Pour ne pas que l'on oublie.
Année 2019
Ils ont décapités le sentier 13 et déplacés le sentier 14. Pourquoi ?
Pour
qu’elle raisons ont-ils modifier le sentier 13 au niveau du
plateau de la Tour Denecourt et dévié le départ du sentier 14. Alors que
la descente du sentier 13 avait été renforcé par des escaliers.
Le
promeneur lorsqu’il arrive à la route Remard et qu’il lira
sur la pancarte, qu’en prenant cette dernière il n’était pas obligé de
grimper le rude sentier
jusqu’à la route de la Tour Denecourt pour poursuivre son itinéraire. Il
fera
l’impasse de la Tour, surtout qu’une fois monté, il faudra redescendre
par le
même chemin. Inutile de grimper. Dans l'autre sens c'est pire, on a déjà
grimper la route Remard, on ne va pas continuer la grimpette pour un
empilement de pierres... Même si aujourd'hui la vue est belle, puisque
l'on peut l'éviter.
Pour
le 14, je peux le comprends. La descente n’était pas facile. Il y a
plus de 20 ans mon ami le baliseur avait réussi à obtenir l’autorisation
d’y installer des troncs sur la partie en corniche pour maintenir la
terre du
sentier, mais rien de plus. Aujourd’hui le sentier se poursuit au pied
du
plateau et rejoint l’ex sentier 13 et l’escalier en grès récemment
construit. L'ancien départ du 14 n'a pas beaucoup changé, peut être quelques paves en plus, sauf qu'il est réservé au VTT, qui ensuite emprunte la dérivation du 14 et du GR pour rejoindre l'ancien balisage 13. Chercher l’erreur.
Ce que je ne comprends pas, c’est que cette déviation est utilisée par les VTT. On déplace le 14, on supprime une partie du retour du 13 mais les vététistes empruntent le GR et un petit bout du sentier 14 nouvellement déplacé. Pourquoi ?
Les Vététistes ont créé des kilomètres de sentier vélo dans le Cassepot en site propre. Pourquoi ne pas leur avoir donné l’autorisation de déboucher sur le Plateau de la Tour, sans toucher au sentier 13 et 14 ?
Sauvegardons les Sentiers Samoisiens. ANCIENNEMENT BALISE en JAUNE.
Pour Samois les Sentiers Jaune devenus bleu, avaient
une utilité. Diversifier l’accès à la TOUR DENCOURT. Ils n'ont rien à voir avec les sentiers Bleu Denecourt.
Ces sentiers de promenades, sont nés dans l'esprit d'un homme Mr René Maus qui entra au conseil municipale de Samois en 1959 et y resta pendant près de 20 ans, ou il manifesta une intense activité tournée vers Samois et son environnement exceptionnel, entre Seine et Foret. Il luttait contre toutes dégradations du site : Ses protestations contre des façades dénaturées, des projets immobiliers inopportuns, (Aujourd'hui il serait dépité que sa perception du village, soit bafoué par les plans d'urbanismes successifs.) Sa volonté de faire respecter les sentiers (intra muros) en agaçait plus d'un. Inlassable marcheur, il réalisa de nombreuses excusions dans la Vannoise, le Quéras, l’Oisans, les fjords de Norvège et le Népal, ou me semble t’il, il participa à la marche d’approche du toit du monde lors d’une expédition française.
Digne émule du sylvain Denecourt, il créa, avec M. Guillo Lohan après deux ans d’un dur labeur les SENTIERS AUTO-PEDESTRES de Samois, qu’il entretenait avec l’aide des jeunes de la commune. (Extraie les cahiers Samoisiens N°8 décembre 1979.) Il organisa pour l’association les Amis de Samois, dont il était le président, des randonnées mensuelles en foret, regroupant quelques Samoisiens et des Parisiens utilisant la halte en foret pour retrouver le groupe.
1960 - La création des sentiers ‘’JAUNE’’
Le dimanche après-midi, le but de la promenade des
Samoisiens étaient de rejoindre la TOUR DENECOURT se trouvant à quelques
kilomètres, par le seul chemin existant qui se trouve être, la Route du Cèpe et
la route Remard. Deux routes parfaitement rectilignes. A la TOUR DENECOURT, les
Samoisiens se retrouvaient autour d’un rafraîchissement à l'estaminet existant
à l’époque. Après la pose, ils revenaient tranquillement par le même chemin.
C'était un peu lassant. D’où l’importance des
sentiers et de la Tour Denecourt pour Samois.
Ils tracèrent de petits sentiers traversant les parcelles de la foret à l'image de ceux créés par Mr. Denecourt. Ils eurent l’idée de créer un premier chemin au départ de Samois (N° 1 sur les très anciens guides devenu 13 dans les années 1970), rejoignant la TOUR DENECOURT. Le retour se faisant par la vallée de la Seine. Puis viendra deux branches. L'une au départ de la TOUR DENECOURT. (Dans les années 1960 la tour était accessible aux voitures et disposait d’un estaminet.) Très beau parcours (TROP BEAU parcours, puisque les vététistes veulent le prendre. Je me demande bien pourquoi, puisque aujourd'hui il est rempli de fausses pistes VTT évitant les rochers.) Il sillonne la crête Nord du rocher Cassepot, ou nous trouvons de beaux rochers. Il était l’itinéraire complémentaire au circuit bleu N°3 de Denecourt qui n’avait certainement pas trouvé intéressent ou pas eu le temps de créer un sentier dans cette partie du Cassepot. Le troisième itinéraire (aujourd’hui 15) partait de la Tour de Samois traversait toute la plaine et retrouvait la liaison du sentier bleu 3-4 au Rocher Cassepot. Cette itinéraire était un peut compliquer, le retour se faisait par le 3-4, puis le 3, le 14. Comme il n’y avait pas beaucoup de pancartes, sans guide on ne savait plus, par qu’elle chemin retrouver Samois. Surtout qu'à la tour un second choix devait être réalisé revenir par le 13 foret, ou corniche de la Seine. Dans les années 80, et dans un souci de guider par la main un randonneur débutant, le 15 fut légèrement dévié pour venir boucler au pied du CASSEPOT avec le sentier 14. Le jaune bouclait avec le jaune et du début à la fin on avait la couleur jaune comme guide ce qui pouvait rassurer les randonneurs néophytes.
En 2020 ils ont oubliés le soixantième anniversaire et le nettoyage de la plaque commémorative.
Les Sentiers de Samois N° 14 & 15
Description
du sentier t’elle qu’il était à l’origine. Pour ne pas oublier qu’il montait à
la Tour Denecourt. Pour ne pas oublier qu’il n’a pas été créé par Denecourt.
Pour ne pas oublier qu’avant d’être bleu, il était jaune. Hommage aux
créateurs.
Voilà ce que nous disait la présentation de ses sentiers dans un vieux guide
Ces sentiers de
promenade, créés par une Association de Samois sur-Seine” (aujourd’hui cette
association a abandonnée par manque de bénévoles l’entretien des sentiers.) Ils
ont été inaugurés en 1960. Ils
permettent, notamment aux habitants de Samois-sur Seine, de parcourir des
parties intéressantes de la forêt par des sentiers agréables, évitant les
routes, et aux autres touristes venus en voiture, de rejoindre leur point de
départ après avoir réalisés une excellente promenade. Ils sont auto
pédestres. Ils peuvent être empruntes dans les deux sens.
(Je rappelle que ses sentiers ont été créés à l’époque ou la voiture avait une grande importance, et qu’il n’existait pas ou peut de sentier en boucle dit auto-pédestre hors mis les sentiers bleus, à Fontainebleau.)
En agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Carte OpenStreet Trace GPS et Topo sans Commentaires Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b345870
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Carte VisoRando Cliquez
sur le rectangle à coté du numéro
Sentier 15 ; Tour de Samois - Les Ecouettes - Partie Nord du Rocher Cassepot Par le sentier 14 - Tour Denecourt - Retour à Samois Par le Rocher Katherine Mansfield et la Corniche de la Seine
Ce circuit est le plus complet, des sentiers Samoisiens (13, 14, 15) Il montre de multiples aspects de la forêt. Il peut être parcouru en une matinée ou en un après-midi, mais mérite de faire l’objet d’une promenade de la journée.DEPART &
ARRIVEE ; D 137 (route de Bois le Roi), situé à l’entrée de la
commune, en venant de Bois le Roi. Parking de la salle des Fêtes (Samoisienne).
De Fontainebleau, prendre la direction d’Avon, avenue franklin Roosevelt passant à la gare, passer au dessus du chemin de fer, au feu, tourner à gauche, direction Samois. Passer le rond point et après environ 2 km vous entréz dans le village. A la fouche prendre à gauche la rue des Turlures. Aux dernières maisons la route se situe à l'orée de la foret tourne sur la droite (attentions en 2021 il est difficile de se croiser.) Après la carrière du centre équestre (prévision qu'il déménage), vous traverser le parking du cimetière. Arrivez au monument aux morts prendre la route sur la gauche. Longer un espace herbeux et vous arrivez à la salle des fêtes. Le parking se situe sur une surélévation, se trouvant sur la gauche.
En venant de
Melun. Le plus simple est peut être de suivre la direction de Fontainebleau par
la D 606, par l’avenue Thiers (se mettre dans la file du milieu avant d’arriver
au pont) passer sous le Pont SNCF poursuivre la direction Fontainebleau, nous
entrons en foret. Nous arrivons au grand carrefour avec des feux tricolores
suivre Fontainebleau centre – Bois le Roi. Au second feu suivre Fontainebleau
centre – Bois le Roi (route de
gauche). Après le feu Poursuivre la D 606 ancienne route de Bourgogne
(ne pas
prendre la voie de gauche en direction de Bois le Roi) Suivre tout droit
Fontainebleau-Bois le Roi-Champagne. Au rond Point Suivre Samois. Au
rond point
de la Croix de Vitry, c’est la route de gauche D 138 (route de
Bourgogne) A la
pyramide (Croix de Toulouse) prendre sur la gauche Samois centre, D 116
Le Chatelet, Fontaine le Port Samois centre. Passer le pont SNCF et au
rond point suivre Samois
centre sur la droite. après environ 2 km, vous trouverez la salle des
fêtes sur la droite (non indiqué) si vous arrivez au monument aux morts
vous avez loupé le parking. Faite demi tour. Longer
un espace herbeux et vous arrivez à la salle des fêtes. Le parking se
situe sur une surélévation, se trouvant sur la gauche.
Mais
de Melun et par un
temps ensoleiller il est plus agréable de rejoindre Samois par les bords
de
Seine. Rejoindre la rive droite (pas très facile avec le sens de
circulation
dans la ville) prendre la direction de Vaux le Pénil – Chartrettes,
remonter la
Seine D 39, passer le pont SNCF, puis les silos, nous longeons la voie
ferrée
puis la traversons. Nous traversons le charment village de Chartrettes.
Recoupons la voie ferrée et nous retrouvons la Seine. Nous longeons de
jolies
maisons en bordure de la Seine et arrivons au pont de Fontaine le Port
prendre
à droite D 116, la direction de Bois le Roi. Traverser la Seine et
entrons en
foret laisser sur la droite l’entrée de la base de loisir, laissons
également
l’accès à Samois sur la gauche. Situé dans un virage sans visibilité
c’est un
accès accidentogènes. Nous arrivons à un carrefour avec un stop
carrefour
également accidentogènes. Prendre à gauche Samois D137. A l'entrée dans
le village, nous trouvons sur la droite la salle des fêtes et le parking
(pas facile à voir) Si vous arrivez au monuments aux morts vous avez
dépassé la salle des fêtes.
Faite demi tour. Longer
un espace herbeux et vous arrivez à la salle des fêtes. Le parking se
situe sur une surélévation, se trouvant sur la gauche.
Mais
les week-end, pour les parisiens
ou les randonneurs prenant le train dans le sens Melun Fontainebleau.
Ils
peuvent descendre à la Halte en Foret située entre Bois le Roi et
Fontainebleau
(train de 8h16 au départ de Paris & 8h43 au départ de Melun. Il
arrive à Fontainebleau Foret à 8h54. Vérifier les horaires sur la fiche https://www.transilien.com/sites/default/files/atoms/files/r-2020-moret-sd.pdf) C’est un arrêt au milieu de la foret uniquement à la descente se
trouvant après la gare de Bois le Roi. A la sortie de la halte vous trouvez le
sentier 15.
En suivant le sens de description vous éviterez le Rocher de Samois et
la corniche de la Seine. Pour ne rien louper, faire la promenade en sens
inverse.
Samois ;
[Le nom de la
localité est mentionné sous les formes Samesium en 986 ; Samois
en 1169. Chamois au XVIIe siècle
(Carte Boisseau). Une forme Salamoyen, rencontrée au XIVe
siècle, peut laisser penser que Samoy serait une variante du nom Salomon,
souvent porté dans le Nord au Moyen Âge. Le nom de Samois-sur-Seine a été
substitué à
celui de Samois par décret du 5 janvier 1903. Située au bord de la Seine et à la lisière de la forêt de Fontainebleau, de nombreux écrivains, artistes et autres personnalités y séjournèrent. Les premiers hommes recherchaient des situations insulaires, afin de se protéger et de se défendre plus facilement. Les marécages et les nombreuses îles se trouvant sur le bas-Samois, plus nombreuses autrefois, offraient une situation privilégiée. Aujourd'hui, on peut en reconnaître trois :
« l'Île aux Barbiers
», la plus grande, au milieu du fleuve où s'adossait jadis un barrage (« l'Île de la Jonchère » jointe à celle au Barbier par le service des Ponts et Chaussées au siècle dernier) ;« l'Île du Berceau », accessible par le quai Franklin
Roosevelt en empruntant les ponts qui surplombent l’Avau Terre, le bras de la
Seine situé entre Samois et l’île. Cette dernière est particulièrement connue
« l'Île de Thérouenne » (ou Thiérouante), plus rapprochée de la rive droite de la commune d'Héricy, se devine encore (face au stade de La Touffe et en aval) mais commence à se combler par l'amas de vases, de roseaux et parfois de déchets ménagers, donc à fusionner, avec la terre ferme.
Le pont de bois gaulois.
Les relations commerciales entre les deux rives de la Seine nécessitaient la création d'un « grand pont ». Un pont en bois fut construit entre le Bas-Samois (face à la rue du Bas-Samois) et Héricy, s'appuyant en son milieu sur l'île de la Jonchère. Ainsi fut constitué, l'un des ponts le plus long qui ait existé sur la Seine (il avait plus de 300 mètres), entre Montereau-Fault-Yonne et Évry.
Le pont de pierre romain
Les Romains, maîtres du pays, ayant besoin d'un passage stratégique et colonisateur, utilisèrent et remplacèrent le pont de bois destructible, par un pont de pierre. Ce serait à l'empereur Julien que l'on voudrait en attribuer la construction, mais le long règne de Constance Chlore, de 293 à 306, paraît bien plus propice à l'exécution d'une œuvre aussi importante. Le « pont de pierre de Samois » d'une longueur de 300 mètres, fut reconstruit au XIIe siècle, pour créer un grand chemin royal de Melun, Moret-sur-Loing et Montereau-Fault-Yonne. À l'époque, Samois se nommait Samosius ou Samusius. Il a été trouvé à Héricy dans des sépultures, des monnaies aux effigies de Néron, de Marc Aurèle, de Constantin Ier et autres ; ce qui confirme que les Romains étaient installés sur les deux rives de la Seine.
Un lieu de passage et de commerce ; Port fluvial de Samois-.sur-Seine.
La présence de ce pont explique que Jeanne d'Arc soit passée par Samois lorsqu'elle a voulu traverser la Seine pour se rendre de Vaucouleurs à Chinon. En 1779, les voyageurs se rendant de Paris à Fontainebleau prennent le coche d'eau jusqu'à Valvin, pour un prix de 2 livres 10 sous. Le voyage dure douze heures wikipédia]Du parking nous apercevons la tour perchée au sommet du rocher de Samois. Le balisage se trouve entre le banc et la salle des fêtes. Il grimpe vers le rocher. (En 2021, il est possible de grimper directement vers la tour, la photo étant plus ancienne). Durant une période le chemin montait en direct à la tour, raviné il fut obstrué par la végétation afin de préserver certainement la colline. En 2021 je me suis rendu compte que le terrain est dégagé, ce qui nous donne une belle vue sur la tour mais le chemin est de nouveau recréé. [ le Rocher
de Samois a lui aussi sa légende. Rien de très gai. « une
tradition qui s’appuie sur la sonorité du sol du Rocher pour affirmer qu’il est
creux et renferme dans ses profondeurs une prodigieuse nappe d’eau, capable de
submerger le pays si le Rocher venait à se disloquer par suite de quelque
cataclysme. Cette tradition était à ce point conservée naguère qu’en septembre
1858, à la fête de Saint-
Loup, (Patron de Samois) les eaux d’un orage et d’une
trombe formidables, transformant les rues du village en torrents et se
coalisant avec l’ouragan, emportèrent jusqu’à la Seine les établissements
forains, dont les propriétaires s’arrachaient les cheveux de désespoir, pendant
que les habitants terrorisés se lamentaient et que les anciens surtout criaient
« que le Rocher était crevé et que tous allaient périr ] Victor
Bouquet : Notice historique et archéologique de
Samois-sur-Seine, chez E. le Deley, Paris 1913, p18]. Nous arrivons à la tour [La Tour de Samois : A été construite au sommet du rocher en 1879
par Isidore Hébert, sculpteur sur
bois, sur un terrain concédé par la commune
pendant 25 ans. C'est à l’origine un pôle d’attraction touristique, avec une
guinguette et des balançoires, puis un local administratif. Jusqu’en 1905 la situation de la tour sur un
point haut servi de repère géodésique page 46 d’un siècle de cartes postales
édité par les Amis de Samois nous trouvons une représentation de la tour avec son
installation au sommet.
Laissée en mauvais état au terme de cette concession. En1928, la commune en
prend la gestion. Remise en état, elle est ouverte aux visiteurs, son
gardiennage est abandonné en 1936. Depuis la plate-forme, équipée d’une table
d’orientation en 1962, on découvre un vaste panorama forestier. Elle
fut
fermée dans les années 1980-90 suite à de nombreuses dégradations, un
escalier en bois qui ne devait plus être aux normes de sécurité, et
c'était également me semble-il le lieu de rassemblement nocturne qui ne
servait pas uniquement à admirer les étoiles..... . Extraie des
sites : http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/02/2-petite-promenade-en-foret-de.html & http://www.samois-sur-seine.fr/rubrique.php?id=154&do=art&id_art=266 ]
Face à l'escalier de la tour se trouve le rocher des Sacrifices. Culminant à environ 118 m,
avec une tour (qui était) accessible aux publics. L’endroit était autrefois à découvert et on avait une belle vue sur la
forêt de Fontainebleau, la vallée de la Seine et la campagne qui
s’étendait au-delà. Victor Bouquet
croyait que cet endroit, du fait de son élévation, (et que Samois fut créé par les Nautes) aurait pu être un
sanctuaire druidique. On peut tout envisager tant qu’aucun élément n’est
là pour affirmer le contraire. Limosin a bien cru que c’était le
légendaire Samothès, qui avait donné son nom à Samois. L’un des parents de Bouquet
supposait avoir découvert au sommet du rocher, un autel à sacrifices
druidique. On doit cette fameuse théorie des
druides sacrificateurs à Théophile-Malo Corret de La Tour d’Auvergne,
militaire et celtisant français du XVIIIe, pour qui les
monuments mégalithiques étaient l’expression typique de la civilisation
celte. Même s’il n’est pas le premier à en parler, c’est lui qui
dépeignit le dolmen comme un autel, car selon sa théorie ces monuments
étaient des tables sur lesquelles les druides pratiquaient des
sacrifices humains à des fins divinatoires, ou encore des promontoires
destinés à s’adresser aux foules. Ces idées ont circulé pendant un bon
bout de temps dans tout le pays et pour certains sont toujours
d’actualité. On peut facilement supposer qu’à l’époque de Bouquet il
était encore courant de se ranger du côté de ce genre d’explications.
La pierre druidique du Rocher est toujours en place. Influence de Bouquet oblige, elle est parfois connue dans le village sous le nom de Pierre des Druides, ou Roche des Druides et au moins deux personnes du coin m’ont dit qu’au « temps des gaulois »
ces derniers y faisaient des sacrifices humains ou d’animaux. La table de sacrifice est encastrée au centre
d’un groupe de trois roches. Vous ne pouvez pas la manquer. D’après
Bouquet, la pierre tabulaire était percée d’un trou qui débouchait sur
l’un des bords antérieurs. Cette cavité est aujourd’hui condamnée par du
ciment. J’ignore pour quelle raison, mais je trouve ça plutôt bizarre. http://traditionsetlegendesdeseineetmarne.blogspot.com/2009/05/canton-de-fontainebleau.html. Pour ma pare j'ai connu cette cavité ouverte. Je l'ai retrouvé fermé par du ciment en même temps que l'accès menant au sommet de la tour... Du ciement en trop peut être !!! Vous avez dit bizarre comme c'est bizarre...] Laissons sur la gauche de la tour le sentier 13 retour 15 et prenons sur la droite le sentier 15, passons derrière la tour, traversons le petit groupe de rochers descendons le chemin. A mi pente nous prenons à droite vers les réservoirs
alimentant en eau Samois. Traversons la route du rocher de Samois poursuivons en face par le sentier serpentant dans de petits rochers. Nous arrivons devant un énorme bloc appelé le Gros Bourdon ou nous y trouvons la plaque commémorative des créateurs des sentiers jaune de Samois devenus, malheureusement bleu. Je dis Malheureusement car aujourd'hui on les appelles Denecourt alors qu'ils n'ont rien a voir avec se premier visionnaire des promenades en foret de Fontainebleau. [Les sentiers samoisiens, nés de la volonté et de la persévérance de deux
membres influant de l'association les Amis de Samois, René Maus et Georges
Guillo Lohan. Nombreux furent ceux qui voulurent montrer leur attachement à ces sentiers
qui permettent de parcourir les massifs forestiers aux alentours du village
(sentiers numérotés 13, 14 & 15) : les marcheurs venant des trois sentiers convergèrent
vers la plaque à la mémoire de René Maus apposée sur le Rocher du Grand Bourdon
(il me semble que c’est une erreur il ce nomme GROS Bourdon) où furent rappelés
les deux ans de travaux acharnés nécessaires pour la création des sentiers. http://amis.de.samois.free.fr/Bulletin%20Municipal.pdf Voilà ce que j’ai trouvé sur internet. Je ne suis pas écrivain
et je ne sais pas écrire d’hommage. Pour moi ce fut autre chose qu'un état civil, un maire ou un ''animateur'' de promenade.
Monsieur
Maus, fut Maire de la commune de
Samois avant 1977, président de l’Association Les Amis de Samois. C’est à
cette
époque que je l’ai connu. J’avais 20 ans. Je commençais tout juste des
promenades un peu lointaines en foret. Pour moi, ce fut autre chose
qu’un
simple guide de promenade. C’est lui qui me mit le pied à l’étrier de la
découverte de la foret
de Fontainebleau et me fit comprendre que derrière les rochers, le
sable, et les arbres, il y avait autre chose : Une histoire, des
légendes, de la science. Il m’impressionnait, il connaissait tout sur
tout. Je ne
l’ai, malheureusement pas connu longtemps. Lorsqu’il organisait des
promenades
une fois par mois pour l'association, vous pouviez lui poser une
question sur
la foret, jamais en difficulté, pas besoin de notes, il avait tout en
tête. Malgré tout dans son sac il avait son carnet. Dans le groupe, il
parlait avec tout le monde, de tout et pas spécialement de notre sylve.
On
avait envie de venir à ses promenades de l'écouter. Montagnard confirmé,
il avait fait l’une
des marches d’approche du sommet mythique de l’Himalaya. Nous avions
fait en
aout 1978, l’ancien TMF en deux jours. Dures journées, ou les derniers
kilomètres lui rappelait certainement des épisodes de la guerre et les
longues
marches des colonnes de prisonniers. C’est plus qu’un ami que j’ai
perdu. Il ma transmis un bien précieux,
un livre sur la foret : Histoire de la forêt de Fontainebleau, par Paul
Domet.
L’ancien maire de Samois-sur-Seine, Georges Guillo-Lohan, est décédé chez lui ce mercredi 18 mars 2015, à l’âge de 79 ans. Passionné de nature, il connaissait par cœur la forêt de Fontainebleau. ” Une exceptionnelle mémoire lui permettait de décrire tous les itinéraires qu’il avait parcourus et de les faire revivre à ses auditeurs, souligne l’actuel maire, Didier Maus. Avec mon père, il avait créé en 1960 les sentiers samoisiens, balisés de jaune, qui permettaient de marcher autour de Samois.
Compagnons de Samois-sur Seine
Allons voir les nouveaux
sentiers (bis)
Allons voir … oui, oui, oui
Allons voir … non, non, non
Allons voir les nouveaux
sentiers. (bis)
En suivant toutes les marques
jaunes & bleues, vous irez aux crêtes du Cassepot. (Bis)
Vous irez … oui, oui, oui,
Vous irez … non, non, non,
Vous irez aux crêtes du
Cassepot. (bis)
Vous trouverez d’autres marques
jaunes & bleues
Pour aller à la Tour Denecourt.
(bis)
Pour aller … oui, oui, oui,
Pour aller … non, non, non,
Pour aller à la Tour Denecourt.
(bis)
A travers bruyères et fougères,
Vous verrez de très beaux
rochers. (bis)
Vous verrez … oui, oui, oui,
Vous verrez … non, non, non,
Vous verrez de très beaux
rochers. Bis)
|
Vous pourrez regagner la Seine,
Qui miroite au pied de Samois.
(bis)
Qui miroite … oui, oui, oui,
Qui miroite … non, non, non,
Qui miroite au pied de Samois.
(bis)
Et pour nous payer de nos
peines,
Vous suivrez souvent nos
sentiers. (bis)
Vous suivrez … oui, oui, oui,
Vous suivrez … non, non, non,
Vous suivrez souvent nos
sentiers. (bis)
Chaque année, dans notre
village,
Vous viendrez toujours plus
nombreux (bis)
Vous viendrez … oui, oui, oui,
Vous viendrez … non, non, non
Vous viendrez toujours plus
nombreux. (bis) |





Mme de Sévigné raconte qu'on avait surnommé Cassepot le chevalier de Béthune qui, après avoir enlevé et épousé malgré ses parents Melle Desmarest, cachait ses amours dans la forêt de Fontainebleau et dirigeait ses promenades de préférence du côté du Rocher Cassepot.
En 1652, le pâtre du troupeau commun des habitants de Changy est assassiné, au Rocher Cassepot, par Pierre Poissard, de Villiers-sous-Grès. I,'assassin est exécuté le 29 mai de la même année, sur la place du marché de Fontainebleau.
En 1659, moins grave affaire. Le taureau du troupeau de Bois-le-Roy conduit





![]() |
Ancien départ du sentier jaune N°14 |
Les guides Denecourt
Il profite du succès d’une grande manœuvre militaire qui se déroule en octobre 1839
pour publier un petit fascicule permettant de se rendre sur les lieux
afin d’apercevoir les troupes. Dès lors, ce guide sera réédité sans
cesse jusqu’à sa mort (11 éditions rien qu’entre 1839 et 1848), accompagné de nombreux ajouts.
Chaque édition était accompagnée d’une carte réalisée selon les
volontés de Denecourt lui-même. La carte permet de repérer les différentes visites proposées dans
le guide. C’est son approche
pratique et concrète de la visite en forêt qui fait le succès des guides de
Denecourt.
Les sentiers de promenade
À partir de 1842,
Denecourt ne se contente pas d’indiquer les promenades, mais il
commence à tracer lui-même les chemins en forêt, avec l’autorisation
tacite de l’administration des eaux et forêts, parfois avec l’aide des
carriers et autres tailleurs de pavés : à sa mort, 150 km de sentiers
sont ainsi tracés et balisés au moyen de
flèches bleues, afin de ne pas
s’égarer.
Il fait également aménager des fontaines, des grottes et fait
édifier une tour d’observation appelée « Fort l'empereur » lors de son
inauguration en 1853 par Napoléon III
(actuellement Tour Denecourt). Il baptise enfin les lieux les plus
remarquables : 600 arbres, 700 rochers, sites et points de vue. Ces
noms, souvent empruntés à la mythologie, à l’histoire ou à la
littérature, sont l’occasion pour Denecourt de raconter les légendes –
qu’il a souvent inventées lui-même – liées au lieu. En 1855, les plus
grands écrivains (Lamartine, Hugo, Sand, Musset, Baudelaire…) lui
rendent hommage à travers un recueil de textes où il est nommé le
« Sylvain » de la forêt de Fontainebleau par Théophile Gautier.
Claude François Denecourt est ainsi considéré comme un des pionniers de la randonnée pédestre et des chemins de randonnée modernes. ] Grimpons les quelques marches pour admirer un paysage à 360°, surtout depuis que l’ONF à éclaircie le pied de la tour de ses grands arbres nous obstruant le panorama. Sur la gauche la
PÈRE, ÉPOUX, CITOYEN, AMI TENDRE ET SENSIBLE,
SON SAVOIR FUT PROFOND, SON ESPRIT PÉNÉTRANT.
IL CONNUT LES PLAISIRS QUE DONNE LA SAGESSE,

ET FIT DE LEUR BONHEUR SON BONHEUR LE PLUS GRAND
POUR SAUVER DE L'OUBLI SON NOM ET SA MÉMOIRE
CE MARBRE ÉTAIT SANS DOUTE UN TÉMOIN SUPERFLU
MAIS DES REGRETS QUE LAISSE APRÈS LUI SA VERTU
L'AMITIÉ SE CONSOLE EN PARLANT DE SA GLOIRE
L'EUROPE A VU PÉRIR ET PRESQUE AU MÊME TEMPS
EULER SI RENOMME CHEZ LES GERMAINS SAVANTS,
BEZOUT ET D'ALEMBERT, NON MOINS CHERS A LA FRANCE.
OH ! QUEL SIÈCLE FÉCOND EN VERTUS, EN TALENS,
POURRA DE CERTAINS NOMS REMPLIR LE VIDE IMMENSE!
Qu'il repose en paix! Dictionnaire de la foret] ou nous abandonnons le GR1E, et poursuivons en face.
Pour les randonneurs venus en train et descendus à la halte en foret. Pour rejoindre la gare de Fontainebleau suivre le GR 1E sur la droite. Si vous êtes courageux vous pouvez poursuivre jusqu'à la route Bonnier et suivre la ligne SNCF jusqu'à la gare.
Après un virage sur la droite nous descendons vers le rocher Katherine Mansfield [(14 octobre 1888
- 9 janvier 1923) est une écrivaine et poétesse
néo-zélandaise. Puisant son inspiration tout autant de ses expériences
familiales que de ses nombreux voyages, elle contribua au renouvellement
de la nouvelle avec ses récits basés sur l’observation et souvent
dénués d’intrigue. Le 9 janvier 1923, elle meurt des suites de sa
tuberculose à l’institut Gurdjieff situé au Prieuré d'Avon près de
Fontainebleau. Elle est enterrée à Avon (Seine-et-Marne). Deux recueils
de nouvelles sont publiés après sa mort, The Dove’s Nest et Something Childish, ainsi que ses lettres et journaux. lettres repeinte en 2021]
Une plaque commémorative fut posée sur un rocher. Contournons le rocher sur la gauche et poursuivons notre descente dans la sapineraie. Plus nous descendons, moins nous avons de sapin et le feuillus apparais. Dans le bas le sentier fait un brusque virage en équerre sur la gauche, et se poursuis dans ce que j'appelle la plaine de la Madeleine. Nous coupons la route du Champignon poursuivons en face, le boisement change nous ne trouvons que du feuillus. Le sentier débouche à l'angle de la route du Rocher Cassepot et Gaston Bonnier [Gaston Eugène Marie Bonnier (né le 9 avril 1853 à Paris - mort le 30 décembre 1922 à Paris) botaniste français. En
1889, il participe à la fondation de la Revue générale de botanique,
qu’il dirige jusqu’en 1922, et fonde la même année un laboratoire de biologie
végétale à Fontainebleau. Je vous laisse lire la suite sur wikipédia]. Remontons cette dernière située le long de la ligne de chemin de fer. Nous arrivons sur la route de Bourgogne D 138 prenons à droite traversons le pont SNCF au milieu du pont en dos d’âne nous traversons (cela nous permet d'avoir une vue des deux cotés. Laissons le chemin après le pont, et nous trouvons sur la gauche un sentier descendant le talus et tournant sur la droite dans le bas. coupons la route
Farewell, poursuivons en face, traversons au rond point la départementale 137 et continuons en face,
le
sentier fait fourche sur la droite nous rencontrons le balisage blanc & vert du TMF poursuivons sur la gauche l'ex
sentier jaune N°13 et le TMF blanc et vert. Après un virage à droite nous descendons vers le chateau de la Madeleine [Bâtie
sur la lisière de Fontainebleau, du côté de Samois, au penchant d'un
coteau qui regarde la Seine, presque en face de la petite Chartreuse de
Valvins où mourut Stéphane Mallarmé. la Madeleine
n'avait certainement pas l'aspect bourgeois et lourd qu'elle présente
aujourd'hui. Les deux ailes dont elle est flanquée, au lieu d'être plus
élevées que la partie centrale du bâtiment, étaient plus basses qu'elle.
C'était un pavillon assez exigu, de style dix-
Acquise
le 13 juin 1851, Tattet y passa les dernières années de sa vie. Il est
enterré non loin de là au Cimetière de Samois.
http://www.musset-immortel.com/La-Madeleine-Musset-Tatttet.html.
Le
très ancien domaine de la Madeleine, divisé entre le château, appelé
aussi "Ermitage" et le Moulin, visible des bords de Seine. Le château et
l'ermitage de La Madeleine, fondé par le gentilhomme breton Jacques
Godemel avec l'assentiment du roi Louis XIII. L'ermitage devient
rapidement un lieu de pèlerinage. le château de la Madeleine dont la
plus célèbre habitante a été Fortunée Hamelin.
Celle-ci
a attiré par son charme les plus beaux esprits de son temps, dont
Bonaparte, Talleyrand, Victor Hugo et Chateaubriand. A sa mort en 1851,
Alfred Tattet achète l'ermitage de la Madeleine.
Son ami, Alfred de Musset, est fréquemment de ses invités. A l'occasion de l'un de ses séjours, ce dernier écrit le célèbre poème
"Souvenir" immortalisant ainsi son escapade avec Georges Sand en 1833 à
Fontainebleau. [le très ancien
domaine de la Madeleine, divisé entre le château, appelé aussi
"Ermitage" et le Moulin, visible des bords de Seine. Fondé par le
gentilhomme breton Jacques Godemel avec l'assentiment du roi Louis XIII, cet
ermitage devient rapidement un lieu de pèlerinage. Louis XIV y fit
construire un pavillon et un bassin pour accueillir les eaux des sources afin
d'alimenter un moulin en contrebas. Les carmes du prieuré des Basses-Loges à Avon s'y installent, puis cèdent l'ermitage, en 1750, à Louis François
Thouron de Morangel. Le nouveau propriétaire construit, en avant du pavillon
édifié par Louis
XIV, deux bâtiments, auxquels est ajouté un autre
édifice en 1752. Vendu comme bien national durant la Révolution, l'ensemble réintègre le domaine royal sous Charles X. La monarchie de Juillet l'inscrivit sur la « liste civile » du roi Louis-Philippe. C'est de ce dernier que madame Hamelin, ancienne Merveilleuse du Directoire, espionne durant l'Empire, devenue légitimiste sous le règne de Louis-Philippe, reçoit à bail en 1830, les 2 hectares, 75 ares et
21 centiares de l'Ermitage de la Madeleine, avec la maison, ses dépendances,
son jardin et son parc, le tout pour la somme de 300 francs l'an. Madame Hamelin y fréquentera de nombreuses années le couple Victor Hugo ses voisins et
y attirera d'éminentes personnalités artistiques et politiques de l'époque dont
Chateaubriand, Berryer ou encore Laure Regnaud de
Saint-Jean d'Angély. Par ailleurs, elle se
prit de tendresse pour la petite Antonia surnommée Tony, la fille du boulanger
de Samois, dont elle s’occupa telle une réelle grand-mère de substitution
jusqu'à sa mort. À la mort de madame Hamelin, en 1851, la Deuxième République renverra le domaine au privé, en le cédant à l'agent de change, Alfred
de Tattet, enterré au cimetière de Samois-sur-Seine, ami de George Sand et d'Alfred
de Musset, qui y feront là maints séjours et y
composeront certaines de leur œuvres. Démoli, le château est rebâti en 1912.
Après la Deuxième Guerre mondiale, le château, aujourd'hui propriété privée,
est le siège du SHAPE (en anglais Supreme Headquarters Allied Powers Europe,
SHAPE) signifiant « Centre de commandement
militaire des forces alliées en Europe »
pour l'OTAN. L'ensemble sera restauré en 1991 par l'institution qui l'occupe.
Wikipédia] Aujourd’hui propriété d’un éditeur.] Au mur nous prenons à gauche et longeons les
communs du château de la Madeleine l'ancien sentier jaune N°13 est commun au TMF et au GR 2. Nous passons une clairière obligée
sous la ligne à haute tension amenant l’électricité à la ligne SNCF
Paris-Lyon, nous avons une belle vue sur le coteau de Vulaines et sur
la droite les bois de Samoreau. nous abordons une zone humide et traversons la route bitumée de l'Agaric, [Les agarics, appelés aussi psalliotes
(il n'y a pas de consensus chez les mycologues
concernant l'appellation préférable), sont des champignons
basidiomycètes du genre Agaricus, appartenant à la famille
des agaricacées. Il en existe de très
nombreuses espèces, qui, pour la plupart, se ressemblent fortement. Certains
espèces sont comestibles, mais d'autres sont toxiques, comme l'agaric
jaunissant (Agaricus xanthodermus). L'espèce la plus
consommée est Agaricus bisporus,
cultivé de façon industrielle en champignonnière sous le nom de champignon de Paris. Les espèces
« sauvages » croissent de façon souvent abondante, dès les premières
pluies de l'été, dans les prés et les taillis, parfois dans les bois clairs.] Poursuivons notre chemin nous longeons des clôtures, nous sommes au hameau des Platreries [Ce hameau comporte une succession de belles demeures, parmi lesquelles "La Pêcherie" qui fut autrefois un restaurant réputé sous le nom de "à la Bonne Matelote".
S'y trouve également la maison qui abrita les amours clandestines de Victor Hugo et de l'épouse du propriétaire de l'époque, François Biard. https://www.samois-sur-seine.fr/rubrique.php?id=154] Nous ne verrons que les grillages. Nous sommes sur la route du parc, et restons à flanc de coteau. Sur la droite nous trouvons un banc et un point de vue, aujourd'hui sur des
terrains de sport, un collège et le coteau de Vulaines. (Hier sur des bâtiments militaires), Il se nomme ''point de vue Mallarmé''. Ce qui avait fait dire un jour ou il était en forme à
mon ami baliseur et animateur de rando, "nous voilà au point de vue
bien mal nommé puisqu'ils nous donne une vue sur des bâtiments
militaires" [Étienne Mallarmé, dit Stéphane Mallarmé, né à Paris le et mort à Valvins (commune de Vulaines-sur-Seine, Seine-et-Marne) le poète
français, également enseignant, traducteur et critique d'art.
Admirateur de Théophile Gautier, de Charles Baudelaire et de Théodore de
Banville, Stéphane Mallarmé fait paraître en revue quelques poèmes en
1862. Professeur d'anglais par nécessité, il est nommé en septembre 1863
au lycée de Tournon-sur-Rhône en Ardèche et séjourne à Besançon et
Avignon, avant d'arriver à Paris en 1871. Il fréquente alors des auteurs
littéraires comme Paul Verlaine, Émile Zola ou Auguste de Villiers de
L'Isle-Adam et des artistes comme Édouard Manet, qui a peint son
portrait en 1876.
Il écrit des poèmes très élaborés et reçoit ses amis créateurs lors des
Mardis de la rue de Rome ou dans sa maison de campagne, à Valvins, près
de Fontainebleau, où il meurt le à 56 ans. Attiré par l'esthétique de L'art pour l'art, il collabore au Parnasse contemporain dès 1866,
cherchant à dépasser son sentiment d'impuissance lié à un état
dépressif, il est dès lors en quête d'une beauté pure que seul peut
créer l'art : « le monde estfait pour aboutir à un beau livre »,
affirme-t-il. Il entreprend des œuvres ambitieuses qu'il retravaillera
longtemps comme Hérodiade (1864-1887) ou L'Après-midi d'un faune
(1865-1876, dont Claude Debussy tirera une de ses œuvres symphoniques
les plus célèbres en 1892-1894). Admirateur d'Edgar Poe, il traduit Le Corbeau (1845), qui est publié en 1875 avec des illustrations d'Édouard Manet, et écrit le Tombeau d'Edgar Poe
en 1876 (« Tel qu’en Lui-
même enfin l’éternité le change... »), avant
de traduire en prose d'autres poèmes. En 1887, il fait paraître une
édition de ses Poésies qui montrent sa recherche stylistique, comme dans le Sonnet en X, « Ses purs ongles très haut dédiant leur onyx », ou le sonnet en octosyllabes Une dentelle s'abolit
(« Une dentelle s'abolit/Dans le doute du Jeu suprême/À n'entrouvrir
comme un blasphème/Qu'absence éternelle de lit. »). L'aboutissement de
cette ambition du poème absolu apparaît dans le poème graphique de 1897 Un coup de dés jamais n'abolira le hasard.
Cette recherche d'une expression tendue vers l'épure lui vaut cependant
dès l'époque le reproche d'hermétisme qui reste attaché à l'art
mallarméen. La renommée de Stéphane Mallarmé se consolide encore à
partir de 1884, quand Paul Verlaine l'inscrit dans sa série des Poètes maudits
par la publication d'un long article sur Mallarmé, et, porteur de
modernité et proche des avant-gardes en art comme en littérature, il est
reconnu comme un maître par les jeunes générations poétiques, d'Henri
de Régnier et des symbolistes à Paul Valéry. Ainsi, auteur d'une œuvre
poétique ambitieuse, Stéphane Mallarmé a été l'initiateur, dans la
seconde moitié du XIXe siècle,
d'un renouveau de la poésie dont l'influence se
mesure encore auprès de
poètes contemporains comme Yves Bonnefoy. Ayant un rôle prépondérant
dans l'éclosion de la Modernité
poétique, il est aujourd'hui considéré comme l'un des plus grands poètes
de la langue française.
À partir de 1874, Mallarmé, de santé fragile, effectue de fréquents
séjours à Valvins près de Fontainebleau. Il loue pour lui et ses proches
le premier étage d'une ancienne auberge au bord de la Seine. Il finit
par l'acquérir et l'embellit de ses mains pour en faire son home.
Là, les journées s'écoulent entre deux parties de pêche avec Nadar ou
d'autres illustres hôtes, face à la forêt miroitant dans la Seine, et le
poète alors de dire : « J'honore
la rivière qui laisse s'engouffrer dans son eau des journées entières
sans qu'on ait l'impression de les avoir perdues. » Suite sur wikipédia. Sa maison est devenue un musée départemental.] Coupons la route de l'île, nous arrivons aux premières maisons de Samois sur Seine, quittons le GR 2, le TMF balisage
Blanc et vert et remontons sur la gauche l'ex balisage jaune N°13.
Nous sommes sur le chemin de
Thérouenne, dans le haut nous longeons le petit parking puis traversons la D137 face à la maison forestière de Samois. Faisons un esse gauche droite. Poursuivons par le petit chemin le long de la clôture. De sentier nous passons à chemin, qui serpente le long de la clôture, coupe un sentier sans balisage, puis la route Farewel, poursuivons en face l'ancien balisage jaune du sentier N°13. Dans un virage nous trouvons un petite sentier sur la droite c'est le sentier de raccordement 13 - 15. Prenons se sentier sur la droite, nous arrivons devant un beau pin greffé. L'itinéraire se complique. A l'époque ou mon ami avait tracé cet itinéraire c'était le seul existant. Depuis il fut créé un sentier non balisé mieux entretenu que le sentier officielle très visible et faisant le tour de se magnifique pin, ce qui engendre bon nombre d'erreur. Au pin il ne faut pas emprunter le chemin le mieux marqué au sol, mais le sentier que l'on à du mal à voir au sol sur la droite. Il débouche route du bornage que l'on prend à gauche. Coupons la route du Cèpe, quelques pas après le carrefour nous
trouvons un hêtre avec une belle lucarne (une
branche voulant prendre son essor, puis se ravise pour retourner vers le tronc pour se lier à lui.) Notre chemin débouche sur la route des Turlures que nous prenons à gauche. Nous arrivons au pavillon des eaux de source de Samois. [Elle rendait hommage à ce conseillé
municipal qui à donné l’eau courante à Samois en 1926…. Le Pavillon Magnier. La
légende est elle une légende ? Il existe bien une nappe d’eau sous le rocher de Samois « La
nappe de Champigny » Le Pavillon Magnier, (nom du constructeur) abritait
les anciennes pompes alimentant le village en eau potable. Le puits est
aujourd’hui bouché.De nos jours la station de pompage est a moitié enterré au
pied de la butte derrière la
Samoisienne, (nous y passeront sur le chemin de
retour) entre la tour et le rocher appelé "Le gros bourdon". Les
légendes sont tenaces et parfois réelle, au lieu que l'eau ne se trouve dans la
butte (comme tout réservoir au dessus d'un village, on trouve sous le rocher à
une grande profondeur des nappes d’eau : Une eau
souterraine dont le forage capte les nappes de Champigny et de
Saint-Ouen.
L'histoire de l'eau.






Il
y a fort longtemps j’ai accompagné un ami qui
entretenait les sentiers jaune de Samois. Ses sentiers (13-14-15) ont
été créés
à une époque ou le loisir se développait, ou la voiture se
démocratisait. La
randonnée s’étoffait et voulait toucher le plus grand nombre de
personnes. Aux
GR sillonnant la France par étapes, il fut créé des sentiers en boucles,
de
quelques heures ou à la journée, on était sur de retrouver sa voiture
après un
bon moment de pleine air. ILS ETAIENT BALISES EN JAUNE et s’appelaient
les Sentiers Auto-Pédestre. C'était bien vue des autorités dirigeantes
qui souhaitaient faire de la foret de Fontainebleau comme d'autres
forets périurbaine un lieu touristique et de détente qui ne soit plus réservé au "Sachant".
Le sentier 13 part de Samois et faisait une boucle en
passant par la TOUR DENECOURT.
Le sentier 14 avait son départ à la TOUR DENECOURT. A l’époque, elle était accessible en voiture et faisait une belle boucle autour du ROCHER CASSEPOT. Le 14 parcoure la crête coté EST du rocher Cassepot partie oubliée par les créateurs des sentiers bleu et l’on revenait par la face Sud en empruntant le sentier bleu n°3.
Le sentier 15 part de Samois. Il permet de réaliser une
boucle représentant une quinzaine de kilomètres. Elle nous fait découvrir la ‘’plaine’’ espace
sans rocher dans cette partie plane de la foret, puis rejoint le sentier 14 au
pied du CASSEPOT ou l’on parcourt les rochers par la CRETE ‘’EST’’ DU ROCHER CASSEPOT
jusqu’à la TOUR DENECOURT ou l’on retrouve le sentier 13 permettant de
rejoindre Samois par la vallée de la Seine et une zone humide, ce coin drainant
toute les pluies ayant traversées le sable de la foret.
En
1979, après le décès du créateur des SENTIERS JAUNE
auto-pédestres de Samois, le second sylvain de Samois, un homme qui a
marcher
dans les pas du premier, adorant la Vannoise, avec quelques
responsabilités
dans la commune et mon amis reprennent à bout de bras, ce dur travail
d’entretien des sentiers à Fontainebleau. Pas facile ici, pas facile à
Fontainebleau. Mon ami, appris du créateur la technique du balisage, pas
de trait
parallèle, il ne serve à rien on ne les voient pas. Un trait
perpendiculaire au
sentier et de ce trait on doit voir le trait suivant. Pas facile lorsque
ses
sentiers sont décriés par les uns, et que l’on n’est pas soutenu par les
autres. (On n’aimait pas la couleur jaune à Fontainebleau avant que
l’administration ne décide de créer ses propres sentiers et impose cette
couleur. On
n’aimait pas n’ont plus la façon dont ils étaient entretenus). Lorsque
l’on se
balade en foret ou ailleurs, on ne se rend pas compte du
travail de fou
que
cela demande, surtout lorsque l’on est seul ou presque et que l’on tient
à ce
que les sentiers soient toujours parfaitement balisés et entretenus pour
ne pas
dégoûter les randonneurs débutants. Sachez simplement, que je l’ai vu
passer
durant une vingtaine d’année, une grande partie de son temps libre pour
tracer
ou du moins rénové ce fil d’Ariane. Un peu de peinture ici, un
renforcement de
sentier par là, afin d’éviter un futur ravinement. Je l’ai vu modifier,
les
tracés du 14 et du 15 afin que les promeneurs laissant leurs voitures
sur le
parking du sentier 15 réalise la boucle complète sans chercher comment
rejoindre le parking. Un reproche que d'autres associations lui avaient
faite.
Il a eu
l’occasion d’obtenir des supports d’affiches. Il a eu l’idée de les utilisés
pour guider le promeneur en posant des pancartes indiquant les lieux, la
distance et les temps de parcours (sur les sentiers 13-14-15, il ne devait rester que 5
ou 6 plaques d’origine en émail. Certaine sont toujours présente ‘’collector’’ datent
de la création des sentiers) il en à mis à chaque intersection importante, pour
guider le promeneur débutant, ou, le promeneur peu sur de lui, ne sachant pas trop
bien lire une carte, n’ayant pas de topo guide. Vous me direz, aujourd’hui avec
le GPS sur le téléphone ce n’est plus trop utile. Le tel ne donne pas la
distance restante à faire… Cela ne devait pas plaire, régulièrement on lui
arrachait, et inlassablement, il les a remplacés, jusqu’au jour, ou enfin, on a
compris que ce n’était pas si mal dans cette foret façonnée pour le public, d’informer le randonneur sans qu’il soit
obliger d’acheter un guide, ou de savoir lire une carte. L’un n’empêchant pas
l’autre. Il fut ravi de la proposition d’uniformisation de la signalétique.
Il
claqua la
porte du bénévolat en foret lorsqu’il s’aperçut que son travail n’était
pas
compris, n’y soutenu par l’association qui a vu la naissance des
sentiers.
Après avoir été ignoré à plusieurs reprises lors des divers
aménagements,
imposés. Il est vrai qu’étant en activité, il lui était difficile de se
rendre
à des rendez-vous en semaine. Mais jamais on lui a demandé son avis
avant qu’il
ne soit trop tard. Lorsqu’il fut dans l’obligation du changement de
couleur,
lorsque l’administration à décidé de créer des sentiers jaune en foret
et
qu’elle ne voulait pas de fausses interprétations, ces nouveaux sentiers
venant
parfois se mélanger aux anciens. Oh, ce n’est pas particulièrement le
changement de couleur qui le chagrinait. Il ne voulait simplement pas de
bleu
pour les sentiers de Samois. Pour lui le Bleu devait être réservé aux
sentiers HISTORIQUE
DENECOURT, voir les Colinet mais pas aux sentiers rattachés. Après plus
de
vingt ans de service au sein de la foret et de l’association de Samois,
après un ultimatum, il démissionna. Tu n’ai qu’une petite main, et tu
appliqueras demain ce que nous avons décidé
hier, un point c’est tout. Il a très mal pris cette réalité.
Après la dématérialisation de la couleur ‘’fétiche’’ de
Samois, (une chanson avait même été écrite sur ce thème pour l’inauguration des
sentiers) ce fut la décapitation du
sentier 13 par le loby du VTT. Environ 40 000 licenciés en France, ils leur
fallaient bien un circuit spécifique dans la mythique foret de Fontainebleau. Sur
les 25 000 ha de foret, 17 000 ha en Domanial, dont environ 6 000 ha
de rochers, le loby vététiste de plus en plus puissant, choisit la Tour
Denecourt comme lieu de rendez-vous. Le lieu le plus représentatif de la foret.
La Tour Denecourt construite à l’extrémité du rocher Cassepot. L’ONF à profité
de la tempête de 1999 pour fermer les routes d’accès menant à la tour. Le
piéton était redevenu le maître de ce lieu. L’ONF en dégagent la végétation au
pied du ‘’Fort l’Empereur’’ y à redonner de la splendeur. Aujourd’hui le
piéton, ce Roi d’hier y est le malvenu. Sur un sentier de 0,80 à 1 m de large
la cohabitation randonneurs – vélos est bien difficile. Comme la cohabitation
voiture – vélo peut l’être. Ils ont bien
plantés ça et là, des banderoles sur le partage des chemins, mais
si l’on peut
partager un chemin de plus de 2 mètres, il est impossible de partager un
sentier de 0,80 m sans que l’un ou l’autre ne se retrouve dans les branches,
les ronces, les orties ou les fougères bordant les sentiers. Le règlement de
l’ONF interdit les vélos sur les sentiers, c’est écrit noir sur blanc. Mais
personne ne le respecte.
Alors POUSSE-TOI que je m’y mette.
Ce
n’est pas grave VIRONS les randonneurs qui ont plus
de 150 km de sentiers et prenons leur sentiers, déjà tout tracés sur la
crête
du Cassepot, ils nous intéressent. Il n’y a pas de circuit VTT à
Fontainebleau.
Il m’a été rapporté que les vététistes désiraient toute la crête
‘’Nord’’ du Cassepot.
On ne leur a laissé, (il paraît avec beaucoup de palabres, je plaisante
je n’y
étais pas), que les flancs du rocher. Mais ils ont obtenus le plateau de
la TOUR
et les 150 ou 200 m du sentier 13. Grâce à ce relâchement ils ont virés
le randonneur venant de Samois et empruntant le sentier 13 de
son BUT LA TOUR DENECOURT et de revenir à Samois sans faire demi Tour.
Je l'ai constaté les promeneurs à la route Remard prennent à droite et
ne monte plus à la tour. Ou prennent à gauche sans monter à la tour.
Une fois sur le plateau de la tour, il est possible de
redescendre par les escaliers du sentier 13 devenu escalier pour le 14 et le
GR. Alors pourquoi ce détournement et priver les promeneurs du sentier 13 de la Tour Denecourt ? Pour simplement
une centaine de mètres (peut être un peut plus) d’un parcours incompréhensible de VTT. Incompréhensible,
parce que les vététistes ont créés un parcours en site propre sur le flanc du
Cassepot et qu'ils empruntent un bout du sentier 14 et du GR nouvellement déplacé.
Je me demande pourquoi on ne leur à pas donné l’autorisation de créer à partir du plateau de la tour leur propre sentier.
Tout le monde était content. La tour était partagée. Le promeneur, marchait en sécurité sur les sentiers balisés, il fallait juste faire attention au croisement de GR et du 14.
Pourquoi n’ont-ils pas trouvé cette solution ?
Les vététistes vont penser, que je suis un vieux réac qui
n’accepte pas le changement et le modernisme. Ce n’est pas tout a fait vrai, ce
n’est pas tout à fait faut. Ont a le droit de faire notre sport favori nous
aussi. OK, mais pas sur les sentiers piétons. La LIBERTE DES UNS S’ARRETE LA,
OU COMMENCE CELLES DES AUTRES. En ville et sur les routes le cycliste réclame
des pistes en site propre, la rue avec les voitures étant dangereux pour eux, alors
pourquoi en foret prenez-vous les sentiers des piétons ? En ville les
pistes cyclable sur les trottoirs sont réputées dangereux pour le piéton. DEMANDER
l’AUTORISATION de créer vos propres
chemins sans prendre ceux des autres, parce que pour nous PIETON c’est
DANGEREUX de ce trouver nez à nez avec un groupe de vélos se croyant au
championnat du monde de VTT. C’est DANGEREUX pour NOUS PIETON. Les
sentiers ont
été crées avec du sang (ampoules sur les mains) et de la sueur, pour le
plaisir
de la marche. Oui c’est un coup de gueule, Non je ne suis pas contre le
partage avec les VTT et les chevaux,
sur un chemin s’appelant "ROUTE" en foret de Fontainebleau, d'une
largeur de 2m. Je ne suis pas contre des sites réservés aux vélos. La
foret de nos ROIS est devenue Péri-Urbaine, et est façonné pour le
loisir, il faut donc l’accepter, mais chacun à sa place. A une époque
lointaine il était
apposé sur les sentiers des logos rappelant que les sentiers étaient
interdits
aux vélos (cela ne servait pas à grand-chose, mais au moins le vététiste
ne
pouvait pas ignorer qu’il était dangereux pour le piéton. Négocier vos
propres
chemins, apposer un logo vélo, pour que le piéton ne viennent pas sur
vos
sentiers, un point c’est tout et laisser les sentiers des randonneurs
aux
randonneurs.
En effet sur un chemin de plus de 2 m de large il y a
de la place pour tout le monde. Il est vrai que parfois le randonneur ne
ressemble pas à un groupe mais à un troupeau, et plus personne ne passe, même
pas le piéton venant en face. Il m’est arrivé de me retrouver dans les orties
afin de laisser passer un groupe d’une cinquantaine de personnes, tout étonné
de me trouver dans les orties lorsqu’ils ont levés ou tourner la tête au
traditionnelle BONJOUR, auxquelles ils n’ont pas répondues. En vélo, en
freinant et avec un P-B-M (je traduis ; parce que ce sont des mots que l’on
aimerait entendre bien plus souvent PARDON-BONJOUR-MERCI) ses trois mots
magiques font que la marée humaine s’ouvre pour laisser passer le cycliste.
Je suis amer, car je me suis fais bousculé ainsi que mon chien en laisse plus d’une fois par des groupes de cyclistes pour des champions du monde, ils fonçaient comme des C.. sur le sentier N°13 sinueux sans visibilité. Un jour, cela à même tourné vinaigre. Mon chien en bout de sa laisse à rallonge,( il à bien le droit lui aussi à un peu de liberté), ce fait bousculer pour la troisième fois par un vélo, au point qu’elle crie et qu’elle boîte. Le type ne s’arrête même pas. Pourtant ils ont des freins à disques ET LA LAISSE NE FAIT PAS PLUS DE 5 M. Sauf que cette fois ci, je n’ai pas bougé du sentier. Il n’y avait pas de place pour deux, il à été obliger de me bousculer, tout en freinant au dernier moment, et de s’arracher un peu dans les branches bordant le chemin. Je me demande même si ce ne sont pas les branches qu’il l’on fait freiner… Deviner qui avait tort ? Heureusement que ses copains plus réalistes on réussi à le calmer EN LUI RAPPELANT QU’ILS N’AVAIENT PAS LE DROIT D’ETRE LA. Je vous rassure le vélo n’avait même pas une égratignure et c’est ce qu’il a regardé en premier. C’est que cela coûte un bras ses engins là. Il n’a même pas demandé par politesse si le chien allait bien, il ne nous a même pas donné son nom et son téléphone au cas ou le chien soit obligé d’aller chez le vétérinaire. Un mufle. Ce qui m’étonne le plus se sont les clubs qui n’apprennent pas le PARDON-BONJOUR-MERCI à leurs membres. Cette politesse et ce respect du randonneur manque beaucoup à certain vététiste, comme au randonneur le Merci. C’est toujours Le POT DE TERRE CONTRE LE POT DE FER, d’alu ou de carbone.
Depuis je m’interdis de marcher les week-ends, et durant les vacances sur les sentiers spécialement tracés pour NOUS LES PIETONS. Toujours Le POT DE TERRE CONTRE LE POT DE FER, d’alu ou de carbone.
Si tous les randonneurs s’étaient donné la main. Les sentiers EX
JAUNE de Samois, serait peut être toujours présent sans faire demi tour à la
Tour Denecourt.
Il n’est pas trop tard, on peut toujours rêver. Le plateau de la tour est suffisamment grand pour une cohabitation.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire