vendredi 2 juillet 2021

Promenade en Loire Atlantique - Etang de Beusse


L' Etang de la Beusse

Le départ se fait du Village de Saint Hilaire de Chaléon, Village que l'on peut rejoindre en train, ligne Nantes - Pornic. Ou en voiture… De Nantes c’est un peut compliquer pour les ‘’étrangers’’ pardon les randonneurs des autres régions, mais c’est le ressenti d’un touriste devant contourner Nantes. Le GPS ne donnant pas toujours le meilleur itinéraire, sans embouteillages. Comme on peu, par le périphérique, rejoignons la D723 puis la D 751 (direction Noirmoutier, attention la sortie n’est pas facile trop proche l’une de l’autre, nous devons prendre la seconde.) Soit la D 758 par Saint Pazanne mais cela fait traverser cette ville, ou par le pont Béranger prendre la D 79 puis après la zone industriel la D 80. Après les ronds points nous trouvons la direction de Sainte Hilaire. Nous trouvons des parkings autour de l’église et un peu plus loin en direction de Chéméré vers le cimetière.


Carte IGN                 Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps (Circuit Principal)    Le code mobile de cette randonnée est b323055    

      
Trace Randogps du diverticule           Le code mobile de cette randonnée est b323056

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Km   temps     Arret      V/d     V/g     Dénivelé
26      5h00      0h30       5,2      4,7        163

Avril 2019

Saint Hilaire de Chaléon
[La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune a aussi fait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique. Saint-Hilaire-de-Chaléons est située entre le lac de Grand-Lieu et la baie de Bourgneuf, à 25 km au sud-ouest de Nantes et 3 km à l'ouest de Sainte-Pazanne. Le nom de la localité est attesté sous les formes San Heliren et Sancti Hylarii au XIIe siècle. Le nom de Saint-Hilaire-de-Chaléons vient de Hilaire de Poitiers, évêque de Poitiers au IVe siècle ; Chaléons viendrait de calma, terme d'origine pré-celtique qui signifiait « espace dénudé » ou « plateau en friche ». La commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons possède en effet un plateau qui se poursuit au sud-ouest sur la commune de Villeneuve-en-Retz, jusqu'à dominer le Marais breton et la plaine littorale. Pendant la période révolutionnaire, la commune prit le nom de La Fraternité. En breton, elle a été dénommée Sant-Eler-Kaleon par l'Office de la Langue Bretonne, nom sans valeur historique.
Saint-Hilaire-de-Chaléons est mentionné pour la première fois en 1079, époque où son église est donnée aux religieuses de Notre-Dame d'Angers. L'église de Saint-Hilaire de Chaléons appartenait alors au prieuré Sainte Marie de Prigny. Durant le Moyen Âge, la paroisse de Saint-Hilaire se développe à proximité du château du Bois-Rouaud. La période de la Révolution française est une période très difficile pour la commune qui a laissé des traces durables dans les mentalités. Saint-Hilaire est alors un lieu de cantonnement pour l'armée républicaine qui combat les Armées catholiques et royales de Vendée et de Bretagne. En raison de la déchristianisation, la commune est renommée La Fraternité. ] En se garant vers la salle des fêtes cela nous permet de voir le cimetière circulaire autour du calvaire. [En 1793, le curé de la paroisse, l'abbé Violet, âgé de 24 ans, est blessé 
au visage alors qu'il sert dans l'armée vendéenne en tant que porte drapeau de François Charette de la Contrie. En 1825, il décide d'ériger un calvaire à Saint 
Hilaire pour rendre hommage aux victimes de la répression pendant la révolution. Le cimetière actuel situé autour du calvaire est inauguré en 1869 par le maire, le comte Gustave de Juigné. Le Calvaire dans le cimetière, se distingue également, par sa forme circulaire. Au centre de celui-ci, se trouve un calvaire. On y trouve des plaques portant les noms d’habitants massacrés pendant la guerre de Vendée. Wikipédia. ] Reprenons la D61 rue Eloi Guitteny en direction de l'église [L'église actuelle remplace une ancienne église ruinée à la Révolution française. Lors de la construction de l'église en 1897, trois sarcophages mérovingiens sont découverts. Elle se caractérise par, son carillon sonnant « La Paimpolaise », une chanson de Théodore Botrel au fil des heures. La commune a rénové le clocher en 2000, une équipe de jeunes cinéastes a profité de l'occasion pour refaire l'histoire de ce clocher avec les anciens qui l'avaient vu construire.] Faisons le tour de l'église par la rue (place de l'église) puis à gauche la rue du clos Paulet, enfin à droite la rue de la Bonne Fontaine (D80), poursuivons D 80 (balisage jaune). Au rond point quittons le balisage jaune tournant à droite, poursuivons tout droit jusqu'à la sortie du village. Sur la gauche nous trouvons un calvaire et un chemin bordé d’arbres que nous prenons, après un esse nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, c’est le chemin de la caillette. Nous y trouvons le balisage des Templiers en direction de la Mulonnière et une pancarte VTT du Pays de Retz. Nous entrons dans le Hameau de la Thibaudière par l’impasse des Molins, la rue débouche dans la rue de la Thibaudière que nous prenons à gauche. Après le virage, la rue change de nom, devient de la Mulonnière, nous traversons ce hameau. Au rond point poursuivons tout droit, laissons un premier chemin, nous abandonnerons le bitume dans le virage de la route ou nous prendrons le chemin sur la droite. Chemin ombragé, nous sommes toujours sur le chemin des Templiers. Laissons un chemin balisé  sur la gauche en direction de la Rotardière.
 Coupons la D 758 et poursuivons en face, nous débouchons de nouveau sur une route que nous prenons à droite, au carrefour suivant prenons la rue de gauche en direction de la Bertaudière et de l’étang de la Beusse. Laissons la route d’accès au hameau et poursuivons tout droit vers l’exploitation agricole. Après les hangars nous trouvons un chemin mal entretenu 

                  

 sur la droite. [Article dans Ouest France L’étang de la Beusse, réserve d’eau, lieu de balade.
Le site, tout en longueur, situé à 4 km du bourg, sur la route de Fresnay, a été créé en 1992. Le fruit d’une collaboration entre un groupement d’agriculteurs et la municipalité. Le 7 juin 1995 a été signée une convention entre l’Association foncière agricole (AFA) Vallée de la Beusse, un groupement d’une quinzaine 
d’agriculteurs propriétaires de l’étang et de ses berges, et la municipalité. Celle-ci, qui avait mesuré l’intérêt attractif pour les habitants, grâce à la convention, a créé un cheminement complet autour de l’étang et des aires de pique-nique. La mairie assure l’entretien du site. « L’idée de la municipalité est de faire inscrire un circuit de randonnée de 8,3 km au Plan départemental d’itinéraires et de promenades de randonnées (PDITR). Ce chemin sera inauguré au printemps prochain », se projette Joseph Guibert, adjoint à l’environnement.
Une retenue d’eau de 400 000 m3
L’étang de la Beusse d’une superficie de 13,8 ha, ouvert à la promenade, la marche, le jogging, au VTT-VTC et à la pêche avec permis est d’abord un lieu essentiel à l’activité de l’association d’agriculteurs (AFA) qui 
dispose ainsi d’une réserve d’eau de 400 000 m3 permettant l’irrigation des cultures (mais, cultures légumières de plein champ). « On avait fait beaucoup de drainages collectifs pour assainir nos terres, on 
voyait l’eau partir à grande vitesse vers les cours d’eau et, finalement, se perdre. Les sécheresses 
étant récurrentes et une productivité agricole s’intensifiant, l’idée est venue de créer une réserve d’eau. Grâce à l’irrigation, on s’assurait d’une récolte chaque année pour notre bétail avec le maintien d’une production de maïs suffisante » « La retenue d’eau que nous avons réalisée est quelque chose de capital pour l’avenir de nos jeunes agriculteurs en sécurisant les moyens de production, en assurant les 
récoltes et en permettant d’éviter les aléas climatiques. L’irrigation permet d’augmenter nos productions en réduisant les surfaces fourragères d’été. Nous améliorons ainsi la qualité de nos produits, herbes et maïs et de nouvelles cultures comme les petits pois. On stocke un supplément d’eau hivernale qui serait perdu pour tout le monde », argumente celui qui a bataillé ferme pour la sécurité économique de ses collègues agriculteurs… Et pour le bien-être des habitants qui ont à leur disposition un endroit apaisant. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/sainte-pazanne-44680/l-etang-de-la-beusse-reserve-d-eau-lieu-de-balade-5917748] Dommage, pour un site se voulant touristique que le chemin de cette partie du lac ne soit pas entretenu, prenons le chemin de pêcheurs sur la droite, ressemblent plus à un chemin à tiques, qu’à un chemin touristique. Contournons l’étang devenant un peu moins large, passons un pont en béton, le sentier s’améliore un peu. Nous arrivons à l’extrémité de l’étangpassons le pont de terre au dessus du ruisseau alimentant le lac, ne rentrons pas dans le bois qui est privé. Poursuivons notre tour du lac par l’autre rive, qui semble plus touristique, le chemin est un peu mieux. Traversons un autre pont en béton au dessus d’une autre rivière d’alimentation, passons un remblais s’éparant une extension du lac, nous arrivons à une embouchure de ruisseau permettant lui aussi d’alimenter l’étang, passons le pont, nous quittons les bords du lac en prenant le chemin remontant tout droit, nous faisant traverser le parking ou nous trouvons également des tables de pique nique. Prenons la route d’accès sur la droite, nous débouchons sur la D 79 que nous prenons à droite, 
laissons sur la droite l’accès au hameau de la Chopinière, normalement nous sommes sur un balisage jaune, qui n’est pas sur la carte, mais on ne voit que les croix. Nous arrivons au hameau du Grand Cormier à l’intersection nous prenons à gauche la direction ‘’du Grand Cormier’’ passons la ferme maraîchère, qui à du donner le nom à l’ensemble (ou peut être l’inverse), puis une mare. Longeons des éoliennes et nous arrivons à un croisement de routes, prenons à gauche, nous retrouvons le balisage  VTT Cœur de Retz, laissons les chemins sur la droite menant dans les champs, nous arrivons à un carrefour formant Té, nous prenons à droite. Coupons la ligne de chemin 
de fer, traversons le hameau du Bois Flamberge, au carrefour poursuivons tout droit, traversons le Bois Fleuri, les hameaux semble ne faire qu’un, et quittons le bitume lorsque la route tourne à gauche, nous poursuivons tout droit par un chemin empierré bordé de haie. Ce chemin fait deux virages à gauche et un virage à droite à quatre vingt dix degrés. 
Nous arrivons à un carrefour formant Té proche de la D 61, prenons le 
chemin de gauche, nous arrivons sur un nouveau chemin formant Té, nous prenons à droite. Laissons un chemin sur la droite menant à la ferme de la Foucaudière et prenons le suivant sur la gauche (Normalement le chemin est balisé. Pourquoi normalement ? je n’ai pas fait cette portion, je n’avais pas regarder ma trace et je me suis retrouver devant la ligne de chemin de fer, trop tard pour faire demi tour, je n’en ai pas eu envie. J’ai pris la route.) Nous débouchons sur la route que nous prenons à droite, longeons le hameau de La 
Roche Saint Louis, nous débouchons sur la D 61 que nous prenons à gauche. Au carrefour avec le haricot central et un petit trottoir prenons à droite la route bordée de fossés. Nous arrivons à l’entrée d’un quartier neuf de Sainte Pazanne, [La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz. Sainte-Pazanne a été chef-lieu de canton. Le commissaire cantonal était d'abord un nommé Gros (officier de santé de la région de Châteaubriant), 
remplacé par Nau. Les chouans désignés ont été : Lecouvreur, Guérin, Coussays et de Degonnor. Les Républicains désignés ont été : Renaudin, Jean Bossy, Lucas-Biré. En mars 1793, Louis Boursault, procureur fiscal et notaire du canton, s'était transporté au bourg de Sainte-Pazanne à la tête de 50 rebelles ou Chouans qu'il commandait et enleva 25 patriotes qui ont été immolés à Machecoul. Louis Boursault fut condamné à la peine de mort à Nantes le 22 décembre 1793.

La localité s'est développée au XIXe siècle sous l'impulsion de la famille Ecomard, commerçants, qui a donné quatre maires au village. Le nom de la localité est attesté sous les formes Sancta Picina en 1287, Seint Pasene en 1362.
Le nom de Sainte-Pazanne vient d'une sainte d'origine espagnole : sainte Pexine et ses nombreuses variantes dont sainte Pazanne. Représentation de sainte Pazanne, ici sous le nom de sainte Piterre dans l'église Sainte-Pitère du Tréhou en Bretagne. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Franchère. La première mention de la paroisse de Sainte-Pazanne remonte à 1284.
Des ruines gallo-romaines ont été découvertes au village du Bois. Des moines venus de l'abbaye Stavelot-Malmédy (située dans les Ardennes) s'établissent dès le VIIe siècle au bord du Tenu, en un lieu qui prend le nom d'Ardennes et qui aurait été donné par Sigebert III. Ils y fondent un prieuré « le prieuré 
d'Ardennes ». À noter que le nord de la France a été notamment évangélisé par Remacle, un moine originaire du Sud de la France. Alors que ce dernier dirigeait le monastère de Solignac, près de Limoges, il reçut du roi franc Sigebert III la mission d'évangéliser les Ardennes et fonde alors l'abbaye de Malmédy. Une charte du 20 mai 877 de Louis II le Fainéant confirme la donation faite par Sigebert. L'un des premiers seigneurs d'Ardennes (en Sainte-Pazanne) est Alain du Croisil. Il y avait une seigneurie qui appartenait, en 1409, à Jean de Tournemine. Elle a appartenu aussi à la famille Menardeau, entre autres à François de Ménardeau, Chevalier, Seigneur de Noes, Goulaine, Beaumon, Ranzay et Sainte-Pazanne (vivant en 1499). Puis à ses descendants, Pierre, Auguste-Pierre et enfin François Ménardeau (vivant en 1619). Wikipédia] Quittons la route tournant sur la gauche, nous prenons sur la droite le chemin balisé bordé d’arbres, passons une zone maraîchère et nous débouchons sur une placette et un parking d’une superette. 
Prenons à gauche la rue de la Roche Blanche, traversons cette zone pavillonnaire. Nous débouchons rue Saint Anne que nous prenons à droite. Au carrefour avec l’espace vert et les parkings poursuivons tout droit par la rue du Tenu, nous arrivons sur la place de la ville avec un drôle de péristyle. Prenons sur la gauche la D 758 en direction de Noirmoutier, sur la droite dans un renfoncement la place de l’église. Faisons le tour de ce monument. [Aucune source ne mentionne la date de la construction de la première église. Seul un texte signale des dégats en 1401 suite à un ouragan (certainement dut au réchauffement climatique… je plaisante. Aujourd’hui tout est dut au réchauffement climatique.) En 1793, durant la Révolution, des maisons ainsi que l'église de Sainte-Pazanne sont brûlées accidentellement par un soldat de l’armée républicaine. La halle de la Hunaudais devient une église de substitution.Une nouvelle église est alors construite en 
1819 devenu trop petite, elle est démolie et une église plus grande est construite en 1878 par l’architecte Ménard. Le clocher sera construit en 1897, il fait 67m de haut surmonté d’une croix de 5 mètres et d’un coq. Elle sera consacrée en 1898. Panneau d’information.] Dirigeons nous vers le chevet, et prenons sur la gauche, la rue du Verdelet, laissons sur la gauche la rue Loquet, poursuivons tout droit la rue du Rocher. A la fourche nous laissons, la rue du Rocher sur la droite et prenons à gauche la l’avenue de Caché Bonhomme. Passons la rue des Albizzias, une cinquantaine de mètres plus loin nous trouvons sur
la droite un chemin intra muros entre deux haies. Le chemin tourne sur la gauche et débouche impasse du Bonnet Carré, que nous prenons à droite, puis la rue des Tonneliers sur la droite, passons la ligne de chemin de fer, puis le rond point. Au carrefour suivant nous poursuivons par la rue de la feuillette. Comme nous sommes dans un quartier tout neuf et qu’en 2019 il est encore en extension, je franchi et heureusement que nous sommes dimanche, le chantier est desert, des barrières de chantier pour rejoindre cinquante mètres plus loin un chemin sur la gauche, mais ce sera peut être une rue dans quelques temps. Je sors du chantier et retrouve rapidement un chemin bordé d’arbres. Nous débouchons dans la rue du Clos Royal que nous prenons à gauche. Laissons l’accès à la ferme de La Bouge sur notre droite, une petite centaine de mètres plus loin nous arrivons à un carrefour, Nous avons deux Choix :
Choix 1 - Trace jaune sur la carte (suite de l’itinéraire) ; Prenons sur la gauche la route de La Beurrière balisage jaune (mais les deux itinéraires sont balisés en jaune sur le terrain.) Traversons se hameau dont la route semble se terminer dans une cours, mais elle fait un esse gauche droite, passons un ru, puis la ligne de chemin de fer, nous débouchons sur la D 61 que nous prenons à droite. Laissons deux chemins sur la gauche et leur balises, nous prenons un peu plus loin le chemin de droite sans pancartes mais normalement balisé. De chemin nous passons à rue et débouchons dans le hameau de La Rotardière, nous prenons à gauche et à la fourche suivante prenons la rue de droite, à son extrémité nous trouvons les deux maisons de la Petite Davière et deux chemins faisant fourche. Prenons celui de gauche il débouche sur la D 61, passons le rond point et 
poursuivons tout droit jusqu’au cimetière.
Choix 2 - trace bleu sur la carte ; Poursuivre tout droit, laisser sur la droite l’accès au hameau de La Jolinière et nous débouchons un peu plus loin sur la D 80 que nous prenons à gauche sur environ 400 m, laissons sur la gauche l’accès au hameau de Sauzou, et nous trouvons un peu plus loin sur la droite un chemin avec un calvaire protégé par des arbres. Prenons se chemin bordé d’arbres sur la droite, il débouche sur une route goudronnée que nous prenons à gauche. (belle allée de parc, elle est bordée de magnifiques arbres dont la cime forme voûte au dessus de la route.) Nous débouchons sur la D 80 que nous prenons à droite, traversons la ligne de chemin de fer, poursuivons tout droit, nous arrivons face à l’église et prenons la rue de droite si l’on est garé au cimetière.
 
 




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Petite Promenade 114 en Loire Atlantique (Un pied en Vendée) ; Le Marais Breton


Le Marais Breton

Après mon approche des marais avec ma petite promenade sur le bitume du Marais de Lyarne ma première idée était de rejoindre la pointe du Parracaud en voiture et de tourner entre la pointe Poloux et le port Les Brochets. Comme cette promenade n’était absolument pas prévu, je suis partie à l’aveuglette, et après Bourgneuf je ne me souvenais plus qu’il fallait reprendre la route du port du Collet j’ai continué la D 758 en me disant je trouverais bien une petite route pour rejoindre la mer. Mai je n’ai rien trouvé d’indiqué, aucune information sur la départementale, indique la les pointes recherché. Ne sachant pas si la route est sans issu et ou elle peut mener je fonce à 80 km/h vers Bouin. On trouve bien un panneau mais rien sur ma destination. Et j’arrive à Bouin trop tard pour faire demi-tour et revenir au collet. Comme c’est de l’improvisation, improvisons. Enfin au carrefour de la 758 et de la 21 je trouve enfin des pancartes m’indiquant la mer (autre que Noirmoutier) avec les ports des Brochets et Champs, puis cela se complique à droite ou à gauche allé va pour les Brochets c’est à droite du coté ou je devais aller. Malheureusement nous tombons rue grande formant Té avec la D21 et plus d’indications d’instinct, je prends à droite, (je pense simplement que la mer est à droite.) et je me retrouve sur la 758, mauvais mon sens de l’orientation je tourne en rond. Cette fois ci à l’église je tourne à gauche puis à droite, je patauge en cherchant au carrefour une information, sur mon portable, je regarde la carte et j’essaie de me diriger au hasard dans les rues. Je passe un nouveau carrefour sans informations et enfin j’arrive à un rond point ou je retrouve les deux informations Port du Brochet et des Champs ? ‘’Y a un truc qui va pas ‘’ Au second carrefour l’information les situaient à l’opposés. J’étais prêt à rentrer mais cett information me fait poursuivre. Je longe des zones pavillonnaires, et nouvelle information ou les ports sont opposés. Je change d’idée et prend à gauche le port des champs parce que sur ma carte il semble plus prêt. A l’un des carrefours traversés on me dit de tourner à droite sur les panneaux indiquant la Sortie de Bouin c’est la 21 A sur les cartes la 21 C allé comprendre quelques chose. Enfin j’arrive à la mer et au petit port des champs ressemblant comme deux gouttes d’eau à celui du Collet.
Vu le manque de préparation de cette rando (je n’ai que mon GPS avec la carte Open Treet et mon téléphone avec Randogps et la carte IGN) et le temps perdu à chercher ce port, je n’ai pas réalisé exactement ce que je souhaitais. En bon parisien je suis partie sans mon imper, le temps est nuageux mais il ne pleut pas, je ne remarque pas que l’horizon est peut être un peut plus bouché que d’habitude, je ne me suis pas inquiété des heures des marées, actuellement elle est basse. Elle est là bas dans le gris des nuages à au moins trois kilomètres de moi. Ne craignez rien, je n’ai pas appelé les secours pris sur un îlot entouré par la mer, (par ici c’est plutôt se retrouver englué dans la boue jusqu’au cou) Non, non le en bon parisien je n’ai pas pensé que le flot montant m’amenait les nuages et la pluie. J’ai donc accourcie la balade de la moitié du parcours souhaité, arrivé à Bouin j’ai repris la D21 a ou c pour rejoindre trempé le port des Champs. La Départementale étant très circulante je n’ai pas voulu vous imposer ce calvaire, qui risque d’être très dangereux, malgré le large bas coté, qui heureusement avait été tondu. Et puis je ne vais pas vous faire démarrer du petit port des champs que j’ai eu tant de mal à trouver démarrons de Bouin.

Le temps est indicatif

Km     Temps    V/d
12,5    2h30      5


 
 Carte IGN                   Trace GPS et Topo sans commentaires               Trace Randogps                

 Le code mobile de cette randonnée est b323054

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Bouin [Elle est la commune la plus au sud de la Bretagne historique. Le lieu est notamment cité comme limite méridionale de la Bretagne dans l'édition 1843 du Dictionnaire historique et géographique de la Bretagne. Avant la création des départements, Bouin faisait partie des Marches Bretagne-Poitou avec une appartenance commune à la Bretagne et au Poitou sur le plan temporel, et à la Bretagne (diocèse de Nantes) sur le plan spirituel. Nombre de Bouinais comprenaient - ou parlaient - encore à la fin du XXe siècle le patois maraichin d'origine poitevine. L’altitude moyenne de la commune est de 2 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 6 mètres. Bouin est située au cœur du Marais breton vendéen située sur l'axe Nantes-Noirmoutier. L'activité salicole a longtemps été l'activité principale de Bouin (Bouin était la commune la plus productrice de sel 
de tout le marais breton vendéen), et de la Baie (Baye) de Bretagne, telle qu'appelée à l'époque. Aujourd'hui l'ostréiculture (180 exploitants, huîtres Vendée Atlantique) et l'aquaculture sont devenues les activités principales de l'ancien marais salant. Au nord-ouest de la Vendée, Bouin vit au rythme de la culture du mollusque. Construit à l'embouchure d'un étier, où se rejoignent les canaux du marais, l'étroit port abrite les embarcations des pêcheurs et ostréiculteurs du village. Quand la saison bat son plein, d'août jusqu'à mars, les 180 ostréiculteurs de la commune sont dehors presque douze heures par jour pour récolter, trier et nettoyer les huîtres. Ils les vendent ensuite notamment sur les marchés nantais, dont les emplacements se transmettent de génération en génération. Les huîtres 
de la baie de Bourgneuf, charnues et croquantes, figurent parmi les plus recherchées de France. Pendant longtemps, Bouin a cherché à gagner des parcelles de terre sur la mer. Grâce à la construction d'une digue de trois kilomètres entre 1959 et 1962, des polders ont été créés et ont ainsi permis à la culture des huîtres de s'étendre. Sur ces terres « artificielles », la commune a aussi installé un parc de huit éoliennes, un des plus puissants de l'Hexagone, qui alimente en électricité 20 000 foyers de la région.
Le nom de la commune vient soit d'un domaine agricole "Villa Bono" de l'époque gallo-romaine, soit d'un mot gaulois signifiant frontière qui marquerait la limite entre les tribus gauloises Ambilatres au nord et les Pictons au sud. Ce mot se 
retrouve également dans une commune des Deux-Sèvres pour marquer l'ancienne limite entre les Santons et les Pictons. La forme ancienne L'Isle de Bouin ou Boing figure dans les archives anciennes. Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Île-Marat. En poitevin, la commune est appelée Bougn.
Le 7 juin 567, un raz de marée couvrit entièrement l'île et y fit périr tous ses habitants. En 577, quelque dizaines de foyer vinrent s'installer à divers endroits de l'île. Pour se protéger de l'océan, ils durent construire des montes de terre remplacés peu à peu par les digues actuelles. En 820, l’île de Bouin est prise et brûlée par les Vikings.
En 1473, elle fut brûlée par des soldats français qui venaient faire la guerre à la 
Bretagne. Venant du sud, ils brûlèrent la première paroisse bretonne qu'ils rencontrèrent. Ce fut donc l'Isle de Bouin. Le roi de France, qui vient de brûler Bouin, trouve la ville voisine de Machecoul déserte à son approche : il voulait y faire une entrée triomphale, mais il parcourt la ville vide, car personne ne vint à sa rencontre. Les Machecoulais sont restés cachés dans leurs maisons, apeurés.
En 1714, Bouin est érigée en baronnie. Dès le haut Moyen Âge, des salines s’étiraient tout au long des côtes de l’Atlantique. La plupart appartenaient aux monastères qui ont su tirer profit de cet "or blanc" : par exemple les principales salines de l’abbaye cistercienne de Buzay se trouvaient dans l’île de Bouin. Les très nombreuses chapellenies de la région, elles possédaient dans l’île de Bouin, 
un total de 8 891 "aires saunantes", parmi elles celle des Trois Maries ou celle de Saint-Julien-le-Martyr par exemple. Le 27 mai 1725, un arrêt du Conseil d'État prescrit que Bouin demeure sous la juridiction de l'Amirauté des Sables d'Olonne. Avant 1790, Bouin appartenait aux Marches Bretagne-Poitou, relevant de la Bretagne et de la sénéchaussée de Poitou au temporel, et de la Bretagne (diocèse de Nantes) au spirituel. Le 25 janvier 1799, un important tremblement de terre détruit de nombreuses maisons. Les jours qui suivirent connurent des répliques. Avant la création de la digue protégeant le Marais breton des raz-de-marée, Bouin était sur une île : l'Ile de Bouin. Grâce à la digue il y a eu une poldérisation avec le gain de terre sur la baie de Bourgneuf. En 2003 sont construites huit éoliennes sur les polders de Bouin. Ces éoliennes sont parmi les premières installées en France. 
Depuis elles sont devenues de véritables attractions amenant les touristes sur la digue, dans le marais de Bouin et au Port-du-Bec. Elles sont capables d'alimenter 20 000 foyers. Une des éoliennes de 62 m s'est écrasée au sol lors du passage de la tempête Carmen le 1er janvier 2018. Wikipédia] Je trouve de la place autour de l’église, me dirigeant vers le chevet [Eglise Notre Dame de Bouin : D’aspect un peu massif, l’église Notre Dame de Bouin a été construite dans le style du 14 ème siècle. La sacristie, la tour du clocher et la traversée qui la supporte sont les restes de l’église ancienne. Le clocher domine le marais du haut de ces 51 mètres, et sert de point d’amer aux marins de la baie de Bourgneuf. Le retable du maître-autel, du style renaissance espagnole est daté de 1680. On remarque une très belle statue de bois, datée de 1878, qui représente la Vierge à  l’Enfant, et un tableau de Krug, « la mise au 
tombeau  » offert à  Bouin par l’Etat en 1875. La sacristie est une belle salle voûtée dont les murs ont une épaisseur de plus d’un mètre. La retombée des voûtes sans chapiteau indique la fin du 14 ème siècle, une pièce des archives donne la date de 1505. https://www.bouin.fr/patrimoine/]je prends sur la droite la rue du vitrail, Sur la gauche nous trouvons une belle façade en pierres et fenêtres à petit carreaux [Le « Grand logis  » est une des plus belles demeures de Bouin du 16 ème et du 17 ème siècle. Sur la façade postérieure, deux contreforts antérieurs à  la date de construction, seraient les restes d’un ancien édifice datant du 13 ème siècle. Le Grand Logis était l’hôtel qui abritait les seigneurs du Poitou. A cette époque, l’île était régie par les juridictions du Poitou et de la Bretagne. En 1650, Philippe de Clérambault, baron de Palluau et futur maréchal de France, acheta les deux parties indivises de l’Ile de Bouin, faisant disparaître les deux juridictions. Les seigneurs de Poitou restèrent à  Bouin jusqu’à  la révolution. En 1833, ce bâtiment devient l’école publique des garçons. Aujourd’hui le Grand Logis abrite l’école publique et sa bibliothèque. https://www.bouin.fr/patrimoine/] puis à droite la rue des Tessiers, ou l’on trouve le présbytère avec sa chapelle au carrefour formant Té je prends la rue Neuve sur la droite, puis la rue des Gruères sur la gauche, nous débouchons sur la rue de la procession saint Marc que nous prenons à gauche, prenons la rue (chemin) des Plattes pour voir l’in des derniers moulins transformé en habitation. Revenons sur le boulevard coupons la D 21 C ou A, poursuivons en face (direction Beauvoir sur mer) le boulevard du Poiroc, nous devons trouver un balisage (du moins sur la carte) c’est la partie que je n’ai pas réalisé. Traversons le hameau er à la fourche nous prenons à droite la rue Poiroc nous traversons L’Etier des champs[Un étier est un chenal étroit dont la 
longueur peut atteindre plusieurs kilomètres et contenant de l'eau provenant de la mer. La plupart des étiers sont des canaux d'amenée servant à l'alimentation en eau de mer des marais salants, mais certains ont d'autres vocations : voie navigable (pour bateaux à faible tirant d'eau) - séparation de parcelles agricoles. Wikipédia]. Nous quittons les pavillons et entrons dans le marais [Le marais breton s'étend sur 45 000 hectares comprenant un réseau de canaux (étiers), des prairies humides et des polders d'une grande richesse biologique. Le Marais breton, dont la partie vendéenne a été renommée « Marais breton-vendéen » par le conseil départemental de la Vendée, est une zone 
géographique humide de France située sur le littoral de l'océan Atlantique. Il marque la limite entre deux anciennes provinces françaises, la Bretagne et le Poitou, et s'étend sur deux départements, la Loire-Atlantique et la Vendée, tous deux inclus dans la région administrative des Pays de la Loire. Le marais breton est protégé par des digues et des dunes (stabilisées par des pins, forêt des Pays-de-Monts) car dans les alentours de Bouin, par exemple, les terres parfois en dessous du niveau de l'océan étaient autrefois soumises à de fréquents raz-de-marée. Un système de vannage empêchant les eaux salées de remonter dans 
plusieurs zones du marais a autrefois été également mis en place afin de rendre le marais breton compatible avec l'agriculture. Le marais est un lieu d’observation privilégié et un site touristique original. À l'origine, la zone faisait partie d'une ancienne grande baie recouverte par l'océan (la baie de Bretagne). Des nombreuses îles parsemant cette baie, seule l'île de Noirmoutier est encore entourée par la mer. Bouin, Beauvoir-sur-Mer, Sallertaine sont d'anciennes îles aujourd’hui rattachées au continent. Au cours de la Préhistoire, une sédimentation fluviale en provenance de la Loire et de la Charente a créé une zone de dépôt à versements successifs fermant la baie peu à peu. Les premières salines ont été creusées au début de l’ère chrétienne sous l’influence des Romains. Les moines bénédictins du XIe au XIIIe siècle 
entreprirent la construction d'installations salicoles : fosses, étiers. Le marais était réputé, depuis le Moyen Âge jusqu'au XVIIIe siècle, pour ses marais salants qui ont hissé le Marais breton au rang de plus grand producteur de sel en France (du XVe au XVIIIe siècle avec jusqu'à 30 000 tonnes produites par an). La consommation de sel était alors beaucoup plus importante que maintenant car utilisé comme principal agent de conservation des aliments : la salaison était très répandue. Les deux  
paroisses qui produisaient à cette époque le plus de sel étaient celles de Bouin et de Bourgneuf. Celui-ci était ensuite exporté principalement vers les pays nordiques par les marchands de la Hanse depuis les ports de Bourgneuf-en-Retz puis du Collet. Mais l'envasement progressif de la baie (provoqué en partie par les tonnes de lest de cale que les navires larguaient avant de charger le sel) mit fin au commerce à grande échelle, l'accès aux ports devenant de plus en plus difficile pour les navires. Cette zone de production est alors progressivement abandonnée au profit des 
salines de la mer Méditerranée. L'activité agricole a progressivement supplanté l'activité salicole et engage un réaménagement des marais. L'eau salée est progressivement rejetée vers la mer au profit des eaux de pluie qui remplissent les étiers du marais. De nos jours, l'eau du marais est complètement douce à l'exception d'une zone située à l'ouest de Bourgneuf gardée salée, notamment pour les activités ostréicoles. Des fossés plus larges et moins nombreux ont été aménagés et creusés pour assurer une meilleure irrigation du marais breton. Aujourd'hui les activités ostréicoles ont pris 
le relais (huîtres Vendée-Atlantique) et le tourisme s'est considérablement développé autour des stations balnéaires de la baie de Bourgneuf (Les Moutiers-en-Retz, Noirmoutier, etc.) et de la côte vendéenne (Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Saint-Jean-de-Monts, etc.). L'activité salicole connaît depuis quelques années un nouveau souffle dans le Marais breton, notamment sur l'île de Noirmoutier, à Beauvoir-sur-Mer et à Bourgneuf-en-Retz, dû notamment au regain d'intérêt des activités traditionnelles et au potentiel touristique qu'il suscite, autant que pour la qualité de la production. Wikipédia]  
Le Pont de Noimoutier
Nous arrivons à une nouvelle fourche, prenons à droite en direction de L’Aubraie (laissons sur la gauche l’impasse de la Riauté. Cette route rejoint pourtant la D 758 ? ) Sur un poteau le balisage jaune. La route est bordée de fossé, laissons sur la droite l’accès sans issu à la ferme (batiments) du Clodisson poursuivons tout droit. A la fourche avec la direction de Maison Rouge poursuivons à droite la voie sans issu de l’Aubraie (Tout à l’heure le panneau de l’impasse était peut être mal implanté.) Nous sommes toujours sur le bitume et arrivons au hameau des Aubraie quatre ou cinq maisons. Après cet ilot habité nous trouvons un 
chemin carrossable vers les trois maisons de l’Elmonnière. Notre bitume s’arrête là, mais la petite voiture Google n’a pas eu peur de poursuivre sur un chemin carrossable s’appelant sur la carte La Chilée. Laissons un chemin sur la droite juste avant de passer l’Etier du Pont Guérineau. Au loin nous apercevons les toits des maisons, cela rassure un peut, au milieu des terres bordées d’eau on se sent un peu perdu, un peu coincé. Nous débouchons sur le bitume entre la maison de la Chilée sur la droite et les Cloudis face à 
nous. Ici le balisage devrait se diviser en deux, nous prenons la branche de gauche. (En poursuivant tout droit cela pourrait faire un raccourci  la route débouchant sur une autre formant Té, il faudrait pour réaliser un raccourcie poursuivre par le chemin face à nous en direction du parc éolien (chemin non balisé) prendre la route sur la gauche ne coupe pas énormément la promenade.) Par contre la petite voiture Google à suivi le chemin carrossable de gauche. Chemin bordé d’eau sur la droite les éoliennes et à l’horizon on devine quelques arbres venant briser la ligne horizontale. Tout n’est que platitude. Traversons l’Etier des Claudis, laissons un chemin sur la gauche, prenons à droite longeons une grande étendu d’eau, par ici il semble que les terres soient en prairie. Nous débouchons sur une route face à la maison du Mazerit. Nous prenons à droite. Au carrefour nous abandonnons cette route pour prendre à gauche. Cette fois ci 
malgré que ce soit du bitume la petite voiture ayant peut être pris trop de risques sur les chemins carrossable, n’a pas jugé utile d’emprunter ce bout de bitume... Menant au parc éolien et aux parcs à huîtres de l’Ifremer [L'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer ou IFREMER) est un établissement public à caractère industriel et commercial sous la tutelle du ministère de l'Écologie, du Développement durable et de l'Énergie et du ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche. Le budget de l'IFREMER est rattaché au programme 172 Recherche et enseignement supérieur du  
ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche au titre du PLF 2016. Cet institut est né de la fusion des deux organismes, le Centre national pour l'exploitation des océans (CNEXO) et l'Institut scientifique et technique des pêches maritimes (ISTPM) par le décret du 5 juin 1984. Quant au balisage il est sur les photos je n’en ai pas vu beaucoup. Wikipédia] Prenons la route de gauche, et la suivante à droite. (Oups, j’ai un souci,) la petite voiture est passée par ici et je vois une marque de GR. Sur ma carte il ne passait pas par ici mais d’un chemin dans les champs longeant le Polders du Dain, 
puis après emprunter la route longeait l’Ifremer par la piste cyclable. ) Cette image m’apporte la certitude que la route que nous venons d’emprunté est bien un itinéraire balisé en jaune. Empruntons le bitume en direction de Bouin (GR8 et balisage jaune.) Au loin nous apercevons le toit des maisons. Passons le petit pont au dessus de l’étier des champs et nous arrivons au Port des Champs [Le port des Champs a été très actif au XVIIIe siècle grâce au commerce du sel. Absence de quais, pontons le plus souvent en bois… il est l’archétype des ports d’échouage du Pays du Gois, praticables uniquement à marée haute. Construit entre 1854 et 1860 dans sa 
configuration actuelle, l’activité du port des Champs évolue alors vers l’importation de matériaux de construction (pierres, tuiles, sable…), et l’exportation des produits de l’agriculture (fèves et blé). Parmi les curiosités à découvrir, l’écluse sur laquelle passe un pont, est la première édifiée à l’entrée de l’étier dans les années 1870. Les rambardes reconstruites ces dernières années sont recouvertes d’une couche de goudron afin qu’elles résistent mieux à la corrosion de l’eau de mer. Établies en amont de ce pont écluse, les pêcheries équipées de leurs immenses. http://www.paysdugois.fr/port-des-champs/]. A partir d’ici j’ai réalisé le parcours. Après le passage du pont écluse je quitte le GR et longe le port. Sur la droite les petites maisons ostréicoles, après la dernière maison, le chemin fait un esse, nous laissons un étier sur la droite avec un chemin sans issu, traversons un parking ou une zone de stockage et longeons l’embouchure de l’Etier des champs. Nous arrivons au polder des champs et buttons sur la mer, pour moi, une immense mare crise à perte de vue. La mer est basse, ou doit commencer à remonter. La cote ou le polder est bordé d’une large digue en béton, que des tracteurs, (voir des voitures) peuvent utiliser. Ici je me rend compte que je me suis trompé ce passage n’est pas balisé, le 
GR traverse le polder à l’abri de deux digues. Sur ma carte je me rends je vois un chemin de sortie, sans trop réfléchir je m’engage sur ce mur de béton. C’est en son milieu que je me demande si la bande de roulement est submergée lorsque la mer est haute, je me rends compte que dans ce cas je suis pris au piège, je grimpe le petit muret devant retenir la mer par gros temps et la panique me prend, derrière pas moyen de fuir, les champs sont s’éparés par des fossés plein d’eau. Lorsque j’ai commencé à emprunter la digue une camionnette local, m’a suivi et à fait demi tour lorsque j’ai emprunté le béton. J’espère qu’ils m’auraient dit que je prenais des risques en poursuivant ce chemin, j’accélère le pas. Le 
paysage est tout de même à couper le souffle, nous apercevons Noirmoutier et nous sommes à deux pas du passage du Gois, dans la brume et les nuages le pont reliant l’île au continent. Par ci par là des carcasses de bateau pris par la boue jusqu’à la proue. Je croise un vélo, cela me rassure un peu, il lui reste pas mal de chemin à faire, et même si à vélo on va bien plus vite qu’à pied je devrais arriver au port de la Louipe avant qu’il ne soit au port des Champs. Ouf j’arrive au parc des claires à huîtres, je n’ai pas vu la mer arrivée et sur la droite juste avant les parcs un chemin. Je franchi la digue et m’éloigne de ce qui est peut être un danger en longeant les Claires, mon idée rejoindre le GR 8 et un chemin 
balisé présent sur la carte me permettant de traverser le marais et de rejoindre Bouin. En bout des claires je trouve un chemin que je prends à droite, ce chemin est très boueux et par endroit les ornières sont comblées par des coquilles d’huîtres vide. Le temps se couvre un peut plus, par moment il bruine. Nous arrivons à un carrefour, prenons le chemin bordé de fossés plein d’eau sur la gauche. Nous arrivons sur un chemin plus large que nous poursuivons tout droit. Nous retrouvons le GR 8. Ce chemin tourne sur la gauche, j’abandonne le GR 8 qui poursuit ce large chemin sur la gauche et poursuit tout droit un chemin herbeux bordé de fossés plein d’eau balisé en jaune. Le chemin fait un esse, nous 
longeons la Grande Maison. Le parisien que je suis n’aimerais pas habiter par ici, isolé au milieu de tous ses fossé plein d’eau et au dessous du niveau de la mer. Après les maisons le chemin devient bitumeux et nous débouchons sur la route du marais Colin que nous prenons à gauche. Au quelques maisons de la Maison Rouge et à la maison s’appelant La Salicorne, nous prenons le balisage jaune sur la droite, c’est une route carrossable, mais également VTT. Je pensais passer au travers des gouttes, au loin j’aperçois Bouin, maintenant il pleut à verse et pas d’imper dans mon sac, Je n’ai pas voulu me charger et je l’ai laissé sur le siège de la voiture, je me croyais en Vendée, pas en Bretage, ou il fait 
beau plusieurs fois par jours. Je plaisante… De toute façon le marais a le nom de Breton, mais se trouve en majorité en Vendée, quant au reste il se trouve en Loire Atlantique, qui à bien du mal a se faire reconnaitre comme Breton.  Nous passons le Pons des Cordes, passons la maison isolé du Beau Soleil situé dans un virage du chemin. A ce niveau sur la gauche nous trouvons un chemin sans issu. Poursuivons notre large chemin gadouilleux. Nous arrivons sur un carrefour avec un chemin formant Té avec le notre, nous y trouvons deux poteaux d’informations pour les vélos. Sur la droite déchirant un horizon désespérant plate la ville et 
l’église de Bouin. Prenons le chemin de droite en direction de la ville. Le chemin serpente avant d’atteindre les premières maisons de Bouin. Entre la haie d’arbres on aperçoit le haut du clocher du village. Nous débouchons Boulevard saint Marc que je prends à droite puis sur la gauche la rue du lotissement Saint Marc, dans un virage, après une placette ou plutôt un parking, poursuivons jusqu’à la route des Brochets que nous prenons à droite, poursuivons jusqu’à l’église par la rue du pavillon. [La demeure du Pavillon. La demeure du Pavillon date du 16 ème siècle, à l’apogée du commerce du sel. Sa construction fut ordonnée par des marchands de l’époque. La tour carrée qui sert d’escalier date du 15 ème siècle. La légende raconte que lorsque Gilles de Rais, seigneur de Machecoul, venait chasser dans le pays, il logeait dans ce pavillon. En revanche, il est sûr que le manoir a été, à certaines époques, la demeure du Sénéchal de Bretagne, puis des fermiers généraux. En 1845, la demeure fut rachetée par la famille Rousseau de L’Isle, puis vendue à la commune en 1885. Elle sera destinée au logement de fonction de l’instituteur de l’école publique jusque dans les années 60. En 1982, le Pavillon fut restauré dans l’état oû il se trouve actuellement et sert aux expositions et autres activités municipales. ] Je suis trempé.
 



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