mardi 2 octobre 2018

Randonnée Le Plus Loin Possible GR 533 - Etape 69 Sarrebourg - Saint Quirin

Randonnée Le Plus Loin Possible GR 533 - Etape 69 Sarrebourg Saint Quirin

  
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Le code mobile de cette randonnée est b311562
 
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lundi 23 juillet

Sarrebourg Saint Quirin

Il y a un bus permettant les vendredis et mercredis de relier les deux villes. Attention 2 bus dans la journée. Seul celui de l'après midi peut nous intéresser. https://drive.google.com/file/d/0B6zWoRNWxOF0TmVtbEIySzhidFU/view

km    Temps    Arret    V/d    V/g    deniv    alti max
23     4:17        1:00      5,4     4,4     189 +     404

Attention ce n’est pas la trace exacte de passage, mais elle s'en approche au plus prêt. Mon GPS ne voulant plus communiquer avec l’ordinateur je n’ai pas récupérer la trace réalisée. J'ai modifié celle ci pour la rendre la plus exacte possible avec ce qui ma beaucoup étonné Base Camp de Garming ou l'on retrouve le passage sans grand détail des GR et mon topo oral. Grace à l' excellent balisage et au GPS je n'ai eu aucun problèmes d'itinéraires, je vous rappel que sur les cartes rando de L'IGN pour les Vosges aucun tracés n’existes. Il faut acheter les cartes du club Vosgien.

Mon train arrive à Sarrebourg à 11h00 vingt kilomètres cela ce fait dans l’après midi sans problème surtout qu’il n’y a pas plus de dénivelé que dans la région parisienne, je n’avais pas prévu le grand soleil et la chaleur.
A la sortie de la gare je longe les voies SNCF par la gauche nous butons sur la rivière La Sarre [rivière qui coule en Lorraine, en Alsace bossue et dans les Lands de la Sarre (Saarland) et de Rhénanie-Palatinat (Rheinland-Pfalz). C'est un affluent de la Moselle et donc un sous-affluent du Rhin. Longueur 246 km dont 
129 en France. Elle naît dans le massif vosgien au pied du Donon, de la réunion sur le territoire de la commune de Lorquin (Moselle) de la Sarre rouge et de la Sarre blanche. La Sarre délimite la frontière franco-allemande sur une dizaine de kilomètres à partir de son confluent avec la Blies, avant de pénétrer entièrement en territoire allemand peu avant Sarrebruck, et se jette dans la Moselle, à Konz
non loin de Trèves. Wikipédia] Nous longeons la rivière sur la gauche par le quai Jean XXIII, puis par l’allée des Aulnes et le chemin de la Sarre, nous sommes dans un espace vert, après une passerelle bleu nous trouvons des pancartes,  sur des promenades locale et le GR 533 qui ici est représenté en rectangle vert, (Voir l'article sur Colmar pour connaitre

l'identification des sentiers dans les Vosges, qui n'est pas le même que dans le reste de la France.) D’après la carte il se dirige vers St. Dié et Gerardmer.  Des croix bleu  prenne la direction de Abreschviller, Le Donon. Arrivée au stade j’abandonne le Gr pour raccourcir le circuit, je le retrouverais à Hesse. Nous prenons la rue du stade à notre gauche et nous longeons la haie de se terrain de sport. Nous débouchons sur la D 44 (route de Hesse), Je ne sais pas si c’est la bonne solution, en effet cela doit couper de 5 à 6 km mais
l’on ne fait que du bitume, on longe les zones commerciale et industriel. Je passe un premier rond point, puis le second est un peut moins facile à franchir étant une sortie d’autoroute, enfin après le troisième rond point on est tranquille, sauf que la route est tout de même roulante pour une heure que je pensais calme autour de midi. J’ai eu de la chance le bas coté était tondu. Nous passons un terrain militaire et entrons dans Hesse par la rue des Vosges. Poursuivons la rue principale jusqu’au canal de la Marne au Rhin [long de 314 km et 178 écluses 

à l'origine, relie la MarneVitry-le-François) au RhinStrasbourg). Par le canal latéral de la Marne, il est connecté au réseau navigable de la Seine vers l'Île-de-France et la Normandie. Les premiers projets de construction remontent aux années 1780, mais la mise à l'étude du canal fut réalisée par l'ingénieur des ponts et chaussées Barnabé Brisson à partir de 1826. Les travaux furent menés par l'ingénieur polytechnicien Charles-Étienne Collignon (1802-1885). Commencé en 1838, le canal fut mis en service en  
1853. La traction humaine et animale fait place à la traction électrique à partir de 1895, sur rails ou sur route, et sur pneumatiques à partir de 1933, avant la généralisation des chalands automoteurs. Wikipédia] Passons le pont et prenons à droite la rue du pont rouge passons la passerelle prenons le chemin de gauche longeant la rigole d’alimentation du canal nous retrouvons le GR 533 rectangle vert avec la direction de Lorquin. On trouve aussi des croix bleues se dirigeant vers Abreschvillers. Sur la carte nous avons un premier pont mais celui-

ci est cassé sur le terrain, il ne reste qu’un bout d’ossature. Par temps normale cela devrait être agréable, mais sous cette chaleur cela commence à devenir dur, nous sommes souvent au soleil. Franchissons le second pont (on ne peut pas aller tout droit) et nous arrivons à Hermelange. Des chemins locaux partent sur la gauche vers les sources de la Sarre, le GR franchi le pont sur la droite nous poursuivons par la rue du Canal, puis sur la gauche la rue de l’église, j’ai un peu perdu le balisage vert, nous débouchons rue principale. Ici cela se complique un peu lorsque l’on n’a pas la
bonne carte. Pour faire la trace j’avais pris le chemin trouvé sur la carte (pour cette fois Open Street n'est pas à jour aucun chemin n'existe) Sur la carte rando, un chemin suit la Sarre par la rive droite en passant par le moulin. Sur place de vieilles traces donnent cette direction, mais après le moulin le chemin n’est plus entretenu et l’on doit être dans la propriété privée. Au carrefour, il faut bien suivre la rue principale sur la droite en direction de Lorquin et tout de suite après avoir franchi le pont au dessus de la Sarre nous prenons un chemin dans un pré sur la gauche longeant la rivière.

Après le pont on a le choix de prendre un peu plus loin la piste cyclable, c’est un peu plus court, ou de longer la Sarre en direction de son confluent. Je choisi cette option ayant déjà fait pas mal de bitume. Passons la table de pique nique, nous suivons un petit sentier dans un près, puis nous entrons dans un bois, franchissons un petit pont et arrivons au confluent des Sarre rouge et blanche. Je suis étonné le chemin est nettoyé sur plus d’un mètre de large on a aucun risque de se piquer aux orties qui baissent du nez par le manque d’eau. (Quand je pense qu’a Fontainebleau il se permette
de laisser sur les rochers des toiles au nom d’une association se ventant de l’entretien fait par des bénévoles et que des fougères plus haute que vous s’entremêlent sur le sentier et vous déposes sa brassée de tiques. (la Sarre blanche est presque à sec.) [la Sarre blanche constitue le cours supérieur de la Sarre, et la Sarre rouge est son affluent. Wikipédia] Les étangs présent sur la carte sont pratiquement vides. Passons de nouveau la Sarre longeons une usine et nous entrons dans Lorquin par le chemin de la Sablière, prenons la première rue à droite et nous débouchons sur la D 42

(rue du Général De Gaulle) que nous prenons à gauche. Longeons un hôpital. A l’église nous prenons à gauche la rue des Vosges (D41) en direction d’ Abreschvillers nous franchissons de nouveau la Sarre. Juste avant le virage nous avons une fourche à trois dents. Nous quittons la D41 laissons sur la droite la rue des Lilas pour prendre au milieu, la rue du Donon. Longue rue nous faisant traverser hameau sur hameau. Nous traversons le premier Laneuville lès Lorquin par la rue des Vignes. Laissons la D41 sur la gauche et poursuivons un peu sur la droite par la rue de la Fontaine
Bastien. Nous longeons un bois débouchons sur la D 90 que nous prenons à gauche nous rencontrons le GR 5 balisé en blanc et rouge (je n'en reviens pas), nous entrons par la rue Grande dans Niderhoff, nous passons un ru. Je n’avais prévu qu’un litre d’eau et il commence à faire soif. Avant de laisser la rue de l’église, puis la rue du Moulin sur la droite je fais le tour du cimetière pour trouver un point d’eau remplir ma bouteille et mouiller ma casquette. Sur cette route il y a peu d’ombre. Prenons sur la gauche la D 41b nous sommes rue grande, traversons le hameau de Haloze, longeons un

bois. (Ici les hameaux semble s’appeler des Métairies)[ "Les Communes Sœurs" : Dépendantes du Prieuré, Métairies-Saint-Quirin et Vasperviller devinrent communes autonomes à la révolution française. Métairies-Saint-Quirin a la particularité d'être formée par un ensemble de cinq hameaux : Cubolot, Haute-Gueisse, Rond-Pré, Heille et Halmoze. Elle possède le domaine de la "Chapelle de Notre-Dame de l'Hor" (la Rose Bleue) de style baroque du XVIIIe siècle, édifiée à l'emplacement d'un temple gallo-romain, lieu de pèlerinage. A Vasperviller, outre "la Chapelle 
Sainte-Claire" (la Rose Blanche), ancien ermitage, vous découvrirez "l'église Sainte Thérèse de Lisieux" (la Rose Rose), édifice très moderne (1967). Elle abrite un escalier unique, un arbre généalogique du Christ, ainsi qu'un mémorial œcuménique des victimes de la déportation. En remontant la vallée de la Sarre Blanche vers le Donon, s'étire sur plusieurs kilomètres la commune de Turquestein-Blancrupt, ancien fief des seigneurs de Turquestein. La "Chapelle de Notre-Dame de la Délivrance (La Rose Mauve), construite sur un ancien sanctuaire celte, date de 1756.
https://www.saintquirin.fr/histoire/].  Nous trouvons un panneau d’information sur une promenade local se dirigeant vers la Neuve Grange et sur nos GR 5 & 533 nous informant que Saint Quirin est à 1h30. Nous arrivons à Heille traversons le village et avant le carrefour nous prenons sur la droite le chemin de la Neuve Grange, traversant la foret, une belle foret de hêtre et de chêne avec un petit taillis d’arbres qui ne deviendrons jamais grand. Pas de bois mort au sol, pas de laie forestières tous les vingt mètres, pas de ronces, pas d’orties, enfin une vrai foret comme l’était Fontainebleau il y a vingt ou trente ans. Enfin un peu d’ombre ! A la fourche parcelle 73, poursuivons tout droit, nous débouchons sur un chemin forestier que nous prenons à gauche (une pancarte nous dit que St. Quirin est à 35 mn est que
Confluent des Sarres
c’est la direction du Donon.) A la patte d’oie nous prenons la branche de gauche St. Quirin 20mn (la branche de droite à une pancarte à rond rouge). Se chemin débouche sur la D 96 g que nous prenons à droite sur environ 200m. Le balisage étant bien fait nous prenons sur la gauche en limite d’un bois et d’un pré un chemin qui évite de
faire la boucle de la route et qui descend rapidement vers Saint Quirin l’un des plus beaux villages de France. En prenant ce raccourcie nous abandonnons le GR 533 trouvons sur la D 96 le GR 534 et le GR 5. Ve village est bien fleuries, l’herbe ou les pelouses sont tondues, les rues sont propres, (sans herbes).  Ce n’est pas comme dans mon village, il est vrai que mon village ne fait partie que des « villages de caractères », mais que depuis une bonne dizaine d’années, il n’a plus aucun caractère et devient un vulgaire village de banlieue. De banlieue BOBO, et de banlieue mal entretenue. Trop prêt de Paris pour ne pas être déserté la journée, et pas assez loin pour ne pas subir toute les idées loufoques de ses 
Que j'aimerais trouver des chemins aussi bien nettoyés à Fontainebleau

Bobos soit disant écolo, qui se laissent envahir par les mauvaises herbes parce que c’est l’idée du moment, ou du moins d'un scientifique écolo de Banlieue ayant constaté qu'entre la Défense et Montreuil il n'y avait plus de mauvaises herbes, mais il n'y a plus de terre arable n'ont plus. Que du béton et du bitume, alors aux grandes joies (peut être) des jardiniers des différentes villes de ses banlieues ou, on leur demandent dans les parcs de laisser pousser l'herbe... Voir même de faire des carrés pour cultiver de la mauvaise herbe. Nos moines qui ont façonnés la France en se cassant le dos pour faire pousser des "simples" doivent se retourne dans leur tombes. Alors par chez moi c'est la même chose, sauf que, sauf que, nous avons 25 000 hectares de foret avec de belles laies forestières tout les 20 mètres cela en fait de la surface pour les mauvaises herbes, et il y en a, je n'ai jamais vu la foret aussi sale, et l'on à encore des champs certainement plus ou moins traités mais il y a de plus en plus d'herbes dans les surfaces cultivées. Depuis l'interdiction d'utiliser du désherbant en ville chose bénéfique pour la nature, nos ouvriers communaux n'arrachent plus l'herbes, ils ne veulent plus utiliser la binette ou d'autres ustensiles. "Ce sont des outils du moyen ages" nous dise t'ils, et puis de toute façon cela repousse. Alors lorsque vraiment il faut tout de même faire quelque chose, soit ils arrachent l'herbe à main nu, soit on fait intervenir une association de réinsertion qui ne comprend pas pourquoi les employés communaux ne le fond pas et qu'ils se permettent de les surveiller... Cette bande de bobo qui applaudissent des deux mains n'est même pas capable d’aller faire pisser leur chien en foret se trouvant à 500m sans leur voitures, c’est gens là
 ne se promènent pas, ne regarde pas autour d'eux. D’autre voulant être de vrai écolo vont faire leurs courses au super marcher se trouvant à cinq kilomètres en vélo. L’écart est tellement grand qu'il me fait pleurer. Nous y entrons par la rue du Générale Leclerc. J’arrive à mon gîte d’un soir.
Saint-Quirin est situé au beau milieu de la région occupée dans l'antiquité par une civilisation de tradition celtique mais d'époque gallo-romaine (I au IIIe siècles) qu'il a été convenu d'appeler celles des "Sommets Vosgiens" dont grand nombre de stations se trouvent 
Le cimetière ma permis de me rafraichir
sur le territoire de la commune, sur les hauteurs dominant le village, au Deux-Croix, au Saveux et à la Croix Guillaume. Le Donon, haut lieu religieux où se rencontraient les Médiomatriques (région de Metz), les Leuques (région de Toul) et les Triboques (d'Alsace), n'est pas très éloigné. Une voie romaine allant vers le nord traversait Saint-Quirin.
Les traditions religieuses rencontrées au Donon, comme par exemple le culte de la source et du chêne paraissent bien se perpétuer à Saint-Quirin, mais christianisées dans la vénération du Saint Patron Saint Quirin dont la source miraculeuse guérit avec l'apposition de feuilles de chênes sur les ulcères variqueux, "les écrouelles" ou autres plaies. En 1049, se produisit quelque chose de miraculeux :  
Belle foret, propre sans branches,
arbres morts, ronces et mauvaises herbes

Geppa, la sœur du pape alsacien Léon IX de retour de Rome où elle a assisté au sacre de son frère, ramène avec elle les reliques d'un tribun romain martyr, Quirinus, supplicié en 132 sous l'empereur Hadrien. Ces reliques étaient destinées à l'abbaye de Neuss dont elle était abbesse. En chemin, le convoi passe la nuit sur la colline de la "Haute Chapelle", où se trouvait un ermitage. Le Lendemain, il fut impossible de déplacer la châsse contenant les précieuses reliques. Il fallut laisser une partie des reliques qui restèrent sur place. Elles trouvèrent plus tard un abri dans un prieuré que l'on fonde (l'église romane attenante au prieuré est consacré en 1123) et dès 1172 l'endroit s'appela Cella Béati Quirini. Le lieu devient un important centre de pèlerinage. Pendant les trois siècles qui suivent, Saint-Quirin et son prieuré connurent de nombreuses vicissitudes, 
notamment durant les guerres de Religion et de Trente Ans, d'où ils sortent totalement ruinés. A la fin du XVe siècle le village connut une période de prospérité lorsque le prieuré bénédictin créa à Lettenbach une verrerie qui devint célèbre et dont l'apogée se situera au XVIIIe siècle. Louis XV accorda à cette fabrique florissante le privilège de porter le titre de "Manufacture Royale" en récompense de la qualité de ses produits qui rivalisaient avec ceux importés de bohème. Cette prospérité retrouvée permit la construction d'une église nouvelle (1722) et de ses annexes dans le 
style bénédictin tel que nous le voyons encore aujourd'hui. On y retrouve entres autres, une magnifique chair baroque, des autels de belle présentation et ne l'oublions pas, à partir de 1746, le célèbre orgue Silbermann de renommée peut on dire, mondiale. La verrerie de Lettenbach disparaît en 1844. https://www.saintquirin.fr/histoire/
’église prieurale Saint-Quirin fut consacrée en 1123, peu après la fondation du prieuré. Celui-ci ayant été détruit durant la Guerre de Trente Ans, et menaçant ruine au début du XVIIIe siècle, le chanoine Edmond Herb, constatant lors de sa visite canonique de 1714 l’état de délabrement avancé des bâtiments, décide de les faire reconstruire à neuf. Achevée en 1722, grâce en particulier aux contributions financières du prieur Herb lui-même, personnage nanti, la 

nouvelle église fut consacrée en août 1724, et son ameublement fut installé entre 1744 et 1746. En 1769, une lettre patente royale ordonna la suppression du prieuré, et à la Révolution, ce fut le tour à la paroisse d’être abrogée. La deuxième moitié du XIXe siècle voit l’église subir quelques remaniements intérieurs (e.a. le démontage des vitraux) et se faire adjoindre une chapelle funéraire contre le flanc Sud-Est du chœur. Enfin, une campagne de restauration fut menée de 1969 à 1973.
L’église Saint-Quirin, devenue entre-temps église paroissiale, est construite en grès rouge des Vosges, et se trouve, à l’exception de la façade occidentale, recouverte d’un crépi jaune pâle. Elle possède trois clochers à bulbe : d’une part deux tours carrées à l’ouest, à trois niveaux chacune, surmontées de trois bulbes superposés, et reliées entre elles par une passerelle, et d’autre part un clocheton (avec cloche de 1762), coiffé de deux bulbes, et incorporé dans la toiture du chœur. Dans l’espace entre les deux tours s’inscrit, au rez-de-chaussée de la façade occidentale, un portail dorique avec porte d'entrée en plein-cintre, encadré de deux colonnes engagées supportant un entablement à ressauts. Ce portail est surmonté par une autre travée dorique, comprise entre deux colonnes dégagées, laquelle renferme une niche avec voûte en coquille hébergeant une statue de saint Quirin de Neuss, et 
couronnée par un fronton triangulaire. La nef est à vaisseau unique et voûte plate, et se termine par un chevet à cinq pans. L’ensemble du mobilier, ainsi que les vitraux et l’orgue Silbermann (restauré en 1969), sont baroques et datent de la première moitié du XVIIIe siècle. Les baies sont toutes en plein-cintre. Le prieuré attenant, qui comporte un oriel d’angle et deux frontons sculptés, est adossé, par son aile orientale, à la dernière travée de la nef. Wikipédia] 




























































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