mercredi 2 mars 2022

Petite promenade en Limousin N° 120 ; Saint Sulpice Laurière ; Mont Chatelard

Circuit du Mont Chatelard

 juillet 2020 

Saint Sulpice Laurière se trouve un peut en retrait de la D 914 (route d’Ambazac) entre Laurière et Ambazac. A 40 min de Limoges. Prendre l'A20 en direction de Paris puis emprunter la sortie n°27 Ambazac. Suivre à droite la RD914 jusqu'au col de la Roche. Tourner à gauche, entrer dans Saint-Sulpice-Laurière, puis prendre à droite la route de l'étang.

Parcours que l’ont peut rejoindre en utilisant le train.

Ligne ; Limoges – Guéret : C’est un peut plus difficile les fins de semaine. C’est jouable avec le casse croûte dans le sac.

  https://cdn.ter.sncf.com/medias/PDF/nouvelle_aquitaine/Affiche%2025%20Limoges%20Montlucon_29_07_tcm78-217156_tcm78-223103.pdf

 Ou la Ligne ; Châteauroux - La Souterraine – Limoges C’est un peut plus difficile les fins de semaine. C’est jouable avec le casse croûte dans le sac. https://cdn.ter.sncf.com/medias/PDF/nouvelle_aquitaine/Affiche%2021%20Limoges%20Paris_29_07_tcm78-217152_tcm78-223099.pdf

Nous trouvons un parking place de la gare de Saint Sulpice Laurière.

 

  Carte IGN             Trace GPS & Topo sans Commentaires            Trace randogps

 
Le code mobile de cette randonnée est b345867

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Km   Temps       Arrêt     V/d   V/g    Dénivelé      Indice d’effort

12        2h30      15          4,9    4,5        371                41 af    n1

Parking de la gare ; [Le groupe de 12 ginkgos bilobas constitue l’ornement privilégié de la cour de la gare de Saint Sulpice Laurière. En 1864, lors de la construction de la gare, l’ingénieur en chef qui dirigeait les travaux, M de Leffe, était devenu, au cours d’un voyage au Japon, l’ami intime du frère de l’Empereur du Japon, à telle enseigne qu’il avait invité dans son château de Crochat, près de Limoges. Lors de sa visite, le prince impérial avait apporté un certain nombre de plants dans les bagages, dont une douzaine de ginkgos, arbres qui, à l’époque, étaient considérés comme sacrés. M de Leffe décida de les planter à St Sulpice. Ils trouvèrent là un terrain favorable puisqu’ils atteignent aujourd’hui la taille de 20 m. Non seulement son originalité, sa beauté, la forme en éventail de ses feuilles, la splendeur dorée qu’il revêt à l’automne (on l’appelle l’arbre aux quarante écus) en font un arbre remarquable, mais l’industrie pharmaceutique s’intéresse particulièrement à la grande variété des molécules de ses feuilles. Il était déjà utilisé dans la médecine chinoise depuis des siècles. En revanche, ses fruits (ou plutot ses ovules) sont lisses et attirants mais ont un parfum désagréable et sont très toxiques.  http://www.saint-sulpice-lauriere.fr/fr/information/46161/curiosites ] Le bourg de Saint-Sulpice a appartenu jusqu'à la Révolution française aux hospitaliers de la commanderie de Morterolles.  À un kilomètre au nord-ouest du Col de la Roche, Saint-Sulpice-Laurière est situé dans un endroit stratégique et il est au pied du camp gallo-romain du Maillorat (oppidum du Châtelard sur la commune de Jabreilles-les-Bordes). Par contre il se trouvait niché dans une cuvette au centre des Monts d'Ambazac et le climat y était rude et peu propice à l'agriculture. Aussi au début du XIXe siècle Saint-Sulpice n'était qu'un petit village en marge de Laurière, qui était deux fois plus peuplé. Cette situation changea à partir de 1844 quand les promoteurs du chemin de fer décidèrent d'y établir dans un premier temps la « gare de Laurière » (future Gare de Saint-Sulpice-Laurière), sur le trajet Vierzon-Limoges, c'est-à-dire Paris-Toulouse, puis un nœud ferroviaire permettant la jonction avec une autre ligne vers Guéret et Montluçon. Cet embranchement nécessita l'établissement d'un important dépôt de machines à vapeur, d'une rotonde et d'une plaque tournante pour que les trains allant de Limoges à Guéret puissent manœuvrer. Ces activités demandèrent une main-d'œuvre conséquente et l'on vit, entre 1861 et 1921, la population de Saint-Sulpice presque tripler (passant de 764 à 1 959 habitants). Avec le remplacement du train à vapeur par le train pendulaire le Dépôt perdit sa nécessité. À sa place a été installé un parc EMS (Équipement Mobile de Sécurité) mais il réclame beaucoup moins de personnel, d'où un relatif dépeuplement et déclin de Saint-Sulpice. Cependant, du fait de ses commerces, du collège et d'une bonne desserte ferroviaire, le village reste le centre d'activités du canton. Wikipédia]
 
Sortons du parking et prenons sur la gauche la rue des Betoulles, longeons la ligne de chemin de fer. Longue rue bordée d’un coté de maisons plus ou moins espacées par des prairies. Nous arrivons au carrefour avec la D 8 A1 nous prenons à gauche la direction de Saint Léger la Montagne et Bersac (rue Jules Ferry), passons devant l’école.

Sur la droite nous trouvons une croix en fonte sur un socle de granit hommage à nos poilus de 1914-1918. Nous arrivons à l’église du Bourg sans clocher classique
mais avec une tour devant servir de clocher. [L'Eglise du Bourg. Son rôle. Cette église du XIII ème siècle est adossée à un clocher-donjon du XIème siècle couvert d'un toit en bâtière. Sa particularité est de posséder un clocher accolé à la paroi sud de la nef. C’est une véritable tour qui est à usage militaire défensif. Une porte ouverte à 3m du sol donne accès à l’intérieur à deux étages. Des baies de tir à l’Est et un trou de canonnière, au Sud témoignent de sa fonction. Sa base renflée faisait ricocher les projectiles réduisant considérablement leur efficacité. Une porte ouverte à 3 m. du sol donne accès à l'intérieur à 2 étages. http://www.saint-sulpice-lauriere.fr/fr/information/46423/l-eglise-bourg]  [Sur la gauche de l'église, nous trouvons une pierre avec de drôles d'empruntes. C'est une pierre d'origine Celtique des IX - XII ème Siècle. Selon la légende ; Saint Sulpice, évêque de Bourges et évangélisateur du pays s'agenouilla sur cette pierre laissant l'empreinte de ses genous et de son bâton. La pierre aurait des vertus et on y ménerait les enfants malade]  Poursuivons par la D 78 direction de Saint Léger la Montagne et Bersac (rue de Poperdu) nous descendons jusqu’au pont. La route fait fourche, laissons sur la droite la D 203 en direction Bersac et poursuivons sur la gauche la D 78 en direction de Saint léger la Montagne. Après le pont coupons la rue de Cressac, nous avons sur la droite le Lavoir – abreuvoir de Cressac. Remontons jusqu’au cimetière et prenons à gauche la rue de Plaissance (balisage jaune, triangle jaune). Après le cimetière prenons à droite le chemin de Bellevue, Nous rencontrons le GR de Pays du Tour des Monts d’Ambazac. Chemin bitumé jusqu’à la déserte des maisons. A la fourche laissons sur la droite le chemin de la cour Daumier et poursuivons tout droit le chemin de Bellevue (GRP et balisage jaune). Nous grimpons dans les bois, par le chemin carrossable des bois, il dessert deux maisons isolées, semblant être encore habitées. Un peu plus haut, nous trouvons des ruines, laissons un chemin sur la droite (peu visible lorsque je suis passé le bois étant en régénération, avec des grumes au sol.) laissons le suivant sur la gauche (chemin n’existant pas sur la carte) Trait jaune. Poursuivre tout droit le chemin continuant de monter, (triangle jaune). Nous sommes toujours sur le GRP. Après quelques virages nous trouvons un chemin sur la gauche. Abandonnons le GRP et le triangle jaune s’en allant sur ‘’Les Combes’’. Prenons ce chemin qui reste plus ou moins sur la même courbe de niveau peut être un balisage avec un triangle bleu. Laissons un chemin sur la gauche et nous débouchons sur un autre, en stabilisé (ancienne route plus ou moins bitumée) triangle bleu, que nous prenons à gauche. Nous restons sur la même ligne de niveau. Sur la droite nous sommes dominés par le Puy du Châtelard. Nous débouchons sur la route menant au village de Maillorat (triangle bleu) que nous prenons à droite, nous trouvons une pancarte nous indiquant le puy et ses fortifications, quittons la route pour prendre le chemin sur la droite, (panneau blanc avec triangle rouge) il débouche sur un chemin caillouteux plus ou moins pavé que nous prenons à droite, c’est également le GRP du Tour des Monts d’Ambazac, et un rond rouge. Nous trouvons sur un poteau, un triangle intérieur rouge, un triangle rouge, un rond rouge, un VTT orange. Laissons un premier chemin sur la droite et presque au sommet, quittons le GRP et prenons le second chemin. (balisage les triangles rouges et un trait rouge.) Nous faisons le tour de l’oppidum [L’enceinte fortifiée ; sans construite à l’époque de la conquête romaine, la fortification de ce lieu avait une double fonction stratégique, elle permettait de surveiller les routes, et servir de refuge temporaire aux populations en période d’insécurité. Des panneaux d’informations, un indique que le rempart mesurait 3 à 4 m armé intérieurement de pieux de bois verticaux parementé de pierres sèches. Le rempart, précédé d’un large fossé sec, ferme un promontoire de 10 hectares. Cet éperon était complété sur son pourtour par des terrassements plus légères]. Le petit sentier nous fait faire le tour de puy, je cherche sous les arbres, les restes de fortifications. Je ne vois rien. Je pensais tout de même apercevoir quelques pierres dégagées en alignement. Je suis un peu déçu. Nous retrouvons notre chemin balisé en rouge et jaune (grp) que nous prenons à gauche et redescendons le chemin que nous avons fait en montant, jusqu’à la route. Reprenons le chemin sur la gauche et nous débouchons sur la route menant au village de Maillorat que nous prenons à gauche. Nous arrivons à la fourche, avec le large chemin (ma trace le reprenait sur une dizaine de mètres et nous devions trouver sur la droite un chemin nous permettant de rejoindre Saint Sulpice Laurière sans prendre la route. Chemin que j’ai cherché et que je n’ai pas trouvé. Chemin qui existe, je l’ai parcouru en partant du bas. Seul une dizaine de mètres est impraticable, fougères aigles de deux mètres et ronces grosses comme le pousse. Dommage.) Je poursuis la route et descend le col de la roche, (c'est un balisage bleu). Nous débouchons sur la D 8A3 que nous prenons à gauche, a l'entrée du hameau de La Gâne nous prenons la route de gauche en suivant la pancarte Dépôt SNCF (route du Chatelard). Après quelques maisons en bordure de la route nous longeons le dépôt SNCF par la rue du dépôt longeons les voies. Au pont et à l’intersection avec les rues du Grand Coudert prenons à droite passons sous les voies. A la sortie du pont sur notre gauche nous trouvons une église moderne en béton [« Notre Dame de la Voie Cette église, comme son nom l’indique, est située à proximité de la gare SCNF. Elle n’a bénéficiée que d’une très faible participation de l’Evêché de Limoges. Elle existe grâce à la volonté du Père Fredon et à la générosité des paroissiens. En effet, le Père Fredon, lors de son installation en septembre 1947, constate qu’il arrive dans une paroisse très étendue, décentrée par rapport à son église et déchristianisée. Il décide alors de construire une église au centre de l’agglomération, afin de rétablir une vie chrétienne et, en particulier, la dévotion envers « Notre Dame de la Voie » tombée entièrement dans l’oubli. Cette dévotion à « Notre Dame de la Voie » est due à un miracle qui remonte au 28 octobre 1849. Ce jour-là, alors que se construisait le tunnel de 800 m sur la ligne Paris-Limoges, un éboulement survînt, sur une longueur de 20 m, qui aurait pu engloutir les nombreux ouvriers qui travaillaient et qui ont été miraculeusement préservé. En effet, par une chance extraordinaire, le chef de chantier, M. Guyot, et ses hommes ont pu trouver refuge dans un espace où les poutres ont résisté. Ils font alors le vœu que, s’ils sortent indemnes de cet éboulement, ils dédieront à la Vierge et à l’enfant Jésus une statue. Le miracle eu lieu, et ils se cotisèrent pour acheter une belle statue de la Vierge portant l’enfant Jésus, mesurant 1.10m. A la base, on peut lire l’inscription suivante : « Offrande de M. Guyot P., conducteur, des autres employés et ouvriers, en action de grâces de la Protection du Ciel dans les travaux de l’éboulement du souterrain de Laurière survenu le 28-X-1849 ». Cette statue restera à l’église du Bourg jusqu’au 22 mars 1964. Les fondations de Notre Dame de la Voie débutèrent au printemps 1954 et la première pierre fût posée le 03 juillet 1955. Faute de crédits, le chantier fut stoppé. Les travaux reprirent en 1963 pour se terminer le jour des rameaux, le 22 mars 1964. La veille, la Vierge était installée sur son piédestal à « Notre Dame de la Voie ». Le jour choisi pour la bénédiction de la nouvelle église fût le dimanche 10 mai 1964, en présence de l’Evêque de Limoges qui, au cours de son homélie, déclara notamment que : « Dieu se trouvait présent au centre de la cité au milieu du travail et de la peines des hommes » « Notre Dame de la Voie préside au passage de tous les trains et protège les voyageurs ». Par la suite, des améliorations ont été apportées, par l’installation notamment d’un maitre autel de 5 tonnes en granit de Sidobre (Tarn), d’une colonne de Notre Dame d’une tonne, d’une cloche, d’une croix, de l’isolation thermique, du chauffage, etc… http://www.saint-sulpice-lauriere.fr/fr/information/46414/historique]. Prenons à gauche l’avenue de la gare et nous retrouvons notre parking.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 


 
Piste pour éviter la route si le chemin a été  nettoyé.

Lorsque nous reprenons le bitume (la route menant au village de Maillorat) et que nous descendons, nous retrouvons le large chemin à mi pente du Mont Chatelard. Reprenons se chemin  sur une vingtaine de mètres, le chemin descend sur la droite en serpentant puis il fait un angle aigu sur la droite. Poursuivons par un chemin herbeux, nous faisons un angle aigu sur la droite. poursuivons par un chemin herbeux, nous faisons un angle aigu sur la gauche et sortons de la partie herbeuse pour retrouver un chemin forestier. Nous nous approchons de la route, le chemin fait fourche, nous prenons à gauche (le chemin de droite débouche sur la route) nous apercevons le panneau de Laurière  sur le bord de la route, poursuivons tout droit, le chemin remonte légèrement, nous apercevons les toits des maisons, le chemin tourne sur la gauche. Ce passage évite le bitume. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à droite nous redescendons vers une allée desservant des maisons que nous prenons à droite, puis sur la route que nous prenons à gauche. Et nous arrivons  au pont sncf. 


 



Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; 
https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page.html

 

 

 

 

 

Trace : Piste_2020-07-0 MT CHATELAR.gpx

Fiabilité de la trace originale: D

Niveau du correctif appliqué à la trace : 4

Distance totale : 12.13 Km

Distance analysée: 12.13 Km

Dénivelée positive accumulée: 268.7 m

Dénivelée négative accumulée: 272.67 m

Altitude maximale: 549.39 m

Altitude minimale: 405.86 m

Altitude finale: 414.5 m

Pourcentage de montée: 5.75 %

Pourcentage de descente: 4.96 %

 

 

 

 

niveau d’effort :

·        0 à 25 = niveau 1 (facile). aucune difficulté physique particulière.

·        25 à 50 = niveau 2 (assez facile). Les difficultés physiques très limitées.

·        50 à 75 = niveau 3 (peu difficile). L’engagement physique reste raisonnable.

·        75 à 100 = niveau 4 (assez difficile). L’effort soutenu, difficulté physique importante.

100 et plus = niveau 5 (difficile). L’effort est très important. Il faut une réelle préparation

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