vendredi 2 mars 2018

GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. Etape 12 - Chalo saint Mars - Richarville

GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. 

GR 111 & 111b Chalo saint Mars - Richarville : Etape 12

(trace bleu, GR 111 - Traces rouge, les "tiroirs", Traces de couleur "le retour" ) Pour la compréhension de la carte il n'y figure que les boucles du retour que l'on pourrait appeler promenade en Essonne.


GR 111E : Deux étapes en foret de Fontainebleau (sncf) pour rejoindre Mily la Foret
GR 111A : Puiselet le Marais rejoint La Ferté Alais (sncf)
GR 111B : Chalo St Mars rejoint Etampes (sncf)
GR 111D : Richarville rejoint Villeconin
GR111C : Montcouronne rejoint Saint Chéron (sncf)
Comme je suis un grand malade "de la marche" et que l'on emprunte de long parcours au GR 655  (Saint Jacques de Compostelle). Je me suis dit  ; pourquoi ne pas rentrer avec ce dernier, puis GR 1 & 11. Mais il y avait du déjà fait. Je suis revenu sur cette idée en remarquant que nous coupions de nombreux balisages locaux bien tracés et entretenus. Par chance, ils figurent sur la carte, j'ai donc tracé un long parcours sur le 655 pour rejoindre le centre de cet arc de cercle constitué par le GR 111. Je reviens sur Fontainebleau en butinant de ci de là avec de très bonne surprises. Bonne rando  

Carte : GR 111 & 111c Chalo saint Mars - La Foret le Roi - Richarville : Etape 12



Carte IGN    Trace GPS  & Topo sans Commentaires  Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b311175
 
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Avril 2016


Km   temps   Arret     V/d     V/g      Dénivelé
34    5 :55     0 :18       5,7      5,4         237+

Propriété des Vigny
Départ chalo Saint Mars. Nous trouvons un beau parking face au château D21 pourquoi beau parce qu’il est en bordure de la marette et que dans ce petit village il on sut créer un espace pour les enfants … petits et plus grands.
Remontons la rue du docteur Solon jusqu'à la rencontre du GR 111 au niveau de la route menant au stade et à la ferme du Tronchet que l’on prend à droite, laissons la route du GR 111b sur la droite en direction du stade et d’Etampes. Continuons tout droit vers la ferme et le manoir du Tronchet passons devant la chapelle (sur la droite nous avons la seconde branche du GR 111B.)  [Le manoir de Tronchet  appartenant à la famille de Vigny y reçu le poète durant son enfance.] Continuons le GR dans les champs, puis nous traversons un bois. Notre chemin devient parallèle à la D 82. Nous rencontrons le GRP de Pays de l’Hurepoix, notre chemin est commun. Poursuivons notre GR 111 dans une très longue vallée ressemblant plus à une tranchée qu’à un vallon, bordée par d’anciennes petits maisons styles cabanes à outils. A la sortie du vallon le GRP nous quitte et nous débouchons sur la route D 113 que nous prenons à droite, rapidement nous 
 prenons à gauche un chemin nous conduisant à la ferme du Petit Plessis, prenons la route goudronnée sur la droite, puis le chemin sur la gauche débouchant également sur une route que nous prenons à droite. Nous contournons le village du Plessis Saint Benoist (C'est dommage de contourner ce village il y a une belle église fortifiée malheureusement je ne l'ai vu que bien longtemps après.)   coupons une route débouchons sur la D 113 et prenons tout de suite la route sur la gauche. Coupons la D 191 poursuivons en face le GR 111. Dans les champs le GR tourne à angle droit sur notre droite. Ce virage est à ne pas louper. Nous passons devant un cimetière et débouchons sur une route que nous prenons à gauche puis le chemin sur la droite contournant un bois. Nous débouchons sur une route. Laissons le GR 111 partant sur la gauche et prenons sur la droite le GR 111c.  Traversons le village de Richarville. Un petit gauche – droite – gauche par les rues de Corbeuse, du Bréau, du Plessis, des écoles, nous débouchons rue du Marteau et prenons sur la gauche la sente intra muros. Nous débouchons rue Villevert que nous prenons à droite , puis à gauche l’impasse des accacias, nous sortons du village et prenons à droite un chemin dans les champs  restons en lisière d’un bois, nous coupons un balisage d’une rando local retrouvons le GR de L’hurepoix . Le GR tourne   
à droite il est commun au GRP, nous arrivons au village de La Foret le Roi que nous traversons  juste avant de couper la D 836 le GR de Pays nous quitte. Continuons par la route à notre gauche, (route de plateau) nous la quittons après avoir passé la station d’épuration et le virage sur la droite. Nous prenons le chemin descendant dans la vallée. Nous quittons le 111c au lieux dit Butte Bondas ou nous trouvons un sentier balisé en jaune PR32 sur notre droite nous grimpons les buttes Bondas. Nous poursuivons le balisage vers le hameau du Rotoir. Prenons le balisage jaune lorsqu’il tourne à droite c’est un raccourcie évitant le village. (Si vous le loupé, ce n’est pas trop grave une branche balisé passe par ce dernier.) 
Nous rencontrons un chemin que nous prenons à droite puis le chemin de gauche, nous débouchons sur la D 82 que nous prenons à droite à la croix nous coupons cette dernière et poursuivons par un chemin parallèle à la route. Nous quittons le balisage jaune au poteau 7 du PR 32 Entrons dans Boissy le sec. Nous serpentons dans les rues du village en entrant par la rue des champs puis à droite la rue du Closeau et à gauche de Vaucouleur. Prenons la rue des Chicards pour voir le château. Revenons sur nos pas et reprenons la rue de Vaucouleur sur la droite ( On pourrait poursuivre par la D82 et le GR 11) nous conduisant dans les 
champs ou nous rencontrons le GR 11 que nous suivons. Nous l’abandonnons juste avant une grosse ferme (Maison Lange) et prenons le chemin sur notre droite débouchons sur la D 201 que nous prenons à droite traversons le village du Chesnay. Nous poursuivons par la départementale sur la gauche. Départementale à forte circulation nous arrivons à un immense carrefour que nous traversons prenons la petite route longeant en son début la D191. Nous sommes sur la D 821 à la fourche prenons la branche de gauche et nous arrivons au château de Champrond, nous 

rencontrons le GR 111b, laissons la branche de gauche et continuons tout droit par la belle allée bordée de beaux arbres (cèdre et autres) Le chemin débouche sur le village de St Hilaire nous poursuivons la branche du GR 111b. Fatigué je n’ai pas pris cette branche qui remonte sur le plateau et nous fait retrouver la ferme du Tronchet, j’ai pris le GR 111b sur la gauche me faisant traverser la Louette je retrouve la D 82. Au lieu de suivre le GR et la route remontant sur le plateau (route de départ de l’étape 11) J’ai suivi la départementale dans la vallée jusqu’au parking. 

     
Un lapin dans les champs c'est rare

Point Géodésique ?




Que j'aimerais que le Conseille  Générale de Seine & Marne matérialise ses chemins (PR) et les autres comme le département de l'Essonne. On à l'air pauvre de notre coté. Comme le disait mes collègues de travail ; Toi le betteravier... Péjoratif, certainement et je le prenais mal. j'avais l'impression d'être grossier, non dégrossi, brute de coffrage. Mais lorsque l'on voit la différence dans l'information... On est vraiment des betteraviers.  

 Les autres étapes de ce parcours Cliquez sur la trace le nom de la promenade et l'adresse de la page de l'article s'affichent.
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Toute mes randos de la journée
 Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit. 
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Eglise de la Foret le Roi
                                 
Eglise de Boissy le sec

                                         
    
Enceinte château de Boissy
                         
Château de Boissy le sec 
                           

 

 

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GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. Etape 11 Chalo saint Mars - Etampes

GR 111 de Milly à Saint Michel sur Orge. 

GR 111 & 111b Chalo saint Mars - Etampes : Etape 11

(trace bleu, GR 111 - Traces rouge, les "tiroirs", Traces de couleur "le retour" ) Pour la compréhension de la carte il n'y figure que les boucles du retour que l'on pourrait appeler promenade en Essonne.


GR 111E : Deux étapes en foret de Fontainebleau (sncf) pour rejoindre Mily la Foret
GR 111A : Puiselet le Marais rejoint La Ferté Alais (sncf)
GR 111B : Chalo St Mars rejoint Etampes (sncf)
GR 111D : Richarville rejoint Villeconin
GR111C : Montcouronne rejoint Saint Chéron (sncf)
Comme je suis un grand malade "de la marche" et que l'on emprunte de long parcours au GR 655  (Saint Jacques de Compostelle). Je me suis dit  ; pourquoi ne pas rentrer avec ce dernier, puis GR 1 & 11. Mais il y avait du déjà fait. Je suis revenu sur cette idée en remarquant que nous coupions de nombreux balisages locaux bien tracés et entretenus. Par chance, ils figurent sur la carte, j'ai donc tracé un long parcours sur le 655 pour rejoindre le centre de cet arc de cercle constitué par le GR 111. Je reviens sur Fontainebleau en butinant de ci de là avec de très bonne surprises. Bonne rando  

Carte : GR 111 & 111b Chalo saint Mars - Etampes : Etape 11



Carte IGN    trace GPS & Topo sans Commentaires     Trace Randogps

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Avril 2016
Km    temps    arret     V/d      V/g         Dénivelé
28      5 :20      0 :45     5,2       4,5             323+

Départ Chalo Saint Mars. Nous trouvons un beau parking face au château sur la D21 pourquoi beau ? parce qu’il est en bordure de la Marette et que dans ce petit village ils ont su créer un espace pour les enfants … petits et plus grands viennent jouer ici . Petit parc ou j’ai vue le centre aéré y faire des activités balançoires, toboggans, les enfants avaient tous, des gilets visible de loin. Des papys et mamys (comme moi) accompagnant le petit fils ou filles sur l’aire de jeux. Ce n’est pas comme dans mon village ou l’on à la place de mettre des installations pour les petits, mais il n’y a rien, il paraît que c’est compliqué, réglementé, fort cher. Nous, nous sommes obligés de nous rendre dans les communes avoisinantes. Petites communes 
qui ont su conserver  leurs jeunesses et n’ont pas tablé uniquement sur un village dortoir rempli de bobo parisien transformant ce qui était un charment village il y a vingt ans en un immonde cloaque avec ses voitures sur les trottoirs, ses haies non entretenues et débordant sur ce qui nous  reste de trottoir, ses cours moyenâgeuses dénaturées, ses rues non entretenues ou au printemps et durant l'été y poussent des herbes hautes. Il paraît que c'est pour la biodiversité... jamais vu d'abeilles sur de l'herbe. La mauvaise herbe il y en a tout autour du village avec les champs et la foret. "J'vous dit c'est un 

village de bobo". je ne puis que féliciter cette commune ou j'ai plaisir à revenir. Vous devez penser ; Pourquoi rester dans ce village s'il ne te plait plus ? Parce que... 
simplement c'est le village de mon enfance, je venais avec maman passer toute mes vacances chez mon grand père, j'y ai appris à faire du vélo, à grimper sur les rochers, à m'y promener de la poussette à la marche sportive. J'y ai entrainé ma femme et mon fils. Ce fut lors de mon adolescence ma passion pour cette foret. je suis la troisième et dernière génération habitant une maison au cœur du village. J'ai toujours rêvé 

d'habiter ici parce que "Ma Foret...." est à moins de cinq minutes à pied, que la Seine est à moins de trois minutes pour y faire l'été lorsque la foret est surchauffé par un soleil de plomb du kayak. Les bobos ont investi ce village parce qu'il était jolie et accueillant. Il est devenu, triste, et impersonnel ce n'est malheureusement plus ce village de caractère vanté sur les panneaux d'informations.    
[Chalo Saint Marc : L'origine du nom de la commune est peu connue, Saint-Mars est une déformation du nom du saint Médard de Noyon.
Durant la Révolution française, la nouvelle commune fut renommée Chalo-la-
Raison, puis simplement Chalo en 1793, elle reprit son nom d'origine en 1801 par le bulletin des lois Vers la fin du XIe siècle, le maire de Chalo, c'est-à-dire son régisseur, nommé Eudes, reçut du roi Philippe Ier un privilège transmissible à ses descendants, dont le texte fut trafiqué dans les siècles suivants et interprété comme une franchise de tout impôt pour les descendants tant de lignée masculine que féminine.

En 1906, Chalo fut le lieu d'une célèbre enquête criminelle et journalistique sur la disparition mystérieuse du curé de Chatenay. wikipédia]
Remontons la rue du docteur Solon jusqu'à la rencontre du GR 111 au niveau (sur 
la carte de la croix saint Jacques) sur le terrain jusqu'à la route menant au stade et à la ferme du Tronchet que l’on prend à droite. Abandonnons la route de la ferme pour prendre sur la droite le GR 111b en direction du stade et d’Etampes. La route descend sur le château de la Ferté, nous débouchons sur la D82 que nous prenons à droite et tout de suite à gauche une rue menant à Saint Hilaire. Nous traversons la Louette [La Rivière La Louette est un affluent de la Rivière La Chalouette longueur 7,3 km] Traversons le 
 village laissons sur la droite le balisage jaune, grimpons la rue de la Louette ensuite j’ai un peu de mal à comprendre le tracé. (Nous trouvons un balisage sur la gauche c’est un bras du GR 111b, il évite la route que nous venons de faire en une boucle passant par la campagne et la ferme du Tronchet. Il revient sur Chalo.) J‘ai pris à droite le chemin rural N°32 du montoir de la croix se dirigeant vers Etampes. De rue nous passons à chemin et nous arrivons au mur du château de Champrond. [http://fr.topic-topos.com/chateau-de-champrond-saint-hilaire : Le château de Champrond est construit sous l'Empire, au rebord du plateau et à côté de la ferme du même nom, par le citoyen Debrun des Beaunes, ancien major de cavalerie et membre de l'Académie des sciences, qui le dote d'un grand parc 
paysager à l'anglaise. Pour faire bénéficier son parc d'un étang, son esprit scientifique lui suggère l'installation d'un système de pompage performant permettant de monter l'eau de la Louette jusqu'au plateau. Il installe de la sorte, près du château, un vaste réservoir dissimulé à l'intérieur d'une tourelle à toit d'ardoises en poivrière. Féru de botanique, il plante le parc et les abords de son chemin d'accès de pins maritimes, de cèdres et d'espèces encore plus rares, tel un sequoïa gigantea, qui font de Champrond un véritable arboretum. Cette caractéristique subsiste aujourd'hui en dépit des graves dégâts provoqués par la tempête de décembre 1999. Le château comprend quant à lui sept travées sur deux niveaux, réparties entre un grand corps de logis central et deux petits pavillons latéraux, mais sans ailes en retour.]


C’est une belle allée avec des cyprès. (J’ai poussé jusqu’au portail d’entrée , mais nous passerons devant dans l’étape 12.) Donc prenons tout de suite à droite sur le plateau. Ce chemin débouche sur quelques maisons. J’ai eu la surprise d’y rencontrer la base courre en liberté dont un jard qui surveillait son territoire, heureusement que j’avais un bâton pour le repousser… Nous passons de chemin à rue. Après quelques virages nous arrivons sur la piste cyclable. Avant de remonter sur le plateau  quittons le PR et suivons notre GR sur la droite. Après avoir parcouru le plateau redescendons 
doucement vers Etampes en passant devant le cimetière Saint Martin et le chemin de l’écorchoir, puis à gauche le chemin des rosiers. Enfin heureusement qu’il y a la trace sur le GPS… le balisage étant fort distant. Nous arrivons dans la zone pavillonnaire du haut d'Etampes et débouchons sur l’allée du docteur Bourgeois que nous prenons à droite. Puis à gauche la promenade de Guinette le long de la ligne SNCF, le balisage est insignifiant, les voitures garées sur les trottoirs des deux cotés ne facilitent pas la marche. Nous sommes à Etampes. Riche en histoire le cœur de la ville basse ma surpris. J'ai beaucoup aimé cette ville [Ville royale fortifiée depuis le Moyen Âge, comté et pairie devenus duché donné en apanage à trois favorites successives, adhérente au label Villes 

et pays d'art et d'histoire, Étampes est depuis toujours le principal centre urbain de l’Étampois, aux confins de l’agglomération parisienne et des larges plaines de 



Beauce. Principale cité du sud essonnien, carrefour de voies de communication, elle rayonne conomiquement et culturellement sur l’ensemble des villages voisins et marque sur la route nationale 20 l’entrée sud de la région Île-de-France, comme auparavant du domaine royal. Sillonnée par de nombreux cours d'eau, elle était parfois surnommée la « Petite Venise » à cause des anciens canaux qui alimentaient les moulins. Au cours des siècles on trouve les formes suivantes: Castellum Stampis au XIe siècle, Stampae Vetulae en 1046, Stampas en 1073, Veteres Stampas en 1085, Stampae en 1194, Estampe en 1260, Estampes en 1370, Étampes sous le Duc d'Orléans au XIVe siècle, la mention «Étampes la 
Vallée» figure sur la cloche du Duc de Berry à Notre-Dame en 1401, l’orthographe Étampes semble s’imposer à partir de 1711, mais la carte de Cassini mentionne, encore, «Estampes» en 1785.
Le nom d’Étampes est attesté à partir du VIIe siècle à la fois par des inscriptions sur des monnaies mérovingiennes et par deux citations dans les livres de l’Histoire des Francs de Grégoire de Tours. La forme latine canonique est Stampae qui est un féminin pluriel, mais le nom est souvent traité à date ancienne, (VIIe siècle), comme un indéclinable, sous la forme Stampis. En français, l’orthographe Estampes a survécu jusqu’au XVIIIe siècle. Dans les écrits du XVIe siècle on trouve 

souvent la graphie Estempes, sous l’influence d’une étymologie fantaisiste vulgarisée par le poète Clément Marot. L’étymologie de ce toponyme reste énigmatique et aucune des diverses hypothèses qui ont été suggérées jusqu’à présent ne fait l’unanimité.
Le nom Étampes vient probablement des Francs lors de leur invasion de la Gaule romane du IIIe au Ve siècle, à la suite de la présence d’une foulerie de grains ou d’un grand pressoir alors relativement courant dans la région. Une telle machine 

se disait « stampfe » en langue germanique, qui devint « stampa » en latin (la langue usitée dans les anciens territoires romains).
La toponymie des différents quartiers de la ville est transparente pour ceux qui 
reprennent la titulature de leurs églises : Saint-Basile, Saint-Martin, Notre-Dame, Saint-Gilles, Saint-Pierre et Saint-Michel, ces deux derniers lieux de culte ayant aujourd’hui disparu. De même, le nom du Petit-Saint-Mars vient de la chapelle qui y était dédiée à saint Médard (Mars est un diminutif de Médard) tout en le distinguant du village voisin de Chalo-Saint-Mars, également appelé Grand-Saint-Mars.
Cependant, le quartier Saint-Martin s’est aussi appelé au Moyen Âge Étampes les Vieilles, d’où la tradition qui en a fait le berceau de la ville : Bernard Gineste y a relevé une confusion, la dénomination originelle étant Étampes les Veys, soit en  
 ancien français les gués d’Étampes, là où l’on franchissait la Louette et la Chalouette sur la route de Paris à Orléans.
Le quartier de Guinette doit quant à lui son nom à une très ancienne ferme, mentionnée sous ce nom dès le XVIe siècle et qui a longtemps été le seul lieu d’habitation du secteur. Le nom pourrait dériver de celui de l’un de ses propriétaires, dénommé Guinet.
 Les noms de certaines rues d’Étampes sont attestés dès le Moyen Âge central : la rue Evezard c’est-à-dire d’Évrard, la rue au Comte peut-être en rapport avec le comte de Montlhéry, la rue Darnatal, section de l’actuelle rue de la République dont le nom signifierait nouvel étal, par allusion à une boucherie fondée par Philippe Auguste. La section suivante de la rue de la République, jusqu’à Saint-Pierre, s’appelait le Perray, parce que c’était une chaussée empierrée pour assurer le passage dans une zone marécageuse. À l’époque gallo-romaine, Étampes était un bourg qu’on situe aujourd’hui dans l’actuelle zone industrielle. Dès le XVIIe siècle, des 

trouvailles ont été faites dans ce secteur prometteur pour l’archéologie. Des fouilles encore en cours en 2008 ont par ailleurs mis au jour à Saint-Martin les restes d’une villa rustica gallo-romaine. Au VIe siècle, Grégoire de Tours fait état d’une guerre qui aurait à son époque ravagé le pays d’Étampes, sans plus de précision. C’est au siècle suivant qu’eut lieu du côté de Saint-Martin un combat resté connu sous le nom de bataille d’Étampes, le 25 décembre d’une année qui n’est pas déterminée avec certitude, traditionnellement 604. L’armée du roi de Neustrie Clotaire II, commandée par le maire du palais Landry, 
 


 
y fut défaite par les troupes coalisées de Thierry II et Thibert II, rois de Bourgogne et d’Austrasie.

En 911, les troupes normandes de Rollon saccagèrent la ville. On connaît encore mal l’histoire du transfert progressif du noyau urbain principal dans l’actuel centre-ville. Récemment Bernard Gineste a développé l’idée que Saint-Basile était d’une fondation carolingienne, et que le périmètre de la place forte originelle, le castrum, attestée dès les environs de 936, était en contrebas, et encore très restreint au milieu du XIe siècle. Il n’aurait
compris que quelques pâtés de maisons entre les actuelles rues du Petit-Panier, Sainte-Croix, de la Tannerie, Evezard et le début de la rue du Renard. Les fouilles archéologiques menées juste après par l’INRAP, d’abord sur le site de l’ancien Hôtel-Dieu puis rue de la République, sous la direction de Xavier Peixoto, ont confirmé ces hypothèses fondées sur l’étude d’une charte de 1046, importante pour l’histoire de la ville.
Helgaud de Fleury, ami et biographe du roi Robert le Pieux, attribuait à ce monarque la construction d’un palais dans ce castrum, ainsi que celle d’une
collégiale desservie par douze chanoines, nommée Notre-Dame. Il semble cependant que cette dernière fondation fût surtout le fait de la noblesse locale. Deux villes coexistaient alors : Estampes-le-Châtel et Estampes-les-Vieilles.
Comme son grand-père Robert, Philippe Ier séjourna à plusieurs reprises à Étampes. Alors qu’il y hivernait en 1079, il tenta d’y imposer son autorité à Hugues du Puiset, qui malmenait les clercs du pays chartrain voisin. Mais ce vassal se rebella et défit l’armée royale près du Puiset, humiliation dont la royauté ne se releva que sous le règne suivant, celui de Louis VI.
En 1123, Louis VI le Gros accorda une franchise aux marchands qui s’installaient dans le secteur inhabité qui séparait alors le quartier Notre-Dame du quartier Saint-Martin. Ce fut l’origine du peuplement du quartier Saint-Gilles.
En 1130, le roi convoqua dans la ville les archevêques de Sens, Reims et Bourges ainsi que des évêques et abbés parmi lesquels Bernard de Clairvaux, afin de juger qui des deux prétendants d’alors était le pape légitime sur le plan canonique. Leur assemblée, restée le plus notable des conciles d’Étampes, se prononça en faveur d’Innocent II et refusa de considérer le dossier de son adversaire Anaclet II.
C’est à nouveau à Étampes et toujours avec le concours de saint Bernard que le successeur de Louis VI, Louis VII le Jeune, réunit en 1147 le concile qui acheva les préparatifs de la deuxième croisade.
À cette époque se trouvait au lieu-dit actuel du Temple la Commanderie d'Étampes de l’Ordre du Temple composé d’une maison et d’une chapelle entre autres. C’était aussi un baillie avant la dissolution de l’ordre en 1312.
La place forte servit plus tard de prison à Ingeburge de Danemark, femme répudiée de Philippe Auguste. Ce roi avait fait d’Étampes une des douze bonnes villes de France, disant que c’était « une des meilleures cités du royaume après Orléans et Paris ».
Par la suite, Étampes changea plusieurs fois de seigneurs, ainsi quand  
 
Philippe le Bel l’érigea en comté en 1298 pour son demi-frère Louis d’Évreux, puis lorsque Charles IV en fit une pairie en 1327 pour son neveu Charles d'Étampes.
Le 15 décembre 1411, la ville assiégée par Jean sans Peur fût prise et revint au Duché de Bourgogne. Mais en 1478, un arrêté du Parlement annula toutes prétentions féodales, la ville étant désormais sous la protection des rois de France. En 1484, c’est à Étampes que le roi Charles VIII signa les Statuts et ordonnances des cordonniers de Chartres.

Du XVIe siècle à la Révolution française
En 1514, la ville reçut du roi l’autorisation d’élire un conseil municipal et de faire bâtir une maison commune.
Étampes et les favorites royales
François Ier donna le comté et la ville à sa favorite Anne de Pisseleu dont le mari, complaisant, fut même créé duc d’Étampes en 1536, le territoire 

du nouveau duché fût augmenté des terres de Dourdan et La Ferté-Alais. Cependant le bel hôtel qu’on appelle maison d’Anne de Pisseleu n’hébergea jamais cette duchesse. Henri II en montant sur le trône enleva ce titre à la maîtresse de son père et l’attribua à sa propre favorite, Diane de Poitiers. Mais l’hôtel étampois dit de Diane de Poitiers ne fut pas davantage la résidence de cette deuxième duchesse d’Étampes. Ce fut ensuite la famille de Vendôme qui reçut Étampes en héritage de Gabrielle d'Estrées, favorite d’Henri IV, qui en fut la souche. Charles Quint aurait dit d’Étampes « C’est une belle rue ». Pour la défense de Paris, le lieutenant général de l’armée royale, Antoine de Bourbon installa à Étampes une garnison et organisa des réquisitions de grain dans les alentours, entre avril et mai 1562. À ces réquisitions s’ajoutèrent une mauvaise récolte et une peste qui survint en octobre 1562. La garnison 
abandonna la ville qui fut prise par le prince de Condé le 13 novembre 1562. Les troupes protestantes l’occupèrent et y commirent de nombreuses dégradations, notamment dans les églises. Mais la victoire de l’armée royale à la bataille de Dreux permit au duc de Guise de mettre le siège devant Orléans et de forcer la garnison protestante d’Étampes à abandonner la ville le 2 janvier 1563, avant son arrivée.
En 1567, malgré l’organisation d’une milice bourgeoise, le comte de Montgomery prit la cité après un assaut le 17 octobre au cours duquel le couvent des Cordeliers fut incendié. Mais le 16 novembre le parti 

protestant dut une fois encore abandonner la ville, après la bataille de Saint-Denis. En 1569, la région fut à nouveau ravagée par les mercenaires licenciés qui retournaient en Allemagne après la bataille de Moncontour.
En 1587, la ville constitua une ligue catholique qui se rallia à la Sainte-Ligue le 19 août 1588. Elle reçut alors une garnison ligueuse, mais fut prise très rapidement par les deux Henri (Henri III et Henri de Navarre), le 23 juin 1589, puis pillée pendant trois jours. Les chefs de l’armée interdirent les violences aux habitants, ce qui n’empêcha pas des viols.
Le 20 octobre de la même année, les ligueurs mirent le siège devant Étampes et y pénétrèrent le 23. Plusieurs magistrats catholiques furent ensuite massacrés. Dès 
    
le 5 novembre Henri IV reprit la cité sans combat, le gouverneur ligueur, le comte de Clermont-Lodève, étant abandonné par les bourgeois de la ville.
En 1589, à la demande des habitants, le château et les fortifications furent démantelés. Wikipédia]
Au niveau de la gare nous entrons dans le parc de l’ancien château
[Étampes, capitale d’un comté puis d’un duché était aussi un centre religieux important sur la Via Turonensis. Il en subsiste de nombreux édifices religieux dont la collégiale Notre-Dame-du-Fort construite aux XIIe et XIIIe siècles et classée monument historique depuis 1840, son cloître du XIVe siècle, son presbytère du XIXe siècle, l’église Saint-Basile des XIIe et XVe siècles, classée monument historique depuis 1862, la  

collégiale Saint-Martin, qui date des XIIe et XIIIe siècles, classée monument historique depuis 1909, célèbre pour sa tour penchée Renaissance, enfin l’église Saint-Gilles construite aux XIIe, XVe et XVIe siècles et classée monument historique depuis 1970. S’y ajoutent aujourd’hui les chapelles Notre-Dame-de-la-Trinité à Gérofosse et Saint-Jean-Baptiste à Guinette. wikipédia]
Faisons le tour de la tour Guinette [château était placé sur le plateau dominant la ville au nord-ouest, appelé plateau de Guinette. Situé à une altitude approximative de cent mètres, il surplombe les vallées de la Louette, la  

Chalouette et la Juine au bord d'une pente raide au dénivelé de vingt-cinq mètres sur une longueur de deux cent mètres. La géologie du site, étudiée par Henri Hureau de Senarmont montre une succession de couches de trente mètres de sable, deux mètres de moellon, vingt-trois mètres de glaise bleue, vingt-quatre mètres de calcaire argileux, quatre mètres de grès et enfin vingt-trois mètres de marne. Il est aujourd'hui placé à l'extrémité du quartier résidentiel de Guinette, au-dessus de la voie ferrée et de la gare d'Étampes. Un premier château fut construit à la demande de Robert le Pieux. En 1079 alors que le roi Philippe Ier séjournait au château, une révolte menée par Hugues Ier du Puiset entraîna un affaiblissement du pouvoir royal. En 1107, il fait enfermer le châtelain. Le donjon a lui été édifié 

au XIIe siècle, vers 1140 selon André Châtelain, à la demande de Louis VII. À la fin du XIIe siècle, Philippe-Auguste fit édifier une enceinte carrée reliée par une passerelle puis une deuxième enceinte. De 1201 à 1213, le donjon servit de prison à la reine Ingeburge.
Le 16 janvier 1358, les Anglais s'emparèrent de la ville et du château, immédiatement repris par Charles V. Le 28 janvier 1387, Jean de Berry en
fit don à son frère Philippe le Hardi. Vers 1412, le château servit de modèle au livre d'heures Les Très Riches Heures du duc de Berry. Le 15 décembre 1411, la ville et le château furent assiégés par Jean sans Peur et furent annexés par le duché de Bourgogne. Du 19 au 31 juillet 1465, Charles le Téméraire s'installa au château après la bataille de Montlhéry. En 1513 Anne de Bretagne y séjourna, suivie en 1516 par Claude de France. Le 13 décembre 1562, il fut à nouveau pris par le prince de Condé et ne fut libéré que le 2 janvier 1563. En 1589, Henri IV autorisa les habitants à démanteler le château pour utiliser les pierres. Seul le donjon subsista. Le 4 mai 1652, le donjon subit un nouveau siège.

Lors de la Révolution, le terrain de la tour de Guinette fut vendu comme bien national. L'acquéreur rasa les derniers bâtiments et transforma la tour en carrière à ciel ouvert. Elle fut ensuite abandonnée jusqu'à la Restauration. Revenu au duc d'Orléans, il revendit ce qui subsistait du château en 1821. En 1859, la ville acquit les ruines du donjon pour en faire un lieu de promenade. Le donjon fut alors classé monuments historiques.
La tour Guinette fut, au long de son histoire, la résidence forcée de quelques personnages célèbres, dont Hildegarde, mais aussi Gillette La Mercière, épouse de Pol de Limbourg (enlumineur des très riches heures du duc de Berry). La fillette, âgée de seulement 8 ans, fut incarcérée au château d'Étampes à la 

demande de Pol de Limbourg. La famille de la fillette, de riches marchands de Bourges, ne consentit pas à cette union, voulue par Jean de Berry pour établir la prospérité de son enlumineur favori. Pol de Limbourg a épousé la fillette lorsqu'elle avait 12 ans et lui 24 ans. Le château était constitué d'un donjon de soixante-douze mètres de diamètre construit en forme de trèfle quadrilobé de sept mètres de diamètre chacun, haut de trente-six mètres. Un puits était creusé au centre de l'édifice. Ce donjon était posé au centre d'une plate-forme, entourée par une première enceinte carrée de cinquante-quatre mètres de côté, défendu par quatre tours d'angle. Une porte percée à l'angle sud-est permettait l'accès par un pont-levis au donjon.

Une première cour entourait l'enceinte, fermée par une seconde muraille carrée de quatre-vingt-dix mètres de côté, défendue par quatre tours d'angles. Un deuxième puits était creusé à l'ouest de la cour. Sur cette muraille étaient accolés au nord-est une chapelle dédiée à saint Laurent longue de trente-six mètres et large de dix-huit et au sud-ouest un corps de logis. Dans cette deuxième basse-cour, fermée par une troisième enceinte se trouvait aussi, à l'ouest trois logis à l'est une galerie placée sur l'enceinte permettant d'observer la ville en contrebas et au nord-ouest quatre paneteries.
Cette deuxième cour était fermée par une enceinte approximativement hexagonale. Au nord-ouest le mur s'étirait sur cent soixante mètres, suivi au nord 
par une longue muraille de cent quatre-vingt mètres, au sud-est, cent quarante mètres de mur, renforcé par une batterie au sud rectangulaire de trente-six par cinquante-quatre mètres de côté, défendu par trois tours. Quatre-vingt-dix mètres étaient exposés au sud-ouest et cinquante-quatre mètres fermaient à l'ouest. Cette enceinte était percée de deux portes accessibles par des ponts-levis, l'une au nord-est dite porte d'Étampes, l'autre au nord-ouest dite porte de Dourdan. Ces portes étaient séparées de la basse-cour par deux autres portes intérieures de défense et reliées par une cour d'honneur. Quatre tours étaient disposées aux angles de cette dernière enceinte. Un fossé complétait le système défensif. Le terrain, fortement
pentu donnait depuis la ville une majesté au château, les trois enceintes apparaissant en escalier.

    
Ne subsistent aujourd'hui de ce vaste château que les ruines du donjon.
Le donjon avait une architecture particulière. On y accédait par une poterne orientée au sud donnant sur un vestibule. Ce vestibule était ouvert sur un trou de défense, les assaillants qui réussissaient à pénétrer dans le donjon se précipitaient droit devant et chutaient de quatre mètres. On accédait à ce trou par un escalier rampant 

intégré à la muraille. Dans cette salle en sous-sol d'un diamètre de dix mètres se trouvait un puits et des latrines. Elle était ajourée par trois meurtrières. les murs extérieurs avaient là une épaisseur de cinq mètres. On accédait au premier étage par un escalier dans la muraille, ajouré de deux meurtrières. Ce premier étage, une salle de garde avait dix mètres de diamètre et se complétait de quatre lobes, ajourés par quatre meurtrières. Il était équipé de latrines ajourées et d'un accès au puits. L'accès au second étage se faisait par un escalier à vis qui débouchait sur une galerie éclairée par trois fenêtres. Cette galerie précédait une salle d'apparat d'un diamètre de douze mètres augmenté de quatre lobes. Le lobe nord-ouest était percé d'une fenêtre, les lobes sud-ouest et nord-est de deux fenêtres chacun éclairant une alcôve. Ces alcôves encadraient deux cheminées. Un évier était aménagé dans le retrait sud-ouest, des latrines dans la muraille est. Cette salle 
était couverte par une voûte d'arêtes haute de dix mètres soutenue par quatre colonnes. Deux arcs-doubleaux soutenaient en plus la toiture au-dessus des lobes. Le troisième étage, le comble à surcroît, accessible par un dernier escalier à vis était aménagé sur la voûte et sous la toiture. Il consistait en quatre tribunes aux murs de bois. Un toit principal couvrait l'édifice percé des deux cheminées, deux ajouts ronds surmontaient les lobes nord et sud, une poivrière marquait l'escalier à vis d'accès au comble.
La Tour de Guinette fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1862. wikipédia]

Abandonnons les traces du GR. Ici nous ne savons pas si ce sont les traces du Jacquaire ou le GR111b cela manque d’information. Redescendons empruntons la passerelle de la gare et descendons en ville. Empruntons le Bd Henry IV et dirigeons nous vers l’église Notre Dame Faisons le tour et prenons la rue Emile Leauté, puis la rue paul Hugo puis la rue de la tannerie pour arriver à la rue du pont doré au dessus de la rivière d’Etampes. Revenons sur nos pas et prenons sur la gauche la rue de la roche plate. Remontons la rue sur la droite et prenons
à gauche la rue de la juiverie poursuivons par la rue saint Antoine. Prenons à droite la rue pavée puis à gauche la rue Brunard, coupons l’avenue de la libération. Poursuivons en face prenons à droite la rue Simoneau puis à gauche la place saint gilles. (Les photos sont un peut plus haut) [À l'angle de la place du marché Saint-Gilles et de la rue Simonneau, anciennement rue du Lard, se dresse un ensemble de trois maisons à piliers du bas Moyen Âge, dernières représentantes d'un type de construction à vocation mi-commerciale, mi-résidentielle, qui jalonnait le pourtour de la place fondée en 1123. En 1511, la maison d'angle 

appartient à Jehan de Courcelles et comporte cour, jardinet et étables. Elle est dite « à l'enseigne du Saumon ». La datation de l'ensemble est difficile car les chapiteaux des piliers sont des réemplois, peut-être taillés au XIIe siècle. Des éléments de portique ont été rapportés aux XVIIe et XVIIIe siècles. www.lexpedition.fr/iti/xUfqZXOSVGZpGAANY] ou nous trouvons la maison aux pillier et l’eglise Saint Gilles descendons la rue de l’abreuvoir des cordeliers jusqu'à la rivière des près et d’étampes prenons à gauche entre les deux rivières et nous passons devant la tour du loup [Elle fait partie des fortifications reconstituées au 15e siècle. www.lexpedition.fr/iti/xUfqZXOSVGZpGAANY] Poursuivons jusqu’au Portereau fortification et vannes controlent la rivière. (les photos sont un peu plus haut) [Ces vannes fortifiées datent de 1514. Elles permettent la régulation des rivières forcées (les rivières d’Etampes et des Prés) dés le XIe siècle. Sous la Renaissance, ce système défensif est percé de 8 portes. Cette bastille garnie de mâchicoulis et d’embrasures se trouve aux confluents des rivières de La Louette et de La Chalouette qui se rejoignent pour devenir la rivière d’Etampes.
    

  Les Portereaux commandent le débit des rivières et l’approvisionnement en eau de la ville en cas de siège. Elles pouvaient même être utilisées comme arme en contribuant à l’inondation des terrains. www.lexpedition.fr/iti/xUfqZXOSVGZpGAANY
] remontons la rue du clos saint Martin prenons à gauche la rue Saint martin j’ai fait le détour pour rejoindre la rue de Chauffour pour voir le moulin. Mal entretenu on ne voie pas grand-chose. Poursuivons pour prendre sur la gauche la rue du cimetière et l’église St Martin [La collégiale Saint-Martin est église paroissiale de confession catholique, dédiée à saint Martin de Tours, située dans la commune française d'Étampes et le département de l'Essonne. Saint-Martin abrite l'un des trois autels paroissiaux primitifs de la ville. Ses origines se perdent dans le temps, et certains auteurs prétendent que son 

fondateur soit Clovis lui-même. La collégiale est d'une importance considérable au XIe siècle, quand son chapitre ne compte pas moins de douze chanoines, un doyen et un chantre. En 1106, le roi Charles II le Chauve la donne à l'abbaye de Morigny. Dès lors, plus aucun chanoine n'est nommé. Des différends entre l'abbaye et le chapitre conduisent à l'expulsion des derniers chanoines en 1142. L'abbaye établit dès lors un prieuré près de l'église, et entreprend son remplacement par un édifice plus vaste. Les parties basses de son chevet, avec déambulatoire et trois chapelles rayonnantes très profondes, surprennent par un plan évoquant le XIe siècle, et sont encore plus romanes que gothiques, mais le voûtement d'ogives est présent dès le départ. Grâce à des contacts avec l'abbaye de Saint-Denis, l'innovation des arc-
boutants trouve l'une de ses premières applications au chevet de la collégiale Saint-Martin. Le chantier progresse rapidement. Les élévations du vaisseau central s'organisent sur trois niveaux, et s'inspirent de la cathédrale Saint-Étienne de Sens. Au-dessus des grandes arcades, des galeries sont ouvertes sur les combles. La collégiale devient l'un des édifices-clés de la première période gothique. Son achèvement se situe vers 1170, mais une travée supplémentaire est ajoutée après 1213. Enfin, un nouveau clocher est édifié au cours des années 1530 devant la façade. Un tassement de terrain provoque une inclinaison vers l'ouest avant qu'il ne soit terminé. Au XVIIIe siècle, les voûtes des trois dernières travées de la nef s'effondrent, et sont remplacées par de fausses voûtes en bois. Le prieuré n'est alors plus qu'un simple bénéfice, et est supprimé définitivement en 1781. L'église 
      
devient exclusivement paroissiale. Elle est dans un état préoccupant au milieu du XIXe siècle, et la première travée notamment est en grande partie démontée, puis reconstruite entre 1872 et 1876. Les travaux de restauration ne sont pas menés en accord avec le service des Monuments historiques. L'ancienne collégiale est néanmoins classée aux monuments historiques par arrêté du 14 juin 1909 wikipédia] (sur wikipédia vous pouvez lire la longue histoire de cette église.)  (Moi qui n'aime pas les villes, j'ai beaucoup apprécié la traversée de la ville basse D'Etampes et ses faubourgs, pour une fois je ne mis suis pas ennuyé.)  Prenons la rue du Braban sur notre gauche ,puis la rue à droite ou nous trouvons un beau moulin et un lavoir bien illustré. Nous débouchons sur la rue des belles croix que 

nous prenons à gauche au rond point à droite la route de Chalo St Mars passons sous le viaduc prenons à droite le chemin nous conduisant le long des jardinets après avoir traversé la Chalouette en bout le chemin tourne à gauche et longe la Louette. Au pont prenons le chemin de gauche qui nous ramène sur la Chalouette que nous suivons. Ce chemin débouche face au château de Valnay. Prenons la rue sur notre gauche coupons la D21 (route de Chalo) et grimpons en face par le chemin dans les bois qui débouche après quelques circonvolutions dans les champs. Prenons une route à gauche (nous avons bouclé 
avec l’étape 10) reprenons cette longue route bitumée jusqu'à l’Humery. Cette fois ci nous traversons ce hameau constitué principalement de fermes. Un petit droite gauche et nous voilà de nouveau dans les champs je dirais que c’est tout droit jusqu'au hangar ou nous prenons à droite cela fait un angle aigu et l’on a l’impression de revenir sur nos pas. Le chemin débouche sur la rue du hameau des sablons que nous prenons à droite descendons cette rue jusqu'à la route d’Etampes que nous prenons à gauche jusqu’au parking. Voilà nous venons de faire la branche B du GR 111.
     
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 Beaucoup de couleur et pas très clair en foret de Fontainebleau. Je n'ai pas voulu surcharger les traces lorsque je passe plusieurs fois au même endroit. 
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