vendredi 2 avril 2021

Nord Seine & Marne - De Château Thierry à La Ferté Gaucher Prom 23 Bellot 2


N-S&M Bellot 2 Autour du Petit Morin


Mais Bellot c’est ou ?
C’est à une petite dizaine de kilomètres de la ferté Gaucher. A une vingtaine de kilomètres de La Ferté Sous Jouarre à l’Ouest et de Montmirail à l’Est.

C’est au carrefour de la D6 et de la D 46. La D 46 c’est la route directe en venant de la Ferté Gaucher. Pour la D6, c’est un peut plus compliquer. Mais on l’atteint grâce à l’axe reliant La Ferté Sous Jouarre, à Montmirail et aux départementale 407 & 933, au milieu se trouve Viels Maisons avec la D15 & D6
On trouve un parking au pied de l’église.
   Carte IGN              Trace GPS et Topo sans Commentaires         Trace Randogps                           
 
 Le code mobile de cette randonnée est b323006

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KM    Temps    Arrêt     V/d     V/g     Dénivelé
33        5h20      0h40      6,2      5,6         450+
 
Le départ se fait du petit parking de  l'église de Bellot

Bellot vient du latin Betulla (le bouleau). Le nom du village s’est s’orthographié Belo en 1112 (plus ancienne date connue de l’existence du village), Belloy en 1145, Bello en 1325 et Bellot-en-Brie au 17ème siècle. Un passé plus lointain est très probable : le site près d’une rivière et d’un Rû dans une vallée sûrement giboyeuse convenait parfaitement à un peuplement. De plus, les traces au-dessus du hameau de la Fée laissent à penser que le secteur a connu au moins une occupation celte et gauloise. Bellot a sans doute eu un seigneur en place, mais c’est seulement en 1620 qu’est mentionné le nom de Louis de Clèdre (orthographié Clédrier), conseiller du roi. Bellot se  présente comme un village double. En bas, le bourg … en haut, les hameaux du plateau : Doucy,  Les Crochots, Le Cendrier, Doucy aval, La Farrière, Retourneloup, Launoy-Brûlé, Saincy, Champ-Martin, Culoison (ferme fortifiée), La Courteloire (en forêt), Les Hauts-Champs et le hameau d’Enroux (aujourd’hui disparu, à côté des Denizets – source Le Terrier de Bellot, Claude  Macé). Quant au Château de Bellot (au  Fourcheret), il est passé à la commune de Villeneuve sur Bellot, mais le nom est resté. « Le château du Fourcheret, aujourd’hui propriété de la famille Parichault, a été bâti sur le fief de Nacelles  par le seigneur de Bellot à qui appartenait ce fief. Comme il y avait déjà un château à Villeneuve et qu’il n’y en avait pas – et probablement jamais eu – à Bellot, on l’a tout naturellement appelé « Château de Bellot », nom     qu’il a toujours conservé. C’est ce qui explique que  soit restée dans la mémoire collective bellotière l’idée confuse que le Fourcheret avait autrefois fait partie de Bellot. C’était à la fois vrai puisqu’il dépendait en partie de la seigneurie de Bellot, et faux puisqu’il a toujours appartenu à la paroisse, devenue commune, de Villeneuve-sur-Bellot. Cette configuration ambiguë sera d’ailleurs à l’origine d’un conflit de privilèges entre les seigneurs de Bellot et de Villeneuve, le premier revendiquant son droit à posséder des places réservées dans l’église de Villeneuve, le second le lui refusant. Sur cette épineuse question, un tribunal sera même saisi. Il accordera au seigneur    de Bellot le privilège revendiqué. » - Claude Macé. Extraie du site trouvé sur la page internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr
L’ÉGLISE SAINT-LOUP : Jusqu’à la Révolution, l’influence de l’Église est considérable comme dans tout le royaume, en raison de ses attributions : l’éducation religieuse et scolaire, la tenue des registres (naissances et décès) et bien       sûr la supervision de la vie morale. L’église  actuelle est édifiée entre le 12ème et le 13ème siècle (la tradition nous affirme que le clocher aurait été bâti par les anglais). Elle est dédiée à Saint-Loup (évêque de Troyes qui défendit sa ville contre Attila) et 
Saint-Maur en est le patron secondaire. Aux 15ème et 16ème siècles, l’église est remaniée et prend son aspect actuel. L’église est dotée d’une sacristie 1893-1894 - souscription), un nouveau coq (1962 – budget communal) et d’une nouvelle horloge (1959 –souscription et budget communal) « Le cadran de l’horloge sera remplacé en 2018 ou 2019. Un dossier de subvention est en cours d’instruction »– François Housseau L’aménagement intérieur  date du 18ème siècle, avec fresques murales représentant les évangélistes et lambris de chêne du chœur. Le chemin de croix est érigé en 1864 (offert pas Berthe de Corlieu) et les reliques déposées en 1842. L’église dispose de deux cloches nommées Marie-Marguerite et Catherine (la troisième a été déposée à la Révolution). Sans doute fêlée pour avoir sonné le tocsin durant l’incendie de la nuit du 21 septembre 1834, Marie-Marguerite est refondue puis remontée le 27 décembre 1854. Elle est alors rebaptisée Marie - Hermance (l’un des prénoms de l’épouse de Jacques Potel, alors maire et parrain de la cloche). Elle est à nouveau déposée, restaurée et remontée en 2013, sous le mandat de Jean Gallois. Extraie du site trouvé sur la page internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr
[Bellot dans La bataille des Deux Morins
La bataille des Deux Morins est une bataille de la Première Guerre mondiale qui se déroule du 5 au 9 septembre 1914 lors de la bataille de la Marne. Elle oppose d'une part la 5e armée française (commandée par le général Franchet d'Espèrey) et le BEF (commandé par le maréchal French) aux Ire et IIe armées allemandes (des généraux von Kluck et von Bülow). Le 5 septembre, Von Kluck devant les attaques de l'armée de Maunoury sur l'Ourcq repositionnent ses corps d'armée en les repliant vers le nord pour combattre cette 6e armée française. Ce mouvement crée un vide dans l'alignement allemand masqué par des divisions de cavalerie. Les forces de la 5 e armée française et du BEF avancent dans la brèche à partir du 6 septembre et repoussent les troupes allemandes. Le BEF est opposé aux troupes de la I re armée allemande, la 5e armée française tente de tourner la IIe armée allemande. Devant ses manœuvres, la IIe armée allemande doit se replier et entraîne avec le repli de toutes les armées allemandes et la victoire des troupes alliées. Lors du déclenchement de la Première Guerre mondiale, les armées allemandes pénètrent en Belgique afin de tourner les armées françaises et les détruire.
La 5e armée française est affaiblie par la retraite de 350 km réalisée pendant presque 15 jours, elle change aussi de commandant, le général Lanzerac cède son poste au général Franchet d'Espèrey. 8 septembre : la gauche de la IIe armée allemande est bousculée. Des observations aériennes ont vu des colonnes d’infanterie, d’artillerie et de voitures battant en retraite vers le nord. La région de Rebais, 
La Ferté-sous-Jouarre - Coulommiers est vide d’ennemis, les colonnes se dirigent vers le nord pour franchir la Marne entre La Ferté-sous-Jouarre et Château-Thierry. La cavalerie française conserve sa mission d’assurer la liaison avec l’armée anglaise. Ses avant-gardes doivent se mettre en route à 6h à partir de Champ-Martin - Villers-les-Maillets, entre le Grand et le Petit Morin. Les avant-gardes signalent que les Allemands se sont retirés jusqu’au Petit Morin. 7h : Les éclaireurs de pointe, arrivés devant Bellot, sont accueillis à coups de fusil. Les Allemands tiennent la vallée sous le feu, de leur position dominante de Château-Renard. 9h : La brigade légère, qu’accompagnent le groupe cycliste et une batterie, réussit à entrer dans Bellot mais ne parvient pas à franchir le Petit Morin. Le gros de la 4e division s’engage sur le plateau mais est accueillie par des obus, ce qui l’immobilise. Or, elle n’a devant elle que des arrière-gardes. Pendant que von Kluck se bat sur l’Ourcq, appuyant sa gauche à la Marne, le cours de la Marne est surveillé par deux divisions de cavalerie. L’intervalle entre La Ferté-sous-Jouarre et Villeneuve-en-Bellot, soit 25 km est tenu par la 5e division de cavalerie et la cavalerie de la Garde, décimée. Sur un front de 12 km, aucune unité allemande ne garde le Petit Morin. 9h30 : L’infanterie anglaise est arrivée sur le Petit Morin et va forcer le passage. Une grosse colonne allemande se dirige de Montmirail vers Château-Thierry, une autre vers Chézy et Nogent-l’Artaud. L’armée anglaise va attaquer la deuxième colonne, le 9e corps d’armée, rappelé par Von Kluck. Le général Conneau expédie à ses trois divisions l’ordre d’attaquer le 9e corps d’armée. Mais cet ordre n’est finalement pas exécuté. 11h : Le plateau de Château-Renard a été nettoyé par l’infanterie anglaise qui a franchi le Petit Morin à Sablonnières et à Bellot. 18h30 : La division de cavalerie française d’Abonneau fait mouvement vers Vieils-Maisons pour attaquer une colonne allemande mais celle-ci est déjà à Château-Thierry. 20h30 : Les trois divisions de cavalerie françaises sont dans leur cantonnement sur les deux rives du Petit Morin. Quant aux anglais, la division de cavalerie Allenby est à Replonges, le 1e corps d’armée à Bassevelle, le 2e corps d’armée aux Feuchères, le 3e corps d’armée 788888 portes de La Ferté-sous-Jouarre. La droite de l’armée von Bülow s’est retranchée en aval de Boissy-le-Repos. Pour en savoir plus : http://www.sambre-marne-yser.be/article.php3?id_article=78
Extraie du site trouvé sur la page internet de la mairie. http://www.mairie-bellot.fr

Prenons la D 6 en direction de Villeneuve sur Bellot (rue de Villeneuve ), traversons le ru de Bellot, nous sommes sur un balisage bleu, laissons l'allée des Iris sur la droite  coupons la D 46 se trouvant à notre gauche et prenons sur notre droite la rue de Bellot à Saincy en direction de la Fontaine aux Lièvres et Courteloire balisage bleu et GR. Nous grimpons vers la Fontaine aux lièvres, hameau que nous traversons. De rue nous passons à chemin. Bois et champs se succèdent. Laissons un chemin sur la droite, un peu plus loin le chemin tourne sur la gauche et fait fourche, nous prenons a gauche et entrons dans le bois. Sur la route nous avons vue une pancarte noté gîte, nous voilà  sur le chemin et dans le bois et toujours pas de maison, en voiture je serais inquiet d'emprunter un chemin mal empierré traversant un bois et de ne rien voir venir, a moins d'être prévenu à l'avance. Totalement isolé, nous trouvons une première maison puis une clairière ou se trouve enfin le gîte de la montagne de Bellot. Nous sommes à La Courteloire.  Après la clairière nous poursuivons le Gr et le balisage bleu dans le bois, puis longeons sa lisière nous arrivons au carrefour avec un chemin, abandonnons les balisages tournant sur la gauche et poursuivons par le chemin de droite, au loin nous apercevons une tour ou un pigeonnier derrière le hameau. Nous débouchons dans le hameau de Saincy après avoir traversé le ru ‘’de ville’’ allant se jeter dans celui de Bellot. De chemin nous passons à  bitume. Nous étions rue ‘’chemin du clos Jose’’ nous rencontrons la rue principale (rue Lapoujade), nous faisons un esse droite-gauche et prenons un chemin très herbeux entre deux clôtures, très peu entretenu, j'espère que ce chemin restera accessible. Nous traversons un bois puis longeons sa lisière. Dans les champs nous apercevons une ferme avec un pigeonnier.  Nous arrivons à un carrefour au milieu des champs nous prenons à gauche en direction de la ferme de Culoison avec son pigeonnier. Je pensais l'avoir loupé. Après la  ferme la route d'accès tourne en angle aigu sur la droite,  quittons le bitume et poursuivons par le chemin dans les champs tout droit. Coupons un chemin, longeons la lisière d'un bois, laissons un chemin sur la gauche, longeons de nouveau la lisière du bois puis nous traversons les champs, 
pour retrouver la lisière d'un bois, une fois à  droite et le chemin herbeux disparait a la lisière  du bois situé à  notre gauche, sur la carte il est existant, heureusement le champ est planté de maïs rabougris facile de suivre la lisière. A l’angle de ce bois nous débouchons sur une route formant Té nous la prenons à droite, laissons le chemin menant à la ferme des Farots, nous arrivons a une intersection comportant un réservoir d'eau, et la D 42, nous prenons la départementale sur la gauche. Nous rencontrons une patte d'oie avec la D 113, poursuivons la D42. Nous arrivons à  Villiers les Maillets, puis à une fourche, face a nous des bâtiments. La D113 part sur la gauche, la D 42 sur la droite, longeons sur la droite les communs du château. A l'angle de ce dernier, nous quittons la D 42 et poursuivons la route du château face à nous. (je ne vous parlerais pas du château. Les arbres du parc nous cachent ce dernier. Le propriétaire n'est pas sympa. D'après ce que j'ai lu, il n'y a plus de tête couronnée dans ce lieu, pouvant se croire encore au Moyen Age. Dans ce lieu perdu au milieu de la Brie. En voulant prendre des photos du lieu derrière les grilles fermées, je m'y suis fait courser sur la route. Le propriétaire est sortie a pied de sa demeure pour me surveiller, mais j'étais déjà sur la route. Heureusement que nous ne sommes plus sous l'ancien régime, il serait bien sortie en grand habit sur son cheval accompagné de son garde chasse retenant sa meute, prêt a lâcher les chiens sur le manant osant s'intéresser à  sa propriété. Je m'éloignais tranquillement, comme la route montait légèrement, j'ai sauté le fossé et mis les pieds sur la jachère non clôturée. le propriétaire gesticulait et aboyait plus fort qu’une meute, au bout du champ, et par de grands gestes me fit comprendre que je salissais son espace et m'a ordonné  de sortir de cette terre non clôturé. Il m’a suivi jusqu'à son extrémité.) Nous arrivons au hameau du Champ Bardin, que nous traversons par la rue du château. Un peu plus loin traversons la D 215 et poursuivons en face vers Marvilliers. Juste avant le hameau nous prenons le chemin sur la gauche, nous longeons une clôture, le chemin fait fourche nous prenons à droite, chemin longeant des poteaux électriques. Nous arrivons au hameau de la Butte, de chemin nous passons à  rue, au carrefour nous poursuivons en face. A la sortie du hameau nous retrouvons un chemin de terre, passons le ru du val et dirigeons nous vers le bois, longeons sa lisière. N'essayez pas de couper en prenant un peu plus loin le chemin sur la droite, se dirigeant vers un bois qui semble beaucoup plus grand que le précédent, a partir du bois nous ne trouvons plus le chemin, j'ai terminé  en coupant par le champ avec trois kilos de terre sous mes chaussures. Il faut poursuivre jusqu’à la D 42, prendre le chemin de droite, laisser un premier chemin sur la droite. Poursuivre tout droit dans les champs, le chemin débouche sur un chemin formant Té nous prenons à droite, longeons la lisière du bois puis nous le traversons, le chemin fait fourche poursuivons tout droit passons une clairière, nous retrouvons les champs et prenons le chemin de gauche.  Nous retraversons le ru du val mais cette fois ci il faudra se mouiller les pieds, sous les ronces, il y a bien un pont mais il n'a plus de tablier. Traversons une route et poursuivons en face, nous arrivons sur une route que nous prenons à gauche et entrons  dans le hameau du Bois Saint Père. A la fourche nous prenons la première rue à droite longeons une maison, après sa clôture laissons un chemin sur la droite poursuivons la route, dans un virage la route fait fourche nous ne prenons pas le large chemin tout droit, mais poursuivons le bitume. Nous arrivons au hameau des Thénières, longeons un centre équestre, coupons la route et poursuivons en face, après  quelques  maisons, nous retrouvons les champs, en vue du hameau de La Grande Renoue lorsque la route tourne sur la gauche, nous abandonnons le bitume pour prendre un chemin sur la droite. Le chemin tourne sur la gauche puis nous prenons le chemin de gauche vers la maison isolée. Le chemin fait une équerre  nous prenons le premier chemin sur la droite.  Ne pas poursuivre tout droit vers le bois. Nous nous approchons de Flégny, nous débouchons sur un chemin formant Té nous prenons à gauche et arrivons sur la D 215 que nous prenons à gauche. Laissons la route de la Croix Belle Chair, vers ‘’ Chaudron et Coupigny’’ sur la gauche, et prenons la voie communale sur la droite se dirigeant vers Buternet. Nous prenons le premier chemin sur la gauche et retrouvons le balisage jaune, nous entrons dans le hameau du Bois Huon par les jardins, et débouchons sur une route que nous prenons à gauche. Nous abandonnons le balisage jaune partant sur la gauche, traversons un bois et de retour dans la pleine, nous apercevons un gros bourg sur la gauche c'est la Ferté  Gaucher. Nous sommes route de la cloison et descendons vers le hameau de La Frévillard, après les premières maisons nous débouchons sur la D 46 que nous prenons à droite, puis à gauche la rue de la Petite Vigne ‘’C3’’ en direction de Montigny et Jouy sur Morin. Nous retrouvons le balisage jaune. Passons un drôle de lavoir, il récupère 
Aujourd'hui faudra ce mouiller les pieds
l'eau sale de la route… Après observation le premier bassin récupère l'eau de la route ou à l'époque du chemin, mais c'est un abreuvoir, qui sert également a la décantation de l'eau. Seul l'eau décantée passe par les petits trous et rempli le lavoir. Un peut avant la sortie du hameau nous prenons le chemin balisé en jaune sur la
gauche.
Nous sommes dans un autre siècle
  Passons un ru et prenons le chemin sur la gauche, un peu après on se dirige vers la lisière d'un bois. Nous débouchons sur un chemin, faisons un esse gauche – droite et l'on se dirige vers des serres. Nous débouchons rue de Jariel et faisons un esse gauche-droite et reprenons un chemin en direction d'un bois nous avons quitté le balisage jaune. Au petit bois le chemin fait fourche, prenons à gauche. Nous débouchons sur un chemin formant Té, prenons à gauche, nous arrivons sur le bitume que nous prenons à droite (laissons le chemin de droite). Nous sommes sur un balisage que je n'ai pas sur ma carte et il nous indique que nous devons tourner 
Abreuvoir, et Lavoir
à droite dans 700 mètres. Il ne faut pas faire la même  erreur que moi prendre un chemin sur la 
droite se dirigeant vers un bois, il ne dessert que des cabanes de chasse ensuite ont est bloqué  par un ru et des barbelés. Continuer la route, laisser une rue sur la droite desservant une maison, poursuivre jusqu'à la rencontre de la route desservant les hameaux du grand et du petit Champcormolin que nous prenons à droite nous retrouvons le GR 14, passons un lavoir et traversons la hameau du Grand Champcormolin.  Après la sortie du village prenons le chemin bitumé de 
droite. De bitume nous passons à  chemin, longeons la lisière  d'un bois et arrivons à  la ferme ou aux fermes des Hauts Champs. J'ai eu l'impression de rentrer dans la cour  de la ferme et au milieu de cette cour entourée de bâtiments nous trouvons un chemin sur la droite, nous retrouvons les champs, nous sommes toujours sur le GR. Nous arrivons sur un chemin formant Té nous prenons à droite, au carrefour, nous prenons à gauche. (Ne  pas aller jusqu'au petit bois et les grandes barrières.) Une balise nous indique que nous allons tourner à 700 m sur la gauche, nous apercevons le vallons, je me crois arrivé ce ne sera que déconvenue. Nous arrivons de nouveau sur un chemin formant Té nous prenons à gauche, en direction du château d'eau, nous laissons un chemin sur la droite et débouchons sur la D 42,que nous prenons à droite, passons devant le château d'eau. Nous sommes à l'entrée de Doucy au lieu dit le Cendrier. Depuis un petit moment je pensais être bientôt arrivé, mais il me reste encore quelques kilomètres à faire, j'ai mal aux jambes, j'ai marcher un peu vite. Mon périple en montagne m’a un peu éprouvé, et je me suis aperçu  que ce n'était pas les deux fois quinze kilomètres du parcours montagne de la foret de Fontainebleau, avec ces un peu moins de mille mètres de dénivelés qui permettent de ce tenir en forme pour tenir tout les jours ou presque les milles mètres de dénivelé positif. Je vais essayer d'augmenter ma vitesse moyenne de mes randos de la journée, j'espère ainsi que ce sera moins dure en montagne. Nous passons quelques maisons et prenons le premier chemin sur la droite, nous sommes toujours sur le GR, nous coupons la D 46, poursuivons en face, le chemin balisé en blanc et rouge tourne sur la gauche, il nous fait contourner le village de Doucy, nous coupons la D 42. Après les champs nous traversons un bois, puis de nouveau les champs, nous retrouvons le bitume que nous prenons à droite jusqu'au hameau de Doucy Aval, puis nous prenons la route de la source sur la gauche (nous l'entendons couler cette source, même après plusieurs mois sans pluie. La rue fait un esse, on abandonne le bitume devant une placette pour prendre un chemin sur la droite toujours le GR et un balisage jaune. Nous passons le ru de Bellot, complètement à sec, c'est également le confluent du ru de ville et à en voir les lits tout caillouteux lorsqu'ils sont en eau se doit être de beau cours d'eau. Nous entrons dans le bois et descendons un vallon, pour remonter sur l'autre versant, il faut bien faire attention dans le haut de la pente le GR et le balisage jaune tourne sur la gauche et entre dans le bois. Si vous poursuivez tout droit vous retrouverez le GR et vous pourrez refaire la balade.  Nous longeons la clairière puis entrons dans le bois, le chemin fait fourche, nous poursuivons par le vilain chemin descendant, mal empierré, on se croirait sur un pierrier en montagne. Gare aux chevilles, nous descendons vers Bellot, passons un ru et entrons en ville en longeant la piscine, la rue débouche sur la D 46 (rue de la Ferté Gaucher) que nous prenons à droite et nous retrouvons l'église et le parking. 
 




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