniques (Anciens Établissements Cail), dont les usines étaient à Denain (Nord), est déclarée adjudicataire des travaux.
Le projet retenu consistait en un viaduc semi-métallique, composé de trois travées en acier et fer laminés, à poutres droites et à treillis triple, reposant sur deux piles géantes en moellons de granit. Il 
était prévu un tablier unique, mais la survenue d'un glissement de terrain lors de la construction de la culée de rive gauche (côté nord) nécessita le remplacement des deux arches en maçonnerie de ladite culée par une travée métallique secondaire plus légère. Les travaux furent entrepris le 28 octobre 1901. Bâties à chaux et à sable, les piles sont l'œuvre de la prestigieuse "corporation" des maçons itinérants de la Creuse. Elles offrent la particularité d'être évidées, ce qui a permis leur édification sans le concours d'échafaudages, les ouvriers ayant pu être acheminés à pied d'œuvre par l'intérieur, grâce à un monte-charge.
Le montage du tablier s'est effectué au moyen de deux "cages" volantes, une au départ de chaque rive. Épousant extérieurement le profil de l'ouvrage terminé, ces "cages" (on dirait plutôt aujourd'hui des équipages mobiles) renfermaient tous les outils nécessaires au bardage, à la pose et au rivetage des différentes pièces de l'ossature du tablier. Les travées latérales de 116 mètres ont été montées, pour la première moitié, sur un échafaudage géant (constitué d'un platelage reposant sur deux piles provisoires en bois) et, pour la seconde, en porte-à-faux. La travée centrale de 144 mètres a été entièrement mise en place en encorbellement, les deux moitiés du tablier progressant au-dessus du vide à partir de chaque pile. La jonction finale (ou clavage) s'est opérée le 18 mai 1909. Le 11 septembre, le viaduc était totalement achevé.
Du 14 au 16 septembre 1909, l'ouvrage d'art subit avec succès les épreuves de résistance, au moyen d'un train chargé de ballast dont le poids en configuration complète dépassait les 1075 tonnes. Inauguré le 10 octobre 1909, sous la présidence de René Viviani, ministre du Travail, le Le viaduc des Fades était, au moment de son inauguration le 10 octobre 1909, le plus haut pont du monde, toutes catégories confondues. Il prend encore rang actuellement (en 2011) à la quatorzième place sur la liste des plus hauts viaducs ferroviaires mondiaux.
Ce qui fait du viaduc des Fades un ouvrage d'art exceptionnel, ce sont ses deux piles monumentales en moellons d'appareil. Culminant à plus de 92 mètres, elles restent les plus hautes piles de pont en maçonnerie traditionnelle jamais construites. Elles possèdent une base plus vaste qu'un court de tennis.
Alors que d'autres viaducs jouent sur l'élégance des courbes, celui des Fades voit triompher la rigueur de la poutre droite. Son gigantesque tablier constitue un des plus beaux spécimens de ce type. Sa hauteur est comparable à celle d'un bâtiment de quatre étages.
viaduc des Fades était mis en service dix jours plus tard.
Huit cents ouvriers y travaillèrent pendant huit ans. Cet ouvrage fût pendant longtemps le plus grand d'Europe. 132,53 m. plus bas, la SIOULE s'étend pour former le grand lac de retenue des Fades-Besserve. longueur totale 500 m. hauteur des piles 92,33 m. hauteur au-dessus de la rivière 132,53 m. portée entre les piles 144 m. longueur du tablier métallique 375,40 m. Depuis quelques années le Viaduc est illuminé toutes les nuits.
(Beaucoup d'informations, mais voilà, j'ai oublié de noté le site ou j'avais copier tous les détails de ce magnifique ouvrage)
A l’intersection suivante nous laissons sur la gauche le chemin et le balisage vert pour continuer notre virage sur la droite. Le balisage se trouve sur des poteaux en ciment. Peinture brillante sur poteau éclatant avec le soleil on ne voit pas grand-chose. Ce n’est qu’un mauvais moment à une mauvaise heure. Après un virage sur la gauche, nous trouvons un sentier dans les broussailles et une pancarte en bois dans les arbres difficilement lisible : Point de vue-le Barrage, nous pouvons nous y rendre. Revenons sur nos pas et sortons de cet éperon. Continuons notre itinéraire on ne continue pas de descendre nous prenons le chemin de gauche avec la croix verte (la première marque que nous voyons, la jaune est un peut plus loin). En haut d’une belle monté nous arrivons à une esplanade sur un promontoire nous trouvons un chemin sur la droite nous menant à un point de vue (noté sur la carte.) ou nous avons une magnifique vue sur le barrage, le viaduc et toute la vallée.
Barrage & Viaduc
Sur son parcours entre Miremont et Châteauneuf-les-Bains, la Sioule alimente le plan d'eau des Fades-Besserve. Ce plan d'eau de 70 millions de m³ d'eau s'est formé à la suite de la construction en 1968 du barrage des Fades (hauteur 68 m). Ce barrage ainsi que celui de Queuille (construit entre 1901 et 1904) qui se situe juste après permettent la production d'électricité. Légèrement en aval du barrage des Fades, la Sioule est dominée par le viaduc ferroviaire des Fades. (Wikipédia)
Je n’ai pas trouvé beaucoup de choses sur ce barrage poids


Propriétaire
Electricité de France         
Utilisation
Centrale hydroélectrique En service
Date de construction
1966 – 1968
Type de construction
Barrage en remblai
Superficie de la retenue
385 hectares
Volume de la retenue
69 000 000 m3
Hauteur
68 m
Largeur de la crête
8 m
Largeur de la base
185 m
Longueur de la crête
235 m
Volume du barrage
730 000 m3
Le panneau d'information que l'on trouve à Queuille est beaucoup plus romantique il nous dit qu'en 1900 il est décidé de réaliser un barrage pour alimenter en électricité l'agglomération clermontoise en énergie électrique. Les lourds matériaux furent transportés par des chars à bœufs ou des attelages de six chevaux voir de douze.  On est loin de s'imaginer une myriade de camions et d'énormes tractopelles remuent des tonnes de matériaux.
Sortons de l’éperon rocheux continuons de grimper, le chemin tourne sur la droite. Laissons un chemin sur la gauche continuons tout droit et nous arrivons à une route gravillonnée passons devant des stabulations (étables modernes dont les vaches reste à longueur d’année « recluse » alors que des prairies avec de la bonne herbes fraiches se trouve partout autour) Mauvaise langue.... 'Pauve Parisien' nous sommes qu'en avril, malgre le beau temps c’est peut être un peu tôt pour sortir les bêtes, l'herbe n'est certainement pas assez haute. Enfin j’espère que c’est la seule raison.  nous sommes au village de Queuillette. A l’angle de la ferme la route forme un T et nous prenons la branche de gauche nous suivons la route et contournons les stabulles. Ils y en a au moins quatre. Nous prenons le chemin sur la droite, le balisage est bien fait. Puis encore à droite nous sommes à l’intersection de tout à l’heure. Remarquez comme le balisage est bien fait nous ne voyons pas le balisage du chemin allée. Prenons le chemin de droite qui nous ramène rapidement à Queuille par un chemin facile. Nous arrivons à un carrefour de route au lieu dit le Marcha coupon le chemin de Fongoudy (goudronnée) pour prendre le chemin de l’étang (goudronné) nous continuons par la rue du Lavoir passons devant un lavoir et arrivons à l’avenue du Méandre rue principale de Queuille que nous prenons sur la gauche. Nous passons devant une fontaine qui n’est la que pour la déco c’est une pompe à godet relier à rien du tout. Remontons jusqu'à l’église et notre parking.


 



Mes autres PetitesPromenades

Auvergne : Chateauneuf les Bains presqu'ile de Saint Cyrgue


Ce mois ci je vous propose un petit tour en Auvergne. Dans le Puy de Dôme. Une région que j'aime bien avec ses volcans caractéristiques. Nous y avons passé des vacances et y revenons annuellement pour des raisons de santé. Trois petites semaines ou, n'ayant pas de soins, j'ai le loisir de vadrouiller, dans cet espace naturelle de 80 puys situés sur le "plateau" du Puy de Dôme et, marcher de vallées en vallées, à la rencontre de nouvelles aventures. 

Cette année quatre promenades. je n'ai pas choisi la chaine des Puys, mais plutôt des balades moins connus dans les Combrailles. L'année prochaine quatre promenades dans le parc des volcans, mais en attendant bonne rando.

Km       Temps      Arret       v/d        v/g     dénivelé      maxi
15,6        3h10        28mn      5,1        4,4           487+       629
Le code mobile de cette randonnée est b307974
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

 En regardant la carte j'étais impatient de découvrir cette presqu'ile qui ressemblait au méandre de Queuille.
Village de Boulons
Départ Les bordas Village au bord de la Sioule, hameau ou quartier de Châteauneuf les Bains, que je n'ai pas vue en de bonne condition, des travaux routiers ont transformés les façades et les voitures en stationnements en fantôme poussiéreux. Cette ville thermale ma semblé triste et à l'abandon, mais, je n'ai peut être pas été assez loin dans la visite de ce long village. C'est également un centre de production d'eau minérale naturellement gazeuse la châteauneuf.
Je n'ai pas eu de problème pour me garer, de grands parkings en bordure de la Sioule sont aménagés. Promenade balisage jaune (pas de panneau en cette ville)
Lors de la précédente promenade dans cette ville,(http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/08/auvergne-gorge-de-la-sioule-meandre-de.html) nous remontions la Sioule, aujourd'hui faisons le 
contraire descendons celle-ci.
Nous suivons la D 231 sur la gauche, et nous suivons le balisage jaune. Il n'y a pas beaucoup de trottoirs, nous marchons sur le talus. Nous arrivons au pont. Ici ce pose la question : Faut il aller dans la presque ile ?
Comme j'ai fais le circuit, je vais décrire ce parcours.
Laissons le pont sur la droite et continuons tout droit passons devant une belle maison 'ancien moulin' et gîte de France. Puis montons sur le pic Alibert et notre dame de l'espérance 1892. Alibert était un amateur d'astronomie qui aimait gravir cet endroit pour observer les étoiles. Cela lui rappelait ses nuits d'observation en Sibérie ou il découvrit des mines de graphites.  Nous redescendons par les escaliers de droite et suivons la route 
vers le centre de l'ile. Puis nous prenons le chemin de droite qui monte. Une pancarte nous indique une église et un point de vue panoramique. Fléchage mauve. Grimpons. Nous arrivons à la chapelle : Quatre pierres dans la broussaille recouverte de lierre.  [L'Eglise était un petit édifice à nef unique du 10ème siècle. D'accès difficile naturellement défensif tendrait à prouver que e site était occupé à l'époque mérovingienne. Elle fut abandonné au 18ème siècle.  Nous  redescendons. Pas de vue panoramique. En bas petit détour part la fontaine, un filet d'eau qui ne me donne pas envie. 
Chateauneuf les bains
 L'eau doit être très érugineuse avec la couleur rouille, du calcaire, se déposant sur le bord du tuyau. [Les sources d'eau minérale chaude furent exploitées dès l'époque gallo-romaine.] Revenons sur nos pas et continuons le tour de la presqu’île. D'après le panneau d'affichage c'est ce qui a rendu célèbre les sources de Chateauneuf. Difficile de faire des photos il y a trop d'arbres pour un bon rendu du méandre. [Le méandres est du à l’existence de failles qui ont fracturé la masse de granite et guidé les eaux de la Sioule]  Nous traversons l'ancien quartier de résidence des thermes... à l'abandon. [ La Source de Saint Cyr  et les eaux de Chateauneuf : plusieurs sources sont commercialisées ; Petit Moulin, Claires- Fontaines, Petit Rocher, cette dernière est recommandée pour l'anémies. (panneaux explicatif Chateauneuf à la belle époque.] Remontons par la route vers le pic Alibert. Une fois sur la départementale prendre à gauche jusqu'au pont et cette fois ci traversons la Sioule sur des planches qui mériteraient un remplacement, faut dire que je n'avais pas vu la voie piéton juste à coté, je suis passé par la partie routière. Ce n'est pas rassurant. Nous traversons un camping, un camping rustique comme je l'ai aime dans mes RLPLP, mais je me demande si les sanitaires sont hors air ? Saugrenu comme question!!! Dans
Chapelle ?
L'une des Sources
mes randos le long de la Seine, donc au nord de la Loire énormément de camping ont des sanitaires non chauffés et une partie haute ouvert à tout les vents, en mai et juin pour prendre sa douche, on ce caille, comme disait les Perdicinae.   Nous montons dans le village du Got, passons quelques maisons et redescendons de l'autre coté, nous nous rapprochons de la Sioule. C'est bien balisé. Nous avons une belle route nous faisant faire le tour de ce méandre. Il y a beaucoup d'arbre et j'essaie avec une vue panoramique de rendre ce que l’œil réussi à 
 
Quartier des thermes
[Village de Méritis, Le panneau d'information nous dit qu'autour de 1830 le village est au bout du monde. Mais cela à t'il changé ?  Il n'y a plus de mulet, n'y de bac, quand au chemin de fer...... (En 1830 le train arrivait à Saint Gervais en passant par le viaduc de Fade. Ligne Clermont Ferrant-Montluçon fermé en 2007) Au Méritis tout est fait pour le séjour des curistes : Hotel, tennis,terrasse, plage, salle de bal. Station Thermale ou l'on croise des gens de renom, hommes politiques, grands couturiers, artistes] (Tous les commentaires proviennent de panneaux d'informations disposés dans la presqu'ile) 
interpréter.  Malheureusement nous sommes trop bas pour en apprécier la circonvolution. Nous traversons un ruisseau sur un petit pont de pierre, nous prenons à gauche (nous ne remontons pas le ruisseau. Puis un autre ruisseau mais cette fois ci à guet, un peut plus loin nous rencontrons des  ruines dans la broussaille, et un balisage bleu. Nous ne prenons pas le chemin au file de l'eau qui descend
 
    sur la gauche nous suivons le chemin qui monte : balisage jaune et bleu, nous avons de beau rochers sur la droite. Nous trouvons si nous regardons bien derrière un buis un grotte. En montant le vue commence à ce dégager sur Chateauneuf. Nous trouvons dans l'un des angles en épingles à cheveux du sentier, un petit chemin pas facile et peut être glissant par temps humide nous amenant à un éperon rocheux, mais cela ne nous donne aucune vue correcte sur la presqu'île, par contre nous avons une vue magnifique sur la vallée et Chateauneuf. Le sentier continue, mais je fais demi tour. De retour sur le chemin nous continuons de grimper. Le balisage jaune à disparu nous n'avons que du bleu. Même au détour des lacets dont seule les sentiers de montagne savent 
le faire nous avons un point de vue sur la presqu'ile, mais il y a trop d'arbres pour se rendre conte de ce que l'on pourrait voir. Dommage.  Nous retrouvons une trace jaune, mais sur ce chemin il est difficile de ce tromper, d'un coté le vide (la foret dans la pente) de l'autre le rocher, et notre chemin aussi large pour qu'un 4x4 monte, monte, monte. Nous arrivons dans le village de Montmartin les premières maisons sont fermées. De chemin nous passons à route, nous passons par la route de droite, nous poursuivons en 

évitant le village de La Croix aussi grand que le précédent. Comme les maisons sont espacées les unes des autres, j'ai cru que ce n'était qu'un village. Dans celui-ci nous trouvons des puits à chaque carrefour ou presque et les habitants ont essayés 

d'agrémentés leur espaces avec de vieilles machines agricoles. Nous suivons les traces jaune en traversant le village, nous avons perdu le bleu. je quitte   la route et le balisage jaune au niveau des deux bâtisses face à face pour prendre à droite le long des maisons. Le chemin descend et passe devant des stabules couleur marron. On s'enfonce en descendant de nouveau dans la prairie. À la patte d'oie nous quittons le balisage bleu pour prendre sur la gauche un chemin au dessus d'une  source. A la seconde patte d'oie, un beau chemin qui monte dans les chênes. Nous prenons le chemin de droite c'est celui qui en 2014 semble le moins utilisé. Je suis sortie du balisage en espérant pouvoir photographier de haut la presqu'île, comme il est possible de la faire à Queuille. Maintenant j'espère que ce chemin ne va pas se terminer en cul de sac. Nous suivons le ruisseau qui descend. Nous sommes dans  une très belle hêtraie le chemin est large et peu dangereux. Ce qui me rassure, ce sont les traces de sabots imprimées dans la terre, ce chemin boucle avec un autre, abouti à un village et n'est pas dangereux, puisque des cavaliers l'utilisent. Nous arrivons à un carrefour, sur la carte je n'ai pas de chemin en face. Celui de droite n’aboutit pas. Je prends comme prévu celui de gauche (de toute façon il y a trop d'arbres pour voir correctement la presqu'ile, je ne tente pas le chemin d'en face. Prenons à gauche, je vois toujours mes traces de chevaux nous montons. Nous débouchons entre lisière de bois et des prairies. Nous arrivons à une intersection de chemin et nous prenons en face nous retrouvons le balisage jaune. Puis nous laissons 
le chemin de gauche pour prendre celui de droite, il descend, nous avons une belle vue sur la vallée. Sur la gauche on trouve une stabule. Nous laissons sur la gauche le chemin menant à celle-ci continuons celui de droite, puis nous laissons celui qui poursuit tout droit pour prendre sur la gauche le chemin qui descend. C'est bien balisé en jaune. Nous entrons dans un sous bois nous avons un balisage jaune et vert. Un peu plus bas nous rencontrons des flèches bleu. Nous descendons le long d'un petit ruisseau qui coule légèrement en avril. A la croisée des chemins et des ruisseaux  (des Coutariaux) nous prenons à droite les balisages jaune et bleu.
  Laissons sur la gauche le balisage vert, nous passons sur deux petits pont en bois, nous grimpons à nouveau. Nous apercevons quelques maisons sur la gauche, nous traversons la départementale 227, nous ne prenons pas sur la droite le chemin empierré menant au 'monts' mais celui de gauche très herbeux, le long de la barrière de sécurité, nous nous éloignons de la route entre champs et prairie. On laisse sur la gauche un chemin menant à une grange, continuons à droite sur le chemin herbeux entre deux clôtures.  A la patte d'oie à gauche. Nous débouchons sur la route que l'on prend à droite menant au village des Boulons. A la croix  ouvragée, laissons la route à droite continuons de descendre. Au porte du petit château nous prenons à 

               
droite vers la chapelle saint valentin. Nous n'apercevrons pas le château de la fin du 18 début 19ème nous descendons trop fortement et le mur d'enceinte ainsi que les arbres nous empêchent de le voir. Du coup nous n'en n'avons qu'un aperçu de loin et même de très loin. Nous laissons le chemin de droite et arrivons à la chapelle. Nous continuons de descendre cet éperon rocheux. En bas nous coupons sans visibilité la département 227 et arrivons dans le village peut être  de Lavaux, traversons le village, nous avons toujours notre balisage jaune. Puis nous traversons le pont sur la Sioule au niveau du monument au mort et nous retrouvons notre parking à droite ou à gauche de ce lieu.




                        
 




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