dimanche 6 octobre 2013

périple 2013 Rouen Calais en vidéo

Périple 2013

Randonnée Le Plus Loin Possible sur les GR 

De Rouen GR 2 à Calais GR 120 en passant par le GR 21

Cette année mon objectif (J'aime pas ce mot, il me fait penser au boulot) remplaçons le par : mon but, ou, programme, était de terminer le GR 2, de parcourir le GR 21 et 120 afin d'atteindre Calais soit environ 400 km en 4 semaines, une semaine par mois de mai à aout.
Avant d’éditer le parcours jour par jour comme l'année dernière, j'ai enfin réussi à transformer mes photos en vidéos. Deux longues vidéos de 15 mn et 12mn. Je n'ai pas cherché à prendre les plus belles photos, j'ai plutôt cherché à vous représenter mon itinéraire. Tant pis, si vous trouvez que c'est trop long, que les photos ne sont pas belles, qu'il y a du brouillard et que l'on ne voit rien, mais c'est le temps que j'ai eu. Un champ d'herbe inutile comme image ! pourtant c'est le chemin que j'ai trouvé. Eh, oui il n'y a pas que des sentiers ou des chemins en parfait état. Des plages, des dunes, du sable, je ne pensais pas en trouver autant. J'espère que les topos écrits servirons aux débutants "comme moi".
Restez assis dans votre fauteuil et regardez....... pour mieux préparez votre itinéraire.

La transformation du diaporama en HTML à dénaturée la qualité des photos. Elles sont nettes en petit format et deviennent sans détails en plein écran.

Diaporama 1 de Rouen à Dieppe 15 mn

Diaporama 2 de Dieppe à Calais 12 mn


samedi 5 octobre 2013

Rando Fontainebleau - Franchard - Bourron Marlotte

Fontainebleau - Apremont-Franchard - Bourron Marlotte 

(En passant par la Halte SNCF entre Bois le Roi & Fontainebleau. Gare fantôme de la Foret)

Ex promenade TMF 3  

J'ai refais les itinéraires du TMF en deux étapes et je modifie ce qui était l'étape 3 par une simple rando au départ de Fontainebleau ou de la Halte en Foret avec une arrivée à Bourron Marlotte promenade assez longue pour s'entrainer au TMF j'ai ajouté quelques difficultés pour agrémenter cette rando de 34 km
Je vous propose également une variante en rouge sur la carte.



Carte IGN        Trace GPS

Trace Randogps            Le code mobile de cette randonnée est b303973
                                                               Explication code mobile

Km    Temps     Arret     V/d     V/g     Dénivelé
34       6h30       0h15      5,5       5,3      463+



Le départ peu se faire de la Gare de Fontainebleau ou de la HALTE en Foret sur les horaires Fontainebleau Foret (en fin de semaine uniquement) voilà ce que nous comte un internaute : [Ne comptez pas sur l’aide des agents RATP (pas testé celle des agents SNCF…), car ils ne la connaissent pas. Et pour cause, elle n’est indiquée sur aucune carte, elle est introuvable sur le site RATP et sur le site Transilien… Et oui elle est gardée secrète, pour des raisons inconnues !! Impossible donc de prendre un ticket pour “l’arrêt en plein milieu de la forêt de Fontainebleau”. Il vous faudra soit prendre un ticket mobilis zone 1-5, soit un ticket pour Bois le Roi (Pas sur que ce soit le bon nom de gare. La halte se trouve après la gare de Bois le Roi, alors si vous vous faites contrôler vous risquez une amande pour les 3 km qui manque...) ou Fontainebleau-Avon, soit votre pass Navigo préféré.
Seule la fiche horaire de la ligne R Paris-Montgargis indique l’existence de cet arrêt. Pour vouloir avoir des renseignements sur cet arrêt, il faut donc se lever de bonne heure vous l’aurez compris !
tous les samedis et dimanches, 4 trains à destination de Montargis le desservent au départ de Paris Gare de Lyon. Par contre, aucun train à destination de Paris ne s'y arrête.
Je n'ai pas trouvé sur les fiches horaires 2018 les heures indiquées. Seul des sites internet de randonneurs nous les indiques. (Le lien de la fiche horaire situé plus haut date de 2016) Je sais que les deux premiers trains s'y arrêtaient encore en 2018 pour y avoir vue des randonneurs en descendre. Adresse de la fiche horaire des fins de semaine https://www.transilien.com/sites/default/files/atoms/files/r-2019-moret-sd.pdf
Paris Gare de Lyon, départ 8h16 - halte forêt de Fontainebleau, arrivée 8h56; code mission GOMA 
Paris Gare de Lyon, départ 9h16 - halte forêt de Fontainebleau, arrivée 9h56; code mission GOMA
Paris Gare de Lyon, départ 10h16 - halte forêt de Fontainebleau, arrivée 10h56; code mission GOMO
Paris Gare de Lyon, départ 11h16 - halte forêt de Fontainebleau, arrivée 11h56; code mission GOMA
Merci aux sites  http://www.hunza.pro/2015/06/halte-sncf-en-foret-de-fontainebleau.html & https://voyagerenphotos.com/2014/04/une-gare-fantome-en-pleine-foret-de-fontainebleau/
 et un nouveau mauvais point pour la SNCF... Cela fait gagner tout de même quatre kilomètres.

Départ Gare de Fontainebleau
En provenant de Paris sortir coté gare routière remonter la rue de la Petite Vitesse couper l'avenue Franklin Roosevelt traverser le pont et prendre à droite la rue Gaston Bonnier longeant la ligne de chemin de fer, laissons sur la gauche la maison forestière de la porte aux vaches. Laissons les chemins de gauche. La route fait fourche nous prenons à gauche la route bitumée de la Tour Denecourt. Nous longeons le Laboratoire Végétale [La station de biologie végétale de Fontainebleau est une annexe de l'université Paris 7
Il s'agit d'un ensemble de cinq bâtiments. Édifiée par le botaniste Gaston Bonnier en 1889, la station regroupe 1 243 m² de locaux entourés par un parc boisé de 3,5 ha de zones forestières, de pelouses, de pépinières ainsi que de différents massifs. Elle est ainsi gérée par le Laboratoire de Biologie Végétale et d'Ecologie Forestière.

Pavillon de Biologie végétale
La zone forestière représente plus de la moitié de la superficie du domaine. Sa biodiversité est importante, elle possède des essences exotiques plantées depuis le début du siècle. Elle comprend aussi des arbres d'origine nord américaine.
 Les pelouses constituent environ le quart de la surface du site. Elles offrent un terrain d'étude précieux car elles forment une mosaïque présentant aussi bien une végétation des pelouses calcaires qu'une végétation des prairies mésoxérophiles sur sols filtrant siliceux ou bien encore une végétation des prairies mésophiles de fauche.
Les massifs ont été créés afin de proposer une grande diversité de plantes.
Ce bâtiment est établi sur plusieurs niveaux distincts. L'ensemble représente une surface totale habitable d'un peu plus de 800 m2. Une cave à plusieurs compartiments est située sous l'aile sud.  Au rez-de-chaussée, on trouve des bureaux et des pièces équipées en différents postes de travail. L'entresol, comprend des surfaces de laboratoire. Le "pavillon des travaux pratiques", construit vers 1914, comporte 3 salles (135 m2) d'une capacité d'accueil modulable. La serre tropicale (120 m2) a été rééquipée en 1996-97, elle est maintenant munie de nombreux dispositifs d'éclairage, d'arrosages et d'aération. La véranda attenante au bâtiment du foyer permet la culture de plantes d'orangerie et de plantes grasses.
Voilà ce que l'on peut dire de ce batiment hors d'age à l'orée de la foret. Coté ligne SNCF des bâtiments modernes accueils les étudiants]. Après le grillage nous prenons à droite la route Bezout on y trouve également le balisage bleu N° 2 & 13. Lorsque ce dernier tourne à droite nous poursuivons la route Bezout, passons le grand carrefour du Bois de la Madeleine ou nous y rencontrons le GR 1E. Poursuivons la route Bezout qui devient jalonné par le GR 1, nous coupons la route de Valvin et commençons à gravir l'extrémité "Est" du Rocher Cassepot, le Gr 1E nous quitte en son point le plus élever poursuivons la route Bezout et redescendons l'autre face du rocher, coupons la route du rocher Cassepot et poursuivons en face jusqu'à la route de Bourgogne [Voie célébre qui va de Paris  à Lyon. Empruntée dès l’antiquité par titus Labienus lieutenant de César, à la tête de quatre légion et ce dirigeant vers Melun. Sous François I elle est utilisée pour les chasses. En 1600 Henry IV la fait aménager pour permettre aux dames de la cour de suivre les chasse en voiture. Peu sure et mal entretenue Louis XIV lui préfère la route de Chailly pour rejoindre Fontainebleau. En 1685 le maître des Eaux et Foret doit faire couper les buissons pour empêcher les brigands de dresser des embuscades.] Poursuivons par le chemin en face vous me direz mais il est ou le chemin ? Il est vrai que l'on ne le voit plus par manque de passage et d'entretien. (C'est peut être une technique de l'ONF pour éviter les dépôts sauvages en foret, et cela fait des économies de barrières.) C'est devenue un sentier qui parfois est difficile sur ses premiers mètres par les fougères envahissantes et quelques ronces. Nous arrivons route du Cèpe que nous prenons à droite, passons sous le pont de la ligne de chemin de fer et prenons tout de suite à gauche le chemin longeant la ligne SNCF et nous arrivons à la Gare Fantôme de la
Gare Fantôme de la Foret
gare Fontainebleau Foret. Poursuivons  jusqu'au pont (Pour ceux qui nous rejoigne à la sortie du quai fantôme prendre à gauche.) Nous rencontrons l'ex balisage jaune devenu bleu du sentier 15 de Samois. Passez sous le pont, l'ex sentier jaune devenu bleu nous quitte en partant à droite, nous poursuivons la route d'Aumale jusqu'au carrefour suivant ou nous prenons à droite la Rte Duguay Trouin jusqu'à la Croix de Toulouse,
 [L'arrêt du Conseil du 12 juillet 1723 nous parait s'appliquer à la Croix de Toulouse : "Sur ce qui a été représenté au Roi, en son Conseil, par le sieur marquis de Montmorin, gouverneur et capitaine des chasses de Fontainebleau, que Louis XIV, dans l'intention de faire planter une croix dans la forêt dudit Fontainebleau par les soins du sieur marquis de Saint Hérem, père du susnommé, lui avait fait donner une colonne pour être employée à cet usage ; en conséquence Sa Majesté a ordonné que cette colonne servirait à la construction dont il s'agit, dans l'un des carrefours de la forêt de Fontainebleau, et a enjoint au sieur de La Faluère, grand maître des eaux et forêts du département de Paris, de tenir la main à l'exécution de cet arrêt, etc."
 
M. Domet dit que cette croix a été construite en 1726 ; mais c'est évidemment par erreur, car, dès l'an 1725, elle est citée dans le livret des chasses du Roi comme servant de lieu d'assemblée pour la chasse à courre. Le nom du comte de Toulouse semble ne lui avoir été attribué que par pure courtisanerie. Il était alors grand veneur.
La colonne de marbre que le roi a donné pour la construction de cette croix provenait de la. Belle Cheminée, et cela ne laisse pas que de constituer un problème. La salle de la Belle Cheminée n'a été transformée en théâtre que sous Louis XV, en 1733, et c'est à cette date que M. Pfnor, dans son Guide du Palais, et M. Bourges, dans Quelques notes sur le Téatre de la Cour, placent la destruction de la Cheminée et la dispersion de ses é1éments. Or, la Croix de Toulouse existait au moins depuis 1725, et même depuis 1723. Bien plus, le roi Louis XIV avait déjà l'intention de disposer de cette colonne, entre 1701 et 1715, ce qui permet de supposer que la cheminée était déjà démolie sous son règne. Louis XV serait moins coupable qu'on ne l'a toujours pensé. Mais les allégations du marquis de Saint-Hérem, quoique acceptées par le Conseil, sont peut-être mal fondées. Louis XIV n'a sans doute pas exécuté son dessein. La destruction de la Belle Cheminée n'est certaine qu'en 1723, et cela ne doit point nous surprendre, si nous songeons que c'est alors seulement que la salle de la Belle Cheminée,a commencé à servir aux représentations 
théâtrales. La Croix de Toulouse a été détruite en l793, comme les autres croix de la forêt. Voici à la date du 19 frimaire an II (9 décembre 1793), un acte relatif a cette démolition.
Les citoyens Barthélémy et Athanase Dressin, chargés de démolir plusieurs croix, de laquelle démolition et enlèvement ils se sont rendus adjudicataires, ayant observé qu'ils n'ont pas procédé à l'enlèvement de la croix dite de Toulouse, attendu que cette croix a été accordée à la commune de Moret, et qu'ils n'ont pu procéder à la démolition et enlèvement des croix dites de Montmorin et Saint Hérem, attendu qu'elles ont été données à la commune de Nemours, le Conseil général a autorisé les dits citoyens à démolir et enlever les dites croix, à la charge de fournir de pierres et autres démolitions tant à la Municipalité qu'à la Société populaire (Mss. Chabouillé).
La Croix de Toulouse a été remplacée par une pyramide, à la fin du règne de Louis XVIII, d'après Domet, mais probablement plus tôt, puisque sur le plan de 1809, on trouve déjà l'indication de : Pyramide de la Croix de Toulouse. Dictionnaire de la foret]
nous traversons et, continuons en face, par le chemin situé  en oblique entre les deux routes goudronnées (c'est peut être toujours la route Duguay Trouin) (Pour ma part en arrivant sur l'esplanade parking je me dirige sur la droite. Je traverse la D116 au niveau du haricot
centrale "attention aux voitures sans clignotants,
le Guichet lettre X

il faudrait bien qu'un jour on oblige les fabricants de voitures à installer des clignotants sur toute les voitures, et que ce ne soit plus une option..." puis je me dirige vers le second haricot celui de la D138, je laisse sur la droite la route du cerf qui est en sont départ parallèle à la route de Bourgogne, je me dirige à gauche en traversant le parking et prend le chemin sans nom de droite. Au carrefour suivant nous prenons à gauche la route du Faon, coupons la route du Luxembourg. La route du Faon fait un esse droite - gauche nous rencontrons le GR 1E commençons à grimper la face Est du Rocher Cassepot. Juste avant qu'il ne redescende nous abandonnons le GR pour prendre sur la droite
le Saurien lettre Y
  l'ancien sentier jaune N°14 de Samois sur la droite. Aujourd'hui malheureusement baliser en bleu ce qui fait croire que c'est un Denecourt. Ce sentier fait découvrir toute la face Est du rocher Cassepot nous coupons trois routes devenues sentiers et disparues de la carte ce sont les routes de la Conterie, de Bongard et Desgraviers ou sur certaine carte Des Graviers sur ce parcours nous rencontrons quelques rochers aux formes curieuses tel ; le Guichet repéré par la lettre X face à lui le Saurien lettre Y et  
vous trouverez proche de ses deux rochers la roche Z, mais je ne pense pas que ce soit le bon rocher, bien trop près de la route de la Contrie. Il est en effet percé mais dans les ouvrages édités en 1975&1994 il est écrit qu'il se trouve vers la route Bongard une roche 

Ce qui me semble être le Z
Peut être le vrai Z
percée avec la lettre Z (merci à l'ONF ou à l'IGN pour avoir supprimé les routes de la carte. La route Bongard sera le second sentier perpendiculaire que nous couperons (On le voit à peine c'est devenu un sentier.) Malheureusement la roche que je pense être le rocher Z ne porte pas trace de peinture. {Il ne me semble que le bon rocher est bien plus gros et grand avec plein de niches (chambres) qui ne débouche pas et d'autres traversant le rocher} Mais il semblerait que sur les éditions de 1975 les lettres X & Y ne sont pas placées là ou il faut. Il sont entre la route Bongard et de la Contrie alors qu'il n'y a aucune ambigüité, ses deux rochers sont bien à coté de la route du Faon.  Malheureusement l'édition de 1994 regroupe les trois sentiers sur la même carte et n'a plus les lettres.}       
 Ensuite nous trouvons un rocher non marqué que j'ai toujours appelé le Dinosaure j'ai l'impression qu'il a des crêtes sur l'échine. {il se trouve dans un virage sur notre gauche et domine un chaos rocheux. Dans notre sens on ne le remarque pas il faut passer le virage sur la droite et se retourner. Il me 
fait penser à Casimir de l'ile aux enfant des années 70.}Nous arrivons à la route Des Graviers qui forme Té avec notre sentier. Nous suivons l'ancien balisage jaune devenu bleu sur la gauche. Le chemin descend et nous arrivons sur la route du Rocher Cassepot. Nous sommes à un carrefour de sentier ex jaune (devenu bleu) entre le N°14 et le N°15. Abandonnons le 14 qui fille tout droit rejoindre le vrais sentier bleu N°3 pour prendre

un peu en oblique sur la droite le sentier ex jaune (devenu bleu) N°15, traversant la parcelle. il passe une petite zone d’éboulis et débouche sur la route Eugénie renforcée de calcaire que nous prenons à gauche. Grimpons le coté Ouest du rocher Cassepot et dans le haut nous coupons un sentier bleu, redescendons de l'autre coté, coupons la route du Fouilloux. Nous entrons dans une parcelle dont le grillage ont été récemment enlevé, le chemin existant est devenu sentier, tracé par les vététistes et les randonneurs. La seconde route que nous devions traverser à totalement disparu. Nous arrivons à la D 606 que nous traversons et poursuivons en face par la route goudronnée menant à l'hippodrome de la Solle. Nous rencontrons un balisage jaune (Les balisages jaune des sentiers de Samois ont changés un peut après les année deux milles de couleur pour la simple raison qu'une administration à décidée de créer des promenades en foret domaniale et comme elle ne connaissait que le jaune comme couleur pour toute ses promenades, la petite association qui avait créer ses sentiers en 1960 à dut s'adapter en jaune-bleu. Puis le jaune à totalement disparu, lorsque plus personne de Samois ne s'occupa de l'entretien. J'ai vraiment l'impression d'être dans la foret des "Schtroumpfs"  on n'y voit que le balisage bleu... foncé, qui se remarque mal sur les rochers et les arbres. Maintenant il y a le jaune par obligation ainsi que le rouge et blanc parce que c'est Européen (sauf dans les Vosges) je ne parle pas des Blancs-vert et le vert tendre du VTT créé par l'ONF. Ils sont chez eux et font à leur idée, il est vrai que l'on trouve également de l'orange situé à 2m de haut pour les cavaliers. Il est pourtant si simple de suivre des chemins de couleur différente. Lorsque le chemin balisé rencontre un autre chemin balisé il sera d'une autre couleur, ainsi aucune erreur de lecture de carte, on suit le balisage de la couleur de départ. les Vosges ont mis en place ce genre de balisage et je trouve cela géniale. Vous trouverez plus d'explications dans https://randosacaudos.blogspot.com/2018/10/randonner-le-plus-loin-possible-reprise.html et leur foret n'est pas plus dégradé visuellement, qu'avec toutes les couleurs de l'arc en ciel utilisé par l'ONF ou dans la même parcelle vous avez d'immenses traits ou points. A l'un son arbre à couper, à l'autre son chemin de débardage. sans parler des arbres qu'ils faut absolument conserver avec un rond  Schtroumpfs. Oui, oui je sais c'était la couleur favorite de Denecourt. Mais il utilisait le rouge lorsqu'il modifiait un sentier, et puis ce qui est cohérent lorsque l'on crée cinq, six sentiers, loin les uns les autres devient difficilement compréhensible pour un promeneur lorsqu'ils s'entremêlent.) Passons sur la gauche de l'entrée de l’hippodrome en suivant le balisage jaune. Faisons le tour des écuries, longeons un long mur de béton. [Installé dans son écrin de verdure, l’hippodrome de la Solle est l’un des plus anciens de France. 

Sous le règne de Louis XVI, les ducs d’Artois et de Chartres organisèrent pour la 1ère fois, le 11 novembre 1776, des courses à Fontainebleau, devant le roi venu chasser.

En 1862, après l’ouverture d’une souscription à la Mairie de Fontainebleau, la Société Hippique Départementale organisait officiellement ses premières épreuves sur l’hippodrome de la Solle.


Les travaux (bâtiment, piste de 2400 mètres pour la première fois en France, corde à gauche) avaient été réalisés avec l’aide des chasseurs de la garde.

L’inauguration eut lieu en présence de l’empereur Napoléon III et de l’impératrice Eugénie le 22 juin 1862 et de 30 000 spectateurs dont 4 000 venus de Paris par le train.
les arbres pourrissent sous les fougères
En 2000, un conseil d’administration très motivé, conscient de ses devoirs, pour assumer la pérennité de l’hippodrome et de ses retombées économiques pour la région, a mis en place un vaste programme de rénovation et d’amélioration des installations existantes : sécurité, tribunes, restaurants… https://www.hippodrome-solle.com/historique/] Nous sommes en bordure de la réserve biologique des hauteurs de la solle. Normalement aucune exploitation ne doit si faire, mais on a assassiné de magnifiques hêtres et chênes je ne suis pas sur que tout ceux qui ont été coupés menaçaient la sécurité de l’hippodrome. Ils menaçaient peut être, un jour de tempête les quelques touristes qui font la promenade jaune. Le pire c'est que ces très beau arbres pourrissent sur place, réserve oblige. A l'époque cela m'a révolté. Aujourd'hui le désastre ce voit un peu moins, les fougères et les ronces cachent les arbres au sol. Puisque l'on avait enfreins la règle des réserves Biologique en coupant des arbres qui ne gênaient peut être personnes, pourquoi ne pas les avoir exploités ? Ont n'était plus à cela prêt. ses arbres débardés, aujourd'hui je n'en parlerais même pas. Le balisage jaune de ce coté reprend un ancien passage du diverticule GR 1 reliant Fontainebeau à Bois le Roi qui lui à été dévié. A l'époque j'étais persuadé que cette déviation était en relation avec le passage en bordure de la réserve. (Vous trouverez la trace de ce chemin dans https://randosacaudos.blogspot.com/2019/01/foret-de-fontainebleau-ancien.html.) mais il a été remplacé par le jaune faisant le tour de l’hippodrome. Si l'on pouvait sécuriser les vieux sentiers Denecourt existant sur le coteau formant demi cercle autour de l'hippodrome cela ferait de magnifiques rando bien plus intéressant que ce jaune. Quittons le balisage jaune au carrefour avec les routes de la Vallée de la Solle et Amélie (parcelles 254 - 253) prenons à gauche la route Amélie. Nous arrivons de nouveau à un carrefour parcelles 254 -262 -253 attention le carrefour est mal foutu. Lorsque l'on a la pancarte route Amélie ne pas continuer tout droit le sentier entrant dans la parcelle biologique prendre la route de droite, la route ou nous avons du mal à lire le N° de la parcelle sur l'arbre (254) . Nous arrivons au carrefour avec les routes de l'amitié et de l'union que nous laissons sur la droite, nous avons une pancarte réserve biologique avec de planté dessus le nom de la route, nous poursuivons un peut sur la gauche parcelle 262. Nous arrivons au carrefour des gorges de la solle, laissons le sentier grimpant dans la parcelle et prenons sur la droite toujours notre route Amélie, puis nous laisserons la large route de Larminat (sans nom sur la carte) sur la droite 254-255 et poursuivons tout droit la route devenue sentier parcelle 255, enfin nous débouchons sur un sentier faisant fourche c'est la route des Accords que nous prenons sur la gauche. Nous grimpons les hauteurs de la Solle. Traversons la réserve biologique, un arbre en travers nous fait faire un détour, je ne sais pas ce qui est le mieux les houx, ou les ronces. (Au lieu de couper les beaux chênes et les hêtres, il aurait mieux fait de couper quelques houx qui envahissent tout le coteau. Dans les années 80 il était encore possible de se promener par temps calme sur les anciens sentier Denecourt. On apercevaient encore la trace imprégniée dans toute cette parcelle. En réalisant ma série de promenade "rando pour ouvrir les yeux" je voulais utiliser ses sentiers pour relier une gravure à une autre. J'y ai renoncé. D'une part parce que nous sommes en réserve, mais les chemins sont devenus difficilement praticable par le houx.) Nous retrouvons le plateau, coupons le sentier bleu prenons en face le sentier traversant la parcelle, puis la route des ligueurs poursuivons en face la route des accords large rouge en stabilisé calcaire, jusqu'au carrefour de la Croix du Grand Veneur. [Cette croix porte déjà son nom sur la plus ancienne carte de la forêt (Picart, 1624). Sur le plan Boisseau, elle est indiquée, mais sans nom. Le P. Dan (1642) la cite : au milieu du chemin de Fontainebleau à Chailly. Elle aurait été rétablie en 1670 aux frais du duc de La Rochefoucauld, sous le règne de Louis XIV.
Il s'agit de François VII du nom, duc de La Rochefoucauld, pair et grand veneur de France, prince de Marcillac, duc de la Rocheguyon, chevalier des Ordres du Roi et grand maître de sa garde robe, né le 15 juillet 1634, mort le 11 janvier 1744. Mais, comme nous venons de le dire, la Croix du Grand Veneur existait avant lui sous ce nom. Détruite à la Révolution, elle a été réédifiée en bois, puis en grès (1846).
Lieu de queste et de relai quand l'assemblée pour la chasse à courre est à l'ermitage de Franchard, à Chailly ou aux Hautes Loges (de Salnove).
Le livret des Chasses du Roy nous apprend qu'en 1725 l'assemblée pour la chasse à courre se fit deux fois en cet endroit. dictionnaire de la foret]

Traversons au rond point en toute sécurité. Les haricots permettant de le faire en deux temps, ils sont larges mais la route est à deux voie, attention si l'on vous laisse passer sur la première voie de ne pas vous précipité, les voitures de la seconde voie ne vous on peut être pas vu... Prenons la route ronde sur la gauche, (depuis peut nous avons un petit trottoir) durant une centaine de mètres puis à droite la route du rapin, nous longeons une mare coupons la route du hobereau [Oiseau rapace diurne du genre faucon, mais plus petit que ce dernier, migrateur, vivant en Europe l'été, en bordure de forêt ou dans les boqueteaux et chassant pour se nourrir des petits oiseaux, comme les alouettes, les cailles, ainsi que des insectes :
1. Une dent de chaque côté ajoute beaucoup à la force d'un tel bec. C'est pourquoi les faucons, cresserelles et hobereaux passent pour des oiseaux nobles et plus courageux que les oiseaux de proie qui n'ont pas cette dent. Cuvier, Anat. comp., t. 3, 1805, p. 194. http://www.cnrtl.fr/definition/hobereau] nous faisons un esse droite à gauche poursuivons la route du rapin descendant dans les gorges. La route fait fourche avec la route du milan, coupons une branche du sentier bleu nous poursuivons notre descente. Dans le creux des gorges d'Apremont nous rencontrons le carrefour du désert parcelles 717-723  carrefour entre la route de Clair Bois, et du milan mais surtout un carrefour de balisage bleu (sur la gauche le 6 part vers la route ronde - Sur la droite le 6 part vert la mare aux biches et enfin le bleu 6-6 empruntant la route du milan et partant vers la gorge du néflier parcelle 723, prenons cette dernière direction, (ce serait plus simple si les balisages des liaisons portaient une autre couleur que le chemin principale.)
Nous remontons les gorges, le chemin fait fourche laissons sur la gauche la route de l'Artisan dans la monté un peut avant le carrefour entre la route du Milan et la route de crécerelle nous rencontrons le balisage principale bleu N°6 que nous suivons à droite. (Normalement nous rencontrions l'intersection des sentiers 6 et 6-6 au carrefour mais un "faut sentier" mieux marqué au sol à été créé pour éviter de revenir sur nos pas, lorsque l'on utilise le 6-6 pour faire le tour des gorges. La branche du 6  étant moins intéressante que le 6-6.) Nous serpentons dans les rochers et arrivons sur le plateau, passons les affreux escaliers créé pour le sentier jaune. (Un comble dans cette partie de la foret qui déborde de monde créer un sentier s'appelant le sentier de l'érosion. On amène du monde là ou il n'en faudrait pas, ou moins. Et-il nécessaire de montrer les dégâts provoqués par la sur fréquentation ? On construit un affreux escalier en palette qui dégrade le paysage encore plus que le ravinement provoqué par les touristes et les éléments naturelles. Pour laisser soufflé la nature il suffisait de fermer le parking en interdisant complétement la route des
gorges aux néfliers et seul le randonneur et le vététiste seraient passés par là en suivant le sentier 6. Quelques constructions à la Denecourt auraient certainement refroidie les vététistes et en quelques années la nature reprenait ses droits. le sentier bleu ne descendait pas dans les gorges à cet endroit.) Nous arrivons au point de vue sur les gorges et le désert d'apremont. (Il y a quelques années l'ONF avait dégagé le point de vue et le desert était redevenu un désert avec ses chaos rocheux aujourd'hui la végétation à bien repris.) Poursuivons le bleu jusqu'à la route du cul du Chaudron malheureusement sans pancarte et il n'est pas facile sur cette platière d'avoir un point de repère sauf l'apparition d'un balisage orange 

(celui des cavaliers) situé à 2m de haut. C'est bien utile les chemins de couleur différente... Nous prenons à gauche la route du cul du chaudron [nom vulgaire de l'amélanchier, espèce d'alisier. L'expression Cul du Chaudron est fautive. dictionnaire de la foret] coupons la route de Sully (bitumée) poursuivons en face la route en stabilisé du cul de chaudron qui est également un balisage BF (un chemin cycliste entre Barbizon et Fontainebleau) que nous suivons jusqu'au carrefour des Mont Girard. Nous rencontrons à ce carrefour le GR 1 et le TMF que nous prenons à gauche par la route du Fourneau David (parcelle 732). Traversons la D 409. Nous sommes communs au sentier bleu N° 7-6 pour se retrouver dans les Gorges de Franchard. Nous faisons le tour de l’Ermitage par la droite ici, il faut faire attention, c’est un nœud de GR on y trouve
le 11, le 1E, et le GR1 le chemin n’est pas très facile à suivre, il me semble qu’il manque du balisage vert et blanc et que l'on  y voit que du blanc & rouge mais j'ai un peu dévié, pour photographier le puits des ermites et la roche qui pleurs. Le chemin en stabilisé longe l'ermitage en passant devant la vierge, nous trouvons un poteau Arbor&Sens avec les balisages du GR, du TMF et un bleu. Suivons la direction de la pancarte. Après l’esplanade sans trop d’arbres nous retrouvons nos balisages rouge & blanc, blanc & vert nous sommes sur la route de Tavane, nous rencontrons un second poteau Arbor&Sens, à la fourche  poursuivons tout droit nous rencontrons une toute petite pancarte Arbor&Sens planté assez haut dans un arbre et le balisage bleu N° 7 que nous prenons à droite le balisage bleu passons le Sphinx (laissons le balisage de gauche poursuivons tout droit et nous arrivons à la casquette du jockey (enfin elle lui ressemble un peu) le sentier se dirige sur la gauche. Nous arrivons à un beau point de vu, enfin c'était un beau point de vu à l'époque ou j'étais 

ado on apercevait les rochers de la cuisinière de l'autre coté, aujourd'hui que des arbres. Simple réflexion avec la fatigue et durant les moments calme de la rando. Dans le journal de ce jour, 4 janvier il y a un grand article sur la futur politique touristique de l'ONF, et il était question de redonner à certain secteur de la foret l'état d’antan. La polémique était sur Bourron Marlotte et la Plaine Verte. Je suis passé par là il y a quelques temps, j'ai cru à une simple exploitation, un arbre sa vie et cela s'exploite avant qu'il ne dépérisse, pour qu'un nouvel arbre le remplace. Si l'arbre pourri sur place rien ne pousse en dessous que les ronces. Nous avons longé la réserve biologique de la vallée de la Solle et rien ne pousse en dessous... que le houx, les très beaux vieux arbres, sont aujourd'hui à l’agonie et ne seront jamais remplacés par d'autres. Dans les années futur on sera fier de créer un circuit touristique dans la houssaie, en se pâmant, ou plutôt se  piquant
 aux feuillages, de cette parcelle que l'on trouvera exceptionnelle. On aura oublié, et les jeunes générations ne sauront mêmes pas, que sur ses pentes il y avait de magnifiques hêtres et des sentiers touristiques qui les montraient en leur donnant un nom, que les peintres y venaient également pour y reproduire le paysage. Que de temps de perdu. Au moins la réserve à empêché l’hippodrome de s'agrandir. On se réfère toujours aux peintres de Barbizon précurseur des réserves, mais les peintres d'aujourd'hui vont-ils poser leur chevalets sur les lieux de leur ancêtres ? Sur ses lieux mythiques il n'y a plus ou très peu de vieux arbres, vieux arbre que l'on protège et vénère avec des barrières. Mais pas l'ombre d'un remplaçant dominant son ainé le protégeant de la tempête par ses branches puissantes en lui disant tu peux te décomposer tranquillement je suis là pour te remplacer. A la place de vouloir bloquer un paysage naturel vivant, il aurait peut être mieux valu réaliser des parcelles  étagées en age.
La casquette du jockey
 C'est le cycle normale d'une foret vivante. Il est vrai que cela fait bizarre, de voir d'un seul coup une trouée, la plaine verte sans verdure cela ne colle pas... Mais les gorges d'Apremont et son désert transformé en plaine verte cela ne va pas non plus. C'est pareil pour les gorges de Franchard on ne voit plus la vallée et les rochers dont j'ai le souvenir. Je n'ai rencontré personne à ce point de vue, avant je me souvenais ne jamais y être seul. Mais faut-il ramener du monde par ici ? Je pense simplement que ses secteurs étant plantés en pin, dans deux ou trois ans la plaine verte retrouvera sa verdure avec de jeunes pousses. C'est beaucoup moins vrai avec les coupes rases de chêne et de hêtres ou les arbres même à quarante ans sont jeunes. Maintenant la foret est vivante et le paysage change avec elle, on a tellement voulu boisé ses pentes pour "cacher ses affreux rochers..." qu'il est vrai que je me suis rendu compte qu'en quarante ans le paysage avais bien changé. Nous sortons de ce point de vue en revenant sur nos pas et trouvons un passage assez glissant entre les rochers sur la droite. Nous serpentons entre les rochers et débouchons route Raymond (je pense que lorsque je referais cette balade pour vérifier la faisabilité avec la modif de Recloses je poursuivrais par l'ancien bleu qui mérite le détour) que nous prenons à gauche puis à droite la route des Gorges de Franchard ou nous retrouvons le GR1 et le TMF.
mais de ce coté un escargot
Nous abandonnons le balisage bleu pour suivre le GR et le TMF. Empruntons cette longue route loin des rochers, et sans balisage blanc & vert nous n’en retrouverons que vers la route du Carnage. Nous rencontrons par moment le balisage bleu du  sentier 7 qui à été lui aussi détourné de sa trace primitive. Ne vous endormez pas (et il y a de quoi) les balisages tournent sur la gauche en prenant la route des Ventes Barbiers. Nous grimpons vers les Hautes Plaines. De nouveau le balisage Blanc et vert à disparu. (D’ailleurs je me pose la question le circuit blanc et vert est t’il utile puisqu’il suit le GR…) Coupons la route du Long Boyau, puis des Hautes Plaines et nous arrivons à carrefour avec deux routes formant fourche parcelle 779 nous prenons à droite la route des semis. C’est encore le GR qui nous dit que nous tournons, mais après l’intersection nous trouvons tout de même les couleurs Blanche et verte. Nous arrivons au carrefour des semis poursuivons par la route de Cévise, {J'ai cru que la réserve 

biologique dirigée du Rocher de Milly avait subit un incendie et que l'on avait extraie les arbres brulés. Mais non, ine information nous dit que l'on veut redonner à ce rocher la lande désertique qu'il était dans les années 80 voir même avant. Quant je pense que dans ses années, l'équipe de forestier s'occupant de ce secteur était fier d'avoir réussi à garnir d'arbres cette espèce de steppe. Il ne restait qu'un petit bout du rocher de Milly, coté route ronde, qui ne voulait pas s'ensemencer, ce qui les désolait. L'époque change, est-ce pour le bien de la foret ou simplement une passade pour marquer son passage en foret de Fontainebleau? ensuite il va falloir l'entretenir cette lande ! Trouverons t'il d'autres berger pour entretenir tout cela ? Je sent bien que cela va finir en ronces et en fougères.} Attention bien suivre le balisage car dans ce coin la carte n’est pas très claire, au carrefour les routes sont décalées, nous prenons un cour instant la route de la louve afin de poursuivre sur la gauche la route Cévise. Nous traversons le rocher de Milly, dans ce sens c’est une petite zone rocheuse. Redescendons de l’autre coté traversons la route de Milly, et l’aqueduc de la Vanne (en souterrain on ne voit rien qu’une route sableuse un peu plus large que l’ordinaire.) Remontons de l’autre coté vers la Touche aux Mulets. Au carrefour de la Touche aux Mulets nous poursuivons tout droit le chemin d’Arbonne à Ury c’est un sentier sur la platière. Nous arrivons au carrefour du Sapin rouge.  A ce carrefour on abandonne le TMF et le GR1partant route de la Gibelotte et prendre la route de la fiche (un peu sur la droite) vous rencontrerez un balisage jaune. Nous passons une fourche  sur la droite deux route la rabouillère et 
des pieds pourris (sans pancarte) Poursuivre jusqu’au carrefour avec la route Descamps à la (cote 124) vous retrouverez un balisage jaune poursuivons un peu à droite par la route d'Achères à Arbonne, au carrefour suivant (cote 126) Parcelle626-627 nous retrouvons le TMF que vous prenez à gauche par la route circulaire. Coupons au carrefour des Béorlots la route bitumée de la Haute Borne poursuivons en face la route circulaire. Nous entamons le cercle du Grand Feuillard. Au carrefour des ventes aux Perches prenons à droite la route de Recloses à Arbonne, coupons la D 152  nous arrivons à la route du parc aux bœufs, vous trouverez une marque indiquant qu'il faut tourner à gauche à 30 m, ce n'est pas cette première route qu'il faut prendre poursuivons quelques mètres tout droit et prenons la seconde, route des Barnolets sur la gauche, puis la route des petites mares parcelles 671 & 684 sur la droite, nous rencontrons le GR 13.  Nous arrivons à la limite de la forêt domaniale et communale. Coupons la route goudronnée de la génisse. (C'est ici qu'il faut faire un choix : suivre l'itinéraire jaune de la carte ou la variante rouge de cette même carte. Ne pas oublier de télécharger la trace si vous pensez réaliser la variante qui est d'écrite en fin d'itinéraire.) et derrière la route fait fourche nous prenons le chemin de droite. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche le chemin de Paris, nous entrons dans Recloses, la rue débouche rue Grande que nous prenons à droite. Nous somme toujours sur le GR 13 et le Tmf. Ne vous endormir pas nous prenons à gauche un sentier intra muros pavé (attention la balise indiquant que l’on tourne à gauche est bien en amont, ce n’est pas le premier chemin qui entre dans une cour, mais le second qu’il faut prendre.) Nous conduisant devant l'église prenons sur la droite la petite rue conduisant à la place des ormes avec son drôle de rocher. nous entrons dans une cour ou nous trouvons le chemin de la jambé à son extrémité. Passons la barrière nous arrivons à une fourche et prenons sur la droite le chemin du bourg au jeu de paume. Attention le balisage vert & blanc à disparu, il faut suivre le GR. Longeons la clôture, le chemin se nomme du Bourgs au jeu de paume à la fourche nous prenons à gauche jusqu'à route forestière pavées de la butte Blanche que nous prenons à gauche elle fait fourche laissons sur la droite le chemin du moulin de la fosse poursuivons vers la maison de traitement des eaux. Après avoir coupé le chemin de l'orme et quelques chemins manant à des maisons dispersées dans les bois, Nous arrivons de nouveau à la limite de la foret. Des grosses pierres délimitent la foret de la carrière de sable ‘’super'' blanc de Fontainebleau. Nous prenons à droite le chemin de dessous des roches vacantes et longeons la limite forestière, nous sommes commun au sentier bleu de Recloses. Attention à la ‘’pierre levée’’ sur notre gauche notre balisage tourne également à gauche. Passons la mare à  Marcou, le chemin fait fourche, laissons le bleu partir sur la droite. Contournons la mare. De chemin nous passons à sentier dans les fougères. Nous arrivons dans de jeunes plantations d'arbres, soyez vigilant lorsque vous arrivez à  un carrefour sans nom le Gr 13 se divise en deux. La branche principale par sur la droite, prenons à gauche la branche se terminant à la gare. Je ne parle que du GR, le balisage Blanc-Vert étant aléatoire, une fois que l’on a compris que l’on suit les marques Rouge et Blanche on ne regarde plus qu’elle. Nous prenons sur la gauche le chemin du moulin de la fosse. Nous longeons une réserve biologique intégrale. C'est moche, mais elle n'est là que pour contenir la carrière de sable qui se trouve de l'autre coté. Nous débouchons sur la petite route de Villiers sous Gréz que nous prenons à gauche. Nous longeons la zone industriel arrivons à un rond point prenons la route de droite, elle tourne et passe sous la D 607 longeons les voies SNCF la gare se trouve sur la droite du rond point.

Variante :

Je vous propose donc une modification qui m'est venu à l'esprit lorsque j'ai refait cette balade. En effet lors de ma rando de modification du TMF, j'avais trouvé le passage de la butte blanche en fond de vallon, un peu long. Je m'étais cela sur la fatigue, mais en le refaisant j'ai toujours trouvé cela long. Je me suis souvenu d'une petite promenade réalisé en 2014 autour de  Recloses et de la vallée de Jauberton. La trace est bonne le commentaire peut être un peut moins au niveau des couleurs de balisage la peinture des trois anciens sentiers de Recloses étaient grattées en 2014. A l’époque je ne s’avais pas si c’était pour être refait ou gratté 
définitivement. Aujourd’hui je sais que c’est du définitif. Je vous le livre tel quel, en attendant que je vérifie.  Cette modification vous fait passer par le Pavé du Roi traverser la RN 607 passage protégé par un feu tricolore. Nous trouvons un arrêt de bus ligne 34 de Seine et Marne Express qui vous emmène à Fontainebleau ; place de l’étape en 10 mn et à la gare de Melun en 45 mn. A vous de voir l’horaires le plus accommodant. j’ai attendu quarante cinq minutes un train dans le froid sans moyen de me mettre au chaud et je voyait passer les bus. N’ayant pas internet sur mon téléphone je ne connaissais les horaires.


(en semaine 5 bus à partir de 15h00 – 6 bus à partir de 16h 15)

(le Samedi un bus toute les ½ heure à partir de 15h00

(Le dimanche un train toute les heures à partir de 15h00

(la SNCF un train par heure à partir de 15 h30)


Poursuivons par la route de la Génisse, route bien goudronnée. [ Jeune vache n'ayant pas encore eu de veau] nous suivons cette route goudronnée jusqu'à la maison forestière du Clos du Roi (à l’automne les feuilles recouvrent le bitume ce qui nous donne l’impression d’être sur un large chemin  forestier) cette route est bordée de beaux arbres repérés par des ronds bleu ce qui leur assurent une sécurité contre les bucherons. Après avoir traversée la D63E2 Continuons ce chemin qui après la maison forestière à perdu son bitume. Nous coupons la route de Recloses à Fontainebleau et prenons la suivante sur notre droite route de la Grive [Le nom de Grive a été donné à plusieurs espèces appartenant à la famille des Turdidae et proches du Merle noir] Nous entrons dans le bois communal de Recloses après avoir suivi quelques bornes séparatives, limite entre les bois communaux et foret domanial c’est également le GR  (certainement une branche de l’ancien parcours, sur ma carte aucune trace de ce balisage. Un oublie lors de l’effacement des traits de peinture) Nous arrivons dans Recloses rue du Clos du Roi et de la Vielle Rue. Nous continuons tout droit dans la Vieille Rue (je ne passe pas dans le centre ville de ce charmant village, le GR13 et le TMF le font déjà très bien, par contre ils ne font pas les rochers et reste en font de vallée.) Revenons à notre itinéraire. En bout de notre rue nous prenons à gauche rue des Canches sur un poteau électrique nous trouvons un balisage : {rond bleu, sentier des escaliers}, je traverse la petite pelouse et entre dans le taillis par le sentier balisé. Nous quittons rapidement le rond bleu qui se dirige vers la droite (sentier des escaliers) pour continuer tout droit le chemin des menhirs avec des traits bleu et jaune, entrons dans les rochers de Recloses. Nous arrivons devant une diaclase[Les Diaclases : Des fractures ou diaclases, généralement verticales fragmentent les platières. Elles peuvent être de directions variées ; mais la direction la plus souvent rencontrée s'allonge parallèlement à la rection des plâtriers. L'ensemble de ces fractures morcelle la plâtrière en blocs plurimétriques. Leur surface est souvent recouverte d'une mince couche très dure de quarzite. Ce sont les parois de ces diaclases qui forment les abrupts bordant les plâtrières.] Portant le N° XI Grotte du Petit Puits, reprenons notre chemin sur la gauche pour nous diriger vers le "Lion" il porte le N° 18 (je ne sais pas pourquoi le Lion ? je n’ai pas trouvé d’explication.) Un peu plus bas un « dolmen » roche reposant sur deux rochers différents, portant le N° 19 (peut être la tanière du lion…) Les numéros en chiffre romain reprennent les références des Naturalistes de la Vallées du Loing dans leur étude consacrée à Recloses, dans les notes que je possède la numérotation s’arrête à 17 et je n’ai pas trouvé sur internet la suite de l’étude. Passons devant le Lion (sur la gauche) on le contourne et nous trouvons au sol une trace qui descend pour retrouver le sentier en contrebas face à une clôture. Nous prenons le chemin balisé en en bleu, sur la droite (le jaune semble avoir disparu), Nous passons dans la vallée Cousine. (Sur la droite un rocher ressemblant à un menhir) Ne pas se laisser emporter par le balisage et le chemin facile qui descend. Continuons sur la gauche le bleu qui remonte sur le coteau (attention la marque de cet angle aigu à gauche ne se voit pas bien). Sur la platière ne pas prendre les deux flèches sur la droite. Le sentier continue par la gauche, nous passons devant un bel abri [Abri des Francs] Portant le N° 14 [Diverses découvertes archéologiques, inhumations, silex taillés, tessons de céramiques, objets métalliques divers et gravures rupestres, permettent de penser que le site de la commune a fait l'objet d'occupations, vraisemblablement temporaires, au cours des âges de la pierre taillée, de la pierre polie, du bronze et du fer, ainsi qu'au Moyen Âge, ses grottes et abris sous roches s'y prêtant favorablement.] A savoir que cet abri est classé monument historique inscrit sous le N° 125793. Sur la platière le chemin n’est pas facile à suivre peut de traces sur les rochers. Après avoir remarqué le toit d'une maison perdu en foret, Attention au changement de direction du sentier qui tourne à droite et descend puis remonte vers le gros rocher marqué 17 (la roche pointue) et prend sur la droite. Ne pas prendre sur la gauche le sentier vers la mare. Prendre sur la droite le sentier qui descend. Parmi les rochers des vieux arbres et les pins. Puis le sentier bleu descend sur la droite mais nous trouvons sur la gauche l’information
sentier des crêtes balisé en jaune.  Sur un rocher nous remontons vers les crêtes, nous sommes maintenant sur un balisage jaune et bleu. Passons devant deux points de vues (ou l’on ne voie plus rien) continuons notre chemin, qui descend légèrement et se sépare en deux. Nous sommes au Cumier. Une branche descend et se nomme chemin des roches vacantes. L’autre remonte vers la foret domaniale. Les arbres ont des bandes blanche. Nous abandonnons le balisage et prenons à gauche le chemin qui monte en partie haute ou nous trouvons une route forestière certainement le chemin du bornage nous le prenons sur la droite puis à gauche (ne pas prendre le sentier de droite.) Pas de pancarte sur les arbres c’est peut être la route de Villiers coupez une route sur la gauche (nous apercevons sur les arbres l'ancien balisage jaune, gratté), confirmation à cette intersection que nous étions sur la route de Villiers. Nous prenons à gauche le chemin de bornage comprenant des bornes en grès espacées d’une cinquantaine de mètres. Nous ne le suivons pas, nous nous dirigeons vers la borne et le panneau réserve biologique intégrale, nous suivons un sentier comportant un petit fléchage jaune, en contrebat nous avons la carrière de sable blanc, c’est la partie qui n’est plus exploitée et qui à été réaménagée. A l’intersection prendre sur la gauche, poursuivons en suivant le fléchage jaune. Face à nous la carrière en exploitation, maintenant nous suivrons le sentier le long des barbelés, nous passons devant une cépée de 5 magnifiques chênes, puis une mare, nous arrivons au bornage de la foret, nous prenons à droite le bornage toujours le long des barbelés. Nous descendons dans la vallée de Jauberton  continuons notre bornage jusqu’en bas ou nous rencontrerons une barrière ONF parcelle 571 à ce niveau nous n’avons que deux choix le chemin de droite  se dirigeant vers Le Pavé du Roi et Bourron Marlotte. Et le chemin de gauche derrière la barrière remontant dans la vallée de Jauberton. Prenons le chemin de droite. Nous traversons la RN 607 au feu tricolore sur la droite l’arrêt de bus. Pour rejoindre la Gare qui se trouve à environ 2 km : Prenons la rue du Maréchal Foch, nous débouchons dans une rue formant Té prenons à droite la rue porte le même nom que nous prenons à droite, nous longeons le château prenons à droite la rue du chevreuil (ici nous retrouvons des traces du TMF) puis à droite l’avenue Blaise de Montesquiou, nous longeons le parc du château et arrivons à la gare.


 



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