Randonnée
Le Plus Loin Possible : GR 11 - 22
Orgérus - Mantes la Jolie Etape 2009
Liaison avec le début de ce troisième départ
Le code mobile de cette randonnée est b182446
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Etape 2009 Orgérus- Mantes la Jolie 24 km
Etape 2009 Orgérus- Mantes la Jolie 24 km
15 avril 2015
km Temps arrêt
V/d V/g
Dénivelé
27,80 4h57 15,00 5,6
5,3 5,3
GR
11 – 22
A la sortie de la gare je loupe le
GR, trop de monde dans cette rue pour apercevoir un hypothétique trait rouge et
blanc. Mon GPS allumé trop tard cherche toujours ses trois satellites minimums
pour trouver ma position. Pas de carte papier pour ce trajet.
De mémoire je sais que je dois traverser les voies, je pense que le balisage est peut être de l’autre coté. Les voies sont tellement larges que je ne vois pas l’autre sortie et me demande si la passerelle ne communique pas uniquement avec les quais. J’aperçois un pont et part dans cette direction, passe les voies, mon GPS ma retrouvé et je suis partie du mauvais coté. Tant pis, je retrouverais ma trace un peut plus loin. Je suis dans une zone pavillonnaire. C’est agréable. Nous passons l’autoroute et ils ont eu l’idée de la couvrir, bonne initiative. Dans la journée cela ne fait pas plus de bruit qu’une ville sans autoroute en activité. Cela grimpe dure. Nous arrivons rapidement dans les champs, ‘J’Fais’ ma première pose. Oui, cela fait à peine dix minutes que je suis partie et déjà la pose. Faut retirer une couche de vêtement et je commence à avoir mal au pied. Mes nouvelles chaussures "des LOWA" fabrication Allemande, sont très confortable en boutique et à la maison, mais pas pour la marche. "Si vous avez lu les précédent numéros 2015 vous connaissez déjà mes ennuis avec ses chaussures. J'ai tenu tout de même 700 km avec mes ongles des pouces de pieds devenus bleu, et des blessures aux doigts de pieds." Pour l'instant c'est la couture de la tige droite qui m'indispose. Une surépaisseur ou un nœud appuis sur le dessus de la cheville. Ce frottement devient avec la répétition insupportable. Quand à la tige gauche le tissus cousu bord à bord n’a pas tenu et commence à ce déchirer. Je regrette la finition de mes
Millet. (2021-j'ai toujours ses chaussures. Elles ont tenues le coup. 1400km au compteur, je ne pense pas qu'elles dépasseront les 2000. Je l'ai termine dans mes randos de la journée. Aujourd'hui je sais les lasser. On m'a appris à utiliser le petit "truc" métallique sur la tige. Depuis je n'ai plus mal au pied. J'en ai même racheté des plus grosse pour le Jura et les Pyrénées.) Des chaussons mes Millet, un peu lourdes, mais je n'ai jamais eu mal au pied. Et puis elle n’avait qu’un peut plus de deux milles km et le tissus du talon d’Achille s’était déchiré et à, a peine trois milles, le pare pierre c’est décollé, la chaussure n’était plus étanche et cela ma valu de grosses ampoules sur les chemins herbeux couvert de rosé des marais de Saint Omer (voir RLPLP étape http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/11/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-128_3.html) A trois milles km après un recollage artisanale avec de la néoprène, c’est la semelle qui a donnée des signes de faiblesses en laissant s’infiltrer l’humidité. Un peu déçus, j’espérais un meilleur rendement d’où le changement de marque. Le poids gagné se ressent sur le confort du coup de pied. J’ai laissé un message sur mon problème, aux grands ou plutôt nombreux magasins parisiens ou je les ai acheté, mais aucune réponse. Toute ses réflexions mon fait me retourner et j’aperçois une très grande église dont les tuiles de la nef sont chamarré. La prochaine fois faut que je face le détour. Un peut plus loin le raccordement avec le GR 26 est bien signalé. C’est mon prochain itinéraire qui me mènera en bord de la mer, par Evreux, puis le 224 par Brionne – Pont-Audemer et Honfleur.
Pour l’instant poursuivons tout droit le GR 11. La campagne est belle, faut dire que j’ai un soleil d’été en cette fin avril. Les champs sont jaune, vert, et pour certain encore marron, mais l’on voit bien que ce n’ai pas de la jachère. Nous arrivons au premier village sur la carte "Vert" (Ce n'est n'y une faute d'orthographe [j'en fais de nombreuses] n'y une répétition) c'est simplement le nom du village. Une plaque de rue me fait sourire ; « chemin de vide bouteille, tout de suite mon esprit y voit des ivrognes, une décharge ou l’on jetait des bouteilles. Sur la carte c’est le nom d’un lieu cadastral. L'un n’empêchant pas l'autre. A l’église nous quittons la D 983 par un angle à quatre vingt dix degrés sur
la gauche. Je remarque sur la gauche un ancien moulin plus ou moins à l’abandon mais le pigeonnier fonctionne à merveille, ce n’est qu’entrée et sortie de pigeons. Nous suivons la Vaucouleur, ou du moins l’une de ses nombreuses dérivations dans ce secteur. [La Vaucouleurs est longue de 21,9 kilomètres, affluent de rive gauche de la Seine. Le nom de « Vaucouleurs » signifie « val coloré ». Elle prend sa source dans la commune de Boissets, à 120 m d'altitude, aux confins du département des Yvelines et coule en direction du nord, elle se jette dans la Seine, à 17 mètres
d'altitude Mantes-la-Ville . La Vaucouleurs reçoit deux affluents notables : à Montchauvet, sur sa rive gauche, le ru d'Ourville (10,2 km), et à Septeuil, sur sa rive droite, la Flexanville (11,1 km) qui prend sa source dans la commune du même nom, grossie elle-même de plusieurs ruisseaux. wikipédia]
MONTCHAUVET
De mémoire je sais que je dois traverser les voies, je pense que le balisage est peut être de l’autre coté. Les voies sont tellement larges que je ne vois pas l’autre sortie et me demande si la passerelle ne communique pas uniquement avec les quais. J’aperçois un pont et part dans cette direction, passe les voies, mon GPS ma retrouvé et je suis partie du mauvais coté. Tant pis, je retrouverais ma trace un peut plus loin. Je suis dans une zone pavillonnaire. C’est agréable. Nous passons l’autoroute et ils ont eu l’idée de la couvrir, bonne initiative. Dans la journée cela ne fait pas plus de bruit qu’une ville sans autoroute en activité. Cela grimpe dure. Nous arrivons rapidement dans les champs, ‘J’Fais’ ma première pose. Oui, cela fait à peine dix minutes que je suis partie et déjà la pose. Faut retirer une couche de vêtement et je commence à avoir mal au pied. Mes nouvelles chaussures "des LOWA" fabrication Allemande, sont très confortable en boutique et à la maison, mais pas pour la marche. "Si vous avez lu les précédent numéros 2015 vous connaissez déjà mes ennuis avec ses chaussures. J'ai tenu tout de même 700 km avec mes ongles des pouces de pieds devenus bleu, et des blessures aux doigts de pieds." Pour l'instant c'est la couture de la tige droite qui m'indispose. Une surépaisseur ou un nœud appuis sur le dessus de la cheville. Ce frottement devient avec la répétition insupportable. Quand à la tige gauche le tissus cousu bord à bord n’a pas tenu et commence à ce déchirer. Je regrette la finition de mes
Millet. (2021-j'ai toujours ses chaussures. Elles ont tenues le coup. 1400km au compteur, je ne pense pas qu'elles dépasseront les 2000. Je l'ai termine dans mes randos de la journée. Aujourd'hui je sais les lasser. On m'a appris à utiliser le petit "truc" métallique sur la tige. Depuis je n'ai plus mal au pied. J'en ai même racheté des plus grosse pour le Jura et les Pyrénées.) Des chaussons mes Millet, un peu lourdes, mais je n'ai jamais eu mal au pied. Et puis elle n’avait qu’un peut plus de deux milles km et le tissus du talon d’Achille s’était déchiré et à, a peine trois milles, le pare pierre c’est décollé, la chaussure n’était plus étanche et cela ma valu de grosses ampoules sur les chemins herbeux couvert de rosé des marais de Saint Omer (voir RLPLP étape http://randosacaudos.blogspot.fr/2014/11/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-128_3.html) A trois milles km après un recollage artisanale avec de la néoprène, c’est la semelle qui a donnée des signes de faiblesses en laissant s’infiltrer l’humidité. Un peu déçus, j’espérais un meilleur rendement d’où le changement de marque. Le poids gagné se ressent sur le confort du coup de pied. J’ai laissé un message sur mon problème, aux grands ou plutôt nombreux magasins parisiens ou je les ai acheté, mais aucune réponse. Toute ses réflexions mon fait me retourner et j’aperçois une très grande église dont les tuiles de la nef sont chamarré. La prochaine fois faut que je face le détour. Un peut plus loin le raccordement avec le GR 26 est bien signalé. C’est mon prochain itinéraire qui me mènera en bord de la mer, par Evreux, puis le 224 par Brionne – Pont-Audemer et Honfleur.
Pour l’instant poursuivons tout droit le GR 11. La campagne est belle, faut dire que j’ai un soleil d’été en cette fin avril. Les champs sont jaune, vert, et pour certain encore marron, mais l’on voit bien que ce n’ai pas de la jachère. Nous arrivons au premier village sur la carte "Vert" (Ce n'est n'y une faute d'orthographe [j'en fais de nombreuses] n'y une répétition) c'est simplement le nom du village. Une plaque de rue me fait sourire ; « chemin de vide bouteille, tout de suite mon esprit y voit des ivrognes, une décharge ou l’on jetait des bouteilles. Sur la carte c’est le nom d’un lieu cadastral. L'un n’empêchant pas l'autre. A l’église nous quittons la D 983 par un angle à quatre vingt dix degrés sur
la gauche. Je remarque sur la gauche un ancien moulin plus ou moins à l’abandon mais le pigeonnier fonctionne à merveille, ce n’est qu’entrée et sortie de pigeons. Nous suivons la Vaucouleur, ou du moins l’une de ses nombreuses dérivations dans ce secteur. [La Vaucouleurs est longue de 21,9 kilomètres, affluent de rive gauche de la Seine. Le nom de « Vaucouleurs » signifie « val coloré ». Elle prend sa source dans la commune de Boissets, à 120 m d'altitude, aux confins du département des Yvelines et coule en direction du nord, elle se jette dans la Seine, à 17 mètres
d'altitude Mantes-la-Ville . La Vaucouleurs reçoit deux affluents notables : à Montchauvet, sur sa rive gauche, le ru d'Ourville (10,2 km), et à Septeuil, sur sa rive droite, la Flexanville (11,1 km) qui prend sa source dans la commune du même nom, grossie elle-même de plusieurs ruisseaux. wikipédia]
MONTCHAUVET
Septeuil |
Le GRP est bien balisé. Nous retrouvons le GR
11 à l’intersection de deux routes, que nous suivons sur la droite, nous
coupons la D983 et
arrivons à Septeuil , avant de remonter dans le village nous avons une vue sur le centre ville. Nous apercevons une grande bâtisse carrée, certainement un ancien moulin, il en a bien la forme, il n’y manque que les ailes. Nous faisons un large détour contournant ce village comportant une myriade de lieux dits et, lorsque l’on coupe la D 42 un panneau nous informe que nous sommes toujours dans ce même village.
Bois et champs se succèdent et le GR nous fait faire des angles à
90° Nous rencontrons le GR 22 provenant de la droite coupons la D32 et prenons en face la route goudronnée menant à l’immense ferme la Poussinière ou nous quittons le GR 11 partant sur la gauche et continuons le GR 22 (sur la carte partant sur la droite) mais sur le terrain ce n’ai pas aussi évidant. Le chemin se trouve entre le large chemin du GR11 et le chemin contournant la ferme, la barrière est toujours caché par l’herbe folle et les containers à poubelle. Nous passons la rivière de Flexanville par un pont
constitué de rondins de bois traversons la D 45 entrons dans Orgérus par un lotissement d’un coté et les champs de l’autre. Nous passons devant l’église et au carrefour suivant je quitte le GR 22 pour prendre une rue à gauche puis à droite, une pancarte m’indique la gare par ce chemin.
arrivons à Septeuil , avant de remonter dans le village nous avons une vue sur le centre ville. Nous apercevons une grande bâtisse carrée, certainement un ancien moulin, il en a bien la forme, il n’y manque que les ailes. Nous faisons un large détour contournant ce village comportant une myriade de lieux dits et, lorsque l’on coupe la D 42 un panneau nous informe que nous sommes toujours dans ce même village.
Bois et champs se succèdent et le GR nous fait faire des angles à
90° Nous rencontrons le GR 22 provenant de la droite coupons la D32 et prenons en face la route goudronnée menant à l’immense ferme la Poussinière ou nous quittons le GR 11 partant sur la gauche et continuons le GR 22 (sur la carte partant sur la droite) mais sur le terrain ce n’ai pas aussi évidant. Le chemin se trouve entre le large chemin du GR11 et le chemin contournant la ferme, la barrière est toujours caché par l’herbe folle et les containers à poubelle. Nous passons la rivière de Flexanville par un pont
constitué de rondins de bois traversons la D 45 entrons dans Orgérus par un lotissement d’un coté et les champs de l’autre. Nous passons devant l’église et au carrefour suivant je quitte le GR 22 pour prendre une rue à gauche puis à droite, une pancarte m’indique la gare par ce chemin.
Voilà avec ce parcours je devais terminer mon périple autour de la
France. Ce qui n’est pas la réalité en 2015 puisque je n’ai fait que 2200 km.
J’ai surtout terminé le contournement de Paris. Je ne sais pas si vous vous
souvenez, toute mes critiques sur le GR 2 après Villeneuve Saint Georges. Après cette ville, ce n'est
pas très beau. Seul un passage en bordure de la marne est surprenant. Je ne sais pas si cela a changé, n’ayant pas
envie d’y retourner. Pour Paris, il me semble qu’il vaut mieux y consacrer un
peut plus qu’une traversé. Moi je n’aime pas Paris ; Trop vaste, trop de
monde, de voitures. Pas assez de zones piétonnes. Peut être aussi un reste du
"métro, boulot, dodo".
Je me suis aperçu que visiter des villes moyennes ne me dérangeais pas, telle que : Lille (centre)-Orléans-Rouen-Le Havre (pour cette dernière, peut de temps en attendant le train.)
Ce contournement permet de rejoindre le GR 2 se trouvant de l’autre coté de la Seine. Pour cela, il suffit de suivre le GR 11 en centre ville passer devant la collégiale (histoire dans le prochain itinéraire), traverser la Seine et poursuivre 5 km, avant la rencontre du GR2.
Pour les prochains itinéraires ULTREÏA (du latín ultra -au-delà- et eia, interjection évoquant un déplacement) "Comme l'on dit sur le grand chemin" Toujours plus loin. En Avant vers la mer et la Normandie.
Je me suis aperçu que visiter des villes moyennes ne me dérangeais pas, telle que : Lille (centre)-Orléans-Rouen-Le Havre (pour cette dernière, peut de temps en attendant le train.)
Ce contournement permet de rejoindre le GR 2 se trouvant de l’autre coté de la Seine. Pour cela, il suffit de suivre le GR 11 en centre ville passer devant la collégiale (histoire dans le prochain itinéraire), traverser la Seine et poursuivre 5 km, avant la rencontre du GR2.
Pour les prochains itinéraires ULTREÏA (du latín ultra -au-delà- et eia, interjection évoquant un déplacement) "Comme l'on dit sur le grand chemin" Toujours plus loin. En Avant vers la mer et la Normandie.
Pour retrouver toute mes randos itinérantes
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ;
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html
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