Etape 10 : Collemier - Sens - Saint Martin du Tertre
En vert la partie réalisér dans les étapes de 1 à 5
Collemiers : Se trouve vers
Sens après Gron.
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
33 5h07 11mn 5,5 5.3 124 +
Novembre 2013
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b304624
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Collemiers GR 213 -
Aujourd’hui nous passons près de la ville de Sens avec une gare
SNCF, je m’étais dit que je reprendrais le train, mais lorsque j’ai vu le
prix du billet !!!!! J'avais déjà trouvé exorbitant le prix du trajet pour Montargis, mais la, je trouve que c'est abusé. Je connais le parcours en voiture, le temps que l'on met, et puis il n'y a qu'un train par heure (comme pour Montargis). Sur un site internet très connu je fais le calcul du prix du trajet en voiture, il était la moitié du prix
de la SNCF. Polluons l’atmosphère, mais à un coup moins élevé. En plus, je suis libre de mes mouvements. Je découvrirais un peut mieux ce terrain entre l'Yonne et l'Orvanne.
Sens dans le Brouillard
Toujours pas facile de trouver la rue du parvis de l’église à Collemiers,
c’est la deuxième à droite en venant de Gron. En descendant dans la rue principale nous retrouvons notre balisage
rouge et blanc du GR 213 qui se dirige vers le cimetière. Après une petite
grimpette nous découvrons Sens. Dommage aujourd’hui nous avons du
brouillard. Puis nous traversons Paron. Nous
sommes dans les faubourgs de Sens. Passez si prêt
de ce chef lieu sans faire un détour : "ça le fait
pas". Je ne comprends pas que les GR ne nous fassent pas découvrir ses villes ancestrales chargées d'histoire. Nous rencontrons la D 81 prenons à droite arrivons à un rond point et
trouvons sur le trottoir de droite une ancienne borne kilométrique en grès.
Traversons la ligne de chemin de fer (pont) puis le premier et le second pont sur l'Yonne,
nous entrons dans le vieux Sens. Découvrons le centre ville : Piéton. Avec ses maisons à pans de bois, maisons peut large, habitations bâtit sur des commerces......encore en activités. Cathédrale, Archevêché, marché et revenons par le même
chemin.
SENS.
À l'époque
gauloise, la cité porte le nom d'Agedincum (ou Agendicum) ; le peuple des
Senones, dont elle est le chef-lieu, est l'un des plus puissants de la
Gaule : c'est lui qui envahit l'Italie et s'empare de Rome en ~ 390.
Passons le pont et entrons en ville
Après
la conquête de la Gaule, la position géographique de la ville, entre Seine et
Loire, sur la grande voie reliant le Nord au Midi, lui vaudra de devenir un
centre administratif important : au IVe siècle, entourée d'une enceinte qui, modifiée sous Charles V, subsistera
jusqu'au début du xxe siècle. Dès les débuts du
christianisme, Sens prend une place importante dans l'administration
Parcourons la grand rue
ecclésiastique : au ve siècle, l'archevêché a sous sa
juridiction les évêchés de Chartres, d'Auxerre, de Paris, d'Orléans, de Troyes,
auxquels s'ajoutent, au VIe siècle, les évêchés
nouvellement créés de Meaux et de Nevers. Sous les Mérovingiens et les
Carolingiens, l'archevêque, comte de Sens, exerce à la fois le pouvoir temporel
et le pouvoir spirituel. Ainsi, l'archevêque Ebbon organise la résistance
contre les Sarrasins en 731. Sous les Carolingiens, les prélats de Sens sont
associés à l'administration impériale ; à la fin du IVe siècle,
ils ont parmi leurs attributions le sacre des souverains, les relations
diplomatiques entre le pape et la monarchie franque, la convocation des
synodes.
Faisons le tour de la Cathédrale et de l'archevêché
Au XI e siècle, l'archevêque de Sens perd la
primatie de la Gaule au profit de celle de Lyon. La ville est rattachée en 1015
au domaine royal par Robert le Pieux. Des libertés communales lui sont
accordées par Louis VII en 1146, et confirmées par Philippe Auguste en
1189. Pendant la guerre de Cent Ans, Sens appartient au parti royal ;
pendant la Ligue, au parti catholique. Après un long conflit avec l'évêché de
Paris, Sens perd sa prééminence sur celui-ci. À la demande d'Henri de Gondi,
l'évêché de Paris est érigé en archevêché par la bulle Universi Orbis en
1622.
Sens, est
actuellement sous-préfecture du département de l'Yonne ; une zone
industrielle s'est développée au nord et au nord-ouest de la ville. Celle-ci
(26 800 hab. en 2005) se trouve au cœur d'une communauté
d'agglomérations de neuf communes et de 42 000 habitants.
La Maison d'Abraham
Un des monuments
historiques les plus pittoresques de Sens :"la Maison
d'Abraham", qui s'avance comme la proue d'un navire dans la rue de la
République. Ce qui a failli d'ailleurs causer sa perte en Mars 1970
quand un camion la percuta. Son
acte de naissance se trouve dans les comptes rendus d'un procès en
1540, obligeant le propriétaire des lieux Nicolas Mégissier, à payer une
redevance de vingt livres aux Dominicains "destinée à acquérir les
torches nécessaires au maître-autel" du couvent sur la "Maison des
Quatre Vents, où il y a un arbre de Jessé sur le coing"...
Le construction a en
quelque sorte "signé" sa demeure car, comme le signale en 1892 Gustave
Julliot dans ses "Recherches historiques sur la maison dite d'Abraham"
on remarque un cartouche sur lequel ont été sculptés en relief deux
couteaux à double manche. Les couteaux de ce genre ne servent pas exclusivement
aux tanneurs, mais aussi aux mégissiers. (La mégisserie
est le tannage des peaux d'ovins, caprins ou vachettes destinées à
l'industrie de la chaussure, de la ganterie ou de l'habillement, dans le
cadre de la production du cuir). rappellent soit le nom, soit
la profession du propriétaire qui fit construire la maison peu avant
1540, Nicolas Mégissier, ou Nicolas, mégissier.
On constate aussi que
la maison porte le nom de "Maison des Quatre Vents", ce qu'explique sa
position à un carrefour, et surtout qu'il n'est pas question d'Abraham mais de Jessé.
Il faut savoir que le nom actuel résulte d'une erreur d'interprétation
qui remonte au moins au début du XIXème siècle. Le
poteau qui est au coin est sculpté et représente la généalogie de Notre
Seigneur, depuis Abraham jusqu'à la Sainte Vierge".
C'est l'arbre de Jessé qui
a été sculpté sur le poteau cornier. Cet arbre figure la généalogie de
Notre Seigneur Jésus Christ, depuis Jessé, père de David. Le sculpteur
n'a trouvé de place que pour figurer sept des descendants de Jessé : 4
sont à gauche, sur la rue Dauphine (rue de la République), et 3 à droite
sur la rue Jean Cousin. Au sommet, la Vierge tient dans ses bras son
divin fils. Jessé est endormi sur un tas de pierres cubiques. Près de
lui, l'un des propriétaires de l'immeuble à fait peindre en blanc sur
deux lignes : ABRAHAM L'AN 1204, inscription inspirée sans doute par un
fanatique de l'antiquité, qui vieillit la maison de 3 siècles.
Au détour des rues
Repassons
sous la ligne SNCF et reprenons notre D81 jusqu'à la rencontre du GR que nous
suivons à droite, attention à ne pas louper le chemin qui tourne à gauche, c’est
un chemin entre deux maisons qui grimpe fortement. Dans le haut de la colline
déboucher sur la route goudronnée (ne pas prendre le sentier de droite qui
amène à une petite grotte que j’ai trouvé vide, mais qui doit être habité.
Continuons de grimper par la route peut de balisage sur celle-ci, et en haut
prendre à droite (en se retournant on a de belles vues sur Sens) passons devant
l’église Saint Florent, perchée et
isolée sur sa colline. Grand virage à gauche devant le cimetière, puis nous
entrons dans Saint Martin du Tertre. Traversons le village et rapidement nous
retrouvons les champs et les collines. Passer sous la ligne électrique et faire
attention, le GR part sur la droite à mi pente, ne pas continuer tout droit. Puis
nous débouchons sur la D 26 que nous prenons à gauche car pour nous c’est la
fin de notre parcours sur le GR, revenons à Collemiers par les champs.
Je prends
donc la D26 sur la gauche. Très roulante cette route, les voitures ne
ralentissent pas, et l’on a que le bas coté pour ce protéger, du moins dans la
monté ensuite nous avons un chemin entre la route et les champs (c’est le
chemin utilisé par les tracteurs) nous prenons le chemin sur la gauche avant de
passer sous l’autoroute, c’est un beau chemin.
A l’origine je ne prenais pas cet
itinéraire, ayant prévu un tour plus grand après l’autoroute, vers Courtois mais ayant passé
plus de temps que prévu dans la visite de Sens j’ai raccourcie au dernier moment.
Pas facile cette grimpette
éviter la D 26 de prendre le chemin des Vauy Gaudin, ou celui
traversant les Grands Champs mais je ne suis pas sur que le chemin débouche
sans traverser un champ en culture.
Reprenons la
trace. Nous quittons la D26 en prenant un chemin sur la gauche, jusqu'à l’orée
du bois, puis nous suivons la lisière sur la droite, ensuite
c’est un peut moins simple, il n’y a plus de chemin. L’hiver ce n’est pas grave, les labours sont terminés et les cultures n'en sont qu'a leur prémisse,
mais l’été, suivant la
le Puits de Joigneaux
plantation, ce doit être moins pratique, le socle de la
charrue ne laissant pas beaucoup de place entre le bois et le champ. Je
traverse le bois par le chemin après la cote 132 mais par contre à la cote 168
je n’ai pas retrouvé celui se trouvant sur la carte. Je suis l’orée du bois sur la droite et
retrouve rapidement un chemin carrossable qui me fait passer devant une grande
ferme. On passe la route d’accès à la ferme et continuons en face on ne peut
pas se tromper nous arrivons à l’orée d’un bois nous contournons celui-ci,
laissons un chemin sur la droite puis nous tournons à droite et traversons des
champs. Laissons un chemin sur la gauche pénétrons dans le bois et prenons à
droite, puis laissons le chemin de droite pour descendre sur la gauche vers le
hameau « les caves » nous débouchons sur une route que nous coupons
et prenons pratiquement en face la route goudronnée permettant de rejoindre les
Joigneaux ou nous trouvons un jolie puits nous poursuivons notre route jusqu’au
Masures, ou nous prenons un nouveau chemin en lisière du bois de Chatenoy,
jusqu’à la D 81 que nous prenons à droite sur quelques centaine de mètres puis
à gauche la route menant au Grosses Pierres (hameau) nous quittons la route après la
première maison ou nous prenons le chemin de gauche puis le premier chemin de
droite pas de difficultés dans cette partie il faut juste faire attention à ne
pas ce tromper car nous faisons droite gauche, droite jusqu'à la D660, la nous
tournons à gauche sur quelques centaines mètres et prenons la route de droite
qui grimpe à la croix de Serbois (bien aménagé et fleurie) nous trouvons un
chemin sur la gauche nous menant au Bruyères traversons le village et nous
trouvons sur la gauche le chemin qui va nous ramener à Collemiers.
Collemiers : Se trouve vers Sens après Gron.
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
33 5h07 11mn 5,5 5.3 124 +
Novembre 2013
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b304624
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Collemiers GR 213 -
Aujourd’hui nous passons près de la ville de Sens avec une gare SNCF, je m’étais dit que je reprendrais le train, mais lorsque j’ai vu le prix du billet !!!!! J'avais déjà trouvé exorbitant le prix du trajet pour Montargis, mais la, je trouve que c'est abusé. Je connais le parcours en voiture, le temps que l'on met, et puis il n'y a qu'un train par heure (comme pour Montargis). Sur un site internet très connu je fais le calcul du prix du trajet en voiture, il était la moitié du prix de la SNCF. Polluons l’atmosphère, mais à un coup moins élevé. En plus, je suis libre de mes mouvements. Je découvrirais un peut mieux ce terrain entre l'Yonne et l'Orvanne.
Sens dans le Brouillard |
de ce chef lieu sans faire un détour : "ça le fait pas". Je ne comprends pas que les GR ne nous fassent pas découvrir ses villes ancestrales chargées d'histoire. Nous rencontrons la D 81 prenons à droite arrivons à un rond point et trouvons sur le trottoir de droite une ancienne borne kilométrique en grès. Traversons la ligne de chemin de fer (pont) puis le premier et le second pont sur l'Yonne, nous entrons dans le vieux Sens. Découvrons le centre ville : Piéton. Avec ses maisons à pans de bois, maisons peut large, habitations bâtit sur des commerces......encore en activités. Cathédrale, Archevêché, marché et revenons par le même chemin.
SENS.
À l'époque gauloise, la cité porte le nom d'Agedincum (ou Agendicum) ; le peuple des Senones, dont elle est le chef-lieu, est l'un des plus puissants de la Gaule : c'est lui qui envahit l'Italie et s'empare de Rome en ~ 390.
Passons le pont et entrons en ville
Après la conquête de la Gaule, la position géographique de la ville, entre Seine et Loire, sur la grande voie reliant le Nord au Midi, lui vaudra de devenir un centre administratif important : au IVe siècle, entourée d'une enceinte qui, modifiée sous Charles V, subsistera jusqu'au début du xxe siècle. Dès les débuts du christianisme, Sens prend une place importante dans l'administration
Parcourons la grand rue
ecclésiastique : au ve siècle, l'archevêché a sous sa juridiction les évêchés de Chartres, d'Auxerre, de Paris, d'Orléans, de Troyes, auxquels s'ajoutent, au VIe siècle, les évêchés nouvellement créés de Meaux et de Nevers. Sous les Mérovingiens et les Carolingiens, l'archevêque, comte de Sens, exerce à la fois le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel. Ainsi, l'archevêque Ebbon organise la résistance contre les Sarrasins en 731. Sous les Carolingiens, les prélats de Sens sont associés à l'administration impériale ; à la fin du IVe siècle, ils ont parmi leurs attributions le sacre des souverains, les relations diplomatiques entre le pape et la monarchie franque, la convocation des synodes.
Faisons le tour de la Cathédrale et de l'archevêché
Au XI e siècle, l'archevêque de Sens perd la primatie de la Gaule au profit de celle de Lyon. La ville est rattachée en 1015 au domaine royal par Robert le Pieux. Des libertés communales lui sont accordées par Louis VII en 1146, et confirmées par Philippe Auguste en 1189. Pendant la guerre de Cent Ans, Sens appartient au parti royal ; pendant la Ligue, au parti catholique. Après un long conflit avec l'évêché de Paris, Sens perd sa prééminence sur celui-ci. À la demande d'Henri de Gondi, l'évêché de Paris est érigé en archevêché par la bulle Universi Orbis en 1622. Sens, est actuellement sous-préfecture du département de l'Yonne ; une zone industrielle s'est développée au nord et au nord-ouest de la ville. Celle-ci (26 800 hab. en 2005) se trouve au cœur d'une communauté d'agglomérations de neuf communes et de 42 000 habitants.
La Maison d'Abraham
Un des monuments
historiques les plus pittoresques de Sens :"la Maison
d'Abraham", qui s'avance comme la proue d'un navire dans la rue de la
République. Ce qui a failli d'ailleurs causer sa perte en Mars 1970
quand un camion la percuta. Son
acte de naissance se trouve dans les comptes rendus d'un procès en
1540, obligeant le propriétaire des lieux Nicolas Mégissier, à payer une
redevance de vingt livres aux Dominicains "destinée à acquérir les
torches nécessaires au maître-autel" du couvent sur la "Maison des
Quatre Vents, où il y a un arbre de Jessé sur le coing"...
Le construction a en quelque sorte "signé" sa demeure car, comme le signale en 1892 Gustave Julliot dans ses "Recherches historiques sur la maison dite d'Abraham" on remarque un cartouche sur lequel ont été sculptés en relief deux couteaux à double manche. Les couteaux de ce genre ne servent pas exclusivement aux tanneurs, mais aussi aux mégissiers. (La mégisserie est le tannage des peaux d'ovins, caprins ou vachettes destinées à l'industrie de la chaussure, de la ganterie ou de l'habillement, dans le cadre de la production du cuir). rappellent soit le nom, soit la profession du propriétaire qui fit construire la maison peu avant 1540, Nicolas Mégissier, ou Nicolas, mégissier.
On constate aussi que la maison porte le nom de "Maison des Quatre Vents", ce qu'explique sa position à un carrefour, et surtout qu'il n'est pas question d'Abraham mais de Jessé. Il faut savoir que le nom actuel résulte d'une erreur d'interprétation qui remonte au moins au début du XIXème siècle. Le poteau qui est au coin est sculpté et représente la généalogie de Notre Seigneur, depuis Abraham jusqu'à la Sainte Vierge".
C'est l'arbre de Jessé qui a été sculpté sur le poteau cornier. Cet arbre figure la généalogie de Notre Seigneur Jésus Christ, depuis Jessé, père de David. Le sculpteur n'a trouvé de place que pour figurer sept des descendants de Jessé : 4 sont à gauche, sur la rue Dauphine (rue de la République), et 3 à droite sur la rue Jean Cousin. Au sommet, la Vierge tient dans ses bras son divin fils. Jessé est endormi sur un tas de pierres cubiques. Près de lui, l'un des propriétaires de l'immeuble à fait peindre en blanc sur deux lignes : ABRAHAM L'AN 1204, inscription inspirée sans doute par un fanatique de l'antiquité, qui vieillit la maison de 3 siècles.
Au détour des ruesRepassons sous la ligne SNCF et reprenons notre D81 jusqu'à la rencontre du GR que nous suivons à droite, attention à ne pas louper le chemin qui tourne à gauche, c’est un chemin entre deux maisons qui grimpe fortement. Dans le haut de la colline déboucher sur la route goudronnée (ne pas prendre le sentier de droite qui amène à une petite grotte que j’ai trouvé vide, mais qui doit être habité. Continuons de grimper par la route peut de balisage sur celle-ci, et en haut prendre à droite (en se retournant on a de belles vues sur Sens) passons devant l’église Saint Florent, perchée et isolée sur sa colline. Grand virage à gauche devant le cimetière, puis nous entrons dans Saint Martin du Tertre. Traversons le village et rapidement nous
retrouvons les champs et les collines. Passer sous la ligne électrique et faire attention, le GR part sur la droite à mi pente, ne pas continuer tout droit. Puis nous débouchons sur la D 26 que nous prenons à gauche car pour nous c’est la fin de notre parcours sur le GR, revenons à Collemiers par les champs.
Je prends
donc la D26 sur la gauche. Très roulante cette route, les voitures ne
ralentissent pas, et l’on a que le bas coté pour ce protéger, du moins dans la
monté ensuite nous avons un chemin entre la route et les champs (c’est le
chemin utilisé par les tracteurs) nous prenons le chemin sur la gauche avant de
passer sous l’autoroute, c’est un beau chemin.
A l’origine je ne prenais pas cet
itinéraire, ayant prévu un tour plus grand après l’autoroute, vers Courtois mais ayant passé
plus de temps que prévu dans la visite de Sens j’ai raccourcie au dernier moment.
éviter la D 26 de prendre le chemin des Vauy Gaudin, ou celui traversant les Grands Champs mais je ne suis pas sur que le chemin débouche sans traverser un champ en culture.
Pas facile cette grimpette |
éviter la D 26 de prendre le chemin des Vauy Gaudin, ou celui traversant les Grands Champs mais je ne suis pas sur que le chemin débouche sans traverser un champ en culture.
Reprenons la
trace. Nous quittons la D26 en prenant un chemin sur la gauche, jusqu'à l’orée
du bois, puis nous suivons la lisière sur la droite, ensuite
c’est un peut moins simple, il n’y a plus de chemin. L’hiver ce n’est pas grave, les labours sont terminés et les cultures n'en sont qu'a leur prémisse,
mais l’été, suivant la
plantation, ce doit être moins pratique, le socle de la
charrue ne laissant pas beaucoup de place entre le bois et le champ. Je
traverse le bois par le chemin après la cote 132 mais par contre à la cote 168
je n’ai pas retrouvé celui se trouvant sur la carte. Je suis l’orée du bois sur la droite et
retrouve rapidement un chemin carrossable qui me fait passer devant une grande
ferme. On passe la route d’accès à la ferme et continuons en face on ne peut
pas se tromper nous arrivons à l’orée d’un bois nous contournons celui-ci,
laissons un chemin sur la droite puis nous tournons à droite et traversons des
champs. Laissons un chemin sur la gauche pénétrons dans le bois et prenons à
droite, puis laissons le chemin de droite pour descendre sur la gauche vers le
hameau « les caves » nous débouchons sur une route que nous coupons
et prenons pratiquement en face la route goudronnée permettant de rejoindre les
Joigneaux ou nous trouvons un jolie puits nous poursuivons notre route jusqu’au
Masures, ou nous prenons un nouveau chemin en lisière du bois de Chatenoy,
jusqu’à la D 81 que nous prenons à droite sur quelques centaine de mètres puis
à gauche la route menant au Grosses Pierres (hameau) nous quittons la route après la
première maison ou nous prenons le chemin de gauche puis le premier chemin de
droite pas de difficultés dans cette partie il faut juste faire attention à ne
pas ce tromper car nous faisons droite gauche, droite jusqu'à la D660, la nous
tournons à gauche sur quelques centaines mètres et prenons la route de droite
qui grimpe à la croix de Serbois (bien aménagé et fleurie) nous trouvons un
chemin sur la gauche nous menant au Bruyères traversons le village et nous
trouvons sur la gauche le chemin qui va nous ramener à Collemiers.
le Puits de Joigneaux |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire