N-S&M Prom 20 : Saâcy
Circuit en boucle à partir de la gare de Nanteuil-Saâcy
Février 2020
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps
Le code mobile de cette randonnée est b322938
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel vidéo en Cliquant ici
Km Temps Temps Arrêt V/d V/g Dénivelé
23 3h45
0h45 6 5 331
Mon départ ce fait de la petite
gare de Sâacy-Nanteuil. Sortons de la gare par le passage sous terrain. La gare
à bien changé depuis un an, les travaux sont presque terminés, un beau parking
accueil les véhicules, ce qui évite qu’elles ne se garent un peut partout sur
la route.
Sortons de la gare en prenant le passage sous terrain. Partons sur la gauche et passons devant le
wagon du souvenir. C'est un wagon du dernier train en partance pour l’Allemagne. ["Ce Mémorial rend hommage aux 2.400
résistants et résistantes, extraits notamment de la prison de Fresnes et du
Fort de Romainville, qui ont quitté Paris (Quai aux bestiaux de la Gare de
Pantin) le 15 août 1944 pour l'Allemagne.
Le 16 au matin, le train s'est arrêté dans la plaine de Luzancy
car le pont ferroviaire enjambant la Marne avait été détruit par l'aviation
britannique. Les prisonniers, encadrés par des SS, vont parcourir à pied
plusieurs kilomètres pour rejoindre la gare de Nanteuil-Saâcy, de l'autre côté
de la Marne, en traversant les villages de Luzancy, Méry, Nanteuil et Saâcy. Un
autre train conduira,en une semaine, les hommes à Buchenwald et les femmes à
Ravensbruck.
La plus grande partie des hommes sera ensuite transférée dans
l'enfer des camps de Dora, Ellrich et Nordhausen. 85% n'en reviendront pas.
Pour
perpétuer le devoir de mémoire, le Comité s'est proposé d'installer un wagon,
sur un terrain proche de la gare. La Direction de la SNCF a immédiatement donné
son accord à ce projet. Le Comité Central d’Entreprise a apporté son appui. La
SNCF a retrouvé un wagon en bois (40 hommes - 8 chevaux) d'époque et qui a
servi à la déportation. Elle l'a généreusement offert au Comité." http://www.fnaut-paysdelaloire.org/article-inauguration-du-memorial-du-dernier-convoi-de-deportes-a-nanteuil-saacy-107314414.html] Coupons la D55 et prenons le chemin le long des
voies de chemin de fer (chemin vert. Sur la carte google map Sous Paroy et c’est une erreur). Nous y trouvons le GR 14 A et un balisage jaune en direction de Citry. En bout des quelques maisons, le chemin tourne sur la droite et nous traversons les champs. Laissons un chemin sur la droite, proche du village de Citry et de la D 70 nous trouvons une bande de terre clôturée avec des arbres le GR tourne à gauche. Un peu plus loin le chemin fait fourche prenons à gauche le long de prairies plus ou moins a l'abandon. Nous arrivons devant un mur avec un bois derrière, le chemin
tourne à droite. Longeons une maison et juste avant d’entrée dans citry nous prenons sur la gauche le chemin de la Bonnette. Nous longeons un mur, le chemin serpente tout en descendant vers Citry [Il est certain que Citry existait vraisemblablement dans un passé très lointain puisqu’il a été trouvé un racloir en silex vers les plâtrières de Pisseloup (hameau de Citry pour partie). Un peu en aval de ce hameau existait un gué pavé, aboutissement de la voie romaine. Citry était écrit Sitri. À cette époque, le village était complètement isolé au pied d’une falaise wikipédia] Le chemin débouche (rue de l’Eglise) tout proche de l’église, [Église Saint-
Ponce dont le portail est classé aux titre des monuments historiques. wikipédia] Comme le GR nous prenons à gauche et poursuivons notre descente vers le centre du village. Sur la petite place herbeuse de l’église nous trouvons d’anciennes meules à carreaux [Une meule à grains. traditionnellement en pierre, qui permet le broyage, la trituration, le concassage, ou plus spécifiquement la mouture de diverses substances. Intégrée depuis la fin du Paléolithique à des processus alimentaires, son usage est resté constant jusqu’à la fin du XIXe siècle, où elle fut progressivement remplacée par des outils métalliques d’un genre nouveau. Pourtant, elle est toujours visible dans des installations domestiques ou rurales. Dans un système de mouture, on appelle meule dormante ou meule gisante la partie qui reste immobile pendant l'opération de mouture et qui se trouve généralement en position inférieure. Ce terme s'oppose à meule courante ou meule mobile qui, comme son nom l'indique, est animée d'un mouvement à la surface de la précédente. Wikipédia. Les
meules d'une seule pièce sont plus difficiles à trouver. Elles se brisent facilement pendant le travail ou le transport. De plus, pour réaliser un bon broyage il faut des meules avec des vides, qui l'empêchent de « bourrer ». Après acheminement des quartiers de pierre, le fabricant choisit les pierres. Il s'agit de classer les différents morceaux suivant leur qualité en considérant la dureté, le grain, la porosité et la couleur des pierres. Le choix fait, la fabrication commence par le centre ou « boitard », qui est le plus souvent d'une seule pièce et plus tendre que les bords de la meule finie. C'est à ce niveau que l'on fixe l'anille sur laquelle la meule est suspendue. Autour du boitard viennent se ranger et se fixer, avec du plâtre ou du ciment, les carreaux taillés au burin pour s'adapter entre eux. Une meule est formée de deux à six quartiers. Lorsque le travail est fait, l'ouvrier les ajuste avec du ciment Portland. Puis la meule est cerclée. Il faut ensuite la
rayonner. Le profil est légèrement concave pour ménager un vide entre les deux meules au centre. La difficulté consiste à limiter l'échauffement lié à la pression des meules sur la mouture. Outre la dénaturation de la farine, cet échauffement, ainsi que les étincelles issues du frottement des pierres, peuvent être à l'origine d'une explosion du moulin dont l'atmosphère est chargé de fines particules de farine. Les rayons participent d'une part à la ventilation de l'entre-meules et d'autre part à l'avancée progressive de la matière de l'œillard vers la feuillure située en périphérie. Entre les rayons, la meule est parcourue de stries, appelées rhabillures, taillées dans la pierre, pour rendre celle-ci plus agressive. La paire de meules constituera, (quand ils existeront !) le cœur du moulin. Le mécanisme de la trempure permet le réglage de l'écartement entre les deux meules. https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geologie-meule-histoire-geologie-pierres-meulieres-1412/page/5/
voies de chemin de fer (chemin vert. Sur la carte google map Sous Paroy et c’est une erreur). Nous y trouvons le GR 14 A et un balisage jaune en direction de Citry. En bout des quelques maisons, le chemin tourne sur la droite et nous traversons les champs. Laissons un chemin sur la droite, proche du village de Citry et de la D 70 nous trouvons une bande de terre clôturée avec des arbres le GR tourne à gauche. Un peu plus loin le chemin fait fourche prenons à gauche le long de prairies plus ou moins a l'abandon. Nous arrivons devant un mur avec un bois derrière, le chemin
tourne à droite. Longeons une maison et juste avant d’entrée dans citry nous prenons sur la gauche le chemin de la Bonnette. Nous longeons un mur, le chemin serpente tout en descendant vers Citry [Il est certain que Citry existait vraisemblablement dans un passé très lointain puisqu’il a été trouvé un racloir en silex vers les plâtrières de Pisseloup (hameau de Citry pour partie). Un peu en aval de ce hameau existait un gué pavé, aboutissement de la voie romaine. Citry était écrit Sitri. À cette époque, le village était complètement isolé au pied d’une falaise wikipédia] Le chemin débouche (rue de l’Eglise) tout proche de l’église, [Église Saint-
Ponce dont le portail est classé aux titre des monuments historiques. wikipédia] Comme le GR nous prenons à gauche et poursuivons notre descente vers le centre du village. Sur la petite place herbeuse de l’église nous trouvons d’anciennes meules à carreaux [Une meule à grains. traditionnellement en pierre, qui permet le broyage, la trituration, le concassage, ou plus spécifiquement la mouture de diverses substances. Intégrée depuis la fin du Paléolithique à des processus alimentaires, son usage est resté constant jusqu’à la fin du XIXe siècle, où elle fut progressivement remplacée par des outils métalliques d’un genre nouveau. Pourtant, elle est toujours visible dans des installations domestiques ou rurales. Dans un système de mouture, on appelle meule dormante ou meule gisante la partie qui reste immobile pendant l'opération de mouture et qui se trouve généralement en position inférieure. Ce terme s'oppose à meule courante ou meule mobile qui, comme son nom l'indique, est animée d'un mouvement à la surface de la précédente. Wikipédia. Les
meules d'une seule pièce sont plus difficiles à trouver. Elles se brisent facilement pendant le travail ou le transport. De plus, pour réaliser un bon broyage il faut des meules avec des vides, qui l'empêchent de « bourrer ». Après acheminement des quartiers de pierre, le fabricant choisit les pierres. Il s'agit de classer les différents morceaux suivant leur qualité en considérant la dureté, le grain, la porosité et la couleur des pierres. Le choix fait, la fabrication commence par le centre ou « boitard », qui est le plus souvent d'une seule pièce et plus tendre que les bords de la meule finie. C'est à ce niveau que l'on fixe l'anille sur laquelle la meule est suspendue. Autour du boitard viennent se ranger et se fixer, avec du plâtre ou du ciment, les carreaux taillés au burin pour s'adapter entre eux. Une meule est formée de deux à six quartiers. Lorsque le travail est fait, l'ouvrier les ajuste avec du ciment Portland. Puis la meule est cerclée. Il faut ensuite la
rayonner. Le profil est légèrement concave pour ménager un vide entre les deux meules au centre. La difficulté consiste à limiter l'échauffement lié à la pression des meules sur la mouture. Outre la dénaturation de la farine, cet échauffement, ainsi que les étincelles issues du frottement des pierres, peuvent être à l'origine d'une explosion du moulin dont l'atmosphère est chargé de fines particules de farine. Les rayons participent d'une part à la ventilation de l'entre-meules et d'autre part à l'avancée progressive de la matière de l'œillard vers la feuillure située en périphérie. Entre les rayons, la meule est parcourue de stries, appelées rhabillures, taillées dans la pierre, pour rendre celle-ci plus agressive. La paire de meules constituera, (quand ils existeront !) le cœur du moulin. Le mécanisme de la trempure permet le réglage de l'écartement entre les deux meules. https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geologie-meule-histoire-geologie-pierres-meulieres-1412/page/5/
La Ferté-sous-Jouarre était
mondialement connue jusqu'au XIXe siècle
grâce à la dureté exceptionnelle de la pierre extraite dans ses carrières, qui
alimentait les moulins du monde entier. Aujourd'hui encore, on retrouve des
pierres à pain fertoises dans toute l'Europe
mais aussi en Amérique…
et jusqu'en Nouvelle-Zélande !
Le pain,
nourriture essentielle de tous les temps, est composé de farine
devant être broyée. On abandonne progressivement la fabrication de meules
« monolithes », c'est-à-dire constituées d'un seul bloc de pierre,
pour appliquer la technique de « meules à l'anglaise », constituées
de plusieurs morceaux de choix de pierre, les « carreaux ». On
extirpait ces pierres dans toutes les collines environnantes de La
Ferté-sous-Jouarre : Tarterel, le bois de la Barre… Cette
industrialisation verra son apogée
au XIXe siècle.
La Ferté-sous-Jouarre, à cette époque, comptait 23 entreprises, la production
annuelle atteignait 1000 à 1200 meules et 80 à 100 000 carreaux qui
partaient par bateaux, puis par chemin de fer dans le monde entier. Wikipédia] Si
cela vous intéresse, un autre article très complet se trouve dans cette page https://www.futura-sciences.com/planete/dossiers/geologie-meule-histoire-geologie-pierres-meulieres-1412/page/9/]
Poursuivons notre descente par la rue de la ferme, puis la rue des Buttes. Dirigeons
nous vers la ligne de chemin de fer, longeons l’espace de pleine aire et le
centre de loisirs, ne pas passer sous le pont mais prendre comme le GR le
chemin sur la droite longeant les voies. Nous arrivons au second pont, prenons
à droite, de chemin nous passons à bitume, traversons la D 70 poursuivons en
face, longeons la petite place triangulaire,
prenons sur la droite la rue de la Mousselle puis à gauche la rue Michaud, (rue sans issu). De rue nous passons à chemin et grimpons dans les vignes [Citry est une commune française ayant l'autorisation de produire les vins d'appellations suivantes : le Champagne - le Coteaux champenois. http://www.vin-vigne.com/commune/Citry-77730.html]. Nous arrivons sur un chemin en patte d’oie inversée puis nous traversons un chemin. Quittons les vignes, longeons un bois, le chemin fait fourche, poursuivons par le chemin de droite, nous grimpons toujours, passons une source, nous coupons l’aqueduc de la Duys et arrivons aux premières maisons de Villaré. Nous entrons dans le village par la rue de la Croix, poursuivons tout droit par la rue du château d’eau. Nous grimpons jusqu’à ce dernier et prenons le chemin sur la gauche au pied de cet affreux réservoir en ciment.
Toujours Gr 14 A et balisage jaune de Bussière. Nous contournons le village et approchons de la rue du Plessier artère principale du village. Un peu avant l'aire de jeux pour enfants, laissons un premier chemin sur la gauche et prenons le second situé pas trop loin du premier. Nous sommes toujours sur le GR 14 A, au lieu dit le Moulin à Vent, coupons la rue Du Plessier et prenons en face la rue Pierreuse. Dans le virage laissons une rue sur la droite et prenons la seconde (rue du Moulin à Vent) c’est une rue formant un U. Dans le virage prenons le chemin de droite, nous entrons dans une cour et prenons un chemin intra muros. Nous serpentons sur le flanc de la colline entre taillis et bosquets. Un sentier glissant après les fortes pluies de ses derniers jours. Quittons le hameau et retrouvons la foret. Le chemin fait deux angles à quatre vingt dix degrés et descend vers l’aqueduc de la Duys que nous suivons en prenant à droite. Nous sommes toujours sur le GR. En contrebas la Marne. A la borne 442 l'aqueduc fait un coude pour traverser un ravin, pas facile cela
glisse pas mal sur ce chemin boueux. Je suis toujours étonné par ces ravins profond déchirant le flanc des coteaux. Sur quelques mètres on a l’impression d’être à la montagne. Cette année j’ai le bruit des ruisseaux dégringolant du haut de la pente. Quel contraste par rapport à l’année dernière, tous les ravins rencontrés étaient secs et engorgés d’arbres morts. Aujourd’hui avec cet hiver qui n’en est pas un, nous n’avons eu que quelques jours une petite gelée matinale, mais pas mal de pluie, cela devrait compenser le manque d’eau du printemps et de l’été 2019. L’eau coule dans le fond de ses ruisseaux toujours encombré d’arbres et de branches et l’on se mouille les pieds, traversons à gué le ruisseau, il n’a pas été prévu de passerelles et il est impossible d’emprunter le pont supportant le siphon de l’aqueduc. Un peu plus loin nous rencontrons un petit
pont traversant un ravin, nous quittons le GR poursuivant vers Pavant ainsi que le balisage jaune, nous prenons à droite un balisage jaune en direction de Bussière, c'est également un balisage fuchsia, nous remontons le chemin par la droite en suivant les balisages. Au sommet nous arrivons sur une bande de terre déboisée et herbeuse en bordure de la D 82. Il ne faut pas prendre le bitume, mais suivre sur la droite, la ligne d’arbres ou devait se trouver le chemin. Dans ce terrain herbeux pas de balisage, pas de chemin, on devine la trace d’un tracteur ou d’un quad. Nous arrivons à l’orée de la foret et nous apercevons le chemin nous faisant traverser cette foret. Sur un arbre une balise jaune. Tout le long de ce chemin je trouve bizarre les trous d'eau,
proche les uns des autres, je me pose la question, ne serait ce pas des trous d'hommes ou de bombes datent de la guerre de 14. Sortons du bois, nous retrouvons la plaine débouchons sur un chemin formant Té et prenons la branche de droite balisage jaune de Bussière. (On a abandonné le chemin fuchsia tournant à gauche). Attention sur le plateau juste avant une petite bosse à descendre, on rencontre un chemin formant Té avec le notre, on ne se dirige pas vers le village, nous prenons à gauche vers un bosquet d'arbres. Au bosquet nous prenons à droite. Au milieu des champs nous abandonnons le balisage tournant sur la gauche et poursuivons le chemin tout droit. Coupons la D 55 poursuivons en face, longeons un bois, dans cette plaine nous devinons la vallée de la Marne et les vignes sur l’autre versant. Attention à ne pas vous endormir il n’est pas
facile sur le terrain de vous expliquer le changement de direction. Sur la carte c’est simple on doit rencontrer un balisage… Sur le terrain hors mis sur la boue et les brins d’herbes du chemin, il n’est pas facile d’apposer un balisage, Pourtant en Essonne, dans la même situation nous trouvons des poteaux, un balisage, le nom du circuit et le kilométrage du prochain village. Après le second petit bois nous laissons un chemin se dirigeant vers quelques maisons et nous arrivons à un deuxième chemin partant sur la droite, prenons se chemin formant un angle aigu avec le notre, normalement c’est un chemin balisé. Coupons la D 68, nous apercevons une bande de bois (Bois de Montgrisards). Dépassons le bois et prenons le chemin sur la droite situé après ce dernier, nous descendons vers Montménard. Arrivée aux premières maisons nous rencontrons le bitume et le balisage, prenons le chemin à droite, nous ramenant vers la D 70. Nous débouchons sur la départementale que nous prenons à droite (balisage jaune), nous quittons la départementale pour
prendre sur la
gauche la rue du Petit Montménard (sans Issu). Traversons le hameau. Dans le
bout de la rue bitumée, nous trouvons une fourche, le chemin de gauche descend
vers l’aqueduc mais il me semble qu’il est privé, poursuivons tout droit le
balisage. Nous retrouvons la départementale et poursuivons notre descente.
Arrivée à l’intersection avec la D 68. Nous avons l’information que Saâcy se
trouve à 1,8 km, mais comme nous sommes un peu fou nous lui tournons le dos et suivons
le balisage remontant vers Saint Cyr et Monteapeine.
Après le petit bois, un peu avant la fin de la côte, nous avons des prairies et trouvons entre deux clôtures un chemin sur la gauche, c’est bien balisé. Le chemin descend en pente douce, débouche sur un autre formant Té, nous prenons à gauche, balisage jaune, nous poursuivons notre descente traversons un bois et arrivons sur un chemin carrossable. A notre gauche un espace pour caravanes sédentaires. Nous sommes au bois Denis Pasquier. Poursuivons la descente jusqu’à la route bitumée de Chantemanche, nous retrouvons l’aqueduc de la Dhuys que nous suivons par la droite, après avoir traversé la route. On doit traverser le ru Philippe. Ru devenu torrent après les pluies de
ces derniers jours. Impossible de prendre le siphon il faut se mouiller les pieds, la remontée n’est pas facile. Nous sortons du bois croisons un chemin devant une parcelle de vigne, parcelle que nous longeons. Le balisage fait fourche, une branche part sur la droite et coupe la parcelle, nous poursuivons tout droit, sortons des vignes pour entré de nouveau dans un bois, nous sommes toujours sur un balisage jaune et suivons l’aqueduc. Nous arrivons devant une nouvelle parcelle de vigne. Quittons l’aqueduc après avoir passé les barrières, prenons le chemin de gauche, de chemin herbeux, nous passons à chemin carrossable plus ou moins bitumineux (chemin de Bussières), débouchant sur le bitume. Au carrefour nous prenons le chemin de Citry (bitume) sur la gauche et lorsque la rue tourne à droite nous poursuivons tout droit, par le
chemin herbeux bordé d'un fossé. Nous arrivons dans une sorte de prairie non clôturée. Sur la gauche un beau chêne, avec une marque nous indiquant qu'il faut tourner à droite (il ne sera peut être plus là lors de votre passage). Face à nous un petit pont franchissant le ru Philippe, le balisage qui n’est pas très évident nous fait prendre le chemin de droite descendant le long du ru. De chemin nous passons à rue (rue du Ru Philippe). Le cours d’eau disparaît par une canalisation sous la route, nous entrons dans Saâcy. [Le nom Saâcy est d'origine latine et vient de Saccius, qui signifie « dans un sac» au sens de « acculé » dans une boucle de la Marne. L'occupation du territoire date, d'après les vestiges archéologiques, du Néolithique. Une présence humaine à l'époque gallo-romaine est attestée sur le site de la ferme de Deuil. Dès le XIIIe siècle, Saâcy-sur-Marne semble avoir une certaine importance, comme en témoigne la richesse de son église. Le village, qui relève de l'évêché de Meaux, dépend alors de l'abbaye de Jouarre. L'abbesse de Jouarre en conserve la suzeraineté jusqu'à la Révolution. À la suite de la révocation de l'édit de Nantes, de nombreux protestants viennent s'installer dans le village, favorisant peut-être son essor. En 1729, la population est
victime d'une épidémie de peste commémorée par un pèlerinage. Connu au XIXe siècle pour sa production d'articles en os (peignes et boutons), Saâcy eut aussi une spécialité de dentelle, avant le développement d'une activité plâtrière au lieu-dit les Plâtrières. Le village de Saâcy-sur-Marne s'organise, au XXe siècle, autour d'une rue principale bordée de maisons des XIXe et XXe siècles. Derrière les bâtiments se trouvent quelques cours intérieures avec leur porche et leur sol irrégulier. Wikipédia] Nous arrivons à une patte d’oie inversée prenons sur la droite la rue de la Couture nous
sommes au centre du village. Je me croyais arrivée, et prends la rue de la gare. L’heure du train approchant, j’en oublie de me diriger vers le vrai centre, ou l’on trouve la Mairie et l’église. En regardant ma trace je me rends compte que pour me rendre à la gare je ne suis pas la route mais les bords de Marne. Je reviens sur mes pas et prends la rue du pont (D 68D). A la sortie du village prenons à droite le chemin des Popelains, nous traversons les jardinets, terre inondable portant bien son nom, nous traversons les terres d'un maraîcher, on se rapproche d’une boucle de la Marne traversons des taillis et arrivons avenue du Générale Leclerc et au parking de la gare.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
prenons sur la droite la rue de la Mousselle puis à gauche la rue Michaud, (rue sans issu). De rue nous passons à chemin et grimpons dans les vignes [Citry est une commune française ayant l'autorisation de produire les vins d'appellations suivantes : le Champagne - le Coteaux champenois. http://www.vin-vigne.com/commune/Citry-77730.html]. Nous arrivons sur un chemin en patte d’oie inversée puis nous traversons un chemin. Quittons les vignes, longeons un bois, le chemin fait fourche, poursuivons par le chemin de droite, nous grimpons toujours, passons une source, nous coupons l’aqueduc de la Duys et arrivons aux premières maisons de Villaré. Nous entrons dans le village par la rue de la Croix, poursuivons tout droit par la rue du château d’eau. Nous grimpons jusqu’à ce dernier et prenons le chemin sur la gauche au pied de cet affreux réservoir en ciment.
Toujours Gr 14 A et balisage jaune de Bussière. Nous contournons le village et approchons de la rue du Plessier artère principale du village. Un peu avant l'aire de jeux pour enfants, laissons un premier chemin sur la gauche et prenons le second situé pas trop loin du premier. Nous sommes toujours sur le GR 14 A, au lieu dit le Moulin à Vent, coupons la rue Du Plessier et prenons en face la rue Pierreuse. Dans le virage laissons une rue sur la droite et prenons la seconde (rue du Moulin à Vent) c’est une rue formant un U. Dans le virage prenons le chemin de droite, nous entrons dans une cour et prenons un chemin intra muros. Nous serpentons sur le flanc de la colline entre taillis et bosquets. Un sentier glissant après les fortes pluies de ses derniers jours. Quittons le hameau et retrouvons la foret. Le chemin fait deux angles à quatre vingt dix degrés et descend vers l’aqueduc de la Duys que nous suivons en prenant à droite. Nous sommes toujours sur le GR. En contrebas la Marne. A la borne 442 l'aqueduc fait un coude pour traverser un ravin, pas facile cela
glisse pas mal sur ce chemin boueux. Je suis toujours étonné par ces ravins profond déchirant le flanc des coteaux. Sur quelques mètres on a l’impression d’être à la montagne. Cette année j’ai le bruit des ruisseaux dégringolant du haut de la pente. Quel contraste par rapport à l’année dernière, tous les ravins rencontrés étaient secs et engorgés d’arbres morts. Aujourd’hui avec cet hiver qui n’en est pas un, nous n’avons eu que quelques jours une petite gelée matinale, mais pas mal de pluie, cela devrait compenser le manque d’eau du printemps et de l’été 2019. L’eau coule dans le fond de ses ruisseaux toujours encombré d’arbres et de branches et l’on se mouille les pieds, traversons à gué le ruisseau, il n’a pas été prévu de passerelles et il est impossible d’emprunter le pont supportant le siphon de l’aqueduc. Un peu plus loin nous rencontrons un petit
pont traversant un ravin, nous quittons le GR poursuivant vers Pavant ainsi que le balisage jaune, nous prenons à droite un balisage jaune en direction de Bussière, c'est également un balisage fuchsia, nous remontons le chemin par la droite en suivant les balisages. Au sommet nous arrivons sur une bande de terre déboisée et herbeuse en bordure de la D 82. Il ne faut pas prendre le bitume, mais suivre sur la droite, la ligne d’arbres ou devait se trouver le chemin. Dans ce terrain herbeux pas de balisage, pas de chemin, on devine la trace d’un tracteur ou d’un quad. Nous arrivons à l’orée de la foret et nous apercevons le chemin nous faisant traverser cette foret. Sur un arbre une balise jaune. Tout le long de ce chemin je trouve bizarre les trous d'eau,
proche les uns des autres, je me pose la question, ne serait ce pas des trous d'hommes ou de bombes datent de la guerre de 14. Sortons du bois, nous retrouvons la plaine débouchons sur un chemin formant Té et prenons la branche de droite balisage jaune de Bussière. (On a abandonné le chemin fuchsia tournant à gauche). Attention sur le plateau juste avant une petite bosse à descendre, on rencontre un chemin formant Té avec le notre, on ne se dirige pas vers le village, nous prenons à gauche vers un bosquet d'arbres. Au bosquet nous prenons à droite. Au milieu des champs nous abandonnons le balisage tournant sur la gauche et poursuivons le chemin tout droit. Coupons la D 55 poursuivons en face, longeons un bois, dans cette plaine nous devinons la vallée de la Marne et les vignes sur l’autre versant. Attention à ne pas vous endormir il n’est pas
facile sur le terrain de vous expliquer le changement de direction. Sur la carte c’est simple on doit rencontrer un balisage… Sur le terrain hors mis sur la boue et les brins d’herbes du chemin, il n’est pas facile d’apposer un balisage, Pourtant en Essonne, dans la même situation nous trouvons des poteaux, un balisage, le nom du circuit et le kilométrage du prochain village. Après le second petit bois nous laissons un chemin se dirigeant vers quelques maisons et nous arrivons à un deuxième chemin partant sur la droite, prenons se chemin formant un angle aigu avec le notre, normalement c’est un chemin balisé. Coupons la D 68, nous apercevons une bande de bois (Bois de Montgrisards). Dépassons le bois et prenons le chemin sur la droite situé après ce dernier, nous descendons vers Montménard. Arrivée aux premières maisons nous rencontrons le bitume et le balisage, prenons le chemin à droite, nous ramenant vers la D 70. Nous débouchons sur la départementale que nous prenons à droite (balisage jaune), nous quittons la départementale pour
Des trous rapprochés... des tranchées? |
Après le petit bois, un peu avant la fin de la côte, nous avons des prairies et trouvons entre deux clôtures un chemin sur la gauche, c’est bien balisé. Le chemin descend en pente douce, débouche sur un autre formant Té, nous prenons à gauche, balisage jaune, nous poursuivons notre descente traversons un bois et arrivons sur un chemin carrossable. A notre gauche un espace pour caravanes sédentaires. Nous sommes au bois Denis Pasquier. Poursuivons la descente jusqu’à la route bitumée de Chantemanche, nous retrouvons l’aqueduc de la Dhuys que nous suivons par la droite, après avoir traversé la route. On doit traverser le ru Philippe. Ru devenu torrent après les pluies de
ces derniers jours. Impossible de prendre le siphon il faut se mouiller les pieds, la remontée n’est pas facile. Nous sortons du bois croisons un chemin devant une parcelle de vigne, parcelle que nous longeons. Le balisage fait fourche, une branche part sur la droite et coupe la parcelle, nous poursuivons tout droit, sortons des vignes pour entré de nouveau dans un bois, nous sommes toujours sur un balisage jaune et suivons l’aqueduc. Nous arrivons devant une nouvelle parcelle de vigne. Quittons l’aqueduc après avoir passé les barrières, prenons le chemin de gauche, de chemin herbeux, nous passons à chemin carrossable plus ou moins bitumineux (chemin de Bussières), débouchant sur le bitume. Au carrefour nous prenons le chemin de Citry (bitume) sur la gauche et lorsque la rue tourne à droite nous poursuivons tout droit, par le
chemin herbeux bordé d'un fossé. Nous arrivons dans une sorte de prairie non clôturée. Sur la gauche un beau chêne, avec une marque nous indiquant qu'il faut tourner à droite (il ne sera peut être plus là lors de votre passage). Face à nous un petit pont franchissant le ru Philippe, le balisage qui n’est pas très évident nous fait prendre le chemin de droite descendant le long du ru. De chemin nous passons à rue (rue du Ru Philippe). Le cours d’eau disparaît par une canalisation sous la route, nous entrons dans Saâcy. [Le nom Saâcy est d'origine latine et vient de Saccius, qui signifie « dans un sac» au sens de « acculé » dans une boucle de la Marne. L'occupation du territoire date, d'après les vestiges archéologiques, du Néolithique. Une présence humaine à l'époque gallo-romaine est attestée sur le site de la ferme de Deuil. Dès le XIIIe siècle, Saâcy-sur-Marne semble avoir une certaine importance, comme en témoigne la richesse de son église. Le village, qui relève de l'évêché de Meaux, dépend alors de l'abbaye de Jouarre. L'abbesse de Jouarre en conserve la suzeraineté jusqu'à la Révolution. À la suite de la révocation de l'édit de Nantes, de nombreux protestants viennent s'installer dans le village, favorisant peut-être son essor. En 1729, la population est
victime d'une épidémie de peste commémorée par un pèlerinage. Connu au XIXe siècle pour sa production d'articles en os (peignes et boutons), Saâcy eut aussi une spécialité de dentelle, avant le développement d'une activité plâtrière au lieu-dit les Plâtrières. Le village de Saâcy-sur-Marne s'organise, au XXe siècle, autour d'une rue principale bordée de maisons des XIXe et XXe siècles. Derrière les bâtiments se trouvent quelques cours intérieures avec leur porche et leur sol irrégulier. Wikipédia] Nous arrivons à une patte d’oie inversée prenons sur la droite la rue de la Couture nous
sommes au centre du village. Je me croyais arrivée, et prends la rue de la gare. L’heure du train approchant, j’en oublie de me diriger vers le vrai centre, ou l’on trouve la Mairie et l’église. En regardant ma trace je me rends compte que pour me rendre à la gare je ne suis pas la route mais les bords de Marne. Je reviens sur mes pas et prends la rue du pont (D 68D). A la sortie du village prenons à droite le chemin des Popelains, nous traversons les jardinets, terre inondable portant bien son nom, nous traversons les terres d'un maraîcher, on se rapproche d’une boucle de la Marne traversons des taillis et arrivons avenue du Générale Leclerc et au parking de la gare.
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