samedi 2 mars 2019

De la Seine à la Marne Etape 4 Lumigny - Momperthuis


De la Seine à la Marne par les GR 1-14-11 

Etape 4 Mauperthuis – Lumigny (parc des félins)


               
  Carte IGN         Trace GPS & Topo sans Commentaires     Trace Randogps       
 
                 Le code mobile de cette randonnée est b312479  
    
                                                               (Explications code Mobile)

Km     Temps      Arrêt      V/d      V/g     Dénivelé
34        5h43        0h16      5,9        5,6       244

Novembre 2017
Le départ se fait depuis le village de Mauprthuis l’arret se trouve sur la D402 descendons cette rue et prenons sur la droite la rue du parc (D15). Nous arrivons à une fourche ou nous trouvons une antenne prenons la rue du pressoir à gauche peut de temps après  laissons sur la gauche la rue de Saussoy poursuivons notre rue du pressoir (balisage jaune) qui débouche sur la rue des coteaux que nous prenons à droite. Nous arrivons au village d’Esse. Laissons un premier chemin sur la gauche et prenons le second qui ce trouve juste en face de la rue d’Esse, nous y rencontrons le GR 14 et le balisage jaune en direction de Mortcerf. Le 
Entre Melun et Coulommiers ce sont les seule vaches que je verrais
chemin serpente entre les clôtures des prairies ou je vois mes premières vaches. Quatre au total. Cela va faire juste pour fabriquer le Coulommiers, nous n’en sommes qu’à sept kilomètres, en plus ce sont des bêtes à viande… Nous passons une première fois un bras du ru de L’Aubetin [C'est un affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,2 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le 

suit sur la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. Il parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne. Wikipédia.] Peut de temps après nous traversons le bras principal, nous débouchons sur la rue de Sainte Aubierge [abbesse de Faremoutiers ( 695) ou Edelburge.
Venue du Pays des Angles pour embrasser la vie monastique en Ile de France. Elle était en effet la fille d'Anna, roi de l'Est-Anglie, mais comme aucun couvent ne lui convenait, elle s'en vint sur le continent à l'abbaye de Faremoutiers, à Eboriacum au pays de Meaux, dont elle fut l'abbesse.
Par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu.  
 
Un internaute nous écrit: "Sainte Aubierge n'est autre que Sainte Ethelburge (Edelburge), fille d'Anna, roi de l'Est Anglie (Suffolk Grande Bretagne) et de Sainte Hereswyde - 3ème abbesse de Faremoutier (77515), à la mort de sa sœur Sainte Sethride - Sœur des saintes Sexburge, Etheldrede d'Ely (Audrey), Wibburge et de Saint Erconwald, évêque de Londres. Son culte: D'un coup de crosse, elle fit surgir une fontaine qui alimente actuellement un lavoir, une chapelle attenante abrite toujours la châsse de Sainte Aubierge sur la commune de Saint-Augustin (77515), diocèse de Meaux - Son monastère double était sous le règle stricte de Saint Colomban"
Sainte Aubierge est née en Angleterre au VIIe siècle... D'après la légende, l'Aubetin étant à sec, Sainte Aubierge aurait frappé le sol de sa crosse et en aurait fait jaillir la source... (Pèlerinage de Sainte Aubierge le lundi de Pâques à Saint-Augustin)
À Eboriacum au pays de Meaux, l’an 695, sainte Édelburge, abbesse du monastère de Fare (Faremoutiers). Fille d’un roi des Angles orientaux, par son abstinence sévère et sa virginité perpétuelle, elle rendit gloire à Dieu. Martyrologe romain
http://nominis.cef.fr/contenus/saint/7484/Sainte-Aubierge.html] rue que nous  
La gare plantée au milieu de nul part
prenons à gauche nous entrons dans Farvache prenons sur la droite la rue de Brie, nous sommes toujours sur le GR 14 et le balisage jaune en direction de la foret Malvoisine. La rue tourne sur la gauche et nous prenons à droite le chemin du Bois Ferment le balisage jaune nous l’indique, longeons la clôture puis prenons le premier chemin sur la gauche, la marque du GR est un peu plus loin sur un arbre. Après les champs et les bois nous longeons le Haras de la Baconnerie. Nous débouchons sur la D 25 (rue de l’obélisque que nous prenons à gauche. Après quelques mètres nous prenons à droite la route forestière de Marganat, (parcelle  141) c’est une grande allée toute droite ne pas prendre le sentier sur la gauche. Prenons le première chemin à droite. 
 Nous sommes dans la foret de Malvoisine. Nous suivons le balisage du GR prenons une allée à gauche nous débouchons sur une grande allée empierrée de calcaire(route du tour de Lumigny) que nous prenons à gauche (le balisage à été modifié mais pas la carte). Nous arrivons au carrefour en étoile des Trois carrefours, il a un kiosque pour s’abriter. Nous prenons à droite la route de l’essart (GR et balisage jaune). Nous approchons de l’orée de la foret mais prenons un petit sentier sur la gauche pénétrant dans la parcelle. Nous quittons le balisage jaune, faisons un esse droite gauche et coupons une route bitumé nous continuons en face par la route forestière de Nanteuil.  Nous longeons la parcelle 231 puis prenons la route forestière royale sur la droite  le balisage nous fait prendre à droite un chemin débouchant à l’orée de la foret nous longeons cette dernière. Alternance de bois et de champ et nous tournons à quatre vingt dix degrès à gauche sans vraiment comprendre pourquoi après un petite taillis. On se dirige vers une ferme. Pas facile ce passage avec ce virage on à tendance à relâcher l’attention et de louper ce changement de direction, sutout que le balisage n’est pas très bien fait. Notre chemin dans les champs débouche sur la D20E que nous prenons un court instant sur la gauche puis à droite la rue des Tournelles. Passons le ru du même nom et contournons la clôture du parc fortement arboré ne permettant pas de voir le château par la droite. On ne verra pas le château. [Le château accueil des enfants mineurs en difficultés. Le village de Hautefeuille est nommé en 1270 dans une sentence définissant les limites entre le Comté de Champagne et le domaine royal. Il se trouve alors dans une « marche séparante » dans laquelle le comte et le roi ont chacun droits de justice. En 1285 le village est rattaché à la Couronne à la suite de l'accession au trône de Philippe IV le Bel qui avait épousé en 1284 Jeanne de Navarre héritière du royaume de Navarre et du comté de Champagne.]La route tourne sur la gauche et longe un champ en forme de triangle. Attention le GR tourne sur la droite juste à l’orée du bois et à l’angle aigu du champ, ce n’est pas très bien indiqué seul une croix nous indique qu’il ne faut pas poursuivre la route. Nous longeons le bois puis nous sommes de nouveau dans les champs. A la cote 128 le chemin forme Té sur la carte le GR 14 tourne sur la droite et peut être à tort je coupe en prenant à gauche vers la ferme de la Fourcherie au lieu de partir à droite vers le châpitre. Le chemin contourne la ferme et le hangar nous retrouvons le GR 14 sur la route d’accès à la ferme que l’on prend à gauche, après un parcours dans les champs nous coupons la D 20 poursuivons en face par le chemin de Faremoutiers. Nous longeons un bois et nous arrivons à une fourche à trois dents avec une croix en bois ; chemin du port sur la droite, la ruelle des prêches pratiquement face à nous et la rue d’Hautefeuille un peut à droite. Nous prenons  cette dernière. Le balisage nous aide à poursuivre notre itinéraire. Nous entrons dans Mortcerf par la rue d’Hautefeuille. [Bâti sur les contreforts de la forêt de Crécy, le village de Mortcerf apparaît pour la première fois dans les écrits historiques au XIe siècle. Comme Villeneuve-le-Comte ou Neufmoutiers-en-Brie, l'implantation du village est avant tout le fait des moines défricheurs qui opérèrent dans la Brie au cours des VIe et VIIe siècle.
Mortcerf doit ses heures de gloire au domaine de Bécoiseau, élevé au rang de château royal au cours du XIIIe siècle.Celui-ci vit le mariage de Philippe-le-Bel et fut habité régulièrement par les derniers Capétiens et les premiers Valois. Il ne reste aujourd'hui que quelques murs de cet imposant domaine, tous situés sur des terrains privés. Le village compte également une large église Saint-Pierre-Saint-Nicolas, érigée au XVIIe siècle ainsi que de nombreux bâtiments anciens, tels des fermes ou des fours à chaux.] Nous débouchons entre la rue du Vingt sept Aout (date de la Libération du village par les américains.) et la rue de crévecoeur nous prenons à gauche cette dernière Puis nous prenons à droite la rue du vieux château, Nous sommes toujours sur le GR et un balisage mauve. Nous sortons du village pour retrouver des maisons un peu plus loin dans le hameau de Bécoiseau, dans le virage de la rue nous trouvons un chemin face à nous (Attention la marque du GR indiquant qu’il faut tourner à droite nous perturbe un peut, il faut bien regarder dans le trait blanc, il est écrit à 200m en noir.) laissons la route partie sur la droite et prenons le chemin. J’ai
loupé ce dernier sur la droite dans la monté, pas vu, pas fait attention, faut dire qu’entre l’herbe retournée par les sangliers et les nouvelles pouces de céréales dans les champs, le chemin ne se voit pas bien. Donc, faire attention dans la monté… le chemin après avoir traversé le champ longe une clôture et un bois il débouche sur la D 216 que nous prenons sur la gauche et après quelques mètre nous prenons à droite le chemin de la choquette. Beau chemin bordé de barrière en béton et menant à un domaine forestier. Avant le pont de chemin de fer nous prenons à droite le chemin de courte soupe longeant la ligne SNCF. Nous sommes toujours sur le GR 14. Le chemin fait fourche et nous prenons à gauche. Nous débouchons dans la rue des Maniquets bordée de maisons individuelles et pour la retraite. Nous débouchons rue de la gare que nous prenons à gauche et juste avant cette dernière nous prenons à droite le chemin latéral le long du parking. De route desservant une maison nous passons une barrière et de route nous passons à chemin dans les bois, nous longeons la ligne SNCF. Nous débouchons sur la route des Vallées que nous prenons à gauche nous longeons le ru de Binel, face à nous certainement une ancienne carrière et une tour !!! Sommes nous à la carrière de chaud … [Four à chaux . La forme et les dimensions de cette vaste excavation blanche rappellent les cirques romains. Au fond, une porte basse donne sur des sortes de grottes ou logettes creusées dans la masse. Les ouvriers sont chargés d'agrandir l'excavation à coups de pioche pour récupérer le calcaire 
qui est ensuite traitée dans les fours. À l'origine, il y a plusieurs fours ainsi que deux immenses cheminées en brique. Le gypse, ou terre de plâtre, semble faire son apparition à l'époque gallo-romaine. Louis XIV préconise le plâtre dans les constructions pour protéger les maisons à pans de bois et éviter les incendies.] Passons sous le viaduc de la ligne SNCF [Construit pour la ligne SNCF Paris - La Ferté-Gaucher-Coulommiers-Sézanne, ce pont est constitué de trois arcades passant au-dessus de la route de Mortcerf. Il est construit sur place avec la terre de Mortcerf, par 1 000 ouvriers.] (Les topos sur Mortcerf proviennent de wiquipédia et du site de la Mairie.) Dans le bas de la vallée La route fait un angle sur la gauche, nous rencontrons le GR 1 en provenance d’un chemin sur la droite. Nous sommes maintenant sur le balisage GR 14-1, violet de crévecoeur et foret de Crécy et le jaune celui des trois châteaux. Nous apercevons les premières maisons du Plessis Sainte Avoye. Dans le virage à droite nous abandonnons la route pour prendre le chemin sur la gauche montant vers le hangar. Les Gr pénètrent dans la foret de Crécy  et à l’orée nous abandonnons le balisage jaune. Dans cette foret la trace du GR 1 à été modifiée mais je n’ai pas vue ou, du coup j’ai suivi le 14 et à la bifurcation sur la carte n’ayant plus de balisage
blanc et rouge avec l’indication GR 1 j’ai suivi sur la gauche l’ancienne trace qui est aujourd’hui un balisage mauve. J’ai un peu cherché sur la route pavé (qui ne l’ai pas dans cette partie) et je n’ai rien trouvé. On ne retrouve pas non plus de trace du GR seul la couleur mauve nous aidera. Pas facile ce chemin défoncé par les engins de débardages et retourné par les sangliers. Pas facile ce chemin ou l’on glisse plus que l’on marche. Nous débouchons sur un autre chemin formant Té que nous prenons à droite, puis le second à gauche, nous sommes route Bourbon, prenons le premier chemin à droite (route philippe) nous coupons la D 231 (sur la droite nous devinons l’obélisque) poursuivons en face (parcelle 28) balisage mauve. Comme je n’avais plus de balisage blanc et rouge et que le terrain était très boueux, je ne me suis pas amusé à réalisé les crochets de l’ancien GR j’ai poursuivi la route rectiligne philippe. Je retrouve la marque du GR à l’endroit ou actuellement il quitte cette route. Nous débouchons sur un autre chemin formant Té que je prends à gauche (route tournante) on y retrouve des marques mauve et un fossé comportant un ru.   Après réflexion nous sommes sur un chemin de bornage ce fossé marque peut être encore un peu plus la séparation entre le privé et le communale. Passons la barrière abandonnons la route tournante pour suivre le balisage sur la droite nous sortons de la foret. Après un esse droite gauche nous coupons la D 216 et prenons en face la rue de Grosbois nous amenant à Crèvecœur en brie. Nous quittons le GR1 partant sur la droite juste avant le passage à niveau. Nous franchissons la ligne de chemin de fer et prenons à gauche de suite après nous suivons le balisage jaune et mauve. Nous entrons dans le bois de l’Epine passons quelques ruines et prenons le chemin de droite puis le premier à gauche. Après un esse droite gauche et le passage d’un ru, nous sortons du bois pour longer un champ et rentrons de nouveau dans le bois toujours balisage jaune & mauve nous longeons des clôtures. Nous retrouvons la route tournante formant Té avec le notre, nous prenons à droite. Nous débouchons rue des amourettes que nous prenons à gauche. Notre rue forme à Té devant l’église entourée de son cimetière. [Edifiée au XIIIè c’était la chapelle du château, ce qui explique son emplacement excentré par rapport au village. En 1896 on installa l’horloge à la base du clocher.] Prenons à droite (rue de la foret de crécy) et entrons dans Crèvecœur. [Une légende explique l’origine de CREVECOEUR de la façon suivante:
Au Moyen Age, le seigneur des lieux participa à la première croisade. Pendant son absence, son épouse l’aurait trompé avec l’intendant resté au château. De retour de Terre Sainte, le seigneur, ayant appris son infortune, jugea sa femme et la condamna a être traînée, attachée à la queue d’un cheval indompté. En mourant, l’épouse se serait écriée: «Ah! quel crève cœur!»
Le nom de Crèvecœur (Creive-cor ou Crève-cuer) est cité dès 1175 dans les rôles des fiefs du comté de Champagne et de Brie. Il existe deux origines vraisemblables, du nom de Crève-coeur :
Jean de Crèvecœur, seigneur normand, dont le fief est à Crévecoeur en Auge, part conquérir l'Angleterre avec Guillaume le Conquérant et contribue à la victoire d'Hastings (1066) ; il est cité sur la célèbre tapisserie de Bayeux ; les seigneurs de Crévecoeur (en Auge) sont connus comme de grands soldats et comme architectes en fortification auprès du roi et des grands vassaux. Il s'agirait alors d'un château fort "à la façon Crèvecoeur".
Au Moyen-Age, un crève-coeur est une terre pénible à labourer, car lourde et difficile à drainer ; de plus, la perte de la récolte après une pluie abondante sur un terrain argileux est fréquente. Les terres de Crèvecœur étaient marécageuses au Moyen Age - les noms des lieux-dits « l’Etang » et « Courtesoupe » en attestent - et jusqu'au XIXe siècle réservées à la prairie et à l'élevage.
L'une et l'autre de ces deux propositions expliquent le nombre élevé de villages appelés Crévecoeur au pourtour de l'Ile de France ; elles sont complémentaires, car, en plaine, les châteaux et leurs douves étaient souvent construits en bordure de marais ou d'étangs, difficiles à franchir en armure ou avec des équipements de siège; c'est le cas en particulier de Crévecoeur en Auge et de Crèvecœur en Brie.Du point de vue historique, le village doit son origine à un petit fort de défense autour duquel quelques habitations s’étaient regroupées, dès le XIème siècle.Les premiers seigneurs Pierre et Jean de Crèvecoeur accompagnent leur suzerain, le Comte de Crécy, à la première croisade en 1096.Au début du XIIIème siècle Guy et Hugues de Châtillon, possesseurs de la châtellenie, firent construire un véritable château fortifié. En 1220-1221, on érigea une chapelle qui devint l’église paroissiale. Cette église est appelée dans les pouillés (registres) anciens «CREPICORDIUM».Crèvecoeur connut son heure de gloire aux XIIIème et XIVème siècles, le château devenant résidence d’été des rois de France. Philippe VI de Valois y maria sa fille en juillet 1332.Village et château furent en partie détruits par les Anglais pendant la guerre de cent ans en 1430, puis ravagés par les Ligueurs au XVIème siècle.
Au XVIIIème siècle les ruines du château servaient de carrière pour la construction des maisons du village.
Le château actuel, en centre village, a été construit sur les ruines de l’ancien château, en 1897. http://www.crevecoeur-en-brie.fr/fr/information/89926/histoire] Dans le virage nous avons un grand 

portail. Fatigué je n’y ai vu que la fondation d’un ancien château fort derrière de nombreux bosquets cela ne ma pas attiré plus que cela. Je pensais que le château avait été abattu et que les communs furent transformés en ferme ou en habitations.  La rue tourne fortement à droite et nous avons face à nous la Mairie – école.  [Construite en 1888 après la loi Jules Ferry rendant l’école gratuite et obligatoire. La cour fut pavée en 1882.] Poursuivons la rue tournant à gauche face à la mairie-école. Nous arrivons place Saint Jean devant ce qui est peut le centre aéré ou la cantine ou salle des fêtes, nous prenons à gauche la rue de Baloquin. Nous avons abandonné les balisages mauve et jaune. C’est en faisant une pose avant l’aire de jeu que j’aperçois les toitures du château. Trop tard pour revenir en arrière. Je suis fatigué, et l’heure du bus arrive à grand pas. Poursuivons la route, passons une mare et le ru du Bréon, un peu plus loin sur la gauche une grosse ferme. Poursuivons le bitume qui débouche sur une route formant Té. (Je devais prendre à gauche puis traverser la foret au clos Brilland pour rejoindre la foret de Lumigny. Impossible le bois autour du clos est clôturé.) Il faut donc prendre à droite la petite route, à la patte d’oie à gauche cette petite route débouche sur la D 143 que nous prenons à gauche. Nous arrivons à la ferme isolée du Clos Touret . Je veux prendre le chemin le long de la maison comme dans l’étape 6 mais je me fais attraper par le propriétaire le chemin est privé… Je parlemente un peu et il m’autorise à rejoindre le bois. Au premier carrefour je prends le premier large chemin renforcé en cailloux de silex, sur la gauche (c’est l’endroit ou l’on trouve le puits) sur ce chemin je retrouve un balisage jaune ? Étonnant dans un bois privé ou alors il n’y a que le chemin ? Le chemin fait un esse gauche droite puis débouche dans les champs ou je retrouve mon beau chêne ’’pommier’’. Nous arrivons sur la D20 que je prends à droite, j’arrive au rond point de la 402 dix sept minutes avant l’arrivée du bus. Une chance que le propriétaire mais laissé passé…
La seule façon pour éviter le bois de Lumigny. Poursuivre la D 143 laisser la route menant à la ferme de la Ville du Bois. Poursuivre jusqu’au carrefour ou l’on prend la route de droite en direction de Champlet. Traverser le village. Dans le virage, (il n’est pas utile de tenter sa chance par le chemin de droite arrivée dans les champs et le petite bois il devient difficile voir impraticable.) La route débouche sur la D 20 que nous prenons à droite.



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De la Seine à la Marne Etape 3 Guigne - Lumigny



De la Seine à la Marne par les GR 1-14-11 

Etape 3 ; Guigne – Lumigny



  Carte IGN             Trace GPS et topo sans commentaires    Trace Randogps                   
 
                 Le code mobile de cette randonnée est b312386
                                                                                   
(Explications Code Mobile)

Km     Temps      Arrêt      V/d      V/g     Dénivelé
29,5     4h40        0h7         6,3        6,2          84 +

J’ai choisi comme arrêt de bus le parc des félins, un arrêt en pleine campagne juste avant le village de Lumigny (Le parc des félins est un parc zoologique.) Comme l’étape précédente je la fais en revenant en arrière. Le bus partant de Melun, je pense qu’il sera à l’heure, je vais donc au plus loin et je reviens sur mes pas. Aujourd’hui le temps n’est pas formidable, j’ai un brouillard à couper au couteau.
L’arrêt se trouve proche d’un rond point sur la D402. Je prends à gauche la D20 en direction de Lumigny, prenons le premier chemin sur la gauche nous trouvons une croix jaune sur un poteau électrique. Après un beau chêne pommier isolé (en forme de pommier) nous entrons dans le bois de Lumigny, nous devinons quelques balises jaune. (Aujourd’hui j’ai un brouillard à couper au couteau et je ne rencontrerais personne. J’ai traversé ce bois sans anicroche. A sa sortie nous avons une maison le clos Touret avec un panneau propriété privé j’ai cru que c’était le champ autour de la maison. Lors de l’étape 4 j’ai repris cette partie de l’itinéraire et je me suis fait attraper par le propriétaire qui travaillait dans son jardin. Il semblerait que la foret soit privé ou que le chemin qui y mène le soit. Il me laissera tout de même traverser la foret. Je l’en remercie cela ma permis de prendre mon bus à l’heure et de réaliser un parcours plus agréable que sur la route.) Laissons les chemins à droite et à gauche, passons un grand carrefour, je n’ai pas revu de balisages. Poursuivons notre chemin devenu renforcé en calcaire. Nous arrivons à un nouveau carrefour ou l’on prend à droite. Nous trouvons sur la gauche un puits, sur la carte deux rectangles noir je suppose que les maisons forestières ou de gardes on été démolies pour éviter les squatteurs (nous ne sommes pas encore sur le GR). A la sortie du bois nous avons deux mares ou un ragondin à traversé devant moi, un peu avant c’est un faisan d’élevage lâché il ya peu de temps qui cherche un passage dans le fourré pour ce 
cacher. Pauvre bête il ne sait même pas volé. Dimanche il sera dans une gamelle entouré de petit poids et les convives seront satisfait de manger une volaille fraîchement sortie d’une volière et nourrie au OGM… j’exagère certainement mais dans mes randos j’en vois parfois des survivants à la période de chasse et ils n’ont pas ce comportement, ils volent eux, et vont se poser sur un arbre, là en courant avec mon bâton à la main j’aurais peut être réussi à lui mettre un coup derrière les oreilles. Nous débouchons sur la D 143 que nous prenons à gauche passons devant la ferme ‘’Le Clos Touret’’ et prenons le
premier chemin sur la droite. (Maintenant que l’on est prévenu, le seule moyen d’éviter ce bois c’est de poursuivre la D 20 jusqu’à l’embranchement de la route sur la gauche menant à Champlet, traverser le village la route débouche sur la D143 que l’on prend sur la gauche. Après la ferme ou la maison le clos Touret nous prenons la route sur la droite nous avons retrouvé la trace.) Cette route forestière entre bois et champs débouchant sur un carrefour entre 

deux routes bitumées ou nous prenons la route de gauche, nous arrivons à un grand rond point en triangle, un panneau routier nous indique Marles sur la gauche, nous y retrouvons également un balisage jaune. Ce qui est étonnant sur cette petite route de campagne c’est ce grand triangle au milieu de ces deux petites routes. Abandonnons le bitume en poursuivant le chemin face à nous en lisière de bois et de champs. Passons le ru de Certeau et nous rencontrons enfin la GR 1doublé d’un balisage jaune que nous prenons à gauche. Dans ce brouillard ou je n’ai aucun repère, hors mis mon GPS, j’ai longtemps douté  de mon itinéraire pensant que je m’étais trompé de trace et qu’au lieu de rejoindre Guigne, je me dirigeais vers Coulommier. Le GR fait une large boucle sur la droite. Nous débouchons sur la D 143E que nous prenons à 
gauche. Passons le pont au dessus du ru du Bréon sur le parapet nous trouvons la marque du GR et le balisage jaune. [C'est un affluent de l'Yerres en rive droite, donc un sous-affluent de la Seine. Longueur 21 km. Le Bréon organise un territoire de la Brie centrale compris entre celui de la Marsange à l'ouest et de l'Yerres à l'est (en amont de la confluence avec 
l'Yvron). Les communes concernées du bassin versant (excepté Chaumes-en-Brie) se sont d'ailleurs regroupées au sein de la Communauté de communes du Val Bréon. Le ru de Bréon est un cours d'eau calme, d'une profondeur maximale de quelques décimètres selon les endroits traversés. Le ru du plateau briard au débit insignifiant devient à partir de Fontenay-Trésigny un véritable ruisseau à la vallée fortement individualisée. Son parcours, sinueux, a une orientation 
 générale allant du nord au sud pour rejoindre l'Yerres. Le ru de Bréon est un des plus importants affluents de l'Yerres, le quatrième en longueur et en bassin versant après la Visandre, la Marsange et l'Yvron. Wikipédia] Nous arrivons à Marles en Brie par la D 143E [Le village est mentionné dès le XIIe siècle, "Malles".Marles dépendait de l'évêché de Meaux et de la seigneurie de Tournan (actuel Tournan-en-Brie). Philippe le Hardi l'enleva à Anceau de Garlande et la plaça sous la dépendance de son château de Melun, mais Marles resta lié à la seigneurie de Tournan, qui appartenait elle-même à la seigneurie de Fontenay (actuel Fontenay-Trésigny). Au XVIIIe siècle, Marles présente un rempart en forme de quadrilatère dont les angles sont situés aux axes cardinaux, où se trouvent les portes. Ce rempart a été démantelé au XIXe siècle, mais le tracé a subsisté à travers les rues (rue de la Brêche-aux-Loups, chemin de la Ferme-du-Moulin, début ouest de la rue du Chemin-Vert) et les limites cadastrales. Marles devint alors la propriété du comte d'Eu au XVIIIe siècle, puis celle du duc de Penthièvre jusqu'à la Révolution française. En 1789, le village faisait partie de l'élection de Rozay et de la généralité de Paris dont il suivait la coutume. Le diocèse de Meaux avait la collation de l'église paroissiale Saint-Germain-d'Auxerre. wikipédia] Dès l’entrée nous suivons sur la droite le mur du cimetière. A l’angle suivant à droite, ‘’la rue du cimetière’’, la rue se termine en chemin et fait fourche nous prenons à gauche. Ce dernier devient rue du moulin. Nous débouchons rue Caron que nous prenons à droite, puis à gauche la rue de la Croix Saint Pierre. Laissons une rue à droite et un chemin intra muros pour prendre sur la droite la rue de Boitron situé après un arrêt de bus. Traversons une zone pavillonnaire en construction, le balisage manque un peu dans cet espace changeant de jour en jour (en 2017). Quittons le bitume et poursuivons le chemin dans ce qui reste de champ et de bois, nous trouvons une marque sur une traverse de chemin de fer planté en terre. Coupons l’avenue du Générale 

de Gaulle (D 436) poursuivons en face. Au carrefour des chemins prenons à gauche et nous longeons une pépinière de sapins de Noël (sapin Norman). Nous arrivons à un grand carrefour entre la D 436 & la D 144a. Nous sommes à la Croix Saint Pierre, remontons sur quelque mètres la rue du même nom et prenons un chemin sur la droite entre clôture et champs. C’est un passage bien compromis le long des clôtures ou les branches des arbres débordent, ou le champ (ancienne carrière) en jachères sauvages, ou les ronces et les orties s’avancent sur le chemin qui est certainement peu fréquenté puisqu’il ne relie rien d’intéressant étant donné qu’il butte sur la N4. Nous débouchons route de Chaubuisson que nous prenons à droite jusqu'à l’Avenue du Générale de Gaulle que nous prenons à gauche, passons sous la N°4. Nous entrons dans Fontenay-Trésigny. [ La 
plateforme structurale supérieure de la Brie est constituée par une couche de pierre de meulières datant du Sannoisien. L’exploitation de ces pierres de meulières a fourni un matériau de construction très utilisé dans la commune. La couche de meulières est surmontée par un manteau plus ou moins régulier de limons des plateaux qui sont constitués par des dépôts argilo-sableux fins et compacts d’une fertilité importante. D'anciennes marnières étaient exploitées sur le territoire, notamment près du ru de Monnoury (carrières de Chaubuisson) et du Bréon (moulin du Pont). L'extraction des meulières était liée au besoin de matériaux de construction, pour les habitations et les murs d'une part, et pour la construction des routes en essor aux  
XVIIIe siècle et XIXe siècle d'autre part. L'exploitation était importante à Fontenay. À la gare, on chargeait des wagons destinés aux chantiers parisiens. Des carrières d'extraction de sablons ont été exploitées dans les années 1960 dans le bois de la Garenne. Elles font actuellement l'objet d'un remblaiement avec des déchets inertes issus du bâtiment et travaux publics avant un reboisement ultérieur. Des carrières de calcaire (anciennes carrières de Châtres) ont été exploitées dans le bois de la Boissière. Le territoire de Fontenay-Trésigny fut inclus en 1984 dans un périmètre de recherches et d'exploitation pétrolières dit « Permis de La Marsange ». Le permis fut renouvelé en 1990 puis prolongé en 1995. Il fut repris en 1997 avec la concession de mines d'hydrocarbures liquides ou gazeux dite « Concession de Champrose ». En 2010, un permis exclusif de recherches a été accordé à la société Poros SAS , portant sur 459 km2 et valide jusqu'au 21 octobre
2015. Fontenay était reliée à Paris dès le XVIIIe siècle par une grande route rectiligne passant par Tournan et se terminant à Rozoy. Cette route ne sera poursuivie qu'au XIXe siècle à la sortie de Rozoy. Le « chemin de Rozoy à Sésane » ou « Grande route de Sésane » passait par Voinsles venant de Rozoy et allant vers Vaudoy-en-Brie. Fontenay était également reliée à Melun et à Meaux dès le XVIIIe siècle par une grande route rectiligne qui croisait la route de Paris à Rozoy au niveau des Bordes, aux Quatre Chemins. Aujourd'hui Fontenay-Trésigny est un important nœud routier, desservi par la voie rapide route nationale 4 allant d'ouest en est de Paris à Nancy etcontournant la ville au nord (déviée en 1960 pour la première voie et 1995/1997 pour la seconde voie), la route nationale 36 (allant du nord au sud de Meaux à Melun, et la route départementale 402 à l'est. se croisaient au centre de la ville. La RN 36 pourrait être aménagée à terme en voie express à 2×2 voies dans le cadre du grand contournement Est de l'Île-de-France. La ville de Fontenay-Trésigny est accessible par cinq entrées : rue Bertaux (nord-ouest), avenue du Général 

Leclerc (nord), avenue de Verdun (est), avenue Pasteur (sud) et rue Jehan de Brie (sud-ouest). La ville était desservie jusqu'en 1969 par la ligne de Paris-Bastille à Marles-en-Brie. Longue de 13 kilomètres parcourus en 23 minutes, elle fut mise en service le 5 juin 1893. Pour des raisons militaires, on fit se joindre la ligne Paris-Belfort et celle de Paris-Coulommiers (en cas de destruction du viaduc de Nogent-sur-Marne). Le prolongement prévu en direction de Meaux ne vit jamais le 
jour. La ligne de Verneuil-l'Étang à Marles-en-Brie fut fermée aux voyageurs le 1er juillet 1939 et fut remplacée par un service d'autobus. Pour le service de marchandises, un tronçon resta en activité. La fermeture définitive aux marchandises eu lieu le 3 novembre 1969. En 1950, le département constatant que les transports routiers étaient redevenus normaux, décida de fermer définitivement ce tronçon le 1er juillet 1950 et le reste de la ligne le 21. Tout comme pour le train, la voie a été déposée et le tracé a en partie disparu mis à part le chemin du Tacot actuel, et un pont en pierre sur le ru de Monnoury, proche d'un lavoir remis en état par les Chantiers Écoles du Centre-Brie.
 La vieille ville de Fontenay s'est établie en amont direct de la confluence du Bréon et du ru de Monnoury. La 

vieille ville fortifiée apparaît comme un ensemble compact d'habitations centré sur l'église, traversé par deux grandes rues (rue Bertaux et rue Pillot), et entouré par un rempart comportant une dizaine de tours et ouvert sur les portes d'en bas et d'en haut ainsi que sur le Bréon (rue Jehan de Brie) et sur le château de Fontenay intégré dans la partie sud de l'ensemble fortifié. Le destin de la ville est indissociable de celui du château de Fontenay, bâti sur un lieu de passage en s'appuyant sur le Bréon. La partie la plus ancienne de la ville s'étend le long des rues Jehan de Brie (appelée alors « rue de Laveau ») et Bertaux (appelée alors « Grande Rue »), de l'église (fondée au XIe siècle) à la porte d'en bas (édifiée en 1544). L'ensemble compact d'habitations,  accolées les unes aux autres, est déjà présent au XVIIIe siècle. Le bourg est fortifié aux XVIe et XVIIe siècles, entouré d'une enceinte de murailles et de fossés.
 La porte d'en haut est édifiée en 1661. Il est vraisemblable que le chemin de Rozoy (ou de Nesles) passait au Moyen Âge par le Margat (rue du Margat) et les Bordes (rue La Fayette). Il croise au XVIIIe siècle la route rectiligne de Paris à Rozoy à l'est des Bordes, en rejoignant comme chemin de Chaubuisson, l'ancien chemin de Rozoy à Marles par le fief de Chaubuisson (Chaux Buisson). La porte d'en bas, ou porte des Bordes, fut édifiée dans l'axe du chemin, qui sera dès l'époque moderne supplanté par la route parallèle au nord, axe de développement de Fontenay vers les Bordes qui constituent un village dès le XVIe siècle. Le hameau de Visy, terre royale, dépendant du château du Vivier depuis le XIIe siècle, fut longtemps planté de vignes. Le lavoir de Visy était alimenté par le ru de Bréon.
Extraie Wikipédia  (porte d’en bas et rue Bertaux)]
L'église est un ancien prieuré - cure de chanoines réguliers à la collation de l'abbé de Notre-Dame-du-Châge, à Meaux.
Il ne reste de l'enceinte urbaine fortifiée que le porche de la rue Bertaux.
Le Château du Marquis de Trésigny date du 17ème. Il fût modifié au 19ème. Nous y trouvons les deux tours anciennes; les communs du 17ème; un escalier à rampe en fer forgé du 17ème; la grille d'entrée du 18ème et le colombier.
L'église Saint-Martin a été construite entre le 15ème et le 16ème siècle.
Elle se distingue par une très belle tour en grès à lanternons, sa nef couverte en charpente de chêne, sa grille de choeur datant du 18ème, sa chaire datée de 1621 et ses fonts baptismaux datés de 1521. On trouve aussi un saint Jérôme sur panneau de bois, peint au 16ème siècle quant à la cloche, elle a été fondue en 1723.  
www.fontenay-tresigny.fr/] Après un carrefour nous prenons à droite la rue Louis Braille, puis à droite l’Avenue du Général de Gaulle. Au rond point nous prenons la rue Bertaux en passant sous la porte d’entée de l’ancienne ville fortifiée. Situé face à l’église nous apercevons le château (moi je n’ai rien vu, il y avait trop de brouillard. Dommage c’est le château du Duc d’Epernon ) A l’église longeons les dépendances du château et prenons à gauche la rue Jehan de Brie (D 144A) passons au dessus d’un ru et sortons de Fontenay Trésigny nous sommes toujours le GR1. Au carrefour avec la C6 (avec une direction des fermes de jean-Grogne & Renouilleux) nous prenons la rue de gauche fermer à la circulation par une borne amovible. Longeons le ou les murs d’enceintes du château. Nous arrivons à l’accès de la station d’épuration poursuivons tout droit, nous passons au dessus d’un ru dérivation du Bréon nous sommes au moulin du pont. Poursuivons le chemin entre deux clôtures. Nous passons le Bréon longeons des étangs attention à le chemin tourne à droite et le balisage ne se voit pas beaucoup. Nous arrivons à Visy par le chemin du parc, nous débouchons rue du Bréon que 

nous prenons à droite nous passons un lavoir à l’abandon puis le Bréon et débouchons sur la D 144A que nous prenons à gauche. Nous passons devant la ferme des Tournelles et plusieurs Haras et élevages de chevaux. Laissons le balisage jaune et le château du Vivier sur la gauche poursuivons la départementale vers le château d’Escoublay. Nous prenons le prochain chemin sur la gauche après avoir longé une haie renforcé de barbelée. Le chemin fait un esse entre deux murs et un porche. Nous longeons deux étangs de pisciculture que l’on voit à peine, une végétation touffue nous en empêche, le chemin tourne sur la droite entre deux grillages et devient chemin de l’étang. Nous entrons dans Chaume en Brie par le chemin de l’étang, [Cette antique bourgade romaine s'appelait Calma ce qui signifie hauteur, la commune étant localisée sur un plateau. La ville était fortifiée au Moyen Âge et dotée d'une longue muraille dont il reste des vestiges. Appelée à l'origine Chaumes, elle deviendra par arrêté du 7 septembre 1905, Chaumes-en-Brie. Wikipédia] 
Nous contournons le cimetière, débouchons rue de Chatres (D144) que nous prenons à gauche, la rue tourne sur la droite et devient rue Pasteur, à la fourche nous prenons à gauche rue A. Chaussy. Au carrefour nous prenons peut de temps la D402 rue du Soupir. Puis sur la droite le Boulevard des Barres. Nous prenons la rue Sainte Foix, puis à gauche la rue Parmentier, me rendant compte que je n’allais pas en centre ville je prends sur la droite la rue de Verdun. Je reviens sur la D 402 que je prends à gauche. Passons devant l’église [L'église Saint-Pierre-Saint-Paul est la seule qui reste des trois églises de Chaumes. Les parties les plus anciennes, le clocher, le chœur, l'abside, les chapelles Saint-Roch et de la Vierge datent du XIIIe siècle. De nombreuses restaurations se sont succédé. Le portail a été édifié en 1755. La flèche, détruite par la foudre en 1766 et reconstruite en 1866, est à nouveau foudroyée en 1942. Elle sera restaurée en 1964. À l'intérieur, on peut admirer une crucifixion due au peintre Philippe de Champaigne. Un reliquaire renferme des ossements de différents saints. L'orgue n'est pas celui sur lequel ont joué les membres de la famille Couperin. Il date de la  
seconde moitié du XIXe siècle.] Faisons le tour du square, descendons la rue Foix et prenons sur la gauche la rue Parmentier. Au carrefour nous prenons à droite le Boulevard Paulat, c’est une belle allée bordée d’arbres, attention à ne pas vous laissez entraîner par ce boulevard, nous prenons à gauche le chemin intra muros. Ce chemin serpente entre les clôtures et ce nomme chemin de la Brèche des vignes nous passons un ru et arrivons sur une grande allée que nous prenons à droite. Cette allée me surprend que fait elle ici ? Nous arrivons sur un immense pont traversant la vallée de l’Yerres [L'Yerres (ou Yères) était appelée la rivière d'Erre en 1384, Edera au XVIIe siècle, probablement d'un ancien Atura. Le nom actuel a subi l'influence de l'ancien français yerre. De 98,2 km de longueur, l'Yerres occupe un bassin versant de 1 020 km, couvrant trois départements : la Seine-et-Marne, l'Essonne et le Val-de-Marne. Il intéresse 121 communes et environ 160 000 habitants. Pour 85 % de sa surface, ce bassin est couvert de cultures et de forêts, essentiellement en Seine-et-Marne.
 Les zones urbanisées, environ 10 % du total, sont concentrées en aval près du confluent avec la Seine.L'urbanisation rapide, dans la partie basse de son cours, a maintenant réduit le nombre de prairies inondables refuges de biodiversité, qui régulaient ses crues. La rivière prend sa source en Seine-et-Marne, au nord du hameau de Courbon, en bordure de la route départementale D 20E, sur la commune de Guérard. La rivière est appelée ru des Tournelles avant de devenir l'Yerres en aval de l'étang de Guerlande. La rivière se jette dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne. L'Yerres est une rivière calme, d'une profondeur variant de 1 à 6 mètres selon les zones argileuses qu'elle traverse. De son parcours sinueux, elle part des marécages situés aux alentours de Courbon non loin de Mortcerf, traversant ensuite la forêt de Crécy en contournant l'étang de Guerlande. Près de Touquin, l'Yerres grossit en « fusionnant » avec le ru de l'étang de Beuvron, qui selon les géographes pourrait être la vraie « Yerres » tant les débits des deux ruisseaux sont proches. La même hypothèse a été émise pour la Visandre. C'est en aval des sources abondantes près de Voinsles que l'Yerres s'élargit pour donner forme à une rivière large et paisible.Wikipédia] c’est très surprenant ce viaduc n’est pas utilisé pour la circulation autre que les piétons … Arrivée à l’extrémité de ce chemin sur la gauche nous avons le haras de Crénille et sur la droite une petite maison ressemblant à celle que j’ai connu (peu de temps) lorsque les passages à niveau était encore manuelle. Le GR passe sur l’ancienne ligne SNCF Paris Bastille [Cette courte ligne, construite à double voie et aujourd'hui disparue, était établie dans le département de la Seine-et-Marne . D'une longueur de 13,860 km, elle fut répertoriée ligne 39 par la Compagnie de l' Est puis ligne 21-4 par la Région Est .
 
Peu après la gare de Verneuil-l' Etang, elle franchissait par un saut-de-mouton la ligne 40 Paris-Est - Belfort de la Cie de l' Est, puis ligne 4 Paris-Est - Mulhouse-Ville de la Région Est . A Marles-en-Brie, elle rejoignait la ligne 41 ( Paris-Est - ) Gretz-Armainvilliers - Sézanne de la Cie de l' Est, puis ligne 21 ( Paris-Est - ) Gretz-Armainvilliers - Vitry-le-François de la Région Est .
Présentant des rampes maximales de 9 mm/m, la ligne ne comportait que deux gares intermédiaires : Chaumes et Fontenay-Trésigny, et un seul ouvrage d'art important : le viaduc sur l' Yerres ( longueur : 109 m ), situé près de Chaumes . Un peu d'histoire .
La construction de la ligne fut envisagée au début des années 1880, afin d'offrir un débouché vers Coulommiers, Esternay et Sézanne ( et au-delà ) à la ligne V Paris-Bastille - Verneuil-l' Etang . Sa concession à 


titre éventuel fut attribuée à la Compagnie de l' Est par une loi du 30 avril 1886 . La déclaration d'utilité publique au titre de l'intérêt général et la concession définitive à la Cie de l' Est firent l'objet d'un décret du 8 avril 1887 .
Etablie à double voie pour raisons stratégiques, la ligne fut ouverte au trafic commercial le 4 juin 1893 .
En raison d'une faible fréquentation, la fermeture de la ligne au trafic voyageurs intervint le 1er juin 1931, avec desserte routière de substitution assurée par la S.A.T.E. ( Société Auxiliaire de Transports automobiles de l' Est ) .
Suite à l'interception du viaduc de Nogent-sur-Marne ( destruction par l'occupant le 24 août 1944 puis reconstruction de l'ouvrage inauguré le 14 décembre 1946 ), les trains Paris-Est <-> Sézanne ont été 


détournés de l'automne 1944 au 15 décembre 1946 via la ligne V et la ligne 21-4 .
La ligne a été mise à VU probablement durant les années 1950 ou, au plus tard, au tout début des années 1960 . Elle fut fermée au trafic marchandises en deux étapes :
- Fontenay-Trésigny - Marles-en-Brie en juin 1959, suivie de la neutralisation de cette section
- Verneuil-l' Etang - Fontenay-Trésigny le 3 novembre 1969, alors que cette section était exploitée sous le régime de voie unique à trafic restreint ( VUTR ) .
Le déclassement de la ligne s'est fait également en deux étapes :
- de Fontenay-Trésigny à Marles-en-Brie le 26 juillet 1969
- de Verneuil-l' Étang à Fontenay-Trésigny le 29 octobre 1970.


La ligne a ensuite été déposée, sauf erreur dans le courant des années 1970 . http://forum.e-train.fr/viewtopic.php?f=5&t=82651] Traversons la D32 et poursuivons en face entre champ et bois puis, entrons dans le bois, à sa sortie, au carrefour nous prenons à droite, (à l’orale je dis que le chemin forme Té). Un chemin avec un balisage jaune. Nous sommes commun GR et jaune. A la ferme (la Grange saint Père) nous prenons à gauche et nous entrons dans Verneuil l’Etang par la rue Arthur Chaussy puis à droite la rue de la 

gare et enfin à l’arrêt de bus ‘’le pont’’ nous prenons à gauche la rue Jules Guesde, passons la ligne SNCF après le pont nous prenons à gauche la rue Auguste Blanqui prenons sur la droite la direction de la déchetterie poursuivons ce chemin dans les champs passons une maison isolée. Nous arrivons au château ou à la maison bourjoise de Vernouillet. Nous quittons le GR partant sur la gauche. Nous prenons à droite la rue de Vernouillet longeons les communs du château ou une ancienne ferme. Nous débouchons sur la D 99 que nous prenons à gauche (rue des chênes) nous entrons dans Guigne. Nous débouchons sur la D 619 rue de Troyes que nous prenons à droite descendons cette rue jusqu’à l’église ou nous trouvons notre arrêt de bus. 
   



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