samedi 5 décembre 2015

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR122 Chigny - La bouteille Etape 49

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 122

   Chigny - La Bouteille Etape 49

Du 24 Aout 2015 au 28 Aout 2015
 
Carte IGN           Trace GPS & Topo sans Commentaires           Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b237503

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 Etape 49  Chigny - La Bouteille 24 km 

  Vendredi 28 aout

  km    Temps      arrêt         V/d       V/g     Dénivelé  
  24      4h14       0:10mn       5,7       5,5        204 +


Bien dormi dans ma chambre d’hôte atypique, d'une déco d'un autre siècle. C'est peut être l'ancienne cure. Si c'est l'ancienne cure, la déco va avec.... Les deux sœurs sont charmantes, (sœurs au sens familiale.) Elles nous ont parlées de leur villages, avant aujourd'hui, lorsqu'il était vivant, Lorsqu'il y avait encore des fermes, donc de l'animation dans le village, aujourd'hui, il vont chercher le lait à la ferme la plus proche sur le plateau, mais il faut la voiture. de leurs églises fortifiées du village familistère encore intact situé à Guise et que l'on peut visiter "Créé par un génial industriel de la fonte aux idées sociales, un incroyable "Versailles ouvrier", un "Palais social", fut élevé au XIXè siècle à Guise : le Familistère Godin. Revivez l’épopée de cette société idéale dans un ensemble urbain laissé intact, avec ses logements au confort exceptionnel pour l’époque, ses jardins, son petit théâtre… Visitez une utopie réalisée ! http://www.picardie.visite.org/FR/visite-familistere-godin_2427.html. Mais aussi de plein d'autres choses beaucoup plus "moderne". Il a plut une partie de la nuit, mais ce matin nous sommes dans le brouillard. A partir d'ici le paysage change. Hier je n'ai rien vue des alentour, je suis arrivé "par le haut" en provenance du plateau, les nuages bas et la pluie bouchaient l'horizon. je suis descendu jusqu'à la chambre et je n'ai plus bougé jusqu'à ce matin. Le village se trouve sur les pentes d'un vallon. Nous sommes dans la vallée de l'Oise et j'en suis tout étonné. Lors de ma préparation cela ne m'avait pas frapper à ce point, j'ai simplement l'impression d'être en banlieue parisienne. Pour moi la vallée de l'Oise, c'est de Pont Saint Maxence à Fin d'Oise lorsque cette dernière ce jette dans la Seine. Mes leçons de géographie sont bien loin et je ne me souvenais plus ou cette rivière prenais sa source. Les premières lignes de la description de wikipédia m'ont surpris : C'est une rivière du Bassin Parisien !!!!! C'est ce que j'ai du retenir de mes leçons. (J'ai eu la curiosité d'aller voir la description d'un fleuve et l'on a la même description La Seine est un fleuve qui coule dans le Bassin Parisien.) Tout cela n'est pas faux, mais j'aurai préféré "un truc comme" Prend sa source à .... ce termine à ..... traverse les régions de ........ Bien cela est dit, mais qui lit plus de quatre lignes.....? Vous certainement puisque vous êtes arrivées jusque là.
[L'Oise est une rivière du bassin parisien au nord de la France et en Belgique, principal affluent de la Seine.

Elle prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude dans le massif forestier dit Bois de Bourlers, dans l’ancienne commune de Forges au sud-est de la ville hennuyère de Chimay. Cette rivière au cours avoisinant 330 kilomètres, presqu'entièrement navigable et bordée de canaux sur 104 kilomètres. L'Oise se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude, au Pointil en rive droite à Conflans, en aval du centre de la commune de Conflans-Sainte-Honorine dans le département des Yvelines.
La rivière Isara est citée par César, puis par l'auteur latin Lucain. Le
géographe Vibius Sequester nous informe qu'à son époque, l'appellation est simplement Esia. L'évolution se poursuit avec une diphtongaison de la voyelle initiale qui donne Oysia, forme attestée en 886. La forme médiévale apparue probablement au XIIe siècle mais déjà très répandue au XIIIe siècle est Oise ou Oyse.
L'Oise, rivière navigable, fait la jonction avec le nord du bassin parisien jusqu'au contrefort des Ardennes. Une antique et intense activité de transport est renforcée dès l'époque classique par l'aménagement de canaux et de routes parallèles. L'essor de la navigation sur l'Oise est un modèle européen de développement au XIXe siècle. Les apports pondéreux des pays miniers du Nord valorisent sa vallée et entrainent le prodigieux essor 
de la ville de Creil, à l'instar de la basse vallée. La rivière Oise est indissociable d'une riche histoire de la batellerie. Le musée de Conflans-Saint-Honorine en témoigne. L'Oise, troisième axe fluvial français avec 7 millions de tonnes de fret annuel au début des années 1990, possède une navigation encore active, mais si le gabarit européen est présent de Conflans à Compiègne sur plus de 100 km, un bouchon persistant subsiste entre Seine et delta rhénan. Il y un début d'exécution du Projet Seine-Nord de mise à grand gabarit (Rhénan) entre Compiègne et le Cambrésis et destiné à relier les deux bassins par une réutilisation agrandie du canal du Nord et de nouvelles sections. La mise en service serait en 2020, si tout va bien. (extraie wikipédia)]
  Hier, j'avais froid aux mains, aujourd'hui il fait presque chaud. Par ici, le paysage redeviens vallonné et bien sur, nous prenons les vallons dans le sens perpendiculaire et tout au long de la promenade nous ne ferons que monter et descendre, cela me redonne le moral, surtout que le soleil à percé le brouillard. Nous sommes aussi au cœur des églises fortifiées, chez nous fortifié veut dire avec une meurtrière dans le clocher, ici ce sont quatre tours avec toit en poivrière encadrant la nef. 
[Érigées pour la plupart aux XVIe et XVIIe siècles, les églises 
fortifiées de Thiérache sont le fruit d’une architecture pensée sous la double contrainte du religieux et de la guerre, oeuvre « d’un peuple acharné à ne pas mourir ».
En milieu rural où les habitations en pan de bois et torchis offraient une résistance dérisoire, seule l’église édifiée en maçonnerie possédait assez d’étendue et de solidité pour recueillir la communauté villageoise menacée.
On peut distinguer deux formes de défense : la première, la plus spectaculaire, consiste en un donjon de brique et pierre rajoutée à 

l’espace liturgique. La seconde, l’église, percée de meurtrières, cantonnée de tours ou d’échauguettes, est conçue comme un système défensif à part entière. 

Terre de passages, d’églises et d’invasions

  L’histoire de la Thiérache, depuis le Haut Moyen Âge et jusqu’à la fin de la Renaissance, pourrait pour partie se confondre avec l’histoire des invasions dont elle fut le théâtre. En raison de sa situation géographique (au nord-est de l’actuel département de l’Aisne), elle fit d’abord office de frontière stratégique lors des guerres mérovingiennes qui opposèrent, au VIe et VIIe siècles principalement, les deux royaumes de Neustrie et d’Austrasie.
  Pillée puis en partie dévastée pendant les invasions normandes de la seconde moitié du IXe siècle, la Thiérache fut à nouveau la victime collatérale du déchirement de l’empire carolingien au Xe siècle.
Durant toute la guerre de Cent ans, et après trois siècles de prospérité et de paix relative, Anglais et Bourguignons n’eurent de cesse de ravager abbayes et églises paroissiales, laissant la population à ses propres conditions de survivance, la famine s’ajoutant à la misère et à la peste.
Contrairement à une idée tenace, les fortifications des églises de Thiérache n’ont sans doute pas commencé pendant la guerre de Cent ans. S’il semble attesté que l’église de Chaourse fut bien fortifiée en l’an 1370, il s’agit probablement là d’un cas isolé, relatif à la décision du roi Charles V 
d’assurer la protection du village comme dépendance de l’Abbaye Royale de Saint-Denis, dont il était le suzerain.
Les fortifications ont plus vraisemblablement commencé au XVIe siècle et se sont encore prolongées sur tout le XVIIe. http://www.encyclopedie.picardie.fr/Eglises-fortifiees-de-la-Thierache.html]
Mes hôtesses d'un soir nous ont expliquées que l’église était divisées en trois. La partie basse pour le culte, l’étage au dessus pour les combats et le troisième étage pour y vivre. Certaine dispose d'un puits. Englancourt dispose d'une belle église fortifié et à pied il faut vouloir y allée, rien que d'atteindre le village sur cette butte est une prouesse. De Chigny nous descendons par la route vers l'Oise que nous longeons. Une rivière très peu large on est à 116 m et Englancourt est à 170 m après deux semaines de plat cela surprend. En attendant j'avance en mettant le turbo 'jtiens' pas à louper mon train. Il fait beau, je vois la campagne alentour en haut des vallons, j'ai l'impression d’être en Normandie dans la Petite Suisse. [Située au sud de Caen, la route de la Suisse Normande est un circuit touristique de 65 km, le long de la rivière Orne.
La route de la Suisse Normande vous emmène à la découverte de ses paysages escarpés tout en suivant le cours tumultueux de l'Orne. 
De magnifiques points de vue s'offrent à vous depuis le "Pain de sucre" et les "rochers des parcs", c'est ce que l'on appelle la route des crêtes.] Jusqu'à Autreppes nous sommes sur le bitume nous passons devant un site énigmatique. [Nous sommes aux carrefour de trois communes. Nous trouvons un oratoir coté S. Algis. Un calvaire côté Erloy. Un bassin côté Englancourt. Les anciens nous transmettre : C'est ici que Saint Algis (VIIème) serait venu se reposer. En reprenant son bâton de voyage qu'il avait fiché dans le sol, une eau vive et limpide, aurait jailli. Le calvaire à été érigé des 

années plus tard. Dans le bassin les mères y trempaient les enfants lors d'une procession la veille de l'Ascenssion. L'eau miraculeuse aurait guéri beaucoup de malades. (Extraie du panneau d'information se trouvant sur place.)] A Autreppes, nous quittons la route pour prendre un chemin matérialisé, c'est l'ancienne voie ferrée transformée en voie verte longeant toujours l'Oise. Nous quittons l'Oise par un virage perpendiculaire et grimpons vers le bois Solmont. Chemin et routes se succèdent et comme un fait exprès, je suis dans la partie la plus vallonnée de ce parcours, alors que j'ai très peu de train dans un village perdu au milieu de la campagne. je n'ai pas intérêt à le louper. A Solmont j'ai essayé de couper par un chemin certainement peu employé ronces, arbustes et orties mon fait rebroussé chemin, puis par un champ, j'ai essayé de rejoindre ce chemin, mais je n'ai pas réussi à débouché,  j'ai perdu mon temps et j'en suis sortie tout mouillé. Accélère mon gars, tu va louper ton train. Le paysage est magnifique, cela change du début de semaine, c'est bien ma veine aujourd'hui ou j'ai rendez-vous avec la SNCF, je ne peux profiter du paysage. L’itinéraire est parsemé  de villages, je dirais plutôt quelques maisons par ci par là. Au débouché sur la D 751 une pancarte nous dit que le village de "La Bouteille" n'est qu'à 4 km. Il m'ont paru long ses kilomètres surtout que cela monte. Le GR fait un crochet pour quitter cette route interminable. Je quitte le GR, et continue le bitume trop impatient d'arrivée, et puis j'en verrais pas plus qu'au sommet de cette côte. Arrivée à La Bouteille je retrouve ma trace cela va m'éviter de marcher sur le trottoir de ce village tentaculaire, je le regrette rapidement, c'est un chemin de terre détrempé, j'avais des chaussures impeccables le dernier sentier herbeux avait nettoyé le dessus de celle ci, le bitume avait aidé à décollé se qui restait accroché aux crampons. Nous débouchons au centre du village qui comporte une belle église fortifiée. J'ai une grosse inquiétude  sur les panneaux routiers aucune informations sur la gare..... "Soit confiant en ton GPS" Je suis ma trace, j'arrive en fin du village et voit le passage à niveau, puis un espace pouvant servir de parking, mais pas une voiture et le quai avec un abri. Ce n'est pas une gare mais un simple arrêt, pas de distributeur de billet. Il faut se présenter au contrôleur. Enfin arrivée,
le train est dans 10 mn, juste le temps.... sauf que j'ai deux heures d'avance sur l’horaire prévu. Cela m'arrange bien. je vais rentrer en fin d'après midi au lieu du début de soirée.


 
 
 
 
 
 
 
 
 
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ; 
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Randonnée Le Plus Loin Possible : GR122 La Groise - Chigny Etape 48

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 122

  La Groise - Chigny Etape 48

Au départ ce devait être le GR 122 mais ce fut un raccourcie par le bitume
Du 24 Aout 2015 au 28 Aout 2015 

En Bleu le GR 122. En Rouge mon raccourci sous la pluie

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 Etape 48  La Groisse - Chigny 36 km (par le GR)

  Jeudi 27 aout (pardon nous sommes en novembre)

  km    Temps      arrêt         V/d       V/g     Dénivelé  
  26      4h46       0:28mn       5,5       5,0        199 +


J'ai bien dormi, mais réveillé de bonne heure 5:00 du matin. Hé oui! Un ancien relais de poste se trouve au bord d'une route, celle ci ce dirige vers Laon, les camions commencent leur rotations. Pour une nuit, faut pas rêver on allait pas me donner une chambre coté jardin.
Il a plu, il pleuvra, il pleut fin, il pleut très fin, mais une pluie pénétrante. J'ai l'impression de marcher au mois de novembre, il fait même un peu frais. Il fait tout juste jour lorsque je longe la départementale avec tout ses camions.
Hier, j'ai révisé mon trajet. Le GR poursuit son parcours de l'autre coté du canal. Impossible de vraiment couper, et pour rejoindre Chigny il y a 36 km. Par beau temps pas de problèmes ou presque..... On peut faire des poses, reprendre des forces et repartir. Et puis je me lasse un peu de ce paysage toujours aussi plat, je n'y trouve pas d’attrait, alors marcher pour marcher, je veux bien, mais par temps de pluie pas marrant. Je risque de sortir tout crotté après avoir traverse le bois de Coincy. Par contre en regardant la carte je me rends compte que l'on peu raccourcir en restant dans le triangle des D 1043-946-1029. On traverse cette dernière et nos arrivons à Chigny. Le seule inconvénient de ce parcours, du bitume jusqu'au bout. Je me suis dit, s'il pleut, je fais cette route. S'il pleut moins je pourrais toujours me balader dans la foret du Nouvion. S'il ne pleut pas je fais le GR 122.
Donc il pleut, la première partie n'est pas drôle quelques kilomètres sur les D 946 et 1043. Il y a beaucoup de camions, mais une partie dispose de trottoirs, le reste des bas cotés assez large et lors de mon passage bien entretenus. Sur ses deux axes il y a beaucoup de camions. Ensuite nous empruntons des départementales ou vicinales plus besoins de se cramponner à son bâton lors du passage de ses énormes camions. les villages se suivent et se ressembles, sous la pluie. Pas un temps à flâner. Passons les villages de Fesmy le Sart et Boué, ici l'on peut faire ses courses, ce sera le seul endroit de ce parcours ou c'est possible. Poursuivons avec la Junière, Grand et Petit Fauconnier, pour arriver a Esqueheries, puis Leschelle et enfin Chigny. La route est tracée le paysage peu varié. A Fesmy, j

remarque Une église avec une balance pour peser les tombereaux, incrusté dans le mur du cimetière attenant à l'église. A Boué je suis passé devant une grosse usine de fabrication de lait pour bébé. Nous sommes en Thiérache [La Thiérache est une région naturelle qui regroupe des terroirs de France et de Belgique où l'on retrouve des traits paysagers et architecturaux similaires : présence du bocage, de l'herbage, terrains vallonnés, habitat dispersé, maisons traditionnelles construites en pierres ou en briques avec des insertions en pierre et munies d'une toiture en ardoise.
Située au nord-est du département de l'Aisne, elle déborde sur les départements français du Nord et des Ardennes, mais aussi sur les provinces belges de Hainaut et de Namur. Elle correspond globalement aux contreforts occidentaux du massif ardennais.
La plus importante agglomération est Fourmies (Nord). wikipédia]
Nous sommes dans un secteur d’églises fortifiées. A Esquéhérie nous passons devant un bel édifice. [Érigées pour la plupart aux XVIe et XVIIe siècles, les églises fortifiées de Thiérache sont le fruit d’une architecture pensée sous la double contrainte du religieux et de la guerre, oeuvre « d’un peuple acharné à ne pas mourir ».
En milieu rural où les habitations en pan de bois et torchis offraient une résistance dérisoire, seule l’église édifiée en maçonnerie possédait assez d’étendue et de solidité pour recueillir la communauté villageoise menacée.
On peut distinguer deux formes de défense : la première, la plus spectaculaire, consiste en un donjon de brique et pierre rajoutée à l’espace liturgique. La seconde, l’église, percée de meurtrières, cantonnée de tours ou d’échauguettes, est conçue comme un système défensif à part entière. 


Terre de passages, d’églises et d’invasions

  L’histoire de la Thiérache, depuis le Haut Moyen Âge et jusqu’à la fin de la Renaissance, pourrait pour partie se confondre avec l’histoire des invasions dont elle fut le théâtre. En raison de sa situation géographique (au nord-est de l’actuel département de l’Aisne), elle fit d’abord office de frontière stratégique lors des guerres mérovingiennes qui opposèrent, au VIe et VIIe siècles principalement, les deux royaumes de Neustrie et d’Austrasie.
Pillée puis en partie dévastée pendant les invasions normandes de la seconde moitié du IXe siècle, la Thiérache fut à nouveau la victime collatérale du déchirement de l’empire carolingien au Xe siècle.
Durant toute la guerre de Cent ans, et après trois siècles de prospérité et de paix relative, Anglais et Bourguignons n’eurent de cesse de ravager abbayes et églises paroissiales, laissant la population à ses propres conditions de survivance, la famine s’ajoutant à la misère et à la peste.
Contrairement à une idée tenace, les fortifications des églises de Thiérache n’ont sans doute pas commencé pendant la guerre de Cent ans. S’il semble attesté que l’église de Chaourse fut bien fortifiée en l’an 1370, il s’agit probablement là d’un cas isolé, relatif à la décision du roi Charles V d’assurer la protection du village comme dépendance de l’Abbaye Royale de Saint-Denis, dont il était le suzerain.
Les fortifications ont plus vraisemblablement commencé au XVIe siècle et se sont encore prolongées sur tout le XVIIe. http://www.encyclopedie.picardie.fr/Eglises-fortifiees-de-la-Thierache.html]
J'ai appris à la chambre d'hôte que ses églises étaient divisées en trois : La partie basse était réservé au culte, le premier étage à la guerre ou du moins à se défendre et, le dernier étage à la vie des familles au milieu des poules, canard et autres animaux afin de survivre en cas d'encerclement. Certaine église dispose d'un puits directement dans le lieu saint.
Bien entendu nous ne faisons que du bitume, la pluie n'a pas cessée, je suis trempé jusqu'au os, j'ai manger sous un arbre, à l’abri de la pluie, mais pas des égouttures des feuilles,  je me suis refroidi. J'arrive de très bonne heure à la chambre d'hôte. Cela ma fait gagner 10km. Je suis mouillé, mais propre. pas une tache de boue, normale je n'ai fais que du bitume. J'arrive comme hier de très bonne heure. Vu ma tenue, mouillé jusqu'au os, on ose peut être pas me laisser dehors. "Après réflexion je ne pense pas que se soit le genre de la maison de laisser les gens dehors." La chambre d’hôte est bizarrement faite. Ce sont deux maisons séparées par un jardinet, ou l'on trouve la statue d'une vierge. Mon hôtesse me présente la maison et me propose le garage pour faire sécher mes affaires. Le soir cette chambre d'hôte fait repas, nous sommes vraiment dans une maison d'habitation habité uniquement par les touristes. Je laisse mes chaussures détrempées derrière la porte d'entrée. Nous montons l'escalier et dans le couloir je suis surpris par la déco : Croix, Chapelet, vitrine rempli de statuettes de la vierge. Je me dis : je suis dans l'ancienne cure. L'église se trouve juste derrière. J'ai une petite chambre donnant sur le jardin. Ici, du moins dans ce village je ne serais pas réveillé par les camions. Le village se meurs, un habitant aurai même dit : Il n'y a plus personne qui se promène dans les rues, pas même les chiens. Ma chambre est atypique. Il faut descendre quatre marches, poutres apparentes, Le papier de la chambre est d'un autre age, la déco aussi, des portraits "peut être de la famille" dans un cadre digne d'un brocanteur. Le lit est haut (à l'ancienne) avec un énorme édredon peut être en plume d'oie. 'Jme' souviens en avoir eu un comme ça étant gamin. Une grosse armoire et, un lavabo. Les sanitaires et la salle de bain sont dans le couloir. Je ne me souviens plus si c'était dans les descriptions. Le prix était intéressant, il y avait le repas et je n'avais de toute façon rien trouvé d'autre sur ma route. D’où les 36 km d'origine. Il a plut toute l'après midi, même pas pu sortir pour faire le tour du village. Le soir nous avons bien mangé; Soupe, plat principale (escalope panées avec ses légumes) fromages et dessert. Je dis nous, un couple d'une cinquantaine d'année c'est joint à moi pour diner. La femme à passé sa jeunesse dans un village de la région, profitant d'un rassemblement du vélo club de son mari dans une ville frontalière ou il doit le lendemain réaliser un circuit  d'au moins 70 km, jusqu'au source de l'Oise qui se trouve en Belgique. Étant dans le coin, elle a voulu revoir le village de son enfance.

 
 
 
 
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vendredi 4 décembre 2015

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR122 Loquignole - La Groise Etape 47

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 122

Loquignole - La Groise Etape 47

Cette rando à été primée 2 étoiles par les randonneurs
Du 24 Aout 2015 au 28 Aout 2015 


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 Etape 47  Loquignole - La Groisse 28 km    

  Mercredi 26 aout

  km    Temps      arrêt         V/d       V/g     Dénivelé  
  23      4h26       1:22mn       5,2       4,0        255 +

Encore une fois c'est la rencontre des gens charmants. Revenons sur la soirée d'hier. A un bon kilomètre de la, dans le village, une petite auberge, plat unique 10 euros. Vers dix-neuf heures, je descends à la réception et, surprise je ne suis pas seul. Deux autres dames attendent également, notre hôtesse qui doit nous emmener en voiture. Présentation rapide. Mes deux acolytes sont Hollandaise, elles font la route Van Gogh en vélo. 
[Artiste incompris et inconnu de son vivant, Vincent Van Gogh, qui flirtait avec la folie de façon quasi-permanente, est mort il y a 125 ans, jour pour jour, à Auvers-sur-Oise (Val-d’Oise), le 29 juillet 1890 ! Il succombait à un geste suicidaire, d’une balle tirée dans sa poitrine, deux jours plus tôt !
Le peintre hollandais, bien qu’ayant rencontré certains de ses pairs à la notoriété bien assise (on pense immédiatement aux impressionnistes), s’éteignait presque dans l’anonymat le plus complet, à l’âge de 37 ans ! Il n’aurait vendu qu’un seul tableau durant son existence au terme tragique !
Van Gogh passera la fin de sa vie, en région parisienne, non loin de chez son frère Théo, à Auvers-sur-Oise. Il est sous la bienveillance médicale du docteur Gachet ! Van Gogh réalisera son portrait, qui figure aujourd’hui parmi les dix tableaux les plus chers du monde : 82,5 millions de dollars ! Le record est détenu par Paul Gauguin avec un tableau vendu à 300 millions de dollars…
En dépit d’un état mental instable, Van Gogh, à l’inverse stable dans l’art de manier le pinceau, créera plus de 80 peintures en l’espace de seulement deux mois ! Avec 900 tableaux et un millier de dessins, le tout en huit années prolifiques, Van Gogh aura droit à une reconnaisse posthume méritée !
Landrecies

Enterré sobrement, à Auvers-sur-Oise, aux côtés de son frère Théo, Van Gogh, a rendu son dernier lieu de résidence célèbre, avec pas moins de 200 000 visiteurs chaque année, s’y attardant, pour un pèlerinage respirant le recueillement, l’émotion et l’admiration devant une telle figure majeure !
Cet anniversaire est ponctué d’évènements spéciaux : à l’Auberge Ravoux (où l’artiste avait une chambre), Le Grand Atlas de Van Gogh, a été offert à ses descendants ! Ces derniers ont également paré de fleurs (tournesols et dahlias jaunes que Van Gogh appréciait) les tombes voisines des deux frères ! (http://www.actu-mag.fr/2015/07/29/vincent-van-gogh-seteignait-il-y-a-125-ans-auvers-sur-oise-sen-souvient/)]

Elles sont parties de Hollande et elles vont à Auver sur Oise, 500 km. Ce fut le cadeau d’anniversaire de la plus âgé. Alors, je sais, on ne donne pas l'age des dames, mais là, tout de même, il y a respect. 75 ans. Non pas à elles deux, mais pour une seule. Elles font 70 km par jour lorsqu'il n'y a rien à visiter ayant trait au peintre. De plus cette dame, à réalisé trois fois le chemin Jacquaire, et elle a bien rigolé, lorsque sa "copine"  lui a traduit que j'essayais de faire un tour de France avec un sac de 15
kg. Elle a fait le chemin de Compostelle avec si je me souviens bien 5 kg. Moi je veux bien..... j'ai pris la liste de Compostelle sur une page internet et elle arrive à ... je crois 8kg. Sur l'une de mes pages il y a la comparaison entre la liste de Compostelle et ce que j'emporte. Malheureusement pour moi je suis bien au dessus, sans prendre tout ce qu'il dise. avec un sac à dos pesant un peut plus de 2 kg, faut plus grand chose dedans pour atteindre le poids fatidique. La seconde personne est plus jeune et parle un français parfait. Pas une faute de syntaxe, du vocabulaire, et pointe d'accent. J'ai cherché sur internet la trace de cette route mais je n'ai rien trouvé entre la Hollande et la banlieue parisienne. La restauratrice a cru que nous étions  en couple. Elle nous a mis à la même table. La salle est tellement grande..... qu'il était difficile de faire autrement.

Chacun à une table nous aurions été si proche que cela aurai été identique. L'auberge est petite, divisée en deux. D'un coté le bar, avec une grande table et des bancs, aujourd'hui c'est l'affluence, il ma semblé comprendre que c'était une réunion de préparation pour la futur saison de chasse. La flamiche c'est une tarte chaude avec du fromage comme ingrédient "ici du Maroille", tout doit être dans la cuisson, juste à point, pas trop coulant lorsque l'on coupe cela ne doit pas totalement couler dans l’assiette. Délicieux. Puis fromage et désert. Le tout pour 10 euros sans la boisson. Le repas fut accompagné de causeries, mes Hollandaises veulent tout connaitre sur la France, un peut de politique, enfin de ce qui se passe en ce moment. Elles me parlent voyages.
 A la fin du repas nous refusons la proposition de l'aubergiste et rentrons à pied dans notre chambre d'hôte. Bonne nuit. 
Ce matin il fait beau et, même chaud. Hier, j'ai regarde la carte et j'ai vu que le 122 zigzaguait dans le massif. Pour une fois j'aurai put emprunter un petit sentier, à la place de ses grandes allées, et bien j'ai vite abandonne. Ce n'ai pas Fontainebleau avec son sable, le chemin glisse et les herbes me trempe. Des que je trouve la grande allée je la prends. Manque de chance elle est herbeuse aussi, et 
glisse comme le sentier. C'est à croire que les sous bois sont plus accessibles que les allées, mais je pense qu'il ne faut pas s'y risquer sauf si l'on veut en ressortir couvert de boue. Puis je coupe une route forestière goudronnée, qui coupe à trois reprises le 122 et abouti au même carrefour ou, si ma carte est juste, je retrouve mon balisage. Bingo, je n'ai eu que les chaussures de détrempé. Je suis sortie de la foret, j'ai retrouvé les champs, les vaches et les prairies avec leur bosquets d'arbres.

 Pour rejoindre Landrecie, nous faisons une grande boucle, je n'en saurais jamais la raison, j'ai repéré sur le GPS une route, qui me fait arriver en ville et qui coupe la boucle me faisant suivre le canal. Pour me motivé dans ce choix "j'accuse le GR " d'être mal tracé. Après tout il y a plein de routes forestières permettant de sortir vers l'écluse d'Etoquies et de suivre la Sambre, au lieu de faire une première fois le chemin en lisière et une seconde fois en bordure de l'eau. Bingo. j'arrive également en ville, traversée par la D 934 roulante et à fort trafique de camions, mai il y a un trottoir. (C'est peut être pour cela que l'on fait ce grand détour.) 
Landrecie : C'est une ancienne ville fortifiée, sans fortification. J'arrive sur une place avec l'information : Emplacement de l'ancien rempart.
[Landrecies est marqué par l'inflexion du cours de la Sambre : en amont, elle s'écoule vers le nord-ouest, en aval vers le nord-est.
Cette inflexion a une signification géologique profonde. La Sambre s'écoule d'abord depuis les contreforts des Ardennes, où elle prend sa source. Arrivée à hauteur de Landrecies, elle est captée par l'ancien bassin d'avant-pays du microcontinent avalonnais. Ce bassin est d'orientation sud-ouest - nord-est. Cette bordure nord des Ardennes forme donc un creux : au sud, le massif ardennais ou ses contreforts, au nord le bassin houiller carbonifère. Ce sillon dit de "Sambre et Meuse" commence donc à Landrecies, se poursuit 

jusqu'à Namur (confluent avec la Meuse, qui à cet endroit s'engouffre à son tour dans le Sillon) et Liège.
Landrecies est donc le point de départ d'une structure fondamentale qui structure la géographie du massif ardennais, et par là elle fut une clé dans le contrôle de l'espace entre les Pays-Bas espagnols et la France ; elle est aussi un point de passage évident pour une armée contournant les Ardennes. C'est pourquoi cette ville fut fortifiée par Vauban, même si la fortification fut par la suite rasée. Landrecies va faire l'objet d'une longue lutte acharnée entre ces derniers et le royaume de France. Pillée à plusieurs reprises (par le duc de Vendôme en 1521, par François Ier en 1543), la ville occupée par les Français de 1543 à 1544 est assiégée par Charles Quint, avant que le traité 
de Crépy ne la rende à ce dernier. En 1635, la France déclare la guerre à l’Espagne et les Pays-Bas espagnols. Landrecies, ville espagnole bastionnée aux confins du comté de Hainaut et proche de la frontière avec la France, sera en premières lignes des incursions et bombardements des troupes de Louis XIII. C’est sous Louis XIV que la ville est reprise,cette fois définitivement, par Turenne et La Ferté en 1655. Au XIXe siècle, Landrecies s'ouvre davantage au monde extérieur, avec la canalisation de la Sambre de 1826 à 1839 et le passage de la voie ferrée Paris-Bruxelles-Amsterdam en 1855. 

Landrecies démantèle ses remparts à partir de 1894, contrairement à sa voisine Le Quesnoy qui s'y refuse. extraie wikipédia)]
Je trouve sur la place de la mairie une grande statue de Dupleix. [Joseph-François Dupleix, né le à Landrecies et mort le à Paris, fut gouverneur de Pondichéry et commandant général des établissements français de l'Inde. extraie wikipédia]

Je ne comprends plus. Le GR 122 ne passe pas en ville, il suit la Sambre, et j'ai un GR, passant en ville. Sur mon extraie de carte papier je n'ai rien. Je suis ma trace qui me fait longer la Sambre. C'est au village suivant que je comprends pourquoi, les bords du canal sont  également suivi par le 665 le chemin Jacquaire. Nous y trouvons une coquille en bronze sur le pont ou, il se sépare du 122. De retour à la maison je me rends compte que la carte IGN est une nouvelle fois à la ramasse. J'ai pas de mots plus détestable pour ses gens, qui ne font pas leur boulot jusqu'au bout. Le tracé du 665 passant à Landrecie existe sur la carte que "j'appelle routière", mais disparait dès que l'on grossie pour obtenir le détail "Randonneur". Messieurs de l'IGN faite votre travail correctement : Les GR c'est sur la carte de détail qu'ils sont utiles, ainsi que les sentiers locaux, pas sur une carte routière elle n'est pas assez détaillée...... Après ce petit coup de gueule, reprenons notre itinéraire le long de la Sambre canalisée, je suis surpris, j'y rencontre du monde. Des locaux, promeneurs, un cueilleur de mures, en plus elles sont énormes ses mures, cela va faire de belles confitures, et bien sur des pêcheurs. Ils profitent de ce formidable beau temps.
Catillon
Midi, je fais ma pose en bordure de ce que j'ai toujours appelé le canal, même en cherchant sur internet je n'ai pas trouvé la différence entre canal et rivière....Adossé à un arbre je déballe mon casse croute. Le soleil sèche, chaussures et chaussettes des dernières pluies. Derrière moi, dans un fossé coule un ru, je ne peux penser que c'est tout ce qui reste de la rivière, ce ru et se terrain marécageux bordé d'étangs. Après une heure de pose et une micro sieste je repars. Nous devions passé devant "le donjon", une butte avec un oppidum entouré d'eau. Je ne l'ai pas vu. Par contre nous passons devant un cimetière Anglais. Nous arrivons à Catillon sur Sambre, son clocher vu de loin me semble important et je fais un détour. je suis surpris par la départementale traversant le village chargé de camions et le peu de personnes rencontrées.
 Heureusement le centre du village est plus calme. Je découvre le chemin de demain, traverse la Sambre et part vers La Groise, long chemin dans un village tout en longueur. La chambre d'hôte se trouve à l'opposé. Une grosse maison caractéristique des anciens de relais de poste. Je passe sous le porche, il est de bonne heure, et je n'ai pas trouvé d’attrait pour refaire une pose, la rivière n'est pas vivante, aucun bateau, pas de café pour faire patienté. Je devais avoir une petite trentaine de kilomètres, les petits raccourcies mon amené à vingts trois. Malgré  
le début d'après midi (généralement les arrivée sont autour de 16h00)je suis accepté dans la chambre. Mon sac à dos et mes grosses chaussures font que l'on m'autorise une dérogation.
Passé le porche je suis subjugué..... d'une part la bâtisse en angle est immense, mais le jardin est magnifique. Une partie avec des massifs de fleurs colorés sans un brin d'herbe, une pelouse impeccable, et des arbustes. C'est le propriétaire qui entretien, d’ailleurs je le surprends dans son massif. Après s’être changé, il me conduit dans ma chambre. On rentre dans une  maison dont la disposition des pièces est à l'ancienne. Un couloir et son escalier centrale des pièces plutôt petites à droite et à gauche. Les propriétaires doivent être collectionneur ce sont de beaux meubles qui embellissent l'espace. J'ai une petite chambre avec tout le confort souhaité
 meublé avec gout. Après la douche, je redescends m'installer dans le jardin pour écrire mon journal du jour, profité du soleil, du vent chaud, vent par moment très fort et "jouir" du jardin. Demain sera un autre jour, il est prévu de la pluie toute la journée. C'était déjà dans les prévisions à dix jours et ce vent orageux n'annonce rien de bon. Demain j'ai trente six kilomètres de rando et je n'ai pas du tout envie de passer un peu plus de sept heures sous la pluie sans pose. Je prépare un raccourcie. Le GR poursuit par le canal quitte ce dernier pour un tour dans les champs et les bois, puis tourne sur la gauche pour retraverser le canal et entrée dans la Thiérache et ses églises fortifiées. J'ai remarqué sur mon GPS que si je ne repasse pas le canal, mon point de chute de demain ne se trouve pas si loin que cela de La Groise. Un seul bémol, que du bitume du début à la fin. Il y a un restaurant à un bon 
kilomètre, mais j'ai trimbalé mon repas du soir toute la journée, et puis, ici personne ne m'emmène en voiture, alors je mange dans ma chambre. Je soigne également mes pieds, je ne supporte pas mes nouvelles chaussures des"Lowa" (plus de 400km au compteur et toujours aussi mal). Je voulais plus léger que mes "mérel" mes pieds en paye la différence. Sur le pied droit, en plus de mon ongle de pouce, qui se décolle, (depuis la promenade de juin) j'ai des ampoules. Jamais je n'ai eu d'ampoules dans les mérel. Sur mon pied gauche, en plus des ampoules, j'ai également l'ongle du pouce qui en a pris un coup et j'ai depuis lundi un bleu sous l'ongle d'un petit doigt. Je ne comprends pas, j'ai une pointure de plus, et cette semaine hors mis les ronces du premier jour, je n'ai pas butté dans les pierres ou les bordures de trottoirs.


 
 
 
 
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