dimanche 2 mars 2025

Randonnée Le Plus Loin Possible 2024 ; Etape 1084 – Mugron - Mont de Marssan (Landes)


Je quitte le petit village de
Mugron dans les Landes pour rejoindre Mont de Marsan. 

 Depuis longtemps je souhaitais réaliser des promenades itinérantes autour de la France. Et puis un jour j’ai découvert sur internet l’Association Nationale de Grand Sentier de France

Ce matin c'est le déluge
, avec une carte tançant un chemin autour de la France. Jeune randonneur je n’ai pu réaliser le parcours immédiatement. Il est resté un long moment dans ma tête. Après quelques événements de santé, je me suis dit qu’il était temps de partir et j’ai ressorti ma vieille photo de la carte avec ses 10 000 kilomètres de parcours. Me promenant seul et après quelques essaies de promenades sur les hauts sentiers des Alpes ou je ne me sentais pas à l’aise, je me suis tracé ma propre carte, en longeant la Seine, puis en tournant dans le sens des aiguilles d’une montre. C’est ainsi que je ne traverse pas les Alpes par le GR 5, mais après La Grande Traversée du Jura, je poursuis par les Préalpes et la traversée de la Chartreuse en empruntant les vallées d’Entremont. Je n’ai pas traversé les Pyrénées par le GR 10, mais en partie par le GR 78.

Pourquoi trois départs ? Dans un premier temps je fais des promenades ouvertes avec retour en trains proche de mon point de départ, sur la rive droite et gauche de la Seine, jusqu’au moment ou le temps de transport est plus long que le temps de parcours à pied. La rive gauche de la Seine devant servir de retour.

Derrière la goutte d'eau ; une figue

Pourquoi Nice ? Difficile de marcher avec les grosses chaleurs. Alors le sud de la France je le fais au printemps.

Pourquoi la Seine ? Je ne suis pas certain de pouvoir marcher plusieurs jours de suite. La Seine à l’avantage d’avoir lors de mon départ des campings tout les 20 ou 25 km ainsi que des gares proches de mes campements.

  6 septembre 2024

 Le grand Sentier de France ne longeais pas les sables de l’atlantique en contournant les Landes par le GR 65. Je n’ai pas choisi cet itinéraire qui me faisait revenir en arrière. Et puis je désirais réaliser la corniche puis rejoindre l’un des GR remontant vers le nord. Malheureusement ils sont loin et il y a beaucoup de bitume à faire sur des routes qui sont parfois dangereuses.

 

 Carte OpenStreet    TraceGPS    Trace Randogps

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Le code mobile de cette randonnée est b380617

Carte mobile VisioRando Toucher le lien puis le rectangle à coté du numéro.

Km    temps     arrêt    vd     vg       dénivelé

17      4h30                   4,2                    147 +      Parcours réalisé
37 km    Parcours de la Trace

Pourquoi 17 km de réalisés, sur les 37 à faire. Ce matin, il tombe des hallebardes et cela va durer toute la matinée et une partie de l’après midi. J’ai un bel imper, d’une grande marque habillant les montagnards, veste et pantalon. Normalement je ne devrais pas être mouillé. Mais je transpire à l’intérieur. C’est un sauna, et après quatre heures de pluie, une fois que le vent et la pluie redouble la membrane intérieure, certainement en gore-tex vient se coller sur la peau. J’avais froid, et je me sentais mouillé. En juin je suis rentré malade de ma traversée de la Chartreuse et du Vercors. Je ne voulais pas que ce soit la même chose en septembre. J’ai pris le Bus pour terminer ma balade.

Je suis réveillé par la pluie, les caniveaux débordes, c’est un rideau d’eau. Je me pose la question doit-je partir à pied, ou chercher un autre moyen. Il y a un bus, le 453 Attention ce n’est pas un bus toute les dix minutes, n’y même toute les heures il y en a trois 6h47, 8h20, 13h15, il met environ quarante minutes pour rejoindre Mont de Marsan. L’arrêt se trouve à l’ancienne gare, place de la gare qui se trouve juste derrière l’hôtel. Après

Survivance de la voie de la Chalosse

le petit déjeuner, il pleut un peu moins. Il paraît que la pluie n’arrête pas le pèlerin. Je m’habille en pêcheur, pantalon et veste pour me protéger des averses. Je rejoints la voie verte de la Chalosse en prenant la D 32 (Rue Jean Darcet) en direction de Montaut et Saint Sever, a la sortie du village après le N° 203, nous trouvons un pont et une voie sans issu. Sous le pont la voie verte. Pas d’escalier. Je pense qu’en prenant la voie sans issu, un plan incliné ou un escalier me permettra de rejoindre la voie verte. Malheureusement rien n’existe. Le point d’entré n’est pas ici. Je descends un talus bien pentu. Nous sommes dans les bois, passons sur un pont métallique. Nous sortons du bois et arrivons dans un hameau, et devons faire un esse gauche-droite. La maison qui fait l’angle même transformer, ressemble à une maison de garde barrière. Après le bitume du chemin du Spouys, nous retrouvons notre voie verte, puis de nouveau le bitume par la route de Larrey et de Lamarque, traversons un bois longeons la petite maison isolée N°41 Nous sommes obligés de prendre la route, sur la gauche c’est la direction de Dax en vélo et sur la droite, la voie verte de Chalosse, prenons à droite, la route de l’Adour serpente. Nous débouchons sur la route des deux vallées, nous arrivons sur la route (chemin) du Gabas la voie verte prend à gauche nous longeons des silos et le bâtiment administratif ressemble bien à une ancienne gare.
Saint Sever
Traversons Nauticon, nous arrivons à l’aire d’accueil de Montaut-Roumentière, ou nous retrouvons notre chemin en stabilisé. Après avoir traversé le Gabas, nous arrivons à la maison du garde N° 49 poursuivons en face ce chemin bordé d’une haie d’arbres. Si cela ne me protège pas de la pluie au moins cela me protège un peu du vent. Coupons une route et nous arrivons à l’aire de pique nique d’Augreilh le long du parking nous retrouvons un morceau de l’ancienne voie SNCF. Saint Sever se trouve à quatre kilomètres. Longeons le parking, dansle taillis nous apercevons un ancien panneau de signalisation annonçant un raccordement de voie. Nous débouchons sur la D 352, la voie verte et Saint Sever est indiqué à gauche, sur la carte, ne voyant pas
trop bien par ou la voie verte nous faisait passer, je tourne le dos à la pancarte et prend à droite, passe l’ancienne ligne de chemin de fer, et à la fourche avec son haricot, prenons à droite la rue des écoles jusqu’à la D 32 (route de Montaut). Au carrefour de la D 32 prenons à gauche la direction de Saint Sever. Traversons le village. Je trésaille à la sortie je vois la pancarte rayée de Saint Seveur, d’après le GPS il me reste encore du chemin avant d’y arriver. C’est encore de la faute du rassemblement des communes, une idée de technocrates habitants dans une grande ville ayant avalée ses congénères
 jusqu’à leur voler leur identité. Que l'on rende leurs identités à nos hameaux et Lieu dit.
 Ici entre Augreilh et Saint Sever il y a quatre kilomètres de champs et de
bois de quoi faire perdre la tête à tout GPS. La route longe un ru qui avec la pluie est devenu un torrent. Par ce temps aucune voiture ne s’arrête pour me demander ou je vais, les conducteurs et conductrices ont bien trop peur que je mouille le siège. La pluie et le vent redouble, la paroi intérieur de l’imper se plaque sur mes vêtements mouillés, d’un seul coup j’ai l’impression de ne plus être protégé, je suis trempé et je commence à avoir froid. La route grimpe, j’arrive au centre de ce très beau village, je m’abrite sous des arcades, je suis trempé et j’ai froid, la pluie n’a pas envie de s’arrêter. A vol d’oiseau il me reste une vingtaine de kilomètres, il est onze heures. Normalement vingt kilomètres je peux en forçant les parcourir en quatre heures, mais avec mon sac, mais avec les quatre vingt dix kilomètres parcourus en trois jours j’ai mal aux jambes, et il me reste encore sept jours de balade. Je ne veux pas être aussi exténué que lors de mes randos de juin. Pour rejoindre Mont de Marsan il me faudra bien cinq heures. Cinq heures de pluie, de


vent et de froid, accentué par le fait que je ne m’arrêterais pas pour manger et qu’il n’y aura pas de carburant pour me réchauffer. Derrière moi l’office de tourisme, il est ouvert, je fais une tentative, existe-t-il un bus pour rejoindre Mont de Marsan. Il y en quatre par jour le prochain est à 13h28. Cela fait deux heures trente à attendre. C’est l’heure de la réflexion. Manger au chaud après mettre changé et prendre le bus ou attendre un peu que le temps s’éclaircisse et poursuivre à pied. Si je pars d’ici à treize heures j’arriverais vers 17 heures. D’après la carte pas moyen de couper et pas moyen de faire du stop c’est une deux fois deux voies avec barrière centrale cela doit rouler à 110 et le piéton doit y être interdit. Tout en cherchant mon arrêt de bus je visite le village qui se trouve sur la route de

Saint Jacques GR 654 Ouest, revient au centre, me change et mange dans un bistro en attendant l’heure du bus. 
 
Depuis deux milles ans la petite cité domine la mer des pins d'un coté et les collines de la Chalosse de l'autre...
Occupée depuis la préhistoire, la ville se développe à la période gallo romaine. C'est au Xème siècle avec l'implantation de l'abbaye bénédictine que la citée devient l'une des plus puissantes du Moyen Age sur le territoire. Les guerres de cent ans et de religion diminue l'influence de la citée.

 
 
 

 La place du tour du sol tient probablement son nom de la trajectoire du soleil qui réchauffe ses murs tout au long de la journée.
 
aujourd'hui la place est plutôt noyée sous la pluie. 
 
 
 
 
 
 

  Au XIe siècle, le chantier de l'église Abbatiale prend une nouvelle ampleur. Formé à l'abbaye de Cluny, l'abbé Grégoire de Montaner importe à Saint Sever l'idée très original plan à sept absides.
Le transept est encore agrémenté de ses tribunes romanes et permet à la foule des pélerins du chemin de Saint Jacques d'assister aux offices. L'absite principale recevait les reliques de saint Sever
 
 
 
 
 
 Des chapiteaux exceptionnels... certain date de l'époque Gallo-romaine mais 77 d'entre eux datent de la période romane.
Ici peut être Daniel dans la fosse aux lions

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Suite aux destructions des guerres de religion, le cloître est restauré au XVII ème siècle en brique et pierre. Obéissant à la règle bénédictine d'une vie recluse, les moines s'y promenaient pour méditer en silence.

 
 
Il pleut de trop, je suis resté autour de la place du sol, et j'ai emprunté les rues menant à l'arrêt de bus situé en bordure de la départementale contournant le centre ville historique.
les explications proviennent du dépliant donné par l'office de tourisme.
Il reste beaucoup de choses à voir dans cette cité. En réorganisant tout le parcours cette petite ville mériterait un arrêt plus long.
 
 
 
 
 
 
 
Je vous laisse le tracé de Saint Sever à Mont de Marsan, vous aurez certainement meilleurs temps que moi. Ce ne doit pas être compliqué de rejoindre le chef lieu des landes. Le balisage Blanc et rouge nous guide jusqu’à Mont de Marsan.  
 
La pluie à cessée. Je visite Mont de Marsan

carte OpenStreet       TraceGPS          

Carte Visiorando

Montde Marsan, '' Moun (Mont de Marsan en gascon)'' ville animée et gourmande : C’est certainement la fatigue, la pluie qui viens juste de s’arrêter, peu de monde dans les rues, quand à la gourmandise, il était bien trop tôt pour les petits restos dont la façade est aussi grande qu’un ticket bus. Le soir je n’avais pas le courage de chercher à nouveau, je me suis arrêter au grand bistro sur une place. Il n’ont fait que huit couverts.    

Fondée au Moyen Âge autour de ses trois rivières sur la voie de Vézelay du chemin de Compostelle, Mont-de-Marsan était la principale ville fortifiée des Landes.

Le port de Mont-de-Marsan s'établit plus loin, sur la rive gauche de la Midouze. Il connaît un développement rapide grâce à la position stratégique de la ville, à la limite de la Haute Lande, de la Chalosse et de l'Armagnac, entre Bayonne et Toulouse, Pau et Bordeaux. Ainsi, Mont-de-Marsan constitue une sorte de verrou entre toutes ces villes. Un nouveau quartier se développe autour du nouveau port. S'y installe notamment le couvent des Cordeliers vers 1260.

Le donjon Lacataye ; Il ne s'agit pas d'un « donjon » à proprement parler, mais de deux bâtiments contigus bien identifiables construits
 en pierres coquillières à partir de la fin du XIIIe siècle ou au début du XIVe siècle et dotées de créneaux sur leur partie supérieure au XVIe siècle.de « donjon Lacataye » date de la fin des 
 
années 1960. Avant cela, il était d'usage de parler de la « tour la Cataye » ou « tour Pujolin », du nom du quartier, ou bien encore de l'« ancienne caserne Lacaze ». « Lacataye » viendrait de l'espagnol « castar », signifiant observer, surveiller.
Le nom de « donjon Lacataye » date de la fin des années 1960. Avant cela, il était d'usage de parler de la « tour la Cataye » ou « tour Pujolin », du nom du quartier, ou bien encore de l'« ancienne caserne Lacaze ». « Lacataye » viendrait de l'espagnol « castar », signifiant observer, surveiller.
 
 

Construit en 1870 en bordure de la rive gauche de la Midouze, au niveau du confluent, c’est le plus visible et le plus connu des lavoirs de la ville. C’est un architecte de la ville Monsieur Forignan qui a réalisé les plans de ce lavoir de forme d’une demie ellipse et présente, en façade, dix arcades supportées par des piliers en pierre.
 

 Les remparts, qui mesurent environ dix mètres de hauteur, ont été construits en utilisant le grand appareil coquiller d'Uchas, un matériau communément utilisé dans les anciennes constructions de la ville.
Ils datent très probablement du Moyen Âge, plus précisément du 12ème siècle, et étaient destinés à protéger la ville depuis l'est.
Il reste encore quatre tours barlongues. 
 
 
Les maisons fortes romanes

 
 
 
Au Moyen Âge, Mont-de-Marsan est la principale ville fortifiée des Landes. De cette époque subsistent quelques maisons fortes romanes construites en  pierre coquillière au milieu du XIIe siècle. Rares témoins de

l'architecture militaire médiévale, elles furent érigées lors de la fondation de la ville. Trois d'entre elles sont aujourd'hui inscrites aux monuments historiques (rue Maubec et rue Lacataye).
 

 

 La ville de Mont-de-Marsan ne semble pas disposer de lieu de spectacle dédié avant le début du XIXe siècle. Les représentations sont jusque-là données soit dans les palais de la noblesse (le , Marguerite de Navarre, sœur de François Ier, fait jouer dans une salle de Lacataye La Comédie de Montemarsan), soit dans les lieux de culte (église de la Madeleine) ou bien encore dans les espaces publics extérieurs (places ou rues).
Une première salle de spectacle est aménagée à Mont-de-Marsan sur décision du conseil municipal en 1803 dans la chapelle du couvent des Barnabites . Cette décision non seulement concourt à la déchristianisation d'un lieu de culte mais aussi offre au peuple un espace de culture et d'éducation, dans l'esprit de la Révolution française qui, dès 1791, proclame la liberté des théâtres.
En 1830, la ville finit par se doter d'un théâtre dédié en même temps que d'une halle à l'emplacement occupé précédemment par l'ancien château vicomtal, datant du XIIe siècle et détruit en 1810.
À partir de 1886, une des salles du théâtre accueille le premier musée Dubalen. Celui-ci y restera une quinzaine d'années, avant son transfert au palais Pascal-Duprat.
Théâtre et halle subissent une transformation complète en 1927, le péristyle est ajouté à cette occasion4. L'ensemble est rénové en 1988. Le théâtre municipal est renommé le Molière en mai 2016 et les halles font à nouveau l'objet de travaux en 2017.
 
Photos au gré de ma balade dans les rues 




















 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 

 
 
 
 

 L'église Sainte-Marie-Madeleine
Construite entre 1823 et 1831
Une chapelle prieurale vouée à Marie-Madeleine est édifiée à cet endroit dès la fondation de Mont-de-Marsan. La création d'un prieuré bénédictin et de sa chapelle figurent en effet parmi les conditions négociées par l'abbé Sanche II Raymond en 1141 pour autoriser Pierre de Marsan à établir son bourg castral sur une partie du territoire de Saint-Pierre-du-Mont, relevant alors de l'abbaye de Saint-Sever. L'église et le château vicomtal sont alors simplement reliés par l'actuelle rue Robert-Wlérick, longue de 78 mètres. En 1660, l'abbaye de Saint-Sever cède le prieuré et son église à l'abbaye bénédictine Sainte-Croix de Bordeaux, qui les conserve jusqu'à la Révolution française.Orientée est-ouest tel que représenté sur le cadastre napoléonien de 1811, son entrée se faisait du côté ouest et son volume (40 m de long sur 30 m de large) n'atteignait pas la moitié de celui du bâtiment actuel. Sa consécration à Marie-Madeleine, sainte patronne de Vézelay, marque l'importance de Mont-de-Marsan comme étape sur la voie limousine des chemins de Compostelle. Le , un pilier de l'église primitive s'effondre, entraînant la destruction de la voûte et d'une partie de la toiture. L'église en ruine est entièrement démolie pour laisser la place à l'édification de l'église actuelle, qui est orientée cette fois-ci nord-sud. Ce projet architectural vient parachever le réaménagement du centre de la ville, érigée en chef-lieu de département quelques années plus tôt (1790). Son architecte est Augustin Arthaud, qui rénove à l'époque tout le quartier.
 
 
 

 
Le grand orgue de l'église de la Madeleine provient de l'abbaye Saint-Jean de la Castelle. Après le départ des moines en exil sous la Révolution française, il est transféré à la Madeleine en 1792. La restauration par le facteur d'orgue Gaston Maille de Bordeaux le transforme en orgue romantique depuis le 11 juillet 1895, jour de sa bénédiction. Depuis, trois restaurations partielles lui sont prodiguées : en 1929 par la maison Gauziède, en 1965 par la maison Beuchet-Debierre et en 1982 par M. Chauvin. Il est géré par l'association « les amis de l'orgue de la Madeleine »
 

 
 
 

 
 
 
Les Évangiles évoquent plusieurs fois Marie Madeleine, sans que l'on puisse confirmer qu'il s'agisse de la même personne. Cependant la tradition latine aime la voir dans la pécheresse pleurant aux pieds de Jésus (Luc 7,36-50), dans le groupe des femmes l'accompagnant à la croix et au tombeau, et dans la première témoin de la résurrection (Jean 20,16). Par la suite, une autre tradition veut qu'elle ait accosté aux Saintes-Maries-de-la-Mer où elle aurait fini ermite à la Sainte Baume. Son culte se développa au XIe siècle, quand l'abbaye de Vezelay annonce détenir les reliques de son corps. Dès lors, la ville devient un haut lieu de pèlerinage et point de départ du chemin de Saint Jacques. Etape sur cet itinéraire, il n'est pas surprenant que Marie- Madeleine fut choisie pour être la sainte patronne de l'église et de la ville de Mont-de-Marsan.






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