Pourquoi
cet itinéraire improvisé ? Lorsque je me rends sur certain lieu de rando
je prends le bus & le train. Suivant les correspondances des trains je
parts de très bonheur le matin. Mais ce n’est pas pour cela que je rentre plus
tôt, je n’ai pas de bus, avant la fin d’après midi. J’ai eu l’idée un peu saugrenue,
de réaliser quelques
promenades dans Paris.
L’improvisation ce fut pour les premiers parcours. je ne pensais pas en
faire un topo.
Novembre 2019
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans commentaires Trace Randogps
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Le code mobile de cette randonnée est b337498
Carte VisioRando
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Km Temps
Arret V/d
10 2h10 4,6
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Je parts de la Gare de l’Est [La gare de
Paris-Est, dite aussi gare de l'Est (initialement appelée gare de
Strasbourg), est l'une des six grandes gares terminus du réseau de la SNCF à Paris. Sa façade ferme la perspective de l'axe nord-sud percé par le baron Haussmann et constitué principalement par le boulevard
de Strasbourg. La gare est l'œuvre de
l'architecte François-Alexandre
Duquesney et de l'ingénieur Pierre Cabanel de
Sermet. Elle a été longtemps réputée
comme la plus belle du monde, par son esthétique et ses qualités techniques. Le
sommet du fronton ouest est orné d'une statue du sculpteur Philippe-Joseph Henri Lemaire représentant la ville de Strasbourg, tandis
qu'une sculpture figurant Verdun, œuvre du sculpteur Henri Varenne,
orne le fronton est. e bâtiment est de style
néo-classique, avec une façade en pierre
de taille ; les multiples ajouts apportés à la gare d'origine conservent
ce style en façade, à l'exception de la grande halle transversale et de ses
deux accès, rue d'Alsace et rue du Faubourg-Saint-Martin, qui sont de style Art déco. La
façade de l'aile ouest (la plus ancienne) est éclairée par une demi-rosace, dotée d'une pendule flanquée des sculptures
représentant la Seine et du Rhin par Jean-Louis Brian.
Le pignon de ce hall est en bâtière avec
motifs de bandes lombardes. Il est couronné d'une statue allégorique de la ville de
Strasbourg, œuvre d'Henri Lemaire. La gare de l'Est est ouverte en 1849 par la Compagnie de Paris à Strasbourg, sous le nom d'« embarcadère de Strasbourg». À
l'époque de la mise en place du réseau national, il existe une opposition entre
les compagnies ferroviaires qui veulent limiter les coûts d'exploitation en
utilisant une seule gare terminus pour desservir plusieurs lignes et les
ingénieurs de l'État qui estiment que des gares séparées améliorent la qualité
de l'exploitation. Pour la ligne Paris – Strasbourg, la décision de créer
une gare séparée de la gare du Nord a été notamment défendue par l'ingénieur
Cabanel de Sermet. La gare n'est pas située à l'est de Paris, car la ligne de
Strasbourg contourne par le nord le relief qui s'étend de Belleville (Seine), Romainville à Fontenay-sous-Bois.
Lors des débats sur le tracé de la ligne
Paris-Strasbourg, il avait aussi été question d'aboutir à la gare d'Austerlitz
ou à la gare de Lyon. les travaux, qui vont coûter dix-huit millions de francs,
commencent en 1847, et le
président Louis-Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III) l'inaugure en 1850. Elle prendra le nom de « gare de l'Est » en 1854, après un premier agrandissement consécutif à la mise en
service de la ligne
de Mulhouse dont la compagnie, devenue Compagnie
des chemins de fer de l'Est, avait obtenu
la concession. Le 4 octobre 1883, la gare de l'Est est le théâtre de l'inauguration de l'Orient-Express,
à destination de Constantinople. Elle connaît d'importantes transformations en 1885, puis en 1900. Enfin, entre 1926 et 1931,
elle est dédoublée sur les plans de l'architecte en chef de la « Compagnie
des chemins de fer de l'Est » Jules Bernaut, prenant sa physionomie
actuelle. Dans le cadre du programme de défense passive, un poste
de régulation souterrain a été construit
sous les voies 2 et 3, peu avant la Seconde Guerre
mondiale, pour assurer la continuité du service en cas de bombardement. Il
permet d'abriter 70 personnes, sur une surface de 120 m2.
Ce bunker est achevé le 30 mars 1941, par les Allemands. Il est resté depuis en
l'état, y compris son mobilier. Suite dans wikipédia.] Sortons de la
gare par le halle central, traversons la cour, nous trouvons la rue du 8 mai
1945, suivant les grilles de sorties nous sommes soit coté boulevard de
Stasbourg, soit coté du Faubourg saint Martin. Je suis sortie coté Saint
Martin, après le bloc d’immeuble prenez à droite la rue Saint Laurent, nous
retrouvons le Bd de Strasbourg que nous prenons à gauche. Nous arrivons au
grand carrefour avec le Bd Magenta, sur la gauche nous avons l’église Saint
Laurent [située dans l'ancien enclos Saint-Laurent. L'église est construite sur l'axe nord-sud de Paris qui
relie Senlis et Orléans tracé par
les Romains au cours de la moitié du Ier siècle av.
J.-C. (les actuelles rue du
Faubourg-Saint-Martin, rue Saint-Martin, rue Saint-Jacques et rue du
Faubourg-Saint-Jacques). L'église
Saint-Laurent a été fondée au VIe siècle, en même temps qu'un monastère. Située
hors les murs, l'église et le monastère furent pillés et détruits par les Normands en 885. Une nouvelle église Saint-Laurent, érigée en paroisse, est
attestée en 1180. Cette
nouvelle église, devenue trop petite, fut démolie pour faire place à l'église
actuelle au début du XVe siècle, elle fut reconstruite dans le style de l'époque :
le style gothique
flamboyant. Le chœur fut consacré le 14 juin 1429. La structure gothique, les voûtes à
pénétration, les fenêtres hautes, le déambulatoire à clefs de voûte sculptées sont encore visibles, malgré les
transformations postérieures. C'est la dernière construction parisienne de style gothique
flamboyant, un siècle et demi après la
fin du XVe siècle, qui s'explique par le sens de l'économie : on a
couvert l'église de la façon la plus sensée pour ne pas avoir à démolir pour
reconstruire ce qui existait déjà. Sous le second Empire, les
boulevards de Magenta et de Strasbourg furent percés respectivement en 1855 et en 1852.
L'église Saint-Laurent était en retrait de l'alignement du boulevard
de Strasbourg. Pour y remédier, la
façade du XVIIe siècle fut détruite, et entre 1863 et 1867
l'architecte Simon-Claude
Constant-Dufeux allongea l'église d'une
travée, et reconstruisit une façade de style néogothique (néo-XIIIe siècle) ornée de sculptures. Il construisit également une
flèche en plomb. Un fronton en lave émaillée signé Paul Balze est
rajouté en 1870. Les trois premiers Sanson, bourreaux
de Paris, y reposent avec certains autres membres de leur famille. Suite dans
wikipédia] Traversons le Bd de Magenta et poursuivons le Bd. De
Strasbourg. A l’angle de la rue du château d’eau (Métro) nous prenons à droite
la rue du même nom. Coupons le Boulevard Saint Denis, poursuivons par la rue
des Petites Ecuries, après la rue Martel, nous trouvons le Passage des Petites
Ecuries que nous prenons à gauche [Elle se trouve
sur l'emplacement occupé, au XVIIIe siècle, par les Petites Écuries royales. Wikipédia]. Nous
débouchons dans la petite rue pavées de la cour des Petites Ecuries que nous
prenons à gauche, passons sous l’immeuble nous traversons la rue du faubourg
Saint Denis, que nous traversons pour franchir le porche du Passage Reilhac
nous débouchons Boulevard de Strasbourg que nous prenons à droite. 
Quelques
immeubles plus loin sur la droite et sous une verrière nous trouvons le passage
Brady. Nous débouchons rue du Faubourg Saint Denis que nous prenons à gauche,
dépassons le passage de l’industrie et
prenons sur la gauche la rue de Metz. A l’angle de cette rue et du Boulevard de
Strasbourg nous trouvons un bel immeuble. Il faut traverser pour mieux le
remarquer [Bâti en 1900, cet immeuble commercial
illustre le goût de l’architecte Charles Lefebvre pour les revêtements en céramique
au tournant du XXe siècle. Le bâtiment est entièrement construit en béton armé,
ce qui autorise la présence de grandes baies éclairant les bureaux. Les façades
sur le boulevard de Strasbourg et la
rue de Metz sont rythmées par des
bow-windows superposés. Le vocabulaire architectural est encore
très décoratif : un revêtement en mosaïque de grès émaillé dû aux célèbres
céramistes Alphonse
Gentil et Eugène Bourdet recouvre l’ensemble du bâtiment. L’angle de
l’immeuble a été l’objet de toutes les attentions :
décorée d’imposants lions sculptés, la façade est couronnée par une mosaïque
percée d’un oculus
et surmontée d’une corniche saillante cintrée. Pour l’architecte Charles Lefebvre,
voir également l’hôtel Plazza-Athénée. Source : Guide d’architecture Paris
1900-2008, Eric Lapierre, Pavillon de l’Arsenal, 2008. http://www.paris-promeneurs.com/Architecture-moderne/Immeuble-de-bureaux-Boulevard-de] Descendons le boulevard nous arrivons Boulevard
de Saint Denis que nous prenons
à droite. Nous trouvons sur la droite le
passage couvert du Prado que nous prenons. [Le
passage du Prado est l'un des deux passages couverts du 10e arrondissement
de Paris, avec le passage Brady, situé légèrement plus au nord sur la rue du
Faubourg-Saint-Denis. Le passage relie
la rue du Faubourg-Saint-Denis au boulevard Saint-Denis en formant un coude à angle droit en son milieu. Les
deux parties sont reliées par une rotonde. Le passage du Prado est une voie
privée ouverte tous les jours au public de 8 h à
20 h. Le nom du passage fait référence au musée du Prado à Madrid, en Espagne. Il a été
donné au passage en 1930. Avant cette date, il est appelé « passage du
Bois-de-Boulogne », en référence à
un bal public qui s'y trouvait, le bal
du Bois-de-Boulogne. Le style architectural des supports de la verrière renvoie
clairement à l’exposition des Arts décoratifs de 1925. Le passage est créé en 1785.
Initialement découvert, il
est couvert en 1925. Les travaux de rénovation du passage ont commencé le 26
mars 2012. En mai 2012, démolition du sol, réfection des alimentations et
coulage d'une dalle de béton. De mai à fin juin 2012, réfection des fermes, de
l’électricité et mise en place des éclairages. Début juillet 2012, mise en
place du revêtement définitif du sol. Il s'agit d'un produit innovant constitué
d'asphalte incrusté de morceaux de verre et poli. La mise en lumière est
assurée par l'artiste Yann Kersalé.
Wikipédia] Nous sortons rue Saint Denis que nous prenons à gauche,
passons sous la porte Saint Denis [Arc de triomphe
construit en 1672, par l'architecte François Blondel, à la gloire de Louis XIV. Elle est située à l'emplacement d'une porte de Paris de
l'ancienne
enceinte de Charles V. C'est un des monuments les plus représentatifs de l'art
officiel de son époque. Cinq constructions ont porté le nom de porte
Saint-Denis au cours de l'histoire de Paris, toutes sur l'axe de la rue Saint-Denis, c'est-à-dire la route de Paris à Saint-Denis, sur le chemin des rois se rendant à la basilique Saint-Denis. Lire la suite dans wikipédia.] Poursuivons en
face par la rue Saint denis, laissons les rues sainte Apauline et Blondel, nous
trouvons quelques rue plus loin le passage Lemoine (Passage sous un porche il
faut passer des grilles, nous sortons Boulevard de Sébastopol que nous prenons
à gauche, puis à droite la Rue Blondel et à gauche la rue Saint Martin, nous
remontons vers la Porte Saint Martin [situé à
l'emplacement d'une porte de l'ancienne enceinte de Charles V. Elle fut érigée en 1674 sur ordre de Louis XIV, en l'honneur de ses victoires sur le Rhin et en Franche-Comté, par
l'architecte Pierre Bullet,
élève de François
Blondel, architecte de la porte Saint-Denis
voisine. Le monument actuel est le successeur de trois portes fortifiées datant
de la période médiévale, s'échelonnant le long de la rue Saint-Martin. Wikipédia] Redescendons la rue Saint Martin
jusqu’au square Emile Chautemps que nous traversons, traversons également le
Boulevard de Sébastopol, nous prenons en face le Passage du Ponceau (grand
porche ouvragé). [Le passage est situé entre le 212
de la rue Saint-
Denis et le 119 du boulevard de
Sébastopol. Elle doit son nom à la
proximité de la rue du Ponceau dont le nom lui vient d'un petit pont, un
« ponceau » ou « poncel », qui existait sur un égout qui fut couvert en 1605, près de la rue Saint-Denis. Le passage, ouvert en 1826, a été raccourci en 1854 lors du percement du boulevard Sébastopol. Wikipédia]
Nous ressortons rue Saint Denis que nous prenons à gauche quelques mètres puis
à droite le passage du Caire sous un porche d’immeuble. Laissons une première
allée sur la gauche, nous arrivons à une intersection et prenons à droite Galerie
Sainte Foix (nous allons faire le coté du triangle). Nous arrivons à une
nouvelle
intersection, prenons à gauche galerie du Caire, nous sortons Place du Caire face
au square, nous prenons à gauche, puis à gauche la rue du Caire, nous arrivons
Rue Dussoubs que nous prenons à droite, nous débouchons rue de Réaumur que nous
traversons et poursuivons tout droit par la petite rue pavées du même noms.
Coupons la rue Grenéta poursuivons en face par la rue piétonne. A la sortie de
la rue piétonne
nous trouvons sur la gauche le passage du Grand Cerf (une
galerie marchande.) Nous débouchons une nouvelle fois rue Saint Denis Faisons
un esse droite – Gauche et prenons sous une arcade le passage Bourg L’Abbé [ouvert du lundi au samedi de 7 h 30
à 19 h 30. Il porte le nom d'un village
appelé Bourg-l'Abbé, qui portait ce nom car il dépendait de l'abbé de
Saint-Martin. Édifié en 1828, par Auguste
Lusson, entre le passage du Grand-Cerf et le passage de l’Ancre (toujours existant et bordé de boutiques mais non
couvert), le passage Bourg-l'Abbé n'est plus aujourd'hui que l'ombre de sa
grandeur passée. À l’origine, il débouchait dans
la rue du même nom, à ne pas confondre
avec
l'actuelle rue du Bourg-l'Abbé, percée ultérieurement. Le passage fut construit
parallèlement à un autre passage plus ancien qu'il concurrençait et imitait, le
passage du Saucède, disparu avec le percement de la rue de Turbigo en
1854. Le passage Bourg-l'Abbé fut amputé de
plusieurs mètres lors de la
construction du boulevard de
Sébastopol en 1854 et du percement de la
rue de Palestro. L'entrée est du passage ouvrant sur cette dernière est
l’œuvre d'Henri Blondel, également architecte de la Bourse de
commerce. Les deux cariatides qui
encadrent l’entrée, sculptées par Aimé Millet sont
des allégories du Commerce et de l’Industrie.
Wikipédia] Nous débouchons rue Palestro que nous prenons à droite, puis
à gauche la rue Turbigo, au carrefour tout proche, nous prenons à droite le
Boulevard Sébastopol, puis à gauche la rue au Ours, nous arrivons au carrefour
avec la rue Saint Martin,
poursuivons tout droit la rue du Grenier Saint Lazare
nous sommes dans le quartier de l’horloge . Pas facile de s’y retrouver par
ici. Prenons la rue piétonne formant une petite place (lampadaire en son
milieu) , laissons le passage Brantome un peut sur la gauche comportant un sas
piéton, sur la droite, nous trouvons un passage sous immeuble. Le passage fait
une intersection nous prenons à gauche le passage de l’horloge à automate. Nous
sortons rue Rambuteau face a la « raffinerie de pétrole » ‘’le Musée
Beaubourg ‘’ Prenons la rue Rambuteau sur la gauche jusqu'à la rue Beaubourg,
ou nous trouvons la façade avec tout les tuyaux ayant donné son surnom a ce
musée. [Le )centre national d’art et de culture
Georges-Pompidou (CNAC) – communément appelé « centre
Georges-Pompidou », « centre Pompidou » ou « centre
Beaubourg », et familièrement
« Beaubourg » – est un
établissement polyculturel né de la volonté du président Georges Pompidou,
grand amateur d'art moderne, de créer au cœur de Paris une institution
culturelle originale entièrement vouée à la création moderne et contemporaine
où les arts plastiques voisineraient avec les livres, le dessin, la musique ainsi que
le cinéma. Inauguré
le 31 janvier 1977, le centre Pompidou a accueilli, en 2016, plus de
3,3 millions de visiteurs. Dans l'esprit du président Georges Pompidou,
l'implantation au centre de Paris d'un équipement culturel d'un type nouveau,
voué à toutes les formes de la création contemporaine. En 1969, Georges Pompidou, devenu président de la République,
décida de construire un nouveau musée d'Art moderne et choisit le plateau
Beaubourg comme le seul emplacement disponible après la
démolition de
l'îlot insalubre no 1. Mais ce terrain étant également le seul susceptible
d'accueillir la grande bibliothèque publique, il fut décidé, en février 1970, de réunir les deux projets au sein d'un même équipement
culturel. Le 15 juillet 1971, le jury du concours international d'architecture,
présidé par Jean Prouvé, décida de retenir, parmi les 681 projets présentés,
celui des architectes Renzo Piano, Richard Rogers et Gianfranco Franchini. Parmi
les autres projets, on peut citer celui d'André Bruyère, qui proposait un
immeuble en forme d'œuf de 38 étages, sur 80 000 m2, qui
aurait rompu drastiquement avec le rectiligne des voies parisiennes. Détail de
la réalisation dans wikipédia] Longeons les tuyaux,
prenons la rue Rambuteau sur la droite coupons la rue Sébastopol, poursuivons
par la rue Berger, nous passons la fontaine des Innocents [La fontaine des Innocents, d'abord appelée fontaine
des Nymphes, est une fontaine située à Paris 1er sur l'actuelle place
Joachim-du-Bellay dans le quartier des Halles. De style
Renaissance, elle a connu diverses modifications et a été déplacée à
deux occasions. Elle est classée monument
historique depuis 1862. La fontaine des
Innocents a été réalisée en 1548
sous le règne du roi Henri II en remplacement d'une fontaine plus ancienne, remontant
probablement à l'époque de Philippe Auguste,
située au centre de l'ancien cimetière des
Innocents. La fontaine est l'œuvre de l'architecte Pierre Lescot. Sa
décoration et ses sculptures sont de Jean Goujon. Elle
devait à l'origine célébrer l'entrée du roi dans Paris. Elle était initialement
implantée sous forme de loggia ouverte sur les spectacles de la rue, adossée à l’église des
Saints-Innocents, à une quarantaine de
mètres de son emplacement actuel au nord-est de la place, au croisement de la rue Saint-Denis et de la rue aux Fers
(partie de l'actuelle rue Berger). De forme rectangulaire et non carré comme aujourd'hui,
elle ne possédait donc que trois arcades ornées de cinq naïades :
deux décorant l'arcade de la rue Saint-Denis, les trois autres sculptées sur
les deux arcades donnant en retour d'angle sur la rue aux Fers. Un
alignement de pilastres, d'ordre corinthien,
encadrant chacune des arcades supportait une frise et un attique à fronton triangulaire.
L'ensemble reposait sur un soubassement
d'où l'eau s'écoulait par de petits mascarons. À la
fin du XVIIIe siècle, l'ensemble des cimetières de
Paris sont vidés et remplacés par ceux
actuels, situés à l'époque à l'extérieur de la ville. Le cimetière des
Innocents, plus communément qualifié de charnier, qui jouxtait
l'église des
Saints-Innocents, est également vidé, à
la suite de l'effondrement d'un muret dans une cave. L'église est démolie en 1785 et la fontaine se retrouve isolée dans un coin de
l'espace dégagé, destiné à devenir un marché. Elle est alors déplacée, puis
installée au centre de la place récemment créée et baptisée à l'époque « place
du marché des Innocents ». Un ingénieur nommé Six est chargé de la
démonter, tandis que les architectes Poyet, Legrand et Molinos en
conçoivent le nouveau plan de réédification. Ils décident de lui donner une
forme de pavillon carré. Il devient donc nécessaire de sculpter une quatrième
face à la fontaine, travail exécuté en 1788 par Augustin Pajou,
qui s'efforce de retrouver la même inspiration que son prédécesseur. Lorsqu'en
1856, un square est décidé pour remplacer le marché, devenu inutile à la suite
du projet de construction des Halles par Baltard, la
fontaine est encore déplacée de
quelques mètres et recentrée dans l'espace
réduit laissé à ce nouveau jardin public en 1860. Un soubassement de forme
pyramidale, étagé de six bassins à bords arrondis, est ajouté sur chaque face.
Le tout repose au milieu d'un bassin circulaire. Cette dernière transformation
est confiée à l'architecte Gabriel Davioud.
Suite dans wikipédia] et nous arrivons devant cet affreux forum des
Halles emplacement de l’ancien marcher des Halles transféré à Rungis. Dommage
on aurait certainement gagné en esthétique, en conservant les anciennes halles
Baltard tout en rénovant le quartier. [Au milieu du
XIXe siècle, douze pavillons sont
construits par Victor Baltard sur l'emplacement des Halles de Paris,
marché de vente en gros de produits alimentaires
frais, situé au cœur de Paris, Au plus fort de son activité et par manque de place, les étals des
marchands s'installaient même dans les rues adjacentes. Le marché central de
vente en gros est déplacé à Rungis
à la fin des années 1960 et les pavillons Baltard sont
détruits, laissant un « trou » au centre de Paris durant quelques
années. Le Forum est alors construit puis inauguré en 1979, au-dessus du
principal nœud de RER et de métro de Paris.
Dans les années 2010, le site est totalement repensé et rénové, avec comme
principale innovation architecturale sa couverture, La Canopée, faite
de verre et de métal. Le départ du marché de gros des Halles de Paris
pour Rungis et La Villette est décidé le 14 mars 1960 par Michel Debré,
Premier Ministre. Ce déménagement permet d'envisager une vaste opération
d'urbanisme au cœur de la capitale pour redynamiser le centre de la rive
droite. Une importante décision est prise : la création d'une véritable ville souterraine
liée aux transports en commun et comportant des équipements commerciaux,
culturels, sportifs et de loisirs. Durant l'été 1971, la démolition des Halles Baltard est rendue nécessaire afin de créer, à ciel ouvert, la gare
souterraine du RER. Le vide et l'espace
vacant laissé sur la partie ouest du site reçoivent rapidement le surnom de « Trou des Halles ». L'inauguration a lieu le 4
septembre 1979, en présence de Jacques Chirac,
maire de Paris. 190 enseignes s'installent sur 43 000 m2
répartis sur 4 niveaux.
L'ensemble de cette première tranche comprend
70 000 m2, auxquels il faut ajouter 50 000 m2
de parcs de stationnement. Détail dans wikipédia. La très longue histoire des
marchés de Paris sont sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Halles_de_Paris] Pour ma part je
découvre le nouveau forum, l’ancien après trente ans de construction demandait
une bonne rénovation. L’extérieur de l’ancien était moche, je n’ai pas vu de
différence avec le nouveau, c’est toujours aussi moche. Nous sommes
porte de Lescaut approchons nous de l’entrée permettant de descendre dans le
ventre de Paris et prenons sur la droite l’allée se nomment le passage de la
Canopée, nous arrivons rue Baltard (rue piétonne nous sommes dans le jardin des
Halles) que nous prenons à droite, puis à gauche l’allée Saint John Perse, nous
apercevons sur la droite l’église Saint Eustache [Les
origines de l'église Saint-Eustache remontent au début du XIIIe siècle. Une chapelle consacrée à sainte Agnès fut
le premier édifice construit. Une crypte portant ce nom jouxte encore l'église
côté oriental. Cette chapelle serait le don d'un bourgeois de Paris, Jean
Alais, qui l'aurait fait bâtir en remerciement du droit que le roi Philippe Auguste lui avait octroyé de prélever un denier sur chaque
panier de poisson qui arrivait aux Halles. Dès 1223, Sainte-Agnès fut érigée en paroisse et prit le nom de
Saint-Eustache. La raison la plus probable de la nouvelle appellation serait le
transfert d'une relique du martyr saint Eustache
dans la nouvelle église, relique jusqu'alors détenue par l'abbaye de Saint-Denis. L'église fut plusieurs fois remaniée et agrandie au fur
et à mesure de l'accroissement de la population du quartier. En 1532, il fut
enfin décidé de construire une église digne du cœur de Paris. Bâtie dans un
style gothique en pleine
Renaissance, l'église dégage un caractère architectural harmonieux
où l'antique des colonnes grecques et romaines côtoie les lignes encore
présentes du Moyen Âge. L'objectif était de faire du gothique avec du plein-cintre. Ainsi, l'église a l'élévation du style gothique, les
courbures du roman et les ornements de la Renaissance ; tous ces
caractères réunis donnent à l'édifice un caractère unique. L'ancienne façade occidentale,
dont les tours étaient restées inachevées, fut fragilisée par la construction
de deux chapelles commandées en 1665 par Colbert qui était paroissien et premier marguillier de
Saint-Eustache. Le sous-œuvre devant être repris, il fut décidé de rebâtir la
façade après sa démolition ainsi que celle de la première travée de la nef et
des bas-côtés. Un nouveau projet fut dessiné par Louis Le Vau dont
Colbert devait assurer le financement. Ce ne fut pourtant que le 22 mai 1754
que le duc de
Chartres en posa la première pierre. Jean Hardouin-Mansart
de Jouy en devenait l'architecte. Sa
construction traîna en
longueur par manque de moyens, et le projet initial, qui
comprenait deux tours à
deux étages reliées entre elles par une galerie, se vit
transformé par le lourd fronton qui écrase la façade. Suite dans wikipédia.] Prenons l’allée centrale sur la gauche, nous apercevons sur notre droite un
bâtiment circulaire ; la Bourse du Commerce [Edifice de plan circulaire
surmonté d'une coupole
situé rue de Viarmes, C'est aussi une institution, qui fut
hébergée jusqu'en 1885 dans le Palais Brongniart. [
À l'emplacement approximatif où se trouve aujourd'hui la Bourse de commerce se
trouvait l'hôtel de Soissons qui
appartenait, au début du XIIIe siècle, à Jean
II de Nesles. N'ayant pas d'héritiers,
celui-ci en céda en 1232
la propriété à saint Louis,(vous trouverez toute l’histoire de la succession et la
transformation de l’hotel dans wikipédia) La construction de cette halle aux
blés, accessible depuis le bord de Seine, a été décidée en 1763, Le bâtiment,
qui comprend deux galeries concentriques, ouvertes sur l'extérieur par vingt-quatre
arcades, et surmontées d'un vaste grenier vouté, deviendra la Bourse de
commerce de Paris en 1885.
Philippe Auguste avait établi les Halles de Paris aux Champeaux :
les blés de la plaine de Luzarches y
arrivaient par la route, et ceux de la Brie dans des
bateaux qui abordaient au Port au Blé, au pied de l'Hôtel de Ville. Mais le quartier était l'objet d'une cohue permanente
qui compliquait l'acheminement des grains. Pour assurer une meilleure
efficacité au commerce du blé – qui formait, au XVIIIe siècle, le principal objet d'étude des économistes – on
envisagea de construire une nouvelle halle aux blés. Depuis longtemps, les
terrains de l'ancien hôtel de Soissons, que guettaient les créanciers du prince
de Carignan, avaient été identifiés comme particulièrement propices à cet usage
en raison de leur proximité avec la Seine, par où circulaient les
bateaux
chargés de grains. C'est l'architecte et théoricien Nicolas Le
Camus de Mézières qui fut chargé de la
construction de la halle et du quartier avoisinant entre 1763 et 1767.
Le terrain dessinait un pentagone irrégulier. Les marchands étaient partagés
sur la forme à donner à l'édifice : certains préféraient un
« carreau » où la lumière du jour permettait de juger de la qualité
des marchandises, tandis que d'autres soulignaient les avantages d'un édifice
couvert pour les protéger des intempéries. Le Camus opta pour un bâtiment de
plan annulaire, de 122 mètres de circonférence, percé de 25 arcades :
la partie centrale restait ainsi à ciel ouvert, mais deux galeries
concentriques, ouvertes sur l'extérieur par vingt-quatre arcades et couvertes
de voûtes supportées
par des colonnes d'ordre toscan,
formaient un abri commode. Autour de la halle aux blés, on traça une rue
circulaire – c'est l'actuelle rue de Viarmes. La
cour intérieure fut primitivement laissée
ouverte, mais cela nuisait à la
conservation des grains. Entre septembre 1782 et janvier 1783, les architectes Jacques-Guillaume
Legrand et Jacques Molinos la
couvrirent d'une coupole en charpente, exécutée (1782-1783)
par le menuisier André-Jacob Roubo, qui démontrait les qualités de la charpente à petits
bois conçue par Philibert Delorme au XVIe siècle.
Elle culminait à 38 mètres au-dessus du sol et était surmontée d'une
lanterne en fer. Le bâtiment fut à nouveau ravagé par un incendie en 1854. La halle aux blés, dont l'activité n'avait cessé de diminuer,
a été fermée en 1873 et le
bâtiment fut attribué en 1885
à la Chambre
de commerce, laquelle le fit transformer
en Bourse de commerce qui était auparavant hébergée dans les locaux du Palais Brongniart.
L'architecte Henri Blondel, chargé
des travaux, fit transformer l'ancienne
Halle au blé en Bourse du commerce. Il
modifia la coupole en fonte et verre et fit maçonner la partie inférieure en
brique. L'ensemble fut inauguré le 24 septembre 1889. Suite de cette longue histoire dans wikipédia.]
Sortons des jardins, traversons la rue Berger et prenons en face la rue des
Prouvaires, puis la rue du Roule, nous débouchons rue de Rivoli que nous
prenons à gauche, puis à droite la rue du Pont Neuf, nous arrivons sur ls bords
de la Seine. Prenons sur la gauche le quai de la Messagerie. Sur l’autre rive
la conciergerie et la tour de l’horloge [Le palais
de la Cité était la résidence
et le siège du pouvoir des rois de France,
du Xe au XIVe siècle,
tout en restant le siège des principales cours de justice jusqu'à nos jours. Il
s’étendait sur la partie ouest de l’île de la Cité. Cela sera
un peut plus détaillé lors d’une autre
promenade.] Nous arrivons Place du Chatelet [Elle
a été construite à l'emplacement du Grand Châtelet, ancienne forteresse qui servit de prison et de tribunal
sous l'Ancien Régime, et qui fut détruit en 1802 durant le règne de Napoléon Ier. Le centre de la place est réservé aux piétons. Il s'y
dresse la fontaine du Palmier, une colonne érigée en 1808 à la gloire des victoires napoléoniennes. Un socle
comportant une fontaine a été ajouté en 1858, surélevant la colonne. La
fontaine, ornée de sphinx et de statues, a été conçue par Gabriel Davioud et
rétablie par Jules Blanchard. De part et d'autre de la place, le long des quais, se
dressent deux théâtres construits par Gabriel Davioud à la demande du baron Haussmann :
le théâtre du Châtelet et le théâtre de la Ville. Quatre brasseries sont présentes aux quatre coins de la
place, dont Le Zimmer à l'angle nord-ouest. La suite dans wikipédia]
prenons sur la droite l’avenue Victoria, sur la gauche la Tour saint Jacques. [La tour Saint-Jacques est l'unique vestige de l'église
Saint-Jacques-la-Boucherie, dont le
nouveau clocher est construit entre 1509 et 1523,
ce clocher-tour est dressé au milieu du premier
square parisien, qui porte son nom. Tout
en reprenant certains éléments du style Louis XII
contemporain, cet édifice montre à quel point l'architecture parisienne et
notamment religieuse se montre réticente aux nouveautés amenées d'Italie et reste,
fidèle pour l'essentiel au style gothique
flamboyant du XVe
s. La tour Saint-Jacques est un ancien Clocher
constituant le seul vestige de l'église
Saint-Jacques-la-Boucherie, dédiée à saint Jacques le Majeur. sanctuaire abritait une relique de saint Jacques et
constituait un lieu de pèlerinage réputé ainsi que le lieu de culte des
commerçants du quartier. Si le Guide du pèlerin ne mentionne pas la
ville, la Chronique de Turpin affirme que l’église a été fondée par Charlemagne, ce
qui lui a valu son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO au titre
des chemins de
Saint-Jacques-de-Compostelle en 1998
avec 70 autres bâtiments ou lieux en France. Cette Chronique qui forme un des
Livres du Codex Calixtinus
a été considérée comme authentique jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Mais la légende de la
construction par Charlemagne est restée. Elle est le seul lien de cette tour
avec Compostelle connu des études historiques. Ce clocher-tour est
construit entre 1509 et 1523 par Jean de Felin, Julien Ménart et Jean de Revier. Il
mesure 54 mètres jusqu’à la balustrade. En 1824, un industriel achète la
tour pour y installer une fonderie de plombs de chasse, la transformant en tour à plomb. Les
cinquante mètres du clocher sont suffisants pour que les gouttes de plomb
refroidissent et forment des billes à l'arrivée. En 1836, après deux incendies,
la tour est rachetée par la Ville de Paris. En 1850, le Moniteur
rapporte qu’on installe au sommet un « superbe phare qui sera illuminé par
la lumière électrique qui doit éclairer tout le quartier ». En 1852
les travaux engagés à l’occasion du percement de la rue de Rivoli font
décider de la restauration du « délicieux beffroi de Nicolas Flamel ».
Les travaux sont colossaux, ordonnés par l’architecte Victor Baltard et
dirigés par Théodore Vacquer et l’ingénieur Roussel. La tour est entièrement reprise
depuis les fondations, les parties basses presque entièrement refaites, ainsi
que plus de vingt statues. De 1854-1858 la restauration est confiée à
l’architecte Théodore Ballu. La statue de saint Jacques, abattue à la Révolution,
est remplacée par une autre, due à Paul
Chenillon. Les symboles sculptés des
quatre Évangélistes, le lion (Marc), le taureau (Luc), l'aigle (Jean) et
l'ange (Matthieu), apparaissent dans les angles. Les statues actuelles datent
du début du XXe siècle, à l'instar
des gargouilles et des
dix-huit statues de saints qui décorent les parois de la tour. Les sculptures
datent de deux époques. Les unes sont de l'origine de la construction au XVIe siècle, d'autres ont été créées aux XIXe et XXe siècles.
Détail dans wikipédia.] Poursuivons la rue jusqu’au parvis de l’Hotel de
Ville [En juillet 1357, Étienne Marcel
prévot des marchants de Paris fait l'acquisition de la « Maison aux
Piliers »
au nom de la municipalité. C'est là que, depuis lors, se dresse
le centre des institutions municipales de Paris. La « Maison aux
Piliers » tombant en ruines au XVIe siècle,
les officiers municipaux demandent et obtiennent du roi François Ier en 1529 qu'elle soit remplacée par un véritable palais
de style Renaissance qui est dessiné par l'architecte italien Boccador. Sa
construction débute en 1533
avec la première pierre posée le 15 juillet par le prévôt des
marchands de Paris Pierre Violle, et
s'achève en 1628. Au XIXe siècle l'agrandissement et la
reconstruction partielle de l'hôtel de ville ont été menés d'après les plans de
Godde et Lesueur de 1837
à 1848, tout en
préservant la façade Renaissance. Antoine Vivenel,
entrepreneur général, dirigeait le chantier. Quatre peintres, dont Jean-Victor Schnetz, sont appelés pour célébrer les grandes révolutions
parisiennes sur les murs de l'ancienne Salle du Trône. Pendant la Commune de Paris, l'incendie
déclenché par un groupe de communards le
24 mai 1871 réduit le palais en cendres. Le bâtiment est reconstruit
entre 1874 et 1882 sur les plans des architectes Théodore Ballu et Édouard Deperthes. La façade, de style néorenaissance, s'inspire largement de celle du bâtiment disparu. La
façade principale, d'une longueur de 143 mètres et d'une hauteur de
18,80 mètres (26,80 mètres pour celle des pavillons d'angle et
50 mètres pour le campanile). En 1937, un bunker est construit dans les sous-sols,
dans le
cadre de la défense passive. La place de Grève,
rebaptisée place de
l'Hôtel-de-Ville le 19 mars 1803, est devenue en 1982 un espace réservé aux piétons. La suite dans wikipédia
] Remontons sur la gauche le Parvis et
prenons à droite la rue de Rivoli, puis la rue saint Antoine. Nous arrivons
Place de la Bastille [La place de la Bastille
est une place de Paris, lieu symbolique de la Révolution française, où l'ancienne forteresse de la Bastille fut
détruite entre le 14 juillet 1789 et le 14 juillet 1790. Louis-Philippe décida en 1830 de construire la colonne de Juillet, déjà prévue en 1792, mais pour, cette fois, commémorer la révolution des Trois Glorieuses.
Une ordonnance royale du 6 juillet 1831 a prescrit l'érection d'un monument funéraire en
l'honneur des victimes des trois journées. La première pierre a été posée par
le roi Louis-Philippe Ier le 27 du même mois.
La colonne de Juillet est d'ordre corinthien ;
des inscriptions, des palmes, des couronnes d'immortelles, des rameaux de
chêne, les armes de la Ville, le coq gaulois et le lion, symbole astronomique
du mois de juillet, ornent le piédestal. Elle fut inaugurée en 1840. Détail dans wikipédia] Prenons
sur la droite le Bd Bourdon et longeons le port de l’Arsenal [ou bassin de l'Arsenal, relie le canal Saint-Martin
à la Seine, entre le quai de la Rapée
et la place de la Bastille.
C'était autrefois un port de marchandises qui est devenu depuis 1983 un port de plaisance.
ouvert en 1983 offre 177 postes d'amarrage. Lors de la mise en place du port de
plaisance, le jardin du Port-de-l'Arsenal

est créé sur la berge est du bassin, du côté du
boulevard de la Bastille. Wikipédia]

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