mercredi 2 février 2022

N-S&M ; Prom 35 Pézarche -Touquin

février 2020

Promenade en boucle possibilité de prendre le Bus expresse Melun Coulommiers Arrêt Pézarches covoiturage

Carte IGN       Trace GPS & Topo sans Commentaires         Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b345865

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Km     Temps      Arrêt      V/d         V/g          Dénivelé

20      3h10         0h30      6,3           5,5              229 +

 

Le départ se fait au milieu des champs sur le parking de covoiturage au carrefour D 231 et D 402.

Biche dans le parc du château
Nous sortons du parking et longeons sur la droite la D 231 en direction de Provins, Jouy Ormeau Touquin sur environs 300 m. Nous longeons la petite zone industrielle ou malheureusement la petite rue desservant les bâtiments ne débouche pas. Prenons la première rue (rue d’Ormeaux) sur notre gauche et entrons dans Pézarches [Pézarches, Peserches vers 1222, semble représenter l'ancien français pesarch « chaume de pois, champ de pois » wikipédia] Au carrefour nous prenons sur la droite la rue de Provins et au cimetière nous prenons à gauche la rue Grande, je suis étonné, la rue grande n’est pas le centre du village (du moins en 2020) mais en limite extérieur de ce dernier. La rue Grande, mène à l’église qui se trouve elle aussi en limite du village. Revenons rue de Provins et sortons du village, pour entrer un peu plus loin dans Touquin. [Le nom de ce village signifie « réserve de bois entre des défrichements ». Les premiers documents sur Touquin remontent à 1107. De nombreux vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur la commune, en 1965 ont mis au jour un sarcophage de calcaire en deux parties, d'époque mérovingienne, contenant un petit couteau, deux anneaux de fer, un petit disque de bronze orné d'un masque humain grimaçant, à la bouche entrouverte, au front ceint d'un diadème à pointes dont les cheveux tombants se relèvent de chaque côté en trois boucles superposées. (...) Une sépulture gallo-romaine, relevée aussi par M. Garnier, gisait sous ce sarcophage. Touquin a été jusqu'en 1285 située dans une « marche séparante ». Du château, ruiné par la guerre de Cent Ans et démoli en 1775, il ne reste que le parc et une vieille tour, ancien moulin à vent. Touquin a été un fief protestant au XVIe siècle. Sur le blason de la commune une colombe fait référence à la période protestante.  C'est aussi, une des premières communes à bénéficier d'une unité de filtration des eaux contre les pesticides et les nitrates agricole. Wikipédia Sur le site http://www.touquin.fr/histo.html. vous trouverez l’histoire un peut plus complète de ce village.] Voilà la promenade est terminée… Je plaisante, mais une boucle de vingt kilomètres ce n’est pas énorme et les villages que nous allons traverser se trouve les uns à coté des autres. Poursuivons par la rue de Paris, nous trouvons un balisage jaune, et longeons le long mur du parc du château de Malvoisine (entre les barreaux de la grille) une biche ou un chevreuil… Entre les arbres on devine une maison comportant une tour, j’ai cru au reste d’un château, mais c’est le moulin se trouvant dans le parc du château. Prenons à gauche la rue Malvoisine nous passons devant l’église [L'église, en grès et meulière, date du XIIe ou XIIIe siècle, et est sous le vocable de Saint Étienne. Le clocher est bâti au dessus du chœur. Cette église en remplace certainement une autre, plus ancienne. À l'intérieur on peut voir un fauteuil d'époque Empire, classé Monuments Historiques. Dans une châsse est conservée une relique : un humérus de sainte Restitute. On rend un culte particulier à cette sainte dans la commune d'Arcy-Sainte-Restitue dans le département de l'Aisne. Suivant la légende elle y aurait fait jaillir une fontaine et ressuscité un enfant mort. Elle est invoquée contre la peur et le dérangement mental, ainsi que le cœur de Jean-Jacques Olier décédé en 1701, propriétaire des seigneuries de Touquin, Malvoisine et une partie du territoire d’Ormeaux. Extraies wikipédia et panneau d’information.] Face à l’église le château de Malvoisine [Le château de Malvoisine Il ne fut pas seulement le refuge du Goupil,habitant de la forêt de Malvoisine, seigneurde Mauperthuis et héros d'une célèbre fablemédiévale. !Le château d'origine, en bois, déjà ruiné parla Guerre de Cent Ans, passa d'un camp àl'autre pendant les guerres de Religion pourêtre finalement démoli au 18ème siècle. Iln'en reste qu'une vieille tour, ancien moulinà vent. Mais Malvoisine fut reconstruit avecles pierres de démolition !Diverses successions morcelle le territoire. En 1606 le seigneur de Touquin (protestant) assassine son voisin seigneur de Grand Fontaine (catholique). Les biens du premier sont confisqués et donné à Jean Jacques Olier, conseiller à la Cour des Aides, par Louis XIV, en 1667 en récompense de services rendus. En 1773, le dernier des Olier vend le territoire au marquis de Montesquiou ( de la branche d'Artagnan ), seigneur de Mauperthuis et de Coulommiers, qui s'en dessaisira à la Terreur en 1792.Du domaine initial, il ne reste plus qu'une propriété moderne, le Château de Malvoisine restauré par la famille Hiibert. Il est à noter que sous le règne de Louis XII (en 1504), le 14 octobre de chaque année, avait lieu une foire immense qui perdurera jusqu'en 1940. A titre indicatif et pour donner une échelle de grandeur, à la fin du XIXème siècle, on pouvait encore y compter plus de 20000 moutons venus du Gâtinais, de Sologne et de Beauce. Extraie de http://www.valmagazine.com/upload/histoire_villages/touquin.pdf et http://www.touquin.fr/histo.html ] Poursuivons la rue et prenons sur la droite la rue des Roches en direction du Buisson, nous arrivons au hameau des Roches, nous sommes sur un balisage jaune, au carrefour nous prenons à gauche la rue des Francs Bourgeois, rue sans issu dans cette portion. De bitume, nous passons à chemin, traversons, prairies et bois, nous arrivons devant le petit pont au dessus de l’Yerres [L'Yerres (ou Yères) était appelée la rivière d'Erre en 1384, Edera au XVIIe siècle, probablement d'un ancien Atura. Le nom actuel a subi l'influence de l'ancien français yerre 'lierre'. Le -s final n'est pas fondé. De 98,23 km de longueur. L'urbanisation rapide, dans la partie basse de son cours, a maintenant réduit le nombre de prairies inondables refuges de biodiversité, qui régulaient ses crues. La rivière prend sa source en Seine-et-Marne, au nord du hameau de Courbon, en bordure de la route départementale D 20E, sur la commune de Guérard. La rivière est appelée ru des Tournelles avant de devenir l'Yerres en aval de l'étang de Guerlande. La rivière se jette dans la Seine à Villeneuve-Saint-Georges dans le Val-de-Marne. L'urbanisation rapide, dans la partie basse de son cours, a maintenant réduit le nombre de prairies inondables refuges de biodiversité, qui régulaient ses crues. (D’où les catastrophiques inondations en 2018.) L'Yerres est une rivière calme, d'une profondeur variant de 1 à 6 mètres selon les zones argileuses qu'elle traverse. De son parcours sinueux, elle part des marécages situés aux alentours de Courbon non loin de Mortcerf, traversant ensuite la forêt de Crécy en contournant l'étang de Guerlande. Près de Touquin, l'Yerres grossit en « fusionnant » avec le ru de l'étang de Beuvron, qui selon les géographes pourrait être la vraie « Yerres » tant les débits des deux ruisseaux sont proches. La même hypothèse a été émise pour la Visandre. C'est en aval des sources abondantes près de Voinsles que l'Yerres s'élargit pour donner forme à une rivière large et paisible. Wikipédia] Après le petit pont en béton nous franchissons un ru ou un bras de la rivière sur deux longues dalles de grès. Nous arrivons au hameau de Villarceaux, nous prenons à droite la rue du même nom. Laissons l’impasse du Fief Grillon sur la gauche et poursuivons la rue de Villarceaux, jusqu’au carrefour avec la rue du Buisson formant Té avec la notre, nous prenons sur la gauche. La rue peut large est bordée de clôtures, après un champ nous longeons un hangar agricole, puis une ferme en cour de réhabilitation la ferme du Buisson. Dans le virage à droite de la route, nous trouvons sur la gauche un chemin. Prenons ce dernier, longeons un hangar en à matériel en tôle. Nous sommes toujours sur un balisage jaune. Traversons les champs et nous arrivons en lisière de la foret. Longeons le bois, quittons le balisage jaune lorsqu’il tourne sur la droite, poursuivons sa lisière, laissons un chemin sur la droite, traversons une bande de bois et poursuivons en lisière de l’autre coté. Nous débouchons sur la D 112 que nous prenons à gauche. Un peu avant la borne 13 indiquant la D112 nous prenons le chemin sur la droite en direction d’une maison avec un toit de deux couleurs différentes (marron et bordeau). Traversons la D 112 E2, poursuivons la rue en face vers ‘’la Bergoterie’’ dépassons la maison isolée en bois (ou façon bois style Américain Louisiane) et son hangar attenant (c’est pour cette raison que la couleur des tuiles est différente d’un coté c’est de la tôle bordeau), poursuivons le bitume jusqu’au hameau de la Moinerie que nous traversons. Nous débouchons sur une route formant une patte d’oie prenons à droite descendons la route, au loin de l’autre coté du vallon nous apercevons le château de la Tour. Dans le bas face à la petite rue du Tertre au milieu des champs nous avons une magnifique grille annonçant un château que nous ne verrons pas, il est trop loin dans la propriété.  Poursuivons le bitume jusqu’au pont traversant l’Aubetin [affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,15 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. En termes de dénivellation, comme le Grand Morin l'Aubetin connait une pente moyenne de 1 à 2 %. L'altitude est de 167 mètres à sa source de Louan-Villegruis-Fontaine, dans le bois de Montaiguillon, de 132 m d'altitude au centre à Beton-Bazoches, et de 60 m d'altitude à son embouchure à Pommeuse wikipédia] (sur la gauche nous avons le moulin de Maingérard) nous prenons à droite la route longeant la rivière en direction des villages de Nouveau et Mémillon. Nous grimpons vers Mémillon, nous avons retrouvé un balisage. Traversons le village de Mémillon , dans le village nous trouvons un lavoir et sa source protégée par un dôme de ciment, l’alimentant. La largeur de la rue se rétrécie encore un peut plus, et après un mur de maison, un muret surmonté d’une grille nous prenons le chemin de gauche (chemin du bois de Mémillon). Nous débouchons dans le hameau de Glatigny par un chemin intra-muros (à ce moment je ne sais pas qu’il est possible d’accéder au signal de Glatigny. L’erreur sera réparé dans Pézarche 2) Nous faisons un esse droite-gauche, poursuivons par un chemin bordé de clôtures et des près. Nous sommes toujours sur un balisage jaune, coupons de nouveau une route poursuivons en face. Nous arrivons à un carrefour de balisage jaune. Tout droit le balisage jaune se nomme PR Prés et Moulins de l’Aubertin et sur la droite, le PR de Malvoisine. Sur la droite en 2020 nous avons un verger. Poursuivons Tout droit, nous nous dirigeons vers les bois. Le chemin débouche sur un autre formant Té avec le notre, nous prenons à droite, nous retrouvons la D 112 que nous prenons à gauche (Route d’Amillis). Laissons sur la gauche la route menant à Saint, poursuivons tout droit, laissons une route sur la droite menant à Boissière, Boisserotte, et Beuvron. (Attention ne soyez pas tenté de vous diriger vers les étangs fleuries c’est la direction d’un caravaning.) Après un virage nous entrons dans le hameau de Maison Meunier. Dépassons les arrêts de bus, et prenons à droite la rue qui ne ressemble pas à une rue, du moins à son départ, sur la droite les maisons sont en retraits et cela forme une petite placette toute en longueur, servant à garer les voitures. De rue nous passons à chemin. Nous arrivons à un carrefour en forme de Té, prenons à droite (nous suivons le balisage jaune) nous longeons une haie et une ligne électrique. Entrons dans un bois, coupons une route poursuivons en face le long de sa lisière le balisage jaune. Au carrefour en forme de Té, nous quittons le chemin poursuivant longeant la lisière et suivons le balisage jaune tournant sur la droite et pénétrant dans la foret de châtaignier. Au carrefour suivant quittons le balisage jaune et prenons le chemin de gauche , croix rouge du circuit VTT et un balisage orange. Au carrefour suivant nous retrouvons le balisage jaune et poursuivons tout droit. Nous arrivons à une fourche et prenons à gauche (balisage jaune) nous sortons du bois et retrouvons les champs. Nous retrouvons les bois et j’ai un doute… Sur la carte le balisage traverse le bois, le chemin ne me semble pas bon et le balisage si je me souviens bien tourne sur la gauche. (Mon topo oral me dit que j’ai raison.) Je poursuis en prenant à gauche coupe la corne du bois prend le chemin de droite et longe la lisière du bois (comme le balisage jaune).  Je laisse le chemin de gauche partant dans les champs, poursuis sur la droite la lisière et retrouve ‘’sur la carte’’ le balisage jaune, Pourquoi ce détour ? peut être que le chemin est impraticable.  Nous entrons dans le bois. A la fin de ce dernier nous laissons un balisage jaune tournant à droite, je poursuis tout droit le balisage jaune se dirigeant dans les champs. Nous débouchons sur la route de la Couture, laissons la route face à nous, et faisons un esse droite-gauche, poursuivons le balisage en prenant à gauche le chemin en biais le long d’un bâtiment nous sommes sur le PR autour du Pléssis et du chemin Feu Aussous. Dans un coude du chemin sur la gauche, nous laissons un chemin sur la droite, longeons la lisière du bois coupons le ru de l’étang Beuvron [C'est un affluent de l’Yerres. D'une longueur de 10,4 kilomètres, le Ru de l'Étang de Beuvron prend sa source dans la commune de Dagny et se jette dans l'Yerres à Touquin. Le cours d'eau s'écoule globalement de l'est vers l'ouest. Wikipédia] Passons deux grosses dalles en grés peut être que le ru à été comblé. Nous débouchons dans le hameau Du Tau par la rue de la fosse aux clôches. Nous retrouvons le bitume et un carrefour mal foutu. Nous prenons à droite la rue du Beuvron (balisage jaune) inclus dans le muret d’une propriété une croix en fonte (avec une plaque ; Cette croix à été érigée et consacrée à Dieu, en l’honneur des ?? Anges gardiens 12 octobre 1845. Puis le nom des habitants.  Prenons la rue du Beuvron sur la droite (balisage jaune) puis à gauche la rue Mardereau. Laissons une rue desservant des maisons, nous trouvons avant la fin de la rue un sentier sur la droite que nous prenons, nous longeons un ru (ou suivant la saison, un fossé.) Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite. (Le balisage jaune se divise en deux, sur la droite le PR de Touquin-Saint Etienne, sur la gauche Le PR du Plessis-Feu-Aussoux.) Nous retrouvons le bitume dans l’impasse de la vallée et au bout, la route du Tau que nous prenons à gauche. Nous passons au dessus du ru de l’étang du Beuvron, nous entrons dans le hameau de Courmereau, après le panneau sur la droite nous avons un lavoir dont le toit en impluvium forme un U. Un peu plus loin nous débouchons rue de la Fontaine la Reine que nous prenons à gauche. Nous traversons l’Yerres longeons un terrain de sport, puis la station d’épuration derrière nous trouvons un mur comportant une grille, c’est le lavoir qui se trouve en contre bas de la route. Nous montons vers Touquin et un peu après le lavoir, nous quittons le bitume pour prendre sur la gauche le chemin (sentier de la Fontaine la Reine) balisé en jaune. Nous coupons la route de Provins, faisons un esse droite-gauche et prenons le chemin du Merisier Noir (bitume). Nous arrivons à un carrefour, laissons sur notre gauche la rue sans issu du Merisier Noir, on se dirige vers la rue (chemin) du Fossé aux Saints desservant des maisons, sur une vingtaine de mètres et après le mur d’une maison nous trouvons un sentier intra muros sur la droite, que nous penons. Nous débouchons après avoir traversé une coure au carrefour entre la rue du Champ de Foire et du Lureau, nous quittons le balisage jaune et prenons la rue du Lureau sur la gauche, coupons la D 231, prenons en face le chemin de Lureau en direction du hameau du Lureau. Le chemin mal carrossable, plus ou moins bitumé tourne sur la gauche, nous le quittons et poursuivons tout droit le chemin de terre en direction de la ferme. Longeons la ferme poursuivons tout droit, prenons le premier chemin sur la droite après la ferme, coupons la D 112 poursuivons en face. Au milieu des champs nous prenons le chemin de droite (route d’Ormeau), se dirigeant vers le hameau de la Garenne des chênes composé de quelques maisons en marge de Pézarches (de l’autre coté de la route de Provins), coupons le chemin de l’épinette, nous débouchons sur la D 231 que nous prenons à gauche jusqu’à l’arrêt de bus ou notre voiture sur le parking.

 



 

 

 

Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; 
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html

N-S & M - Prom 34 - Autour de Coulommiers - Mauperthuis

 Après ma traversée ‘’rapide’’ du plateau de la Brie entre Melun et La Ferté sous Jouarre en 6 étapes, les randos en extrême limite du département, des randos autour de La Ferté Sous Jouarre, de la Ferté Gaucher, de Meaux, je reviens lentement vers Melun. Ayant prévu les tracés à l’avance les randos ne sont pas toujours dans l’ordre de réalisation sur le site.

Pour celle-ci je suis parti du petit village de Mauperthuis, Circuit en boucle. Trajet possible en bus au départ de la gare de Melun Bus Express N° 01

 

Carte IGN              Trace GPS & Topo sans Commentaires           Trace Randogps 

Le code mobile de cette randonnée est b345853

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Km    Temps    Arrêt     V/d       V/g      Dénivelé

30       5h00       0h30     6            5,5          384+

Novembre 2019

 Je vous laisse découvrir le village par les commentaires de l’étape 5 de la traversée du plateau de la Brie que vous trouverez dans l’article https://randosacaudos.blogspot.com/2019/05/de-la-seine-la-marne-etape-5-gr-1-14-11.html de La Seine à la Marne.

 L’arrêt de bus se trouve rue Montesquiou (D 402) que je redescends, coupe la D 15. Sur la gauche on aperçoit l’église et à l’angle du carrefour la fontaine. Poursuivons la descente jusqu’à la rue de la Tour que nous prenons à gauche, puis la rue de l’étang sur la droite, nous débouchons rue des Mousquetaires que nous prenons à gauche. Nous arrivons à une fourche, laissons sur la droite la rue (chemin de la garenne) et poursuivons tout droit. Nous coupons la rue de la Tour et poursuivons par l’impasse du Clos de la Garenne. Nous sortons du village et débouchons après avoir traversé un champ dans l’allée des pommiers formant Té avec le notre, nous prenons à gauche. Coupons la D 15 poursuivons en face, au premier carrefour nous prenons le chemin de droite. Débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche. Au loin nous apercevons des silos. Cela sent un peu le gaz. Nous longeons une petite usine de production de gaz renouvelable grâce à des productions agricoles. [Article du journal du Monde. Le gaz renouvelable, nouvelle production agricole. [Et si l’agriculture française devenait le premier fournisseur d’énergie renouvelable ? Car les enjeux liés à l’énergie, aux Gaz à effet de serre (GES) et au changement climatique interpellent de plus en plus les agriculteurs. Toutefois, les agriculteurs qui possèdent une quantité suffisante de déchets n’ont parfois pas les ressources financières pour investir dans des unités de production de bio gaz. Alors que 80% du système énergétique repose sur les énergies fossiles, l’accompagnement des agriculteurs devient alors un enjeu important de cette mutation. En 2015, le secteur agricole contribuait directement et indirectement à la production de 20% des énergies renouvelables (EnR) nationales, essentiellement liées à la production de bio gaz et au développement de l’éolien sur des terres agricoles. Selon l’ADEME, à l’horizon 2030, la contribution des exploitations agricoles dans la production d’énergie renouvelable sera multipliée par 2. C’est pourquoi la majorité des développeurs de projets qui souhaitent s’investir dans la création d’unité de production de bio gaz se tournent vers le monde agricole. Détenteur de 80 % du potentiel méthanogène français avec ses déchets, le secteur agricole est également responsable de la production de 20% des gaz à effet de serre. En produisant de l’énergie, les agriculteurs s’inscrivent dans un modèle d’économie circulaire, en réutilisant le méthane produit pour fabriquer du gaz ils donnent ainsi une utilité à ces déchets et compensent en partie les conséquences environnementales. La méthanisation a le double avantage de séquestrer le méthane des déjections d’élevage (qui s’échappe dans l’atmosphère) et de le transformer sous forme d’énergie (électricité, chaleur, gaz). Elle permet également de valoriser des matières organiques fermentescibles en énergies et fertilisants. Des projets territorialisés peuvent être construits en associant collectivités et industries pour le traitement de leurs déchets. Toutefois, les agriculteurs qui possèdent une quantité suffisante de déchets n’ont parfois pas les ressources financières pour investir dans des unités de production de bio gaz. Alors que 80% du système énergétique repose sur les énergies fossiles, l’accompagnement des agriculteurs devient alors un enjeu important de cette mutation. Le co-fondateur d’ilek, fournisseur d’énergie verte et française, contact avec plusieurs agriculteurs pour proposer de l’électricité et du gaz français à des particuliers. Il revient notamment sur l’expérience d’un producteur laitier et de gaz bio de Milizac en Bretagne. Le site de production de gaz bio de Milizac, situé à quelques kilomètres de Brest, a été installé en juin 2018. Ce site peut produire jusqu’à 8,94 GWh par an et permet d’alimenter 744 foyers. La famille Laurent, composée d’éleveurs et producteurs de lait, est la première à produire du gaz bio, en Bretagne, injecté sur le réseau national de gaz pour être vendu à des particuliers sur le site du fournisseur ilek. Lancé en 2016, ilek est le premier fournisseur d’énergies 100 % vert, gaz et électricité. Il entend révolutionner le rapport entre les populations et l’énergie en étant acteur de la transition écologique. La plateforme permet aux producteurs d’énergies renouvelables de vendre directement leur électricité et leur gaz bio aux particuliers et aux TPE/PME. Selon le classement Greenpeace 2018, ilek fait partie des meilleurs fournisseurs d’électricité verte de France. https://up-magazine.info/index.php/securite-alimentaire-2/securite-alimentaire/8441-la-mutation-du-secteur-agricole-par-la-production-d-energie/  

Chemin ravagé par les énormes tracteurs
 Dans l’Oise, des cultivateurs alimentent le réseau de gaz naturel avec du biométhane pour accroître leurs revenus. Une filière naissante en France. L’ article traite principalement d’une usine proche de Senlis. Je suppose qu’à Mauperthuis  c’est le même principe (la pancarte indique que ‘’Gaz de France’’ est impliqué dans le système. une nouvelle filière énergétique, industrielle et agricole : celle de la production de biogaz destiné non pas à être brûlé pour générer de la chaleur ou de l’électricité (ou les deux en cogénération) mais à être injecté dans le réseau de gaz naturel. La recette ? Une unité de méthanisation, l’une des plus grosses de l’Hexagone dédiées à l’injection de gaz. Elle est alimentée, pour 20 %, par des « cultures intermédiaires à vocation énergétique » : du maïs d’été ou du seigle d’hiver cultivés entre deux récoltes de blé et de betteraves, ou de colza et de tournesol. Le reste provient du secteur agroalimentaire (pulpe de betteraves, drêches de blé, déchets d’oignons), à l’exclusion des effluents d’élevage (fumier et lisier), afin d’éviter les nuisances olfactives. Cette matière organique, après être passée dans un malaxeur, macère environ cinquante jours, à 40 °C, dans un digesteur – un « estomac » géant de 6 000 m3 –, où elle est dégradée par des bactéries. Il en résulte du biogaz, composé, ici, à 53 % de méthane (CH4) et à 47 % de gaz carbonique (CO2). Après filtration par un système de membranes, le CO2 est relâché dans l’atmosphère, tandis que le CH4 rejoint, à l’entrée du site, le réseaude distribution de gaz de GRDFhttps://www.lemonde.fr ›

Énergies ; Deux choses me choquent dans ce procédé. C’est que ce ne sont pas que les déchets agricoles que l’on transforme en gaz. On cultiver des produits tels que le maïs gourmend en eau, ou le seigle d’hiver, un engrais vert. J’ai tout simplement un doute sur le futur… Pourquoi ne pas produire que des produits transformables en gaz, qui rapporte de l’argent, plutôt que de produire des céréales pour la consommation qui ont bien du mal à faire vivre l’agriculteur (sauf peut être dans la Beauce.) Après tout, on achètera nos besoins sur le marché européen, et cela mettra quelques camions de plus sur les routes… Le rejet du CO2 dans l’atmosphère !!! Et la couche d’ozone ? Quand je pense que l’on veut empêcher les vaches de péter parce que cela déchire la couche d’ozone, on marche sur la tête. Dans les années 90 on nous a assommés de prédictions catastrophiques avec le trou de la couche d’ozone. On allait tous griller sur place puisque c’est une protection naturelle contre les rayons du soleil. A l’époque, les glaces du pôle nord fondaient à vu d’œil à cause des rayons solaires plus nombreux venant frapper en ligne directe les surfaces blanches. On ne parlait pas du réchauffement climatique dut à l’industrialisation… c’était en partie dut aux trop nombreuses voitures à essence.  Ce sont dans ses années que l’on nous a conseillé d’acheter des voitures diesel rejetant moins ou pas de CO2 c’était écolo… Il fallait absolument que la couche d’ozone se régénère. Aujourd’hui fini la couche d’ozone, on en parle plus. Ce sont les particules fines qui ont l’honneur des médiats. Alors les prévisions et statistiques me laisse un peut de marbre. Je ne pense pas être un Climato sceptique, n’y un anti écolo. J’ai toujours privilégié le vélo, la marche et les transports 

Verger de Noisetiers

en communs, pour me rendre au travail, ou me déplacer. Aujourd’hui avec les BOBO (Bourgeois Bohème) peuplent nos grandes villes, la nature et  « l’écologie » est devenu un lobi. On veut vivre dans une nature et une ville propre mais avec les facilités modernes. Surtout ne pas se séparer de son portable, des réseaux sociaux, des mails qui monopolisent des immeubles entiers pour le stockage des données, des tonnes d’électricité pour stocker les données. Des voitures électriques, peut être bien plus polluante dans le futur qu’une essence ou un diesel. Destruction de zones naturelles pour les terres rares, le chrome, le nickel, Transport de ses piles par bateaux extrêmement polluent. La voiture est dépendent du pétrole et on en a pas mais avec les piles on sera dépendante de la chine n’ayant pas non plus les matières premières. Que va-t-on faire des piles usagées que l’on ne sait pas retraiter ? UNE BOMBE à RETARDEMENT. Pas grave c’est un problème pour nos enfants et petits enfants. Paris avait essayé avec ses petites voitures électriques en location, je trouvais cela bien. On utilisait sa voiture thermique jusqu'à un parking et l’on faisait le reste en ville en voiture électrique. Ca n’a pas marché on est trop personnel, il faut que l’on montre notre belle voiture aux collègues, pour les rendre jaloux. Dans les années 60 on avait construit de grands parkings Porte de Bagnolet à la sortie de l’autoroute A3 et l’on avait prolongé la ligne 3 du métro jusqu'à ces derniers afin que les banlieusards (Marne la Vallée n’était que des projets, mais Melun Sénart débutait) déposent leurs voitures et prennent le métro. Ca n’a pas marché.  Trop égoïste. Une petite dernière sur les voitures électriques (que j’affectionne sur de petit parcours) à chaque grand départ en vacances on nous rabat les oreilles avec la façon de ce rendre sur son lieu de vacances. On nous présente toujours une famille avec sa voiture électrique qui devient obsolète ce jour là, pas assez d’autonomie, coffre trop petit alors, la famille loue une voiture thermique. Comme ce sont de bon BOBO, ils partent à deux voitures, la femme, les enfants, les bagages dans la bonne vieille voiture polluante, cela ne gène personne. Lui dans la voiture électrique avec sont propre itinéraire qu’il a recherché sur internet pour trouver des bornes de recharge et il met trois jours à rejoindre sont lieu de vacances (Oui j’exagère) pour circuler sur place en voiture électrique. Chercher l’erreur… Sur le lieu de vacances il y aurait des voitures à disposition ce ne serait pas mieux ?  Dans l’Isère on interdit les feux de cheminées… le bois c’est de l’énergie renouvelable. Pour diminuer les particules fines, mais personne ne stop le déferlement des camions qui ne font que du transit, parce que, en France ils ne sont pas taxés sur la pollution et les particules fines stagnent dans la vallée. Reprenons notre itinéraire. Poursuivons notre chemin tout droit, nous sommes en parallèle à la D 402. Nous apercevons la ferme des Chambrisset, faisons un petit esse gauche-droite et poursuivons un chemin fort abîmé par les tracteurs. Nous entamons un virage vers le hameau de Limosin. De chemin nous passons à rue. Traversons l’extrémité du village laissons une place, ou placette, avec un puits, devant certainement une ancienne grange en pierre transformée en maison d’habitation. Nous arrivons à un carrefour avec une rue traversant le village dans sa longueur, poursuivons par le chemin dans les champs. Sur la carte nous devons trouver au premier chemin sur la droite un balisage jaune, malheureusement en Seine et Marne nous n’avons pas de petits poteaux, avec le balisage et les informations nécessaires comme on le trouve sur les chemins de l’Essonne. Traversons les quelques maisons de Rouville nous débouchons sur une route et poursuivons tout droit vers le hameau de Rouville à la sortie du village nous trouvons sur la gauche une plantation de noisetiers. Nous arrivons à un carrefour avec un arrêt de bus 02c  Coulommiers (Un bus le matin-Un bus le soir) Nous trouvons la direction de Beautheuil sur la droite, que nous ne prenons pas. Nous poursuivons tout droit et traversons le hameau du Puits, la rue tourne sur la gauche poursuivons le bitume tout droit vers la dernière ferme et le château d’eau. Sur la droite un ancien puits circulaire il a peut être donné le nom au hameau. De bitume nous repassons à chemin, sur notre gauche nous devons apercevoir Coulommiers. Après le château d’eau et la petite station d’épuration, nous débouchons sur un autre chemin formant Té que nous prenons à droite, coupons un fossé avec un peut d’eau c’est le ru des Nouelles, poursuivons notre chemin jusqu’au village de La Touche. Après la ferme nous débouchons sur la rue principale desservant le hameau, nous prenons le bitume sur la gauche. Coupons la D 209, poursuivons en face. Nous débouchons sur la route de Fontenelle que nous prenons à droite, traversons le hameau de Fontenelle, nous sommes sur la route du bouleau. Laissons une rue sur la droite et poursuivons tout enfin nous avons une marque jaune.Nous arrivonsdevant une grosse ferme ‘’Ferme d’En Bas’’ nous sommes à un carrefour avec un chemin et la route. Malheureusement je ne remarque pas le balisage tournant à droite. Ce n’est pas facile par ici, le chemin de droite longe un bassin et se dirige vers le portail en fer forgé de la ferme. Sur le coté de la maison le chemin se poursuit, mais l’on se demande si l’on à le droit de franchir le petit portillon métallique fort dur à pousser clôturant un espace herbeux. Il manque du balisage. Heureusement je rencontre la propriétaire qui me confirme que l’on peut franchir le portillon, mais qu’il ne faut pas oublier de le refermer, derrière il y a des ânes. En effet une fois franchi, deux ânes sortent de la grange et viennent me voir. Ne pas oublier de refermer le portillon après être sortie de l’enclot n'oubliez pas les carottes... Nous longeons le Bois du pavillon, il est clôturé et prenons le premier chemin sur la gauche. C’est très mal balisé et surtout pas aux normes habituelles, dirigeons nous vers le bois des Sablons, longeons la lisière et nous débouchons sur une route. Je quitte le balisage jaune. (En prenant sur la gauche, nous trouvons à une centaine de mètres, dans le bois, la source de Sainte Flodoberthe. Je ne m’y suis pas rendu.) On devrait y trouver un ; Autel avec croix (qui était l'emplacement de l'ancienne chapelle, près de la route qui mène à Fontenelle) situé près d'une fontaine, dont les fidèles lui attribuaient des vertus curatives, et où les reliques de Sainte Flodoberthe étaient menées en pèlerinage deux fois par an. Prenons à droite nous entrons dans Amillis. Comme j’ai traversé le village dans une précédente rando je ne me rends pas en centre ville. Nous entrons dans le village par la rue de la Vendée (lieu dit ou quartier d’Amillis) au carrefour avec le monument aux morts nous faisons un esse gauche droite en coupant la D 15 et en prenant la D 15e   en direction du centre ville et de la maison de retraite par la rue de la Chapelle. Nous approchons d’un arrêt de bus situé derrière une grosse porte en bois et d’un abri, sorte de couloir étroit. Nous prenons à droite la rue du moulin, nous retrouvons le balisage jaune. Coupons un ru. La rue se termine à la dernière maison. Le chemin fait fourche, poursuivons par le chemin en bordure de l’Aubetin [coule dans les départements de la Marne et de Seine-et-Marne. C'estun affluent du Grand Morin, lui-même affluent de la Marne. Long de 61,15 kilomètres, il prend sa source dans le département de la Marne, pour se jeter dans le Grand Morin, à Pommeuse. Au sud du Grand Morin, l'Aubetin en est le plus gros affluent et le suit sur la majorité de son cours en une trajectoire parallèle, orientée est/ouest. Il parcourt 7 km dans le département de la Marne, puis 55 km dans le département de Seine-et-Marne. L'altitude est de 167 mètres à sa source de Louan-Villegruis-Fontaine, dans le bois de Montaiguillon, de 132 m d'altitude au centre à Beton-Bazoches, et de 60 m d'altitude à son embouchure à Pommeuse. Wikipédia] Le chemin fait fourche, nous prenons à droite passons au dessus de la rivière par un pont en poteaux en ciment. Nous arrivons à Courcelles. Le chemin débouche dans un virage rue de Courcelles que nous prenons à droite, balisage jaune. Passons une ferme, puis nous coupons la D 209 et prenons en face un chemin dans les champs, longeons un bois, nous arrivons aux quelques maisons du hameau d’Autheil. Attention le chemin fait fourche et le balisage jaune se divise en deux, poursuivons tout droit, un balisage jaune également. Nous coupons la D 112 poursuivons en face, le chemin débouche sur un autre formant Té, nous prenons à droite. Nous longeons un bois, puis un champ. Sur la droite nousapercevons le château Maillard [ancienne demeure des chartreux du XVIII ème siècle, au milieu d’un parc de 3 ha. Le Château qui servi au tournage du film libres avec Lambert Wilson et Isablle Carré réalisation Gabriel Le Bomin. Sortie premier trimestre 2020. Le Parisien juillet 2019http://www.leparisien.fr/seine-et-marne-77/beautheil-saints-lambert-wilson-et-isabelle-carre-en-tournage-23-07-2019-8122068.phpv] Nous arrivons à un carrefour. Sur le coté devant le bois un dépôt (parking champêtre) de matériel agricole et un poteau en bois un peu penché et effacé avec un énorme trou certainement fait par un chasseur peu intelligent. On devine la direction de la Pierre Fitte [Menhir dit la Pierre-Fitte ou Pignon de Sainte-Aubierge (cad. D 794) : classement par liste de 1889. Périodes Néolithique. On l’appelle également Pierre de Sainte Flodoberthe. cfpphr.free.fr › mega77 - https://www.wikiwand.com › Sites_mégalithiques_de_Seine-et-Marne] Poursuivons la bordure du bois sur environ 200m nous trouvons un chemin sur la gauche pénétrant dans le bois et une soixantaine de mètres plus loin nous trouvons la pierre (menhir). Une pancarte indiquait une légende inscrite sur la droite du menhir. Je n’ai rien pu lire. Revenons sur nos pas jusqu’au carrefour, prenons le chemin sur la gauche et descendons vers les bâtiments (stabules.) [J’ai rencontré un chasseur qui ma compté une histoire. A quelques centaine de mètres se trouve un étang avec des eaux noir. Le Grand Morin se trouve à une quinzaine de kilomètres et sur les bords de cette rivière se trouvais des moulins et des papeteries. Les papeteries rejetais leur eaux polluées dans la rivière, jusqu’au jour ou ce fut interdit. Alors ils construisirent une canalisation de quinze kilomètres jusqu'à ce terrain au milieu des champs et des bois. Il déversait leurs eaux polluées derrière cette digue. L’eau est noire et pollué par le cyanure et le mercure. Il y aurait des poissons immangeable, et des canards que les chasseurs tirent mais ne vont pas chercher, l’étang artificiel est également pollué au plomb. Il est entouré de grillage, on ne voit rien, je recompte l’histoire comme on me l’a compté. Cela n’a pas grand intérêt sauf que la papeterie à disparue mais pas sa pollution.] Nous coupons la D 112. Faisons un esse droite - gauche prenons la route sur notre gauche en direction de Beautheuil-Nivete-Charnoy balisage jaune. Nous quittons une cinquantaine de mètres plus loin le bitume pour prendre le chemin du Prés Valois sur la gauche balisage jaune.  Le Lavoir, la futur machine à laver de nos BOBO speudo écologique... Bien venue dans le monde d'hier, avec sont Agenouilloir, Baquet ou carosse. Sa Battoir ou Tapoir, Ne pas oublier son cuveau : un grand Baquet servant à faire tremper le linge dans un mélange de cendre et d'eau. M'oui pas très écolo la cendre le bois c'est des particules fines. On aperçoi l'étendoir permettant d'égoutter le linge. Les planches à crémaillères permettant d'abaiiser ou de remonter la planche en fonction du niveau de l'eau, la Vouillette récipient à long mange pour le coulage manuel de la léssive sur le linge et bien sur la brouette pour transporter le tout. Je ne suis pas sur que nos BOBO speudo écolo réutiliserons les lavoirs pour raisons d'économie d'énergie et d'écologie. Après quelques lavages à la main, dans l'eau froide, sous la pluie, dans le vent et le froid, ils reviendront vite fait à la machine à laver, ou ils paieront des lavendières pour faire le travail sans s'occuper des gersures aux mains et des fluxions de poitrine. Certe Je délire un peu, mais quand j'entends certain extrémistes soit disant écolo j'ai mal pour les générations futur. Ca fait du bien de se défouler un peu. Lorsque je vois un lavoir je pense à toute ses femmes qui faisaient se dur labeur sans considération et à leur soufrances... Nous débouchons sur le bitume dans le hameau de Pressoucy que nous contournons en longeant les clôtures de maisons neuves. Nous abandonnons rapidement le bitume, pour prendre un chemin sur la droite. (Attention le chemin est en angle droit et comme nous sommes sur le bitume notre attention est moins grande.) Longeons un bois, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, traversons l’Aubetin, par un petit pont en ciment (laissons le chemin et un pont plus solide pour les tracteurs sur la droite.) Traversons la fausse rivière, nous arrivons à un carrefour au milieu des champs, attention le balisage jaune se divise en deux. Ne prenons pas la branche de droite, mais poursuivons légèrement sur la gauche en longeant un bois. Nous quitterons le balisage jaune au milieu des champs, ce dernier partant sur la droite et nous poursuivons notre chemin tout droit. Traversons le ru du Maclin, un peu plus loin nous avons une construction carrée avec un bassin. Malheureusement à l’abandon. C’est lasource du Mont.
J’adore ce genre de plaque

Nous débouchons sur la D 15 que nous prenons à gauche. Laissons une route sur la gauche desservant le hameau de La Foret. Dans un virage de la route nous retrouvons un balisage jaune venant d’un chemin sur la gauche. Après avoir traversé le ru de Mengeard, le balisage jaune prend le premier chemin sur la gauche, nous descendons proche de l’Aubetin, le chemin tourne à quatre vingt dix degrés sur la droite et se dirige vers le hameau des Paroches. Pour quelle raison le balisage fait le tour de ce hameau par le chemin de droite au lieu de poursuivre la rue, je n’en sais rien. Nous remontons ce que ce que nous venons de descendre et après le contournement des prairies nous débouchons sur le bitume que nous prenons à gauche. Nous redescendons et poursuivons par le chemin de droite (rue du Chardon), nous longeons les jardins des maisons et arrivons à une intersection, prenons sur la gauche la rue du cour du Pressoir, nous débouchons rue Grande (D15) nous sommes dans le village de Saints. Sur la gauche le lavoir derrière des grilles. Poursuivons tout droit la rue Grande vers l’église. Nous arrivons sur la petite place de l’église avec son parking entouré de rues, poursuivons par la rue de Verdun (rue avec un commerce). Longue rue. Nous arrivons au carrefour avec un rond point triangulaire herbeux, sur la gauche les directions de Maingerard, Nouveau, Mémillon, Le Tertre, La moinerie. Poursuivons tout droit. Nous arrivons devant un nouveau carrefour avec un triangle herbeux en son milieu, nous prenons à gauche la voie sans issu de Laval (balisage jaune), en direction de Paraclay. Nous arrivons au Manoir de la Tour. C’est également sur la carte une intersection de balisages jaune. Comme tout est jaune il est facile de se tromper. Nous quittons le bitume pour prendre le chemin sur la droite entre clôture, champs et bois. Une pancarte nous indique ‘’Mauperthuis et Mousquetaire’’. C’est le chemin aux Prêtes. Le chemin tourne sur la droite. Nous trouvons un peu plus loin, un chemin sur la gauche à la limite de la rue bitumé devant desservir les quelques maisons. Le balisage tourne sur la gauche, nous traversons des bois, passons une petite unité d’épuration des eaux et nous débouchons rue (chemin) des Garennes que nous prenons sur la gauche, nous arrivons rue des Mousquetaires que nous poursuivons sur la gauche, puis à droite la rue de l’étang nous débouchons rue de la Tour que nous prenons à gauche et enfin la D 402 sur la droite.

 



 

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