jeudi 2 mai 2019

Rando dans le Nord de la Seine et Marne ; Promenade 2, La Ferté Sous Jouarre – aqueduc de la Dhuys


 Rando dans le Nord de la Seine et Marne

2) Boucle de la Marne ; La Ferté Sous Jouarre – l’aqueduc de la Dhuys




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Le code mobile de cette randonnée est b312704
                                                                        
 (Explication Code Mobile )            

Décembre 2017

KM     Temps     Arrêt     V/d     V/m     Dénivelé
27        4h55        0h00     5,4      4,9          431+

La dernière fois nous avons réalisé la boucle de la Marne par les coteaux de la rive droite. Cette fois ci nous allons randonner sur la rive gauche et ce n’est pas moins vallonné.

Nous démarrons une nouvelle fois de la gare de La ferté Sous Jouarre et prenons la petite rue de la gare passons devant la roue du moulin composé de carreaux [La Ferté-sous-Jouarre est localisée au confluent de la Marne et du Petit Morin, aux confins de la Brie et de la Champagne. Elle allie les charmes de la campagne aux atouts d'une ville avec ses services, transports et commerces. Après s'être appelée Firmitas Anculfi elle prend le nom de Ferté-Ausculphe, puis Condé-la-Ferté, La Ferté-Ancoul ou La Ferté-Aucoul voire Ferté-Aucol ou La Ferté-au-Col avant de prendre en 1789 le nom de La Ferté-sur-Morin, La Ferté-sur-Marne et enfin La Ferté-sous-Jouarre. Le toponyme La Ferté est issu de 
l'ancien français ferté qui procède lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Dénommée anciennement Condé la Ferté puis La Ferté Aucoul du nom d'un de ses seigneurs noms qui furent usités jusqu'en 1789, ou le seigneur de La Ferté-sous-
 Jouarre était le duc de la Rochefoucauld. La Ferté dû son mon primitif à une forteresse, qui a été complètement détruite, dont les murailles étaient baignées par la Marne. Elle prit son nom actuel en raison de sa position, dominée par l'abbaye de Jouarre. Au XIe siècle la plus grande partie de la ville se trouvait sur la rive gauche de la Marne et formait la paroisse Saint-Étienne-de-Condé et la partie sur la rive droite la paroisse Saint-Nicolas, qui était la chapelle d'origine du château. Au début du XIIe siècle, il y avait à La Ferté un hôtel-Dieu dédié à Saint Léonard et une léproserie qui était située hors de la ville. Jusqu'au milieu du XVIe siècle, l'histoire de La Ferté, ne présente aucun intérêt notable. À cette époque, les protestants y étaient très nombreux et la ville prit parti pour le prince de Condé, qui était leur seigneur. Capitale mondiale de la pierre meulière, La Ferté-sous-Jouarre était mondialement connue jusqu'au XIXe siècle grâce à la dureté exceptionnelle de la pierre extraite dans ses carrières, qui alimentait les moulins du monde entier. Aujourd'hui encore, on retrouve des pierres à pain fertoises dans toute l'Europe mais aussi en Amérique… et jusqu'en Nouvelle-Zélande ! Le pain, nourriture essentielle de tous les temps, est composé de farine devant être broyée. On abandonne progressivement la fabrication de meules « monolithes », c'est-à-dire constituées d'un seul bloc de pierre, pour appliquer la technique de 
« meules à l'anglaise », constituées de plusieurs morceaux de choix de pierre, les « carreaux ». On extirpait ces pierres dans toutes les collines environnantes de La Ferté-sous-Jouarre : Tarterel, le bois de la Barre… Cette industrialisation verra son apogée au XIXe siècle. La Ferté-sous-Jouarre, à cette époque, comptait 23 entreprises, la production annuelle atteignait 1000 à 1200 meules et 80 à 100 000 carreaux qui partaient par bateaux, puis par chemin de fer dans le monde entier. Wikipédia] [Si cela vous intéresse, un autre article très complet se trouve dans cette page https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geologie-meule-histoire-geologie-pierres-meulieres-1412/page/9/] Nous débouchons à droite rue Michel Fauvet, et retrouvons le GR 14A. Cette fois ci nous passons devant la mairie et poursuivons par la rue des Pelletiers passons le pont sur la Marne et prenons sur la gauche le GR 11 A et le balisage jaune longeant la Marne par le quai Planson. La rue se termine par un chemin en bordure de Marne, passons une barrière et Nous longeons les terrains de sport et un centre équestre. Après la troisième barrière nous abandonnons le GR 11A pour suivre le PR jaune sur la droite par la rue du port (voie sans issu), nous entrons dans Reuil en Brie et nous débouchons dans la rue du 8 mai 1945 que nous prenons à droite, puis à gauche la rue de Rohan, toujours balisage jaune. Nous passons l’église dans l’angle de la rue. Faisons un esse, laissons la rue du centre sur la gauche et après le virage à droite la rue change de nom et devient rue du prieuré, nous prenons à 

gauche la rue du commandant Frot puis à droite la rue sans issu Gambetta. A la propriété nous trouvons un sentier sur la gauche, nous sommes entre deux clôtures et longeons des prairies. Longeons le mur du cimetière et à l’angle de ce dernier nous prenons la route à droite pour longer l’autre coté du cimetière nous retrouvons notre GR et le balisage jaune. De rue nous passons à chemin et commençons à grimper dans les bois. Nous grimpons sur le plateau, passons une croix implanté dans la foret puis le chemin fait fourche nous abandonnons le GR 11 A et une branche du balisage jaune partant sur la droite, vers Le Tillet, poursuivons tout droit l’autre branche du PR ‘’jaune’’ vers Bréau. Pas facile ce chemin marneux on glisse plus que l’on ne marche. Nous débouchons sur la route du Bréau, J’ai tellement de brouillard que je ne vois pas la vallée dans la traversée de la prairie, passons les grilles d’un château ; château que l’on ne voit pas. Nous arrivons à une ferme, je ne sais pas si c’est ce brouillard qui me fait cet impression, mais par son apparence, il me semble que la ferme survie plutôt qu’elle ne vie, autour de cette 

dernière une odeur d’égout et je me rends compte qu’en effet dans le fossé ce sont des eaux pas très propres en provenance des stabuls ou de la ferme. Face à elle nous prenons le chemin balisage jaune. Le chemin n’est pas facile, le tracteur à créé de profondes ornières qui aujourd’hui sont pleines d’eau. Le balisage est ancien et peut entretenu, ne trouvant pas comment déboucher, pour être sur de me trouver sur le bon chemin il a fallut que je retire le lierre recouvrant la trace jaune et la direction inscrite à la peinture sur l’arbre. Pas facile ce chemin dans la boue, et je le fais deux fois. La première fois je n'ai pas vu la bifurcation,  je cherchais un passage pas trop boueux coté gauche du chemin je me suis cassé le nez sur la barrière des prairies. La seconde fois j'ai pris le bord droit. Le chemin se trouve délimité entre une clôture et un grand morceau de ficelle tendu sur le coté droit (afin que les vaches se rendant à la pâture ne s’éparpillent pas.) très occupé ou je mettais les pieds pour ne pas glisser je n'avais pas fait attention qu'une trace
jaune partait sur la droite et qu'il fallait passer sous la ficelle. (N’ayant pas vu de balisage je me dis que le chemin est abandonné. Je fais demi tour et rejoins la route pour chercher un autre chemin sur mon GPS. Je ne trouve rien qui ne débouche pas sur la D 402 et j’entends beaucoup de mouvement sur ce ruban de bitume. En poursuivant la route dans le sens de la monté je rejoins rapidement ma trace de retour et me prive ainsi d’un bon nombre de kilomètres à moins refaire l’itinéraire en entier, sans carte du secteur cela devient difficile. Je retourne donc dans mon chemin boueux. Sur la route, la peinture semble neuve et m’indique bien qu’il faut tourner face à la ferme, c’est là que j’aperçois un peu de peinture jaune sous la tige d’un lierre et la direction de Courtaron. Je reprends le chemin et cette fois ci je prends le bord droit des ornières (on ne peut plus appeler cela un chemin.) Je longe le barbelé et la ficelle servant de guide pour les vaches et cette fois ci je regarde un peut moins ou je mets les pieds et m’aperçois que le barbelé s’éloigne dans la parcelle, que la ficelle est fortement détendue et qu’entre les ronces et le taillis sur la droite un sentier plus ou moins parallèle au chemin se détache et sur un arbre un peut loin de 

l’intersection on distingue une balise jaune. Après un départ difficile le sentier devient bien visible, nous arrivons à la prairie, mais cette fois ci de l’autre coté des épineux et nous pouvons poursuivre entre deux barbelés le sentier forestier longeant le pré. Nous descendons lentement jusqu'à la rencontre d’un chemin que l’on prend à gauche (à ce carrefour nous rencontrons un autre balisage jaune provenant du chemin de droite.) Coupons la D 402 poursuivons le chemin en face. De chemin nous débouchons dans la rue Beaudoin et entrons dans Courtaron, puis prenons à gauche la rue du puits Bidon. A l’église prenons à droite la rue des pêcheurs et au carrefour à droite la rue sans issus de Bellevue c’est toujours le balisage jaune. Longeons un bois, puis nous sommes dans les champs. Au loin nous apercevons le cimetière fortement isolé du village. A l’angle du cimetière, nous prenons le chemin de gauche, bois et champs ce succèdent, nous approchons d’une propriété privée appelé le Moulin à vent en effet on y trouve une tour devenue une habitation dommage on y voit pas grand-chose, ma fois c’est mieux ainsi parce que 
aujourd’hui c’est plutôt le bazar. Le chemin encaissé dans un large fossé tourne sur la gauche et longe la ligne SNCF se trouvent dans une tranchée, nous débouchons sur la route de Blanzy que nous prenons à droite. Passons le pont de la ligne de chemin de fer, nous entrons dans Messy.
On se croirait dans les Alpes
 [Messy, qui est nommé Messy-en-France entre 1405 et 1673, ne possède qu’une seule limite naturelle, à l’ouest, la Beuvronne qui coule au fond d’un vallon relativement profond vers lequel le plateau s’incline doucement. Les châteaux du Parc, du Bray, de la Courte épée et de la Dîmeresse. Ce dernier fief est une possession de l’Abbaye royale de Saint- Denis à qui Charlemagne en fait don en 775. Les moines perçoivent les deux tiers des dîmes du village, constituant le plus gros décimateur. Au XIVe siècle, Jehan de Brie, adolescent, fait ses premières armes à la tête d’un important troupeau de deux cents brebis, avant d’écrire, à la demande du roi Charles V, un traité sur l’art de la bergerie : « le bon berger, vrai régime et gouvernement des bergers et bergères ». Jean Troisvallet, issu d’une famille de 
laboureurs, remplit la fonction de « pannetier » auprès du roi Louis XIV. Messy, village producteur de blé, dispose en effet de deux moulins. http://www.messy.fr/accueil/histoire/] Nous débouchons dans la rue Alexandre Bouche, traversons le village et passons devant la maison du peintre alexandre Bouché [Louis-Alexandre Bouché est né le 10 janvier 1838 à Luzancy. Il est le fils de Nicolas-Pierre Bouché, tisserand âgé de quarante ans, et de son épouse, Hermantine Georgina Gatellier, âgé de trente ans.
Il est élève de Rémy et de Corot. Il est mort en 1911. Wikipédia
Peintre de paysages. Elève de Rémy et de Corot, il subit surtout l'influence de ce dernier. Il fit le voyage en Italie et exposa au Salon de Paris à partir de 1864, et notamment en 1900-1904.
 
Il préfère les paysages de l'Ile-de-France, sous une lumière fine, grise, délicate et même parfois brumeuse, à la vivacité de l'éclairage du Midi. https://musees-occitanie.fr/encyclopedie/artistes/louis-alexandre-bouche/] Sur la carte le balisage jaune se dirigeait vers la carrière la carte IGN (comme d’habitude n’et pas à jour) la carrière c’est agrandit et le chemin que l’on voit sur la carte est derrière les grillages et sert aux camions. Le balisage continu la route passe sous la ligne SNCF. Notre route change de nom et devient route de Messy nous longeons les maisons en bordure de la route, nous entrons dans Luzancy et prenons sur la gauche la route des jardinets. Ensuite j’ai 
perdu le balisage j’ai pris à droite la rue du 104ème régiment d’infanterie (j’ai loupé le balisage et continué cette rue jusqu'à la rencontre de la D 402 (rue de Paris) à l’angle nous avons le monument du peintre A. Bouché redescendons la rue, sur la droite des maisons du début du siècle dernier. Nous prenons sur la droite l’Allée Corot et passons devant le château. [Luzancy est à la fois patrie du maréchal de Bercheny et berceau de plusieurs générations de grands peintres. Le maréchal de Bercheny, ancien officier hongrois, fils d'un général et ambassadeur, se mit au service de Louis XIV, créa un régiment de hussards et fut pendant un 
demi-siècle propriétaire du château de Luzancy aujourd'hui devenu maison d'enfants propriété du Conseil Général d' Ile de France.
Stanislas déchu de son royaume de Pologne y venait volontiers et sa fille, Marie, Reine de France, y fut reçue avec faste en septembre 1765.
Louis XV lui même fut également l'hôte du comte.
Le maréchal s'éteignit le 9 janvier 1778 et fut inhumé dans le caveau destiné à sa sépulture.
Le monument funèbre du maréchal à été placé dans l'église de Luzancy.
Luzancy fut aussi un grand foyer d'art dans le sillage du maître Corot.
Tous les ans, Corot, peintre de Ville d'Avray et de Barbizon, venait séjourner chez 


ses amis Rémy dont la maison dominait la rue de l'Eglise et l'ancienne rue du Bac, devenue allée Corot.
Alexandre Bouché, fils de tisserand et jeune ouvrier meulier, sentit naître sa vocation en regardant peindre le maître.
Il se fixera au hameau voisin de Messy, sillonnant le pays avec son âne, sa carriole et son parasol.
Julien Massé, né à Meaux vint à Luzancy en 1882 et reçut les conseils de Bouché, laissant d'admirables paysages de la Marne et des environs de Meaux.
http://www.luzancy.fr/
Durant les deux derniers siècles, le village de Luzancy a été au cœur des grands épisodes historiques de la France, tout en accueillant de remarquables personnalités du monde artistique.
Les vicissitudes de la guerre d'abord : dès le IXe siècle, Luzancy, située au bord de la Marne, a vu passer les Normands qui remontaient jusqu'à Paris, détruisant et rançonnant tout sur leur passage. Mais c'est surtout l'époque moderne qui plaça Luzancy au centre des grands événements géopolitiques.
En février 1814, les troupes russes de la coalition des Alliés occupèrent le village. Le général Fabian Gottlieb von Osten-Sacken, qui prit ses quartiers au château, imposa à la commune ses exigences. Dans la nuit du 3 au 4 septembre 1914, les troupes allemandes franchirent la Marne 

et occupèrent le village. La veille, la population avait été évacuée vers l'ouest (Orléans). Dix jours plus tard, suite aux victoires des troupes alliées, les Allemands se retirèrent, rapidement remplacés par les soldats anglais qui y organisèrent des postes de sentinelle. En juin 1940, l'Histoire se répéta. Toujours situé à un lieu stratégique (entre la Marne et la ligne de chemin de fer Paris-Strasbourg), le verrou de Luzancy fut la proie des combats. Le 12 juin, et durant trois jours, 3 500 Allemands et 2 500 Français, séparés seulement par le talus de la voie ferrée, s'affrontèrent violemment. Quelques jours auparavant, l'Hôpital Complémentaire, installé une fois de plus au château, avait été partiellement déménagé, abandonnant sur place une partie des installations ce qui permit de soigner dans l'urgence les soldats qui tombèrent à quelques centaines de mètres de là. Au cours de cet 


assaut, on peut évaluer à 500 les bombes et obus divers qui tombèrent sur le territoire de la commune ; un relevé indique que 225 obus ont atteint les habitations de Luzancy, dont une quarantaine sur le château et ses dépendances. Ces détériorations (canalisations d'eau et d'électricité détruites) évitèrent toutefois au château d’être occupé par les troupes allemandes.
Luzancy a eu l'honneur d'accueillir des nombreux artistes qui font indéniablement de cette commune un "foyer des Arts". havre pour bien des artistes des Beaux-Arts : Camille Corot y séjourna à plusieurs reprises, suscitant la vocation de Louis Alexandre Bouché qui lui-même suscita celle de Jean Massé. Géo Roussel y acheta une propriété ("Les Vieux Toits") où séjourna également un autre peintre, Charles Gosselin. Luzancy accueillit encore deux élèves de Massé : 

Henriette Desportes, qui y vécut avec sa famille, et Suzanne Hurel, qui vint y étudier avec le disciple de Bouché. Avant eux, Adolphe Louis Portier de Beaulieu, qui initia Massé à l'art de la gravure, était venu s'installer à Luzancy : avec sa compagne, une lettrée, il y avait fondé "La Loge", un cénacle où se rencontrèrent de nombreux artistes, musiciens et hommes de lettres, parmi lesquels l'écrivain Jean de La Hire qui y résida durant une année. Mais bien d’autres encore voir wikipédia.
château de Luzancy : la résidence du Comte Ladislas Ignace de Bercheny puis du général Claude Ignace François Michaud, la visite de la reine de France (Marie Leszczynska) et du roi de Pologne (Stanislas Leszczynski), et la destinée de ce bel édifice à partir de 1900, date à laquelle il fut transformé en école de plein air et colonie scolaire par la Caisse des écoles du 18e arrondissement de Paris. Wikipédia.] De rue nous passons à chemin après avoir retrouver le GR 11A, nous grimpons dans la foret, nous longeons le coteau, passons devant une construction en meulière abritant une source, ou une fontaine avec de l’eau clair. A la fourche nous prenons la branche de droite, à la seconde fourche nous poursuivons tout droit, coupons un chemin (nous sommes toujours sur le GR ) nous débouchons au hameau de Vauharlin par la rue portant le même nom. En gravissant le sentier, j’ai eu l’impression d’être perdu au milieu du Limousin dans les Monts d’Ambazac. Mais non je ne suis qu’à une heure de Paris par le train. Notre voie sans issu débouche sur la D 70 A (rue Roger Simon) que nous prenons à gauche nous retrouvons un balisage jaune et le GR. Nous sortons du hameau traversons un bois et nous arrivons au Tillet. Mon but était de passer par la Charbonnière mais je n’ai pas regardé mon GPS et j’ai loupé 
 la trace jaune m’indiquant qu’il fallait tourner à gauche, alors j’ai poursuivi le GR par la rue de la cave. C’est également le jacquaires Reims-Paris. Le balisage jaune ce nomme ‘’sur l’aqueduc de la Dhuys’’. Depuis ce matin j’ai un tel brouillard que je ne voie rien et à vrai dire j’ai perdu mon sens de l’orientation, impossible de me situer par rapport à la vallée et au paysage. Le GR quitte la route prend le chemin sur la gauche et entrons dans une foret de peupliers. Au carrefour le GR tourne à droite et je m’inquiète de mon itinéraire, je me rends compte que je me suis trompé et que je me suis laisser embarquer par la trace de ce dernier. Si je continue je retrouve le parcours du matin et loupe non seulement l’aqueduc de la Dhuys mais je risque de louper mon point d’arrivée. Je vérifie sur mon GPS abandonne le GR et prend le chemin sur la gauche. Je traverse dans l’autre sens la parcelle de peupliers. Au lieu dit Launoy (trois maisons) je prends le chemin sur la droite longe un étang que malheureusement je ne vois pas une digue talus chargé de buissons me le cache et le jardin de la propriété. Nous coupons la route à l’entrée du Tillet et prenons le chemin en face, longeons une maison et nous retrouvons le balisage jaune en provenance du chemin de 

gauche poursuivons le long de la prairie. A l’angle du petit bois nous rencontrons l’aqueduc de la Dhuys. Ne vous attendez pas à des constructions pharaonesques, ce n’est qu’un large chemin (très large chemin) avec quelques constructions permettant la visite de l’ouvrage. [Construit sous le Second Empire (Napoléon III) afin d’alimenter Paris en eau potable, il sert aujourd’hui à fournir en eau le parc Disneyland Paris et l’est de la région parisienne. Son point de départ se trouve à Pargny-la-Dhuys dans l’Aisne. Il franchit 21 vallées d’une profondeur comprise entre 20 et 73 m, et traverse le sud du département de l’Aisne, la Seine-et-
 Marne, la Seine-Saint-Denis sur 132 km avant d’aboutir à Paris, au réservoir de Ménilmontant. http://visit.pariswhatelse.fr/fr/aqueduc-de-la-dhuis
Au début du XIXe siècle, outre les puits et les citernes, Paris n'est alimentée en eau essentiellement que par les eaux de Belleville et du Pré-Saint-Gervais et l'aqueduc de Rungis. La construction du canal de l'Ourcq, entre 1802 et 1822, permet d'assurer un apport d'eau important, à défaut d'être d'une qualité adéquate. Le premier puits artésien de la ville est foré en 1841. Le très fort accroissement de la population parisienne nécessite toutefois d'entreprendre de nouveaux travaux.
En 1854, avec l'appui de Napoléon III, le préfet Georges Eugène Haussmann et le directeur du service des eaux Eugène Belgrand font approuver un programme d'alimentation en eau par le conseil municipal de Paris. L'aqueduc de la Dhuis est le premier ouvrage à être construit. Le décret du 4 mars 1862 le déclare l'utilité publique. Les travaux divisés en deux lots débutent à la fin juin 1863. Le chantier est rapidement réalisé : l'eau est introduit dans l'aqueduc le 2 août 1865. La distribution régulière commence le 1er octobre suivant, alimentant le réservoir de Ménilmontant.
La réalisation de l'aqueduc de la Dhuis coûte 18 millions de francs de l'époque, incluant l'achat des chutes des usines de la Dhuys et l'acquisition des sources et des usines du Surmelin.  Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter Paris en eau potable à partir de la Dhuis, il parcourt 130 km presque à l'horizontale. L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une partie des eaux de la Dhuis (ou Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa pente est faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par simple action de 

la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. La prise d'eau de l'aqueduc se situe sur la commune de Pargny-la-Dhuys, dans le département de l'Aisne, à 85 km à vol d'oiseau à l'est de Paris. L'ouvrage traverse successivement le sud de l'Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, avant de parvenir à Paris par la porte de Ménilmontant et d'aboutir au réservoir de Ménilmontant.
L'aqueduc franchit 21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Il fait usage de deux grands siphons : l'un entre Dampmart et Chessy pour franchir la Marne, l'autre entre Rosny-sous-Bois et Le Raincy près du plateau d'Avron. Jusqu'à son 
franchissement à Chessy, l'aqueduc suit plus ou moins le cours de la Marne, en altitude sur sa rive sud. Après Chessy, l'aqueduc oblique vers le nord avant de se diriger vers l'est et Paris. Au total, l'aqueduc franchit les 59 communes. L'aqueduc de la Dhuis comporte, en général tous les 500 m, des regards de visite fermés à clé permettant le contrôle de l'ouvrage. À l'extérieur, les regards sont de petits édicules de béton ou de maçonnerie comportant une porte métallique peinte en vert. Sont également présents sur le parcours des points hectométriques, bornes indiquant la distance en hectomètres depuis la prise d'eau à Pargny-la-Dhuys. Le dernier se situe à Paris en face du 10 avenue de la Porte-de-Ménilmontant et porte l'indication « 1308 », soit 130,8 km.
Pont et cabanon de maintenance abritant un regard et une vanne sur l'une des conduites forcées.

En 1889, la quantité d'eau distribuée annuellement s'élève en moyenne à 66 millions de m3 pour un prix de 0,113 F/m3. En 1896, les réservoirs du nord parisiens desservent les quartiers hauts de Montmartre, Belleville et Passy.
Le trajet de l'aqueduc est une destination populaire. À l'instar des bords de Marne, plusieurs guinguettes sont créées sur son parcours, alors même que l'eau n'est pas apparente. Actuellement, l'aqueduc de la Dhuis alimente en eau potable le parc d'attraction Disneyland Paris à Marne-la-Vallée. Seule une petite partie parvient jusqu'à Paris. Je l’ai déjà écrit et à chaque fois que je lis ses lignes cela m’écœure… Prendre de l’eau potable pour alimenter un parc d’attraction, alors qu’à longueur d’année on nous bassine sur le manque d’eau… Il y avait pourtant une autre solution ; utiliser l’eau de la Marne ou du Grand Morin qui ne coule pas trop loin de là. La traiter pour qu’elle soit sans danger, et laisser l’eau ‘’propre’’ aux parisiens.

Depuis 2009 l'aqueduc est vide à partir d'Annet-sur-Marne, la galerie ayant été bétonnée par la ville de Paris sur presque 700 mètres.
La ville de Paris inscrit à l'ordre du jour du conseil des 17 et 18 octobre 2011 l'éventualité de céder l'aqueduc de la Dhuis à la société Placoplatre, au moins les sections situées sur les communes d'Annet-sur-Marne, Claye-Souilly, Villevaudé et Le Pin, afin de faciliter l'extraction du gypse souterrain par une exploitation à ciel ouvert. À la suite de la motion de censure déposée par la fédération Île-de-France Environnement, la mairie de Paris a d'abord décliné l'offre de Placoplatre avant de renoncer au projet de cession.
En juillet 2015, la section de Pargny-la-Dhuys à Chessy est vendue à l'intercommunalité du Val d'Europe. wikipédia] Longeons l’aqueduc dans les champs, coupons une route poursuivons en face, tout droit (le chemin fait fourche tout de suite après la route, il ne faut pas prendre la branche de gauche.) 
Nous entrons dans le bois de la Bitorderie, l’aqueduc fait un coude à quatre vingt dix degré sur la droite. Nous arrivons à une fourche, quittons le balisage jaune qui remonte sur la droite, (je n’ai pas vu son changement de direction), je regardais ou je mettais les pieds, le terrain glissant énormément je suis même tombé. La Marne (la roche) avec l’argile et la pluie cela devient une patinoire. L’aqueduc fait un coude sur la gauche. Pas moyen de ce tromper, la foret à repris ses droits derrière le virage. Nous descendons perpendiculaire au coteau, je fais bien attention ou je pose le pied pour ne pas tombé. Nous rencontrons le GR 11 et le balisage jaune que nous prenons à gauche nous sommes sur un chemin intra muros entre les jardins, traversons la D 407 et poursuivons en face toujours en intra muros. Nous entrons dans Courcelles et débouchons rue Solvet. Au 
carrefour devant la Mairie nous prenons la rue du pont, traversons le Petit Morin et prenons la rue du pressoir sur la droite. Nous sommes toujours sur le GR 11 et le balisage jaune. Nous retrouvons notre aqueduc qui lui à traversé le Petit Morin sans faire notre détour, avant de prendre à gauche, je me suis dirigé à droite vers le pont de l’aqueduc permettant à ce dernier de franchir la rivière grâce à un siphon et une conduite forcée. Revenons sur nos pas et longeons de nouveau la large bande de prairie, traversons la D204, à la seconde route nous abandonnons la dérivation de la Dhuys pour prendre la route à droite dans la cote nous retrouvons le balisage jaune que nous prenons à droite, bois et champs se succèdent. Nous avons une vue sur la vallée du Petit Morin et ses méandre en fond de vallée. Notre chemin débouche sur un autre à l’angle d’un beau portail protégeant un verger dont les 
arbres sont vieillissants. Nous prenons à gauche et marchons dans la plaine inondable du Petit Morin qui serpente derrière la prairie, on ne le voie pas, on le devine grâce à la bande d’arbres qui ondulent. De chemin nous passons à route et traversons un hameau ‘’Le Moulin de Comporté’’ dans la propriété un pigeonnier, dommage le pourtour n’est pas très agréable à regarder, c’est un peu le bazar. A l’angle de la maison le balisage jaune remonte sur la gauche et l’on a une belle vue sur la vallée, puis nous entrons dans la foret. Au carrefour le balisage ce complique un peu, c’est également une 
intersection de sentier et comme tout est jaune il est difficile de choisir sa direction. Qu’elles mauvaises idées ont eux les associations ou services départementaux voulant se glorifier d’avoir créé des sorties natures et utilisant que des couleurs uniques. J’ai toujours été pour les sentiers arc en ciel chaque sentier utilise une couleur différente et jamais deux même couleur ne se croisent, bien plus facile à suivre avec ou sans carte. On commence avec un jaune on fini avec la même couleur dans un carrefour comme celui-ci si l’autre sentier était rouge, vert ou bleu, je ne serais pas obliger de me plonger sur mon GPS pour me dire qu’il faut prendre à droite. Et encore 

j’ai ma trace sur le GPS, mais sur une carte papier tout est de la même couleur, bien sur comme nous sommes en Seine & Marne ‘’ chez les betteraviers’’ pas une pancarte de direction… Mesdames et Messieurs les bénévoles allez voir un peut comment sont organisées les chemins balisés dans l’Essonne. Ce que l’on trouve là-bas c’est ce que je préconisais et faisais dans mon coin lorsque je m’occupais du balisage de deux sentiers. Notre chemin forestier débouche sur une rue nous conduisant sur la D 402 que nous prenons à droite. Après le groupe de maisons nous abandonnons la départementale pour prendre le chemin sur la droite balisage jaune et GR 11. Nous sortons de la foret au niveau des silos prenons la route sur la gauche. Au petit Pays nous nous dirigeons vers le Petit Morin faisant une petite cascade, sur le pont, nous trouvons une borne en gré avec une niche en forme d’ovale et ce qui est rare la fleur de lys encore intacte à l’interieure [Les 
 bornes ont placées au 18e siècle le long de la route royale de Meaux à Trilport, également appelée "route d'Allemagne". Une autre borne de route royale se trouve aujourd'hui à Meaux, dans le jardin du musée Bossuet : contrairement à celle étudiée ici, cette deuxième borne a été déplacée ; elle se trouvait jadis à l'angle de la rue Croix-Saint-Loup et de l'avenue du Maréchal Joffre, le long de la route de Melun à Villers-Cotterets via Meaux. (Attention j’ai copié le topo sur internet ne trouvant pas une explication générale sur les bornes. Ce topo me semblait intéressant Trilport n’étant pas loin. Mais on en trouve également à Fontainebleau.) http://inventaire.iledefrance.fr/dossier/borne-routiere/6f9b6c2a-91c7-4e39-a448-93b27d184971
Apparemment, ces bornes en grès « fleur-de-lysées » (effectivement, dans les petites niches creusées dans les bornes, il y a une fleur de lys sculptée) (beaucoup de ces fleures de lys ont été détériorées à la révolution) datent du XVIIème siècle et ont été classées au titre des monuments historiques en 1964.
Il semble qu’au XVIIème siècle, on utilisait parfois une unité de mesure appelée « lieue kilométrique » qui valait exactement 4 km. Peut-être que ces bornes avaient été placées toutes les 1/2 lieues kilométriques ? http://blog.deluxe.fr/nouvelles-de-la-gastronomie/curiosite-d619-77.html]

Prenons la rue du petit Condetz, puis à droite la rue du Déversoir, qui devient la rue du petit pays nous débouchons avenue F. Roosevelt (D 603) prenons à droite traversons le Petit Morin au rond point nous avons le mémorial en hommage aux poilus et à nos alliés les Anglais de 1914. Un arc de cercle de 225 km entre Brie et Argonne. En cette année de centenaire on parle beaucoup de Verdun.  Là-bas ce fut terrible et aujourd’hui on dit que ce n’était pour rien, que ce n’était qu’un objectif psychologique des militaires et du gouvernement, on oublie les deux batailles de la Marne (1914 & 1918), les taxis de Paris réquisitionnés pour transporter les soldats sur la ligne de front de la bataille de l’Ourcq  et des deux 
Morins. [Le 5 septembre 1914 près d’un million de soldats français et leurs alliés britanniques, combattants vaincus des batailles meurtrières aux frontières, harassés par une retraite épuisante, font résolument volte-face et reprennent l’offensive.
Ce sera la première Bataille de la Marne, une victoire au prix de 7 jours de combats acharnés sur une ligne de front de plus de 200 kilomètres, brisant la ruée allemande, protégeant Paris et sauvant la France de l’invasion. La Ferté sous Jouarre fut un des théâtres de ces combats. Le 

Dimanche 4 novembre 1928 eu lieu l’inauguration du Mémorial en présence du Maréchal Foch. Cet imposant monument portant gravé dans la pierre, 3 888 noms d’officiers et de soldats tombés lors de cette bataille en septembre 1914. Ces hommes appartenaient aux forces expéditionnaires britanniques.
Ce monument a été élevé par le Gouvernement Anglais en bordure de la Marne sur un terrain offert par Mademoiselle Fizeau, descendante du savant Hippolyte Fizeau de Jussieu qui fut membre de l’Académie Royale de Londres.

Ce sanctuaire est l’œuvre du sculpteur Goldchmidt à l’initiative du « Souvenir Anglais » et de son Président le Lieutenant Général Pulteney, qui participa à la Bataille de la Marne.] http://www.la-ferte-sous-jouarre.fr/index.php/office-tourisme/visites/20-commune/tourisme-et-loisirs/131-memorialbritannique
Inauguré le 4 novembre 1928 à la mémoire de 3 888 soldats du corps expéditionnaire britannique disparus sans tombe connue entre août et octobre 1914, en particulier durant la première bataille de la Marne. Le 5 septembre 1914, près d’un million de soldats français et leurs alliés britanniques, combattants vaincus des batailles meurtrières aux 
frontières, harassés par une retraite épuisante, font résolument volte-face et reprennent l’offensive. Ce sera la première bataille de la Marne, une victoire au prix de sept jours de combats acharnés sur une ligne de front de plus de 200 kilomètres, brisant la ruée allemande, protégeant Paris et sauvant la France de l’invasion. La Ferté-sous-Jouarre fut un des théâtres de ces combats. Le dimanche 4 novembre 1928 eut lieu l’inauguration du mémorial, en présence du maréchal Foch, de Maxime Weygand, George Milne et William Pulteney. Cet imposant monument porte, gravé dans la pierre, 3 888 noms d’officiers et de soldats tombés lors de cette bataille, en septembre 1914. Ces hommes appartenaient aux forces expéditionnaires britanniques. Ce monument, œuvre du sculpteur George Hartley Goldsmith, a été élevé par le gouvernement du Royaume-Uni en bordure de Marne, sur un terrain offert par mademoiselle Fizeau, descendante d'Hippolyte Fizeau (qui fut membre de la Royal Society). Wikipédia] Traversons pour rejoindre les bords du Petit Morin dans le parc au pied des petits immeubles. Nous suivons le GR jusqu’à l’embouchure du Petit Morin. Suivant la hauteur de la Marne, nous passons soit sous le pont  prenons à droite (précision inutile à part traverser à la nage on ne peut prendre qu’a droite). Longeons la Marne. Après le pont nous avons un monument en hommage au Britannique. (Sur le moment on rend hommage à ses derniers ils ont construits un pont 

provisoire en remplacement de celui détruit, pour qu’un corps expéditionnaire puisse traverser la rivière afin de rejoindre le reste de la division qui avait réussi à traverser en amont et en aval.) 

 Nous débouchons rue Fizeau que nous prenons à gauche pas compliquer nous longeons la Marne par le quai des Anglais. Nous passons devant une usine en ruine 








 [Au XVIII è siècle le commerce des meules de moulin échappe aux artisans maîtres meuliers et tombe sous le contrôle des grands négociants. (Une meule coûte le prix d’une maison. En 1835 la ville compte 23 sociétés dont les plus grandes emploient près de 600 ouvriers et exploitent des milliers de meules chaque année aux quatre coins du monde. En 1849, l’arrivée du chemin de fer provoque un bouleversement dans l’implantation des entreprises les nouvelles sociétés se construisent à proximité des rails.] Nous arrivons au 
 
pont que nous prenons à gauche nous entrons dans La Ferté Sous Jouarre par la rue des Pelletiers passons la Mairie poursuivons la rue qui deviens Fauvet et prenons la petite rue de la gare sur la gauche. Nous voilà arrivée.
 

 



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