Pour cette Promenade, nous partons en Seine et Marne. Autour du village de Saint Ouen sur Morin
De Château Thierry à la Ferté Gaucher
N-S&M Prom N°22 Saint Ouen sur Morin
Promenade en boucle
Février 2019
En
agrandissant la carte nous arrivons à la carte Top 25
Le code mobile de cette randonnée est b323003
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Carte VisoRando
Cliquez sur le rectangle à coté du numéro
Km Temps
Arrêt V/d V/g
Dénivelé
33 5h 1h 6,2 5,2 528 +
Saint Cyr
sur Morin se trouve à 6 km à vol d’oiseau de la Ferté Sous Jouarre et à 16 km
de la Ferté Gaucher.
A la ferté
Sous Jouarre : Au grand rond point avec le monument mémorial de la guerre
de 1914, poursuivre la D 402 tout droit. Au second rond point, poursuivre tout
droit par la D 407 sur environ 6 km, en direction d’Epernay & Montmirail.
Au village de Montapeine prendre à droite la D 68 jusqu’à Saint Ouen sur Morin.
De La
Ferté Gaucher : Prendre la D 204 en direction de Rebais et La Ferté Sous
Jouarre. A Rebais poursuivre la D 204 en direction de La Ferté Sous Jouarre. A
la Fourche quitter la D 204 pour prendre sur la droite la D 68 en direction de
Saint Ouen sur Morin & Saacy.
Saint Ouen sur Morin [Saint Oien au XIIIe siècle ; Saint Ouyn en 1325 ; Saint Oyen en 1381 et en 1487 ; Saint-Ouen en 1801. Du saint éponyme, Ouen de Rouen, patron du village, Le suffixe « sur Morin » est rajouté en 1860.wikipédia] Nous trouvons un petit parking au cimetière situé en limite de Saint Cyr sur Morin, rue Lucien Devos. Revenons sur nos pas et prenons la rue sur la gauche la rue Lucien Devos (CC2). Au stop prenons à gauche la D 68 et un balisage jaune, nous sommes protégés par un petit trottoir ou une piste cyclable. La route fait fourche nous prenons à droite en direction des Hameaux et des terres blanche, nous sommes toujours protégés par un petit trottoir. A cet endroit le sentier fait fourche la branche de gauche part sur la vallée du Petit Morin, Poursuivons sur la droite le balisage en direction de Saint Ouen sur Morin, nous avons toujours notre petit trottoir. Nous trouvons
Becquet. Alors qu'elle pleurait, une voix légère l'interpella. Lorsqu’elle se rendit compte qu'elle provenait d'un petit crapaud sonneur, elle fut horrifiée. Malgré son ventre jaune et noir, c'est yeux en forme de cœur, la princesse le trouvait
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Photo crapaud sonneur Yvan Orecchioni / ONF |
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Photo crapaud sonneur Yvan Orecchioni / ONF |
RD 31, seul axe au fond de la vallée, l’urbanisation tend à se diffuser sous la forme de résidences individuelles sur les coteaux les mieux exposés.
Nous arrivons dans un
carrefour situé en virage, en angle aigu sur la droite, nous poursuivons le
balisage jaune sur la gauche. Le long de la route, un profond fossé, et en
cette fin février c’est devenu un torrent. Attention à la sortie du bois, nous
longeons une clôture de barbelé et prenons le premier chemin sur la droite, le
balisage n’est pas très bien fait. Nous arrivons devant un lavoir et le chemin
tourne sur la gauche, il est très herbeux et on à du mal à reconnaître le champ
du chemin. Nous
longeons l’orée du bois, puis traversons le taillis, puis la
clôture d’une maison isolé. De chemin nous passons à bitume, rue des Marnières,
nous débouchons sur la D 55, faisons un esse droite, gauche, et prenons la rue
du Chemin du Moulin Neuf. De chemin nous passons de nouveau à bitume nous
débouchons sur une route formant Té avec la notre, et prenons à gauche nous traversons
le bois par le chemin des vignes, arrivée sur un chemin formant Té, le balisage
se divise en deux, nous prenons à gauche et grimpons le coteau. Sur la carte le
lieu se nomme le Vignoble, (avec le chemin
des vignes
c’est un souvenir d’une époque révolue, ou comme le dit Jean Ferrat dans sa
chanson «La Montagne en 1964» ‘’Le vin ne sera plus tiré, C'était une horrible
piquette, Mais il faisait des centenaires, A ne plus que savoir en faire, S'il
ne vous tournait pas la tête’’.) Nous sommes sur un balisage vert. Nous arrivons de nouveau
sur un chemin formant Té, nous prenons à droite, le chemin est en faite un
ruisseau, faut dire que ses derniers jours, il a beaucoup plu. Je tombe mal, le
bois en pleine exploitation, les traces de tracteur sont partout, on a du mal à
suivre le bon chemin dont le balisage est intermittent. Nous sortons du bois
faisons un esse et débouchons sur une route que nous suivons sur la droite.
Nous arrivons au hameau de Marlande, une
grosse exploitation agricole avec quelques maisons autour. Juste à la sortie du
hameau nous prenons le chemin sur la droite, longeons une ferme et nous perdons
le balisage vert. Nous arrivons de nouveau sur un chemin formant Té, prenons à
gauche, et
au hameau Le Jariel, nous longeons un long corps de bâtiment, avant
de déboucher sur une route que nous prenons à droite. A la patte d’oie avec un
terre plein central en forme de triangle et un poteau électrique en son milieu,
nous continuons sur la droite, un chemin bitumineux avec de l’herbe au milieu.
Nous avons retrouvé le balisage vert, (ancien jaune,
couleur qui s’aperçoit sous la nouvelle couleur.) Nous longeons un corps de ferme devenu habitation,
débouchons sur un chemin formant Té et nous prenons à gauche, comme nous sommes
au milieu des champs, nous avons perdu le balisage. La
Seine & Marne n’est pas foutu de baliser correctement ses itinéraires de
promenade par l’implantation de poteaux directionnelle, comme on en trouve
ailleurs, et pas si loin, notamment en Essonne ou nous trouvons bien souvent un meilleur suivi que
dans le pays des betteraviers… Nous débouchons sur la route de
Jariel-Marlande et le rousset (C6) que
nous poursuivons tout droit (balisage
vert, que nous retrouvons), quelques centaines
de mètres plus loin nous arrivons sur la D31 (route D’Orly), nous arrivons au
village de Sablonnières, au carrefour avec la D 222 nous prenons à droite en
direction de la Ferté Gaucher. (Nous quittons le balisage.) [Une autre ressource de cette région permettait au hommes
de rester sur cette terre, c’est un cailloux tendre de couleur brune, ou blanc
composé de cristaux ou ressemblant à une pierre blanche, le Gypse. (Dénommé aussi gypsite, ou pierre à plâtre
, est une roche tendre
saline ou une évaporite commune, voire abondante, entièrement cristallisée,
composée principalement du minéral gypse, un sulfate doublement
hydraté de calcium, décrite par la formule CaSO4
· 2 H2O et qui constitue le premier fin dépôt dans les marais salants.
Elle possède un domaine de stabilité assez étendu, mais en général dans des
conditions haute température et de migration aisée d'eau, cède sa place à l'anhydrite, plus
dense et plus dure. Sa texture cristalline est en général
moyenne à fine, elle
peut être granulaire à fibreuse. Wikipédia) La pierre à plâtre, abonde en
vallée du petit Morin. Déshydraté, puis Boyé, mélangé avec du sable et de la
chaux, il constituait, jusqu’au début du XXe siècle, l’enduit de la
plupart des maisons. L’utilisation de l’enduit était autrefois un signe social
de prospérité. Panneau d’information.] Nous passons un ru, puis le Petit
Morin (à moins que le ru ne soit qu’un petit bras
éphémère de la rivière du à se hautes eaux.) Nous arrivons devant le
cimetière de La Chenée, quittons la D 222 pour prendre à gauche la rue en
direction de
Bellot et Sablonnières village. Nous longeons le cimetière par la C1,
en direction du Plessier & du Brodarts. Nous retrouvons un balisage
provenant de notre droite, nous poursuivons tout droit, laissons partir sur la
gauche le balisage, et poursuivons le bitume, nous entrons dans la Brie
Laitière… Je n’ai pas vue beaucoup de vaches durant
tout mon périple dans le Nord de la Seine et Marne, mais nous sommes fin
février, début mars, les vaches doivent être en stabule. Nous arrivons à
une patte d’oie avec une route (C 13) se dirigeant vers Le Plessier,
poursuivons à gauche. Sur notre gauche le Morin. [La
batail du Petit Morin : La ligne de chemin de fer qui longeait le Morin,
offre aux Allemands un couvert pour l’installer leur défense, les soldats étant
à couvert grâce au ballast. Des mitrailleuses étaient installées aux passages à
niveaux. En établissant son plan de défense, Von Richtofen a prévu un
dégagement en échelle les soldats placés au bord de la voies ferrée doivent
prendre
l’ennemi sous leur feu durant quelques dizaines de minutes puis se
retirer vers la rivière. La seconde ligne proche de la rivière couvre le
retrait de la première ligne qui fuit en abandonnant leur matériel qu’ils ont
rendu inutilisable, ils se rétablissent en troisième position et couvrent le
retrait de la deuxième ligne. Panneau d’information] Nous arrivons au
hameau des Brodarts. Traversons ce dernier, la route fait un grand esse droite,
gauche, poursuivons jusqu’au poste de gaz ou je prends un chemin sur la droite,
malheureusement au printemps je ne pense pas que ce petit raccourcie soit
utilisable, le chemin n’est pas entretenu et rempli de petits orties, en sortant
de
ce chemin nous prenons la D6 sur la droite. (Dans le cas ou, le chemin est
impraticable, poursuivre jusqu’à l’entrée de Bellot et prendre la D6 sur la
droite.) Nous trouvons sur la gauche la une petite route en direction de
Retourneloup et Launoy Brûlé que nous prenons. Nous débouchons sur une route
formant Té à l’entrée de Retourneloup, prenons à droite, traversons le village,
de rue nous passons à chemin, nous passons devant un lavoir et retrouvons un
balisage jaune, dont on cherche les traces… nous ne trouvons que les croix au
niveau de la départementale. Coupons cette dernière, longeons un bois, puis, le
chemin fait fourche continuons tout droit,
coupons la D 222 et poursuivons en
face par la C 4 en direction de Coupigny, les Mirats, Champ la Bride, La
Trétoire. Au milieu des champs nous abandonnons le balisage jaune partant sur
la droite et poursuivons le bitume. Nous arrivons à l’intersection avec la
route deservant sur la droite Les Mirats et sur la gauche Coupigny, poursuivons
tout droit. Nous arrivons à Champ la Bride, a l’entrée du village nous prenons
un chemin sur la droite, nous faisant éviter le centre du hameau (dans mon topo oral je parle d’un ru, sur la carte le ru
des Moines est beaucoup plus haut. Avec toute la pluie que nous avons eu ce
n’est peut être qu’un fossé plein d’eau.) Nous
débouchons dans le virage
de la rue principale (rue de la grange) que nous prenons à droite, au milieu du
virage nous poursuivons tout droit par le chemin nous faisant rejoindre les
champs et l’antenne de transmission, il fait fourche et prenons à gauche, nous
débouchons sur une route que nous prenons à droite. Nous abandonnons cette
route sans issu (elle se termine au hameau de la Fontaine l’Auge) pour prendre
sur la gauche le chemin dans les champs. Laissons sur la gauche un accès au
champ et poursuivons ce chemin mal pavé en bordure d’un taillis. Nous arrivons
à un carrefour retrouvons un balisage vert et poursuivons tout droit ce
chemin
mal empierré qui normalement est balisé. Nous arrivons en vue du Hameau de La
Forge, coupons la route d’accès, abandonnons le balisage vert et poursuivons en
face avec le balisage jaune. [Au matin du 8
septembre, les brigades de cavalerie britanniques, suivies de près par
l’artillerie, approchent de la lisière du plateau qui domine la rive sud du
Morin. Ils aperçoivent des retardataires allemands… Voici l’anecdote apparaît
sous la plume de James E. Edmonds. Une reconnaissance menée par quelques Greys
(la 5ème Brigade) permit de découvrir un bataillon de chasseurs
et une brigade de cavaleries ennemies au niveau du hameau de Gibraltar,
confortablement
installés, ils mangeaient leur petit déjeuner. Se retirant distraitement, les éclaireurs indiquèrent la position à la batterie J, installée à Bois Baudry, qui mit brutalement fin au pique-nique avec ses shrapnels. L’ennemi dut se replier vers la vallée en dénombrant de considérables pertes. Panneau d’information.] Nous longeons le moulin de Coton [Le petit Morin à un débit normal de 3,4 m/s à son confluent avec la Marne. Lors de grandes crues, ce débit peut être multiplié par 15. De l’énergie pour les moulins… Pour qu’un moulin à eau fonctionne il faut une chute d’eau d’environ deux mètres. On dénombrait une trentaine de moulins dans la vallée. Certain pour le blé, d’autres pour le Lin ou pour le broyage de l’écorce de chêne. Certain jusqu’en
1960 produisaient de
l’électricité pour les industries situées en font de vallée. Extraie Panneau
d’information.] Nous retrouvons le bitume que nous prenons à droite.
Dans le virage, nous poursuivons tout droit par un chemin gravillonné (piste
VTT) balisage jaune. Laissons l’accès sur la gauche au hameau de Saint Georges.
Nous devons être sur l’ancien cheminement de la ligne SNCF. Nous arrivons à une
fourche et à une intersection de sentiers. Tout droit le balisage se dirige
vers Orly sur Morin, nous prenons à gauche le PR de Saint Ouen, (sur la carte
c’est le chemin du Pré de Cosselette).
Nous contournons le hameau du Moulin du Pont. Dans le virage, laissons sur la
droite la rue du moulin du pont passant dans le cœur du hameau et juste avant
la fourche prenons sur la gauche le chemin grimpant le coteau, le long d’une
prairie et d’un bois. Nous
longeons un profond fossé plein d’eau en cette saison
des pluies, et débouchons sur une route, le balisage se divise en deux, nous
prenons à gauche sur une dizaine de mètres puis un chemin sur la droite, nous
nous dirigeons vers Bitibout. Nous débouchons route de la tuilerie que nous
prenons à droite. Au milieu du hameau, nous prenons à gauche la cour des
meulières (balisage jaune) au banc prenons à droite entre les deux maisons,
nous retrouvons notre route un peu plus haut que nous suivons jusqu’au hameau
de Gibraltar. A la route formant Té avec la notre nous prenons à droite,
coupons la D68 au niveau du stop et de l’arrêt de bus. Poursuivons en face en
direction de Doue, par la route de Bois Baudry, longeons le
hameau, la route
fait fourche dans un virage, nous prenons la rue creuse sur la droite, de rue
nous passons à chemin dans les champs (balisage jaune). Nous longeons de plus
ou moins loin la D 68 puis le chemin fait fourche et nous prenons à gauche,
longeons la lisière d’un bois, le chemin fait de nouveau fourche, poursuivons
tout droit, nous débouchons sur une route quittons le balisage jaune (inexistant dans les champs, la Seine et Marne à oublié d’informer
sur le terrain ses touristes randonneurs, hors mis une belle carte dans certain
village et quelques traits jaune sur le terrain, il n’y a rien. Devrait prendre
des stages de formation en Essonne.) Prenons
la route sur la droite,
nous arrivons Au Neuillis. En traversant le hameau nous retrouvons des traces
de peinture jaune. Nous débouchons sur une route formant Té que nous prenons à
droite et retrouvons le balisage jaune. A la sortie du bois, dans une sorte de
clairière en forme de triangle, le chemin fait fourche et nous prenons à
droite. Nous arrivons au hameau de Courcilly, le chemin fait de nouveau
fourche, j’ai pris le chemin de gauche, nous débouchons dans la rue de
Courcilly, que nous prenons à droite, elle tourne sur la gauche et débouchons
sur la D 68, que nous prenons à gauche. [Nous
trouvons l’ancienne halte du petit train qui reliait La
Ferté Sous Jouarre à
Montmirail jusqu’en 1947. Panneau d’information] La rue fait fourche,
nous rencontrons la D 31 venant de notre droite poursuivons tout droit, passons
le Petit Morin, nous entrons dans saint Ouen, Je quitte le balisage jaune
partant sur la gauche et poursuit la rue tout droit. Devant une petite place,
nous prenons sur la droite la D 68 en direction de Montapeine et Saacy (route
de Saacy). Sur la droite un haut mur, fort décrépie, derrière le château de la
Roche. Nous n’en apercevons que les toitures. Après
le château nous prenons le
chemin de l’Ouche sur la gauche. Laissons sur la droite la rue du chemin, nous
retrouvons le monument aux morts et la rue Lucien Devos que nous prenons à
droite jusqu’à notre parking.
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
installés, ils mangeaient leur petit déjeuner. Se retirant distraitement, les éclaireurs indiquèrent la position à la batterie J, installée à Bois Baudry, qui mit brutalement fin au pique-nique avec ses shrapnels. L’ennemi dut se replier vers la vallée en dénombrant de considérables pertes. Panneau d’information.] Nous longeons le moulin de Coton [Le petit Morin à un débit normal de 3,4 m/s à son confluent avec la Marne. Lors de grandes crues, ce débit peut être multiplié par 15. De l’énergie pour les moulins… Pour qu’un moulin à eau fonctionne il faut une chute d’eau d’environ deux mètres. On dénombrait une trentaine de moulins dans la vallée. Certain pour le blé, d’autres pour le Lin ou pour le broyage de l’écorce de chêne. Certain jusqu’en
par ce panneau en fonte nous sommes hors du temps |

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