dimanche 2 mars 2025

Randonnée Le Plus Loin Possible 2024 ; Etape 1087 – Montréal (Gers) – Nérac (Lot et Garonne)


Je quitte le village de Montréal du Gers pour rejoindre Nérac dans le Lot et Garonne.  Je retrouve enfin un GR le 654 Est. Mais c’est encore un itinéraire de 32 km et après les 40 d’hier, j’avais peur d’avoir mal aux jambes. J’ai un peu coupé le balisage Blanc et rouge par du bitume. Moi qui fait spécialement le détour par la ville ou Henri IV passa sa jeunesse, je n’ai pas suivi dans sa totalité le GRP ‘’Dans les pas d’Henri IV’’.

Depuis longtemps je souhaitais réaliser des promenades itinérantes autour de la France. Et puis un jour j’ai découvert sur internet l’Association Nationale de Grand Sentier de France, avec une carte tançant un chemin autour de la France. Jeune randonneur je n’ai pu réaliser le parcours immédiatement. Il est resté un long moment dans ma tête. Après quelques événements de santé, je me suis dit qu’il était temps de partir et j’ai ressorti ma vieille photo de la carte avec ses 10 000 kilomètres de parcours. Me promenant seul et après quelques essaies de promenades sur les hauts sentiers des Alpes ou je ne me sentais pas à l’aise, je me suis tracé ma propre carte, en longeant la Seine, puis en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre. C’est ainsi que je ne traverse pas les Alpes par le GR 5, mais après La Grande Traversée du Jura, je poursuis par les Préalpes et la traversée de la Chartreuse en empruntant les vallées d’Entremont. Je n’ai pas traversé les Pyrénées par le GR 10, mais en partie par le GR 78.

Pourquoi trois départs ? Dans un premier temps je fais des promenades ouvertes avec retour en trains proche de mon point de départ, sur la rive droite et gauche de la Seine, jusqu’au moment ou le temps de transport est plus long que le temps de parcours à pied. La rive gauche de la Seine devant servir de retour.

Pourquoi Nice ? Difficile de marcher avec les grosses chaleurs. Alors le sud de la France je le fais au printemps.

Pourquoi la Seine ? Je ne suis pas certain de pouvoir marcher plusieurs jours de suite. La Seine à l’avantage d’avoir lors de mon départ des campings tout les 20 ou 25 km ainsi que des gares proches de mes campements.

  9 septembre 2024

 Le grand Sentier de France ne longeais pas les sables de l’atlantique en contournant les Landes par le GR 65. Je n’ai pas choisi cet itinéraire qui me faisait revenir en arrière. Et puis je désirais réaliser la corniche puis rejoindre l’un des GR remontant vers le nord. Malheureusement ils sont loin et il y a beaucoup de bitume à faire sur des routes qui sont parfois dangereuses.

 

 Carte OpenStreet    TraceGPS    Trace Randogps

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile c'est facile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

Le code mobile de cette randonnée est b383883

Carte mobile VisioRando Toucher le lien puis le rectangle à coté du numéro.

Km                  temps                  arrêt                 vd                vg           dénivelé

32                    5h55                   1h25                 5,5               4,5             458 +

C’est la dernière étape sur mon chemin de contournement des Landes. Demain je fais un transfère dans le couserans. Je suis étonné, ce matin je n’ai pas ou plus mal aux jambes. Faut dire qu’après 227 km en sept jours, les muscles se sont habitués. Montréal c’est la ville étape de Saint Jacques de Compostelle, même si l’on ne prend pas pension dans les établissements prévus pour le chemin, nous rencontrons beaucoup de pèlerins. Hier en arrivant devant mon gîte d’un soir une personne attend, J’ai appelé l’hôte me dit elle, vous faite le Chemin ? Comment dire… Non j’emprunte les chemins mais j’essaye de faire un tour de France. Par la façon dont elle se tient dans l’encoignure de la porte, enfin l’encoignure la soutien, je vois bien qu’elle est exténuée. Elle me dit comme une excuse, je fais le chemin, je suis partie il y a quatre jours et c’est la première fois que je marche autant. Je ne connais rien à la marche. Aujourd’hui j’ai fait vingt kilomètres, et vous ? En bon macho, je lui compte mon histoire. Elle est atterrée, et me dit qu’elle n’a jamais imaginée que l’on pouvait faire autant de kilomètres avec un si lourd sac. Comme les vrais pèlerins, elle à claquée la porte de

chez elle, et marche avec un sac de sept kilos. Son mari lui a dit tu ne marchera pas plus de trois jours et je ne viendrais pas te chercher avant. Lorsque l’hôte nous ouvre la porte, nous sommes incités à retirer nos chaussures, pour ne pas abîmer les parquets, elle à beaucoup de mal à retirer les siennes, et avec la chaussure vient les chaussettes, ses pieds sont en sang ou presque, elle a des pansements partout. Plus tard nous nous retrouvons au restaurant. Une petite salle, les tables sont tellement serrées que l’on a l’impression que l’on mange tous à la même. Une grande partie des hôtes de notre hôte se retrouvent ici. Je comprends qu’elles font toutes le chemin. Il y a un groupe de quatre femmes, qui comme moi font un petit bout de leur chemin chaque année. En temps normale,
e pensais qu'il y avait que chez nous...

elles font parties d’un groupe de randonneurs et marche régulièrement. Ma randonneuse exténuée, c’est remise un peu, la marche reste encore difficile, du moins les premiers pas. Elle s’étonne, cela fait deux jours qu’elle suit le petit groupe, et tous les soirs elles ont des tenues différentes. Le petit groupe lui compte leur organisation, les valises suivent en voiture par un transporteur, avec tout le superflu, et elles marchent avec le stricte nécessaire. Ma randonneuse découvre. Je dis ma randonneuse, nous mangeons l’un en face de l’autre et je ne lui est même pas demandé son prénom. Dans son sac de sept kilos pas même un vêtement chaud, moi, toujours moi, mais dans mon gros sac, j’ai des vêtements chaud, et cette année je suis bien comptent de les avoir pris. Je serais bien resté discret, sur ce que je tente de faire et sur le nombre de kilomètres réalisés aujourd’hui, mais voilà elle me rend la monnaie de ma bravade, elle le dit tout fort dans le restaurant, je ne sais plus ou me mettre, elle me demande en combien de temps j’ai réalisé cet exploit. Au temps indiqué elle s’aperçoit que je ne marche pas beaucoup plus vite qu’elle. Le macho que je suis fait juste la réflexion que je tiens la distance à cette moyenne. Je n’insiste pas sur le faite, qu’avec des pieds abîmés comme elle à, elle ne doit par marcher à 5,5 de moyenne. Si elle marchait à cette vitesse, elle aurait dut être à Montréal autour des treize ou quatorze heures et pas à dix sept heures ou alors elle est partie en début d’après midi. Encore de la bravade… Le reste du repas se déroule en parlant informatique. Elle doit être informaticienne, ou quelque chose comme cela. Je ne pose pas de questions de peur d’être indiscret, timide aussi, et puis j’ai plutôt l’habitude de manger seul. Elle m’incite à écrire mon histoire, lorsque je lui dit que c’est fait, elle cherche sur son téléphone, et me dit que mon site est pourri, que les deux ou trois milles vues par mois sont ridicules. Un compliment tout de même les articles semblent complets et ce n’est pas qu’un miroir des mes exploits… Elle me donne quelques astuces pour que mon site remonte dans la hiérarchie de Google et me promet d’étudier mon cas, après son retour de pèlerinage prévu fin octobre. Qu’elle c.., je ne lui demande même pas une adresse mail pour avoir de ses nouvelles. J’ai peut être eu peur d’être pris pour un personnage odieux qui attend la chute de son égale. J’attends novembre avec impatience… C’est la première fois que je m’intéresse, mais trop tard, à une personne réalisant le jacquaire, ou à des randonneurs. Ceux que je rencontre d’ordinaire, marchent parce que c’est la mode, pour paraître au bureau, durant la pose café d’avoir fait un ‘’truc’’ différent, ou pour indiquer sur leur CV de randonneur un GR de plus. Parce que partir comme cela presque du jour au lendemain, sans préparation, sans idées de ce que l’on va rencontrer, mais avec tout de même une crédentiale. Des réservations de couchage pour quatre jours, et après c’est le néant. On est en septembre il faudra traverser les Pyrénées… sans encore de vêtements chauds. Je l’admire. Hier, le petit groupe a décidé de marcher quinze kilomètres. Pour moi une journée de repos. Pour elle ‘’ma randonneuse sans nom’’, certainement une quinzaine de kilomètres de souffrances. Ce matin au petit déj en libre service je suis le premier, le petit groupe ne décollera pas avant neuf heures. Ma
Bataillon de l'Armagnac
randonneuse est debout, un peu plus droite qu’hier. Je souris j’ai l’impression qu’elle marche sur des œufs frais et qu’elle ne veut pas les casser. Gentiment elle m’insulte, se rendant compte que ce sourire est moqueur.  Elle cherche des ciseaux pour couper le sparadrap qu’elle ajoute au dessus de ses compeeds, et ajoute, cela devrait aller je me suis badigeonné d’arnica... J’imagine que La journée va être difficile. Chapeau bas madame je suis admiratif sur votre persévérance. Je ne suis pas sur d’en faire autant.
 Cela commence bien je pars en me trompant de chemin j’emprunte le GR 65 au lieu du 654 Est. Ensuite je ne vois pas les balises et descend par les rues et suis la D 29 au lieu de suivre le chemin dans les champs. A la fourche je retrouve le balisage et prend la D 168 en direction de Rose d’Armagnac, (sur la route nous trouvons une stèle. Bataillon d'Armagnac.) passons le ruisseau de Lauzoue et à  
l’angle du bois prenons le chemin de droite, d’un coté nous longeons le bois, je rouspétais de la voie verte avec son bitume, mes cyclistes avec le ballaste herbeux, mais là nous retrouvons les chemins boueux et je comprends l’état des chaussures des pèlerins hier. Après le bois, nous trouvons les champs, puis les vignes, nous traversons une route et après un bois, notre balisage fait un coude d’équerre à gauche.
 Après le bois nous retrouvons les vignes et au carrefour à l’angle de cette dernière prenons à droite. A la ferme de Boubée nous retrouvons un peu de bitume, le chemin tourne sur la droite, nous longeons encore des vignes, puis après les champs nous retrouvons le bitume que nous prenons à gauche. Nous débouchons à l’angle de la D 270 et D 114, nous sommes à Fourcès, prenons à droite la direction de Fourcès village, traversons de nouveau la rivière de Lauzoue, nous apercevons une tour avec un clocheton, je poursuis la petite rue et arrive sur une magnifique place Ronde dont le centre herbeux est planté de beaux platanes elle est cerné par des maisons construites sur une galerie d’arcades. Fourcès est construit autour d'un château remplacé aujourd'hui par une place ombragée de platanes, Fourcès est une originale bastide ronde dont les maisons créent un décor théâtral de colombages et d'arcades. Notre tour à clochetons se trouve être la
Fourcès
tour de l’horloge du XIIIème. Je fais un détour par le château d’aujourd’hui. Rien que ses deux derniers jours ne me font pas regretter mon détour par Nérac. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Passons le ruisseau, sur la droite le château, sur la gauche l’église avec sa tour carrée. Après un esse gauche-droite prenons la petite route légèrement sur la gauche en direction de Laxe Jouet, Romboeuf. Grimpons la petite colline. Nous arrivons à la ferme accueil de Bajolle, quittons le bitume pour suivre la route carrossable sur la gauche, traversons les vignes, laissons un chemin sur la gauche et quelques centaines de mètres plus loin à l’angle d’un carré de vigne prenons le chemin de droite qui deviendra route. Nous sommes toujours sur le GR. Nous arrivons à l’étang de Villeneuve de Mézin, quittons le bitume et poursuivons en longeant la rive de l’étang. Le chemin très herbeux ne se voit pas bien, au talus barrage nous descendons sur la gauche et prenons la D 5 sur la droite. Longue route, jusqu’à Mézin.  J’ai quitté le GR, il partait sur la gauche et faisait un trop grand détour pour rejoindre Mézin. La route traverse d’un coté un bois et de l’autre une peuplerait dans laquelle serpente la rivière l’Auzoue. Après un petit pont nous retrouvons le GR et une piste cyclable nous permettant de marcher en sécurité. Prenons à droite. Au pied de la colline, je fais une pose et regarde mon itinéraire. Le GR grimpe en ville et poursuit de l’autre coté son chemin en passant proche de Nérac. Ma trace prend directement la direction de Nérac par la départementale. Je décide de me détourner. Grimpons au centre du village de Mézin ancienne capitale du bouchon de Liège et qui a donné naissance à un président de la république
Mon entrée à Mézin
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 La rue monte fortement mais une fois sur la place nous ne sommes pas déçus.  Je fais le tour de l’église Saint Jean Baptiste, construction massive, ayant l’aspect d’un château fort. Le clocher fut en 1924 la proie des flammes, et fut reconstruit avec une ossature de béton. Comme ses jours derniers je n’ai pas le temps de faire le tour complet du village et je loupe pas mal de choses, dont le Théâtre, et la magnifique façade de l’hôpital Saint Jacques avec sa galerie. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Ce n’est qu’un prétexte, j’improvise, lorsque j’ai préparé ma trace, je contournais la ville par la départementale. Je trouvais que le GR faisait un trop grand détour alors je faisais l’erreur de suivre le bitume et puis mes yeux n’étaient que pour Nérac qui ne se trouve qu’a 12 kilomètres. Par la route du Général Tartas, puis la rue des Bouchonniers à la fourche du cimetière prenons à gauche la direction de la ferme d’Haouas et la rando cycliste N°1. Nous sortons de la ville retrouvons les champs et au carrefour prenons à droite le circuit vélo de Buzet sur Baïse par le Fréchou après quelques kilomètres nous retrouvons la D 656 que je fais l’erreur de prendre à gauche, une dizaine de kilomètres sur une route très fréquentée, j’aurais dut prendre le GR et ne faire sur la départementale que les quatre derniers kilomètres. La route est longue, très longue et ennuyeuse, je n’en vois pas le bout. Après un virage j’aperçois sur la gauche le château fort de Tasta. Sur internet je trouve une vidéo indiquant que ce château fut abandonné par Henry IV. Cela m’intrigue et ne trouve pas confirmation dans mes autres recherches. Les Albret reçoivent simplement l’hommage de leur vassale du château de Tasta. Je poursuis une route bosselée qui me casse les jambes, c’est pire que de faire mille mètres de dénivelés. Je suis inquiet, je ne vois toujours pas de village, je commence à avoir mal aux jambes, enfin après une monté j’aperçois Nérac. La route descend et est bordée de platanes le houppier nous cache l’organisation de la ville, j’espère ne pas être obligé de remonter aujourd’hui la colline face à moi. A l’entrée de Nérac nous longeons une belle façade que je prends pour celle d’un château, mais ce n’est que la propriété d’une ancienne brasserie. Dans cette rue, nous avons quelques maisons que je dénommerais par ‘’bourgeoise’’. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Nous arrivons sur la place que je trouve très mal nommé (du Général Leclerc) alors que nous y trouvons la statue d’Henri IV
 
 
 
 
Je descends par la rue Marcadieu et arrivons sur la petite place arborée du centre nous y découvrons une maison à pan de bois et la statue de J. de Romas. Descendons l’allée du centre nous trouvons sur la droite un corps de bâtiment avec deux tours carré ‘l’hotel des présidents’. Revenons sur nos pas, 
 
 
prenons la petite rue de l’école, une rue étroite avec de haute façade en pierre, nous y trouvons en rez de chaussée des fenêtres en plein cintre, la rue se rétrécie, un peu plus loin nous avons du mal à voir au vu de l’étroitesse de la rue le clocheton de la mairerie [monuments les plus anciens de Nérac les fondations datent des XIV et XV siècles. Détruit par in incendie en 1611. Le beffroi servait à donner l’alarme]. Un peu plus bas au niveau du 3 de la rue et de la chambre d’hôtes une façade de maison sans importance, par la rue de Pussoque situé à l’arrière de la maison nous y apercevons le haut d’une tour carré [Dans cette maison et la maison situé à coté se seraient déroulées les conférences de Nérac en 1578. Ayant pour but de réconcilier catholiques et protestants, prémices de l’édit de Nantes. Il y aurait des souterrains jusqu’au château].
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 Dans le bas de la rue nous trouvons des maisons à colombages, et la maison de Griffuelhes, Descendons vers le vieux pont. Du pont la vue est magnifique, nous sommes encore au XV siècle, l’église Notre Dame perchée sur la rive droite, les maisons à colombages, assorties aux maisons de pierres, le port. 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Passons la Baïse. Vers le haut de la rue nous trouvons la maison tout en pierre de Sully
 
 
Maison de Sully
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  Grimpons jusqu’à l’église Notre Dame. Sur la notice du patrimoine nous y trouvons des photos du trésors. Revenons au pont, après être passé au panorama ou l’on voit le clocheton de la Mairerie. Prenons sur la gauche la rue Séderie, nous arrivons sur une place ou nous avons une vue sur l’église Saint Nicolas.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 En bordure de la Baïsse face à la médiathèque nous trouvons le lavoir à l’extrémité de l’espace d’Albret au pied des marches une vue sur le château.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  Montons les escaliers et traversons la rivière par le pont neuf grimpons jusqu’à l’esplanade du château,

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  traversons la cour nous voilà place de l’hôtel de ville, devant un bâtiment en pierre construit sur des arcades à notre droite la Mairie [c’est un ancien hôtel particulier, puis une prison. Ce bâtiment fut choisi par Armand Fallière pour y installer la mairie en 1872].
 
 
 
 
 
 
 
 
 Prenons le petit passage sur le coté de la mairie, puis la rue Fallières sur la droite nous arrivons place Saint Nicolas nous y trouvons l’église Saint Nicolas.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 Au hasard des rues 





















 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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