lundi 4 novembre 2013

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 2 Etape 15 - Gonfreville L'Orcher - Le Havre

De Saint Martin de Boscherville au Havre 180 km

Du 16 mai 2013 au 21 mai 2013

Etape 15

Aujourd'hui Gonfreville L'Orcher-Le Havre - 11 km



 
 
En jaune le circuit en ville depuis l’arrêt de bus 
En bleu le circuit que j'aurai du faire

Sur la carte IGN tout est en bleu
 
Le code mobile de cette randonnée est b299140
 
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Lundi 20 mai

 

km     temps     temps arr     V/d     V/g    D +
11
 

Ce matin en me levant, les yeux tout larmoyant, je regarde par la fenêtre, il bruine.

Hier, j'ai embêté ma femme à chercher un bus pour me rendre au Havre. Ici à l'accueil, ils ne connaissent pas, "viennent tous en voiture" et puis tout à changé depuis le tram, me disent ils.
Ma femme à trouvé, je me dirige vers l'arrêt de bus à 500m de là, je me trompe de coté, attrape celui qui viens en face au vol et je repars par la route que j'ai fait hier. Deux jours de pluie, de vent et de boue, j'en ai mare, j'aimerai prendre le train a peu prêt propre et sec.
Le conducteur du bus me fait descendre au plus prêt de la gare, et me dit que je peux prendre le tram. Depuis la mise en service de ce moyen de déplacement aucun bus sur le parvis de la SNCF. C'est vrai que cela fait une grande esplanade, je demande si je peux prendre le train précédent mon horaire, mais non, j'ai un billet économique n'y échangeable n'y remboursable. Le temps s'est levé avec la marée qui monte, du coup j'ai un peu plus de deux heures à perdre, il me reste à visiter la ville.
Du coup j'ai fais 13,4 km

Pour moi FIN de Randonnée Le Plus Loin Possible sur le  GR 2
Le moi prochain rendez-vous sur : Randonner Le Plus Loin Possible pour le GR 21



 La plage du Havre
 Plage de galet ! comment fait ont pour se baigner ?




















                                     




Les ports















La ville
 
















 

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Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 2 Etape 14 : Lillebonne/Les Forges-Gonfreville L'Orcher

Randonnée Le Plus Loin Possible GR 2 : Etape 14

De Saint Martin de Boscherville au Havre 180 km

Du 16 mai 2013 au 21 mai 2013

Etape  14

Aujourd'hui Lillebonne/Les Forges-Gonfreville L'Orcher - 36 km


Carte IGN              Trace GPS & Topo sans Commentaires         Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b299235

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Lundi 20 mai
km     temps     temps arr     V/d     V/g    D +
34,2   6h25         0h24         5,3      5,0    381+

Une accalmie me permet de démonter la toile de tente de l’essuyer et de ranger mes affaires sans me faire mouiller. Je remets mes chaussettes et mes chaussures "plus" qu'humide, ils n'ont pas réussi à sécher même en étant restées dans le bloc sanitaire depuis le début de l'après midi, mes bretelles de sac à dos sont  humides. Seul le pantalon à séché. De la terre subsiste sur le carrelage, pas de balais, comme j'ai apprécier cette endroit propre, je prends la serpillère de l'entrée et ramasse comme je peu. Je parts la conscience pour moi : quelques poussières marques mon passage, mais je n'ai pu faire mieux.   

 7h30 me voila parti dans le brouillard et sous la bruine. L'accalmie ne m'a permis que de ranger les affaires dans mon sac. Le temps ne s’améliorera pas jusqu’au soir. C’est une succession de bois et de champ, le seule village que je traverse vraiment à sa boulangerie de fermé. Pourtant c'est lundi de Pentecôte, il est peut être un peut tôt. Bizarre ça ne sent pas le pain chaud.
Hier je bougonnais, la foret, toujours la foret, aucun point de vu, l'horizon n'est plus horizontal mais verticale. Aujourd’hui je la béni. Elle me protège des rafales de vent et de pluie, les feuilles retiennent un peut l’eau, par contre j’ai de la boue partout, cela remonte au dessus des guêtres. De toute façon avec le brouillard on a aucune vue. Le vent s’étant levé la pluie est devenue plus dense, plus serrée, plus fraiche, mon imper à du mal à me protéger, le vent le soulève, les scratchs ne tiennent pas. Je suis mouillé par le dessus et par le dessous malgré les vêtements anti transpirants. L’herbe gorgée d’eau  imbibe les chaussures, l'imperméabilité du cuir est dépassée, les chaussettes sont également mouillées. A chaque pas dans l'herbe je sens la fraicheur me chatouiller les doigts de pieds. J'avais un peu peur de ce parcours vallonné, mais les routes sont larges et en faisant attention on ne glisse pas sous la pluie. On fait beaucoup de chemin en fond de vallée au bord de mares ou d’étangs à cressonnière.  Le balisage est bien fait ce qui évite de sortir le GPS à tous moment, la seule difficulté ce trouve à la ferme de Bellevue ou dans la plaine de la sente du Beurriot, une ancienne structure, grosse ferme, château, poney club, ou autre centre de vacances plutôt à l'abandon me fait sortir de ma trace, la, j'ai du loupé une balise et je hère dans des bâtiments ressemblant à des classes à l'abandon. Plus loin un autre point du parcours à attiré mon attention : vers la ferme de la vieille posé à Bocquetal, lorsque j'avais réalisée la trace je n'avais pas l'intention de réaliser le détour tracé, je n'en voyais pas l’intérêt sauf d'éviter cinq cent mètres de bitume. Alors je surveillais un hypothétique virage à angle droit mais je ne l'ai pas trouvé. Il me semble que ce détour à été supprimé. Mais cinq cent mètres cela se fait vite et j'ai pu louper la balise. Je reste les mains sous l'imper pour essayer de le maintenir en place. "J'suis" recroquevillé (comme on peut l'être en marchant) pour avoir moins froid. Sur ce parcours je ne rencontre que deux joggeurs dégoulinant d'eau comme moi et aussi fou que moi. Eux au moins ils seront au chaud dans une heure ou deux. Il me reste un petit après midi de marche. N’ayant pas très chaud je ne m’arrête pas pour manger. Deux poses de quelques minutes pour boire un peu et manger quelques bananes sèches. Après mes trente deux kilomètres j’arrive au formule 1 que j’avais réservé à l’avance n’ayant pas trouvé de camping au Havre ou suffisamment proche. Heureusement que ce soir je couche dans du dur, car je suis trempé, je ne sais pas comment j’aurai pu dormir dans ma toile avec un duvet humide qui n’est pas prévu pour des températures si bases. C'est un duvet d'été, température de confort 15°. Les nuits à 10-12° cela passe bien, mais voilà 10-12° cela doit être la température de la journée.  Je n’ai jamais imaginé faire mes randos avec un temps hivernal dans nos contrées.
Arrivée à l'approche de la zone industriel du Havre j'abandonne le GR 2 qui repart dans les bois , la boue, et les dénivelés. Je prends la route en bordure de l'autoroute, j'aimerai ne pas arrivée trop crotté. Cela m'inquiète ma départementale est en bordure de l'autoroute et d'une bretelle, pourvu qu'elle ne finisse pas sur l'autoroute. D'après la carte non, mais celle-ci est-t'elle à jour ? Je fais des signes aux quelques voitures mais personne s'arrête, j'aurai aimé confirmation de mon itinéraire, mais sous la pluie avec mon sac à dos dégoulinant d'eau on me prend pour un SDF. Dans le bas de Gonfreville à un rond point, je demande la direction d'une grande surface ou une chambre dans une chaine d’hôtel économique m'attend, après m'avoir envoyé sur une mauvaise piste, (faut dire aussi que fatigué, je n'avais pas du tous envie de gravir la cote et, je préférais douter de mon GPS, je ne voulais pas croire que la grande surface, se trouver la haut. Elle devait se trouver en bas proche de la zone industriel. (La haut c'est le plateau avec les villages) voyant tous de même que je m'éloignais de la trace que je n'avais pas suivi, je réussi à arrêter une voiture. Un jeune conducteur intercepté, ma proposé de m'emmener jusqu’à la grande surface qui se trouve sur le plateau. hé! oui fallait bien monter. Le jeune est marcheur et c'est déjà trouvé dans cette situation.  
Heureusement dans la chambre il y a le chauffage électrique et celui-ci n’est pas coupé. Dans la demi heure qui suit, j’ai transformé ma chambre en hammam il y a de la buée partout. Je fais tous sécher. J’arrive à nettoyer la boue de mon pantalon, ce qui me permet de manger au resto d’à coté. J’ai bien dormi.
 Pas de photos pour ce trajet, je n'ai pas su retranscrire la pluie et le brouillard.
 

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Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 2 Etape 13 Caudebec en caux- Lillebonne/Les Forges

Randonnée Le Plus LoinPossiple GR 2 : Etape 13

De Saint Martin de Boscherville au Havre 180 km

Du 16 mai 2013 au 21 mai 2013

Etape 13

Aujourd'hui Caudebec en caux- Lillebonne/Les Forges-36 km



Carte IGN       Trace GPS & Topo sans Commentaires             Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b299250

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  Dimanche 19 mai
 
km     temps     temps arr     V/d     V/g    D +
36      6h59         0h41         5,1      4,7    636+


Je me suis réveillé avec la pluie et il pleuvra la journée entière. Pour ranger mon matériel je m'étais installé dans le bloc sanitaire. Il fallait absolument que je prenne un petit déjeuné, aujourd'hui j'ai une trentaine de km à parcourir. Hier ma femme au téléphone ma annoncée le mauvais temps, je ne pense pas qu'a midi, j'aurai le loisir d'une longue pose à l’abri pour me sustenter. J'avais oublié qu'une chose...... Le propriétaire du lieu est arrivée vers 6h-6h30 pour nettoyer le bloc à la lance à incendie, il a fallu que je déménage fissa. Pas aimable le bonhomme, j'ai eu beau lui expliquer qu'avec la pluie je m'étais abrité pour ranger mon matériel au sec, il n'a pas eu la présence d'esprit de passer au bloc suivant en attendant que je finisse mon café. Vraiment "j'suis déçus"
 le temps est gris c’est une petite pluie fine bien serré, bien pénétrante , il y a du brouillard. J’ai traversé des bois encore des bois, toujours des bois.  Il sont beaux malgré la pluie, comme je l’ai aime : du taillis sous futaie. Ils ne sont pas encore parcellés par des laies forestières tous les 20 ou 40 mètres afin de laisser passer les engins débardeurs toujours plus gros, toujours plus lourd. Oui, je me répète... mais c'était hier!!!Le sol est glissant, mais pas dangereux les chemins sont larges et peut ou pas de dévers.
J’en ai mare de la boue, de la pluie. La boue commence à déborder de mes guêtres et à envahir le pantalon. Le balisage n’est pas trop mal, un peu distant à mon gout et la peinture un peut vieille par endroit, mais l’on arrive à suivre. Je n’ai pas rencontré un village avant Lillebonne, il est 13 heures et les commerces fermes. Je trouve un boulanger, les deux pains au chocolats font du bien. Je n’ai pas encore mangé, car tout est mouillé, et je suis trempé sous mon imper. Un imper qui n'est pas terrible une cape ouverte sur le coté et maintenu par des scratchs. Avec le vent et le sac ça ne tient pas beaucoup.
A Lillebonne je loupe le diverticule menant à l'abbaye du Valasse ou, il y a une chambre d'hôte.  Ha! si j'avais internet sur mon téléphone!!! je chercherai un gîte chaud pour la nuit. J'avais contacté les propriétaires de la chambre d'hôte de l'abbaye du Valasse, ne trouvant pas de camping dans le coin, après avoir trouvé celui de Forges je n'ai pas donné suite.
Arriver proche de mon camping je cherche une chambre d’hôte. Je suis trempé, j'ai rangé ma toile trempé et je vais rentré dans un espace humide. Je n'ai pas vu d'affichette avec un toit et un lit, dans le peu de villages traversés, je me dit, qu'il n'est pas possible qu'il n'y en ai pas. J’arrête des voitures pour leur demander s’ils en connaissent. On me donne des villages, mais je ne trouve pas. A chaque fois, c’est toujours plus loin. Après quatre km de recherchent, j’abandonne.  De mes 26 km prévu me voilà avec 36 km au compteur et demain j'en ai autant à faire. Je me dirige à nouveau vers mon petit camping. La pluie à bien voulu s’arrêter.
Seule photo de la journée et encore elle est flou
Pourquoi petit camping..... Simplement en regardant une vue aérienne j'ai bien vue que le village de Forges ressemblait plus à un hameau qu'à un grand village, Le camping me semble d'après la photo aérienne, qu'un terrain privé d'une petite superficie sans délimitation, peu de monde le jour de la photo satellite et lorsque j'ai téléphoné pour retenir un emplacement on ma averti que la douche chaude était en supplément, le prix très bas fait que je ne doit en attendre que le minimum.
Arrivée au le village : Quelques maisons à droite et à gauche d'une départementale, je trouve facilement le camping.    

Camping presque désert, une étendu d’herbe entre des maisons . tranquille, quelques caravannes en permanences, en cette fin de semaine peut être deux caravanes d’occupées. Deux personnes sont à la plonge dans le local sanitaire. Je remarque tout de suite qu’il est hors air et chauffé. On m'indique la maison du proprio. On m’explique les douches, ici l’eau chaude est payante. J’ai le choix de l’emplacement. Je choisi un emplacement pas trop loin des sanitaires pour pouvoir mettre mes affaires au sec en cas de pluie et sous un arbre, si la pluie voulait ne pas être trop fort, les feuilles pourrais me protéger lors du remballage. Je monte la toile et la pluie reprend. Je vais prendre ma douche pour me réchauffé et j’étends mon linge dans les sanitaires. Après la douche, je laisse mes affaires sécher, chaussure comprise dans le local et une fois sous la tente je me rends rapidement compte, que tout est humide, alors, comme le bloc sanitaire est libre j’y retourne pour sécher duvet, drap, pantalon, chaussette. Je passe ma fin d’après midi au chaud dans les sanitaires à regarder la pluie tombé.  Vers 19h00 enfin sec, je retourne sous la toile. Mange mon cake salé,  et m’endort. Vers 22h30 je suis réveillé par le froid et l’humidité. Je n’arrive pas à me réchauffé tout est humide. Je prends toutes mes affaires et retourne finir ma nuit au chaud dans les sanitaires. Oui, les sanitaires : hors air, chauffé bien entretenu, ne sente pas mauvais. Je suis pratiquement sur d’être tranquille, les deux ou trois caravanes occupées se trouve à l’autre bout du camp, avec ce qui tombe je ne pense pas que l’on viendra. 
Je mets mon réveil à 5h30 afin de tout rangé avant que quelqu’un ne vienne. 
 J’ai bien dormis.
J'ai critiqué mon premier camping qui était comme celui-ci, enfin les clôtures étaient en moins bonne état. Ici c'est tout de même plus net. mais dans ses deux campings à bas prix, sans étoile, j'ai trouvé des blocs sanitaires hors air et chauffé, alors que dans mes deux ou trois étoiles j'ai eu froid, avant et après la douche. Dans nos contrées avril et mai parfois juin, "fait pas chaud" et même avec qu'une toile lorsque je débourse entre 15 et 17 euros pour me les "cailler " après la douche, je ne suis pas comptent.
Ce matin il ne pleut plus.

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dimanche 3 novembre 2013

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 2 Etape 12 Jumièges-Caudebec en caux

Randoonnée Le Plus Loin Possible GR 2 Etape 12

De Saint Martin de Boscherville au Havre 180 km

Du 16 mai 2013 au 21 mai 2013

Etape d'aujourd'hui Jumièges-Caudebec en caux 27 km




Carte IGN       Trace IGN & Topo sans Commentaires              Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b299254

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Samedi 18 mai
km     temps     temps arr     V/d     V/g    D +
28,6   5h34         0h50         5,1      4,4    503+


Saint Wandrille

Samedi 18 mai
Pont de Bretonne
 (Camping de Jumièges)
6 heures debout, je croyais être le premier, mais des "Asiatiques" remballent aussi. Il fait si froid que je ne me douche pas ce matin, je prend de l’eau chaude au robinet de la buanderie et fait juste une toilette dans les douches. Je trouve un peut triste que dans nos contrées (Nord de la Loire) les sanitaires ne soient pas dans un bâtiment isolé du vent et plus ou moins du froid. Mes "Asiatiques" sont en doudoune pour plier la tente. 8h30 départ, j’ai essuyé la toile trois fois avec mon torchons pour retirer un maximum de condensation, je la plie humide. J’ai un peu plus de 25 km a faire et il faut que je parte. 
Saint Wandrille

Reprenant le même chemin que la veille, je m’arrête à Yanville pour acheter mon pain et mes croissants. Mon café et ma ½ baguette soupoudré de lait concentré sucré commence à être un peu loin.  C’est reparti pour la foret, une belle foret,  magnifique foret, je ne vois rien, que des arbres, la Seine ne doit pas être loin mais avec les feuilles je ne la vois pas. Je débouche enfin après avoir rencontré un groupe de marcheur, la seule chose qu’il m’ont demandé c’est si on était bien sur le GR 2. Cela m’étonnera toujours qu'un responsable de groupe ne sache pas ou il est. Il à de la chance d'avoir un groupe bon enfant, à l'époque ou je conduisais un petit groupe en foret de Fontainebleau, je pense que mes marcheurs n'auraient pas acceptés que je ne sache pas ou l'on était. Ce matin j’ai rencontré également quelques vététistes. Normales il fait beau, c’est une belle foret avec beaucoup de sentiers de promenades et nous sommes samedi. Je débouche enfin de la foret et aperçois le pont de Bretonne et, Saint Wandrille. 

Caudebec en Caux
Jolie village, jolie église et jolie abbaye, malheureusement je ne pourrais pas la visiter. Il est midi, et je ne suis pas encore rendu à mon point de chute. Plus tard en regardant la route sur la carte je me suis rendu compte que par la route mon point de chute n’est qu’a environ 5 km de l’autre coté du pont. (Il faut bien dire que je prépare mes randos l'hiver et lorsque je parts je ne vérifie que la trace et j'oublie le détail.) Donc je repars et m’enfonce à nouveau dans la foret. Avant d’arriver et de traverser la D490 il faut gravir la cote de l’enfer, ici le balisage est un peu moins simple, mais j’airai regardé la carte papier, au lieux de suivre le balisage et ma trace GPX, je ne me serais pas amusé à gravir ce talus juste après Rançon. J’aurais pris la route. Au milieu du talus deux chemins, l'un fait par les VTT (peut être pas) l’autre pour les piétons avec un escalier en mauvais état dont certaine marches n’existent plus. Je prends le mauvais chemin, mon pied glisse sur la terre un peut détrempé et me voilà tous crotté au pied de la pente, du coup je prends les escaliers et la ou il manque les marches l’emplacement est suffisamment plat pour retenir le bout de la semelle. Arrivée à la départementale, je me nettoie avec mon torchons encore  humide  de ce matin. Derrière la départementale cela monte toujours pour déboucher en foret. J’en ai marre de la foret, je sens que je vais me transformer en Merlin l’Enchanteur. J’en ai mare de cette foret, qui n’en fini pas. Hors mis Saint Wandrille, je n’ai rien vu. J’arrive enfin à Caudebec en Caux, le GR débouche au dessus des maisons c’est très jolie, une belle église avec les maisons construites en cercle autour. Plus bas je me suis rendu compte que c’était des immeubles de 3 ou 4 étages et je vois de nouveau le pont de Bretonne. Purée, une après midi de marche pour voir l’autre face de ce pont.
L' église est magnifique avec de fines sculptures, pas assez de pile dans mon appareil pour un reportage.  Je fais mes courses et je file au camping. Cela m’inquiète la trace sur mon GPS n’en fini pas.
Je m’enfonce de nouveau dans la foret. Je me demande si je ne suis pas sur l’itinéraire de demain, j’ai vu la pancarte du camping en bas, sur la route et je n’en prends pas la direction. Je fais demi tour, suis la route jusqu’au camping. Encore un camping deux étoiles "me semble t’il " avec un bloc sanitaire non fermé et sans chauffage dans les douches, ce soir il fait plus frais qu’hier. Pas de courant, il faut un branchement spécifique 17 euros même pour se raser. "J’suis" un peu déçus de ce camping, j’avais mis pas mal d’espoirs, pour me détendre, un camping proche de la Seine avec resto, plats rapides, mais une fois vue, cela ne me dit rien, et puis je n'ai pas trouvé le gestionnaire aimable. Il me semble que nous ne sommes que trois, une tente 2 campings cars et par la suite des gens en caravane. J’ai étudie en attendant l’heure du repas mon problème  de tracé. J’ai bien fais d’avoir fait demi tour, ma trace s’arrête nulle part. j’avais simplement oublié de terminer mon itinéraire après avoir confirmé le camping.
J’ai toujours mal aux jambes j’ai fais 503m de dénivelé positif . Les douches sont bien, au moins les affaires sont protégées, mais par contre rien n’est chauffé, et il ouvre en avril. Tout est surtout axé sur le mobil-home et le camping car, nous les pauvres toileux, ont peu avoir froid. Pour le prix pourtant ont devrait avoir des sanitaires chaud et du papier dans les toilettes. C’est marrant, j’ai pas mal décrié le camping de triel avec sa clôture défoncé et son espace toileux repoussé dans un coin d’herbe nettoyé de la veille. Mais au moins le local douches étaient chauffé. Ah n’oubliez pas le papier toilette (je me répète), mais que ce soit à Jumièges ou ici, ce genre de détail n’est pas prévu. Cela me fait sourire car dans le camping municipale de Pont de l’Arche, pas d’étoile mais le papier est prévu.
A dix neuf heure il commence à pleuvoir, vers vingt trois heures cela s’arrête mais le vent se lève. Ouf j’espère que cela va sécher la toile.  J’ai pas si mal dormi que cela, j’avais un peu peur le terrain était un peut bosselé, la partie herbeuse était bien placé juste sur le dos.
A cinq heures trente, les premières gouttes de pluie tombent, je me lève en catastrophe pour ranger mon matériel avant qu’il ne soit trop mouillé. Je mets mes affaires dans les sanitaires juste en face, j’essuie la toile qui n’avait pas séché à l’intérieur, ainsi que les quelques gouttes sur l’extérieur. Je prends mon petit déj dans les sanitaires et vers 7h30 je suis sur la route.

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samedi 2 novembre 2013

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 2 Etape 11- Saint Martin de Boscherville/Jumièges

De Saint Martin de Boscherville au Havre 180 km

Du 16 mai 2013 au 21 mai 2013

Etape d'aujourd'hui Saint Martin de Boscherville/Jumièges -23 km



Carte IGN                Trace GPS        Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b303975

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Vendredi 17 mai
km     temps     temps arr     V/d     V/g    D +
23,4   4h36        1h06         5,1      4,1    451+



Saint Martin
De Boscherville
7h15 Rouen. le ciel est bleu, le soleil est là, il fait 9° au thermometre de la pharmacie, il fait frais et je suis trop couvert. Je prends mon bus à l’heure pour me rendre à mon point de départ à 10km de là. 1,50€ pour 10 km, "j’suis" étonné chez nous c'est 1,70€ pour 4km. Nous passons la colline boisée et derrière le brouillard nous arrivons dans une nouvelle plaine. Saint Martin, n'est plus très loin. Pas de bol pour une visite rapide de l’abbaye, il est trop tôt. Sur le chemin je rencontre un homme revenant du pain qui est tout étonné de me voir avec mon énorme, sac au dos. Nous 
La Seine vers Duclair

Duclair
 discutons GR, c’est l’ancien président du comité de la FFRP de haute Normandie. Maintenant je sais pourquoi Rouen est si beau. Depuis quelques années un nouveau conservateur des Bâtiments de France à institué, une rénovation des anciennes maisons sans y interdire la couleur. Les badigeons sont bien fait et c'est beau. Il me parle également de Saint Jacques de Compostelle et de Ruffin l’écrivain voyageur qui à fait le parcours avec un sac à dos de 7kg et sous la toile de tente. Je ne sais pas pourquoi, Saint Jacques ne me tente pas.  Peut être trop de monde ? Peut être la traversée de l’Espagne? Je ne connais pas l’espagnole et encore moins l’anglais.
Il est certain qu'un "CV" de randonneur comportant : Saint Jacques, le GR 20, le GR 5 et le GR10 à une autre gueule que randonner 5 jours sur le GR 2.
Me voila en foret, très belle foret, du taillis sous futaie sans laies forestières tous les 20m comme il commence à s'en profiler en foret de fontainebleau. Ce taillis rend la foret touffus, une impression d'être impénétrable. Aujourd’hui ont est en train de transformer ma belle foret en parc, comme les forets de Montargis, Orléans ou Vierzon. Routes droites laies forestières de plusieurs mètres de larges rectilignes permettant à des camions toujours plus gros de venir chercher les troncs d’arbres. 
Après Duclair, dans la foret du trait, pris par mes pensées et un balisage qui est bien fait sur une large route, je loupe ma bifurcation, pourtant je l'ai vu ce départ à gauche, mais cela ne ma pas fait tilt. Je n'ai pas regardé le GPS et je n'ai pas pris le GR 23 A me permettant de rejoindre Jumièges en ligne plus direct. Je suis obligé d’improvisé un itinéraire en foret pour rejoindre la variante du GR 2 passant par Yainville. Cette erreur me fait couper une parcelle par une petite sente très agréable.
J’arrive malgré tout à Yainville traverse le village et un petit sentier me fait suivre une vallée.
 j’arrive rapidement au camping de Jumièges. J’attends une peu car il n’ouvre qu’a 14 heures, beau camping, avec piscine, mais les sanitaires ne sont pas chauffées, cette après midi pas de souci, j’ai 26 degrés  à ma montre, baromètre, thermomètre, boussole, mais demain ? Il n’y a même pas de cabine pour la toilette fermant  à clé. Et bien sur, pas de papier dans les toilettes.Vu le prix je trouve que c'est une honte.
Jumièges
Je parts à Jumièges, visiter l’ancienne abbaye, et faire mes courses. Ensuite je m’installe au soleil sur une chaise en attendant que l'astre du jour se couche. Avant que la température ne retombe, je vais prendre ma douche. Elles sont rikiki, pas beaucoup de place pour les affaires propres, heureusement qu’il y a un rideau pour les protéger des éclaboussures.
La nuit fut plus ou moins calme nos amis européens qui se sont retrouvés parlent jusqu'à tard dans la nuit, je dors tout habillé, dans mon duvet qui n’est pas fais pour des températures si base, il est fait pour 15° c'est à peine ce que j'ai le matin à 10 h00. Puis un braiment me réveil ou peu être un brame, la foret est juste derrière le grillage.

Je n'ai pas encore réussi à obtenir une carte interactive. 
Vous trouverez la trace GPX sur : 
 Sélectionner l'adresse si dessous, puis clic gauche " Cliquer sur l'icône en haut à droit représentant 3 feuilles
" 3 feuilles " sur la carte . Choisir "Topo ign France" puis avec l’ascenseur à gauche de la carte augmenter la précision de celle-ci jusqu'à obtenir une carte au 1/25 000

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