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V/d
9 2h30 4,5
Moi qui n’aime pas la
ville, je programme quelques promenades dans Paris. Ne vous attendez pas à des
visites insolites, Beaucoup d’organismes proposent ce genre de promenades.
Comme à mon habitude je me promène dans les rues comme je le fais sur les
chemins et fixe sur le support informatique ce qui me semble curieux. Je loupe
certainement beaucoup de choses surtout à Paris…
Mon départ se fait à
Denfert Rochereau [Pierre Philippe
Denfert-Rochereau, né à Saint-Maixent-l'École le 11 janvier 1823
et mort à Versailles le 11 mai 1878.
Officier supérieur et député français. Il est célèbre pour avoir dirigé la défense de Belfort durant la guerre franco-allemande de 1870, ce qui lui a valu
le surnom de « Lion de Belfort ». Nommé
gouverneur de la place de Belfort en 1870, il est confronté
dès novembre 1870 à l'attaque puis au siège des armées allemandes, menées par le
général prussien August von Werder. Il mène alors
avec sa garnison de 15 000 hommes et la population de la ville une
résistance héroïque de cent trois jours, contre les 40 000 soldats de
Werder. Ce n'est que le 18 février 1871, sur un ordre du
gouvernement de la Défense nationale, présidé par Louis Adolphe
Thiers, qu'il
accepte de quitter librement et invaincu Belfort avec ses troupes et ses armes,
évitant ainsi l'humiliation d'une défaite. Suite sur wikipédia] Je sors de la gare du RER coté
avenue René Coty remonte la rue par la droite pour regarder de loin la
reproduction du lion de Belfort situé au milieu du carrefour [Statue réalisée par Bartholdi, réplique
en bronze à
l'échelle 1/3 du Lion de Belfort, rappelle son souvenir. wikipédia] Je descends le boulevard Saint
Jacques le long du métro sortant de son tunnel pour
prendre un peu l’air. Après
le bloc d’immeuble prenons sur la droite la rue de La Tombe Issoire, passons
sous les voies du RER et nous débouchons avenue René Coty que nous prenons à
gauche. Belle avenue arborée avec une petite allée centrale entre les arbres
(Allée Samuel Beckett). J’y rencontre mes premiers Parisiens. Coupons la rue
d’Alésia. Dans le haut de la rue derrière un grand mur un talus de verdure
c’est le réservoir de la vanne. [Le réservoir de
Montsouris, nommé parfois réservoir de la Vanne. l'un des cinq principaux réservoirs
d'eau de la ville de Paris. achevé en 1873,
pour l'alimentation en eau de toute la partie sud de la ville. Le réservoir de
Montsouris recueille et stocke l'eau venant de la Vanne à Fontvannes dans l'Aube et des rivières Voulzie et Lunain dans les régions
de Provins et de Fontainebleau en Seine-et-Marne
. Construit sous le
couvert d'une butte plantée de gazon (trois hectares de pelouse), pour
maintenir fraicheur et humidité – l'eau est ainsi maintenue à température
constante de 12 °C –, s'étendent deux séries de deux réservoirs superposés
et de capacités différentes. Les deux réservoirs supérieurs, qui reçoivent et
distribuent l'eau, ont une profondeur de 3,30 m (avec 4 m sous voûte)
pour plus de 5 m (avec 7 m sous voûte) pour les réservoirs inférieurs
destinés au stockage.
stockage de
202 000 m3, ce qui représente un peu plus du tiers
théorique de la consommation quotidienne des habitants de Paris (qui est
d'environ 550 000 m3 pour 1,1 million de m3 de
capacité de stockage total). Il approvisionne en eau 20 % des Parisiens.
Construit sous le couvert d'une butte plantée de gazon (trois hectares de
pelouse), pour maintenir fraicheur et humidité – l'eau est ainsi maintenue à
température constante de 12 °C –, s'étendent deux séries de deux
réservoirs superposés et de capacités différentes. Les deux réservoirs
supérieurs, qui reçoivent et distribuent l'eau, ont une profondeur de
3,30 m (avec 4 m sous voûte) pour plus de 5 m (avec 7 m
sous voûte) pour les réservoirs inférieurs destinés au stockage. D'une longueur
de 265 m pour une largeur de 135 m (pour une surface totale des
quatre bassins de deux réservoirs de 60 000 m2), il a en
2014 une capacité de stockage de 202 000 m3, ce qui
représente un peu plus du tiers théorique de la consommation quotidienne des
habitants de Paris (qui est d'environ 550 000 m3 pour 1,1
million
de m3 de capacité de stockage total). Il approvisionne en
eau 20 % des Parisiens. Wikipédia (Ce réservoir me donna une idée de promenade,
des randos de la source au réservoir qui deviendra de la Vanne à la Dhuys. Le
réservoir y sera un peut mieux décrit.) Coupons l’avenue de Reille et
entrons dans le parc Montsouris [Ce parc à l'anglaise aménagé à la fin
du XIXe siècle s'étend sur 15 hectares. Il abrite un
grand nombre d'espèces d'oiseaux. Il y est planté
de nombreux arbres. Les panneaux d'informations précisent que le parc doit son
nom aux nombreux rongeurs qui s'étaient multipliés le long des moulins de la
Bièvre. Le parc Montsouris est imaginé au Second Empire dans le cadre d'un
projet destiné à offrir aux Parisiens des espaces verts aux quatre points cardinaux de Paris : bois de Boulogne à l'ouest, parc des Buttes-Chaumont au nord, bois de Vincennes à l'est, et parc
Montsouris au sud. Haussmann décide de sa construction en 1860, et confie sa
réalisation à l'ingénieur Alphand. Le site choisi se
situe sur les anciennes carrières désaffectées de
Montsouris. L'aménagement de ces carrières posa de multiples problèmes. Ce lieu
avait été utilisé pour y transférer et y ensevelir les 813 tombereaux d’ossements que
l'on avait dû retirer du cimetière
des Innocents lors
de sa fermeture définitive. Mis en chantier en 1867, les travaux dureront
jusqu'en 1878. Le parc est malgré tout sera inauguré en 1869. Le lac artificiel
était alimenté à l'époque par l'aqueduc d'Arcueil (eau de la Vanne). Une légende
veut que le jour de l'inauguration, le lac artificiel se soit vidé et qu'un
ingénieur qui avait supervisé sa construction se soit suicidé. Il semble que le
lac se soit
effectivement vidé une nuit de mai 1878. La construction de la
ligne de Ceinture sud (pas encore « petite » puisque la
« grande » n'existait pas) fut réalisée en tranchée, conjointement
avec l'aménagement du parc en 1866-1867. Cette tranchée, dite tranchée Alphand
fut même citée dans le monde entier comme modèle d'intégration paysagère. Quant
à la ligne
de Sceaux, qui
était à l'origine en surface, elle fut mise en tranchée au début des années
1930-1931 et sera incorporée en 1977 dans le réseau
express régional (RER
ligne B). Autrefois parc de prédilection du centre hospitalier Sainte-Anne, ce parc n'est
désormais plus accessible aux patients de l'hôpital, qui bénéficient d'un parc
fermé dans l'hôpital même. Le parc Montsouris est aujourd'hui un jardin public.
Suite dans wikipédia] Passons l’entrée et
prenons la première allée sur la gauche (allée de la Vanne) passons sous le
pont métallique du RER. Nous arrivons au lac et prenons la première allée sur
la droite (sentier du bord de l’eau) allée gravillonnée. En bout je ne me dirige pas vers la grande
allée je prends sur la droite la sent d’Argent, nous revenons sur
nos pas,
débouchons sur une nouvelle allée formant Té avec la notre et prenons la sent
de gauche. Laissons les escaliers sur la droite, nous arrivons à un carrefour
de sentier et prenons celle de droite remontant vers la tranchée Alphand du
RER. Nous débouchons allée de la Mire que nous prenons à droite puis la sent de
gauche à l’intersection la sente de droite, nous sortons du parc Boulevard
Jourdain. Devant la cité Universitaire. Poursuivons
sur la gauche le Bd Jourdan par la gauche, nous arrivons à la porte de
Gentilly, prenons sur la gauche le boulevard Kellermann sur une centaine de
mètres puis à gauche la rue Cacheux. Nous arrivons à la rue des Longues Raies
ou nous faisons un esse gauche-droite nous trouvons une esplanade avec trois
marches un parking séparé par une grille, un long bâtiment sans étage coté
parking et de l’autre coté des grilles un petit bâtiment en construction
légère, toujours sans étage. Entre les deux un passage que nous prenons, nous
débouchons rue de Rungis que nous prenons à droite traversons la place du même
nom prenons sur la gauche la rue Barreault nous arrivons rue de Tolbiac que
nous prenons à droite, puis à gauche la rue de l’Espérance nous entrons dans la
Butte aux Cailles [Quartier historique de Paris. À l'origine, c'est une colline recouverte de
prairies, de vignes et de bois, construite de plusieurs moulins à vent et surplombant la Bièvre de
28 mètres. La Butte-aux-Cailles tire son
nom de Pierre Caille, qui en fait l'acquisition en 1543. Au XVIIe siècle, l'exploitation minière des calcaires
coquilliers est
pratiquée, mais les nombreuses activités industrielles utilisant l'eau de la
Bièvre, telles que teintureries, tanneries, blanchisseries, mégisseries, et
même boucheries, rendent ce quartier insalubre. En 1783 y a lieu l'atterrissage
forcé du premier aerostat, sur lequel sont installés le marquis d'Arlandes et Pilâtre du Rosier. En 1784-1785, la muraille des fermiers généraux est construite au
nord de la butte, sur le tracé de l'actuel boulevard Auguste-Blanqui, laissant la
Butte-aux-Cailles à l'extérieur de la capitale mais le faubourg est désormais
aux portes de la ville. Entre la Révolution de 1848 et la Première Guerre mondiale, des chiffonniers et des ouvriers du
cuir s'y installent. De 1828 à 1910, la ville de Paris
mène des travaux pour couvrir la Bièvre, et la Butte prend progressivement son apparence
actuelle au début du XXe siècle,
restant un village du siècle dernier
en plein cœur de Paris : les travaux du Second Empire ont épargné ce
quartier périphérique qui a poursuivi son urbanisation sans tenir compte des canons haussmanniens. Cette
particularité est due aux carrières de calcaire qui ne permettent, encore
aujourd'hui, la construction de bâtiments lourds qu'après de coûteuses injections des vides de
carrière. Cependant, le foncier se faisant de plus en plus rare et donc de plus
en plus cher dans Paris, la quasi-totalité des vides a aujourd'hui été
remblayée ou injectée. Les anciennes carrières ne sont d'ailleurs plus aussi
aisément accessibles aux cataphiles que par le passé.
Sur une idée de François Arago qui voulait
alimenter le quartier en eau et déverser le surplus dans la Bièvre au débit
devenu insuffisant, le forage d'un puits artésien est décidé par arrêté du préfet Haussmann, daté du 19 juin 1863. Les travaux ne
commencent que le 28 août 1866, et débutent par
l'érection d'une tour de forage en bois. Wikipédia]
J’ai des petits
problèmes de GPS et cherche un peu mon chemin je cherche ‘’La Petite Alsace’’
je loupe la rue. Dans une autre promenade « de la Vanne à la Dhuys, la
traversée de Paris » je traverserais de nouveau ce quartier et cette fois
je ne me tromperais pas. Prenons sur la gauche la rue de
la Butte aux Cailles, nous retrouvons la rue Barrault que nous prenons à
droite, puis la rue Alphand sur la droite. Nous arrivons sur un carrefour en
triangle 
reprenons la deuxième à gauche la rue de la Butte aux Cailles, nous
passons plusieurs petites rue pavées. Sur les murs nous constatons beaucoup de
graph, pardon du Street Art [Petit village caché dans la ville, la
Butte-aux-Cailles regorge de ruelles pavées, d’anciens lampadaires, et de
charmantes petites maisons. Un brin cliché me direz-vous ? Loin de là, car le
quartier abrite aussi des dizaines (voir des centaines) d’oeuvres de street
art, à chaque coin de rue. Une véritable parenthèse visuelle et poétique dans
la ville à découvrir ! Posters, collages, pochoirs et graffitis cohabitent
en harmonie et en couleur avec les habitants d’un quartier qui prend des airs
de musée à ciel ouvert : certains street artistes en ont même fait un de leurs
lieux d’expression favori. Fan de street art, promeneur du dimanche ou
simple curieux ? Soyez curieux, ouvrez les yeux. L’art urbain est éphémère par
nature, certaines oeuvres disparaissent, d’autres apparaissent, parfois dans
des endroits
hauts perchés ! Levez la tête. http://www.salutparis.fr/balades-street-art-paris-butte-aux-cailles] Nous arrivons au petit square
Henri Rousselle ou se trouve le puits
artésien [La réalisation de puits artésiens à Paris a été
rendue possible par la présence de la nappe aquifère de l'Albien et les progrès des
techniques de forage à partir des années 1830. La volonté de
produire une eau saine à bon marché fit apparaître des
puits
artésiens tout
au long du XIXe siècle et au
début du XXe siècle. Les
travaux commencèrent en 1863 et furent sur le
point de s'achever en 1872 lorsque furent
atteintes les argiles coulantes du Gault, juste au-dessus
de la nappe aquifère. Devant les difficultés techniques rencontrées, les
travaux sont interrompus en 1872, et seule la tour
en bois, abandonnée, demeure comme témoin de cette tentative sur la place
du Puits-Artésien,
depuis renommée place
Paul-Verlaine. Mais,
à la suite d'un désaccord
entre l'entrepreneur et l'administration, et du
manque d'argent, les travaux furent interrompus pendant près de vingt ans.
Finalement, l'eau jaillit en 1904 d'une profondeur
de 582 m. Le tube a un diamètre de 0,40 m à la base. Le débit se stabilisa à 67
litres par seconde (5 800 mètres cubes par jour). Repris en 1893 sous la direction
de l'ingénieur Paulin Arrault, l'eau captée à 582 m de profondeur jaillit
enfin en novembre 1903, à la température
de 28 °C et avec un débit de 6 000 m3 par jour. À cette
époque, la Bièvre était déjà en cours d'enfouissement, et il n'était plus
question d'y déverser l'eau du puits artésien. Ce n'est qu'en 1924, lors de la
construction de la toute proche piscine de la Butte-aux-Cailles que cette dernière
fut alimentée par cette eau de qualité. En l'an 2000, le puits est creusé plus
profondément, jusqu'à 620 mètres. La piscine de la Butte-aux-Cailles, ouverte en 1924, place
Paul-Verlaine, fut
alimentée par les eaux du puits artésien. La fontaine récemment construite sur
la place met gratuitement l'eau à la disposition du public. Wikipédia] Prenons la rue Paul Verlaine sur
la droite, puis la rue Bobillot sur la gauche, nous arrivons au carrefour avec
la rue du moulin des prés (certainement pour rappeler
l’origine de la butte). Prenons la rue Simonet sur la gauche, nous
débouchons rue Gerard que nous prenons à gauche, puis à droite la rue Jonas et
encore à droite la rue des Diaments, nous débouchons Boulevard Blanqui que nous
prenons à droite jusqu’à la place d’Italie. [La
place d’Italie est située à la bifurcation entre l'ancienne voie romaine reliant Lutèce à Lugdunum (Lyon) dont le
tracé est celui de l'actuelle avenue de Choisy et la route de
Fontainebleau (avenue
d'Italie)
aménagée sous François Ier. Ce parcours qui
quittait Paris par la rue Mouffetard sur l’itinéraire
romain est ensuite celui d’une des principales grandes routes royales
rectilignes, la future nationale 7 wikipédia]. Traversons la place
descendons l’avenue des Gobelins et prenons sur la gauche la rue Abbel
Hovelacque puis à droite la petite rue pavée des Reculettes. Nous
débouchons rue Croulebarbe et entrons dans le parc [Le
square René-Le Gall ou jardin des Gobelins est un grand square parisien de
32 213 m2. Ce square est construit dans un style néoclassique en 1938 par l'architecte Jean-Charles
Moreux. Il
est réalisé à
l'emplacement de l'île aux Singes, formée par les bras de la Bièvre, sur les anciennes dépendances du Mobilier national et de la Manufacture des Gobelins. L'origine du nom
de cette île est peut-être liée aux singes laissés en liberté par les bateleurs
ou serait le terme argotique synonyme de patrons donnés aux propriétaires des
lieux par les ouvriers des tanneries. Sa partie sud était occupée par des
petits jardins des ouvriers de la Manufacture des Gobelins où se trouvaient
des guinguettes et des débits de boissons, notamment des brasseries tenues par
les ouvriers allemands de la manufacture. Sa partie nord était un quartier
insalubre habité par les ouvriers des tanneries installées sur les bords de la
Bièvre. Ce quartier était traversé par un étroite ruelle, le passage Moret,
bordé de taudis détruits dans les années 1930. Le lit d'un des deux bras de
l'ancienne rivière a été matérialisé par Moreux dans le plan du square par une
allée de peupliers (remplacés ensuite
par des charmes). Peu après la Libération, le square est
rebaptisé « square René-Le Gall ». En 1981, le square s'accroit de
5 000 m2 vers la rue
Émile-Deslandres avec
la création d'un jardin paysager, puis à nouveau en 1993 de 1 500 m2
vers la rue des
Cordelières avec
l'aménagement d'un ruisseau artificiel rappelant l'ancien cours de la Bièvre.
Depuis 2011, il abrite un jardin partagé, situé à la droite de l'entrée rue
Émile-Deslandres, qui est géré par une association ayant signé une charte avec
la Mairie de Paris lors de son inauguration le 8 mai 2011. Wikipédia]. nous ne faisons qu’une incursion
dans ce beau parc au calme, prenons les escaliers sur la droite ressortons rue
Croulebarbe que nous passons à gauche et
passons devant le Mobilier Nationnal [rattaché à la
direction générale de la création artistique du Ministère français de la culture, et dont dépendent
la manufacture des Gobelins, la
manufacture
de Beauvais, la manufacture de la Savonnerie à Paris et Lodève et les Ateliers
nationaux de dentelle
du Puy-en-Velay et d'Alençon. À la fin du Moyen Âge, « l'ameublement des châteaux royaux est un enjeu primordial
pour la cour royale qui se met en scène à travers l'exposition de ses
collections d'objets d’art, essentiellement l'orfèvrerie et les
textiles ». La cour itinérante nécessite ainsi un service de
l'intendance royale chargé, en coulisses, de pourvoir en meubles et en
tapisseries les différentes résidences royales, qui incombe généralement au valet de chambre. Sous l'Ancien Régime, Henri IV crée le Garde-Meuble royal en 1604, administration royale
que Colbert réorganise en 1663
sous le nom de Garde-Meuble de la Couronne et qui, après
plusieurs lieux, s'installe en 1772 dans un bâtiment spécialement créé, l'hôtel
du Garde-Meuble, actuel Hôtel
de la Marine à
Paris. 1870 à nos jours. Il prend son nom actuel
de Mobilier national après la chute du Second Empire en 1870. La dispersion de
ses collections entre différents ministères, administrations et palais est alors aggravée
par les incendies du palais
des Tuileries et du château
de Saint-Cloud Lire
la suite dans wikipédia] A la fourche
poursuivons par la rue Berbier
du Mets, nous débouchons Boulevard Arago que
nous traversons, et face au passage pour piéton je suis étonné de trouver une
église dans un immeuble, (c’est l’église protestante des coréens). Remontons le
boulevard par la gauche et prenons la rue Parcal sur la droite. Coupons le
Boulevard de Port Royal, coupons la rue Claude Bernard, nous arrivons au
carrefour de la Fontaine Guy Lartigue, prenons à gauche la rue Mouffetard [Elle porte le nom de l'ancien lieu-dit Mont Cétard,
devenu par corruption Mouffetard. Il s'agit d'une des rues les plus anciennes
de Paris, qui daterait probablement du Bas-Empire au IIIe siècle. Très pittoresque, c'est l'un des axes
du Quartier latin les plus fréquentés en raison de
ses nombreux restaurants. Longue de 650 mètres, elle descend en pente
douce de la montagne Sainte-Geneviève vers l'église Saint-Médard et l'ancien pont
sur la Bièvre recouverte au XIXe siècle. Suite dans Wikipédia]. Nous arrivons au carrefour avec
la rue de l’Epée de Bois et de Jean Calvin, prenons cette dernière sur la
gauche, après un carrefour, elle porte le nom de Brossolette et après la rue
Rataud, le nom d’Erasme, nous débouchons rue d’Ulm que nous prenons à droite.
Nous sommes dans le quartier universitaire. Nous poursuivons jusqu’au Panthéon
débouchons rue (place du Panthéon) que nous prenons à gauche, nous arrivons sur
la magnifique place du Panthéon. La Montagne Sainte Geneviève. [La montagne doit son nom à l'abbaye
Sainte-Geneviève, qui a
été construite à son sommet. Aujourd'hui il n'en reste plus que des traces.
L'abbaye était dédiée à sainte
Geneviève,
patronne de Paris, réputée avoir protégé la ville des Huns. La
« montagne » s'élève à une hauteur de 23 m au-dessus du niveau
moyen de la Seine. Elle se rattache
à un plateau qui s'étend au sud de Paris, dont elle est un contrefort avancé. À
l'ouest elle s'abaisse progressivement jusqu'aux Invalides, tandis qu'au nord
et à l'est ses pentes sont plus abruptes parce qu'elle y borde la vallée de la
Seine et celle de l'ancienne Bièvre. Cette dernière est à peu près au niveau du boulevard
de l'Hôpital. C’est
sur le versant nord de cette éminence, alors appelée mons Lucotitius,
située sur la rive gauche de la Seine, que furent
édifiés les monuments romains qui ont subsisté jusqu’à nos jours : les thermes de Julien, les arènes de
Lutèce et le forum disparu, centre
civique de la cité gallo-romaine qui était situé à l'emplacement de l'actuelle
rue Soufflot. C'est sur le sommet de cette colline que Clovis et son épouse Clotilde firent édifier le monastère des
Saints-Apôtres où Geneviève avait coutume de
monter prier en empruntant un chemin devenu la « rue de la Montagne-Sainte-Geneviève ». Le
monastère fut ensuite appelé « abbaye Sainte-Geneviève » et abrita
par la suite les tombeaux respectifs de Clovis, de Clotilde et de la sainte. Au
sommet de la montagne Sainte-Geneviève s’élève le Panthéon, mausolée des
célébrités nationales. Cet édifice n’est autre que l’église Sainte-Geneviève
que décida de bâtir le roi Louis XV en 1744 pour honorer le
vœu qu’il avait fait de construire une église pour Geneviève s’il survivait à
une grave maladie. La suite dans wikipédia.] [Le Panthéon est un monument de style néo-classique. il est au centre de la place
du Panthéon et
entouré notamment de la mairie du 5e arrondissement, du lycée Henri-IV, de l'église Saint-
Étienne-du-Mont, de la bibliothèque Sainte-Geneviève et de la faculté de droit. La rue
Soufflot lui
dessine une perspective jusqu'au jardin
du Luxembourg. Le Panthéon ; signifiant « de tous les dieux ». Prévu à
l'origine, au XVIIIe siècle,
pour être une église qui abriterait la châsse de sainte Geneviève, ce monument a depuis la Révolution française vocation à honorer de grands personnages ayant marqué l'Histoire de France. L'architecture reprend notamment la façade du Panthéon de Rome, construit au Ier siècle av.
J.-C., surmontée d'un dôme qui s'inspire du Tempietto de l'église San Pietro in Montorio. Les différents dessins de sa construction, sa décoration, les
inscriptions et les symboles qui y figurent permettent de parcourir la
construction ente et contrastée de la nation
française. Le projet architectural de Jacques-Germain Soufflot est une église à dôme, en forme de croix grecque, c'est-à-dire avec quatre branches courtes, égales en longueur et en
largeur. Pour le réaliser, il emprunte à différents styles architecturaux, ce
qui fera écrire à Maximilien Brébion : « Le principal objet de M. Soufflot, en
bâtissant son
église, a été de réunir, sous une des plus belles formes, la légèreté de la
construction des édifices gothiques avec la magnificence de l'architecture
grecque » lire la suite dans wikipédia] Descendons la rue
Souflot, jusqu’au boulevard Saint Michel. Nous sommes face au palais du Luxembourg. Ses jardins feront l’objet d’une autre promenade. Traversons le boulevard et
remontons le sur la gauche, nous arrivons à un carrefour avec la rue Michelet,
en prenant cette rue sur la droite nous trouvons un jardin (Jardin des Grands
Explorateurs) une drôle de construction en briques ressemblant à une Mosquée. [L'Institut d'art et d'archéologie, dit aussi Centre
Michelet, abritant actuellement les facultés d'histoire de l'art des
universités Paris I et Sorbonne Université. Il a été conçu par l'architecte Paul
Bigot entre 1925 et 1928. La création de cet institut
a été en partie motivée par le don de la Bibliothèque d'art et
d'archéologie de Jacques Doucet en 1917, bibliothèque qu'il aurait été difficile de placer en Sorbonne.
Lancé en 1920, le concours fut remporté par Paul Bigot mais le projet d'Azéma
et Hardy fut remarqué lui aussi. « c’est un rare exemple d’édifice
parisien de l’Entre-deux-guerres d’inspiration historiciste et éclectique,
mélangeant les influences siennoise, florentine, et d’Afrique noire
musulmane ». « L’ossature en béton armé est revêtue de briques rouges
de Gournay ». Suite dans wipédia et https://www.archi-wiki.org/Adresse:Institut_d%E2%80%99art_et_d%E2%80%99arch%C3%A9ologie_(Paris)] En
bout de la rue nous trouvons sur la gauche la station du RER de Port Royal fin
de mon itinéraire.
Vous retrouverez toutes mes randos de la demie journée en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page.html
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