mercredi 7 octobre 2015

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 121b - Lille - Seclin - Etape 40

Cette randonnée à reçu 3 étoiles par les randonneurs
Du 20 juillet 2015 au 25 juillet 2015  

Carte IGN              Trace GPS & Topo sans Commentaires             Trace randogps


Le code mobile de cette randonnée est b309088

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  Etape 40    Villeneuve d'Ascq - Seclin 27 km    

 
  km    Temps    arr      V/d       V/g     Dénivelé  
 26,8    5h04    1h15     5,3       4,2        60 +

Me voilà repartie à la poursuite de mon périple dans le Nord de la France. J'ai un peu triché. L'année dernière j'avais vu une gare à Tressin ou à Anstaing, mais je n'ai pas trouvé de train me permettant d'atteindre ses gares. Cela ne me disait rien de refaire les bords de la D941 jusqu'au GR 121b. Alors j'ai pris le métro jusqu’à la cité scientifique et j'ai retrouvé mon GR 121b à Sainghin en Mélantois. Je ne peut pas appelé cela un raccourci, je loupe simplement 3 km de GR.
La Marque

Cette année Lille - Condé sur Escaut et Condé sur Escaut - La Bouteille.  Fontainebleau-Lille, pas de problèmes de train, c'est tout de même a signaler. Je ne parle des TGV qui sont rarement en retard, mais de la banlieue. Comme un bon touriste que je suis, arrivée à Lille, je cherche le métro. La gare de Lille Europe ce trouve sur la ligne 2, il faut que je trouve la ligne 1. N'ayant pas l'habitude du métro, je ne pense même pas a des correspondances comme à Paris. je demande....Il y a un changement. Ou, se rendre à pied à la gare Lille Flandre ou passe la ligne 2, à quelques mètres de la.
  même avec la bruine, il m'a paru plus simple de me rendre à pied dans l'autre gare. Ensuite c'est tout simple. Je descends au terminus. 
 je traverse, ce qui s’appelle la citée des sciences. Pas l’université, qui se trouve un arrêt plus tôt, mais une zone industrielle des plus modernes.
  Si les bâtiments sont classiques, tôle et verre, entre les blocs, il y a de l'espace, on a pas l’impression d'être enfermé.  L’aménagement des rues est géniale. C'est paysager. herbiers, rosiers, bancs, sculptures, même un petit arboretum. Pour une zone industrielle en banlieue j'ai trouvé cela pas mal. Pour venir travailler, on peut prendre son vélo sans danger. Pistes cyclables, trottoirs larges. Cela change de nos 
"zones" parisienne, qui sont moches, mal entretenues, plein de papiers ou pire de dépôts d'ordures sauvages.
C'est une promenade de transition. Pas mal de bitume. On retrouve le GR à Sainghin en Mélantois en bordure de la Marque qui ressemble par ici à un fossé plein d'eau. [31,7 km de longueur la Marque prend sa source à Mons-en-Pévèle à 55m d'altitude. Elle coule globalement du sud-ouest vers le nord et se jette dans la Deûle.
La partie inférieure de la rivière est canalisée et fait partie de la liaison Deûle-Escaut, une ancienne liaison franco-belge qui a été fermée au trafic 
commercial en 1986. Un projet de réaménagement est en cours de réalisation. Les travaux devraient être terminés en 2008. L'origine du mot Marque viendrait du germanique ancien marko signifiant la marécageuse. La marque dessine autour de Lille, un croissant de lune. Grâce à cette forme originale elle joua au cours de l'histoire un rôle d'obstacle]
Je suis salué par la pluie, ce n'est plus de la bruine, il faut sortir l'imper. La rivière par ses temps orageux sent un peu les égouts, elle n'a pas beaucoup de pente et stagne facilement. Le GR nous fait revenir sur nos pas. Sur la carte, je ne pouvais pas le prendre plus tôt. Sur le terrain, il y avait la possibilité de couper. En tout cas j'ai eu l'impression de me tromper, jusqu’à la fin de mon parcours. Nous faisons pas mal de zig zag ce qui ma fait perdre mon sens de l'orientation. J'ai beaucoup de mal à savoir ou se trouve Lille par rapport à ma position. Faut bien dire qu'avec mes extraies de cartes je ne peux pas me repérer. Ai confiance en ton GPS. Faut bien dire que lorsque je rencontre le GR, je ne sais pas de qu'elle coté il vient, je le découvre un peu par hasard. Nous suivons la marque un bon moment sur un chemin large propre et bitumé ou stabilisé servant de promenade pour les habitants du bourg, des ouvriers entretiennent les rives. Déjà l'année dernière je m'étais rendu compte que le peut de débit engendrait quelques odeurs, avec la pluie cela remue un peut plus le fond. Sur ce début de parcours, je me suis aperçu que des chemins privés permettaient de rejoindre le GR sans revenir autant sur mes pas, mais ils n’existent pas sur la carte. Puis l'on s'éloigne de cette rivière. On évite toute une zone marécageuse bien aménagé pour la pêche. Je trouve tables et bancs, comme il ne pleut plus et qu'il n'est pas loin de midi, je profite des aménagements pour faire ma pose et me restaurer sans me mouiller. Je regarde le seul pêcheur stoïque sous son grand parapluie. Je sors tous mes extraies de carte et j'essaie de me repérer pour retrouver mon sens de l'orientation. Cela ne m'avance à rien. Mes extraies sont dans mon sac que pour le cas ou mon GPS tombe en panne. J'ai le détail des cinq kilomètres autour de ma trace et un extraie un peut plus large avec les routes goudronnées me permettant en cas d'égarement de rejoindre un village. 
Je repars, et passe devant "une autre mare" plus grande, avec une ile. Nous voila dans les champs. Jusqu’à présent je n'avais pas mis les guêtres, routes et larges chemins se succédaient, mais ici sur ce chemin herbeux elles sont nécessaires. Les pancartes que je rencontre ne me rassurent pas, la direction de Seclin se trouve à l'opposer de ce que je prends. Faut dire que l'autoroute n'est pas loin. Je me répète "Ai confiance en ton GPS".
 Nous arrivons à Péronne en Mélantois ou l'on enterre les lignes électriques et l'on profite de ses travaux pour changer les poteaux d'éclairages, du coup : plus de balisage. La route est facile large et droite... Je n'ai pas vu qu'à la mairie nous prenions un chemin intra muros. Je n'ai regardé mon GPS qu'à l'église, et me suis aperçu que je n'avais plus la trace. Demi tour. Les seuls traces qui restaient se trouvais justement à la mairie, je ne les avais pas vu, je devais somnoler tout en marchant. Dans les villages, on emprunte pas mal de sentiers intra muros, il faut faire attention. 
 
 
            Ferme fortifié d'Aigremont


Nous sommes tout de même dans la campagne, les bois, les champs avec des vaches, alors que Lille n'est pas loin. A Ennevelin le balisage a été changé. Nous ne passons plus par le village. La ferme d'Aigremont Fortifiée est devenue un restaurant. Il me semble qu'a Avelin le GR a été également modifié ou c'est moi qui n'ayant pas été attentif est allé trop loin. Je suis à la fin de mon parcours. Le plus dure reste à faire. J'aime bien les hôtels dans les zones industrielles ou commerciales, ils ne sont pas chère, bien souvent font des prix, en semaine, et je trouve de quoi me restaurer et faire mes courses, mais quelle galères pour les rejoindre. Le piéton est bien souvent exclus, des voies d’accès. je quitte le GR au rond point et prend la D2549 très roulante en direction de Seclin.
Jusqu’à présent j'ai de la place pour marcher et le bas coté n'est pas trop mauvais. Il y a une espèce de piste cyclable, une bande de bitume entre la ligne blanche et le talus.
Après l'autoroute cela ce corse. Après le passage de l’accès à cette dernière, la départementale comporte un muret central, je marche à gauche face au voiture avec mon petit drapeau déployé accroché à mon bâton, mon hôtel se trouve sur la droite dans la zone commerciale. Marchant à gauche face aux voitures, impossible  de traverser et, de ce coté. Rien pour le cycliste et encore moins pour le piéton. Cette voie sert plutôt d'accès à l'autoroute, ce n'est qu'une file continue de voitures et camions. Bas coté avec barrière de sécurité impossible de passer derrière, il y a des herbes et des ronces pouvant me chatouiller le dessous des bras. Au rond point suivant, j'ai un peu de mal à traverser pour rejoindre, la zone commerciale et mon hôtel à prix imbattable. Je me fais klaxonner, je n'ai aucune visibilité, les voitures et camions roulent vites et je suis obligé de passer par l'ilot centrale pour rejoindre l'autre coté. Aucun aménagement pour vélo ou piétons n'ont été aménagés pour traverser en deux fois. Ouf me voilà arrivée. Petite douche dans petit emplacement sanitaire, mais une moquette sans taches, c'est rare. De quoi se restaurer tout autour. Deux petits resto et une sandwicherie, ses trois lieux font des prix lorsque l'on se présente en provenance de l’hôtel. Ce qui ne gâte rien, les petits jeunes à l’accueil sont aimables et n’hésitent pas à discuter avec vous. 

 
 
 
 
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ; 
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mardi 6 octobre 2015

Randonnée Le Plus Loin Possible : GR - 4 Etape 1013 - Manosque - Cérestre

  Manosque -Céreste

 Cette randonnée à reçu 1 étoile par les randonneurs

Juin 2015

   
Le code mobile de cette randonnée est b309086
 
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  Manosque - Cérestre GR 4 Etape 1013

vendredi 18 juin
km    Temps     Arret     V/d     V/g      Dénivelé
24,4      4:56        1:04      4,9       4,1      677+ maxi 672

Chapelle St. Pancrace
Il fait beau et déjà chaud à 8h00 du matin. J'ai décidé de modifier mon itinéraire, ayant visite Manosque hier, je n'ai pas trouvé nécessaire de remonter la haut. je vais essayer de gagner des kilomètres et des dénivelés en coupant par la ville basse. Manosque est une charmante ville piétonne qui pour un simple chemineux comme moi n'est qu'une étape, parmi tant d'autres. De belles petites rues avec ses maisons en équilibres, mais pour le reste j'ai cru me trouver à Fontainebleau ou à Paris avec les magasins de marques, magasins de montres, grandes marques de chocolats belges et, pas même un magasin vendant des calissons d'Aix, et autres spécialités du coin. Une honte. Ou alors, j'ai loupé la rue. 
Revenons à notre itinéraire. Je coupe par les petites rues et, bien entendu je me perds dans la zone pavillonnaire. C'est pas gagné mon truc. C'est peut être mieux que les embouteillages autour de 

Manosque. je retrouve mon GR à la chapelle de Saint Pancrace et nous filons vers le village de Pierrevert perché sur la colline, le GR le contourne, mais je passe par l'interieur. Nous nous éloignons des Alpes et entrons dans les monts du Lubéron. Pas mal de bitume sur ce parcours, beaucoup de routes. On sent le parcours de transition entre deux régions. Nous passons des villages toutes en longueurs, nous sommes sur la D6. Nous la quittons pour une autre route sur la droite, route moins circulante, plus ou moins touristique et si je me souviens bien fermer l'hiver. Nous sommes en foret, elle grimpe, elle est longue, elle est ennuyeuse. 
Village de Pierrevert
                             Original sur les murs une photo de la rue ou la place à une autre époque. Ici ce qui me semble être une traction situe le cliché entre 1934-1950 date de production de cette voiture.
La place est presque identique à la photo
Pas de grand angle sur mon appareil !!!!!
A Montfuron encore un village perché nous avons un dernier point de vu sur les Alpes, la montagne du Verdon et le plateau de valensole. [ La localité apparaît pour la première fois dans les textes vers 1060 (Monte Furono). Ce nom est formé de l’occitan Monte, venant du latin Mons (montagne) et de « Furon » (furet), nom propre, dérivé d'un surnom. Autrefois fortifié, le village est pillé par les routiers en 1392 (guerre de Cent Ans) et pris d’assaut en 1560 (guerres de religion). En 1690, la seigneurie est érigée en marquisat pour Léon de Valbelle. 

Le monument le plus connu de la commune est son moulin à vent du XVIIe siècle, restauré de 1971 à 1980 et qui a conservé une partie de sa mécanique en bois d’origine. Les ailes font 13 m par 4. C’était le dernier encore en fonctionnement du département jusqu’à la restauration du moulin de Saint-Michel-l'Observatoire. Le moulin constitue un site classé depuis 1938. Montfuron a aussi sur sa commune deux autres moulins : le moulin des Arnoux à gypse, et le moulin de la Dame (propriété privée) dont il reste les ruines d'un ancien moulin à eau.
Il ne reste qu’un pan de mur et une arche de l’ancien château, au-dessus du village.
Le mur nord et le portail sud, arche en plein cintre de claveaux ornée d’un tore, de l’église Notre-Dame-et-Saint-Elzéar, sont les parties les plus anciennes du bâtiment. Le clocher-tour date du XVIIe siècle.
Chapelle St. Elzéar
La chapelle Saint-Elzéar, au cimetière, datée du XVIIe siècle. Sa nef, voûtée en berceau, sa construction en moellon, son chœur à chevet plat, voûté d’arêtes, caractérisent sa construction. Sa porte a été refaite à l'identique de l'ancienne en 2013 : elle est ornée des armes des Valbelle

 Nous tournons la page, maintenant nous sommes dans le Lubéron, le grand, le petit. De ce lieu j'ai vraiment l'impression d'avoir fait des kilomètres depuis Grasse. Nous redescendons encore de la route pour arrivée à une grande intersection routière, bien balisé. Le soleil tape dure on monte encore. Sur le bas coté de la route je trouve des cerisiers sauvages j'en cueille une poignée, c'est à la fois rafraichissant et sucré. Enfin nous quittons définitivement le bitume pour un chemin forestier. Je suis les crêtes, promenade reposante, plutôt en descente sous un soleil de plomb. Nous avons une vue sur le grand
Lubéron, au milieu une vallée interminable. Je passe le village de Monjustin perdu au sommet de cette montagne. Dépaysement garantie. Pas un chat dehors, même les chiens ne se donnent pas la peine de donner l'alerte. Tout le monde est au travail ou fait la sieste à l'ombre. Au thermomètre des pharmacies :  Hier 26, aujourd'hui 28, heureusement il y a du vent, un vent chaud. Ici c'est un
carrefour de GR. Nous rencontrons le GR 97 mon chemin pour l'année prochaine. Cérestre n'est plus très loin, il n'est pas loin de treize heures, j'ai largement le temps de faire une pose. Le problème trouver de l'ombre. Sur la carte nous voyons que la vallée est divisé en trois parties ; Ste. Croix- Jean Tuas et l'adret et ce
coté de la montagne porte bien son nom. [L’adret (terme géographique de 1927, issu du vieux français adrecht - adroit, endroit ou bon côté) désigne les versants d’une vallée de montagne qui bénéficient de la plus longue exposition au Soleil. Le versant opposé de la vallée est l'ubac. wikipédia] j'arrive a 14h30 à Cérestre. Dans ce village pas de chambre d'hôte mon choix c'est porté sur un hôtel. La chambre est plonge dans le noir, il y fait frais.
Comme d'habitude douche repos et petit tour du village. Mais avant toute chose direction l'office de tourisme juste en face de l’hôtel pour confirmation des horaires de bus pour demain. Ouf, j'ai bien lu le "dépliant internet" le bus existe bien et passe bien le samedi. La dame me montre de la fenêtre ou se trouve 
l’arrêt pour Avignon. Elle pense que je suis un Jacquaire et que j'abandonne la route. Ce village est une étape pour le pèlerin et il existe un gîte pour eux. Elle ma regardé avec des yeux tout rond lorsque je lui ai dit que mon but, c’était un tour de France par étapes devant remplir une bonne dizaine d'années. 
[ Protégée au nord par les monts du Vaucluse, et au sud par la chaîne du Luberon, Céreste est à la frontière entre la Basse et la Haute Provence, sur l'ancienne via Domitia, à 370 m d’altitude. Les fouilles faites à la Combe Joubert ont révélé un site paléolithique de première importance. Alors que le sud-est de la Gaule était une terre burgonde, le roi des Ostrogoths Théodoric le Grand fait la 
Passage devant Montjustin

conquête de la région en 510. Le fait le plus marquant de cette période fut la bataille de Céreste. Au cours de l'année 1368, Louis Ier d'Anjou décida de s'approprier la Provence. Il fit appel à Bertrand Du Guesclin qui passa le Rhône et assiégea Tarascon, batailla devant Arles et remonta ensuite vers Apt. Poursuivi par les troupes du sénéchal de Provence, le Breton se replia à Céreste. 
Cérestre

Le choc entre les deux armées vit la lourde défaite des Provençaux. Au XVIe siècle, l’activité du village reprend, avec la transhumance à longue distance. Les moutons de Céreste partent dans la vallée supérieure du Var. La vigne et les oliveraies colonisaient les collines, le blé couvrait les vallées. Et la commune était réputée pour ses truffes d'une exceptionnelle grosseur. Le village comportait plusieurs filatures à soie. Une carrière à ciel ouvert permettait d'exploiter le lignite.

Les remparts ont conservé la porte renaissance (XVe siècle).
Plusieurs maisons du village ont des façades remontant aux XVIe (Le Cours, avec fenêtres à meneau et une petite sculpture antropomorphe sous le larmier) et XVIIe (une rue des Réfractaires, de 1664 ; rue Imbert, maison à attique et fenêtres arrondies ; cours Aristide-Briand, une maison du XVIIe siècle et plusieurs du XVIIIe siècle).
  L’église paroissiale Saint-Michel : Jean-Christophe Labadie date l’église d’avant le XVIIe siècle, et fait remonter les travaux d’agrandissement aux XVIIe et XVIIIe siècles, avec deux travées du bas-côté sud plus anciennes (fin XVe siècle). Le clocher est surmonté d’un campanile provençal en fer.
 La chapelle Notre-Dame-de-Pitié est construite au XVe siècle.

 antropomorphe sous le larmier
 Le pont de la Baou sur l’Encrême, dit « romain » : construit sur la route de Carluc et Reillanne, son tablier mesure 19 m de long par 3,95 m de large, soutenu par une arche surbaissée de 10,5 m de portée, et de 4,5 m de hauteur sous clef. La chaussée a 3,15 m de large. En fait de pont romain, il est construit en 1740 (d’après les archives), mais classé monument historique comme pont romain en 1862. Il est établi sur le gué antique de l’Encrême. À proximité devait se trouver le prieuré de Saint-Vincent-du-Pont.]


 

         

 
 
 
 
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