Saint Brévin les Pins ; Selon la légende, au temps des Druides, la commune s’appelait
Pontoise. Durant la révolution elle devient Union, et enfin Saint Brevin, nom
qu’elle doit à l’archevêque de Canterbury « St Bregwin ». Les
premières références remontent au Moyen Age, l’époque d’un village
d’agriculteurs, de pêcheurs et de marins. Au début du 19e siècle, de
somptueuses villas sont construites de part et d’autre du territoire de la
commune telle : Le Château de la Fouilleuse, le Manoir du Pointeau… En 1810, le
cadastre, nouvellement créé, permet d’attribuer 664 hectares de dunes à la
commune. En 1859, les terrains sont vendus aux enchères à des notables nantais
et paimblotins, avec l’obligation de planter des pins maritimes pour stabiliser
la dune. Les plantations débutent vers 1860. Il faut une vingtaine d’année pour
que les plants deviennent de beaux arbres qui fixent la dune et changent
l’aspect du paysage. Quelques villas et pavillons de chasse voient le jour. La
dizaine de propriétaires, qui se partage le domaine, va créer la station
balnéaire de Saint-Brevin l’Océan. Vers 1881, on construit le casino de la
plage, des hôtels et des pensions de famille. Toute la seconde moitié du 19e
siècle voit le tourisme et les vacances balnéaires modifier bien des aspects de
la vie économique et sociale. Le site brévinois est idéal, fort bien desservi
par le chemin de fer, avec les gares de Paimboeuf, Pornic et Saint-Nazaire.
Toutes les conditions sont réunies pour faire de cette station un site
touristique moderne avec, lacs, domaine de chasse, commerces divers. Sans
oublier la vie religieuse avec la construction de la Chapelle Saint-Louis en
1889. La ville est fréquentée par une clientèle élégante à laquelle on offre de
nombreuses distractions. L’air marin, tamisé par les pins, est très apprécié et
recommandé par les médecins. Les étendues du quartier sud de la commune,
autrefois désertiques, sont recouvertes d’une magnifique parure sylvestre.
C’est ainsi qu’en 1899 la ville change son nom de Saint-Brevin pour devenir
Saint-Brevin-les-Pins. Nature et culture sont étroitement liées à
Saint-Brevin-les-Pins. Les mégalithes, l’église du 11e siècle, le Musée de la
Marine installé dans un ancien fort, ou la porte du Lazaret sont les témoins de
l’histoire de notre
commune. La gratuité du pont en 1995 facilite les échanges
entre le Nord et le Sud. Les entreprises s’implantent, l’immobilier se
développe. Saint-Brevin-les-Pins est une ville du bord de mer, vivante et
animée toute l’année, avec plus de 14 000 habitants (14 099 au dernier
recensement pour être précis) ; et c’est aussi une station touristique de la
Côte de Jade, réputée et très fréquentée, pouvant accueillir jusqu’à trois fois
plus de personnes en période estivale. Notre commune bénéficie d’un
environnement remarquable que nous avons su préserver et qui participe de son
attrait : la seule forêt dunaire de Loire-Atlantique, des dunes boisées,
et des rives de Loire au charme discret ; des sentiers côtiers très prisés
pour se promener et profiter du littoral ; huit kilomètres de plages de
sable fin, entretenues pour permettre la baignade, la pratique de sports
nautiques particulièrement développés dans notre ville avec notamment un
« spot » de kite surf reconnu mais aussi le char à voile, la planche
à voile, le cerf-volant… et bien entendu les Pins –on en compte près de
100 000. Saint-Brevin est aussi une ville qui se développe, qui s’étend. https://www.saint-brevin.fr/histoire-de-saint-brevin/
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
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Octobre 2021
Km Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
Ou se trouve Saint Brévin les Pins ? là haut, tout en haut à la pointe de l’estuaire.
Pour si rendre
De Nantes : Prendre la D 213 (la route Bleu), en direction de
Saint Nazaire Sortir à Saint Brévins l’océan D 5, P. A. La Guerche. Au rond
point prendre la seconde Sortie Saint Brévin l’Océan. Au rond point suivant,
nous n’avons plus de direction sauf Casino, Hôtel SPA. Au rond point après le
pont Le Fief par le chemin (rue) du Fief, passons le camping, à la fourche on
laisse Odalys et le domaine de l’Océan sur la gauche, poursuivons à droite
notre route (chemin du fief). Au rond point avec le lampadaire prendre à gauche
l’avenue du Maréchal foch avec un terre plein central fleuri, nous entrons dans
Saint Brévin L’Océan et au rond point, prenons la direction du pointeau,
Casino, Base Nautique, Plages. Puis sur la droite le chemin sans issu de la
Marine en direction de Brévi’Art, la Casemate et Avipar. Nous trouvons un
parking au niveau du Jardin de la pointe du Pointeau
De Saint
Nazaire : Prendre la D 213 (la route Bleu), en direction de La Rochelle,
Roche sur Yon, Noirmoutier, Saint Brévin les Pins. Passez le pont de Saint
Nazaire, Sortir Saint Brévin Nord, Paimboeuf, Corsept, Saint Viaud. Prendre la
sortie D 5 Saint Brévin océan, Saint Père en Retz, Nantes. Au rond point
prenons centre ville, La Courance, Parc des Sports, Saint Brévin l’Océan. Passons
le stade au rond point prendre Saint Brévin l’Océan, Le Pointeau, prenons
l’avenue du Maréchal foch avec un terre plein central fleuri. Au rond point
avec le lampadaire prendre à gauche l’avenue du Maréchal foch avec un terre
plein central toujours fleuri, nous entrons dans Saint Brévin L’Océan et au
rond point, prenons la direction du pointeau, Casino, Base Nautique, Plages.
Puis sur la droite le chemin sans issu de la Marine en direction de Brévi’Art,
la Casemate et Avipar. Nous trouvons un parking au niveau du Jardin de la
pointe du Pointeau [site du Pointeau, ancien
lieu stratégique d'observation, et des vestiges de l'ancien mur de l'Atlantique
construit par les Allemands durant la Seconde Guerre Mondiale. https://www.saint-brevin.com/circuit-du-pointeau.html]. Poursuivons
le chemin de la marine jusqu’aux barrières. Nous arrivons au mur de
l’atlantique. [Saint-Brevin,
terre d'Histoire et gardienne de l'estuaire de la Loire depuis les Romains, est
richement pourvue en fortifications sur tout son territoire : motte féodale,
batteries de côte françaises du XIXème
et XXème siècles à Mindin et au
Pointeau, bunkers allemands du Mur de l'Atlantique.
Le Mur de l'Atlantique à Saint-Brevin, ce sont
227 bunkers de tous types, de toutes tailles, qui furent construits sur la
commune pendant la guerre, y compris sur son territoire rural ! Une densité
considérable qui a peu d'équivalent en France et en Europe. La casemate 105C
construit par les Allemands en 1943,
faisait partie d’un vaste dispositif défensif installé au Pointeau qui devait
protéger la base sous-marine de Saint-Nazaire des attaques des alliés. Avec 2 m
de béton armé pour les murs et la toiture et 80 cm pour les cloisons
intérieures, il a été bâti selon les normes classiques des fortifications
allemandes. Cette casemate a été restaurée dans son état originel de 1944,
jusque dans les moindres détails, par les membres de l’association. Une belle
initiative qui permet aux jeunes générations de découvrir un patrimoine enfoui
depuis plus de 50 ans. https://www.saint-brevin.com/la-casemate-105c.html]. Prenons le GR 8 sur la droite, passons la
barrière, quelques centaine de mètres plus loin, nous prenons à gauche un petit
sentier permettant de descendre sur la plage que j’appellerais plutôt un marais
[La Courance La petite roselière est apparue vers
la fin des années 1990, après le réaménagement de l’exutoire de la Courance et
les apports de sable plus au sud, vers la pointe du Pointeau. Elle s’étend
progressivement et se prolonge par une prairie marécageuse subhalophile,
temporairement inondée, qui laisse place à une mare allongée, à surface
variable. Elle est bordée d’une végétation plus ou moins diversifiée, d’une
hauteur de 30 à 80 cm. Au-delà s’étendent des massifs de salicornes joignant le
cordon dunaire. On peu y observer ne nombreuses
espèces d’oiseaux. Panneau
d’information]. Poursuivons le sentier piéton, passons le petit pont
situé avant le camping et longeons ce dernier. Poursuivons en bordure de l’anse
en faisant un crochet ou en empruntant les ponts surplombant l’accès aux plages.
Nous avons une vue sur le pont de Saint Nazaire mais surtout les chantiers de
l’atlantique, qui à mon époque construisaient les plus gros bateaux de
croisières. On apercevait les super structures de la rive. [Au-delà de la petite anse végétalisée, formée par la
courbe du ruisseau de la Courance, s’étend une zone de vasière qui s’assèchent
en surface sous la chaleur du soleil estival. On peut observer à l’extrémité du
cordon
dunaire sud du ruisseau, les Goélands argentés, souvent accompagnés des
Goélands bruns et marins, les sternes caugek, et pierregarin. On y trouve
également les Huitriers-pies. On peut les voir se nourrir à marée descendante
sur l’estran à la recherche de leur nourriture. Panneau d’information (L'estran,
zone de balancement des marées, zone de marnage, zone intertidale ou replat de
marée. partie du littoral située entre les limites extrêmes des plus hautes et des
plus basses marées. Il constitue un biotope
spécifique, qui peut abriter de nombreux sous-habitats naturels.
Il est découpé en trois étages, de haut en bas : l’étage supralittoral,
l’étage médiolittoral et
l’étage
infralittoral.
Wikipédia]. Poursuivons par la digue et observons l’anse de la courance [Depuis la fin du XXè siècle, l’anse de la Courance est
en constante évolution. L’apport de sable venant du sud par l’océan a contraint
le ruisseau de la Courance à modifier sans cesse son tracé, depuis son exutoire
jusqu’à la mer. La plage a laissé place à de larges zones végétalisées
partiellement immergées à marée haute. Un cordon dunaire s’est installé à
partir du Pointeau et continue de progresser vers le nord, protégeant d’autant
plus l’arrière-dune des assauts de l’océan. Plus au nord, des bancs de sable,
dont certains montrent des prémices de végétalisation, dessinent les futures
courbes de ce
milieu en perpétuel mouvement. Panneau d’information].
Nous arrivons à Mindin [Ancien port et quartier de la
commune de Saint-Brevin-les-Pins.
Pendant les études sur les projets de pont, il était clair pour tout le
monde que le pont prendrait tout naturellement le nom de pont de Mindin. Il
n’en fut rien : le préfet Paul Camous, (..) imposa le choix de Pont de
Saint-Nazaire. Mindin, à l’évidence, était trop breton, et faisait écho aux
nombreux menhirs du territoire de Saint-Brevin. — (Pont
de Saint-Nazaire ou pont de Mindin ?
sur lepeuplebreton.bzh, 1er octobre 2015)
wikipédia]. Comment faisait-on pour traverser
l’estuaire avant le pont [Ouest-France Modifié
le
24/09/2015 à 17h44.
La file est longue devant l’estacade métallique de Mindin, à
Saint-Brevin-les-Pins. Nous sommes dans les années soixante. Aucun pont à
l’horizon. Les gens se pressent pour filer « de l’autre côté de
l’eau », à Saint-Nazaire, comme on dit à l’époque. Ce sont, en majorité,
des ouvriers des chantiers, des écoliers ou des badauds… Mais il y a aussi,
parfois, des vedettes de la télévision naissante ou du cinéma. Alors que le
pont n’est encore qu’un projet, ils sont près de 400 000 piétons, en 1960, a
emprunté le bac. 125 000 véhicules à quatre roues, 260 000 à deux roues.
Depuis 1959, trois bacs amphidromes (Qui peut se déplacer
indifféremment en avant et en arrière, qui a un avant semblable à son arrière.)
ont pris la relève de l’ancienne flottille, qui datait du début du siècle
– le
service régulier ayant commencé en 1876 : le Saint-Brevin, le Saint-Gildas et la Duchesse Anne. Avec
un équipage de six personnes, ils peuvent transporter jusqu’à 96 voitures par
heure. Et fendre l’estuaire à une vitesse de dix nœuds. « Pendant
les trente minutes de traversée, on faisait des parties de cartes, d’autres
préparaient des manifestations. Pour les estivants, c’était une mini-croisière
où l’on pouvait observer la construction du France. Le bac,
c’était un grand rendez-vous. À Mindin, il n’y avait pas de salle de réunion
publique, le bac et sa continuité sur l’avenue en étaient les
substituts. » Malgré sa vitalité, le bac reste déficitaire
pour le Département. L’accroissement du trafic engendre
des dépenses sans cesse
accrues. Et ce transport ne permet pas de pérenniser le développement
économique du sud du département. Trop dépendant des aléas climatiques. A 22h, le 17 octobre 1975, le bac fait retentir sa dernière
sirène. Quelques heures plus tôt, le
capitaine de l’un des navires a inauguré à sa manière le pont. En venant de
Saint-Nazaire, il a fait un petit crochet avec son bateau pour passer sous la
partie centrale de l’ouvrage. Et revenir, ensuite, à son poste
d’accostage. 90 employés du service seront reclassés par la suite.
Que sont devenus les bacs ?
Après 99 ans
de bons et loyaux services, le Saint-Brevin, le Saint-Gildas et la Duchesse-Anne n’ont pas fini au cimetière des marins.
Ils ont été vendus pour poursuivre leur activité en Charente-Maritime. Si le Saint-Brevin
et le Saint-Gildas
ont fini il y a quelques années à la casse, Le Duchesse-Anne, quant à
lui, a assuré par la suite la liaison sur l’estuaire de la Gironde entre les
ports de Blaye (rive droite) et Lamarque (rive gauche). Et a été rebaptisé le Côtes de
Blaye. Aujourd’hui, on retrouve sa trace au Gabon. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/anniversaire-du-pont-de-saint-nazaire-comment-faisait-avant-le-pont-3712741]. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-nazaire-44600/anniversaire-du-pont-de-saint-nazaire-comment-faisait-avant-le-pont-3712741
(Le paquebot France (troisième du nom, rebaptisé Norway en 1979, puis Blue Lady en 2006) est un ancien paquebot transatlantique construit aux Chantiers de l'Atlantique, à Saint-Nazaire, où il est mis à
l'eau le 11 mai 1960 en présence du
président de la République française, le général de Gaulle. Avec ses
316 mètres de
long, il est pendant toute sa période d'activité le plus
long paquebot (navire à passagers) jamais construit au monde jusqu'au lancement
en 2004 du Queen
Mary 2, long
de 345 m (1 132 ft). Il est ainsi resté pendant 42 ans le plus grand
paquebot au monde, un record encore actif aujourd'hui. Symbole du prestige de
la France gaullienne, dont la fin de l'exploitation en France fut elle
symbolique de la crise des années 1970, il fut surnommé le « petit frère
du Normandie » par les
chantiers de l'Atlantique. Wikipédia). Nous arrivons en bout de la terre. On ne sait plus si c’est la Loire ou
la mer. Même le serpent ne sait plus ou il se trouve… suivant les marées nous
apercevons plus ou moins le squelette du dinosaure. [Oeuvre
d'art en plein air de l'exposition contemporaine Estuaire, le Serpent d'Océan
réalisé par l'artiste chinois Huang Yong Ping, apparaît au rythme des marées.Au
nord de Saint-Brevin sur la plage du Nez de Chien, à "la limite
transversale de la mer" (frontière entre espace fluvial et maritime),
surgit l'immense Serpent d'Océan de l'artiste chinois Huang Yong Ping dont le
squelette apparaît comme issu d'une fouille archéologique.
Son mouvement le rend vivant : on devine qu'il a traversé les mers pour venir
échouer sa gueule démesurée sur cette plage. La ligne de ses vertèbres joue
avec la courbe du pont de Saint-Nazaire, et la manière dont il se pose rappelle
l'architecture des carrelets, ces pêcheries typiques de la côte atlantique.
Positionné sur l'estran, le squelette apparaît au rythme de la marée, et
accueillera, peu à peu, faune et flore marines. En
2012, dans le cadre de la biennale d’art contemporain, Estuaire, du
Voyage à Nantes, Huang Yong Ping crée et imagine le Serpent d’océan (figure
emblématique de la mythologie chinoise). Situé sur l’estran, à la
pointe du Nez-de-Chien, le squelette du serpent aux 135
vertèbres, de 130 mètres de long, apparaît au rythme des marées.
Il fait aujourd’hui le bonheur de nombreux passants et touristes
qui aiment le prendre en photo et s’inventer des histoires. https://www.saint-brevin.com/le-serpent-d-ocean.html]. [Oeuvre
d'art en plein air de l'exposition contemporaine Estuaire, le Serpent d'Océan
réalisé par l'artiste chinois Huang Yong Ping, apparaît au rythme des marées. Au nord
de Saint-Brevin sur la plage du Nez de Chien, à "la limite transversale de
la mer" (frontière entre espace fluvial et maritime), surgit l'immense
Serpent d'Océan de l'artiste chinois Huang Yong Ping dont le squelette apparaît
comme issu d'une fouille archéologique.
Son mouvement le rend vivant : on devine qu'il a
traversé les mers pour venir échouer sa gueule démesurée sur cette plage.
La ligne de ses vertèbres joue avec la courbe du
pont de Saint-Nazaire, et la manière dont il se pose rappelle l'architecture
des carrelets, ces pêcheries typiques de la côte atlantique. Positionné sur
l'estran, le squelette apparaît au rythme de la marée, et accueillera, peu à
peu, faune et flore marines. En 2012, dans le cadre de la biennale d’art
contemporain, Estuaire, du Voyage à Nantes, Huang Yong Ping crée
et imagine le Serpent
d’océan (figure emblématique de
la mythologie chinoise).
Situé sur l’estran, à la pointe
du Nez-de-Chien, le squelette du serpent aux 135 vertèbres, de
130 mètres de long, apparaît au rythme des marées.
Il fait aujourd’hui le bonheur de
nombreux passants et touristes qui aiment le prendre en photo et
s’inventer des histoires.
Huang Yong Ping réalisa un nouveau serpent,
encore plus grand, dans la nef du Grand Palais, lors de
l’exposition « Monumenta », en 2016. https://www.saint-brevin.com/le-serpent-d-ocean.html]. Contournons le fort
et la cale séche du port de plaisance. [Ouest-France Modifié le
18/09/2014 à 04h38. le musée de la Marine est abrité dans un ancien fort
construit sous Napoléon III, en 1861. Celui-ci remplaçait le premier fort
construit en 1754 sur les plans de l'architecte Turgot. De 1861 à 1920, il a
été occupé notamment par des militaires chargés de surveiller les mouvements
des navires qui remontaient à Paimboeuf, sous-préfecture de la Loire
Inférieure. Lors de la Dernière guerre mondiale, ce fort fut occupé par les
Allemands qui enlevèrent le haut afin d'y installer leur batterie
anti-aérienne. Repris dans les années 70 par la commune de
Saint-Brevin-les-Pins, deux salles ont été ouvertes en 1983, après travaux,
pour accueillir ce musée qui présente de nombreuses maquettes. De plus, une
exposition temporaire honore en ce moment la Marine royale et nationale au
travers de fresques, textes, photos et maquettes. https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/saint-brevin-un-musee-dans-un-fort-de-1861-2839248]. Le pont de Saint Nazaire ou de
Mindin [Le pont de Saint-Nazaire est un pont multicâbles en
éventail qui enjambe l'estuaire
de la Loire et
relie la ville de Saint-Nazaire. L'appellation
« pont de Saint-Nazaire » est un nom d'usage proprement dit, car ce
pont n'a pas de nom officiel. L'ouvrage métallique haubané mesure
720 m ; l'ensemble des ouvrages, avec les viaducs d'accès,
représente une longueur totale de
3 356 m, ce qui fait du pont de Saint-Nazaire le plus long pont de France. Quand est lancé
un projet de pont, le franchissement de l'estuaire de la Loire entre le port de
Saint-Nazaire et
Mindin, lieu-dit au nord-ouest du territoire de Saint-Brevin-les-Pins, s'effectue au
moyen de trois bacs, le Saint-Brevin,
le Saint-Christophe et le Portland, sur un trajet ouest-est
d'environ quatre kilomètres. Ce service sera supprimé avec la mise en service
du pont ; un entrepreneur privé tentera quelque temps de faire survivre
cette liaison au moyen d'une vedette, mais renoncera vite par manque de
rentabilité. 
Pour pouvoir financer
le pont, son inscription au IVe plan quinquennal est proposée, mais refusée. Le conseil général de
la Loire-Atlantique doit donc recourir à un financement privé. Une société anonyme
d'économie mixte (SAEM) est créée, et une concession lui est alors
cédée, avec un terme prévu en 2010. Chaque année, le conseil général verse une
subvention (entre 5 et 21 millions de francs) à
l'organisme. Le 4 novembre 1971, la première pierre
de l'ouvrage est posée par Jacques Chaban-Delmas, alors Premier ministre. Les travaux commencent réellement en mars 1972. L'ouvrage ne sera mis en service qu'à l'automne
1975, mais la diffusion massive de cartes postales dans les commerces
des environs créent une confusion dans des esprits les mois qui précédent,
notamment ceux de touristes, nombreux sur les Côtes d'Amour et Jade. Sur le cliché du pont, encore en construction,
mais dont on voulait déjà éditer une vue en carte postale, manquait la partie
centrale du tablier : un graphiste
l'a habilement retouché, ajoutant la
section manquante, faisant ainsi croire à certains usagers, qui se présentent
aux extrémités du chantier, que le pont est déjà franchissable !
Après trois ans de construction, le pont est mis en service, le 18 octobre 1975, développant considérablement les échanges entre le nord et le sud de l'estuaire. Avec sa travée centrale de 404 m de largeur, le tablier métallique de 720 m détient, à sa construction et durant huit ans, le record mondial de portée pour un pont métallique haubané. Dès l'origine, la présence d'un péage pour franchir l'ouvrage suscite des oppositions. Le jour de l'inauguration, un millier de personnes bloquent l'accès. De ce fait, aucune personnalité ne procède à une cérémonie officielle. Mais en août 1975, quelques jours avant l’inauguration au public, deux éléphants du cirque Pinder viennent «tester » la solidité du pont en circulant dessus.
En 1991, le pont de Cheviré
est inauguré. Etant gratuit, ce nouvel ouvrage devient un concurrent pour le pont
de Saint-Nazaire, qui voit son trafic — et donc ses recettes —
baisser.
En 1992, le conseil général de la Loire-Atlantique prend le contrôle de la SAEM du pont de Saint-Nazaire, concessionnaire de la construction et de l'exploitation de l'ouvrage, en rachetant les 130 000 actions du privé, pour un montant de 104 millions de francs. Le 30 septembre 1994, le président du conseil général, Luc Dejoie, s'acquitte du dernier ticket de péage, pour la somme de dix francs. L'accès au pont devient à partir de cette date gratuit par suppression du péage, le 1er octobre 1994, seize ans avant la date prévue.
L'ouvrage est incorporé au patrimoine routier du conseil général de la Loire-Atlantique qui dorénavant en assure la gestion et l'entretien depuis le 1er août 1995.
L'ouvrage est
constitué de deux viaducs d'accès en béton précontraint de 1 115 m au
nord et de 1 521 m au sud, et d'un ouvrage principal métallique
haubané central de 720 m de long. Il est emprunté par la Route bleue.
Viaduc en béton de type VIPP :
2 Viaducs d'accès indépendants à poutres précontraintes (VIPP) :
22 Travées au nord et 30 travées au sud, de 50,70 mètres de portée ;
208 poutres précontraintes de 2,80 m de hauteur et de 190 tonnes ;
par 3 voies routières), et deux passages de services de 0,75 m ;
Une largeur de hourdis de 13,5 m entre garde-corps offrant 12 m de largeur roulable (utilisée
Des pentes longitudinales de 5,6 %.
Montage :
Fabrication au sol des poutres sur un chantier de préfabrication, puis
transport par camion fardier, et pose au moyen d'un lanceur métallique
permettant le ripage transversal.
Tablier métallique principal ;
Un caisson métallique haubané de 720 m de long et d'une hauteur de 3,20 m, en 3 travées de 158 m latérale, 404 m centrale et 158 m latérale, présentant une dalle orthotrope de 15 m de large ;
Un tirant d'air de 61 m au-dessus des plus basses eaux, sur 300 m de largeur ;
72 haubans, (de type câbles clos avec une gaine de câbles métalliques
torsadés autoserrante étanche à l'eau) de 4 nappes en éventails, fixés à deux
pylônes métalliques en V inversés, articulés en pied, et dont la tête se situe
sensiblement à 130 m au-dessus des plus basses eaux.
Montage :
Fabrication des deux tronçons de 96 m de chaque travée de rive, transportées par voie maritime depuis l'usine de Fos, en empruntant le détroit de Gibraltar ;
Assemblage sur deux barges de chaque travée de rive sur 192 m de longueur (avec porte-à-faux de 34 m en travée centrale) ;
Hissage du caisson assemblé et de chaque pylône couché, par crémaillères et vérins ;
Hissages successifs en travée centrale des tronçons de 16 m et mise en place et réglage à l'avancement des haubans ;
Clavage.
Les piles courantes (52, non compris 2 culées) sont constituées de deux fûts en forme de H de 3 m à 57 m de hauteur, reposant sur une semelle fondée sur quatre pieux de 1,80 m ou 1,50 m de diamètre.
Deux piles principales de part et d'autre du chenal, sont creuses et
formées de quatre cellules verticales fondées sur un groupe de 18 pieux de
diamètre 1,80 m.
L'ensemble des pieux en béton armé tubés et ancrés au rocher (environ 260) ont une longueur variable de 15 à 50 m.
Le béton des piles a été coulé au moyen de coffrages
glissants. Wikipédia]. Nous
arrivons à ce qui reste de l’ancien ponton, puis le sémaphore nous sommes place
Bougainville au niveau du parking. Nous n’irons pas plus loin aujourd’hui. En
face du bâtiment entre les deux parkings à bateaux, nous prenons à droite
l’avenue Raymond Poincaré en direction de Saint Nazaire, Paimboeuf. Nous
arrivons à un immense rond point avec deux triangles poursuivons tout droit
vers la Primais. Après le rond point nous trouvons sur la gauche l’impasse des
Roseaux c’est le passage pour se rendre au menhir de la pierre Gargentua que je
n’ai pas trouvé. Je me suis embourbé dans le marais situé devant. Les roseaux
étaient coupés et je me suis égaré, je n’ai pas poussé suffisamment loin mais
j’avais déjà de l’eau jusqu’au cheville. Ma trace est certainement trop à
gauche. Poursuivons notre avenue jusqu’au rond point suivant, prenons à gauche
en direction de La Prinais et La Mercellerie, passons sous le pont de la route
Bleu, nous sommes sur un balisage jaune. De l’autre coté, nous trouvons la
route de décélération en provenance de la D 213, passons la barrière et prenons
le chemin carrossable situé derrière le bitume. L’allée forme une boucle en
longeant un fossé pouvant contenir de l’eau, le balisage jaune passe par la
gauche, pour le contredire j’ai pris à droite, après la boucle je rencontre le
balisage que je prends à droite, après le parc arboré et un petit pont de bois
facilitant le passage d’un fossé, nous traversons la rue (avenue de l’étoile
polaire) poursuivons en face le sentier dans une bande de terre gazonnée et
arboré entre deux haies de jardins du quartier résidentiel de la Gilardière.
Nous débouchons sur un chemin carrossable, faisons un esse gauche- droite, pour
nous rendre au menhir du Plessis Gamat par un petit sentier [Le menhir datant du Néolithique est constitué d'une
dalle en
grès riche en quartz qui mesure 2,60 m
de hauteur pour une largeur à la base de 1,25 m et une épaisseur de
0,35 à 0,50 m2.
Il est également connu sous les noms de Menhir du Quarteron de la Masure et de
Menhir de Gamet. La légende veut que l'on déconseillât de s'en approcher à
minuit par pleine lune pour ne pas troubler les rondes des lutins, des
korrigans et ne pas être pris à partie par les fées. https://www.tripori.com/menhir-du-plessis-gamat-PCUUMENHIRPLESSISGAMAT/]. Revenons
sur nos pas quittons le balisage jaune et prenons sur la gauche le chemin, nous
longeons quelques maisons et débouchons sur le chemin bitumé du Plessis face au
château d’eau, prenons à droite, puis le chemin de gauche le long de la clôture
du réservoir. Le chemin serpente derrière les jardins du quartier résidentiel,
nous débouchons chemin du Grand Ruau. Laissons un chemin sur la gauche, nous
sommes dans le quartier ou l’ancien Hameau du Grand Ruau. La Rue fait fourche
prenons à
gauche. Traversons le hameau, et au carrefour prenons à droite
l’Avenue du Pont Renaud. Traversons le quartier ou le hameau tout neuf du Pont
Renaud, passons sous le pont. Notre rue change de nom et devient Rue Albert
Chassagne nous retrouvons le vieux Saint Brévin les Pins. Au rond point
poursuivons tout droit, nous arrivons sur la place du village poursuivons tout
droit la rue Chassagne, des immeubles modernes et un peu plus anciens (peut
être les années 1960) bordent la petite rue ressemant pavée, certainement pour
faire plus ancien dans cette station balnéaire. Au rond point poursuivons tout
droit jusqu’à la place de la Victoire. Prenons la rue de l’église et arrêtons-nous
devant ce bâtiment en pierre. [église de style roman datant dans sa partie la plus
ancienne du XIème siècle (chœur et clocher). De style roman, l'église de
Saint-Brevin-les-Pins appartient à la paroisse Saint-Nicolas de l'Estuaire.
Elle fut largement rénovée au XVIIème siècle, et restaurée au début du XXème
siècle. On peut y admirer le remarquable retable de 1661, la statue de
Saint-Brevin et celle
de Saint-Roch. La paroisse est dédiée à Bregwin, Saint
Archevêque de Canterbury qui a donné son nom à la ville. https://www.saint-brevin.com/eglise-paroissiale-st-nicolas-de-l-estuaire.html]. Au carrefour avec l’office
de tourisme nous prenons à gauche l’avenue Jules Verne. Passons quelques
bâtiments de deux ou trois étages remplaçant certainement de petites maisons
saisonnières ou de pêcheurs. Nous débouchons avenue de la Michelière, que nous
prenons à gauche. Au carrefour prenons à droite l’avenue du Maréchal Foch en
direction de Saint Brévin l’Océan, nous arrivons au carrefour avec les
Avenues
Rialan et Turbe, poursuivons tout droit l’avenue du Maréchal Foch. Au rond
point de Santomera arboré de trois arbres, poursuivons à droite Saint Brévin
l’Océan, Le Pointeau, le rond point et l’avenue sont très fleuries. Nous
longeons le camping de la Courance, coupons l’allée sans issu du Béa, puis des
Algues, passons un rond point avec un lampadaire en son milieu. Dans le virage
de l’avenue nous trouvons après la piste cyclable une fourche avec l’allée
sablonneuse du Pointeau sans issu et l’allée bitumée de Stéfani, prenons
l’allée sablonneuse. Nous entrons dans le parc du pointeau, le chemin fait
fourche poursuivons à gauche, nous débouchons sur une allée formant Té prenons
à droite, au carrefour prenons à gauche, nous ressortons du parc, chemin de la
marine et retrouvons notre parking.
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