jeudi 2 janvier 2020

Promenade Dans le Nord de la Seine et Marne, Prom 7 ; La ferté Sous Jouarre – Changis sur Marne

Promenade N°7 La Ferté Sous Jouarre – Changis sur Marne



Carte IGN                                     Trace GPS et Topo sans commentaires

Trace Randogps                                                        Le code mobile de cette randonnée est b313391   
 
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Promenade ouverte de Gare en Gare

Janvier 2019

KM     Temps     Arrêt      V/d      V/g     Dénivelé
31        5h00        45           6,2      5,4        358 +

Le départ se fait de la gare de la Ferté Sous Jouarre [La Ferté-sous-Jouarre est localisée au confluent de la Marne et du Petit Morin, aux confins de la Brie et de la Champagne. Elle allie les charmes de la campagne aux atouts d'une ville avec ses services, transports et commerces. Le toponyme La Ferté est issu de l'ancien français ferté qui procède lui-même du latin firmitas / firmitate et qui signifie généralement « place forte » ou « château fort ». Dénommée anciennement Condé la Ferté puis La Ferté Aucoul du nom d'un de ses seigneurs noms qui furent usités jusqu'en 1789, ou le seigneur de La Ferté-sous-Jouarre était le duc de la Rochefoucauld. La Ferté dû son mon primitif à une forteresse, qui a été complètement détruite, dont les murailles étaient baignées par la Marne. Elle prit son nom actuel en raison de sa position, dominée par l'abbaye de Jouarre. Elle appartint successivement aux ducs de La Force, aux princes de Condé puis à la Maison de La Rochefoucauld. Extraie Wikipedia ] 

Sortir de la gare par le passage sous terrain et suivre sur la gauche la rue de la gare (D603) nous suivons le GR 14 A. Longer les voies et passer le pont, tout de suite après  prendre à gauche la rue Duburq. Laissons sur la droite la rue sans issu du Square de la Haute Vue, cette fois ci laissons la petite ruelle aux Loups sur la droite, poursuivons tout droit. Nous sortons de La ferté Sous Jouarre et arrivons à un petit parking ou nous trouvons sur la droite un escalier montant le flanc du coteau boisé de l'espace Naturel du bois de la Barres, vers le sentier des meuliers. [D'une surface de 33 hectares, l'espace naturel du bois de la Barre est un coteau boisé ayant servi autrefois à l'exploitation de la pierre meulière. mares une espèces protégée en France : la Salamandre tachetée C’est au début du 19 e siècle que l’activité meulière fertoise s’industrialise, les carrières du Bois de la Barre vont prendre de l’essor. On abandonne la fabrication des meules d’un seul bloc, dite « monolithes », pour se tourner vers la production de meules dites « anglaises ». Cette innovation introduit une méthode d’assemblage de plusieurs morceaux : les carreaux, autour d’une seule pièces centrale : le boitard. En 1837, les entreprises Gaillard, petit & Halbou, Vieille Gatelier fondent la Société du Bois de la Barre. Vers 1900, le commerce des meules de pierre décline, les carrières de la Barre connaissent une ultime reconversion grâce à l’extraction de pierres destinées à la construction. C’est l’époque de l’expansion de la banlieue de Paris et de ses pavillons en « meulière » http://www.la-ferte-sous-jouarre.fr/la-ville/20-commune/tourisme-et-loisirs/140-bois-
barre]L’escalier abouti au chemin des meuliers que nous prenons à gauche nous trouvons un petit balisage oblique rouge. Au carrefour laissons le chemin qui descend sur la gauche, et à la fourche suivante avec un banc laissons le chemin de droite, poursuivons tout droit. Nous approchons de Morintru, laissons le chemin sur la gauche se dirigent vers le bas du hameau. Notre chemin remonte sur la droite et débouche sur un autre formant Té nous prenons à gauche, peut de temps après il fait fourche nous prenons à gauche, sortons de la foret après avoir franchi une barrière. Nous débouchons dans Morintru d’en haut par le sentier des Cordeleliers, sur la droite nous trouvons un lavoir. Laissons la ruelle des Cordeliers sur la droite poursuivons tout droit, nous débouchons rue de Morintru d’en haut que nous prenons à gauche nous sommes sur Saint Jacques de Compostelle branche Reims Paris. Descendons la rue et nous arrivons à Morintru d’en bas, laissons la rue de gauche, prenons le sens interdit. De bitume nous passons à chemin, nous trouvons les marques du GR 14 A sur un poteau à gauche. Abandonnons notre rue et le chemin de Saint-Jacques qui descend pour prendre après la clôture de la prairie le chemin sur la droite, nous sommes sur le GR 14 A et normalement un balisage jaune (sans balisage). Cette fois ci pour me rendre à Ussy sur Marne je ne prends pas la D3E, mais le fond de Voliard, chemin que je
Levé de soleil sur la Marne
préconisais dans la promenade 5. Suivons le flanc du coteau entre bois et champ et regardons le paysage. Lorsque le GR tourne à droite en angle droit et part dans les champs, nous l’abandonnons pour traverser le Bois de Voliard par le balisage jaune en direction de Lizy. Traversons le bois et abandonnons le balisage jaune pour prendre le premier chemin sur la gauche, après avoir longé un bosquet. Parcourons le fond de Voliard traversons la D3 poursuivons en face, le chemin tourne sur la gauche et débouche sur le bitume juste avant le pont SNCF (Ce chemin est bien meilleur que le GR et la départementale avec ses voitures et camions.) Nous sommes sur la D3E passons le pont et entrons dans Ussy sur Marne par la rue de La Ferté sous Jouarre, ou nous retrouvons le GR. Laissons sur la gauche la rue du Clos Mailard, poursuivons le GR qui tourne à gauche en prenant la ruelle du Montcel, de bitume nous passons à chemin. Le chemin débouche sur un autre formant Té nous prenons à droite le long du maraîcher, ce chemin en bordure de Marne est très boueux, passons le taillis avec ses ‘’tires chapeaux ou casquette’’ fines ronces descendant des branches d’arbres. Nous arrivons au pont franchissant la Marne, cette fois ci nous ne passons pas sous le pont, mais poursuivons le GR sur la droite, débouchons sur la D 21p nous retrouvons 
également le chemin de Saint Jacques. Traversons la rivière [La Marne longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne (Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). Wikipédia] Nous approchons de Sammeron et prenons le chemin dans les champs sur la gauche un peut avant le panneau annonçant l’entrée du village. Le chemin débouche sur un autre formant Té nous prenons à droite, nous sommes rue de la Charbonnière. J’abandonne le balisage rouge & blanc et le balisage jaune pour prendre sur la gauche le petit chemin se dirigeant vers la station d’épuration que nous contournons passons au dessus du ru de la Bécotte et faisons le tour des terrains de sport. Nous entrons dans Sammeron [Du celte sam, « tranquille » et arau, « eau » ] Contournons l’école par la gauche et prenons à droite la rue René Cassin  nous arrivons à la Mairie-école pas très loin de l’église du XVIIIè en meulière, prenons la rue Georges Jacquet sur la droite et débouchons sur la D 603 (rue de Metz) que nous prenons à gauche. Nous prenons à droite la rue de Perreuse, elle fait un coude sur la droite, laissons la rue Ferrée sur la gauche, poursuivons la rue Perreuse laissons un nouveau chemin desservant des maisons sur la droite notre rue forme Té avec une autre. Nous quittons le bitume pour prendre la sente du berger face à nous, le chemin fait fourche, laissons la branche de droite retourner en ville prenons celle de gauche, elle débouche sur un chemin formant Té que nous prenons à droite. Nous arrivons à un carrefour ou nous retrouvons le GR 14a nous prenons à 

gauche et grimpons vers le bois le chemin fait fourche poursuivons par la branche de gauche, traversons le bois, coupons un chemin et nous arrivons a la la D 21 que nous coupons. Le chemin fait fourche laissons la branche de gauche prenons à droite, longeons un bois et coupons la D 114p derrière le chemin fait fourche la branche de gauche est un PR prenons à droite au dessus de la butte nous apercevons une toiture et nous arrivons à l’aqueduc de la Dhuis que nous suivons à droite. [Construit sous le Second Empire (Napoléon III) afin d’alimenter Paris en eau potable, il sert aujourd’hui à fournir en eau le parc Disneyland Paris et l’est de la région parisienne. Son point de départ se trouve à Pargny-la-Dhuys dans l’Aisne. Il franchit 21 vallées d’une profondeur comprise entre 20 et 73 m, et traverse le sud du département de l’Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis sur 132 km avant d’aboutir à Paris, au réservoir de Ménilmontant. http://visit.pariswhatelse.fr/fr/aqueduc-de-la-dhuis
Au début du XIXe siècle, outre les puits et les citernes, Paris n'est alimentée en eau essentiellement que par les eaux de Belleville et du Pré-Saint-Gervais et l'aqueduc de Rungis. La construction du canal de l'Ourcq, entre 1802 et 1822, permet d'assurer un apport d'eau important, à défaut d'être d'une qualité adéquate. Le premier puits artésien de la ville est foré en 1841. Le très fort accroissement de la population parisienne nécessite toutefois d'entreprendre de nouveaux travaux. En 1854, avec l'appui de Napoléon III, le préfet Georges Eugène Haussmann et le directeur du service des eaux Eugène Belgrand font approuver un programme d'alimentation en eau par le conseil municipal de Paris. L'aqueduc de la Dhuis est le premier ouvrage à être construit. Le décret du 4 mars 1862 le déclare l'utilité publique. Les travaux divisés en deux lots débutent à la fin juin 1863. Le chantier est rapidement réalisé : l'eau est introduit dans l'aqueduc le 2 août 1865. La distribution régulière commence le 1er octobre suivant, alimentant le réservoir de Ménilmontant. La réalisation de l'aqueduc de la Dhuis coûte 18 millions de francs de l'époque, 
incluant l'achat des chutes des usines de la Dhuys et l'acquisition des sources et des usines du Surmelin.  Construit entre 1863 et 1865 pour alimenter Paris en eau potable à partir de la Dhuis, il 
parcourt 130 km presque à l'horizontale. L'aqueduc est un ouvrage souterrain, qui capte une partie des eaux de la Dhuis (ou Dhuys), un petit cours d'eau de la Marne et de l'Aisne d'une vingtaine de km de long, affluent du Surmelin. La longueur totale de l'aqueduc varie suivant les sources, entre 129,6 km et 131,162 km. Sa pente est faible : élevé de 128 m d'altitude à son début, il ne descend que de 20 m à 108 m d'altitude à son extrémité, soit une pente de 0,10 m/km, suffisante toutefois pour l'écoulement de l'eau par simple action de la gravité. Son débit moyen est de 22 000 m3/jour. L'ouvrage est, par endroits, constitué d'une conduite en maçonnerie de 2,20 m de hauteur et 1,80 m de largeur, sur une emprise au sol de 10 m de large. De nombreuses parcelles de cette emprise sont la propriété de la ville de Paris. La prise d'eau de l'aqueduc se situe sur la commune de Pargny-la-Dhuys, dans le département de l'Aisne, à 85 km à vol d'oiseau à l'est de Paris. L'ouvrage traverse successivement le sud de l'Aisne, la Seine-et-Marne, la Seine-Saint-Denis, avant de parvenir à Paris par la porte de Ménilmontant et d'aboutir au réservoir de Ménilmontant. L'aqueduc franchit 

21 vallées d'une profondeur comprise entre 20 et 73 m au moyen d'autant de siphons. Son parcours emprunte les plateaux de l'est parisien, se terminant sur le massif de l'Aulnoye et la colline de Belleville. Il fait usage de deux grands siphons : l'un entre Dampmart et Chessy pour franchir la Marne, l'autre entre Rosny-sous-Bois et Le Raincy près du plateau d'Avron. Jusqu'à son franchissement à Chessy, l'aqueduc suit plus ou moins le cours de la Marne, en altitude sur sa rive sud. Après Chessy, l'aqueduc oblique vers le nord avant de se diriger vers l'est et Paris. Au total, l'aqueduc franchit les 59 communes. L'aqueduc de la Dhuis comporte, en général tous les 500 m, des regards de visite fermés à clé permettant le contrôle de l'ouvrage6. À l'extérieur, les regards sont de petits édicules de béton ou de maçonnerie comportant une porte métallique peinte en vert. Sont également présents sur le parcours des points hectométriques, bornes indiquant la distance en hectomètres depuis la prise d'eau à Pargny-la-Dhuys. Le dernier se situe à Paris en face du 10 avenue de la Porte-de-Ménilmontant et porte l'indication « 1308 », soit 130,8 km. Pont et cabanon de maintenance abritant un regard et une vanne sur l'une des conduites forcées.
En 1889, la quantité d'eau distribuée annuellement s'élève en moyenne à 66 millions de m3 pour un prix de 0,113 F/m3. En 1896, les réservoirs du nord parisiens desservent les quartiers hauts de Montmartre, Belleville et Passy.
Le trajet de l'aqueduc est une destination populaire. À l'instar des bords de Marne, plusieurs guinguettes sont créées sur son parcours, alors même que l'eau n'est pas apparente. Actuellement, l'aqueduc de la Dhuis alimente en eau potable le parc d'attraction Disneyland Paris à Marne-la-Vallée. Seule une petite partie parvient jusqu'à Paris. Je l’ai déjà écrit et à chaque fois que je lis ses lignes cela m’écœure… Prendre de l’eau potable pour alimenter un parc d’attraction, alors qu’à longueur d’année on nous bassine sur le manque d’eau… Il y avait pourtant une autre solution ; utiliser l’eau de la Marne ou du Grand Morin qui ne coule pas trop loin de là. La traiter pour qu’elle soit sans danger, et laisser l’eau ‘’propre’’ aux parisiens.
Depuis 2009 l'aqueduc est vide à partir d'Annet-sur-Marne, la galerie ayant été bétonnée par la ville de Paris sur presque 700 mètres.
La ville de Paris inscrit à l'ordre du jour du conseil des 17 et 18 octobre 2011 l'éventualité de céder l'aqueduc de la Dhuis à la société Placoplatre, au moins les sections situées sur les communes d'Annet-sur-Marne, Claye-Souilly, Villevaudé et Le Pin, afin de faciliter l'extraction du gypse souterrain par une exploitation à ciel ouvert. À la suite de la motion de censure déposée par la fédération Île-de-France Environnement, la mairie de Paris a d'abord décliné l'offre de Placoplatre avant de renoncer au projet de cession. En juillet 2015, la section de Pargny-la-Dhuys à Chessy est vendue à l'intercommunalité du Val d'Europe. wikipédia]. Parcourons se large chemin un peu boueux l’hiver, nous retrouvons par ici des traces du GR. Contournons le hameau de Signy, coupons la rue de la Dhuis, poursuivons en face poursuivons le chemin au dessus de l’aqueduc, il fait un angle aigu sur la droite. Ici il faut faire attention aux petites bornes hectométriques que l’on trouve sur la gauche et dépassant à peine de l’herbe entre la borne 628 et 630 Nous quittons l’aqueduc et le GR 14 a pour prendre le chemin sur la gauche vers des hangars  et la ligne à haute tension. Nous grimpons un peu, maintenant nous suivons un balisage jaune. Nous arrivons à la grosse ferme de Montguichet le chemin fait fourche laissons le bitume sur la droite permettant au fermier de rejoindre la départementale, prenons à gauche. Le chemin fait fourche nous ne prenons pas le chemin menant à la ferme en ruine, poursuivons par la gauche. Nous débouchons sur un 

chemin formant Té que nous prenons à droite nous longeons une haie d’arbres entre deux champs. Nous devinons le balisage jaune sur un poteau et arrivons au château de Montebise [Les ruines d'un ancien château existent sur l'emplacement des bois de Montebise ; il fut démoli bien avant 1789. Il appartenait, ainsi qu'une grande partie du village, à la famille de Cordouan qui fit rebâtir, à courte distance de l'ancien, un nouveau château sous Louis XIV : MONTEBISE. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune] passons l’entrée et reprenons le chemin sur la gauche malheureusement je n’ai pas beaucoup vu de trace jaune. Nous traversons la queue du bois d’Orléans, truffé de pancartes propriétés privées. Dommage que nous ne trouvions pas de balisage jaune sur les jeunes arbres pour nous rassurer. Nous débouchons dans les champs par un chemin qui n’a pas du voir un randonneur n’y un tracteur depuis des lustres et débouchons sur la D 19 que nous prenons à gauche, traversons le hameau de Courte soupe. Dans le milieu du village nous prenons à droite la rue du Luxembourg, et sortons du village. Nous arrivons au hameau de Petite Courte Soupe  et au première  maisons nous prenons à droite le chemin dans les champs, coupons un ru et débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à droite, comme le balisage jaune. Longeons un ru et nous arrivons au village de la Pierre Levée.  [PIERRE-LEVEE, Petra Sublata, autrefois (1771) prieuré-cure de l'ordre de Prémontré, dans la Brie Champenoise ; généralité de Paris ; élection de Coulommiers ; archidiaconé de Brie ; doyenné de la Ferté sous Jouarre ; patron, Saint-Claude ; collateur, l'abbé de Chambrefontaine ; seigneur, Monsieur le Marquis de Montebise. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune
Cette commune, à ce qu'assurent les habitants du pays, sans pour autant donner aucune preuve à l'appui, a été dans les siècles passés, une ville dont on ne trouve cependant nulle part de traces. Il a dû y exister aussi une communauté religieuse, était-ce un prieuré ou une abbaye, rien ne l'apprend, seulement l'adjoint (de cette époque) de cette commune assure que lors du contrat d'acquisition de sa maison, l'intendant de Monsieur de Montebise présenta des titres de propriété de cette maison indiquant le "Logis des Moines", sans autre désignation. L'étymologie de cet endroit est tellement contradictoire dans ses différentes données que nous n'avons pu nous arrêter à aucune. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune La forêt du Mans entourait presque complètement la commune. Les défrichements ont été opérés d'une notable partie de la forêt par suite de l'établissement de grandes voies de communication servant à relier les bourgades gallo-romaines, Jouarre et Doue. Cela changea totalement l'aspect du pays mais les chemins mal entretenus entraînent des moyens de circulation très primitifs, ce qui explique l'existence misérable des anciens habitants. Dans beaucoup d'étangs après assèchement, on a découvert des vestiges (poteries).
Aux abords d'une ancienne voie romaine, on a découvert les débris d'un puits antique ainsi qu'un assez grand nombre de pièces romaines contenues dans un vase antique. Des pierres de silex, taillées ou polies, témoignent de l'ancienneté du village. http://www.pierre-levee.fr/index.php/commune] Traversons ce charmant village en prenant sur la gauche la D 19 (rue de La Fontaine), nous trouvons sur la droite l'église. Poursuivons jusqu'à  la sortie du bourg. Au carrefour  entre la D 19 et la D21, nous prenons sur la droite un chemin en angle aigu juste avant une maison, entrons dans un bois et longeons un étang, puis nous sommes dans les champs et débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche. Longeons l'orée du bois des Uselles puis le traversons, le chemin fait fourche nous quittons le balisage jaune dont le marquage tourne sur la gauche et prenons à droite, mais nous sommes toujours sur un balisage jaune. Nous débouchons sur une route après avoir franchi une barrière  nous abandonnons le balisage jaune et prenons le chemin de gauche, traversons le hameau de Moras, quelques maisons et une grande pépinière. Nous arrivons sur la D 19 que nous prenons à gauche. Nous longeons la forêt du Mans sur une route bien difficile avec pas mal de voitures, et malheureusement pas un chemin, même pas une laie forestière accessible. Longeons la maison forestière et juste avant un virage nous trouvons enfin un le chemin de Moras sur la droite, chemin en renforcé de gros cailloux au carrefour des parcelles 5 & 11, nous prenons sur la droite. Nous arrivons carrefour de la table de marbre, nous trouvons également une maison ‘’ abris forestier de la table de marbre ‘’qui doit servir au forestiers et pour la chasse. [La forêt du Mans est une forêt située sur les communes de Pierre-Levée et de Villemareuil(Seine-et-Marne). Elle couvre une superficie de 297 hectares. C'est aujourd'hui un reliquat de la vaste forêt qui, aux XIIème et XIIIème siècles, couvrait environ 20 000 hectares, entre les localités de MeauxJouarre et Coulommiers. Elle était en effet au centre du Pagus meldicus(pays de Meaux) tel que nous le connaissions à l'époque mérovingienne.
En 1178, le comte de Champagne et de Brie Henri le Libéral confirme aux hommes du chapitre de Meaux domiciliés à Boutigny, le droit d'usage du bois mort dans la forêt du mans, pour chauffage, clôture et échalassement des vignes.
Au xixe siècle, elle faisait partie de l'immense patrimoine foncier du duc de Luynes (Honoré-Thédoric d'Albert / 1802-1867), qui la transmit à sa petite-fille Marie (1844-1865). Au décès de cette dernière, elle passa à sa fille Louise de Sabran-Pontevès (1864-1914).
L'État a acquis la forêt du Mans entre 1956 et 1960, ce qui en fait aujourd'hui une des forêts domaniales de Seine-et-Marne. Wikipedia ] La table de marbre n'est qu'une table en meulière pierre fort commune dans la région. Ma trace ne passait pas par le chemin que je vais vous faire prendre, mais la route me semblais plus sympa. En recherchant sur internet a quoi pouvait servir cette table dite de marbre, j'ai trouvé  des sites de rando ou les randonneurs sont émerveillés de ses 300 ha qui a faillit  disparaitre avec la tempête  de 1999. Rasé pour mieux replanter c'est une technique que l'ONF connait bien, parfois, c'est la seule solution et tant pis pour les insectes en voit de disparition… c'est peut-être pour cela que, et je m'en excuse auprès des randonneurs et associations des environs, je ne m'y suis pas senti bien… et Je l'ai trouvé peu intéressante par ses bois trop jeunes ses grandes allées et ses trop nombreuses laies forestières menant nulle part… j'ai donc décidé de modifier mon circuit en le raccourcissant. Je prends un peut sur la droite la route du Montceau sur la carte, mais il semblerait que sur
 le terrain se soit la continuité du chemin des ermites. Belle route au départ, je pensais qu'avec un nom et une stabilisation, elle devait déboucher, laissons un chemin sur la gauche mon chemin devient très « forestière » au niveau des parcelles 16-8-7 poursuivons tout droit parcelle 7.  Le chemin se réduit encore devient laie forestière, puis débouche sur rien. Me voila en bordure de la foret en plein milieu d'un champ protéger des ‘’bêtes  sauvages’’ comme on le disait au moyen âge par trois rangées de fils électriques. Heureusement une large bande de terre non cultivés se trouve entre la lisière et les cultures. Je choisi de prendre à droite, je vois la route D 19 sur la droite, une ferme. Mais surtout l'autoroute A4 qui barre la plaine et deux ponts l'un sur la gauche et l'autre derrière la ferme, je parts donc à droite après avoir franchi les fils électriques. Le chemin, enfin la bande herbeuse n'est pas trop difficile à marcher si ce n'ai quelques ravages de sangliers, qui ont réussi à passer malgré les fils. J'arrive  à un grand fossé plein d'eau, je le longe sur la gauche ayant aperçu un chemin. Arrivé au bitume je le prends a droite débouche sur la D21 que je prends à gauche, longe la ferme, et traverse l'autoroute.  Nous laissons la D 33a sur la gauche poursuivons tout droit.
(Aujourd’hui, à la table de marbre, je pendrais le chemin situé à gauche de celui du montceaux (le petit trait noir sur la carte.) Il semble se poursuivre sur la carte après être sortie de la foret. Au premier carrefour (cote 170) je prendrais à droite le chemin plus large, ou plus stabilisé vers la ferme de ‘’Dieu L'Amant’’ passer la ferme laisser sur la gauche la route menant à cette dernière, on se dirige vers l'autoroute. Juste avant le pont franchissant l'axe rapide nous trouvons une route sur la droite se dirigeant vers l'autoroute, juste avant les grillages, nous prenons sur la droite un chemin longeant l’autoroute puis s'en éloigne en oblique en coupant dans les champs et l'on retrouve la trace sans avoir franchi de fil électrique du moins je l'espère, et puis on ne sait jamais, l’espace herbeux sera peut être un jour cultivé.) Une fois l'autoroute franchi nous prenons la première route à droite en direction de La ferme de la Noué. Traversons ce hameau par la rue principale faisant un coude sur la gauche. Nous débouchons sur un carrefour sans information, laissons sur la gauche la route menant au Montceaux et prenons à droite. Nous longeons  un bois passons une belle maison, poursuivons notre descente, au loin nous apercevons les immeubles de Meaux. Poursuivons le bitume jusqu'au carrefour ou nous trouvons la direction de la ferme de Aigrefoin et des Ambroises, nous prenons à gauche, nous longeons un bois. Passons une belle maison 1900 enfin dans ses années là. Passons la route d'accès à la ferme de l'Aigefoin, et peut de temps après nous prenons à droite la direction des Ambroises. Laissons une route sur la droite et traversons se hameaux de quelques maisons et d'un hangar ressemblant à une usine peut être abandonnée. La route se termine et nous poursuivons par un chemin ou nous rencontrons le Gr 11. Nous sommes au carrefour des Gr 11 - 14 A et de l'accès à  la gare. Laissons le GR 14 A sur la gauche, et le GR 11 partir tout droit, poursuivant son chemin par l'aqueduc de la Dhuy. Prenons à droite l'accès à une gare. Descendons dans le bois par un chemin pas facile et glissant, parfois pavés. Nous longeons un ru, puis le chemin fait fourche, nous prenons à gauche descendons le muret et nous trouvons une route pavée que nous descendons (chemin du vieux pavé. J'ai lu quelques part qu'ils étaient Romain), nous entrons dans Saint Jean les Deux Jumeaux il semblerait qu'elle se nomme rue du Père Saint Jean. [Lieu d’une grande bataille Napoléonienne http://www.la-defaite-oubliee.com/article-bataille-historique-a-saint-jean-les-deux-jumeaux-120807695.html] La route fait fourche, laissons le Gr partir sur la gauche par la route du général de Gaulle, prenons à droite la rue Alfred de Musset, devant l'église nous prenons à droite rue du 
Père Mary. Dans le bas nous prenons à droite  la rue Pasteur (D 603) et tout de suite à  gauche la rue paul Tripier (D 53 A) passons la drôle de Chapelle de l'école du Lys tout en brique et poursuivons tout droit vers la Marne par la rue du Maréchal  Foch [Église Saint-Jean-Baptiste (xiiie siècle-xxe siècle) comportant une statue de la vierge allaitante du xvie siècle .Chapelle de l'ancien séminaire construite par l'architecte Henry Faucheur et commanditée par le père Paul Mary. Elle a été inaugurée en 1926. et comporte des vitraux signés Louis Barillet] passons la Marne [longue de 514 km située à l'est du bassin parisien. C'est le principal affluent de la Seine : elle prend sa source sur le plateau de Langres, à Balesmes-sur-Marne(Haute-Marne) et se jette dans la Seine entre Charenton-le-Pont et Alfortville (Val-de-Marne). La Marne est classée navigable et canalisée sur 183 kmdepuis Épernay jusqu'à son confluent. Ses écluses présentent un gabarit de 45 m sur 7,80 m.
Elle est connectée à l'Aisne par le Canal de l'Aisne à la Marne qui arrose Reims, et indirectement, par l'intermédiaire du Canal latéral à la Marne, au Rhin par le Canal de la Marne au Rhin et à 

la Saône par le Canal de la Marne à la Saône, tous au gabarit Freycinet.
Plusieurs canaux ont été mis en service pour couper les méandres de la rivière en Seine-et-Marne : le canal Cornillon (à Meaux) et le canal de Chalifert, long de 12,3 kilomètres (entre Meaux et Chalifert). La Marne n'est pas navigable entre Neuilly-sur-Marne et Vaires-sur-Marne, à cause du barrage de Noisiel situé près de l'ancienne chocolaterie Menier. Sur ce tronçon, la navigation passe par le canal de Chelles, parallèle à la rivière et long de 8,5 kmenviron.
La Marne présente la particularité de permettre à un bateau de parcourir intégralement sa vallée, jusqu'à passer presque sous sa source par la voûte de Balesmes. Cette source est toute proche de la grotte dans laquelle le rebelle gaulois Sabinus est réputé s'être réfugié en compagnie de sa femme pendant neuf ans, avant d'être capturé par les Romains. En fait la légende qui dit que Sabinus s'est caché dans la grotte qui surplombe la source de la Marne à Balesmes sur Marne, en compagnie de sa femme Éponine n'est étayée par aucun écrit ni trace réelle tangible. D'ailleurs à l'entrée de la grotte on peut y lire cette information en point d'interrogation. Mais il plaît aux Haut-Marnais du sud de perpétuer cette légende à la gloire du rebelle gaulois. Wikipedia ]. Nous arrivons a Changis sur Marne. Aux carrefours avec la rue de la Mairie et du Moncey nous prenons cette dernière à droite. Puis à gauche la rue de la gare.
 



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Randonnée Le Plus Loin Possible Etape 90 Métabièf - Mouthe GR 5 et GTJ (Grande Traversée du Jura GR 509)

Metabief - Mouthe




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km     Temps     Arret     V/d     V/g     dénivelé
23       5:45        1:15        4       3,3         737 +

Je remonte la rue du village et après l’église prend sur la droite la D 385 E (rue du télésiège), nous remontons jusqu’au parking et au départ des pistes, nous trouvons des panneaux d’informations 1010 m d'altitude et la direction du GTJ, nous sommes sur un balisage jaune et bleu. Passons l’Office de Tourisme et le bâtiment de la petite zone commerciale, prenons la route de droite et poursuivons notre grimpette sur le Morond, ou nous retrouvons un poteau d'information. [Contrecoups de la surrection alpine, les premiers reliefs du Jura apparaissent il y a 35 millions d’années. Ainsi le Mont d’Or, dans le Doubs, et le Crêt Pela, dans 
le Jura, se hissent respectivement à 1463 mètres et 1495 mètres. Mais c’est dans l’Ain que le massif enchaîne les records d’altitudes : le Crêt de Chalam à 1545 mètres, le Crêt de la Goutte à 1621 mètres et enfin le Crêt de la Neige à 1720 mètres.
De part et d’autre de ces sommets, les phénomènes karstiques déterminent le massif : la surface calcaire striée de brèches et fissures devient perméable, renforçant le réseau d’eau souterrain. En surface, témoins des tumultes tectoniques survenus jusqu’à la fin du Tertiaire et sous l’incessante pression des cours d’eau souterrains et visibles, les combes, rides, voûtes, failles, plateaux à corniches, reculées, gouffres, 
piste de VTT
plissements, anticlinaux, pics ou gorges, modèlent et rythment le relief des Montagnes du Jura. https://www.montagnes-du-jura.fr/100-nature/geologie/geologie/] Passons sous les remontés mécaniques, nous entrons en foret. A l'altitude 1080 m nous avons un poteau d'information, nous nous dirigeons vers le Morond, La fontaine aux oiseaux, le Mont d'or par le GR 5 et le GTJ GR 509, le balisage jaune et bleu N°13-14-15. Quelques mètres plus loin nous avons un nouveau panneau d'information, nous sommes à la fontaine des oiseaux 1090 m d'altitude. Prenons à droite, en direction du petit balcon, Le Morond, Le Mont d'Or, traversons la piste
de VTT, nous grimpons toujours, montons par la piste de skie et passons derrière le télésiège de la Berche. Nous sommes à 1130m au petit balcon, on a une belle vue sur la station, au loin le fer à cheval ou l’on devine le château de Jouy. Il faut passer sous le pont de la piste de ski et prendre de suite à gauche les GR, un sentier partant dans les bois en direction du tournant des canons, Morond et Mont d'Or. Nous avons quitté le jaune et bleu. Le sentier empierré grimpe méchamment, et débouche sur un large chemin forestier ou nous faisons un coude aigu sur la droite. Nous arrivons au 
A gauche, peut être la dent de Vaulion
Tournant des Canons 1230 m retrouvons la route bitumée, le Mont d'Or se trouve à 4 km. traversons la route, et poursuivons la grimpette par les pistes de skie, je m’égare un peu, on est un peu perdu dans ce vaste espace des pistes, trop large, trop découvert, je n’ai pas vu les balises, ni le chemin, la pente étant ravagée, la pente étant très raide. Je trouve un chemin en bordure du bois et longe sa lisière, nous passons un belvédère, avec une belle vue sur la Suisse et le massif de Baulmes, dans la brume peut être la dent de Vaulion. Je me rapproche de ma trace et un bâtiment qui me semble être un refuge abandonné, sur la carte il est noté que c’est un resto !!! Je retrouve un semblant de chemin et grimpe le long du télésiège, retrouve une route que je 
prends à gauche vers les sapins, enfin un poteau d’information 1370m Sous le Morond à cent mètres la Citerne, et à  600 m le Morond, à 3km le Mont D'Or. C'est les GR et le jaune & bleu N°24 nous prenons la route sur la gauche. Poursuivons le balisage, passons sous la citerne, puis sous le télésiège, puis un téléski, nous entamons un virage sur la gauche et sommes au sommet du Morond  1419m avec un paysage  à couper le souffle, sur la Suisse, et la France, malheureusement le tout dans la brume. Plus proche de nous, on a également une vue magnifique sur le Mont d’Or, dans la canche entre le Moront et le Mont d'Or, un lac artificiel permettant certainement l’alimentation des canons à neige.  [Le 
mont d'Or appartient à l'anticlinal Risoux-mont d'Or qui s'étend sur plus de 30 kilomètres, de la ville de Morez au sud, dans le Jura, à Jougne au nord. Cet anticlinal est situé à l'est du massif du Jura, dans la Haute-Chaîne. Le mont d'Or est situé entre deux synclinaux : celui de Vallorbe au sud-est et celui de Métabief au nord-ouest. Plus au nord se situe le sommet du Morond à une altitude de 1 419 m, alors qu'au sud, en Suisse, au-delà du synclinal de Vallorbe, se situe le sommet de la dent de Vaulion. Le sommet se présente sous la forme d'une arête grossièrement orientée nord-sud avec deux versants très différents : le côté occidental 
correspond à une pente relativement douce qui est l'extrémité du mont Risoux. Le côté oriental est une falaise rocheuse abrupte d'environ 150 m de hauteur. Selon les interprétations, le mont d'Or a pour altitude 1 461 ou 1 463 mètres. En effet, l'IGN place le « sommet » du mont d'Or à un point dont l'altitude est de 1 461 mètres, alors qu'il existe un point non nommé quelques centaines de mètres au sud sur la crête s'élevant à 1 463 mètres, qui constitue le réel point culminant de la montagne. Ce dernier point est également le point culminant des communes de Longevilles-Mont-d'Or et Jougne, ainsi que du Doubs. Alors que les synclinaux situés à la base 
du mont d'Or sont constitués de roches du Crétacé, celui-ci est constitué à la base de roches du Trias, du Lias et du Jurassique moyen, tandis que le sommet se compose de roches du Jurassique supérieur. Près du sommet, une faille médiane verticale coupe le haut de la montagne en deux ensembles. Celui du sud contient le sommet et est constitué de marno-calcaires séquaniens qui forment un versant modéré avec de la végétation. Celui du nord est constitué de calcaires du Kimméridgien qui composent une falaise de près de 150 m de dénivelé. Le mont d'Or apparaît comme un pli, séparé des deux synclinaux par deux failles 
chevauchantes. Ce pli est long d'environ 4 km. On trouve dans ce pli, une épaisse couche de marnes imperméables de l'Argovien, qui bloquent les eaux de pluie infiltrées dans la montagne et noient les couches supérieures. Lors des travaux de la construction du tunnel ferroviaire du Mont-d'Or, les couches noyées furent percées, inondant le tunnel par deux fois en 1912 et 1913 et dévastant le chantier avec un débit estimé à 10 000 L/s. Aujourd'hui, l'eau continue de s'écouler en direction de Vallorbe. Une étude de l'utilisation de cette eau pour l'alimentation humaine est en cours. Wikipédia] Je rencontre le seul courageux (ou un peu fou) grimpant la montagne sur son vélo, pour rejoindre la piste de VTT. Il doit avoir mon age. Je le 

félicite de ne pas avoir pris ce que j'appelle des traines c... Il est surprit, et me répond ; Tant que l'on peut, il ne faut pas hésiter. Je n'aime pas trop le skie, cela coute très chère, on fait la queue des heures au pied d'une remontée mécanique, (j'exagère un peu) pour quelques minutes de descente. Ce sont les mêmes qui toute l'année rouspètent qu'ils font la queue dans le métro, le train, en voiture. Rien n'est prévu ou du moins, je ne le crois pas, pour le "skie découverte", c'est à dire une bande de neige sur le coté de la piste, permettant de remonter à pied... pour avoir la joie d'une descente. Mais à quoi cela servirait, il y aurait personne... Le 
Mont D’or… On se rend vite compte que l’on va descendre pour remonter le long de cette arrête qui déchire le paysage.  Nous trouvons un poteau d’information nous faisant prendre un sentier serpentant et balisé vers le lac, nous descendons. Le sentier se dirige vers des tables de pique nique. Je remarque que l’eau est limpide et cela change du lac d'hier autour de Malbuisson. Poursuivons vers le belvédère et les arrêtes du Mont d’Or, [Il s'élève à 1 463 m d'altitude, ce qui en fait le point culminant du département du Doubs. Il a donné son nom à un fromage. Le nom « mont d'Or » figure déjà sur la carte de 

Cassini au XVIIIe siècle. Comme pour les monts Dore en Auvergne, il pourrait provenir du sanscrit dar désignant la montagne, la hauteur, devenu dor en celtique puis francisé en Dore, « eau », ou le mont d'Or, qu'il faudrait écrire Mon Dore, pour se conformer à l'étymologie du mot ore, dor, dur, iidor, qui se retrouve dans beaucoup d'idiomes, comme l'équivalent d’aqua et deviendrait « la montagne de l'eau », « la montagne des sources ». Une autre interprétation fait référence à une teinte dorée au coucher de soleil.
Le mont d'Or appartient à l'anticlinal Risoux-mont d'Or qui s'étend sur plus de 30 kilomètres, de la ville de Morez au sud, dans le Jura, à Jougne au nord. Cet anticlinal est situé à l'est du massif du Jura, dans la Haute-Chaîne. Le mont d'Or est situé entre deux synclinaux : celui de Vallorbe au sud-est et celui de Métabief au nord-ouest. Plus au nord se situe le sommet du Morond à une altitude de 1 419 m, alors qu'au sud, en Suisse, au-delà du synclinal de Vallorbe, se situe le sommet de la dent de Vaulion. Le sommet se présente sous la forme d'une arête grossièrement orientée nord-sud avec deux versants très différents : le côté 
occidental correspond à une pente relativement douce qui est l'extrémité du mont Risoux. Le côté oriental est une falaise rocheuse abrupte d'environ 150 m de hauteur. Selon les interprétations, le mont d'Or a pour altitude 1 461 ou 1 463 mètres. En effet, l'IGN place le « sommet » du mont d'Or à un point dont l'altitude est de 1 461 mètres, alors qu'il existe un point non nommé quelques centaines de mètres au sud sur la crête s'élevant à 1 463 mètres, qui constitue le réel point culminant de la montagne.
Géologie : Alors que les synclinaux situés à la base du mont d'Or sont 
constitués de roches du Crétacé, celui-ci est constitué à la base de roches du Trias, du Lias et du Jurassique moyen, tandis que le sommet se compose de roches du Jurassique supérieur. Près du sommet, une faille médiane verticale coupe le haut de la montagne en deux ensembles. Celui du sud contient le sommet et est constitué de marno-calcaires séquaniens qui forment un versant modéré avec de la végétation. Celui du nord est constitué de calcaires du Kimméridgien qui composent une falaise de près de 150 m de dénivelé. Le mont d'Or apparaît comme un pli, séparé des deux synclinaux par 

deux failles chevauchantes. Ce pli est long d'environ 4 km. On trouve dans ce pli, une épaisse couche de marnes imperméables de l'Argovien, qui bloquent les eaux de pluie infiltrées dans la montagne et noient les couches supérieures. Lors des travaux de la construction du tunnel ferroviaire du Mont-d'Or, les couches noyées furent percées, inondant le tunnel par deux fois en 1912 et 1913 et dévastant le chantier avec un débit estimé à 10 000 L/s. Aujourd'hui, l'eau continue de s'écouler en direction de Vallorbe. Une étude de l'utilisation de cette eau pour l'alimentation humaine est en cour.] Nous avons quelques points d’accès vers les bords de la falaise,  

après les prairies, nous traversons le parking. Descendons la route sur notre droite au poteau d'information "pâturage de la Grangette" 1380 m d'altitude nous avons les directions de la Boissaude et Mouthe qui se trouve à 13 km. Nous quittons le balisage jaune & bleu N° 24 qui part sur la droite, poursuivons la route, quittons le bitume par un 

sentier sur notre gauche en direction des bois et prairies. J'ai un peu de mal à comprendre le balisage jaune & bleu, nous en trouvons encore des marques alors qu'il n'était pas indiqué sur le poteau d'information. Bois d'un mélange de noisetier, et de sapins, se confondent avec les prairies. Parfois ce sont des prairies dans les bois, les traces et les bouses montrent que les sous bois peuvent être parcourus par des bovidés. Le chemin mal visible au sol n'est pas toujours facile à suivre avec les cailloux et les layons 
fait par le passage des animaux. Passons quelques granges isolées et coupons deux routes, dont l’une mène à une ferme restaurant "La Boissaude", on se dirige vers les granges Raguin et Mouthe. Un restaurant perdu au milieu des pâturages, autour il n’y a rien, on entend rien, sauf les cloches des vaches, je me demande toujours comment ils peuvent tenir ? Ils sont loin de tous axes routiers et il y a tout de même des voitures. Je compare toujours avec mon village, ou c’est la valse des restaurateurs, cela change tout les deux, trois ans. On a un cadre, idyllique (quoi qu'avec les nouvelles loi, on a construit des
 cubes de béton, sur des mouchoirs de poche, ce qui détériore le CARACTERE, et l’harmonie du village. Par contre "ils" vont vous faire une colère toute rouge si vous peigner vos volet en blanc couleur interdite dans le PLU. Pourquoi le blanc ? Mais pas les couleurs flashantes ? Dieux seul le sait... Et puis l’herbe, et les arbustes poussent sur tout les trottoirs et les caniveaux, cela ne facilite pas non plus les choses, pourtant je suis dans un cadre particulier, la Seine, la Foret, il y aurait de quoi attirer le chaland. Coupons la route, ensuite ce n’est pas très simple de retrouver le sentier dans la prairie, 

peu de monde est passé par là, et la trace est difficile à trouver. Ha, j'aperçois un cairn c'est peut la bas, je sors le GPS et suis la trace, après le gros caillou le sentier est un peu mieux marqué au sol et l'on se dirige vers une barrière en bois. Nous quittons la plaine pour entrer dans une foret de Sapin. Nous débouchons sur la troisième route, que nous prenons à droite et nous arrivons au ‘’Granges Raguin’’ 1150 m d'altitude, elle est perdu et isolé dans cette plaine. La grange est en pleine restauration et risque de ne plus ressemblé aux granges jurassiennes d'antan. Sur la gauche, un petit pavillon en bois, 
 avec des trottinettes et des VTT électriques. Je me demande comment font les gents pour vivre... C’est un peu loin de tout et il faut savoir qu’il y a de la location ici. Une fois sur le parking, je me rends compte qu’il est immense… L’hiver cette plaine doit être la joie des raquettes et des pistes de skie de fond. A la sortie du parking, le balisage tourne sur la gauche nous avons un panneau d'information 1155 m d'altitude Le chemin de Corneau ; Mouthe est à 8 km, la petite échelle (chalet) et la cabane du club alpin en Suisse. Nous prenons ce beau chemin et  entrons en foret, puis dans les prairies, nous longeons un corps de ferme (sur la carte les 
Corneau) Nous entrons de nouveau en foret et arrivons à un carrefour en tri dents, nous prenons à gauche c'est très bien balisé. Nous sortons de la foret, pour arriver à la ferme (qui me semble habitée de la Vannode), coupons la route d'accès à la ferme, poursuivons vers le gros arbres au milieu de la prairie  (repère qui risque de disparaître avec le temps) un poteau d'information nous dit que nous sommes à 1175 m que Mouthe se trouve à 6 km grange Bousson et les sources du Doubs. Traversons la route, puis la prairie ou le sentier n'est pas très facile à trouver et entrons dans la foret. Bois et foret se succèdent. Je commence à fatiguer, je viens de remarquer que 
nous avons retrouvé depuis un bon moment le balisage jaune & bleu. Nous passons la Grange Bousson. Je m’amuse à regarder les vaches, qui en ont mares du soleil et ont certainement soif. Pas besoin de vacher, le troupeau en bon ordre se dirige du fond de la prairie vers l’abreuvoir, puis tranquillement se dirige vers l’étable, je pensais que les mamelles pleines, qu'elles allaient attendre l’heure de la traite, tranquillement au frais dans l'étable, mais passant devant moi, je n’ai pas vu de mamelles, ce sont des bêtes à viande. Nous débouchons sur une route au niveau de la grange Sapeau-Léger, prenons la route sur la droite sur une centaine de mètres, puis nous trouvons un poteau d'information 1100 m d'altitude. En poursuivant la route nous allons à Villedieu les Mouthe, nous prenons à gauche vers le bois du creux, Mouthe et la source du Doubs, nous prenons sur la gauche le large chemin qui descend. Nous débouchons sur une route (parcelle D), nous prenons à droite, puis laissons l'embranchement sur la gauche desservant la 

ferme de "Gros Pouille" nous arrivons sur une nouvelle intersection avec une route formant un virage en angle aigu que nous prenons tout droit, (attention la flèche nous dit de prendre à droite, un chemin qui sur la carte est sans issu) mais il faut poursuivre notre descente par la route. Nous débouchons sur la route forestière de Combe Bougnon. Nous avons un panneau d'information avec les Sources du Doubs soit par le bas, soit par le haut. La distance est sensiblement la même, Je prends la route à gauche qui monte un peu... Si je prends à droite la route descend et je serais obligé de remonter pour me rendre à la source et je ne sais pas si j'en aurais le courage. Je remonte la route sur une bonne centaine de mètres en traversant la piste de skie. Le balisage jaune & bleu poursuit la route, le GR prend sur la droite un sentier dans la foret, parcelle 4, une pancarte nous 
indique les sources. Nous arrivons à un panneau d'information 965m d'altitude "foret de la source du Doubs" Mouthe 3km sur la gauche sentier de la source belvédère, je commence à grimper ce sentier sur la gauche pour me rendre au belvédère, il y a beaucoup de marches, c'est dur et je suis fatigué. J'entends de l'eau, vu la falaise que l'on doit gravir, ce ne pourrait être qu'une cascade. J'ai vu en photo la source du Doubs il n'y a pas de cascade. Beaucoup trop fatigué je ne poursuis pas jusqu'au belvédère qui ne m'amène pas à la source, surtout qu'après la source j'ai encore trois kilomètres à faire. Je redescends et arrive après 500m au niveau de la source. [Le Doubs c'est le principal affluent de la Saône et par conséquent un sous-affluent du Rhône. Sa longueur totale est de 453 km, dont 430 km sur le territoire français et 85 km sur le territoire suisse, une partie de son tracé faisant office de frontière entre les deux États. Il constitue le dixième cours d'eau français par sa longueur et la 

quatrième rivière française après la Marne, le Lot et la Saône, ainsi que le neuvième cours d'eau suisse par sa longueur. Il prend sa source dans une cavité du massif du Jura située sur la commune française de Mouthe à 945,5 m d'altitude et s'écoule d'abord principalement vers le nord-est. Après être remonté jusqu'à la trouée de Belfort, il s'écoule ensuite dans une direction opposée à celle de la première partie de son cours, se dirigeant vers le sud-ouest jusqu'à son confluent. Il se jette dans la Saône à Verdun-sur-le-Doubs, à 175 m d'altitude. Wikipédia]
Les eaux du Doubs surgissent d'une cavité constituée de roches calcaires du Portlandien, située au pied du Mont Risoux et de la forêt du Noirmont. La température de l'eau y est comprise toute l'année entre 5 °C et 6 °C. Des explorations spéléologiques ont permis de découvrir l'existence d'une succession de siphons juste en amont de l'exsurgence dont le troisième plonge verticalement jusqu'à plus de 50 m de profondeur. Le débit moyen à la source est de 1,76 m3/s8. Juste après la source, la rivière prend la direction de l'ouest et traverse des zones humides, dont les tourbières du Moutat. Après environ deux kilomètres, à l'entrée du village du Mouthe, le Doubs reçoit les eaux d'un premier affluent, le Cébriot, et prend alors la direction du nord-est dans le val de Mouthe-Métabief. Sur les premiers kilomètres de son parcours, le Doubs adopte un tracé singulier en forme de baïonnettes, faisant se succéder tantôt un écoulement dans de larges dépressions synclinales dénommées vals, tantôt des passages dans des gorges étroites découpant les anticlinaux et appelées cluses. Ainsi, après avoir atteint la commune de Rochejean, il prend la direction nord-ouest en passant par la cluse de Fourperet, qui draine les eaux de la rivière du val de Mouthe vers le val de Saint-Point. Vingt-deux kilomètres en aval de la source, il reprend une direction nord-est et forme alors un vaste lac naturel, le lac de Saint-Point, de 

près de 7 km de longueur et 800 m de largeur. Le passage d'une nouvelle cluse au pied du fort de Joux permet au cours d'eau d'atteindre Pontarlier, première ville d'importance à être traversée. Il reçoit un de ses principaux affluents, le Drugeon, avant de s'écouler dans le val du Saugeais. Il s'insère ensuite dans une série de gorges escarpées, le défilé d'Entre-Roches et le défilé du Coin de la Roche, débouchant sur le val de Morteau. Dans cette zone en aval de Pontarlier, des pertes du Doubs vont alimenter au moins en partie la résurgence qui constitue la source de la Loue. Ce phénomène karstique a été découvert en août 1901 lorsque les usines Pernod de Pontarlier brûlèrent après avoir été frappées par la foudre le 11 août 1901. Ces usines fabriquant de l'absinthe hautement inflammable, les pompiers déversèrent dans un puits perdu 600 000 litres du spiritueux. Le surlendemain, on retrouva des traces d’absinthe et de colorant jaune doré aux 
reflets verts dans la Loue, comme le rapporta André Berthelot. Cela fut confirmé par les savants spéléologues Édouard-Alfred Martel et Eugène Fournier qui, ayant remarqué une faille sur le cours du Doubs en aval de Pontarlier, y jetèrent un puissant colorant vert (fluorescéine). Quelques jours plus tard, la Loue était colorée de ce même vert. Wikipédia] Longeons la rivière naissante et nous arrivons devant un petit pont  traverse la route du camping, (La Douaye E). Poursuivons en face par le beau chemin en stabilisé calcaire, (du Lotissement des Touradons).  Nous longeons les méandres du Doubs qui se perd un peu dans la tourbière. Nous débouchons sur la D 433 (rue de 
la Source du Doubs) que nous prenons à gauche, nous entrons dans Mouthe [La commune est considérée comme la plus froide de France. La commune est située au cœur de la Haute-Chaîne du Massif du Jura. À l'est, on retrouve le Massif du Risoux, un anticlinal dont l'altitude varie entre 1 250 m et 1 400 m tandis qu'à l'ouest s'élève la Côte de la Haute Joux. Entre les deux s'établit le Val de Mouthe entre 900 m et 1 100 m d'altitude et qui s'étend de Métabief à Foncine-le-Bas. Ce val a été modelé par les glaciers du quaternaire. Le territoire communal est traversé par plusieurs cours d'eau dont le plus important est la rivière du 
Doubs, un des plus longs cours d'eau français (453,1 km), qui y prend sa source au pied de la forêt du Noirmont, à 944 mètres d'altitude ; à sa source, la température de l'eau est voisine de 7°C. Deux ruisseaux arrosent également la commune, le Cébriot (8,5 km) qui prend sa source à Châtelblanc et se jette dans le Doubs au niveau du village de Mouthe et le Cul du Bief (2,2 km) qui s'écoule uniquement sur la commune de Mouthe. Selon les classifications, Mouthe a un climat de type Climat océanique. le climat de Mouthe est un climat à hiver froid. ou un climat sub-océanique ce qui indique bien le fait que la commune est en réalité soumise à une double 

influence, océanique d'une part avec de fortes précipitations tant en quantité qu'en fréquence (avec un total annuel de précipitations proche de 1 700 mm), et continentale d'autre part avec des hivers rigoureux (fortes gelées, neige), mais des étés assez frais (très doux dans la journée, avec des nuits froides). Elle connaît des records de température minimale pour la France, et vaut pour la région du Haut-Doubs le surnom de Petite Sibérie. Les records de température maximale et minimale sur Mouthe sont respectivement de 36 °C le 1er juillet 1952 et −36,7 °C le 13 janvier 1968 ce qui en fait un des villages les plus froids de France. À noter que l'après-midi du 13 janvier 1968, on enregistrait 1,1 °C soit 38 °C d'amplitude thermique sur la journée.

La localité connaît en moyenne 152 jours de gel par an, 72 jours avec gelées inférieures à −5 °C et 36 jours avec gelées inférieures à −10 °C. Les minimales en-dessous de −20 °C concernent en moyenne 6 années sur 7. La température moyenne annuelle est de 6,7 °C.
En 1077, Simon de Vexin, originaire de Crépy-en-Valois (Oise), qui fut comte d'Amiens, de Vexin et de Valois, se retire dans un monastère près de Saint-Claude. Pour s'infliger des mortifications plus sévères, il décide avec quelques compagnons de remonter aux sources du Doubs et d'y fonder un ermitage. Cet ermitage deviendra un petit prieuré dépendant de l'abbaye de Saint-Oyand de Joux. Malgré les rudes conditions climatiques, quelques paysans s'installent et fondent le village de Mouthe. Plusieurs incendies ravagèrent le 

village (en 1583, 1639, 1849) et son église (en 1789, 1833). Wikipédia] longeons le cimetière, la rue change de nom et devient place de l'église. Nous arrivons à l’église. [L'Eglise paroissiale : construite de 1732 à 1742 par l'architecte Galezot, les parties les plus caractéristiques sont le toit à l'impériale et le cimetière directement attenant. http://www.mouthe.fr/pub_recherche_fr.html]. Dans le virage de la rue nous avons sur la droite "la Pierre des Dimes". [La Pierre des Redevances : elle a été inscrite en 1931 et reste très mystérieuse quant à son utilisation. Elle trône à quelques pas de l'église actuelle. Elle mesure 1m x 1m. Il est dit que les sujets de la seigneurerie venaient payer la dîme. Celle-ci était versée au prieuré de Mouthe et elle s'élevait à environ un dixième des produits tirés à la fois de la terre et de l'élevage. Cet impôt très lourd pour les paysans fut supprimé dans la nuit du 4 août 1789.] Je poursuis la rue et débouche sur la D 437 (Grand Rue) que je prends sur la gauche et, passe devant la mairie (un petit château) [L'Hôtel de Ville : inscrit en juin 1990, on retiendra du bâtiment sa salle d'audience, son escalier, ses tourelles, son élévation, sa façade et sa toiture. Le 
bâtiment a été achevé dans la deuxième moitié du XIXème siècle. Espèce de château à quatre tours polygonales à chapeaux pointus, une sorte de pastiche de la renaissance allemande de l'Architecte Marnotte. http://www.mouthe.fr/pub_recherche_fr.html  Les plans de l'édifice sont établis en 1846 par l'architecte Bisontin Pierre Marnotte. Les plans initiaux prévoyaient que l'édifice abrite des écoles avec pensionnat, une infirmerie, une mairie et une justice de paix. Cette concentration de services est due à une loi de 1833 qui obligeait les communes, en plus de l'administration communale, à entretenir une école (souvent intégrée à la mairie) ainsi que la justice. Les travaux commencent après 1847 pour se 

terminer après 1850. L'édifice suit les codes architecturaux de la renaissance, plutôt que du néo-classicisme ou du néo-gothique en vogue à l'époque de la construction. De ce fait, la forme de la bâtisse est imposante, cubique, surmontée d'une haute toiture pyramidale. Le bâtiment est cantonné de quatre tourelles coiffées de toits en poivrière. L'entrée est en plein cintre et la façade offre un balcon à balustres; L'escalier principal est inscrit dans un grand volume et permet de desservir toutes les salles de l'étage. Les façades et les toitures, la cage d'escalier et l'escalier, ainsi que l'ancienne salle de tribunal sont inscrites aux monuments historiques par arrêté du 21 juin 1990 
https://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%B4tel_de_ville_de_Mouthe
Je me dirige vers mon gîte. A la hauteur de la boulangerie, salon de thé, je suis interpellé par mon nom. C'est mon hôtesse, elle ne me connaît pas, mais elle à tenté le coup avec succès. Même si la rue principale fait parti du parcours de la GTJ, nous ne devons pas être si nombreux à passer, avec un gros sac à dos, aujourd'hui je n'ai vu personne. Elle est installée en terrasse abritée par un auvent, toiture en pointe descendant très bas sur le trottoir.  Après les présentations d'usage, et une explication pour situer plus facilement le gîte je m'en retourne. Je suis fatigué, déconcentré, heureux de ne pas à avoir à chercher 

la maison. En arrivant, je n'avais pas remarqué le toit, descendant très bas et en pointe, je n'ai pas remarqué n'ont plus le poteau du luminaire et sa corbeille de fleurs descendant très bas. Le trottoir n'est pas large, une voiture en stationnement, je me retourne, aperçois une ombre au dessus de ma tête, je fais en même temps un pas en avant et penche la tête à droite pour éviter l'ombre et le haut du crane rencontre le bas de la toiture. La casquette est à peine déchirée, mais la peau du crane n'a pas résisté, je saigne. Me voilà assis dans le salon de thé avec deux boulangères complètement catastrophées. L'une va chercher la trousse à pharmacie, désinfecte, mais le sang coule toujours, la tête cela saigne beaucoup. Je ne pense pas que ce soit bien grave, mais elles insistent pour que je consulte. Mouthe dispose d'un hôpital de proximité centre de soins de première urgence. J'en ressorts deux heures après avec deux points de sutures...      

Pour cette année mes aventures autour de la France sont terminées. Dans ce périple, j'ai réalisé 506 km
163 en Mai       143 en juillet
  91 en juin       109 en aout. Mais surtout un total de 12 976 mètres de dénivelés






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