mardi 3 janvier 2023

Randonnée le Plus Loin Possible Etape Saint Claude

Avant de reprendre le train pour mon retour en Ile de France j’ai un peu de temps pour me promener dans Saint Claude. Je me rends à l’Office de Touriste afin de me procurer un plan de la ville. Je vous livre ma visite rapide.

Je vous livre simplement quelques photos sans GPS. La ville n'est pas si grande, mais elle est fatigante. Nous ne faisons que monter et descendre.  

 

Située à une altitude moyenne de 435 m, la ville est dominée de plus de 500 m par les sommets du Haut-Jura, tels que le mont Bayard, le Pain de Sucre, le Crêt Pourri ou le mont Chabot. La ville porte le nom de Saint Claude, moine bénédictin, abbé de Saint-Oyand au VIIe siècle, et dont le corps intact fut retrouvé à Saint-Claude en 1160. La cité se développe initialement autour d'un monastère fondé au début du Ve siècle par deux frères moines et abbés, Romain et Lupicin. Elle est tout d'abord appelée Condat (du celte Condate « confluent » entre la Bienne et le Tacon), puis Saint-Oyend-de-Joux, du nom de l'abbé Oyend (ou Eugendus) qui accroît le rayonnement du monastère à partir de la fin du Ve siècle. En 639, saint Claude devint moine dans l'abbaye qui portait alors le nom de Saint-Oyend. Saint Claude est mort le .
Lieu de pèlerinage, la ville profite vers la fin du XIIe siècle (1160), de la découverte du corps intact de l'abbé Claude (décédé quatre cent soixante ans auparavant), pour augmenter sa renommée. La ville prend alors le nom de Saint-Oyand-Saint-Claude. Au XVe siècle, saint Claude étant vénéré par le roi Louis XI, la ville garde le seul nom de Saint-Claude. Louis y étant venu avec son père Charles VII, en tant que dauphin, y passe de nouveau en 1456, au moment où il s'enfuit vers le duché de Bourgogne afin d'éviter l'armée de son père. À la fin de sa vie, le roi Louis XI vieilli effectue toutefois un autre pèlerinage vers Saint-Claude le , quoique son objectif soit réparti par une manifestation politique. Il y emmène en effet un grand nombre de soldats suisses.


En 1499, après son deuxième mariage, avec le roi Louis XII, la reine Anne de Bretagne décida de visiter ce lieu de pèlerinage, en souhaitant un héritier viable du royaume de France. Elle avait en effet perdu tous ses enfants avec Charles VIII. La reine donna naissance à la princesse Claude de France, plus tard épouse de François Ier. Le village fut détruit par les troupes de Richelieu pendant la guerre de Dix ans.

 

En 1742, l'abbaye est rattachée à l'évêché de Saint-Claude. De 1772 à 1778 Voltaire avait fait une requête contre le chapitre noble de Saint-Claude pour obtenir l'abolition des droits de maimorte et de servitude réelle sur leurs terre, et il publia une Requête des serfs du Mont-Jura qui eut un grand retentissement à Paris. Ces survivances furent abolies par l'Édit royal du 8 août 1779. 

 

 

 

 

 

Sous la Révolution, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune change de nom pour Condat-Montagne, nom construit à partir de son nom initial de Condat, auquel on ajouta « Montagne », double sens entre sa situation géographique et la Montagne, le courant politique révolutionnaire.

 

Le 1er messidor an VII (), à 12 h 45, se déclenche un incendie chez le nommé Mandrillon. Les flammes se propagent de maison en maison et ravagent la ville qui est entièrement détruite : seule une maison en réchappe, qui contient les reliques de Saint-Claude. On dénombre 65 victimes, dont le maire. Toutes les archives, les industries florissantes, les nombreuses bibliothèques possédées par les habitants disparaissent. Saint-Claude sera entièrement reconstruite. 

 

 


 La commune était desservie au début du XXe siècle par les Chemins de fer vicinaux du Jura.

La Ligne des Hirondelles traverse le Jura de part en part, reliant Dole à Saint-Claude.
2h30 de cheminement à travers la forêt de Chaux, les réputés vignobles d'Arbois, les vastes plateaux du Grandvaux, la Vallée de la Bienne…".
La ligne des Hirondelles dans le Jura c'est 36 tunnels dont un en forme de fer à cheval, 18 viaducs, 120 km de voyage entre ciel et terre, entre plaine et montagne, le tout entre 300 et 950m d'altitude.


 

 Construite entre 1856 et 1912, c'est 56 ans de démarches administratives, politiques et de travaux, pour desservir les industries du Haut-Jura. Cette ligne a été difficile à construire, autant financièrement que physiquement pour franchir les trois plateaux.

 La légende dit… que les habitants de la ville de Morez, regardaient depuis leurs fenêtres les ouvriers travailler sur la ligne des Viaducs Morbier / Morez et qu’ils avaient l’impression que les ouvriers tutoyaient les hirondelles ! 
On raconte que les jurassiens appelaient ainsi les ouvriers travaillant sur la ligne à la fin du 19ème siècle. Un nom poétique pour une ligne de légende.

 

 

La place du Château a été l'un des hauts-lieux de l'histoire sanclaudienne. Son nom vient du château fort édifié au XIIIe siècle, puis rasé sous lordre de Louis XI à la fin du XVe siècle. Elle devient un centre politique au milieu du XVI° siècle.

 

 

 

La place Louis XI domine les anciens remparts. En 1481, les armées de Louis XI ont détruit presque entièrement la ville. L'année suivante, le roi vint en pèlerinage pour implorer le pardon de Saint-Claude. En signe de bonne foi, il fit des dons qui permirent la reconstruction d'une partie des remparts.

 

 

La Grenette prend son nom et sa fonction de Halle en 1842 et sera, ensuite, cou[1]verte en 1890. Auparavant, se trouvait I'Eglise de Saint-Claude, détruite dans la deuxième moitié du XVIIIe siècle, qui avait précédé la Cathédrale comme lieu de culte.

 

 

La cathédrale Saint-Pierre-Saint-Paul-et-Saint-André de Saint-Claude, dans le département du Jura, a été élevée au rang de cathédrale en 1742. Elle est souvent appelée simplement « cathédrale Saint-Pierre ». Elle a été fondée en tant qu’abbaye Saint-Oyend au XIVe siècle. Ce monument fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le . En 1952, elle est élevée au rang de basilique mineure par le pape Pie XII. Une plaque commémorative garde la mémoire de cet évènement à l'entrée de la cathédrale. Les insignes propres à la basilique sont exposés dans le chœur. Cathédrale gothique à la curieuse façade baroque achevée au XVIIIe siècle. Elle possède des stalles du milieu du XVe siècle, sculptées par Jehan de Vitry, la partie sud reconstituées presque à l'identique après l'incendie de 1983. La cathédrale de Saint-Claude succède à l'abbaye de Saint-Claude. L'abbaye est fondée vers 415 sous le nom d'abbaye de Condat par saint Romain. La tradition attribue la construction de la première église à saint Oyend. Au IXe siècle, il y a deux églises dédiées à saint Oyand et aux trois apôtres, Pierre, Paul et André.  

L'église Saint-Oyand est reconstruite au XIe siècle par l'abbé Gauceran et sert de modèle pour l'église Saint-Lupicin. Sous cette église se trouve une crypte construite par saint-Hippolyte au IXe siècle et dédiée à saint Martin. À la fin du XIIe siècle cette église passe sous le vocable de Saint-Claude.

Au XIVe siècle il est nécessaire de reconstruire les deux églises. Une bulle du de l'antipape Clément VII réunit les revenus de la sacristie à ceux de la fabrique pour permettre des réparations aux deux églises.

Le , l'archevêque de Narbonne François de Conzié, camérier de l'antipape Clément VII, envoie une lettre au sacristain de l'église Saint-Nizier de Lyon, collecteur de la Chambre apostolique, acceptant une remise des annates que devait l'abbaye au Saint-Siège à condition de l'employer à la reconstruction de l'église Saint-Pierre et non à d'autres usages.

On peut déduire de ces lettres que la construction de l'église Saint-Pierre a commencé entre ces deux dates pendant l'abbatiat de Guillaume de La Baume (1386-vers 1412). Les travaux débutent par l'abside, et, peu après, par la façade. On ne connaît pas l'architecte qui a donné les plans de la nouvelle église. Certains ont noté l'originalité de l'élévation de l'église, cherchant à la rapprocher de l'abbatiale Saint-Robert de La Chaise-Dieu. Le seul point pouvant soutenir ce rapprochement est l'existence au Moyen Âge d'une association entre les abbayes de Cluny, La Chaise-Dieu et Saint-Claude marquée par un rouleau des morts qui circulait entre les trois abbayes.

Un incendie qui se produit dans l'abbaye en 1418 a dû ralentir les travaux de l'église.

Les archives du Jura permettent de savoir que l'abside est pratiquement terminée en 1421. Il en est de même pour les deux premières travées du chœur. Les comptes désignent Renaud de Beaujeu comme maître d'œuvre. Il travaille avec son fils Pierre.

La construction avance assez vite sur la nef et la façade, y compris le clocher, jusqu'en 1470, puis les travaux s'arrêtent sans qu'on en connaisse la raison. Louis XI ayant une dévotion particulière pour saint Claude fait des dons importants pour terminer la construction.

Pierre de La Baume, évêque de Genève entre 1522 et 1544 et abbé de Saint-Claude, fait continuer la construction, mais elle est interrompue par les guerres au XVIIe siècle.

Au XVIIIe siècle il manque encore les voûtes des deux premières travées.

L'église n'était pas achevée en 1742 quand l'abbaye est sécularisée et devient le siège d'un évêché. On termine alors rapidement la façade en plaçant un décor à caractère gothique pour conserver une certaine unité rompue par la partie supérieure de style baroque que le premier évêque, Mgr Méallet de Farge, qualifiait de « frontispice ».

 

 

 

 

 L'église Saint-Oyand est reconstruite au XIe siècle par l'abbé Gauceran et sert de modèle pour l'église Saint-Lupicin. Sous cette église se trouve une crypte construite par saint-Hippolyte au IXe siècle et dédiée à saint Martin. À la fin du XIIe siècle cette église passe sous le vocable de Saint-Claude.

Au XIVe siècle il est nécessaire de reconstruire les deux églises. Une bulle du de l'antipape Clément VII réunit les revenus de la sacristie à ceux de la fabrique pour permettre des réparations aux deux églises.

 

 Le , l'archevêque de Narbonne François de Conzié, camérier de l'antipape Clément VII, envoie une lettre au sacristain de l'église Saint-Nizier de Lyon, collecteur de la Chambre apostolique, acceptant une remise des annates que devait l'abbaye au Saint-Siège à condition de l'employer à la reconstruction de l'église Saint-Pierre et non à d'autres usages. 

 

 

 On peut déduire de ces lettres que la construction de l'église Saint-Pierre a commencé entre ces deux dates pendant l'abbatiat de Guillaume de La Baume (1386-vers 1412). Les travaux débutent par l'abside, et, peu après, par la façade. On ne connaît pas l'architecte qui a donné les plans de la nouvelle église. Certains ont noté l'originalité de l'élévation de l'église, cherchant à la rapprocher de l'abbatiale Saint-Robert de La Chaise-Dieu. Le seul point pouvant soutenir ce rapprochement est l'existence au Moyen Âge d'une association entre les abbayes de Cluny, La Chaise-Dieu et Saint-Claude marquée par un rouleau des morts qui circulait entre les trois abbayes. Un incendie qui se produit dans l'abbaye en 1418 a dû ralentir les travaux de l'église. Les archives du Jura permettent de savoir que l'abside est pratiquement terminée en 1421. Il en est de même pour les deux premières travées du chœur. Les comptes désignent Renaud de Beaujeu comme maître d'œuvre. Il travaille avec son fils Pierre. La construction avance assez vite sur la nef et la façade, y compris le clocher, jusqu'en 1470, puis les travaux s'arrêtent sans qu'on en connaisse la raison. Louis XI ayant une dévotion particulière pour saint Claude fait des dons importants pour terminer la construction. Pierre de La Baume, évêque de Genève entre 1522 et 1544 et abbé de Saint-Claude, fait continuer la construction, mais elle est interrompue par les guerres au XVIIe siècle. Au XVIIIe siècle il manque encore les voûtes des deux premières travées. L'église n'était pas achevée en 1742 quand l'abbaye est sécularisée et devient le siège d'un évêché. On termine alors rapidement la façade en plaçant un décor à caractère gothique pour conserver une certaine unité rompue par la partie supérieure de style baroque que le premier évêque, Mgr Méallet de Farge, qualifiait de « frontispice ». La cathédrale de Saint-Claude possède des orgues en tribune . Elles sont l’œuvre des ateliers parisiens Daublaine & Callinet, c'est-à-dire André Marie Daublaine et Louis Callinet Louis, facteurs d'orgues associés. Elles ont été inaugurées en 1843. L. Rollandez en est l'organiste en 1876. Ce dernier est l'auteur de transcription pour l'orgue d'oeuvres de Steibeltz, Pleyelt et Mozart. Les restes de Saint Claude de Besançon se trouvent dans un reliquaire construit par l'orfèvre Goudji.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 La façade de l'ancienne Chapelle des Carmes ; Inscrite aux Monuments Historiques en 1977, est visible à l'angle (en hauteur) de la place des Carmes et de la rue de la Poyat. C'est un vestige du couvent des Carmes, établi au XVII° siècle à Saint-Claude.

La Chapelle expiatoire, place des Carmes, de style byzantin, a été édifiée en 1869. Le corps de Saint Claude, longtemps conservé à la Cathédrale, a été brûûé par les révolutionnaires en 1794. F.J Jacquet, cordonnier, en recueillit quelques reliques et les cacha en son domicile. Le grand incendie, qui dévasta la ville en 1799, a épargné cette maison. La Chapelle a ainsi été édifiée sur Son emplacement. Le dôme actuel date de 2004.

 

 

 Le pont Central (ou pont payant) sur la Bienne, construit en 1909, fut le premier pont français construit en béton armé et sera le dernier pont pavant de France. La maison en encorbelle[1]ment abritait le poste de péage.

 

 

 

 

 

 

Les arrivoirs (mot jurassien) sont une dérivation de la rivière qui permettait d'acheminer leau jusqu aux usines inmplantées en bordure de rivière. s'agissait en effet d'utiliser la force hy[1]draulique pour entrainer les machines. Ils sont vis ibles le long de la rivière et constituent un élément caractéristique du paysage urbain sanclaudien.

 

 

 

 

 

 

 

La rue de La Papeterie Cette rue marque lévolution de l'industrie sanclaudienne. Du côté rive droite, l'usine et le moulin, d'abord scierie, se transformèrent suc cessivement en une papeterie, une tournerie puis Emile Dalloz y installa une taillerie de diamants.

 

 

 

 

Le Pont d'Avignon sur la Bienne a été Construit au XIIIe siècle par des moines pontifes (Constructeurs de ponts) venus de Saint-Bénezet près d'Avignon dans le Vaucluse. C'est l'un des plus anciens ponts de Saint-Claude. Il a été répa de nombreuses fois au cours des siècles et reconstruit au XVIII° et au XIX° siècle.

Le Pont de Pierre, construit en 1860, a non seulement permis de faciliter la liaison avec le nord de la région, mais aussi l'urbanisation de la rive droite de la Bienne et l'accès aux carrières, d'ou l'on extrayait la pierre pour bâtir la ville. Le pont comprenant 6 arches étendues sur 110m, est perché à 30m au-dessus de la Bienne.

 attention je ne suis pas sur que ce soit le pont d'Avignon de Saint Claude, n'y du pont de pierre. Mais j'aime bien l'image.

 


 

 

 La façade de l'ancienne Maison de la Presse Au n°40 de la rue du Pré, la façade peinte en 1929, permet de retrouver les titres des journaux distribués à l'époque. Et lors de sa restauration en 1993, on y ajouta, au milieu à droite, l'hebdomadaire local indépendant « Le Courrier », l'un des plus anciens journaux de France (1827 2011).

 

 

 

 

 Le Passage des 80 Aun°12 de la rue du Pré, après le porche, se dévoile 80 marches qui ont été aménagées en 1825, à la demande des habitants, pour accéder au lavoir Saint-Charles, rue de la Rochette. Il est toujours fréquemment emprunté par les locaux.

 

La rue Mercier ; Etait l'ancienne rue la plus commerçante de la ville, ou les pèlerins venaient acheter des objets religieux a l'effigie des saints de Condat et de nombreux autres articles en bois. Sous les arcades, en bas de la rue, se tenait le marché tous les samedis matin ainsi que les grandes foires.

 

 

  

 

La montée Saint-Romain ; Permettait d'accéder facilement au cimetière, situé en son
sommet. Il a été déplacé hors de la ville en 1850. La montée fut seulement équipée d'escaliers au
cours de XIX° siècle. On y trouve aussi la fontaine du Marché, la plus ancienne de la ville.

 

 

 

 

 

 

La plus grosse pipe du monde Mensurations : 8.70m de hauteur, 7.50m de longueur, un diamètre du foyer de 2.60m et un poids de 600 kg. Le plus gros diamant du monde Mensurations : 2.50m de diamètre, 1.50m de hauteur et un poids de 460kg.

 

 

 

 


 

 

 

 

 

 

 

 

 L'église du Sacré-Coeur fut bâtie en 1923. Elle témoigne de l'importance prise alors par les quartiers nord de la cité, comme ils étaient dénommés à l'époque. Elle est ouverte uniquement lors de cérémonies religieuses.

 

 

 

 

 

Mais aussi

Le vendredi , la division 157 de la Wehrmacht se déploie dans la région de Saint-Claude. La ville est cernée. Les locaux de la coopérative la Fraternelle sont mis à sac. Ses responsables qui ravitaillent le maquis sont arrêtés ainsi que Paul Delacour, maire de la ville nommé par Vichy.

Le samedi à l’aube, les commandos allemands motorisés de la division attaquent le bois de la Versanne. Ils sont tenus en échec toute la journée par le maquis bien retranché. La Wehrmacht réussit à décrocher à la nuit emmenant ses morts et ses blessés. Le maquis a lui aussi subi des pertes. Il se replie, se réorganise et s’abrite dans la forêt.

Le lendemain, dimanche , jour de Pâques, sous couvert d’une vérification d’identité, la Gestapo organise une grande rafle à Saint-Claude, en présence de Klaus Barbie arrivé la veille à l’hôtel de France. Tous les hommes de 18 à 45 ans sont rassemblés sur la Place du Pré. 302 sont retenus en otage et déportés à Buchenwald, 186 ne rentreront pas.

 

 







































 





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