Etape 12 : Pont sur Yonne - Villeblevin 31 km
En vert la partie réalisée dans les étapes de 1 à 5
Pont sur Yonne – Villeblevin – Pont sur Yonne
KM temps arret
V/d V/g Dénivelé
31 6h04 43mn
5,2 4,6 592 +
Décembre 2013
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b304834
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Enfin un endroit ou l’on peut se garer sans problème en
bordure de l’Yonne prêt du vieux pont. Même un dimanche, jour de marcher. Faut
dire aussi que pour réaliser mes 30 km, je suis partie de bonne heure de la maison et qu’il
est à peine 9h00. Le chaland en ce dimanche n'est pas encore dehors. Certain commerçant n’ont pas terminé de s’installer.
Le départ est le même que la fin du parcourt de la fois
dernière. Par les petites rues, nous passons vers l’église, puis nous prenons, la
rue du Guichet, la rue du docteur strass, nous passons au dessus de la ligne
SNCF puis à droite, la rue du Moulin à vent ou nous retrouvons le balisage rouge et
blanc, puis à gauche. Nous grimpons la colline, attention de ne pas prendre
les deux chemins de droite qui se dirige vers des maisons. Nous arrivons à
l’aqueduc de la vanne ici nous tournons à
Des rochers sur cette colline ?
droite et suivons l’aqueduc. Nous
passons un bois de pin, redescendons dans les champs, pour remonter dans les bois.
Dans la descente vers Villemanoche, nous trouvons des rochers comme à
Fontainebleau. Après la barrière nous trouvons sur la droite un chemin qui nous
permet de descendre tranquillement sinon, derrière les plots en bois nous avons
un escalier en pierre. Nous débouchons sur la D196 que nous prenons sur la
gauche puis le premier chemin sur la droite. Dans les champs nous prenons
le deuxième chemin sur la gauche, pas de balisage "pas facile de marquer des
brins d’herbes", il y a bien un gros rocher malheureusement trop encombré de
ronces pour servir de support. On se dirige vers le bois puis la première à
droite, pas de balisage mais comme au carrefour précédant un rocher recouvert
de ronce. Nous sommes à la lisière du bois. Retournez vous pour admirer le
paysage de la bourgogne. Nous passons au
sommet d’un vallon ou nous trouvons une myriade de rochers. Cette colline
sableuse semble isolée dans ce coin ou les collines sont plutôt siliceuses. On trouve sur le parcours des panneaux indiquant
la direction de petites promenades sans balisage. Dans lesbois nous avons lors
d’un
carrefour deux changements de direction proche l’un de l’autre aucun
problème en 2013 le balisage est lisible. En générale cette rando est bien
balisée. Nous descendons dans une espèce de ravin et sortons du bois, nous
rencontrons à nouveau l’aqueduc de la vanne et nous prenons à gauche. Le GR
tourne en angle à 90° le long de
l’aqueduc. Pas facile de grimper, puis nous coupons une route goudronnée, on
aperçoit le village de Champigny sur Yonne. On a une belle vue sur les collines sénonaises. Par
moment, nous apercevons au loin un TGV et des camions c’est l’autoroute A5 et
la ligne spécifique du TGV Paris Lyon. Au premier plan dans le creux et le long
de l’Yonne c’est la ligne SNCF classique Paris Lyon. Le chemin que nous empruntons est
très boueux mais le GR passe sur la droite de l’aqueduc.
Nous quittons celui-ci par
le troisième
chemin sur la droite. Sur ce chemin nous
trouvons une grotte dans
le talus calcaire. Refuge pour des SDF ou terrain de jeu pour les gamins ?
Nous entrons dans Champigny sur Yonne, tournons à gauche
et retrouvons le balisage de Saint Jacques.
(J'ai réalisé cette rando la semaine de Noël et découvert le lieu de repos du Pere Noël durant sa tournée en Europe. SVP nettoyez vos cheminées avant mon passage........
L’église à de beau vitraux, [L'église Saint-Martin du XIIe siècle & XVIe siècle]
le balisage est bien fait en ville pas d’erreur dans les petites rues que nous empruntons. Nous
sortons de Champigny sur Yonne par une route goudronnée que nous suivrons
jusqu’à
Chaumont.
[Les lieux font partie des possessions des vicomtes de Sens au XIIe
siècle. Lors du partage du patrimoine de la dernière vicomtesse
Ermensent peu après 1200, Champigny rejoint le lot de la famille des
Barres centré sur la seigneurie de Chaumont. La seigneurie de Champigny
est apparemment un démembrement durant la seconde phase de la guerre de Cent Ans de la seigneurie de Chaumont.]
Au loin Montereau du moins les immeubles de Surville. En arrivant à
chaumont c’est facile, il suffit de suivre les panneaux château
Église de Chaumont
[Chaumont est perché au sommet d'une colline, blotti au pied de l'église.
On trouve ce nom mentionné pour la première fois en 1112. Les
Seigneurs de ces terres sont les Des Barres. Evrard des Barres, Grand Maître de l’Ordre des Templiers et Baudoin des Barres. Le petit-fils de Guillaume Ier,
Guillaume III des Barres fut celui qui illustra le nom de la famille.
Il fut connu sous le nom de Guillaume de Chaumont. Il fut serviteur du
roi Philippe-Auguste. Il participa notamment à la Croisade en Terre
Sainte de 1190 à 1195 où il se distingue par ses faits d’armes..
Pourquoi ce topo : J'aime bien lire des romans (pas forcement historique mais avec des personnages ayant existés) sur le Moyen Age, les Templiers, les Cathares. Le dernier livre que j'ai lu était l'aventure d'un Templier en Terre Sainte. Il était question d'un certain Evrard vieux templier donnant des conseilles, et d'un guillaume de Chaumont. J'ai toujours cru (je n'avais jamais fait de recherche) que c'était le Chaumont en Haute Marne. Préfecture de la région Champagne Ardenne (22 700 habitants-et 55 km2) Je n'aurai jamais imaginé que je passais régulièrement en voiture devant le village et aujourd'hui le traversant à pied, d'hommes ayant construit l'histoire, ne faiqant que 8 km2 et 606 habitants.
Le Château était à l’origine situé dans la Garenne, en bas de la colline, et aurait perduré jusqu’au XVIe siècle. Le château actuel, construit en haut de la colline, à quelques mètre de l’Église, est aujourd’hui propriété privée.]
[René Binet fut un architecte, peintre et théoricien, né à Chaumont dans l'Yonne le 14 novembre 1866 et mort à Ouchy (Suisse) le 23 juillet 1911.
Le sénonais René Binet a réalisé la porte monumentale, place de la Concorde, pour l’Exposition Universelle de 1900 à Paris.
Commandée en décembre 1896, et construite de mars 1899 à mi-avril
1900, Binet eut plusieurs sources en tête lors de la conception ; des
souvenirs d’enfance aux architectures polychrome de Venise, du Traité
des couleurs de Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832) aux travaux du biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont Binet aimait se plonger dans les 50 volumes conservés la bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle de Paris.
Binet voulait réaliser quelque chose « qui n’a jamais été fait en
architecture, une architecture de couleur et de lumière ». Ainsi cette
porte a été remarquée, non pas par la polychromie en elle-même, mais
comme étant la première tentative de domestication de l’électricité au service de la couleur et de l’architecture.
Il est également l'architecte des reconstructions des magasins du Printemps
de la mode en 1907. Concernant les autres réalisations (maison de
retraite de Couilly-Pont-aux-Dames, ponts, P.T.T., théâtre populaire du
Temple, maison Cravoisier à Sens…) Plus de détail dans http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Binet_%28architecte%29]
(le balisage est
bien aussi) Après le château cela ce complique un peu, on se dirige vers
l’église (coté parvis) nous en faisons le tour et il faut prendre le petit
chemin sur la droite qui descend en face de la bibliothèque. Nous sommes dans un terrain vague, ou nous trouvons le
socle d’une croix. Nous descendons derrière les jardins des maisons. En bas nous traversons une rue et prenons en face. Nous trouvons une vieille balise sur un
poteau. Nous retrouvons les champs et prenons le deuxième chemin
sur la droite, nous nous dirigeons vers Villeblevin [
1 - Le fond alluvial de la vallée de l'Yonne appelé "Pays-Bas", dont
l'altitude moyenne est de 55 m. Cette partie du territoire a été
exploitée au cours des dernières décennies pour l'extraction du sable
sur presque 50 ha. De ce fait, de nombreux plans d'eau subsistent
aujourd'hui.
2 - La seconde partie vallonnée se rapproche du plateau du Gâtinais à
une altitude de 170m environ et rejoint la RD 606 en pente douce. Le
sous-sol est constitué d'une épaisse couche de craie marneuse contenant
des rognons de silex. De nombreuses caves sont taillées dans cette craie
et des souterrains existent encore, bien qu'aujourd'hui condamnés.
Selon des récits recueillis auprès d'habitants de la commune, au début
du XXe siècle une partie de la
rue derrière le presbytère (actuelle Poste) s'effondra, révélant un
souterrain reliant probablement l'église au château. Selon les mêmes
sources, un cercueil aurait disparu dans un souterrain lors de sa mise
en terre (jusque fin XIXe le cimetière était situé autour de l'église). Sur une période de plusieurs siècles on trouve le nom de la commune sous
différentes appellations. La plus ancienne désignation date de la fin
du XIe siècle et s'écrit "Villapoplinam", "Villablovinam" ou "Villablovanam". Au fil des siècles le nom a évolué. L'église Saint Médard et Saint Michel dont la haute tour carrée date de 1586 possède 3 portails (fin XVIIIe) encadrés par d'énormes contreforts. Elle possède une triple nef, des arcades ogivales du XVIe et des pilastres toscans. Son clocher convexe est surmonté d'un campanile. sa chaire est du XVIIIe siècle. L'église héberge en son sein, depuis 1887]
qui sera la fin de notre parcours sur
le GR. Nous entrons en ville par la rue de Champfleury, nous gagnons la grande rue, que nous prenons à gauche, nous la suivrons jusqu'à la rue de Gerjus, que nous prenons à gauche, nous la
suivrons jusqu'à la rue de la Croix Saint-Vincent que nous prenons à droite,
puis à gauche la rue du Gay Paquet. En bout, nous prenons à droite et nous
rencontrons de nouveau l’aqueduc de la vanne en souterrain et des panneaux pour
les randos du coin. On prend à gauche le long de l’aqueduc, on a une rangé
d’arbres de plantés à proximité du
chemin. Nous prenons le premier chemin sur la droite en direction des bois, en
arrivant à la lisière, nous nous rendons compte que l’agriculteur à
oublier qu’il existait un chemin et des sentiers de promenade. Difficile de
rejoindre le bois dans le labour. Puis le chemin est difficile à suivre dans
les ronces, il est tracé, mais l’été cela doit être impossible. Je sorts du
petit bois et me rend compte qu’il y a un panneau avec propriété privé et un dessin de caméra.
En effet au milieu de bois en bordure du chemin j’ai vu un cabanons, mais pas
vu de fil électrique. Nous entrons à nouveau dans un bois marqué
Villeblevin
propriété
privé mais pas de clôture nous arrivons sur la D 223 que nous prenons sur la gauche. Nous
trouvons au carrefour de la route et du chemin des pancartes de petites randos, j’en conclus que
malgré les bois privés, le chemin disparu sous le socle de la charrue, et, peut être une caméra nous avons le droit de passer sur le chemin. Prenons la
D 223 à gauche nous passons la ferme des
Rosny et entrons dans le bois par le chemin de droite jusqu’au carrefour des Haches,
ou nous prenons le chemin plutôt sur la droite (le troisième) on peut prendre
le second mais il ma paru trop monter sur la droite en le prenant on ferra
moins de bitume. De toute façon, ce que l’on ne monte pas dans le bois on le montera par la
route. Je débouche sur le bitume et monte à droite passe les virages puis l’on
prend le chemin sur la gauche le chemin
est bien tracé et nous débouchons sur une autre route que nous prenons à gauche puis
à droite vers la ferme du chapitre. Avant l’entrée de la ferme dont certain bâtiments sont en ruines ou
prochent de la ruine. Nous prenons le chemin de gauche qui contourne la ferme et
nous permet de rejoindre les champs. Nous débouchons sur la D 70 que nous
prenons à droite , un peut avant l’intersection entre la D 143 et D70 nous
prenons à gauche le chemin dans les champs traversons un bois arrivons à
nouveau sur une route, la D 196 que nous coupons et continuons en face. Nous débouchons à
nouveau sur une départementale que nous prenons à gauche (D 143). Nous passons
devant la ferme équestre de Saint Gilles. A la sortie du bois nous prenons à
gauche un chemin longeant l’orée de celui-ci. Nous faisons le tour du champ, sans jamais
pénétrer dans le bois, puis le premier chemin de droite et le premier à gauche
nous descendons vers Pont sur Yonne, nous retrouvons la D que nous suivons
jusqu'à l’aqueduc, la nous prenons le chemin de droite qui passe sous une
arche de l’aqueduc puis la rue du fond
de la croix, jusqu'à l’avenue Aristide Briand que nous prenons sur la gauche nous passons sous
la ligne SNCF prenons la rue de la gare
(continuation de la précédente) et prenons à droite la ruelle du château et à gauche la rue du pont
ou nous arrivons à notre parking.
Les autres Etapes
Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
Pont sur Yonne – Villeblevin – Pont sur Yonne
KM temps arret
V/d V/g Dénivelé
31 6h04 43mn
5,2 4,6 592 +
Décembre 2013Trace Randogps Le code mobile de cette randonnée est b304834
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Enfin un endroit ou l’on peut se garer sans problème en bordure de l’Yonne prêt du vieux pont. Même un dimanche, jour de marcher. Faut dire aussi que pour réaliser mes 30 km, je suis partie de bonne heure de la maison et qu’il est à peine 9h00. Le chaland en ce dimanche n'est pas encore dehors. Certain commerçant n’ont pas terminé de s’installer.
Le départ est le même que la fin du parcourt de la fois
dernière. Par les petites rues, nous passons vers l’église, puis nous prenons, la
rue du Guichet, la rue du docteur strass, nous passons au dessus de la ligne
SNCF puis à droite, la rue du Moulin à vent ou nous retrouvons le balisage rouge et
blanc, puis à gauche. Nous grimpons la colline, attention de ne pas prendre
les deux chemins de droite qui se dirige vers des maisons. Nous arrivons à
l’aqueduc de la vanne ici nous tournons à
droite et suivons l’aqueduc. Nous
passons un bois de pin, redescendons dans les champs, pour remonter dans les bois.
Dans la descente vers Villemanoche, nous trouvons des rochers comme à
Fontainebleau. Après la barrière nous trouvons sur la droite un chemin qui nous
permet de descendre tranquillement sinon, derrière les plots en bois nous avons
un escalier en pierre. Nous débouchons sur la D196 que nous prenons sur la
gauche puis le premier chemin sur la droite. Dans les champs nous prenons
le deuxième chemin sur la gauche, pas de balisage "pas facile de marquer des
brins d’herbes", il y a bien un gros rocher malheureusement trop encombré de
ronces pour servir de support. On se dirige vers le bois puis la première à
droite, pas de balisage mais comme au carrefour précédant un rocher recouvert
de ronce. Nous sommes à la lisière du bois. Retournez vous pour admirer le
paysage de la bourgogne. Nous passons au
sommet d’un vallon ou nous trouvons une myriade de rochers. Cette colline
sableuse semble isolée dans ce coin ou les collines sont plutôt siliceuses. On trouve sur le parcours des panneaux indiquant
la direction de petites promenades sans balisage. Dans lesbois nous avons lors
d’un
carrefour deux changements de direction proche l’un de l’autre aucun problème en 2013 le balisage est lisible. En générale cette rando est bien balisée. Nous descendons dans une espèce de ravin et sortons du bois, nous rencontrons à nouveau l’aqueduc de la vanne et nous prenons à gauche. Le GR tourne en angle à 90° le long de l’aqueduc. Pas facile de grimper, puis nous coupons une route goudronnée, on aperçoit le village de Champigny sur Yonne. On a une belle vue sur les collines sénonaises. Par moment, nous apercevons au loin un TGV et des camions c’est l’autoroute A5 et la ligne spécifique du TGV Paris Lyon. Au premier plan dans le creux et le long de l’Yonne c’est la ligne SNCF classique Paris Lyon. Le chemin que nous empruntons est très boueux mais le GR passe sur la droite de l’aqueduc.
Nous quittons celui-ci par le troisième chemin sur la droite. Sur ce chemin nous
trouvons une grotte dans le talus calcaire. Refuge pour des SDF ou terrain de jeu pour les gamins ? Nous entrons dans Champigny sur Yonne, tournons à gauche et retrouvons le balisage de Saint Jacques.
(J'ai réalisé cette rando la semaine de Noël et découvert le lieu de repos du Pere Noël durant sa tournée en Europe. SVP nettoyez vos cheminées avant mon passage........
L’église à de beau vitraux, [L'église Saint-Martin du XIIe siècle & XVIe siècle] le balisage est bien fait en ville pas d’erreur dans les petites rues que nous empruntons. Nous sortons de Champigny sur Yonne par une route goudronnée que nous suivrons
jusqu’à Chaumont.
Le sénonais René Binet a réalisé la porte monumentale, place de la Concorde, pour l’Exposition Universelle de 1900 à Paris.
Commandée en décembre 1896, et construite de mars 1899 à mi-avril 1900, Binet eut plusieurs sources en tête lors de la conception ; des souvenirs d’enfance aux architectures polychrome de Venise, du Traité des couleurs de Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832) aux travaux du biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont Binet aimait se plonger dans les 50 volumes conservés la bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle de Paris.
Binet voulait réaliser quelque chose « qui n’a jamais été fait en architecture, une architecture de couleur et de lumière ». Ainsi cette porte a été remarquée, non pas par la polychromie en elle-même, mais comme étant la première tentative de domestication de l’électricité au service de la couleur et de l’architecture.
Il est également l'architecte des reconstructions des magasins du Printemps de la mode en 1907. Concernant les autres réalisations (maison de retraite de Couilly-Pont-aux-Dames, ponts, P.T.T., théâtre populaire du Temple, maison Cravoisier à Sens…) Plus de détail dans http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Binet_%28architecte%29]
(le balisage est bien aussi) Après le château cela ce complique un peu, on se dirige vers l’église (coté parvis) nous en faisons le tour et il faut prendre le petit chemin sur la droite qui descend en face de la bibliothèque. Nous sommes dans un terrain vague, ou nous trouvons le socle d’une croix. Nous descendons derrière les jardins des maisons. En bas nous traversons une rue et prenons en face. Nous trouvons une vieille balise sur un poteau. Nous retrouvons les champs et prenons le deuxième chemin sur la droite, nous nous dirigeons vers Villeblevin [
1 - Le fond alluvial de la vallée de l'Yonne appelé "Pays-Bas", dont l'altitude moyenne est de 55 m. Cette partie du territoire a été exploitée au cours des dernières décennies pour l'extraction du sable sur presque 50 ha. De ce fait, de nombreux plans d'eau subsistent aujourd'hui.
2 - La seconde partie vallonnée se rapproche du plateau du Gâtinais à une altitude de 170m environ et rejoint la RD 606 en pente douce. Le sous-sol est constitué d'une épaisse couche de craie marneuse contenant des rognons de silex. De nombreuses caves sont taillées dans cette craie et des souterrains existent encore, bien qu'aujourd'hui condamnés. Selon des récits recueillis auprès d'habitants de la commune, au début du XXe siècle une partie de la rue derrière le presbytère (actuelle Poste) s'effondra, révélant un souterrain reliant probablement l'église au château. Selon les mêmes sources, un cercueil aurait disparu dans un souterrain lors de sa mise en terre (jusque fin XIXe le cimetière était situé autour de l'église). Sur une période de plusieurs siècles on trouve le nom de la commune sous différentes appellations. La plus ancienne désignation date de la fin du XIe siècle et s'écrit "Villapoplinam", "Villablovinam" ou "Villablovanam". Au fil des siècles le nom a évolué. L'église Saint Médard et Saint Michel dont la haute tour carrée date de 1586 possède 3 portails (fin XVIIIe) encadrés par d'énormes contreforts. Elle possède une triple nef, des arcades ogivales du XVIe et des pilastres toscans. Son clocher convexe est surmonté d'un campanile. sa chaire est du XVIIIe siècle. L'église héberge en son sein, depuis 1887]
qui sera la fin de notre parcours sur le GR. Nous entrons en ville par la rue de Champfleury, nous gagnons la grande rue, que nous prenons à gauche, nous la suivrons jusqu'à la rue de Gerjus, que nous prenons à gauche, nous la suivrons jusqu'à la rue de la Croix Saint-Vincent que nous prenons à droite, puis à gauche la rue du Gay Paquet. En bout, nous prenons à droite et nous rencontrons de nouveau l’aqueduc de la vanne en souterrain et des panneaux pour les randos du coin. On prend à gauche le long de l’aqueduc, on a une rangé d’arbres de plantés à proximité du chemin. Nous prenons le premier chemin sur la droite en direction des bois, en arrivant à la lisière, nous nous rendons compte que l’agriculteur à oublier qu’il existait un chemin et des sentiers de promenade. Difficile de rejoindre le bois dans le labour. Puis le chemin est difficile à suivre dans les ronces, il est tracé, mais l’été cela doit être impossible. Je sorts du petit bois et me rend compte qu’il y a un panneau avec propriété privé et un dessin de caméra. En effet au milieu de bois en bordure du chemin j’ai vu un cabanons, mais pas vu de fil électrique. Nous entrons à nouveau dans un bois marqué
propriété
privé mais pas de clôture nous arrivons sur la D 223 que nous prenons sur la gauche. Nous
trouvons au carrefour de la route et du chemin des pancartes de petites randos, j’en conclus que
malgré les bois privés, le chemin disparu sous le socle de la charrue, et, peut être une caméra nous avons le droit de passer sur le chemin. Prenons la
D 223 à gauche nous passons la ferme des
Rosny et entrons dans le bois par le chemin de droite jusqu’au carrefour des Haches,
ou nous prenons le chemin plutôt sur la droite (le troisième) on peut prendre
le second mais il ma paru trop monter sur la droite en le prenant on ferra
moins de bitume. De toute façon, ce que l’on ne monte pas dans le bois on le montera par la
route. Je débouche sur le bitume et monte à droite passe les virages puis l’on
prend le chemin sur la gauche le chemin
est bien tracé et nous débouchons sur une autre route que nous prenons à gauche puis
à droite vers la ferme du chapitre. Avant l’entrée de la ferme dont certain bâtiments sont en ruines ou
prochent de la ruine. Nous prenons le chemin de gauche qui contourne la ferme et
nous permet de rejoindre les champs. Nous débouchons sur la D 70 que nous
prenons à droite , un peut avant l’intersection entre la D 143 et D70 nous
prenons à gauche le chemin dans les champs traversons un bois arrivons à
nouveau sur une route, la D 196 que nous coupons et continuons en face. Nous débouchons à
nouveau sur une départementale que nous prenons à gauche (D 143). Nous passons
devant la ferme équestre de Saint Gilles. A la sortie du bois nous prenons à
gauche un chemin longeant l’orée de celui-ci. Nous faisons le tour du champ, sans jamais
pénétrer dans le bois, puis le premier chemin de droite et le premier à gauche
nous descendons vers Pont sur Yonne, nous retrouvons la D que nous suivons
jusqu'à l’aqueduc, la nous prenons le chemin de droite qui passe sous une
arche de l’aqueduc puis la rue du fond
de la croix, jusqu'à l’avenue Aristide Briand que nous prenons sur la gauche nous passons sous
la ligne SNCF prenons la rue de la gare
(continuation de la précédente) et prenons à droite la ruelle du château et à gauche la rue du pont
ou nous arrivons à notre parking.
Des rochers sur cette colline ? |
carrefour deux changements de direction proche l’un de l’autre aucun problème en 2013 le balisage est lisible. En générale cette rando est bien balisée. Nous descendons dans une espèce de ravin et sortons du bois, nous rencontrons à nouveau l’aqueduc de la vanne et nous prenons à gauche. Le GR tourne en angle à 90° le long de l’aqueduc. Pas facile de grimper, puis nous coupons une route goudronnée, on aperçoit le village de Champigny sur Yonne. On a une belle vue sur les collines sénonaises. Par moment, nous apercevons au loin un TGV et des camions c’est l’autoroute A5 et la ligne spécifique du TGV Paris Lyon. Au premier plan dans le creux et le long de l’Yonne c’est la ligne SNCF classique Paris Lyon. Le chemin que nous empruntons est très boueux mais le GR passe sur la droite de l’aqueduc.
Nous quittons celui-ci par le troisième chemin sur la droite. Sur ce chemin nous
trouvons une grotte dans le talus calcaire. Refuge pour des SDF ou terrain de jeu pour les gamins ? Nous entrons dans Champigny sur Yonne, tournons à gauche et retrouvons le balisage de Saint Jacques.
(J'ai réalisé cette rando la semaine de Noël et découvert le lieu de repos du Pere Noël durant sa tournée en Europe. SVP nettoyez vos cheminées avant mon passage........
L’église à de beau vitraux, [L'église Saint-Martin du XIIe siècle & XVIe siècle] le balisage est bien fait en ville pas d’erreur dans les petites rues que nous empruntons. Nous sortons de Champigny sur Yonne par une route goudronnée que nous suivrons
jusqu’à Chaumont.
[Les lieux font partie des possessions des vicomtes de Sens au XIIe siècle. Lors du partage du patrimoine de la dernière vicomtesse Ermensent peu après 1200, Champigny rejoint le lot de la famille des Barres centré sur la seigneurie de Chaumont. La seigneurie de Champigny est apparemment un démembrement durant la seconde phase de la guerre de Cent Ans de la seigneurie de Chaumont.]
Au loin Montereau du moins les immeubles de Surville. En arrivant à chaumont c’est facile, il suffit de suivre les panneaux château
Église de Chaumont |
[Chaumont est perché au sommet d'une colline, blotti au pied de l'église.
On trouve ce nom mentionné pour la première fois en 1112. Les
Seigneurs de ces terres sont les Des Barres. Evrard des Barres, Grand Maître de l’Ordre des Templiers et Baudoin des Barres. Le petit-fils de Guillaume Ier,
Guillaume III des Barres fut celui qui illustra le nom de la famille.
Il fut connu sous le nom de Guillaume de Chaumont. Il fut serviteur du
roi Philippe-Auguste. Il participa notamment à la Croisade en Terre
Sainte de 1190 à 1195 où il se distingue par ses faits d’armes..
Pourquoi ce topo : J'aime bien lire des romans (pas forcement historique mais avec des personnages ayant existés) sur le Moyen Age, les Templiers, les Cathares. Le dernier livre que j'ai lu était l'aventure d'un Templier en Terre Sainte. Il était question d'un certain Evrard vieux templier donnant des conseilles, et d'un guillaume de Chaumont. J'ai toujours cru (je n'avais jamais fait de recherche) que c'était le Chaumont en Haute Marne. Préfecture de la région Champagne Ardenne (22 700 habitants-et 55 km2) Je n'aurai jamais imaginé que je passais régulièrement en voiture devant le village et aujourd'hui le traversant à pied, d'hommes ayant construit l'histoire, ne faiqant que 8 km2 et 606 habitants.
Pourquoi ce topo : J'aime bien lire des romans (pas forcement historique mais avec des personnages ayant existés) sur le Moyen Age, les Templiers, les Cathares. Le dernier livre que j'ai lu était l'aventure d'un Templier en Terre Sainte. Il était question d'un certain Evrard vieux templier donnant des conseilles, et d'un guillaume de Chaumont. J'ai toujours cru (je n'avais jamais fait de recherche) que c'était le Chaumont en Haute Marne. Préfecture de la région Champagne Ardenne (22 700 habitants-et 55 km2) Je n'aurai jamais imaginé que je passais régulièrement en voiture devant le village et aujourd'hui le traversant à pied, d'hommes ayant construit l'histoire, ne faiqant que 8 km2 et 606 habitants.
Le Château était à l’origine situé dans la Garenne, en bas de la colline, et aurait perduré jusqu’au XVIe siècle. Le château actuel, construit en haut de la colline, à quelques mètre de l’Église, est aujourd’hui propriété privée.]
[René Binet fut un architecte, peintre et théoricien, né à Chaumont dans l'Yonne le 14 novembre 1866 et mort à Ouchy (Suisse) le 23 juillet 1911.Le sénonais René Binet a réalisé la porte monumentale, place de la Concorde, pour l’Exposition Universelle de 1900 à Paris.
Commandée en décembre 1896, et construite de mars 1899 à mi-avril 1900, Binet eut plusieurs sources en tête lors de la conception ; des souvenirs d’enfance aux architectures polychrome de Venise, du Traité des couleurs de Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832) aux travaux du biologiste allemand Ernst Haeckel (1834-1919) dont Binet aimait se plonger dans les 50 volumes conservés la bibliothèque du Muséum national d'histoire naturelle de Paris.
Binet voulait réaliser quelque chose « qui n’a jamais été fait en architecture, une architecture de couleur et de lumière ». Ainsi cette porte a été remarquée, non pas par la polychromie en elle-même, mais comme étant la première tentative de domestication de l’électricité au service de la couleur et de l’architecture.
Il est également l'architecte des reconstructions des magasins du Printemps de la mode en 1907. Concernant les autres réalisations (maison de retraite de Couilly-Pont-aux-Dames, ponts, P.T.T., théâtre populaire du Temple, maison Cravoisier à Sens…) Plus de détail dans http://fr.wikipedia.org/wiki/Ren%C3%A9_Binet_%28architecte%29]
(le balisage est bien aussi) Après le château cela ce complique un peu, on se dirige vers l’église (coté parvis) nous en faisons le tour et il faut prendre le petit chemin sur la droite qui descend en face de la bibliothèque. Nous sommes dans un terrain vague, ou nous trouvons le socle d’une croix. Nous descendons derrière les jardins des maisons. En bas nous traversons une rue et prenons en face. Nous trouvons une vieille balise sur un poteau. Nous retrouvons les champs et prenons le deuxième chemin sur la droite, nous nous dirigeons vers Villeblevin [
1 - Le fond alluvial de la vallée de l'Yonne appelé "Pays-Bas", dont l'altitude moyenne est de 55 m. Cette partie du territoire a été exploitée au cours des dernières décennies pour l'extraction du sable sur presque 50 ha. De ce fait, de nombreux plans d'eau subsistent aujourd'hui.
2 - La seconde partie vallonnée se rapproche du plateau du Gâtinais à une altitude de 170m environ et rejoint la RD 606 en pente douce. Le sous-sol est constitué d'une épaisse couche de craie marneuse contenant des rognons de silex. De nombreuses caves sont taillées dans cette craie et des souterrains existent encore, bien qu'aujourd'hui condamnés. Selon des récits recueillis auprès d'habitants de la commune, au début du XXe siècle une partie de la rue derrière le presbytère (actuelle Poste) s'effondra, révélant un souterrain reliant probablement l'église au château. Selon les mêmes sources, un cercueil aurait disparu dans un souterrain lors de sa mise en terre (jusque fin XIXe le cimetière était situé autour de l'église). Sur une période de plusieurs siècles on trouve le nom de la commune sous différentes appellations. La plus ancienne désignation date de la fin du XIe siècle et s'écrit "Villapoplinam", "Villablovinam" ou "Villablovanam". Au fil des siècles le nom a évolué. L'église Saint Médard et Saint Michel dont la haute tour carrée date de 1586 possède 3 portails (fin XVIIIe) encadrés par d'énormes contreforts. Elle possède une triple nef, des arcades ogivales du XVIe et des pilastres toscans. Son clocher convexe est surmonté d'un campanile. sa chaire est du XVIIIe siècle. L'église héberge en son sein, depuis 1887]
qui sera la fin de notre parcours sur le GR. Nous entrons en ville par la rue de Champfleury, nous gagnons la grande rue, que nous prenons à gauche, nous la suivrons jusqu'à la rue de Gerjus, que nous prenons à gauche, nous la suivrons jusqu'à la rue de la Croix Saint-Vincent que nous prenons à droite, puis à gauche la rue du Gay Paquet. En bout, nous prenons à droite et nous rencontrons de nouveau l’aqueduc de la vanne en souterrain et des panneaux pour les randos du coin. On prend à gauche le long de l’aqueduc, on a une rangé d’arbres de plantés à proximité du chemin. Nous prenons le premier chemin sur la droite en direction des bois, en arrivant à la lisière, nous nous rendons compte que l’agriculteur à oublier qu’il existait un chemin et des sentiers de promenade. Difficile de rejoindre le bois dans le labour. Puis le chemin est difficile à suivre dans les ronces, il est tracé, mais l’été cela doit être impossible. Je sorts du petit bois et me rend compte qu’il y a un panneau avec propriété privé et un dessin de caméra. En effet au milieu de bois en bordure du chemin j’ai vu un cabanons, mais pas vu de fil électrique. Nous entrons à nouveau dans un bois marqué
Villeblevin |
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