dimanche 2 décembre 2018

RLPLP 2018 GR 5 - 532 & 531 Etape 77 Le Markstein - Le Rouge Gazon



Randonnée Le Plus Loin Possible 2018  Etape 77  Le Markstein - Le Rouge Gazon


Je n’ai pas de chance avec les Vosges, le mois dernier c’est mon GPS qui me lâche, ce mois ci c’est mon téléphone et les 300 commentaires sur cette semaine de rando. Je suis dans l’impossibilité de vous décrire les petits détails de mon itinéraire. Vous trouverez dans l'article "Colmar" l'explication des divers signes, logos et couleurs utilisés par le club vosgien pour baliser leur sentiers. Dans les Vosges vous ne retrouverez pas la trace des GR sur les cartes IGN, sur le terrain vous ne retrouverez pas non plus le classique balisage Rouge et Blanc que l'on retrouve dans toute la France.


 
Le code mobile de cette randonnée est b311781
 
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici


Attention c'est une étape technique. Il faut faire très attention, ou l'on met les pieds.
 Il faut être sûr de ses jambes. Il faut être sûr de ses chaussures.
Pour les parisiens il serait bon de faire quelque fois le sentier des milles (sentier des 25 bosses) Mais attention en suivant le balisage, sans éviter les rochers. S'entraîner à garder l'équilibre en sautant de rocher en rocher.

mercredi 29 aout 2018

Le Markstein Le Rouge Gazon 
(Dans l'article Colmar vous trouverez à quoi correspond les cercles, les ronds, les rectangles, triangles et autres signes de couleur que l'on rencontre sur le parcours.)

km     Temps   Arret   V/d   V/g    deniv    alti max
32,6    6:47      1:00     4,8    4,2     1258 +   1424

C'est une dure journée. Cette fois ci ce n'est pas à cause des difficultés du terrain, mais par le nombre de kilomètres et les dénivelés. Ont peut gagner une petite dizaine de kilomètres en évitant la grimpette au Grand Ballon, on y gagne également en dénivelé. Je l'ai trouvé également très dure pour deux raisons, la première, c'est que je me suis épuisé toute la matinée, pour gagné sur l'orage qui était annoncé dans l'après midi. Je voulais absolument arrivée de bonne heure.
La seconde, j'avais absolument pas remarqué que je descendais à 410 
mètres pour remonter a 1086, ce qui fait un peu plus de 600m de dénivelé positif et ça c'est une erreur de lecture de carte.
Je me suis épuisé le matin et trouvé infinissable l'après midi surtout que je pensais être en crête rocheuse et relativement plat et je me suis retrouvé en sentier en flanc de colline et sous couvert d'un beau bois de hêtre, mais que c'était long.
Je reprends le Gr 5 passant derrière l'hôtel, nous arrivons au grand carrefour des départementales 430 - 431 & de la route des crêtes. On y 

trouve aussi des fermes auberges. Nous empruntons un bout de route jusqu'au second carrefour, ou je me dis que j'ai oublié ma géographie lorsque j'ai tracé ma route, j'ai oublié le Ballon de Guebwiller qui par la route se trouve à vingt deux kilomètres. Tant pis. Peut être que si les principaux Gr étaient tracés sur les cartes, j'aurais organisé mes étapes autrement. ‘’Toujours agressif le gars’’ Il n’y connaît rien, et il critique toujours, en somme je suis un bon Gaulois. Le Grand Ballon et le Ballon de Guebwiller, j’ai lu par la suite que c’était le même… J’ai vraiment oublié ma géographie. Au second carrefour le Gr 
prend sur la gauche et s'élève gentiment au dessus de la route, tout en la suivant. On coupe un chemin, puis la route pour prendre en face un petit sentier dans la prairie qui débouche sur une voie carrossable que nous prenons à gauche. Nous l'abandonnons relativement vite pour prendre un sentier sur la gauche, le sentier Kapittaenstressla, puis nous débouchons sur une allée forestière. Nous contournons le Storken et nous trouvons un abri bien hors eau et vent mais bien trop petit pour y passer la nuit. Je ne pense pas que le club vosgien tienne à ce que des randonneurs passent la nuit dans leur abri, c'est juste pour le midi et manger au chaud. Reprenons 

notre chemin et nous rencontrons le Gr 532 rectangle jaune descendant sur la droite vers Sains Amarin (C'est ici qu' il faut faire le choix de monter au Grand Ballon ou pas.) Vous continuez avec moi ? Alors ménagez vous ne vous laissez pas entraîner par ce beau chemin. Attention avec mon rythme en partant à 8:30 (je 'ai pas pu partir plus tôt) et sans vraiment prendre le temps de manger, je suis arrivée à 16:30... J’avoue que j'ai bien ralenti dans l'après midi et que les dernières montées même les petites furent pénibles. 

 


 


Donc je poursuis le Gr 5 rectangle rouge jusqu'au col de Haas. Il nous défie de ses 200 m et oui, il faut gravir ses 200m pour arriver en haut. La grimpette commence, je l'ai fait par le Gr 5 et le versant sud. Cela commence par un petit raidillon juste histoire de décourager les téméraires, nous avons une bifurcation sur la gauche (chemin du nord, je ne sais plus comment il s’appelle, balisage rouge, blanc, rouge. Il semble plus facile d’accéder au sommet mais ce n’est qu’une illusion. Arrivée à la route et à l’hôtel il monte comme le versant sud. Il est également balisé.) Poursuivons notre ascension. Le sentier empierré s’infléchi sur la droite et longe les derniers arbres, puis tourne brusquement sur la gauche et là nous grimpons perpendiculaire à la pente. 






Nous arrivons au monument des diables bleus. [Un monument aux Diables bleus de la Première Guerre mondiale, les Chasseurs alpins, a été érigé en 1927 (sculpteur André Vermare) à l'instigation du Club alpin français et inauguré par Raymond Poincaré. Dépossédé de sa statue de bronze lors de la percée allemande de septembre 1940, il retrouva son état originel en octobre 1960, grâce au sculpteur Pierre Bouret. Wikipédia]
J’en fais le tour et fini la grimpette par le « Dôme » en restauration.[Le sommet est équipé depuis 1997 d'un radar servant à l'aviation civile, pour la gestion du trafic aérien du centre de contrôle régional de Reims ainsi qu'à l'approche des aéroports internationaux de Mulhouse et Strasbourg. Entouré d'un belvédère circulaire, ce bâtiment a été dessiné par Claude Vasconi. Le centre du radôme se trouve précisément à l'altitude de 1 435,5 mètres et la table d'orientation à 1 431 m. Depuis ce point la limite de visibilité théorique est de l'ordre de 120 km en direction du nord de la plaine d'Alsace. Wikipédia] 
Je reste un petit instant en se sommet que je voulais faire, Cela fera bien sur mon CV de Randonneur, certain y inscrive le GR 5 et la traversée des Alpes, le Gr 10 et le 20, d’autre Saint Jacques, moi je n’aurais que le Donon, le Hohneck et le Grand Ballon. [Point culminant du massif des Vosges. Il est souvent appelé Ballon de Guebwiller, et parfois Ballon de Soultz ou Sultzer Belchen puisqu'il se trouve sur la limite occidentale du ban de Soultz. Cette particularité, géographique et historique est due au fait que la ville de Guebwiller est plus proche que celle de Soultz, et a même été confirmée par certains dictionnaires et référentiels, Le sommet du Grand Ballon est propice à l'observation des Alpes bernoises et d'une partie des Alpes françaises jusqu'au mont Blanc. wikipédia]  
 

   
                    


La vue est magnifique par temps clair, pour moi le ciel commence à se voiler. On devine l'horizon la montagne couverte de brume. Coté Ouest les nuages approchent. Je descends vers le col du Grand Ballon puis me dirige vers la route l’hôtel et les boutiques. Je pensais pouvoir rejoindre Saint Amarin par un chemin balisé local. Je n’ai rien vue. Je demande dans une boutique s'il n'y a pas de raccourci pour rejoindre Saint Amarin qui me semble pas trop loin un peu plus bas sur la droite. Il n'y en a pas. Il faut faire le tour du ballon par le Gr, rouge-blanc rouge face nord ou la route. Je pense pouvoir retrouver le balisage en prenant un sentier se 
dirigeant vers l’hôtel, mais je but sur des grillages. Je n'ai pas eu le courage (déjà) de remonter chercher le sentier, j'ai pris la route, jusqu'au col de haas, puis le GR 5 en sens inverse, jusqu'à la rencontre du Gr 532 rectangle jaune que nous prenons à gauche (On a de la chance, car il me semble que c’est un diverticule, sorte de raccourcie lorsque l’on vient du Ballon.) Une longue descente nous attend, elle n'en fini pas. Nous quittons la belle route forestière après une fourche en tri dent inversé pour un sentier sur la droite. On coupe plusieurs chemins heureusement que le balisage est bien fait pas moyen de se tromper. J’arrive dans un secteur d’exploitation forestière, je suis la première déviation et puis n’entendant, ni le bruit des tronçonneuses, ni celui des tracteurs d’abattages, je poursuis le balisage sans m’occuper des déviations, et je suis surpris… je traverse des bois en exploitations et le sentier est dégagé, 
propre, les branches bien entassés en bordure. Quand Fontainebleau arrivera à cela les poules auront des dents. 
Le sentier descend en zigzagant, nous passons un point de vue sur la ville de saint Amarin.

 

  [Au VIIè siècle le moine Amarinus (+ en 674 à Volvic), venant de Luxeuil, fonde un couvent en un lieu appelé "Doroangus" (herbage sur la Thur). Une petite cité se crée autour du couvent. Au début du IXè siècle la vallée devient propriétaire de l'Abbaye de Murbach. Le nom de Saint-Amarin est cité pour la première fois en 1135. Une collégiale est construite entre 1050 et 1100 et les chanoines y résident jusqu'à leur transfert à 

Thann en 1441. Un mur d'enceinte est érigé entre 1240 et 1260 laissant la collégiale hors les murs (emplacement de l'église actuelle). Un bailli (Vogt), nommé par Murbach, administre les possessions de l'Abbaye dans la vallée à partir du IXè siècle jusqu'en 1789. Du temps des romains la vallée est déjà une voie de passage pour franchir les Vosges par le col de Bussang. Au XIIè siècle, avec l'ouverture du col du St-Gothard, la vallée s'ouvre au commerce 

international entre l'Italie et les Flandres. http://www.ville-saint-amarin.fr/index31.html] Notre sentier débouche rue du Herrenwald, coupons la rue poursuivons en face par la rue du Kattenbach, nous longeons le 

cours d’eau, passons le pont et débouchons rue de l’église que nous prenons à droite (le balisage manque un peu. Longeons l’église prenons la rue Clémenceau sur la gauche, passons le musée Serret puis coupons la D 141 (rue Charles De Gaulle) De 1423 mètres nous voilà à 410 mètres point le plus bas de notre balade. Nous prenons en face la rue du Maréchal Joffre, passons au dessus de la voie ferrée et de la gare. Coupons la rue de l’industrie, puis passons le tennis, passons au dessus de la rivière la Thur la rue devient parking, il est temps de manger, mais les tables sont prises et puis je n’en ai plus pour bien longtemps tout au long du parcours j’ai vue les montagnes avec leur chaumes brûlés par le soleil. Dans ma tête je n’avais plus grand-chose à faire grimper 600 m et j’étais arrivée. (J'ai déjà oublié ma rando dans le sud de la France et ma difficile grimpette au Bourdille... 600m de dénivelé également et cela m'avait parut très long.)  Le sentier par sur la gauche, tout de suite nous grimpons en serpentant et passons devant la statue de la vierge, prenons la direction du col des Dreimarkstein de l’oratoire de la vierge nous avons également la 
l'oratoire de la vierge

 
          


direction de la ferme auberge du Belacker. Je me crois presque arrivé puisque je viens de passer l’oratoire de la vierge, mais je me trompais. Le sentier part un peut sur la droite et nous montons perpendiculairement à la pente, après un virage nous restons à flanc de colline ce qui permet de souffler et nous changeons de vallée, un beau point de vue sur la vallée, poursuivons notre sentier qui grimpe toujours et débouche dans un virage sur une large route que nous prenons à droite. Nous arrivons au col des Dreimarkstein et de l’oratoire des trois bornes. Je suis lessivé, je ne cherche même pas les bornes qui n’existe peut être pas. Je ne cherche même pas la fontaine Saint Raphaël, pourtant un balisage local y conduit.
Je m’assoie sur un banc, face à un abri, j’ai un peu mal partout, je sors mon casse croûte, il faut absolument que je mange. Il ne faudrait pas que par la suite je me retrouve en faiblesse. Le temps s’est couvert durant la monté dans cette belle foret que je n’ai pas apprécié, tellement je suis stressé, par cette histoire d’orage et par mon épuisement. Pas de chance, l’orage gronde, heureusement je ne suis plus loin…Je ne réalise pas que je ne suis qu’a 756 m et que je dois monter à mille. Je remballe mon casse croûte, referme mon sac, le déjeuné sera pour plus tard. Je n’ai même pas mes gourdes de compotes et de chocolats je les ai oublié. Je suis tenté de quitter le balisage pour suivre la route carrossable en 

direction de la ferme du Belacker, je me dis qu’un panneau pub annonce quelque chose de proche. Je cherche un peu mon balisage qui emprunte la grande allée puis un sentier sur la droite, mais j’ai mal vue le sentier et le balisage partent du carrefour entre les deux routes carrossables. A une fourche nous prenons la branche de droite, laissons encore des chemins et nous débouchons sur une route carrossable, nous sommes à prêt de 900 m d’altitude et toujours pas de ferme, je n’en peu plus, nous débouchons sur une route carrossable que nous prenons sur la gauche et poursuivons la grimpette. La foret s’éclaircie, nous arrivons dans la prairie, je me crois sauvé au loin la ferme du Belacker. Il commence à pleuvoir. A la ferme des randonneurs cherchent leur chemin, l’un est parti se renseigner auprès du restaurateur, l’autre me demande le renseignement. Il ajoute qu’il y a un beau point de vue sur la gauche à quelques centaines de mètres. Je bâche mon sac et lui dit que malheureusement je ne suis pas encore arrivée et j’aimerais bien le faire avant que l’orage n’éclate. C’est une obsession cet orage. A cet endroit le GR 532 balisage jaune rencontre le GR 5 balisage rouge. Nous quittons 532 balisage jaune et prenons le GR5 balisage rectangle rouge qui prend à droite, et nous fait 

faire un angle aigu. Nous passons une clôture, notre route devient sentier. Notre sentier reste à flanc de montagne, et descend même légèrement. J’aperçois mes deux randonneurs ayant retrouvé leur chemin et descendant dans la vallée. J’arrive au col de Rimbach 940 m d’altitude. C’est sur je ne suis plus loin. Le col est équipé d’un abri, des randonneurs attendent que la pluie s’arrête. Après un bonjour je poursuis ma route, je préfère marcher sous la pluie, que de perdre du temps à espérer une éclaircie. Je ne suis pas du tout sur le terrain que j’espérais et que j’avais imaginé. J’imaginais une crête, ou plutôt un plateau de chaume ou de ‘’gazon’’ enfin une longue prairie, ou même fatigué il est possible de bien marché. Je suis à flanc de colline rocheuse au milieu de la foret avec des montagnes et des vallées profondent tout autour de moi. Le sentier qui avec la fatigue me semble  difficile, avec des pièges, des cailloux, des racines, il y a même un platelage métallique. Et comme je suis fatigué les cailloux et racine on la mauvaise idée de pousser et de changer de place au moment ou je 
 passe… Je fais bien attention de ne pas buter sur tous ses obstacles, pour ne pas m’écraser le nez sur le sentier. Nous arrivons enfin à 1000 m d’altitude, on longe cette longue crête, et nous sommes à flanc de colline. Nous arrivons au col des Perches ou les sentiers GR 5- GR 531 balisage rectangle bleu et les sentiers locaux se croisent. Le local descend une pente vertigineuse vers le lac qui se trouve en contre bas, le GR 5 rectangle rouge part sur la gauche vers le Ballon d’Alsace qui se trouve à 2h30, le GR 531 vient de la pente vertigineuse de droite en direction du Gazon vert fait un angle aigu sur la droite (face au chemin d’où nous venons.) vers le rouge Gazon. Nous sommes à 1071 m d’altitude nous devons aller à 1086. La pluie à cessé, mais les nuages sont bas. Comme nous sommes en foret je ne vois pas le lac, je n’apprécie pas la vue sur le Gazon vert. Aller il faut repartir par le GR 531, face à nous le sentier n’est pas facile, je n’ai toujours pas mangé, il me semble que c’est ici qu’il y a un platelage métallique et un zone de rocher en dévers, facile à passer, rien à voir avec ce matin, mais avec l’épuisement il faut bien faire attention. 
Ouf, j’arrive à l’hôtel. Je suis très surpris ne pensent pas être dans ce paysage. Il est perdu au milieu de la montagne. Il semble être assis sur une colline étêté coincé entre la Tête du Rouge Gazon et des Têtes des Perches, avec les nuages qui montent de la vallée de gauche et descendent dans la vallée de droite, cela fait un peu lugubre. Je suis bien accueilli à l’hôtel c’est bien la première que l’on me demande si mon trajet c’est bien passé. Je raconte ma crainte de l’orage, sur le parking il me semble qu’il y a beaucoup de mares d’eau. La restauratrice me dit l’orage n’a pas passé la montagne, nous n’aurons que de la pluie. En effet trente minutes plus tard une pluie battante, puis le brouillard, puis le soleil et de nouveau le brouillard.

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Randonnée Le Plus Loin Possible GR 531 & 5 Etape 76 Le Hohneck (Smarguth) -Le Markstein


Randonnée Le Plus Loin Possible 2018  Etape 76  Le Hohneck (Smarguth) -
Le Markstein


Je n’ai pas de chance avec les Vosges, le mois dernier c’est mon GPS qui me lâche, ce mois ci c’est mon téléphone et les 300 commentaires sur cette semaine de rando. Je suis dans l’impossibilité de vous décrire les petits détails de mon itinéraire. Vous trouverez dans l'article "Colmar" l'explication des divers signes, logos et couleurs utilisés par le club vosgien pour baliser leur sentiers. Dans les Vosges vous ne retrouverez pas la trace des GR sur les cartes IGN, sur le terrain vous ne retrouverez pas non plus le classique balisage Rouge et Blanc que l'on retrouve dans toute la France.

 
Le code mobile de cette randonnée est b311590
 
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mardi 28 aout 2018

Smargult- Le Markstein 

 (Dans l'article Colmar vous trouverez à quoi correspond les cercles, les ronds, les rectangles, triangles et autres signes de couleur que l'on rencontre sur le parcours.)

km     arret     temps    V/d    V/g    dénivelé    alti max
26      6:00      1:45      4,4     3,4       1026         1285

Attention c'est une étape technique. Il faut faire très attention, ou l'on met les pieds.
 Il faut être sûr de ses jambes. Il faut être sûr de ses chaussures.
Pour les parisiens il serait bon de faire quelque fois les milles (sentier des 25 bosses) Mais attention en suivant le balisage, sans éviter les rochers. S'entraîner à garder l'équilibre en sautant de rocher en rocher. 

 
Le départ se fait depuis ma ferme auberge mais il y en aura trois sur notre parcours plus l'hôtel au sommet du Hohneck. On a donc le choix du couchage.
Je prends la petite route décernant l'hôtel et poursuit ma route balisé de ronds bleu. Nous abandonnons le balisage des qu’il se dirige vers le barrage du lac de la Lande se trouvant un peu plus bas. Poursuivons le bitume et débouchons sur la route des hautes Chaumes, que nous prenons à gauche, après la courbe, nous rencontrons la D 430 que nous prenons à droite jusqu'à la ferme auberge de Breitsouze. Passons devant l’établissement et prenons juste après la route privé, je dirais plutôt un très beau chemin carrossable, sur la gauche menant à la ferme auberge de Kastelbergwasen. Sur cette route, nous rencontrons des balisages 

locaux dont le Gr 531 qui poursuit sa trace en empruntant le chemin carrossable. Nous arrivons à la ferme auberge, traversons le parking, puis descendons vers l'entrée, nous trouvons sur la gauche un sentier et le balisage bleu. Passons un tourniquet, le sentier est à flanc de montagne et l'on découvre en contre bas une belle vallée. C’est la vallée du Langenwasen. Remarquer la petite église, on la voit bien, les murs sont blanc relevés par des angles de grès rouge, ce qui la rend un peu austère. Un peu carré. Regardez la bien et notez l'heure à laquelle vous la voyez. Après un bois nous arrivons aux chalets de Kebholz. C’est ici ou les ennuis commencent. Le SPITZKOEPFE "
: tout un symbole, dans un seul et unique nom !! Sur la carte il y a bien des chemins qui évitent le secteur du Spifzkoepfe, mais ne sont ils pas pires que le chemin aménagé. Attention, je ne veux pas vous faire peur, j’y suis passé avec mon sac de 14 kg sur le dos… Ai- eu de la chance ? Les rochers étaient secs malgré la pluie d’hier. Il vaut mieux le savoir avant de partir (je ne le savais pas, et si j’avais su… Aurais-je pris le risque ?) Je marche seul, et je ne suis pas un risque tout, je ne souhaite pas faire appel au secours pour avoir pris un risque. D’un autre coté je n’achète pas de topo guide et lorsque je regarde la carte je n’ai qu’un pierrier à 

passer. Le GR 5 faisant les crêtes en passant par le Petit Hohneck puis descendant vers le lac de Schiessrothried est peut être un peut plus praticable… Si vous passez par le 531 vous prenez un risque en toute connaissance de cause. Je ne puis être responsable, en cas d'accident, je vous ai prévenu et donner une autre solution.  Voici ce que l’on trouve sur internet et qui corrobore avec mon impression. [Située au sud du Hohneck et au nord-est du Kastelberg, elle fait office de séparation entre les cirques du Worsmpel au nord et de l'Ammelthal au sud. La traversée des Spitzkoepfe peut se faire en empruntant un sentier non balisé (Je pense qu’ici il parle des traits sur la 
carte situé en limite des rochers) qui longe le flanc nord-est de l'arête sur une grande partie du parcours ou en passant par l'arête rocheuse, ce qui nécessite alors du matériel d'escalade. La traversée reste cependant assez difficile et on dénombre plusieurs accidents mortels. Wikipédia. Si vous restez sur les crêtes du Hohneck ne pas se tromper de chemin et rester su le GR 5. fuyez le triangle bleu.] Nous voilà prévenu. Même si cela s’adresse plutôt aux grimpeurs, voici le récit d’un alpiniste. Il s'agit en fait, d'une monumentale crête rocheuse, en granit gris, dans le prestigieux massif du Hohneck (altitude maximale : 1366 mètres). Longue de 1200 mètres et haute de 120 mètres (dans sa plus grande hauteur, paroi Sud !), la crête des Spitzkoepfe constitue un site naturel et sauvage de choix, pour les 

grimpeurs aventuriers et aguerris, mais également, pour les (rares !) randonneurs, amateurs de sensations très fortes et de crapahutage difficile !
Le site des Spitzkoepfe est localisé au Sud du dôme du Hohneck et de la sauvage combe du Wormspel (qui en son fond, contient le joli lac du Schiessrothried, altitude 930 mètres). Occupant l'angle Nord-Est du grand massif du Kastelberg (1350 m), les Spitzkoepfe s'élancent vers les cieux en sept arêtes alignées, dont celles étant les plus proches de la vallée sont les plus hautes et les plus spectaculaires ! La falaise Sud arbore une hauteur totale absolument terrifiante, avec quelque 120 
mètres, pour se finir, à sa base, par un énorme pierrier (attention, risques d'éboulements permanent, il y a déjà eu plusieurs morts, dans la pratique de l'escalade sur ce site ! ). Mais d'ici, les sentiers menant au pied des Spitzkoepfe sont beaucoup plus longs et difficiles, que si vous partez depuis le Hohneck ... Depuis le Hohneck, vous dégringolerez dans le sauvage vallon glaciaire du Wormspel, via le sentier balisé du triangle bleu, pour débouler au fond, sur les berges du lac du Schiessrothried. Depuis le Kastelbergwasen, par contre, il vous faudra tout d'abord rejoindre la chaume du Kerbholz (1073 m), puis d'ici, opter pour l'une des deux solutions envisageables : soit prendre l'accès direct et difficile par le GR531 (rectangle bleu), (c’est ici que se trouve les chalets ou je marque une pose pour réfléchir) via l'humide et encaissé vallon glaciaire de l'Ammelthal impraticable en hiver ou par temps humide (zones de rochers glissants et aériens, de marécages cachés et de pierriers instables ! Le cheminement est très ardu, sportif, athlétique même, mais la beauté inouïe de la forêt de l'Ammelthal aura tôt fait de vous ensorceler et de vous enchanter ! Vos jambes seront mises à très rude épreuve, avec des passages périlleux et techniques, exigeant beaucoup de cran, de souplesse et d'équilibre 
(marches taillées, pointes métalliques, mains courantes, et pire encore, pas moins de deux énormes pierriers : pour ceci, fiez-vous bien aux marques peintes sur certains rochers-éboulis (ils sont signalés d'un rectangle rouge et vous montreront le meilleur chemin à suivre, dans ce dédale de pierres granitiques instables, mortelles ... ). Regardez toujours bien où vous mettez vos pieds et ne traînez pas trop, en vous aventurant dans de tels environnements : les risques d'éboulements et même d'avalanches (en hiver, le sentier est interdit, fort heureusement !!! ), sont omniprésents et il y a déjà eu plusieurs morts, dans ce secteur du massif du Hohneck et du Kastelberg ... Personnellement, je vous 
déconseille fortement, de vous aventurer ici avec de jeunes enfants : leurs survies en dépendront beaucoup et vous seul serez responsable de vos actes ! http://vosges-palatinat.over-blog.com/article-hautes-vosges-spitzkoepfe-alt-1240-m-01-83022448.html] Voilà c’est écrit par un spécialiste, je n’ai pris que les extraies de la marche d’approche. Il est vrai que je ne pensais pas trouver cela dans les Vosges. Il me semblait que seul le dénivelé journalier était problématique pour le randonneur de plaine que je suis.
Vous connaissez les risques, je vous ai donnée un autre itinéraire, je ne puis être responsable en cas daccident. Revenons à l’itinéraire.
Le balisage tourne à quatre vingt dix degrés à gauche. Une pancarte nous indique chemin dangereux risque de chutes de pierre, mais il n'y a pas que cela, il est dangereux tout cour, et heureusement qu'il est aménagé par des filins en guises de rampe, des cales pieds en tôle sur des rochers trop en dévers, il faut passer sur
des rochers et de rochers en rochers qui parfois brandouilles un peu et il ne faut pas perdre l'équilibre. Je n'écris pas cela pour que vous fassiez demi tour mais  
soyer sur de vos chaussures et de vos jambes.  La foret est belle mais je n’ai pas trop eu le loisir de l’apprécier. Peut être une prochaine fois. Je pense même qu'il est très dangereux par temps de pluie. Il vaut mieux le savoir avant. Peut être que le Gr 5 est plus simple, mais de mon gîte il faut remonter sur le Honneick. Enfin si je m’étais renseigné, je ne serais certainement pas passé par là. Une partie de l’itinéraire se fait dans une belle foret de hêtres, puis cela commence à ce compliquer, nous trouvons des rampes en tube fixé au rocher, des lisses de survie nous aident à franchir des rochers ou des passages en aplomb. On à de quoi se tenir et de quoi poser le pied, parfois grâce a des aménagements. Il faut être sur de soit. A un moment des fiches sont plantées dans le rocher avec le vide en 
Les aiguilles dans les nuages
 dessous. Ce n’est que quatre pas mais je me suis bien demandé qu'elle était le pied qu’il fallait mettre en premier...J’ai fait plusieurs essaies, sans me lancer. J’ai même étudié une autre solution par un coté terreux sur le coté des rochers. Mon ange gardien m’a dit ; c’est la mauvaise solution… J’en suis revenu aux fiches plantées part le club vosgien. 
 
















 
Pied gauche, pied droit, faut ce lancer. Un conseil serrer votre sac à dos le plus possible, qu’il face corps avec vous, il faut tout de même être libre de ses mouvements et pouvoir respirer librement. Notre calvaire n'est pas fini il faut traverser le pierrier, alors ce ne  
sont pas les pierriers des Alpes avec ses petits galets qui roulent à chaque pas, ce sont de gros cailloux, certain un peu bancale, d'autres pointus, il faut juste être sur ou vous posez le pied. Ne pas rester sous cette paroi abrupt on est prévenu dès l’entrée il y a risque de chutes de pierres.
     
     


 

  
Après ce premier passage difficile nous sommes récompensés par un belvédère, ou on aperçoit en contre bas le tout petit lac de Fischboedle dans cette vallée très fermé.Je tiens à vous dire que l'on n’avance pas trop vite sur ce parcours. Nous arrivons au lac barrage de Schiessrothried. [C’est un petit lac du versant alsacien des Vosges, d'origine glaciaire. Ses eaux rejoignent la Fecht par un petit affluent gauche, le Wormsabachrunz. Au pied du Hohneck, il n'était à l'origine qu'une tourbière surcreusée et devint réellement un lac par l'édification d'un petit barrage fort discret, ce qui fait croire 
 à beaucoup qu'il est d'origine naturelle. L'objectif du barrage était de réguler le flot des eaux vers les usines de textile et les scieries de la vallée de Munster, dont la plupart étaient alimentées en électricité de façon autonome. Ouvrage, construit dans les années 1887 à 1893 
sur le Wormsabachrunz, est de type barrage poids en remblais, constitué d’une digue composite en terre avec masque amont en maçonnerie. La hauteur maximale de l’ouvrage au-dessus du terrain naturel est de 12,50 mètres. La crête, située à l'altitude de 930 
mètres, a une longueur de 150 mètres et une épaisseur de 6 mètres. Wikipédia.] Nous rencontrons le Gr 5, et prenons à droite sans franchir le barrage, longeons le ruisseau du barrage. Le sentier descend en zigzaguant il n'est pas facile et l'on doit encore faire attention ou l'on doit mettre les pieds. Nous arrivons au second lac, [Le Fischboedle est un petit lac du versant alsacien des Vosges dans la vallée de la Wormsa. D'origine glaciaire, ce lac a été rehaussé vers 1850 par le manufacturier munstérien Jacques Hartmann pour servir de réserve à poissons, d’où son nom (fisch = poisson, boedle = bourbier ou dépression marécageuse). 
Il est traversé par le ruisseau Kaltenbrunnenrunz provenant du vallon de l'Ammelthal et affluent du Wormsabachrunz qui forme la cascade du Wasser-Felsen en amont du lac. Wikipédia] En réalité c'est le premier lac tout petit, que nous avons vu du belvédère. Nous prenons le large chemin sur la gauche permettant aux pêcheurs de venir en voiture. Nous passons une petite cascade et une drôle de borne en forme d’ogive. Ensuite nous quittons cette belle l'allée pour un sentier sur la droite. Encore un sentier un peu facile, car très caillouteux, encore des pierriers et de nombreux petits ponts en rondins (il me semble que c’est également ici qu’il y a des platelages métalliques, pas grand-chose, deux à trois 
mètres de long.) J’ai rencontré dans cet endroit des randonneurs totalement épuisés se rendant au lac. Je n’ai pas mis d’esse à lac, parce qu’ils mon demandés s’il était encore loin et à ma réponse ils mon dit le premier suffira et y a-t-il un autre chemin ? Heureusement qu’au premier lac un pécheur aura put leur donner ce renseignement. Le chemin n’est pas facile mais n’a rien à voir avec ce que nous avons déjà fait. Enfin nous débouchons sur une bonne allée forestière que nous prenons à droite, vers la premier maison nous n'aurions fait que 8 km en un peut moins de trois heures. Ce qui montre que le chemin n’est pas facile. Nous débouchons sur un autre chemin formant Té. Nous prenons à droite, c'est une route carrossable nous arrivons à Mittlach, par le chemin de la Wormsa longeons  
la rivière de la Fecht et débouchons dans la rue principale (Rue Erbersch) que nous prenons à gauche, traversons la rivière, nous rencontrons la D106que nous prenons à droite (Rue Raymond Poincaré) et passons devant une église. Elle ne vous rappelle rien cette église ?  Souvenez vous tout a l’heure, la haut à la ferme Katelbergwasen, hé oui, c'est la même. Lorsque l’on se retourne 
on se dit mais ce n’est pas possible d’être parti de là haut. Poursuivons la départemental, coupons la rivière. Nous passons le parking. A la sortie du village, le Gr 5 prend un sentier sur la droite et monte dans la foret en direction du Herrenberg. Au départ la monté est tranquille nous sommes au milieu du parcours sportif avec quelques sculptures sur souches, et quelques pancartes botaniques sur les arbres environnant. Nous coupons une route, le sentier devient de plus en plus raide et serpente sur la face sud de la montagne. Notre sentier débouche sur une allée forestière que nous prenons à droite, puis poursuivons le sentier partant sur la gauche. Nous serpentons 

toujours, retrouvons notre allée forestière que nous coupons pour suivre notre sentier en face qui grimpe en serpentant fortement. Nous débouchons sur un espèce de plateau crée par le virage de la route formant une esplanade avec un banc et un point de vue magnifique sur la vallée de Mittlach et peut être même jusqu'a Munster. C'est magnifique. Laissons un chemin sur la droite poursuivons l’allée forestière que nous prenons tout droit (notre sentier débouche dans un virage) nous rencontrons une autre route forestière arrivant en angle fermé sur 
notre droite poursuivons tout droit et à la fourche, nous prenons à droite et on continue de grimper doucement. Le chemin continue de monter et débouche dans une prairie. Passons la clôture et l'on est bien content d'être arrivé en haut (ou presque). Traversons cette pâture ou le chemin n’est plus trop marqué. Nous longeons en remontant sur la gauche les fils de fer barbelés. La sortie de la prairie se fait par un tourniquet et prenons la route carrossable sur la gauche. Il y a un point que je n'ai pas compris… Le Gr 5 s'en va sur la droite en direction des crêtes, la pancarte ne nous parle plus de "Huss". Ma trace monte encore, ne prend pas à droite, puis longe la route des crêtes par la gauche. C'est un gros dilemme, je suis fatigué il me reste encore pas mal de kilomètres à faire, je ne veux pas me rallonger non 
plus. Le GR5 partant dans le sens opposé à ma trace. Après réflexion et en regardant la carte, le GR 5 part bien sur la droite en direction de la ferme auberge de Huss (nom que nous avons sur toute les pancartes depuis Mittlach et qui disparaît lorsque l’on en a besoin. C’est à la ferme auberge que le GR tourne sur la gauche.) J’ai certainement coupé par des chemins bien tracés sur la carte pour raccourcir un peu afin de rejoindre mon gîte d’un soir sans trop de kilomètres. Vu ce que j’ai rencontré dans le SPITZKOEPFE je suis bien content d’avoir pris cette initiative devant mon ordinateur. Nous sommes dans les prairies, je décide de suivre ma trace, débouche sur une route ou normalement je devais prendre à 
droite, pour faire un angle aigu et revenir sur mes pas.  Face à moi un chemin existant sur la carte n'est pas clôturé sur le terrain, cela permet de couper la pointe, le seul inconvénient c’est que nous passons de 1224 m à 1272 m. Je poursuis donc tout droit ce chemin herbeux qui monte, on n’est plus à cela près. Je débouche sur un chemin et ma trace, je prends à gauche, on à retrouvé le Gr 5. Le chemin est plus facile que ce matin, et permet de marcher d'un pas assuré. Nous sommes sur les crêtes et le paysage est merveilleux à droite comme à gauche. Derrière le Hohneck on le reconnaît grâce à l'hôtel en son sommet. On se rend compte du chemin parcouru. Nous passons le col d'Hahnenbrunnen et sa ferme auberge, traversons le parking et le chemin part sur 

la gauche après avoir franchi une clôture. Nous longeons la route tout en grimpant, coupons la D 27, poursuivons tout droit. Depuis un petit moment nous apercevons le Grand Ballon et les pancartes nous le mettent à environs quatre heures. Sur ce parcours, le Gr longe la route et je rencontre beaucoup de randonneurs à la journée ou simple de touriste, non équipé profitant du paysage.  Les prairies sont douce et nous avons également le club de modélisme et leur planeurs. Passons la colline d'apprentissage au parachute ascensionnel et me voilà arrivée. Impossible de louper mon gîte, il y a une grosse bulle faisant bar et brasserie sur le parking en bordure de la route des crêtes.

Le plus des photos

Elles ne rentraies pas dans le texte









Du coté de la ferme auberge de Kastelbergwasen.
un fauteuil pour admirer la vallée
                        


C'est de ce point que le chemin commence à être compliqué. Au début on y croit pas trop sauf pour les rochers risquant de ce détacher



On ne voit pas très bien sur la photo de droite, sur place on se rend bien compte que la montagne est déchiré... Que la vallée est profonde et l'on se demande bien ou l'on va passer



Le sentier est un peu moins visible
















Ce monument annonce le Belvédère


Du belvédère lorsque l'on aperçoit les chalets de Kebholz nos ennuies sont terminés



















Les lacs






Le ruisseau et ses cascades
        

Le second lac




























 
Une fois arrivée à ce panneau sans avoir eu de problèmes on est bien content, mais faut-il remercier l'ouverture du sentier aux randonneurs ..?
 















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