Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b307120
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
km Temps Arret V/d V/g Dénivelé
31 5h42 1h14
5,4 4,5 294 +
La commune possède le château de Rouville construit par Hector de Boissy, Panetier du roi de France Charles VIII, sur les ruines d'un ancien château-fort. Il conserve des éléments de ce château
L'église Saint Martin de Malesherbes a été édifiée entre le XIIème et le XVème siècle, elle conserve une pierre tombale du XIIIème siècle.]
Jolie toboggan |
Je redescends, retrouve mon balisage et espère que de l’autre
coté ce sera mieux. Mais non, c’est même pire. De ce coté c’est la base de loisir,
clôturée, grillagée et les activités sont payantes. Pour moi 140
hectares de perdu. Heureusement qu’ils ont laissé et entretenu le clochetons de
la roche aux amis. En
poursuivant nous passons devant l’observatoire
astronomique, je n’y connais rien, mais partout les astrologues recherches les
points les plus hauts et dégagés, Ici, les dômes sont dans un creux entourés d’arbres. A
moins que cela ne les protège de la lumière des villes et villages.
J’ai hâte de sortir de ce lieu pour « bobo », la simple nature me suffis. Pas besoin de tous ça. Qu’elle idée de mettre "çA", dans cet espace naturelle exceptionnelle aussi loin de Fontainebleau, alors que quantité d’hectares de champs se trouve autour.
J’ai hâte de sortir de ce lieu pour « bobo », la simple nature me suffis. Pas besoin de tous ça. Qu’elle idée de mettre "çA", dans cet espace naturelle exceptionnelle aussi loin de Fontainebleau, alors que quantité d’hectares de champs se trouve autour.

Le clocheton de la Roche aux Amis
M. de Malesherbes (1721-1794) ministre de Louis XVI fait aménager les grottes sous cette terrasse afin d'y réunir amis et invités lors de parties de chasse.
La ville de Malesherbes détruit son grenier à sel du 17ème pour en faire une mairie-école. Charles Combe lointain héritier de l'ancien ministre rachète le clocheton qui le surmonte et l'installe sur la platière. Il fait inscrire à son pourtour : Tu abritas nos jeunes ans, protège nos vieux jours-1893
La ville de Malesherbes détruit son grenier à sel du 17ème pour en faire une mairie-école. Charles Combe lointain héritier de l'ancien ministre rachète le clocheton qui le surmonte et l'installe sur la platière. Il fait inscrire à son pourtour : Tu abritas nos jeunes ans, protège nos vieux jours-1893
En 1970, lors des soubresauts qui entourent l'implantation de la base, le clocheton est incendié et détruit à 70%
En 2000, le syndicat mixte de la base décide sa reconstruction et en charge une entreprise local. En 2001 il est réinstallé sur la roche aux amis. (extraie de l'information se trouvant aux pieds des grottes)
Revenons sur nos pas car nous ne prenons pas la route pour nous rendre dans Boulancourt continuons tout droit prenons le premier chemin à droite et faisons le tour du stade. Le balisage n’est pas très visible sur un poteau que le grillage cache Nous descendons, passons devant l’église et son clocher tors comme celui de sa grande sœur de Puiseaux.
En coupant la route remarquez la croix incrusté dans le mur .
Autrefois, il y avait cinq croix, en bois, en fer ou en pierre. Elles marquaient les stations des processions qui démarraient de la croix Berteau. Celle-ci se situait à l'emplacement des tours actuelles. Toutes ont disparu. Celle que l'on voit de nos jours était au milieu de l'ancien cimetière et a été placée contre un mur, rue Grande près de l'église.
La croix au centre du village n pierre et ciment.
Nous passons dans un
sentier intra muro et arrivons après un virage sur la Départementale. Nous
arrivons au lavoir sur l’essonne le GR fait un brusque
virage à gauche. Le soleil dans les yeux j’ai cru voir au loin une porte
monumentale et me suit dit : Il y a peut être des remparts qui entourait la ville (je ne connaissais pas
les explications de la copie de la porte moyenâgeuse) je quitte le GR et continue cette route royale, et arrive sur un
magnifique château.
À la fin du XIIIe siècle, Pierre-de-Beaumont fait édifier, avec son frère Dreux, un château fort. En 1290, le fils de Dreux, Jehan de Beaumont, seigneur d'Augerville et maître du palais royal sous les rois Philippe IV le Bel et Louis X le Hutin, hérite du château d'Augerville, qu'il agrandit.
Au XVe siècle, faute d'entretien et du fait des pillages, le château d'Augerville devient une ruine que rachète Jacques Cœur qui, en tant que grand argentier du roi Charles VII, a coutume de racheter les fiefs abandonnés après la guerre de Cent Ans pour les remembrer à sa guise.
Jacques II Cœur meurt en 1505, sans descendance, sa sœur Marie Cœur hérite donc du château et fief d'Augerville. Cette dernière fait rénover l'église, le village et le château d'Augerville grâce à la création d'un marché et de deux foires à Augerville-la-Rivière par le roi Louis XII, dès 1508. Grâce à cette source de revenus, le village et le château d'Augerville sont ceints de nouveaux remparts En 1588, Nicolas II Luillier, seigneur d'Augerville, hérite du fief et château de son père et aussi de la charge de conseiller du roi, qui lui fait préférer Paris et délaisser Augerville-la-Rivière. Nicolas II Luillier lègue en 1618 le château en ruines à sa fille unique, Louise Luillier.
Il n’est pas bon d’être propriétaire de ce château. Ils se succèdent les uns derrières les autres, puis laissent plutôt le château à l’abandon. Le comte de Pange remet en état les façades, les jardins et les terres, si bien qu'il revend le château et domaine d'Augerville-la-Rivière à l'industriel parisien Félix Mouton, roi du fil de fer, à l'automne 1919. Ce dernier refait les appartements à neuf, transforme les écuries en garages et agrémente le parc d'un tennis.
À l'été 1926, il vend le château et domaine d'Augerville-la-Rivière à Mme Belmont, milliardaire américaine. Celle-ci remplace l'escalier de fer forgé, transfère les cuisines au sous-sol, transforme les douves en étang, métamorphose les garages en un appartement, ajoute un mur crénelé autour du château pour rappeler l'Hôtel de Cluny à Paris et aménage un bowling, l'un des premiers de France, dans l'un des pavillons du parc.
Madame Belmont meurt en 1933 et lègue le château à sa fille, Consuelo Vanderbilt, épouse de Jacques Balsan., qui vend le tout à la société suisse Balmagera, à l'hiver 1937.
L'actionnaire majoritaire de Balmagera, le docteur Kopp, chimiste allemand, habite dès cette époque les communs, le château lui-même étant inoccupé. Durant la Seconde Guerre mondiale, il devient colonel dans la Wehrmacht et reste au château d'Augerville-la-Rivière. Après la Libération, jouissant au village d'une certaine popularité. Le docteur Kopp transforme la ferme du parc en haras, aménage un laboratoire dans les communs et signe une promesse de vente à René Sanselme, directeur de plusieurs théâtres parisiens, en décembre 1958. Cependant, l'affaire tourne mal et ses rebondissements font la une de la presse. Le docteur Kopp sera finalement arrêté en 1962 pour détention illégale d'armes de guerre et trafic d'héroïne, tandis que le château et le domaine d'Augerville-la-Rivière sont mis sous séquestre.
En septembre 1976, le mobilier est vendu aux enchères et le château et domaine adjugés à monsieur Dupont, qui a l'intention d'y créer un parc de loisirs. La municipalité d'Augerville-la-Rivière ayant obtenu le classement de la façade du château et des communs à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques, le parc de loisirs ne verra pas le jour. À défaut, monsieur Dupont aménage une boîte de nuit dans une aile des communs. C'est là que dans la nuit du 6 au 7 janvier 1986, un incendie criminel détruit la discothèque. À cette date, le château est inhabitable, car sa toiture à refaire laisse passer l'eau à maints endroits.
Bien sur nous n’avons pas le droit d'entrée, surtout avec
mon énorme sac à dos et chaussure de marche, c’est pas tout a fait la tenue de
golfeur. Du porche, comme un voleur, je fais une photo du château. Je reviens
sur mes pas et reprend le GR 32 au lavoir. Est-ce la Noue ou L'Essonne que nous remontons? Je ne sais plus dans mon topo enregistré je parle de la Noue sur la carte, je retrouve le nom. C'est un ru en arc de cercle entre Boulancourt et Augerville relier à ses deux bouts à l'Essonne. Nous suivons (remontons) l’essonne.
Nous arrivons sur un chemin plus ou moins carrossable et longeons une grande
prairie bordée de la Noue d'un coté, et le mur du parc du château de l'autre. Nous avons fait un brusque virage à gauche et quitter la rivière Essonne. Nous trouvons quelques
rocher comme à Fontainebleau. Laissons
le chemin sur la gauche pour prendre à droite le long du mur que nous allons
suivre un bon moment. Nous approchant de de la D 948. Nous ne la prendrons pas et
suivons toujours le mur sur la droite nous sommes dans une plaine. Nous
débouchons sur la D 831 pour
l’abandonner au niveau du cimetière et arrivons à
Orville, d’un pigeonnier. Je
bougonne ce grand détour sans grand intérêt uniquement pour contourner le
golf, il est ou le droit de passage sur les rivières de France. Malheureusement
pour nous « chemineux » [Je préfaire le mot peut être inventé de chemineux qui s'adapte mieux à ce que je fais : cheminer sur les chemins et sentier. A chemineau désignant les ouvriers terrassiers itinérants 1896 (G. Delesalle, Dict. arg.-fr. et fr.-arg., p. 66 et Nouv. Lar. ill. 1899); Ouvrier qui parcourt les campagnes. et surtout horreur de la dérive : chemineau égale Vagabond, rôdeur, qui vit de petites besognes, d’aumônes ou de larcins. wikipédia.] Que nous dit le code urbain. Les articles du code L. 215-2 ne nous
autorise pas à ce droit de passage. Lorsque
l’on regarde le plan cadastrale on s’aperçoit que l’Essonne passe au milieu des
terres du château et seul les agents assermentés peuvent suivre le
le mot Vuastinois ou Gastinois
vient du mot de Vastum large & estendu, parce que du temps des Romains,
& de Jules Cesar qui se plaisoit au Gastinois, il avoit une bien plus
longue & vaste estendüe qu'il n'a pas a present, il estoit presque tout
couvert de bois & pasturages, qui aboutissoient a la Champagne d'un costé,
& de l'autre au païs du Mans, traversant toute la Beausse: ou bien parce
que le païs estoit vaste & sablonneux..."
(J'ai encore oublié de noter les liens rattachant ses textes documentaires à leur auteur(s) je m'en excuse par avance avant que l'on m'en face la remarque)
Nous arrivons à Briarres sur Essonne, on pourrait appeler
cela la promenade de l’eau. Briarres fin de notre chemin sur le GR 32. Nous
passons l’église remontons la D 27 et prenons le chemin de la chapelle sur la
droite qui deviendra rue dans pas longtemps vue les maisons en constructions et
les terrains à vendre. En bout, à la
dernière maison, nous trouvons encore sur la gauche un chemin partant tout droit dans les champs. Nous grimpons
dans un bois de broussailles et tournons tout de suite à droite après avoir
traversé ceux-ci. nous traversons de nouveau un bois et en sortons
descendons vers une ancienne ligne de chemin de fer. Ce n’était pas mon
itinéraire, mais le socle de la charrue à supprimé le chemin que nous avons sur
la carte. Tout en descendant nous apercevons des bâtiments blancs dans le
vallon en face de nous. Avec mes petites jumelles, je me suis rendu compte que c’était
les tours de la porte de Boulancourt et n’ont pas des immeubles comme je le croyait. Nous longeons l'ancienne ligne SNCF sur la gauche, jusqu'à
la gare. (quelques maisons) prenons la D 131 sur la droite, puis le premier
chemin à gauche, ensuite un
zig-zag à droite encore à gauche encore à droite et enfin à
gauche. Nous sommes dans les champs et de prendre ses chemins en changeant de
direction permet de se rendre compte que nous avançons. Nous avons malgré tout
un long chemin presque rectiligne jusqu'à une route goudronnée que nous prenons
tout droit arrivée dans le bois je loupe le chemin partant sur la droite et
rejoignant le pont. Si vous êtes comme moi ; Après le virage dans la descente ne
pas louper le second chemin ramenant au pont.
Faut dire que là, il est difficile
de le louper le pont, peut large mais très haut. Poursuivons le
chemin vers le second pont et prenons de suite à droite pour longer la ligne
SNCF. Nous contournons le poste électrique traversons les voies et suivons la
route goudronnées sur la gauche toujours en longeant les voies. (Je ne devais
pas passer par la, mais je me suis trouvé bloqué par une propriété privée et
les clôtures d’un gymnase.) Coupons la D
949, puis la D2152, nous prenons la rue de la gare et retrouvons notre parking.

Mon itinéraire me faisait traverser la zone industrielle de Malesherbes, et, dans le dépôt d'une menuiserie j'ai remarqué un clocheton identique à celui de Buthier
Les autres étapes
Etape :1
http://randosacaudos.blogspot.fr/2015/04/de-la-seine-la-loire-gr-32- presentation_3.html?view=magazine
Etape : 4
Etape : 5
Etape : 6
Etape : 7
Etape : 8
Etape : 9
Etape :10

Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire