Randonnée Le Plus Loin Possible : GR 122
Chigny - La Bouteille Etape 49
Du 24 Aout 2015 au 28 Aout 2015Le code mobile de cette randonnée est b237503
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Etape 49 Chigny - La Bouteille 24 km
Vendredi 28 aout
km Temps arrêt V/d V/g Dénivelé24 4h14 0:10mn 5,7 5,5 204 +
Bien
dormi dans ma chambre d’hôte atypique, d'une déco d'un autre siècle. C'est
peut être l'ancienne cure. Si c'est l'ancienne cure, la déco va avec.... Les
deux sœurs sont charmantes, (sœurs au sens familiale.) Elles nous ont parlées de leur villages, avant aujourd'hui, lorsqu'il était vivant, Lorsqu'il y avait encore des fermes, donc de l'animation dans le village, aujourd'hui, il vont chercher le lait à la ferme la plus proche sur le plateau, mais il faut la voiture. de leurs églises fortifiées du village familistère encore intact situé à Guise et que l'on peut visiter "Créé par un génial industriel de la fonte aux idées
sociales, un incroyable "Versailles ouvrier", un "Palais social", fut
élevé au XIXè siècle à Guise : le Familistère Godin. Revivez l’épopée de
cette société idéale dans un ensemble urbain laissé intact, avec ses
logements au confort exceptionnel pour l’époque, ses jardins, son petit
théâtre… Visitez une utopie réalisée ! http://www.picardie.visite.org/FR/visite-familistere-godin_2427.html. Mais aussi de plein d'autres choses beaucoup plus "moderne". Il a plut une partie de la nuit, mais ce matin nous
sommes dans le brouillard. A partir d'ici le paysage change. Hier je n'ai rien vue des alentour, je suis arrivé "par le haut" en provenance du plateau, les nuages bas et la pluie bouchaient l'horizon. je suis descendu jusqu'à la chambre et je n'ai plus bougé jusqu'à ce matin. Le village se trouve sur les pentes d'un vallon. Nous sommes dans la vallée de l'Oise et j'en suis tout étonné. Lors de ma préparation cela ne m'avait pas frapper à ce point, j'ai simplement l'impression d'être en banlieue parisienne. Pour moi la vallée de l'Oise, c'est de Pont Saint Maxence à Fin d'Oise lorsque cette dernière ce jette dans la Seine. Mes leçons de géographie sont bien loin et je ne me souvenais plus ou cette rivière prenais sa source. Les premières lignes de la description de wikipédia m'ont surpris : C'est une rivière du Bassin Parisien !!!!! C'est ce que j'ai du retenir de mes leçons. (J'ai eu la curiosité d'aller voir la description d'un fleuve et l'on a la même description La Seine est un fleuve qui coule dans le Bassin Parisien.) Tout cela n'est pas faux, mais j'aurai préféré "un truc comme" Prend sa source à .... ce termine à ..... traverse les régions de ........ Bien cela est dit, mais qui lit plus de quatre lignes.....? Vous certainement puisque vous êtes arrivées jusque là.
[L'Oise est une rivière du bassin parisien au nord de la France et en Belgique, principal affluent de la Seine.
Elle prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude dans le massif forestier dit Bois de Bourlers, dans l’ancienne commune de Forges au sud-est de la ville hennuyère de Chimay. Cette rivière au cours avoisinant 330 kilomètres, presqu'entièrement navigable et bordée de canaux sur 104 kilomètres. L'Oise se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude, au Pointil en rive droite à Conflans, en aval du centre de la commune de Conflans-Sainte-Honorine dans le département des Yvelines.
[L'Oise est une rivière du bassin parisien au nord de la France et en Belgique, principal affluent de la Seine.
Elle prend sa source en Belgique, à 309 mètres d'altitude dans le massif forestier dit Bois de Bourlers, dans l’ancienne commune de Forges au sud-est de la ville hennuyère de Chimay. Cette rivière au cours avoisinant 330 kilomètres, presqu'entièrement navigable et bordée de canaux sur 104 kilomètres. L'Oise se jette dans la Seine à 20 mètres d'altitude, au Pointil en rive droite à Conflans, en aval du centre de la commune de Conflans-Sainte-Honorine dans le département des Yvelines.
La rivière Isara est citée par César, puis par l'auteur latin Lucain. Le
géographe Vibius Sequester nous informe qu'à son époque, l'appellation est simplement Esia. L'évolution se poursuit avec une diphtongaison de la voyelle initiale qui donne Oysia, forme attestée en 886. La forme médiévale apparue probablement au XIIe siècle mais déjà très répandue au XIIIe siècle est Oise ou Oyse.
L'Oise, rivière navigable, fait la jonction avec le nord du bassin parisien jusqu'au contrefort des Ardennes. Une antique et intense activité de transport est renforcée dès l'époque classique par l'aménagement de canaux et de routes parallèles. L'essor de la navigation sur l'Oise est un modèle européen de développement au XIXe siècle. Les apports pondéreux des pays miniers du Nord valorisent sa vallée et entrainent le prodigieux essor
de la ville de Creil, à l'instar de la basse vallée. La rivière Oise est indissociable d'une riche histoire de la batellerie. Le musée de Conflans-Saint-Honorine en témoigne. L'Oise, troisième axe fluvial français avec 7 millions de tonnes de fret annuel au début des années 1990, possède une navigation encore active, mais si le gabarit européen est présent de Conflans à Compiègne sur plus de 100 km, un bouchon persistant subsiste entre Seine et delta rhénan. Il y un début d'exécution du Projet Seine-Nord de mise à grand gabarit (Rhénan) entre Compiègne et le Cambrésis et destiné à relier les deux bassins par une réutilisation agrandie du canal du Nord et de nouvelles sections. La mise en service serait en 2020, si tout va bien. (extraie wikipédia)]
Hier, j'avais froid aux mains, aujourd'hui il fait presque chaud. Par ici, le paysage redeviens vallonné et bien sur, nous prenons les vallons dans le sens perpendiculaire et tout au long de la promenade nous ne ferons que monter et descendre, cela me redonne le moral, surtout que le soleil à percé le brouillard. Nous sommes aussi au cœur des églises fortifiées, chez nous fortifié veut dire avec une meurtrière dans le clocher, ici ce sont quatre tours avec toit en poivrière encadrant la nef.
[Érigées pour la plupart aux XVIe et XVIIe siècles, les églises
fortifiées de Thiérache sont le fruit d’une architecture pensée sous la double contrainte du religieux et de la guerre, oeuvre « d’un peuple acharné à ne pas mourir ».
En milieu rural où les habitations en pan de bois et torchis offraient une résistance dérisoire, seule l’église édifiée en maçonnerie possédait assez d’étendue et de solidité pour recueillir la communauté villageoise menacée.
On peut distinguer deux formes de défense : la première, la plus spectaculaire, consiste en un donjon de brique et pierre rajoutée à
l’espace liturgique. La seconde, l’église, percée de meurtrières, cantonnée de tours ou d’échauguettes, est conçue comme un système défensif à part entière.
Pillée puis en partie dévastée pendant les invasions normandes de la seconde moitié du IXe siècle, la Thiérache fut à nouveau la victime collatérale du déchirement de l’empire carolingien au Xe siècle.
Durant toute la guerre de Cent ans, et après trois siècles de prospérité et de paix relative, Anglais et Bourguignons n’eurent de cesse de ravager abbayes et églises paroissiales, laissant la population à ses propres conditions de survivance, la famine s’ajoutant à la misère et à la peste.
Contrairement à une idée tenace, les fortifications des églises de Thiérache n’ont sans doute pas commencé pendant la guerre de Cent ans. S’il semble attesté que l’église de Chaourse fut bien fortifiée en l’an 1370, il s’agit probablement là d’un cas isolé, relatif à la décision du roi Charles V
d’assurer la protection du village comme dépendance de l’Abbaye Royale de Saint-Denis, dont il était le suzerain.
Les fortifications ont plus vraisemblablement commencé au XVIe siècle et se sont encore prolongées sur tout le XVIIe. http://www.encyclopedie.picardie.fr/Eglises-fortifiees-de-la-Thierache.html]
De magnifiques points de vue s'offrent à vous depuis le "Pain de sucre" et les "rochers des parcs", c'est ce que l'on appelle la route des crêtes.] Jusqu'à Autreppes nous sommes sur le bitume nous passons devant un site énigmatique. [Nous sommes aux carrefour de trois communes. Nous trouvons un oratoir coté S. Algis. Un calvaire côté Erloy. Un bassin côté Englancourt. Les anciens nous transmettre : C'est ici que Saint Algis (VIIème) serait venu se reposer. En reprenant son bâton de voyage qu'il avait fiché dans le sol, une eau vive et limpide, aurait jailli. Le calvaire à été érigé des
années plus tard. Dans le bassin les mères y trempaient les enfants lors d'une procession la veille de l'Ascenssion. L'eau miraculeuse aurait guéri beaucoup de malades. (Extraie du panneau d'information se trouvant sur place.)] A Autreppes, nous quittons la route pour prendre un chemin matérialisé, c'est l'ancienne voie ferrée transformée en voie verte longeant toujours l'Oise. Nous quittons l'Oise par un virage perpendiculaire et grimpons vers le bois Solmont. Chemin et routes se succèdent et comme un fait exprès, je suis dans la partie la plus vallonnée de ce parcours, alors que j'ai très peu de train dans un village perdu au milieu de la campagne. je n'ai pas intérêt à le louper. A Solmont j'ai essayé de couper par un chemin certainement peu employé ronces, arbustes et orties mon fait rebroussé chemin, puis par un champ, j'ai essayé de rejoindre ce chemin, mais je n'ai pas réussi à débouché, j'ai perdu mon temps et j'en suis sortie tout mouillé. Accélère mon gars, tu va louper ton train. Le paysage est magnifique, cela change du début de semaine, c'est bien ma veine aujourd'hui ou j'ai rendez-vous avec la SNCF, je ne peux profiter du paysage. L’itinéraire est parsemé de villages, je dirais plutôt quelques maisons par ci par là. Au débouché sur la D 751 une pancarte nous dit que le village de "La Bouteille" n'est qu'à 4 km. Il m'ont paru long ses kilomètres surtout que cela monte. Le GR fait un crochet pour quitter cette route interminable. Je quitte le GR, et continue le bitume trop impatient d'arrivée, et puis j'en verrais pas plus qu'au sommet de cette côte. Arrivée à La Bouteille je retrouve ma trace cela va m'éviter de marcher sur le trottoir de ce village tentaculaire, je le regrette rapidement, c'est un chemin de terre détrempé, j'avais des chaussures impeccables le dernier sentier herbeux avait nettoyé le dessus de celle ci, le bitume avait aidé à décollé se qui restait accroché aux crampons. Nous débouchons au centre du village qui comporte une belle église fortifiée. J'ai une grosse inquiétude sur les panneaux routiers aucune informations sur la gare..... "Soit confiant en ton GPS" Je suis ma trace, j'arrive en fin du village et voit le passage à niveau, puis un espace pouvant servir de parking, mais pas une voiture et le quai avec un abri. Ce n'est pas une gare mais un simple arrêt, pas de distributeur de billet. Il faut se présenter au contrôleur. Enfin arrivée,
le train est dans 10 mn, juste le temps.... sauf que j'ai deux heures d'avance sur l’horaire prévu. Cela m'arrange bien. je vais rentrer en fin d'après midi au lieu du début de soirée.
géographe Vibius Sequester nous informe qu'à son époque, l'appellation est simplement Esia. L'évolution se poursuit avec une diphtongaison de la voyelle initiale qui donne Oysia, forme attestée en 886. La forme médiévale apparue probablement au XIIe siècle mais déjà très répandue au XIIIe siècle est Oise ou Oyse.
L'Oise, rivière navigable, fait la jonction avec le nord du bassin parisien jusqu'au contrefort des Ardennes. Une antique et intense activité de transport est renforcée dès l'époque classique par l'aménagement de canaux et de routes parallèles. L'essor de la navigation sur l'Oise est un modèle européen de développement au XIXe siècle. Les apports pondéreux des pays miniers du Nord valorisent sa vallée et entrainent le prodigieux essor
de la ville de Creil, à l'instar de la basse vallée. La rivière Oise est indissociable d'une riche histoire de la batellerie. Le musée de Conflans-Saint-Honorine en témoigne. L'Oise, troisième axe fluvial français avec 7 millions de tonnes de fret annuel au début des années 1990, possède une navigation encore active, mais si le gabarit européen est présent de Conflans à Compiègne sur plus de 100 km, un bouchon persistant subsiste entre Seine et delta rhénan. Il y un début d'exécution du Projet Seine-Nord de mise à grand gabarit (Rhénan) entre Compiègne et le Cambrésis et destiné à relier les deux bassins par une réutilisation agrandie du canal du Nord et de nouvelles sections. La mise en service serait en 2020, si tout va bien. (extraie wikipédia)]
Hier, j'avais froid aux mains, aujourd'hui il fait presque chaud. Par ici, le paysage redeviens vallonné et bien sur, nous prenons les vallons dans le sens perpendiculaire et tout au long de la promenade nous ne ferons que monter et descendre, cela me redonne le moral, surtout que le soleil à percé le brouillard. Nous sommes aussi au cœur des églises fortifiées, chez nous fortifié veut dire avec une meurtrière dans le clocher, ici ce sont quatre tours avec toit en poivrière encadrant la nef.
[Érigées pour la plupart aux XVIe et XVIIe siècles, les églises
fortifiées de Thiérache sont le fruit d’une architecture pensée sous la double contrainte du religieux et de la guerre, oeuvre « d’un peuple acharné à ne pas mourir ».
En milieu rural où les habitations en pan de bois et torchis offraient une résistance dérisoire, seule l’église édifiée en maçonnerie possédait assez d’étendue et de solidité pour recueillir la communauté villageoise menacée.
On peut distinguer deux formes de défense : la première, la plus spectaculaire, consiste en un donjon de brique et pierre rajoutée à
l’espace liturgique. La seconde, l’église, percée de meurtrières, cantonnée de tours ou d’échauguettes, est conçue comme un système défensif à part entière.
Terre de passages, d’églises et d’invasions
L’histoire de la Thiérache, depuis le Haut Moyen Âge et jusqu’à la fin de la Renaissance, pourrait pour partie se confondre avec l’histoire des invasions dont elle fut le théâtre. En raison de sa situation géographique (au nord-est de l’actuel département de l’Aisne), elle fit d’abord office de frontière stratégique lors des guerres mérovingiennes qui opposèrent, au VIe et VIIe siècles principalement, les deux royaumes de Neustrie et d’Austrasie.Pillée puis en partie dévastée pendant les invasions normandes de la seconde moitié du IXe siècle, la Thiérache fut à nouveau la victime collatérale du déchirement de l’empire carolingien au Xe siècle.
Durant toute la guerre de Cent ans, et après trois siècles de prospérité et de paix relative, Anglais et Bourguignons n’eurent de cesse de ravager abbayes et églises paroissiales, laissant la population à ses propres conditions de survivance, la famine s’ajoutant à la misère et à la peste.
Contrairement à une idée tenace, les fortifications des églises de Thiérache n’ont sans doute pas commencé pendant la guerre de Cent ans. S’il semble attesté que l’église de Chaourse fut bien fortifiée en l’an 1370, il s’agit probablement là d’un cas isolé, relatif à la décision du roi Charles V
d’assurer la protection du village comme dépendance de l’Abbaye Royale de Saint-Denis, dont il était le suzerain.
Les fortifications ont plus vraisemblablement commencé au XVIe siècle et se sont encore prolongées sur tout le XVIIe. http://www.encyclopedie.picardie.fr/Eglises-fortifiees-de-la-Thierache.html]
Mes hôtesses d'un soir nous ont expliquées que l’église était divisées en
trois. La partie basse pour le culte, l’étage au dessus pour les combats et le troisième étage pour y vivre. Certaine dispose d'un puits. Englancourt dispose d'une belle église fortifié et à pied il faut vouloir y allée, rien que d'atteindre le village sur cette butte est une prouesse. De Chigny nous descendons par la route vers l'Oise que nous longeons. Une rivière très peu large on est à 116 m et Englancourt est à 170 m après deux semaines de plat cela surprend. En attendant
j'avance en mettant le turbo 'jtiens' pas à louper mon train. Il fait
beau, je vois la campagne alentour en haut des vallons, j'ai l'impression d’être en Normandie dans la Petite Suisse. [Située au sud de Caen, la route de la Suisse Normande est un circuit touristique de 65 km, le long de la rivière Orne.
La
route de la Suisse Normande vous emmène à la découverte de ses paysages
escarpés tout en suivant le cours tumultueux de l'Orne. De magnifiques points de vue s'offrent à vous depuis le "Pain de sucre" et les "rochers des parcs", c'est ce que l'on appelle la route des crêtes.] Jusqu'à Autreppes nous sommes sur le bitume nous passons devant un site énigmatique. [Nous sommes aux carrefour de trois communes. Nous trouvons un oratoir coté S. Algis. Un calvaire côté Erloy. Un bassin côté Englancourt. Les anciens nous transmettre : C'est ici que Saint Algis (VIIème) serait venu se reposer. En reprenant son bâton de voyage qu'il avait fiché dans le sol, une eau vive et limpide, aurait jailli. Le calvaire à été érigé des
années plus tard. Dans le bassin les mères y trempaient les enfants lors d'une procession la veille de l'Ascenssion. L'eau miraculeuse aurait guéri beaucoup de malades. (Extraie du panneau d'information se trouvant sur place.)] A Autreppes, nous quittons la route pour prendre un chemin matérialisé, c'est l'ancienne voie ferrée transformée en voie verte longeant toujours l'Oise. Nous quittons l'Oise par un virage perpendiculaire et grimpons vers le bois Solmont. Chemin et routes se succèdent et comme un fait exprès, je suis dans la partie la plus vallonnée de ce parcours, alors que j'ai très peu de train dans un village perdu au milieu de la campagne. je n'ai pas intérêt à le louper. A Solmont j'ai essayé de couper par un chemin certainement peu employé ronces, arbustes et orties mon fait rebroussé chemin, puis par un champ, j'ai essayé de rejoindre ce chemin, mais je n'ai pas réussi à débouché, j'ai perdu mon temps et j'en suis sortie tout mouillé. Accélère mon gars, tu va louper ton train. Le paysage est magnifique, cela change du début de semaine, c'est bien ma veine aujourd'hui ou j'ai rendez-vous avec la SNCF, je ne peux profiter du paysage. L’itinéraire est parsemé de villages, je dirais plutôt quelques maisons par ci par là. Au débouché sur la D 751 une pancarte nous dit que le village de "La Bouteille" n'est qu'à 4 km. Il m'ont paru long ses kilomètres surtout que cela monte. Le GR fait un crochet pour quitter cette route interminable. Je quitte le GR, et continue le bitume trop impatient d'arrivée, et puis j'en verrais pas plus qu'au sommet de cette côte. Arrivée à La Bouteille je retrouve ma trace cela va m'éviter de marcher sur le trottoir de ce village tentaculaire, je le regrette rapidement, c'est un chemin de terre détrempé, j'avais des chaussures impeccables le dernier sentier herbeux avait nettoyé le dessus de celle ci, le bitume avait aidé à décollé se qui restait accroché aux crampons. Nous débouchons au centre du village qui comporte une belle église fortifiée. J'ai une grosse inquiétude sur les panneaux routiers aucune informations sur la gare..... "Soit confiant en ton GPS" Je suis ma trace, j'arrive en fin du village et voit le passage à niveau, puis un espace pouvant servir de parking, mais pas une voiture et le quai avec un abri. Ce n'est pas une gare mais un simple arrêt, pas de distributeur de billet. Il faut se présenter au contrôleur. Enfin arrivée,
le train est dans 10 mn, juste le temps.... sauf que j'ai deux heures d'avance sur l’horaire prévu. Cela m'arrange bien. je vais rentrer en fin d'après midi au lieu du début de soirée.
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