Aujourd'hui nous partons en Loire Atlantique et plus précisément dans le Pays de Retz; Saint Hilaire de Chaléon
Saint Hilaire de Chaléon
Le circuit des Templiers
La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune a aussi fait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique.
La commune fait partie de la Bretagne historique, dans le pays traditionnel du pays de Retz et dans le pays historique du Pays nantais. La commune a aussi fait partie des Marches Communes de Bretagne-Poitou, entre pays de Retz et Vendée historique. Saint-Hilaire-de-Chaléons est située entre le lac de Grand-Lieu et la baie de Bourgneuf, à 25 km au sud-ouest de Nantes et 3 km à l'ouest de Sainte-Pazanne. Le nom de la localité est
attesté sous les formes San
Heliren et Sancti Hylarii au XIIe siècle. Le nom de
Saint-Hilaire-de-Chaléons vient de Hilaire de Poitiers, évêque de Poitiers au IVe siècle ; Chaléons viendrait de calma,
terme d'origine pré-celtique qui signifiait
« espace dénudé » ou « plateau en friche ».
La commune de Saint-Hilaire-de-Chaléons possède en effet un plateau qui se
poursuit au sud-ouest sur la commune de Villeneuve-en-Retz,
jusqu'à dominer le Marais breton et la plaine
littorale. Pendant la période révolutionnaire, la commune prit le nom de La
Fraternité.
En breton, elle a été dénommée Sant-Eler-Kaleon par
l'Office de la Langue Bretonne, nom sans valeur historique.
Saint-Hilaire-de-Chaléons est mentionné pour la première fois en
1079, époque où son église est donnée aux religieuses de Notre-Dame d'Angers.
L'église de Saint-Hilaire de Chaléons appartenait alors au prieuré Sainte Marie de Prigny. Durant le Moyen Âge, la paroisse de
Saint-Hilaire se développe à proximité du château du Bois-Rouaud. La période de la Révolution française est une période très difficile pour la commune qui a laissé des
traces durables dans les mentalités. Saint-Hilaire est alors un lieu de
cantonnement pour l'armée républicaine qui combat les Armées catholiques
et royales de Vendée et de Bretagne. En raison de la déchristianisation, la commune est renommée La Fraternité.
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Avril 2019
Village que l'on peu rejoindre en train ou en voiture. Ligne
Nantes Pornic
Km temps Arret V/d V/g Dénivelé
18 3h30 0h15 5,1 4,8 123 +
Sur la gauche derrière le camping municipale
nous trouvons le calvaire au centre du cimetière çirculaire. En
1793, le curé de la paroisse, l'abbé Violet, âgé de 24 ans, est blessé au
visage alors qu'il sert dans l'armée vendéenne en tant que porte drapeau de François Charette de la
Contrie. En 1825, il décide d'ériger un calvaire à Saint
Hilaire pour rendre hommage aux victimes de la répression pendant la
révolution. Le cimetière actuel situé autour du calvaire est inauguré en 1869
par le maire, le comte Gustave de Juigné.
Le Calvaire dans le cimetière, se distingue également, par sa forme
circulaire. Au centre de celui-ci, se trouve un calvaire. On y trouve des
plaques portant les noms d’habitants massacrés pendant la guerre de Vendée. Wikipédia.
Reprenons la D61rue Eloi Guitteny en direction de
l'église L'église actuelle remplace une ancienne église
ruinée à la Révolution française. Lors de la construction de l'église en 1897, trois sarcophages mérovingiens sont découverts. Elle se caractérise par, son carillon sonnant
« La Paimpolaise », une chanson de Théodore Botrel au fil des heures. La commune a rénové le clocher en 2000, une équipe
de jeunes cinéastes a profité de l'occasion pour refaire l'histoire de ce
clocher avec les anciens qui l'avaient vu construire. Faisons le tour de l'église par la rue (place de l'église) puis à droite la rue du clos Paulet, poursuivons jusqu'à la sortie du village. Au rond point coupons les rues des Genets et des accacias poursuivons en face la rue la rue Paulet. Rapidement nous quittons le bitume pour trouver un chemin faisant tout de suite fourche. Nous prenons le chemin de droite. Bois et champs se succèdent , les champs ont garder leur bosquets et leur haies, cela nous change de ses
grandes étendues à perte de vue que l'on trouve dans mes
promenades en Beauce et de la Brie. Nous
sommes sur un balisage jaune. Nous arrivons à la ligne SNCF Nantes – Pornic. Passons
le rail par une passerelle métallique et poursuivons notre chemin, qui
débouchons sur le bitume. Prenons la
route sur la gauche sur une cinquantaine de mètres, puis à droite le chemin
entre les haies. Nous débouchons de
nouveau sur le bitume (route de la Bourdonnais) prenons sur la gauche un chemin
formant angle droit avec le notre. Il fait un esse droite gauche avant
d'arriver à un carrefour formant Té. nous prenons à droite. Laissons un chemin
sur la gauche, nous débouchons sur un
chemin formant Té nous prenons à gauche et débouchons sur une route
bitumée que nous prenons à droite. La
route fait patte d'oie poursuivons tout droit. Nous arrivons au village de La
Davière des Landes. Coupons la route de la Milsandrie et prenons en face la rue
(chemin du Pinier) laissons sur la gauche l'impasse du Graco, poursuivons la 
rue jusqu’à ce
qu'elle débouche sur la rue formant Té (chemin des Pontreaux) que nous prenons à
gauche. De rue nous passons à chemin (chemin du Breuil) bois et champs se
succèdent avec leur bosquets ou de haies entourant les champs, ce qui fait que l'été on trouvera toujours un peu d'ombre sur ce parcours. Nous entrons dans le hameau du Breuil au niveau de la patte d'oie avec les quelques maisons du Grand Crédo, une grande ferme sur la droite. Poursuivons tout droit jusqu’à rencontrer la rue principale que nous prenons à gauche sur une cinquantaine de mètres et prenons à la fourche suivante la première rue de droite. (attention, dans certain passage le balisage jaune est distant,
voir inexistant notamment sur
les longues partie de bitume. Cela ne poserait pas de problèmes, si les
changements de direction étaient indiqué en amont.) La rue fait un esse droite
gauche, nous sortons du breuil, le bitume tourne sur la droite, nous arrivons a
la ferme et aux bâtiments du Pré Bricou. Nous trouvons un chemin sur notre
gauche faisant fourche, nous prenons la branche de droite. Pas simple dans ce
coin. Nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche (attention,
on a tendance à poursuivre tout droit). Nous arrivons au domaine de la
Chapellerie, sur la droite un bâtiment derrière une haie, le chemin fait un
esse tout en coupant le chemin donnant accès
aux 
bâtiments. Traversons la D
605, poursuivons en face, laissons le chemin de droite à une première patte
d'oie, et à la seconde poursuivons sur la droite. Nous arrivons au hameau de La
Tartouzerie. D'après la carte, à cette deuxième fourche, il aurait fallut
prendre à gauche, mais cela nous ramène sur la D 605 qu'il faut prendre à
droite. J'ai préféré rejoindre le centre du village, débouché dans le virage du
chemin du Clos Lézin que nous prenons à gauche et au carrefour prendre à gauche le bitume
(route de Tartouzerie) nous coupons la D 605 poursuivons en face par la route
de La Rouillère. Nous retrouvons le balisage. Nous avons fait que quelques
centaines de mètres de bitumes en plus. Nous arrivons au hameau de La
Milsandrie. Au carrefour avec un calvaire, formant une patte d'oie à trois
dents. Laissons une route sur la droite formant un angle aigu avec nous, et
prenons la route sur la droite formant un angle à quatre vingt dix degrés avec
le notre (chemin de la Gatte). De bitume nous passons à chemin et 
rénovation et la place ressemble plus à une
cour d'une ancienne grande ferme, qu'a une place de village. Nous prenons la
rue de gauche (sur le premier poteau de la place nous avons une croix jaune.) La
rue desservant quelques maisons et une ancienne ferme devenue peut être un garage,
se termine par un chemin que l'on prend à droite. Nous arrivons aux premières
maisons de la Richerie, puis 
débouchons au carrefour avec la rue
principale que nous prenons à droite. Passons
un hangar métallique (une croix jaune sur l'un des poteaux nous indique que
nous ne devons pas prendre le chemin de droite.) Longeons un bâtiment en pierre
(long mur.) Nous évitons le centre du hameau et débouchons sur une route que
nous penons à droite (Attention une partie du balisage part sur la gauche),
traversons la ligne de chemin de fer à voie unique et prenons la route se
trouvant derrière sur la gauche. Nous longeons la voie, puis l'on s'en 
éloigne,
passons une exploitation avec des silos, pour enfin quitter le bitume et
retrouver un chemin de terre. (Les cartes sont différentes entre L'IGN, Google Map
et les vues aériennes. La voiture google n'a pas filmé de voie d'accès avant le passage à niveau alors qu'elle est
tracé en vue aérienne. Ce ne serait plus
la route sur laquelle nous sommes qui mènerait à la ferme Noe Dufort, mais le
chemin avant la ligne SNCF qui en serait devenue l'accès principale, mais, que
la voiture Google n'a pas filmé. Je ne me souviens plus si cette route existe
vraiment, j'étais 
actionné à suivre la trace du GPS.) Passons un calvaire et prenons un chemin
sur la droite avec un balisage (un petit pont permet de franchir un fossé). Nous longeons les jardins du lotissement Poursuivons tout droit et débouchons au
carrefour à l'entrée de St. Hilaire D 80. Nous faisons un petit esse gauche-droite et prenons le chemin bordé d'un calvaire, nous débouchons sur un chemin formant Té prenons à gauche. Le chemin débouche à l'entrée d'un lotissement poursuivons jusqu'à la D 61 Lieu dit Le Craford prenons à gauche vers l'église nous retrouvons le parking un peut plus loin sur la droite.
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