dimanche 2 octobre 2022

Randonnée Le Plus Loin Possible ; Etape 1059 – Castillon en Couserans – Rémillassé (Moulis)

 Rémillassé c’est ou ? Dans une vallée étroite le long du ruisseau de Sour, c’est un hameau de quelques maisons, mais situé au pied de la montagne de Crabas. Site très connu des grimpeurs, et disposant d’un hébergement.

Rémillassé à découvrir !

Falaise qui ne convient pas à l'initiation comme le précise le topo car il faut flirter avec le 6a/b pour trouver de belles lignes très bien équipées. (cotations serrées...). Ce site m'a laissé une très bonne impression après un début de journée laborieux, il faudra y revenir il y a vraiment de quoi s'amuser.
Beaucoup d'ombre au pied des voies et à l'abri du vent d'Ouest. 1h30 de Toulouse. De très belles photos de grimpe sur le site
https://couleurcailloux.blogspot.com/2012/09/remillasse_3.html

Premier jour de promenade en Couserant. Pourquoi en Promenade ? Comme je l’ai écrit dans ma page de présentation pour ce retour à la montagne, j’ai eu quelques soucis pour trouver des ébergements, que ce soit dans les Pyrénées ou le Jura. Mon idée était de rejoindre Ercé (fin de mon périple en 2018.). Le seul ébergement que j’ai trouvé, sur mon parcours et encore je faisais un bon détour se trouvait au Roubot. Malheureusement j’y fus refusé. Pour moi, c’est simplement parce-que j’étais seul, et que je couchais qu’une nuit. Pour les hôtes il n’avait plus de place attendant un groupe. Dit comme cela, on ne comprend pas mon mécontentement, mais lorsque l’on reprend le fil de la conversation, on se dit que je n’ai pas tout à fait tort.

1 – On prétend que c’est un long week-end. En mai 2022 il n’y en à qu’un et il se trouve quinze jours après.  J’insiste en disant qu’il n’y en a pas cette semaine là et que je viens un jeudi.

2- On me sort l’attente d’un groupe (en feuilletant son calendrier ils ont du ce rendre compte de leur erreur).

Ne comprenant pas ce que l’on me disait (oui, je suis dur de la feuille), mais surtout je n’ai rien trouvé comme hébergement avec des kilomètres raisonnables depuis mon point de départ. J’insiste de nouveau, je viens un jeudi. Pour moi un long week-end cela part du vendredi et se termine un dimanche. J’ai tord. Je constaterais quinze jour plus tard que cela part du jeudi jusqu’au dimanche. Ce n’est plus un pont c’est un viaduc. Lorsque je travaillais, j’en ai profité aussi en posant un RTT. Après deux ans privés plus ou moins de liberté, et malgré la forte inflation, les français ont besoin de sortir de chez eux. J’insiste, je viens un jeudi.

3- Justement le responsable du groupe vient le jeudi pour préparer sa sortie.

Euh… cela fait une chambre de prise, avec moi deux chambres, d’après le site ils ont quatre chambres, plus une autre maison d’hôte dans un hameau un peu plus loin. Lorsque l’on clique sur le second site on revient à la page du premier. C’est tout de même 10 personnes qu’ils peuvent héberger.

-        Connaissez-vous quelqu’un qui pourrais m’héberger ? Non.

-        Alors on me sort le grand jeu imparable. Avec le COVID beaucoup ne le font plus (j’ai eu pas mal de réponse de ce type dans mes différentes recherche cette année.). J’espérais un voisin qui aurais ou faisait cela en dépannage…

4- Cela se termine par quelques noms de villages que je sais beaucoup trop loin puisque c’est mon étape suivante.

Impossible madame c’est bien trop loin, plus de quarante kilomètres sans parler des dénivelés. Je suis vraiment ‘’C..’’ Je ne comprends pas qu’elle ne veut pas de moi. Cela ce termine par un …

5- Prenez le bus vous gagnerez une étape.

Les hébergements sont rares, on est loin du GR 10, le GRP passe dans une autre vallée. Reste le réseau des balisages locaux, ils sont plus ou moins abandonnés. Du moins ils auraient besoin d’une bonne cure de rajeunissement et d’entretien et ne doivent pas drainer grand monde.

J’avais également un autre problème… le transport entre Ercé et la gare de Boussens. Les bus ne sont pas légion. Cinq bus par jour. Pour rentrer sur Paris faut une bonne demi journée, deux bus, deux trains et parfois trois. J’ avais trouvé un bus de bonne heure le matin qui ne me faisait pas rentrer trop tard sur Paris. Bus que je ne retrouve plus aujourd’hui. Ce qui m’obligeait à coucher au centre d’Ercé. Mais je n’ai rien trouvé. La mairie ne connaissait pas d’hébergement en centre ville, et m’envoie à l’office de tourisme de Saint Giron, qui comme de bien entendu ne savait pas, et me conseil de téléphoner à la mairie d’Ercé. J’aurais fait l’effort d’un hébergement à quelques kilomètres, et d’un bus un peut plus tard. Mais tout fut remis en question, par ce manque d’hébergement.

De dépit, j’abandonne l’idée de me rendre à Ercé. D’après la carte il y a de quoi faire un beau circuit de promenade en moyenne montagne.

 

 Carte IGN             Trace GPS & Topo sans Commentaires            Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346357

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

 KM     Temps      Arrêt     V/d        V/g         Dénivelés positifs       Dénivelés négatif  Index effort

20         4h50        1h30       4,9         3,6                  489 +                         632                       5

(Echelle de 1 à 5)

Jeudi 12 mai

Cette randonnée, de caractère sportif, vous amènera à la découverte des Pyrénées sauvages et authentiques. A votre rythme, laissez-vous guider à travers cette nature préservée que vous offre la montagne de Sourroque. Le long de cette large boucle, découvrez les multiples points de vue de la Haute Chaîne des Pyrénées et cotoyez les falaises jusqu'à la Table des 4 Seigneurs. Sachez admirer la faune diverse et les richesses cachées que vous dévoile enfin la Montagne de Sour roque. Prenez le sentier devant vous. Une partie de l'itinéraire est un cheminement raide et vertigineux pouvant s'avérer ponctuellement dangereux. Il est réservé aux randonneurs avertis et bien équipés. Restez sur le sentier et utilisez les dispositifs d'assurance mis à votre disposition. Vous l'empruntez sous votre propre responsabilité.

  Aujourd'hui promenade en montagne. Je quitte le GR 78, qui se rend trop rapidement à Saint Giron. Il me reste deux jours de balade, et je n’avais pas envie de rentrer si tôt à la maison. J’ai fait le choix de revenir en arrière sur mon parcours pensant qu’il était plus simple au niveau des transports de le faire ainsi. Aujourd’hui, je l’aurais tracé autrement. Saint Giron – Ercé à pied c’est faisable,je m’en serais certainement mieux sorti. Tant pis, une leçon pour la prochaine fois. En 2018 j’avais utilisé le bus à la demande, mais il me semblait difficile d’utiliser ce système étant donné le peu de régularité de la SNCF. Après le refus de l’hébergement, il aurait fallut retracer tout les parcours dans l’autre sens et rechercher peut être d’autres hébergements.

 

Je me méfie de ses petits balisages locaux, il y a deux ans je me suis rendu compte qu'ils n'étaient plus entretenus, même les GRP sont limites. Seul les GR sont bien entretenus. Je choisis des sentiers proches de larges chemins.

 

En partant de Castillon, par ma faute, cela commence mal. Une mauvaise lecture de la carte. Avant la chapelle j'avais imaginé en voyant un chemin puis un trait mauve surlignant le nom de la ville, que s'était un chemin balisé rejoignant la route plus haut. Je n’avais pas remarqué que le chemin s’arrêtait à un rectangle noir. Je devais ne pas être très concentré. Je rejoints la rue du Calvaire, ne trouve pas de chemin sauf celui qui même à la maison, et poursuis par la route. Un sacré crochet. Après la chapelle nous prenons la route de gauche en direction de Coucou, normalement nous devons être sur un balisage jaune mais je ne vois rien. Passons Charpec (gîte) on devrait avoir un beau paysage mais le brouillard nous cache tout. A la seconde fourche nous laissons sur la droite la direction de Lafitte et poursuivrons par la route de gauche, cela monte bien. Nous arrivons au coucut ou coucou, ou l’on trouve quelques maisons. Nous passons plusieurs hameaux ne comportant qu’une maison, passons la maison du Poquot, continuons la grimpette sur le bitume. Dommage que j’ai le brouillard lorsque l’on regarde sur Google Map nous avons de beaux points de vues sur la montagne. Je devrais encore atteindre les 1000 m de dénivelés positif aujourd’hui. On grimpe toujours, 6 km de monté. Les jambes tiennent. Aujourd'hui pas de photos, du moins pas beaucoup je serais dans le brouillard jusqu’à midi. La route longe ou traverse quelques hameaux, Le Moureu, le Coucou. Après un virage en épingle à cheveux j’ai l’impression de revenir sur mes pas. Nous rencontrons quatre épingles à cheveux, largement distant les uns des autres, nous arrivons à la fin de la belle route bitumée. Poursuivons par un chemin bitumineux jusqu’à 1081 m, 481m de dénivelé positif sur 6 km, cela représente tout de même une pente de 8%. Nous sommes sur un grand carrefour dans la forêt Du Castra. Nous y trouvons des tables de piques niques. N'ayant aperçue qu'une ou au plus deux balises jaune, je me pose la question ; dois-je poursuivre ma trace ? Je regarde mon tracé sur la carte papier, et me rends compte que si je prends la route de droite, je monte jusqu'à 1270 m, et dois redescendre par un petit sentier à flanc de montagne jusqu'au col de Saet. Si je poursuis tout droit par la route forestière du Castéra, je reste plus ou moins à flanc de montagne jusqu'au col. Nous sommes en forêt et je ne pense pas que nous déboucherons sur un point de vue, de toute façon avec le brouillard on n'y verra rien. Je modifie mon itinéraire et prends la route forestière de Castéra. Belle piste plus ou moins bitumée avec peu de trous. D'ailleurs au col, je verrai une pancarte indiquant Castillon par ce chemin. En voiture, ne connaissant pas la route, je ne serais pas rassuré. Poursuivons par la route forestière du Castéra, c’est un magnifique chemin forestier, par moment nous devrions avoir de beaux points de vues, mais le brouillard nous brouille tout. En mai la montagne bruisse de nombreux ruisseaux. Nous arrivons au col de Saet 1123 m. Je trouve des informations, et le sentier balisé en jaune que j'avais repéré sur la carte, existe bien et il est balisé. Nous trouvons également une information sur un autre itinéraire jaune. Ma trace prend un chemin sur la droite. Je cherche un peu normalement celui que je doit prendre est balisé. Je laisse le premier chemin sur la droite (route forestière de Boucail), il monte, et prend le seconde, c’est toujours la route forestière de Castéra qui descend. Malheureusement il n'est plus balisé sur le terrain. C’est un beau chemin. C’est un peu plus tard, que je saurais qu'il porte le même nom que la piste que je viens de suivre. Nous descendons un peu. Dans une épingle à cheveux sur un petit pont au dessus d’un ruisseau je remarque une ancienne marque jaune. Nous sommes dans une foret de hêtre. Après quelques kilomètres nous sortons de la forêt et avons quelques maisons où grange d'alpage. Je suis au refuge Edouart qui se trouvant à 500 mètres. (Si j’avais trouvé cet ébergement j’aurais pu faire mon périple jusquà Ercé…) Au carrefour avec la route bitumée, sur la droite, elle se dirige vers Alos, sur la gauche on va à la Serre et à Moulis (c’est le raccourci pour l’hébergement.) Je laisse la route sur la gauche se dirigeant vers la Serre et poursuit sur la droite en direction d’Alos. Nous retrouvons la forêt et par moment un trait jaune délavé. J'ai l'impression que le temps essaye de s'améliorer, par moment le brouillard est moins épais. Nous débouchons sur la départementale 137. J'ai de nouveau un choix à faire. En prenant la départementale sur la gauche je descends vers, la Traverse et Rames ainsi que vers mon point de chute de ce soir. En montant la départementale, jusqu'au col de Portech, je poursuis ma trace et devrait déboucher et apercevoir les cimes enneigées. Il n'est pas tard, le col est à moins d'un kilomètre, je peu toujours monter juste pour voir. Si le temps se dégage je poursuis. Dans le cas contraire j’irai à mon hébergement. Je grimpe, suis surpris par les maisons isolées que je rencontre en bordure de la route. Arrivé au col, 868 m, le terrain est dégagé il y a un départ de VTT mais pas de balisage piéton de répertorié. On peu faire le tour du Sourroque en VTT, plus loin je verrais qu'une piste va jusqu'à Saint Giron. Si le sentier est devenu VTT je devrais m'y retrouver. Le temps semble s’améliorer, je prends le sentier VTT sur la gauche. Quelques centaines de mètres plus loin une fourche, le vtt marron tourne à gauche et reste sur le flanc de la montagne. Une draille descend de la montagne, Ma trace prend la draille. Sur la carte le chemin VTT s'éloigne de ma trace et les sentiers permettant de retrouver ma trace sont en pointillés. Je décide de prendre ma trace, cela grimpe rudement, perpendiculaire à la montagne et sur le rocher. La draille se divise en plusieurs petits sentiers qui rejoignent le sentier principal. Au pla de Marchand, le temps se lève, maintenant je suis au dessus des nuages, la vallée étant toujours dans la purée de pois. C’est magnifique, les cimes enneigés la vallée dans le brouillard, et puis tout se bouche à nouveau, pour se déboucher complètement quelques minutes après. De temps en temps nous remarquons un reste de balisage jaune, miracle le ciel s'ouvre complètement et j'ai une belle vue sur les montagnes enneigées. Après le plat (qui n'est pas plat), cela grimpe un peu moins raide, mais la densité des arbres est plus forte, on ne voit plus la montagne enneigée. Nous entrons en forêt de hêtres. La draille disparaît sous les feuilles, le balisage VTT est bien fait. Peut ou pas de marque jaune. Je m'inquiète un peu, la piste VTT s'éloigne de ma trace, mais il n’y a plus de chemin, que la piste VTT. Je passe proche du gouffre de Soucaut sans m’en rendre compte. Je pensais trouver un balisage, une pancarte. Rien. Je suis hors de ma piste, hors du chemin soit disant baliser que l’on trouve sur la carte, la piste VTT étant bien mieux visible que le sentier montagnard. Je débouche sur une piste forestière carrossable pour 4x4 et engins forestiers. Nous sommes au Tuc de Clozet. Sur la droite j’aperçois deux panneaux, pensant que j’y trouverais des informations je vais voir, mais ce ne sont que des panneaux d’appartenances, d’un coté Foret de Moulis de l’autre coté la foret appartient me semble t’il à une association de producteurs. Je remonte sur la gauche, ce large chemin se rapprochant de ma trace, trouve un panneau d’information avec le Tour du Sourroque, et descente vers Saint Giron. Attention à ne pas ce planter, Saint Giron étant dans l’autre vallée. Je prends à droite la piste de VTT, j’ai retrouvé ma trace. Peut de temps après, je la perds de nouveau, je n’ai pas de choix il ne reste que la piste VTT qui part fortement à droite, Nous grimpons vers la Table des Quatre Seigneurs. ‘’Ils ne m’inviteront pas à leur tables’. Je m’inquiète un peu, je monte toujours et ne voit plus ma trace sur le GPS. Je quitte la piste VTT, et j'essaie de rejoindre ma trace à travers bois. J’entame un large virage sur la gauche dans un sous bois de hêtre. Je crois deviner un chemin, mais il me semble que ce n’est qu’une laie forestière ou une séparation entre deux parcelles. A vu je devine enfin un chemin et du coup je retrouve à la fois une piste et mes marques VTT, ainsi qu’un beau balisage jaune tout neuf. J’ai dus paniquer j’aurais suivi la piste VTT, je serais arrivé sur la crête des Rochers des Garberots. Je serais peut être arrivé au même endroit, mais cette pancarte Saint Giron m’a perturbé. Je ne désirais pas changer de vallée, n’y revenir en arrière. Notre sentier devient chemin. Nous Commençons à descendre un beau chemin au milieu des hêtres, certain sont sur le flanc, la dernière tempête à fait du dégât. Je fais une pose, au pied d’un beau hêtre je suis rassuré, je suis sur ma trace et sur le balisage jaune. Après le col de la Passade, indiqué uniquement sur la carte, le sous bois est constitué de buis, ils ont été malades de grandes ramures grises sans feuilles et de petites feuilles proches du tronc. Cela fait bizarre. Nous débouchons sur une piste carrossable, nous y retrouvons des informations vététistes et sur le poteau écrit au feutre noir la direction de Rames et la phrase ‘’itinéraire technique’. En effet ce n’ai qu’une draille descendant sur le rocher, pas facile à pied faut choisir ou l’on pose le pied pour ne pas être déséquilibré et entraîné par la forte pente. Sur la carte ce doit être un balisage jaune sur le terrain ce n’ai qu’un sentier. Je prends cette draille qui descend rudement. Nous arrivons dans les clôtures, ou nous devons franchir des portillons, je suis le chemin qui une nouvelle fois s’éloigne de ma trace, mais pas moyen de faire autrement, le chemin est entre deux barbelés. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche. Passons proche de la grotte du Portillon sans la voire et nous arrivons à Rames, de chemin de terre, nous passons à chemin en béton puis à bitume. Je ne sais pas si le village est abandonné ou en cours de restauration. C’est peut être la fatigue, mais il ne me semble pas que ce hameau à beaucoup de vie, il n’est pas entretenu, ou alors c’est un regroupement de BOBO parisien qui laisse pousser l’herbe partout. Je ne remarque qu’une maison en restauration, le reste semble plutôt à l’abandon.  Poursuivons notre descente jusqu'à la Départementale 137 que nous prenons à droite. Départementale qui n’est pas plus large qu’une vicinal. Longeons les hameaux de Jouan d’Arau et de Caussour, quelques maisons étagées sur le flanc de la montagne. C’est hameaux me semble peut habités, mais nous sommes en semaine et je pense que les habitants sont au travail. Je descends jusqu'à mon gîte d'un soir qui est dans le même style que le reste des maisons dans la vallée, avec l’avantage que c’est en restauration. L’intérieur est rustique, mais j’adore. Poutres, pierre, petites fenêtres pas toujours à double vitrage. Pas pour le bruit le double vitrage, mais pour le froid. Ici le bruit c’est plutôt la rivière qui coule le long de la route. Une porte d’entrée d’origine avec pas mal de mousse pour combler les trous de la pierre, pour éviter au froid de renter. Génial. Le repas est à sortir du sac. Je pense que vous manger avec l’hôte dans sa salle à manger ou sa cuisine. De toute façon vous partager tout, pièce à vire et salle de bain. Mon hôte avait des occupations ailleurs et ma prévenu qu’il ne rentrerait pas ce soir. J’ai la maison pour moi. La chambre est personnelle au premier étage. Si vous disposer du réseau SFR vous serez les rois. Orange à oublié la vallée. Grace au wifi, vous profiterez des communications.

 

 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  La souffrance ou les efforts physiques d'un itinéraire = état de forme physique + rythme de course + conditions météorologiques + IBP index


 

Classée 5 sur une échelle de 1 à 5


 

 Distance totale: 24,9 Km                                           Distance linéaire: 5.69 Km

Dénivelée positive accumulée: 1068,79 m              Dénivelée négative accumulée: 1149,49 m

                                                    Altitude maximale: 1219,9 m

Pourcentage de montée: 8,81 %                           Pourcentage de descente: 9,98 %

Dénivelée positive par Km: 42,89 m                     Dénivelée négative par Km: 46,13 m

Temps total: 8:13:09 h                                             Temps de pause: 2:39:49 h

Raison de la différence des horaires. Au vu des nombreux arrêts j’ai coupé le GPS durant le frugale repas et la micro sieste.

Vitesse moyenne totale: 3.03 Km/h                        Vitesse moyenne en mouvement: 4.49 Km/h

 
 Montées  Distance Km  Km au total en %
   Entre 30 et 55%  0  0
   Entre 15 et 30%  1.122  4.5
   Entre 10 et 15%  3.217  12.91
   Entre 5 et 10%  4.831  19.38
   Entre 1 et 5%  2.959  11.87
   Total  12.129  48.67
 Terrain plat
   Dénivelées de 1 %  1.507  6.05
 Descentes
   Entre 1 et 5%  1.975  7.92
   Entre 5 et 10%  4.881  19.59
   Entre 10 et 15%  2.69  10.79
   Entre 15 et 30%  1.868  7.5
   Entre 30 et 55%  0.099  0.4
   Total  11.513  46.19
  Total trace:   24.92  100 %
 
 
 
 
 
 
 
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ; 
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html 

Randonnée Le Plus Loin Possible ; Etape 1060 Saint Lary – Castillon en Couserans(GR 78)

Mercredi 11 mai

 Comme vous vous en doutez j’ai mal dormi, j’ai eu l’impression de marcher toute la nuit. La chambre d’hôtel est bien, le repas un peut moins, il appelle cela le repas du terroir et c’était exceptionnel qu’il soit au menu de la demi pension. Ce menu est bien cher pour ce que c’est.

  Un beau parcours comme me l'a dit ce matin des randonneurs qui marchaient dans l'autre sens. Ils faisaient le GR 78 depuis Bezier et marchais trois semaines vers Saint Jean Pied de Port. Vous le faites dans le sens de la descente ? J’explique mes raisons durant le petit déj, que nous prenons ensemble hors des heures d’ouvertures habituelles. Nous sommes en libre service.

 

Carte IGN             Trace GPS & Topo sans Commentaires            Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346356

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

 KM     Temps      Arrêt     V/d        V/g         Dénivelés positifs       Dénivelés négatif   Indice d'effort

20         4h50        1h30       4,9         3,6                  489 +                         632                          3

                                                                                                                                sur une Echelle de 1 à 5



Le départ est sympa le long de la rivière. J’ai encore mal aux jambes. Descendons la D 618 et prenons le pont au dessus de la Bouigane [sous-affluent de la Garonne par le Lez et le Salat. De 24,2 km de longueur, la Bouigane prend sa source dans les Pyrénées au pic de la Calabasse en Ariège et se jette dans le Lez à Audressein. La vallée qui la concerne porte le nom de Bellongue. Wikipédia]. Nous retrouvons GR 78. Prenons la rue sur la gauche longeant la rivière. Après les dernières maisons, la rue se poursuit en chemin.  Nous entrons en foret. Ce qui est encore plus sympa lorsque l’on a mal aux jambes, c'est que l'on nous conseille de poursuivre le chemin le long de la rivière au lieu de monter sur le flanc de la montagne. Le chemin est parfois peu facile, peu large, puis il s’élargit et est taillé dans la lauze ou l’ardoise. Pas facile de marcher sur c’est cailloux qui bougent tout le temps sous les pieds. Nous retrouvons le GR un peu avant Augirien. Traversons le village puis la rivière. Par rapport à la carte le chemin à été un peu déplacé, à moins que ce ne soit la carte qui ne soit pas bien juste, il faut emprunter la route sur la droite et prendre le chemin qui grimpe sur notre gauche en direction du château. Derrière la montagne verte, nous apercevons les pics enneigés. Peut emprunter en son départ j’ai de l’herbe jusqu’aux genoux. Je fais une halte pour me protéger contre les tiques. Le chemin s’améliore rapidement, servant aux tracteurs pour rejoindre les prairies. Après les clôtures et une maison au milieu d’une prairie, nous débouchons au lieu dit le château sur une route carrossable, que nous prenons à droite en direction de Saint Jean et grimpons. Le paysage se dégage un peu avec les cimes enneigées. Nous arrivons à une intersection avec la D 304 et une croix, ou nous trouvons des panneaux d’informations nous sommes à 702 m. Perdu dans la montagne en bordure de son flanc l’église du village de Galey. Prenons à gauche, à la seconde fourche à droite la D 304A en direction de Saint Jean qui se trouve à 20mn. Traversons Saint Jean. Je quitte le GR pour me diriger vers la chapelle, retrouve le GR à l’extrémité de la rue et suis étonné de trouver une seconde église pour un si petit village [Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat. compte 22 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 310 habitants en 1851. La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches métamorphiques datant du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. Wikipédia]. Lorsque la rue tourne en épingle à cheveux sur la droite, nous prenons la rue de gauche qui devient chemin, nous grimpons, passons le ruisseau de l’Estrouède sur un pont de bois, et trouvons au carrefour une croix en pierre. Laissons le chemin sur la droite longeant le ruisseau, et prenons le second chemin sur la droite, poursuivons notre grimpette. A la sortie du bois, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche et trouvons une petite bergerie (Escoumecoch) plus ou moins abandonnées dans les près avec au loin, les cimes enneigées. A la fourche suivante nous prenons à droite et descendons vers Buzan. Nous arrivons à une fourche prenons à droite et grimpons. Laissons les quelques bâtiments de Layer, (766 m). Le GR passe le ruisseau d’Esquet et tourne sur la droite, cette fois ci, nous descendons vers la Chapelle de Saint Jean Batiste et la croix de Cassette. C’est également le croisement de plusieurs promenades (la promenade 5 bleu, tour des croix. La 7 ; grange de Larou et un sentier jaune qui longe le GR). Nous avons une belle vue sur la montagne enneigée. Notre GR se poursuit par la route carrossable descendant vers Buzan [Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat. Elle compte 26 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 438 habitants en 1846. Wikipédia]. Traversons Buzan, ou nous trouvons de l’eau potable à la fontaine. Je me détourné du tracé blanc et rouge pour me rendre à l'église, puis rejoint avec difficulté le GR. En effet les rues sont parallèles au flanc de la montagne et ne se rejoignent pas. Après deux échecs, je fais demi-tour pour rejoindre ce dernier. Nous passons devant la chapelle Sainte Brigitte [Un des plus longs chemins historiques de Compostelle, celui vient de Scandinavie a été raccordé cet été au chemin du Piémont pyrénéen. Il commémore le pèlerinage à Saint-Jacques en 1341 de sainte Brigitte de Suède, patronne des pèlerins, co-patronne de l’Europe et protectrice de la Suède. Durant son pèlerinage vers Compostelle, la sainte suédoise était accompagnée de son mari, de laïcs et d’ecclésiastiques : moines prêtres, de frères mendiants de divers ordres, comme le cistercien Don Svenung ou Pierre Olafson, prieur de l’abbaye d’Alvastra. Sur leur route, ils s’arrêtèrent probablement aux abbayes de Fontfroide, Gaussens et Rieunette (dans l’actuel département de l’Aude). Près de l’ancien Évêché de Saint Lizier, dans le petit village de Buzan (Ariège), un oratoire dédié à Sainte Brigitte commémore, selon la tradition locale, leur passage dans la région en allant à Compostelle. http://www.villemagne.net/blog/sur-les-pas-de-sainte-brigitte-de-suede-en-route-vers-saint-jacques-de-compostelle]. Nous trouvons un panneau d’information avec la direction de Castillon se trouvant à 8 km. Nous abandonnons la rue (D 504) lorsque qu’elle tourne sur la droite et prenons une petite rue sur la gauche, attention je n’ai pas trop vu de balisage. Après la dernière maison nous retrouvons un chemin qui descend vers Aucazein. Je trouve un pré, relativement propre, proche d’une ancienne grange et m’installe à l’ombre sous un arbre pour me restaurer et réaliser une bonne sieste. Aujourd’hui j’ai le temps je ne fait pas la course, il faut que je reprenne des forces pour les fatigues à venir. Poursuivons notre descente vers Aucazein. Le chemin se poursuit dans les champs puis est coupé par des fils électriques, nous entrons dans une prairie. Le balisage disparaît. On a un semblant de fourche, pour le passage des vaches d'un côté ou de l'autre du champ, il ne faut pas prendre la voie de gauche mais poursuivre la descente le long des taillis. Une fois sortie des fils électriques, le chemin de nouveau marqué au sol descend vers Aucazein, que nous traversons rapidement. [Les Templiers y construisirent une chapelle romane. Wukipédia]. Coupons la départementale dépassons la mairie, traversons la rivière, prenons la direction du Viellot et après un virage en angle aigu, la route s'élève, nous sommes au hameau du Viellot. Nous quittons le bitume lorsque la route fait un angle en épingle à cheveux sur la droite, et prenons le chemin sur la gauche. Le balisage est sur une grosse pierre mais ne se voit plus. Il fait fourche, poursuivons à droite, le chemin est forestier. Nous remontons un peu avant de redescendre sur Agein. Notre chemin devient route. Nous traversons de nouveau un hameau se nomment Viellot, nous avons une fourche poursuivre le GR, ne pas prendre la rue descendant dans la cour de la ferme. Nous traversons la rivière de Bouiganne. Après la rivière la route fait fourche à 3 dents poursuivons tout droit, nous débouchons sur la D 618 que nous prenons à gauche, laissons une rue sur la droite, prenons la seconde nous sommes toujours sur le GR.  Je me détourne pour voir l’église qui est malheureusement fermé. Poursuivons le GR. De rue nous passons à chemin. Je fais une nouvelle pose, où je fais bronzette j'ai le temps il est treize heures et j'ai presque terminé. De rue nous passons à chemin, coupons une nouvelle route poursuivons par un chemin qui longe la départementale. Nous débouchons sur la route que nous prenons à gauche. La route fait fourche, prenons à gauche en direction d'Audresein (D 618 A) nous longeons la rivière.[ Commune des Pyrénées située dans le Castillonnais en Couserans au sud-ouest de Saint-Girons au confluent du Lez et la Bouigane. L'église Notre-Dame de Tramesaygues est située au confluent du Lez et de la Bouigane d'où son nom signifiant "entre les eaux". C'est un haut lieu de pèlerinage dédié à la Vierge depuis le XIIe siècle. L'ancienne chapelle fut reconstruite au XIIIe siècle puis agrandie du XVe au XVIe siècle. Le portail d'entrée est de facture gothique. Le campanile du XIVe siècle et le porche orné de fresques du XVe siècle sont classés. Wikipédia]. Je quitte le GR qui ne passe pas ou j’ai trouvé un gîte. Traversons la rivière et allons voir l’église qui mérite le détour, rien que par ses peintures polychromes sur la pierre. [L'église Notre-Dame-de- Tramesaygues est une église du XIVe. Elle se situe à 503 m d'altitude à quelques pas de la confluence du Lez et de son affluent la Bouigane, les deux principales rivières du Castillonnais. De cette situation, elle tire son nom car tramesaygues signifie "entre les eaux". Une église antérieure est démolie à la suite de la création d'une confrérie Notre-Dame le 8 septembre 1315 pour faire place à l'édifice actuel dont les premiers éléments datent du début du XIVe siècle : la nef centrale, le portail principal e le porche couvert. Des constructions et extensions viennent la compléter aux XVe siècle, XVIe siècle et XVIIe siècle. Au XIXe siècle, un incendie ravage le chœur et le bas-côté sud qui sont reconstruits en voûte de plâtre sur lattis. C'est une église composite à trois nefs avec un clocher-mur. La nef centrale, le portail principal, le clocher-mur au-dessus de l'entrée, le porche couvert en pierre et une partie des peintures murales datent du XIVe siècle Au XVe siècle, l'édifice est agrandi au nord et doté d'un portail nord avec avant-porche attenant qui s'orne de peintures murales au début du XVIe siècle. En 1564, l'édifice s'accroît d'un bas-côté sud ouvert par un portail Renaissance. De cette époque datent la percée de la nef sur les deux bas-côtés ainsi que le voûtement du bas-côté nord où des sondages ont révélé une sculpture Renaissance. Wikipédia]. Je prends la rue principale, traverse la D 618 et poursuis en face la D 804B en direction de Sor, deux ou trois cent mètres plus loin nous traversons le Lez [Affluent du Salat en rive gauche, donc un sous-affluent de la Garonne. Il prend sa source dans les Pyrénées au pic de Maubermé (2 880 mètres d'altitude), situé à la frontière espagnole, Après un parcours de 35,8 km de longueur, gonflé par de nombreux et abondants petits affluents, il se jette dans le Salat en rive gauche, à Saint-Girons. Wikipédia]. En prenant sur la gauche le petit pont de pierre, nous débouchons sur la D804 que nous prenons à droite, nous longeons la rivière, longeons le stade et nous entrons dans Castillon. Pour atteindre le centre ville nous grimpons. [En occitan, castelhon, "petit château". La petite ville s'étale au pied d'une butte boisée couronnée par une chapelle bâtie sur l'emplacement d'un ancien château fort des comtes de Comminges. Des vestiges d'un château féodal du XIIe siècle, il ne reste qu'une chapelle castrale fortifiée au XVIe siècle. Un seigneur féodal : Odon de Castillon est mentionné pour la première fois en 1156. Les foires et marchés de Castillon étaient fréquentés à la bonne saison par les Espagnols venus à pied du val d’Aran ou de la vallée de la Noguera Pallaresa pour y vendre des laines et du sel. Ce fait est attesté par les écrits de Louis de Froidour, Grand-maître des Forêts nommé par Colbert, en 1667 lors de sa grande visite d’inspection dans le Couserans. Lors de la foire de Saint-Marc, le 25 avril, les pauvres se rassemblaient dans la rue Nougarol, les femmes avec une quenouille, les hommes avec un bâton de berger, pour offrir leurs services aux maîtres pour un an. Jusqu'en 1900, on parlait ainsi de la "Foire aux domestiques". De 1911 à 1937, un tramway électrique desservait Castillon au départ de Saint-Girons, dédié au transport des minerais des mines de Sentein et du port d'Orle. En 1940, le groupement 28 des chantiers de la jeunesse s'implante sur la commune avant d'être déplacé, en mars 1943, en Dordogne. Wikipédia]

La chapelle[La chapelle du Calvaire de Castillon-en-Couserans, également dénommée Église Saint-Pierre de Castillon-en-Couserans est une église romane du XIIe siècle, situé au dessus du bourg Elle se situe à 604 m d'altitude, sur une motte castrale. C’est une église romane de taille modeste à simple nef avec un clocher-mur à arcades. Elle était à l'origine la chapelle du château des comtes de Comminges. Wikipédia]

L’eglise Saint-Pierre de Castillon fut la chapelle de l'ancien Comminges château des Comtes de Datee du méridional est orné de voussures et chapiteaux sculptes. Xe-Xllème siecle, son portail L'edifice a été surélevé et fortifié au XVlème siêcle A lintêrieur, derrière le rétable du XVIllème siecle, la voûte du choeur est ornée d'un beau décor XIlle-XIVème). peint roman (probablement du La chapelle et le parc, avec ses cèdres multicentenaires ) sont classés. Panneau d’information un Bernard de Castillon dans la charte de coutumes de Cazavet de 1301. Panneau d’information

Nous n'avons pas de mention d'un ouvrage fortifié à cette période, mais le patronyme Odon de Castilione atteste de l'existence d'un château à Castillon dès 1176. Mais c'est en 1236 que l'on en trouve la première mention: in castro Castelhon. En 1216,Teregnusde Castillon et ses deux fils Roger et René prêtent hommage à Simon de Montfort, chef de la croisade et maitre d'un Comminges dont il vient de s'emparer militairement. On retrouve  un bernard de castillon dans la chartre de coutumes de Cazavet de 1301. Panneau d’information

En 1339, Castillon, qui dépendait de Salies du Salat, devient chef-lieu de châtellenie. Le château devient alors la résidence d'un châtelain comtal. En 1367, Castillon reçoit une charte de coutumes. Au milieu du XVe siècle, le Comminges est intégré à la couronne. ll en est ainsi de même pour Castillon qui est alors admi nistré par un officier du Roi, Dupac, dont les descendants héritent de cette charge de jusqu' à la Révolution. Panneau d’information

La fortification domine l'entrée de la vallée du Lez qui mène au sud vers les vallées du Biros et de Bethmale, et au nord-ouest vers la vallée de la Bellongue. Elle est composée d'un noyau castral, d'une basse-cour et d'une chapelle d'époque romane. Cette dernière fut dotée de créneaux et de merlons dans un contexte de troubles de la fin du Moyen.

 
 
 
 
 
 
 
 
 

 la chapelle Sainte Brigitte [Un des plus longs chemins historiques de Compostelle, celui vient de Scandinavie a été raccordé cet été au chemin du Piémont pyrénéen. Il commémore le pèlerinage à Saint-Jacques en 1341 de sainte Brigitte de Suède, patronne des pèlerins, co-patronne de l’Europe et protectrice de la Suède. Durant son pèlerinage vers Compostelle, la sainte suédoise était accompagnée de son mari, de laïcs et d’ecclésiastiques : moines prêtres, de frères mendiants de divers ordres, comme le cistercien Don Svenung ou Pierre Olafson, prieur de l’abbaye d’Alvastra. Sur leur route, ils s’arrêtèrent probablement aux abbayes de Fontfroide, Gaussens et Rieunette (dans l’actuel département de l’Aude). Près de l’ancien Évêché de Saint Lizier, dans le petit village de Buzan (Ariège), un oratoire dédié à Sainte Brigitte commémore, selon la tradition locale, leur passage dans la région en allant à Compostelle. http://www.villemagne.net/blog/sur-les-pas-de-sainte-brigitte-de-suede-en-route-vers-saint-jacques-de-compostelle].

[L'église Notre-Dame-de- Tramesaygues est une église du XIVe. Elle se situe à 503 m d'altitude à quelques pas de la confluence du Lez et de son affluent la Bouigane, les deux principales rivières du Castillonnais. De cette situation, elle tire son nom car tramesaygues signifie "entre les eaux". Une église antérieure est démolie à la suite de la création d'une confrérie Notre-Dame le 8 septembre 1315 pour faire place à l'édifice actuel dont les premiers éléments datent du début du XIVe siècle : la nef centrale, le portail principal e le porche couvert. Des constructions et extensions viennent la compléter aux XVe siècle, XVIe siècle et XVIIe siècle. Au XIXe siècle, un incendie ravage le chœur et le bas-côté sud qui sont reconstruits en voûte de plâtre sur lattis. C'est une église composite à trois nefs avec un clocher-mur. La nef centrale, le portail principal, le clocher-mur au-dessus de l'entrée, le porche couvert en pierre et une partie des peintures murales datent du XIVe siècle Au XVe siècle, l'édifice est agrandi au nord et doté d'un portail nord avec avant-porche attenant qui s'orne de peintures murales au début du XVIe siècle. En 1564, l'édifice s'accroît d'un bas-côté sud ouvert par un portail Renaissance. De cette époque datent la percée de la nef sur les deux bas-côtés ainsi que le voûtement du bas-côté nord où des sondages ont révélé une sculpture Renaissance. Wikipédia].

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Chapelle de Saint Jean Batiste et la croix de Cassette.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 Les autres photos du parcours

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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  La souffrance ou les efforts physiques d'un itinéraire = état de forme physique + rythme de course + conditions météorologiques + IBP index

 

Classée 3 sur une échelle de 1 à 5


 

 Distance totale: 19,5 Km                                           Distance linéaire: 11.09 Km

Dénivelée positive accumulée: 467 m              Dénivelée négative accumulée: 585,5 m

                                                    Altitude maximale: 841,4 m

Pourcentage de montée: 5.95 %                           Pourcentage de descente: 7.06 %

Dénivelée positive par Km: 23,8 m                     Dénivelée négative par Km: 29,9 m

Temps total: 7:19:43 h                                             Temps de pause: 2:28:39 h

Raison de la différence des horaires. Au vu des nombreux arrêts j’ai coupé le GPS durant le frugale repas et la micro sieste.

Vitesse moyenne totale: 2.67 Km/h                        Vitesse moyenne en mouvement: 4.04 Km/h

 Montées  Distance Km  Km au total en %
   Entre 30 et 55%  0  0
   Entre 15 et 30%  0.581  2.97
   Entre 10 et 15%  0.688  3.52
   Entre 5 et 10%  2.326  11.88
   Entre 1 et 5%  4.26  21.76
   Total  7.855  40.12
 Terrain plat
   Dénivelées de 1 %  3.632  18.55
 Descentes
   Entre 1 et 5%  4.708  24.05
   Entre 5 et 10%  2.117  10.81
   Entre 10 et 15%  0.311  1.59
   Entre 15 et 30%  0.937  4.79
   Entre 30 et 55%  0.222  1.13
   Total  8.295  42.37
  Total trace:   19.58  100 %

 





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