mercredi 2 juillet 2025

Petite Prom 172 à Paris ; Gare de L’Est - Bastille

  Aujourd'hui je vous emmène à Paris entre la Gare de L’Est et Bastille
 
Pourquoi cet itinéraire improvisé ? Lorsque je me rends sur certain lieu de rando je prends le bus & le train. Suivant les correspondances des trains je parts de très bonheur le matin. Mais ce n’est pas pour cela que je rentre plus tôt, je n’ai pas de bus, avant la fin d’après midi. J’ai eu l’idée un peu saugrenue, de réaliser quelques promenades dans Paris.  L’improvisation ce fut pour les premiers parcours. je ne pensais pas en faire un topo.

Novembre 2019

 

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Km    Temps    Arret     V/d    

10       2h10                    4,6
 

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Je parts de la Gare de l’Est [La gare de Paris-Est, dite aussi gare de l'Est (initialement appelée gare de Strasbourg), est l'une des six grandes gares terminus du réseau de la SNCF à Paris. Sa façade ferme la perspective de l'axe nord-sud percé par le baron Haussmann et constitué principalement par le boulevard de Strasbourg. La gare est l'œuvre de l'architecte François-Alexandre Duquesney et de l'ingénieur Pierre Cabanel de Sermet. Elle a été longtemps réputée comme la plus belle du monde, par son esthétique et ses qualités techniques. Le sommet du fronton ouest est orné d'une statue du sculpteur Philippe-Joseph Henri Lemaire représentant la ville de Strasbourg, tandis qu'une sculpture figurant Verdun, œuvre du sculpteur Henri Varenne, orne le fronton est. e bâtiment est de style néo-classique, avec une façade en pierre de taille ; les multiples ajouts apportés à la gare d'origine conservent ce style en façade, à l'exception de la grande halle transversale et de ses deux accès, rue d'Alsace et rue du Faubourg-Saint-Martin, qui sont de style Art déco. La façade de l'aile ouest (la plus ancienne) est éclairée par une demi-rosace, dotée d'une pendule flanquée des sculptures représentant la Seine et du Rhin par Jean-Louis Brian. Le pignon de ce hall est en bâtière avec motifs de bandes lombardes. Il est couronné d'une statue allégorique de la ville de Strasbourg, œuvre d'Henri Lemaire. La gare de l'Est est ouverte en 1849 par la Compagnie de Paris à Strasbourg, sous le nom d'« embarcadère de Strasbourg». À l'époque de la mise en place du réseau national, il existe une opposition entre les compagnies ferroviaires qui veulent limiter les coûts d'exploitation en utilisant une seule gare terminus pour desservir plusieurs lignes et les ingénieurs de l'État qui estiment que des gares séparées améliorent la qualité de l'exploitation. Pour la ligne Paris – Strasbourg, la décision de créer une gare séparée de la gare du Nord a été notamment défendue par l'ingénieur Cabanel de Sermet. La gare n'est pas située à l'est de Paris, car la ligne de Strasbourg contourne par le nord le relief qui s'étend de Belleville (Seine), Romainville à Fontenay-sous-Bois. Lors des débats sur le tracé de la ligne Paris-Strasbourg, il avait aussi été question d'aboutir à la gare d'Austerlitz ou à la gare de Lyon. les travaux, qui vont coûter dix-huit millions de francs, commencent en 1847, et le président Louis-Napoléon Bonaparte (futur Napoléon III) l'inaugure en 1850. Elle prendra le nom de « gare de l'Est » en 1854, après un premier agrandissement consécutif à la mise en service de la ligne de Mulhouse dont la compagnie, devenue Compagnie des chemins de fer de l'Est, avait obtenu la concession. Le 4 octobre 1883, la gare de l'Est est le théâtre de l'inauguration de l'Orient-Express, à destination de Constantinople. Elle connaît d'importantes transformations en 1885, puis en 1900. Enfin, entre 1926 et 1931, elle est dédoublée sur les plans de l'architecte en chef de la « Compagnie des chemins de fer de l'Est » Jules Bernaut, prenant sa physionomie actuelle. Dans le cadre du programme de défense passive, un poste de régulation souterrain a été construit sous les voies 2 et 3, peu avant la Seconde Guerre mondiale, pour assurer la continuité du service en cas de bombardement. Il permet d'abriter 70 personnes, sur une surface de 120 m2. Ce bunker est achevé le 30 mars 1941, par les Allemands. Il est resté depuis en l'état, y compris son mobilier. Suite dans wikipédia.] Sortons de la gare par le halle central, traversons la cour, nous trouvons la rue du 8 mai 1945, suivant les grilles de sorties nous sommes soit coté boulevard de Stasbourg, soit coté du Faubourg saint Martin. Je suis sortie coté Saint Martin, après le bloc d’immeuble prenez à droite la rue Saint Laurent, nous retrouvons le Bd de Strasbourg que nous prenons à gauche. Nous arrivons au grand carrefour avec le Bd Magenta, sur la gauche nous avons l’église Saint Laurent [située dans l'ancien enclos Saint-Laurent. L'église est construite sur l'axe nord-sud de Paris qui relie Senlis et Orléans tracé par les Romains au cours de la moitié du Ier siècle av. J.-C. (les actuelles rue du Faubourg-Saint-Martin, rue Saint-Martin, rue Saint-Jacques et rue du Faubourg-Saint-Jacques). L'église Saint-Laurent a été fondée au VIe siècle, en même temps qu'un monastère. Située hors les murs, l'église et le monastère furent pillés et détruits par les Normands en 885. Une nouvelle église Saint-Laurent, érigée en paroisse, est attestée en 1180. Cette nouvelle église, devenue trop petite, fut démolie pour faire place à l'église actuelle au début du XVe siècle, elle fut reconstruite dans le style de l'époque : le style gothique flamboyant. Le chœur fut consacré le 14 juin 1429. La structure gothique, les voûtes à pénétration, les fenêtres hautes, le déambulatoire à clefs de voûte sculptées sont encore visibles, malgré les transformations postérieures. C'est la dernière construction parisienne de style gothique flamboyant, un siècle et demi après la fin du XVe siècle, qui s'explique par le sens de l'économie : on a couvert l'église de la façon la plus sensée pour ne pas avoir à démolir pour reconstruire ce qui existait déjà. Sous le second Empire, les boulevards de Magenta et de Strasbourg furent percés respectivement en 1855 et en 1852. L'église Saint-Laurent était en retrait de l'alignement du boulevard de Strasbourg. Pour y remédier, la façade du XVIIe siècle fut détruite, et entre 1863 et 1867 l'architecte Simon-Claude Constant-Dufeux allongea l'église d'une travée, et reconstruisit une façade de style néogothique (néo-XIIIe siècle) ornée de sculptures. Il construisit également une flèche en plomb. Un fronton en lave émaillée signé Paul Balze est rajouté en 1870. Les trois premiers Sanson, bourreaux de Paris, y reposent avec certains autres membres de leur famille. Suite dans wikipédia] Traversons le Bd de Magenta et poursuivons le Bd. De Strasbourg. A l’angle de la rue du château d’eau (Métro) nous prenons à droite la rue du même nom. Coupons le Boulevard Saint Denis, poursuivons par la rue des Petites Ecuries, après la rue Martel, nous trouvons le Passage des Petites Ecuries que nous prenons à gauche [Elle se trouve sur l'emplacement occupé, au XVIIIe siècle, par les Petites Écuries royales. Wikipédia]. Nous débouchons dans la petite rue pavées de la cour des Petites Ecuries que nous prenons à gauche, passons sous l’immeuble nous traversons la rue du faubourg Saint Denis, que nous traversons pour franchir le porche du Passage Reilhac nous débouchons Boulevard de Strasbourg que nous prenons à droite. Quelques immeubles plus loin sur la droite et sous une verrière nous trouvons le passage Brady. Nous débouchons rue du Faubourg Saint Denis que nous prenons à gauche, dépassons le passage de l’industrie  et prenons sur la gauche la rue de Metz. A l’angle de cette rue et du Boulevard de Strasbourg nous trouvons un bel immeuble. Il faut traverser pour mieux le remarquer [Bâti en 1900, cet immeuble commercial illustre le goût de l’architecte Charles Lefebvre pour les revêtements en céramique au tournant du XXe siècle. Le bâtiment est entièrement construit en béton armé, ce qui autorise la présence de grandes baies éclairant les bureaux. Les façades sur le boulevard de Strasbourg et la rue de Metz sont rythmées par des bow-windows superposés. Le vocabulaire architectural est encore très décoratif : un revêtement en mosaïque de grès émaillé dû aux célèbres céramistes Alphonse Gentil et Eugène Bourdet recouvre l’ensemble du bâtiment. L’angle de l’immeuble a été l’objet de toutes les attentions : décorée d’imposants lions sculptés, la façade est couronnée par une mosaïque percée d’un oculus et surmontée d’une corniche saillante cintrée. Pour l’architecte Charles Lefebvre, voir également l’hôtel Plazza-Athénée. Source : Guide d’architecture Paris 1900-2008, Eric Lapierre, Pavillon de l’Arsenal, 2008. http://www.paris-promeneurs.com/Architecture-moderne/Immeuble-de-bureaux-Boulevard-de] Descendons le boulevard nous arrivons Boulevard de Saint Denis que nous prenons à droite. Nous trouvons sur la droite le passage couvert du Prado que nous prenons. [Le passage du Prado est l'un des deux passages couverts du 10e arrondissement de Paris, avec le passage Brady, situé légèrement plus au nord sur la rue du Faubourg-Saint-Denis. Le passage relie la rue du Faubourg-Saint-Denis au boulevard Saint-Denis en formant un coude à angle droit en son milieu. Les deux parties sont reliées par une rotonde. Le passage du Prado est une voie privée ouverte tous les jours au public de 8 h à 20 h. Le nom du passage fait référence au musée du Prado à Madrid, en Espagne. Il a été donné au passage en 1930. Avant cette date, il est appelé « passage du Bois-de-Boulogne », en référence à un bal public qui s'y trouvait, le bal du Bois-de-Boulogne. Le style architectural des supports de la verrière renvoie clairement à l’exposition des Arts décoratifs de 1925. Le passage est créé en 1785. Initialement découvert, il est couvert en 1925. Les travaux de rénovation du passage ont commencé le 26 mars 2012. En mai 2012, démolition du sol, réfection des alimentations et coulage d'une dalle de béton. De mai à fin juin 2012, réfection des fermes, de l’électricité et mise en place des éclairages. Début juillet 2012, mise en place du revêtement définitif du sol. Il s'agit d'un produit innovant constitué d'asphalte incrusté de morceaux de verre et poli. La mise en lumière est assurée par l'artiste Yann Kersalé. Wikipédia] Nous sortons rue Saint Denis que nous prenons à gauche, passons sous la porte Saint Denis [Arc de triomphe construit en 1672, par l'architecte François Blondel, à la gloire de Louis XIV. Elle est située à l'emplacement d'une porte de Paris de l'ancienne enceinte de Charles V. C'est un des monuments les plus représentatifs de l'art officiel de son époque. Cinq constructions ont porté le nom de porte Saint-Denis au cours de l'histoire de Paris, toutes sur l'axe de la rue Saint-Denis, c'est-à-dire la route de Paris à Saint-Denis, sur le chemin des rois se rendant à la basilique Saint-Denis. Lire la suite dans wikipédia.] Poursuivons en face par la rue Saint denis, laissons les rues sainte Apauline et Blondel, nous trouvons quelques rue plus loin le passage Lemoine (Passage sous un porche il faut passer des grilles, nous sortons Boulevard de Sébastopol que nous prenons à gauche, puis à droite la Rue Blondel et à gauche la rue Saint Martin, nous remontons vers la Porte Saint Martin [situé à l'emplacement d'une porte de l'ancienne enceinte de Charles V. Elle fut érigée en 1674 sur ordre de Louis XIV, en l'honneur de ses victoires sur le Rhin et en Franche-Comté, par l'architecte Pierre Bullet, élève de François Blondel, architecte de la porte Saint-Denis voisine. Le monument actuel est le successeur de trois portes fortifiées datant de la période médiévale, s'échelonnant le long de la rue Saint-Martin. Wikipédia] Redescendons la rue Saint Martin jusqu’au square Emile Chautemps que nous traversons, traversons également le Boulevard de Sébastopol, nous prenons en face le Passage du Ponceau (grand porche ouvragé). [Le passage est situé entre le 212 de la rue Saint-Denis et le 119 du boulevard de Sébastopol. Elle doit son nom à la proximité de la rue du Ponceau dont le nom lui vient d'un petit pont, un « ponceau » ou « poncel », qui existait sur un égout qui fut couvert en 1605, près de la rue Saint-Denis. Le passage, ouvert en 1826, a été raccourci en 1854 lors du percement du boulevard Sébastopol. Wikipédia] Nous ressortons rue Saint Denis que nous prenons à gauche quelques mètres puis à droite le passage du Caire sous un porche d’immeuble. Laissons une première allée sur la gauche, nous arrivons à une intersection et prenons à droite Galerie Sainte Foix (nous allons faire le coté du triangle). Nous arrivons à une nouvelle intersection, prenons à gauche galerie du Caire, nous sortons Place du Caire face au square, nous prenons à gauche, puis à gauche la rue du Caire, nous arrivons Rue Dussoubs que nous prenons à droite, nous débouchons rue de Réaumur que nous traversons et poursuivons tout droit par la petite rue pavées du même noms. Coupons la rue Grenéta poursuivons en face par la rue piétonne. A la sortie de la rue piétonne nous trouvons sur la gauche le passage du Grand Cerf (une galerie marchande.) Nous débouchons une nouvelle fois rue Saint Denis Faisons un esse droite – Gauche et prenons sous une arcade le passage Bourg L’Abbé [ouvert du lundi au samedi de 7 h 30 à 19 h 30. Il porte le nom d'un village appelé Bourg-l'Abbé, qui portait ce nom car il dépendait de l'abbé de Saint-Martin. Édifié en 1828, par Auguste Lusson, entre le passage du Grand-Cerf et le passage de l’Ancre (toujours existant et bordé de boutiques mais non couvert), le passage Bourg-l'Abbé n'est plus aujourd'hui que l'ombre de sa grandeur passée. À l’origine, il débouchait dans la rue du même nom, à ne pas confondre avec l'actuelle rue du Bourg-l'Abbé, percée ultérieurement. Le passage fut construit parallèlement à un autre passage plus ancien qu'il concurrençait et imitait, le passage du Saucède, disparu avec le percement de la rue de Turbigo en 1854. Le passage Bourg-l'Abbé fut amputé de plusieurs mètres lors de la construction du boulevard de Sébastopol en 1854 et du percement de la rue de Palestro. L'entrée est du passage ouvrant sur cette dernière est l’œuvre d'Henri Blondel, également architecte de la Bourse de commerce. Les deux cariatides qui encadrent l’entrée, sculptées par Aimé Millet sont des allégories du Commerce et de l’Industrie. Wikipédia] Nous débouchons rue Palestro que nous prenons à droite, puis à gauche la rue Turbigo, au carrefour tout proche, nous prenons à droite le Boulevard Sébastopol, puis à gauche la rue au Ours, nous arrivons au carrefour avec la rue Saint Martin, poursuivons tout droit la rue du Grenier Saint Lazare nous sommes dans le quartier de l’horloge . Pas facile de s’y retrouver par ici. Prenons la rue piétonne formant une petite place (lampadaire en son milieu) , laissons le passage Brantome un peut sur la gauche comportant un sas piéton, sur la droite, nous trouvons un passage sous immeuble. Le passage fait une intersection nous prenons à gauche le passage de l’horloge à automate. Nous sortons rue Rambuteau face a la « raffinerie de pétrole » ‘’le Musée Beaubourg ‘’ Prenons la rue Rambuteau sur la gauche jusqu'à la rue Beaubourg, ou nous trouvons la façade avec tout les tuyaux ayant donné son surnom a ce musée. [Le )centre national d’art et de culture Georges-Pompidou (CNAC) – communément appelé « centre Georges-Pompidou », « centre Pompidou » ou « centre Beaubourg », et familièrement « Beaubourg » – est un établissement polyculturel né de la volonté du président Georges Pompidou, grand amateur d'art moderne, de créer au cœur de Paris une institution culturelle originale entièrement vouée à la création moderne et contemporaine où les arts plastiques voisineraient avec les livres, le dessin, la musique ainsi que le cinéma. Inauguré le 31 janvier 1977, le centre Pompidou a accueilli, en 2016, plus de 3,3 millions de visiteurs. Dans l'esprit du président Georges Pompidou, l'implantation au centre de Paris d'un équipement culturel d'un type nouveau, voué à toutes les formes de la création contemporaine. En 1969, Georges Pompidou, devenu président de la République, décida de construire un nouveau musée d'Art moderne et choisit le plateau Beaubourg comme le seul emplacement disponible après la démolition de l'îlot insalubre no 1. Mais ce terrain étant également le seul susceptible d'accueillir la grande bibliothèque publique, il fut décidé, en février 1970, de réunir les deux projets au sein d'un même équipement culturel. Le 15 juillet 1971, le jury du concours international d'architecture, présidé par Jean Prouvé, décida de retenir, parmi les 681 projets présentés, celui des architectes Renzo Piano, Richard Rogers et Gianfranco Franchini. Parmi les autres projets, on peut citer celui d'André Bruyère, qui proposait un immeuble en forme d'œuf de 38 étages, sur 80 000 m2, qui aurait rompu drastiquement avec le rectiligne des voies parisiennes. Détail de la réalisation dans wikipédia] Longeons les tuyaux, prenons la rue Rambuteau sur la droite coupons la rue Sébastopol, poursuivons par la rue Berger, nous passons la fontaine des Innocents [La fontaine des Innocents, d'abord appelée fontaine des Nymphes, est une fontaine située à Paris 1er sur l'actuelle place Joachim-du-Bellay dans le quartier des Halles. De style Renaissance, elle a connu diverses modifications et a été déplacée à deux occasions. Elle est classée monument historique depuis 1862. La fontaine des Innocents a été réalisée en 1548 sous le règne du roi Henri II en remplacement d'une fontaine plus ancienne, remontant probablement à l'époque de Philippe Auguste, située au centre de l'ancien cimetière des Innocents. La fontaine est l'œuvre de l'architecte Pierre Lescot. Sa décoration et ses sculptures sont de Jean Goujon. Elle devait à l'origine célébrer l'entrée du roi dans Paris. Elle était initialement implantée sous forme de loggia ouverte sur les spectacles de la rue, adossée à l’église des Saints-Innocents, à une quarantaine de mètres de son emplacement actuel au nord-est de la place, au croisement de la rue Saint-Denis et de la rue aux Fers (partie de l'actuelle rue Berger). De forme rectangulaire et non carré comme aujourd'hui, elle ne possédait donc que trois arcades ornées de cinq naïades : deux décorant l'arcade de la rue Saint-Denis, les trois autres sculptées sur les deux arcades donnant en retour d'angle sur la rue aux Fers. Un alignement de pilastres, d'ordre corinthien, encadrant chacune des arcades supportait une frise et un attique à fronton triangulaire.
 L'ensemble reposait sur un soubassement d'où l'eau s'écoulait par de petits mascarons. À la fin du XVIIIe siècle, l'ensemble des cimetières de Paris sont vidés et remplacés par ceux actuels, situés à l'époque à l'extérieur de la ville. Le cimetière des Innocents, plus communément qualifié de charnier, qui jouxtait l'église des Saints-Innocents, est également vidé, à la suite de l'effondrement d'un muret dans une cave. L'église est démolie en 1785 et la fontaine se retrouve isolée dans un coin de l'espace dégagé, destiné à devenir un marché. Elle est alors déplacée, puis installée au centre de la place récemment créée et baptisée à l'époque « place du marché des Innocents ». Un ingénieur nommé Six est chargé de la démonter, tandis que les architectes Poyet, Legrand et Molinos en conçoivent le nouveau plan de réédification. Ils décident de lui donner une forme de pavillon carré. Il devient donc nécessaire de sculpter une quatrième face à la fontaine, travail exécuté en 1788 par Augustin Pajou, qui s'efforce de retrouver la même inspiration que son prédécesseur. Lorsqu'en 1856, un square est décidé pour remplacer le marché, devenu inutile à la suite du projet de construction des Halles par Baltard, la fontaine est encore déplacée de quelques mètres et recentrée dans l'espace réduit laissé à ce nouveau jardin public en 1860. Un soubassement de forme pyramidale, étagé de six bassins à bords arrondis, est ajouté sur chaque face. Le tout repose au milieu d'un bassin circulaire. Cette dernière transformation est confiée à l'architecte Gabriel Davioud. Suite dans wikipédia] et nous arrivons devant cet affreux forum des Halles emplacement de l’ancien marcher des Halles transféré à Rungis. Dommage on aurait certainement gagné en esthétique, en conservant les anciennes halles Baltard tout en rénovant le quartier. [Au milieu du XIXe siècle, douze pavillons sont construits par Victor Baltard sur l'emplacement des Halles de Paris, marché de vente en gros de produits alimentaires frais, situé au cœur de Paris, Au plus fort de son activité et par manque de place, les étals des marchands s'installaient même dans les rues adjacentes. Le marché central de vente en gros est déplacé à Rungis à la fin des années 1960 et les pavillons Baltard sont détruits, laissant un « trou » au centre de Paris durant quelques années. Le Forum est alors construit puis inauguré en 1979, au-dessus du principal nœud de RER et de métro de Paris. Dans les années 2010, le site est totalement repensé et rénové, avec comme principale innovation architecturale sa couverture, La Canopée, faite de verre et de métal. Le départ du marché de gros des Halles de Paris pour Rungis et La Villette est décidé le 14 mars 1960 par Michel Debré, Premier Ministre. Ce déménagement permet d'envisager une vaste opération d'urbanisme au cœur de la capitale pour redynamiser le

centre de la rive droite. Une importante décision est prise : la création d'une véritable ville souterraine liée aux transports en commun et comportant des équipements commerciaux, culturels, sportifs et de loisirs. Durant l'été 1971, la démolition des Halles Baltard est rendue nécessaire afin de créer, à ciel ouvert, la gare souterraine du RER. Le vide et l'espace vacant laissé sur la partie ouest du site reçoivent rapidement le surnom de « Trou des Halles ». L'inauguration a lieu le 4 septembre 1979, en présence de Jacques Chirac, maire de Paris. 190 enseignes s'installent sur 43 000 m2 répartis sur 4 niveaux. L'ensemble de cette première tranche comprend 70 000 m2, auxquels il faut ajouter 50 000 m2 de parcs de stationnement. Détail dans wikipédia. La très longue histoire des marchés de Paris sont sur https://fr.wikipedia.org/wiki/Halles_de_Paris] Pour ma part je découvre le nouveau forum, l’ancien après trente ans de construction demandait une bonne rénovation. L’extérieur de l’ancien était moche, je n’ai pas vu de différence avec le nouveau, c’est toujours aussi moche. Nous sommes porte de Lescaut approchons nous de l’entrée permettant de descendre dans le ventre de Paris et prenons sur la droite l’allée se nomment le passage de la Canopée, nous arrivons rue Baltard (rue piétonne nous sommes dans le jardin des Halles) que nous prenons à droite, puis à gauche l’allée Saint John Perse, nous apercevons sur la droite l’église Saint Eustache [Les origines de l'église Saint-Eustache remontent au début du XIIIe siècle. Une chapelle consacrée à sainte Agnès fut le premier édifice construit. Une crypte portant ce nom jouxte encore l'église côté oriental. Cette chapelle serait le don d'un bourgeois de Paris, Jean Alais, qui l'aurait fait bâtir en remerciement du droit que le roi Philippe Auguste lui avait octroyé de prélever un denier sur chaque panier de poisson qui arrivait aux Halles. Dès 1223, Sainte-Agnès fut érigée en paroisse et prit le nom de Saint-Eustache. La raison la plus probable de la nouvelle appellation serait le transfert d'une relique du martyr saint Eustache dans la nouvelle église, relique jusqu'alors détenue par l'abbaye de Saint-Denis. L'église fut plusieurs fois remaniée et agrandie au fur et à mesure de l'accroissement de la population du quartier. En 1532, il fut enfin décidé de construire une église digne du cœur de Paris. Bâtie dans un style gothique en pleine Renaissance, l'église dégage un caractère architectural harmonieux où l'antique des colonnes grecques et romaines côtoie les lignes encore présentes du Moyen Âge. L'objectif était de faire du gothique avec du plein-cintre. Ainsi, l'église a l'élévation du style gothique, les courbures du roman et les ornements de la Renaissance ; tous ces caractères réunis donnent à l'édifice un caractère unique. L'ancienne façade occidentale, dont les tours étaient restées inachevées, fut fragilisée par la construction de deux chapelles commandées en 1665 par Colbert qui était paroissien et premier marguillier de Saint-Eustache. Le sous-œuvre devant être repris, il fut décidé de rebâtir la façade après sa démolition ainsi que celle de la première travée de la nef et des bas-côtés. Un nouveau projet fut dessiné par Louis Le Vau dont Colbert devait assurer le financement. Ce ne fut pourtant que le 22 mai 1754 que le duc de Chartres en posa la première pierre. Jean Hardouin-Mansart de Jouy en devenait l'architecte. Sa construction traîna en longueur par manque de moyens, et le projet initial, qui comprenait deux tours à deux étages reliées entre elles par une galerie, se vit transformé par le lourd fronton qui écrase la façade. Suite dans wikipédia.] Prenons l’allée centrale sur la gauche, nous apercevons sur notre droite un bâtiment circulaire ; la Bourse du Commerce [Edifice de plan circulaire surmonté d'une coupole situé rue de Viarmes, C'est aussi une institution, qui fut hébergée jusqu'en 1885 dans le Palais Brongniart. [ À l'emplacement approximatif où se trouve aujourd'hui la Bourse de commerce se trouvait l'hôtel de Soissons qui appartenait, au début du XIIIe siècle, à Jean II de Nesles. N'ayant pas d'héritiers, celui-ci en céda en 1232 la propriété à saint Louis,(vous trouverez toute l’histoire de la succession et la transformation de l’hotel dans wikipédia) La construction de cette halle aux blés, accessible depuis le bord de Seine, a été décidée en 1763, Le bâtiment, qui comprend deux galeries concentriques, ouvertes sur l'extérieur par vingt-quatre arcades, et surmontées d'un vaste grenier vouté, deviendra la Bourse de commerce de Paris en 1885. Philippe Auguste avait établi les Halles de Paris aux Champeaux : les blés de la plaine de Luzarches y arrivaient par la route, et ceux de la Brie dans des bateaux qui abordaient au Port au Blé, au pied de l'Hôtel de Ville. Mais le quartier était l'objet d'une cohue permanente qui compliquait l'acheminement des grains. Pour assurer une meilleure efficacité au commerce du blé – qui formait, au XVIIIe siècle, le principal objet d'étude des économistes – on envisagea de construire une nouvelle halle aux blés. Depuis longtemps, les terrains de l'ancien hôtel de Soissons, que guettaient les créanciers du prince de Carignan, avaient été identifiés comme particulièrement propices à cet usage en raison de leur proximité avec la Seine, par où circulaient les bateaux chargés de grains. C'est l'architecte et théoricien Nicolas Le Camus de Mézières qui fut chargé de la construction de la halle et du quartier avoisinant entre 1763 et 1767. Le terrain dessinait un pentagone irrégulier. Les marchands étaient partagés sur la forme à donner à l'édifice : certains préféraient un « carreau » où la lumière du jour permettait de juger de la qualité des marchandises, tandis que d'autres soulignaient les avantages d'un édifice couvert pour les protéger des intempéries. Le Camus opta pour un bâtiment de plan annulaire, de 122 mètres de circonférence, percé de 25 arcades : la partie centrale restait ainsi à ciel ouvert, mais deux galeries concentriques, ouvertes sur l'extérieur par vingt-quatre arcades et couvertes de voûtes supportées par des colonnes d'ordre toscan, formaient un abri commode. Autour de la halle aux blés, on traça une rue circulaire – c'est l'actuelle rue de Viarmes. La cour intérieure fut primitivement laissée ouverte, mais cela nuisait à la conservation des grains. Entre septembre 1782 et janvier 1783, les architectes Jacques-Guillaume Legrand et Jacques Molinos la couvrirent d'une coupole en charpente, exécutée (1782-1783) par le menuisier André-Jacob Roubo, qui démontrait les qualités de la charpente à petits bois conçue par Philibert Delorme au XVIe siècle. Elle culminait à 38 mètres au-dessus du sol et était surmontée d'une lanterne en fer. Le bâtiment fut à nouveau ravagé par un incendie en 1854. La halle aux blés, dont l'activité n'avait cessé de diminuer, a été fermée en 1873 et le bâtiment fut attribué en 1885 à la Chambre de commerce, laquelle le fit transformer en Bourse de commerce qui était auparavant hébergée dans les locaux du Palais Brongniart. L'architecte Henri Blondel, chargé des travaux, fit transformer l'ancienne Halle au blé en Bourse du commerce. Il modifia la coupole en fonte et verre et fit maçonner la partie inférieure en brique. L'ensemble fut inauguré le 24 septembre 1889. Suite de cette longue histoire dans wikipédia.] Sortons des jardins, traversons la rue Berger et prenons en face la rue des Prouvaires, puis la rue du Roule, nous débouchons rue de Rivoli que nous prenons à gauche, puis à droite la rue du Pont Neuf, nous arrivons sur ls bords de la Seine. Prenons sur la gauche le quai de la Messagerie. Sur l’autre rive la conciergerie et la tour de l’horloge [Le palais de la Cité était la résidence et le siège du pouvoir des rois de France, du Xe au XIVe siècle, tout en restant le siège des principales cours de justice jusqu'à nos jours. Il s’étendait sur la partie ouest de l’île de la Cité. Cela sera un peut plus détaillé lors d’une autre promenade.] Nous arrivons Place du Chatelet [Elle a été construite à l'emplacement du Grand Châtelet, ancienne forteresse qui servit de prison et de tribunal sous l'Ancien Régime, et qui fut détruit en 1802 durant le règne de Napoléon Ier. Le centre de la place est réservé aux piétons. Il s'y dresse la fontaine du Palmier, une colonne érigée en 1808 à la gloire des victoires napoléoniennes. Un socle comportant une fontaine a été ajouté en 1858, surélevant la colonne. La fontaine, ornée de sphinx et de statues, a été conçue par Gabriel Davioud et rétablie par Jules Blanchard. De part et d'autre de la place, le long des quais, se dressent deux théâtres construits par Gabriel Davioud à la demande du baron Haussmann : le théâtre du Châtelet et le théâtre de la Ville. Quatre brasseries sont présentes aux quatre coins de la place, dont Le Zimmer à l'angle nord-ouest. La suite dans wikipédia] prenons sur la droite l’avenue Victoria, sur la gauche la Tour saint Jacques. [La tour Saint-Jacques est l'unique vestige de l'église Saint-Jacques-la-Boucherie, dont le nouveau clocher est construit entre 1509 et 1523, ce clocher-tour est dressé au milieu du premier square parisien, qui porte son nom. Tout en reprenant certains éléments du style Louis XII contemporain, cet édifice montre à quel point l'architecture parisienne et notamment religieuse se montre réticente aux nouveautés amenées d'Italie et reste, fidèle pour l'essentiel au style gothique flamboyant du XVe s. La tour Saint-Jacques est un ancien Clocher constituant le seul vestige de l'église Saint-Jacques-la-Boucherie, dédiée à saint Jacques le Majeur. sanctuaire abritait une relique de saint Jacques et constituait un lieu de pèlerinage réputé ainsi que le lieu de culte des commerçants du quartier. Si le Guide du pèlerin ne mentionne pas la ville, la Chronique de Turpin affirme que l’église a été fondée par Charlemagne, ce qui lui a valu son inscription au patrimoine mondial de l’UNESCO au titre des chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle en 1998 avec 70 autres bâtiments ou lieux en France. Cette Chronique qui forme un des Livres du Codex Calixtinus a été considérée comme authentique jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. Mais la légende de la construction par Charlemagne est restée. Elle est le seul lien de cette tour avec Compostelle connu des études historiques. Ce clocher-tour est construit entre 1509 et 1523 par Jean de Felin, Julien Ménart et Jean de Revier. Il mesure 54 mètres jusqu’à la balustrade. En 1824, un industriel achète la tour pour y installer une fonderie de plombs de chasse, la transformant en tour à plomb. Les cinquante mètres du clocher sont suffisants pour que les gouttes de plomb refroidissent et forment des billes à l'arrivée. En 1836, après deux incendies, la tour est rachetée par la Ville de Paris. En 1850, le Moniteur rapporte qu’on installe au sommet un « superbe phare qui sera illuminé par la lumière électrique qui doit éclairer tout le quartier ». En 1852 les travaux engagés à l’occasion du percement de la rue de Rivoli font décider de la restauration du « délicieux beffroi de Nicolas Flamel ». Les travaux sont colossaux, ordonnés par l’architecte Victor Baltard et dirigés par Théodore Vacquer et l’ingénieur Roussel. La tour est entièrement reprise depuis les fondations, les parties basses presque entièrement refaites, ainsi que plus de vingt statues. De 1854-1858 la restauration est confiée à l’architecte Théodore Ballu. La statue de saint Jacques, abattue à la Révolution, est remplacée par une autre, due à Paul Chenillon. Les symboles sculptés des quatre Évangélistes, le lion (Marc), le taureau (Luc), l'aigle (Jean) et l'ange (Matthieu), apparaissent dans les angles. Les statues actuelles datent du début du XXe siècle, à l'instar des gargouilles et des dix-huit statues de saints qui décorent les parois de la tour. Les sculptures datent de deux époques. Les unes sont de l'origine de la construction au XVIe siècle, d'autres ont été créées aux XIXe et XXe siècles. Détail dans wikipédia.] Poursuivons la rue jusqu’au parvis de l’Hotel de Ville [En juillet 1357, Étienne Marcel prévot des marchants de Paris fait l'acquisition de la « Maison aux Piliers » au nom de la municipalité. C'est là que, depuis lors, se dresse le centre des institutions municipales de Paris. La « Maison aux Piliers » tombant en ruines au XVIe siècle, les officiers municipaux demandent et obtiennent du roi François Ier en 1529 qu'elle soit remplacée par un véritable palais de style Renaissance qui est dessiné par l'architecte italien Boccador. Sa construction débute en 1533 avec la première pierre posée le 15 juillet par le prévôt des marchands de Paris Pierre Violle, et s'achève en 1628. Au XIXe siècle l'agrandissement et la reconstruction partielle de l'hôtel de ville ont été menés d'après les plans de Godde et Lesueur de 1837 à 1848, tout en préservant la façade Renaissance. Antoine Vivenel, entrepreneur général, dirigeait le chantier. Quatre peintres, dont Jean-Victor Schnetz, sont appelés pour célébrer les grandes révolutions parisiennes sur les murs de l'ancienne Salle du Trône. Pendant la Commune de Paris, l'incendie déclenché par un groupe de communards le 24 mai 1871 réduit le palais en cendres. Le bâtiment est reconstruit entre 1874 et 1882 sur les plans des architectes Théodore Ballu et Édouard Deperthes. La façade, de style néorenaissance, s'inspire largement de celle du bâtiment disparu. La façade principale, d'une longueur de 143 mètres et d'une hauteur de 18,80 mètres (26,80 mètres pour celle des pavillons d'angle et 50 mètres pour le campanile). En 1937, un bunker est construit dans les sous-sols, dans le cadre de la défense passive. La place de Grève, rebaptisée place de l'Hôtel-de-Ville le 19 mars 1803, est devenue en 1982 un espace réservé aux piétons. La suite dans wikipédia ] Remontons sur la gauche le Parvis et prenons à droite la rue de Rivoli, puis la rue saint Antoine. Nous arrivons Place de la Bastille [La place de la Bastille est une place de Paris, lieu symbolique de la Révolution française, où l'ancienne forteresse de la Bastille fut détruite entre le 14 juillet 1789 et le 14 juillet 1790. Louis-Philippe décida en 1830 de construire la colonne de Juillet, déjà prévue en 1792, mais pour, cette fois, commémorer la révolution des Trois Glorieuses. Une ordonnance royale du 6 juillet 1831 a prescrit l'érection d'un monument funéraire en l'honneur des victimes des trois journées. La première pierre a été posée par le roi Louis-Philippe Ier le 27 du même mois. La colonne de Juillet est d'ordre corinthien ; des inscriptions, des palmes, des couronnes d'immortelles, des rameaux de chêne, les armes de la Ville, le coq gaulois et le lion, symbole astronomique du mois de juillet, ornent le piédestal. Elle fut inaugurée en 1840. Détail dans wikipédia] Prenons sur la droite le Bd Bourdon et longeons le port de l’Arsenal [ou bassin de l'Arsenal, relie le canal Saint-Martin à la Seine, entre le quai de la Rapée et la place de la Bastille. C'était autrefois un port de marchandises qui est devenu depuis 1983 un port de plaisance. ouvert en 1983 offre 177 postes d'amarrage. Lors de la mise en place du port de plaisance, le jardin du Port-de-l'Arsenal

est créé sur la berge est du bassin, du côté du boulevard de la Bastille. Wikipédia]






































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