Etape 11 : Saint Martin du Tertre - Pont sur Yonne 30,1km
En vert la partie réalisée dans les étapes de 1 à 5
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
30,1 5h48 45mn 5,2 4,6 500 +
30,1 5h48 45mn 5,2 4,6 500 +
Carte IGN Trace GPS et Topo sans commentaires
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Avant de partir, un petit point sur les GR que nous avons empruntés :
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Avant de partir, un petit point sur les GR que nous avons empruntés :
- Le GR 13 : Cet
itinéraire part de Fontainebleau pour rejoindre le mont Beuvray, au Sud du
Morvan. (En partie commun avec le GR 654) traversant Auxerre, Vézelay et Avallon, en serpentant dans les
coteaux calcaires couverts de vignes et de cerisiers qui dominent la vallée de
l’Yonne, puis remonte la vallée de la Cure pour pénétrer dans le Parc Naturel
Régional du Morvan.
- Le GR 2 que
nous prendrons à Pont-sur-Yonne pour rejoindre Montereau et se rapprocher de
Fontainebleau. Le GR 2 suit la Seine. Du coté amont, vers Dijon, il descend la vallée de l’Oreuse
pour rejoindre la source de la Seine. Du coté aval le GR chemine tranquillement vers son embouchure au Havre . Une
partie du GR 2 est décrite sur ce
site http://randosacaudos.blogspot.fr/2012/08/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-2.html de Samois au Havre GR 2 étape de 1 à 15 et http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/01/grp-thibaut-de-champagne-etape-11.html?view=magazine Pour l'étape Montereau Vulaine Le petit bout manquant entre Vulaine et Samois se trouve dans l'étape 1 de ce même topo.
balisage GR 654 |
- Le GR 213
assure la liaison entre le GR 2 et le GR 13, de Pont-sur-Yonne et Auxerre,
avec comme fil conducteur la vallée de l’Yonne. Il permet de visiter, Sens,
Villeneuve-sur-Yonne et Joigny.
- Le GR 654 venant de Belgique et se dirigeant vers Saint-Jacques de Compostelle passe par Tonnerre, Chablis, Auxerre et Vézelay. Nous le rencontrerons entre Sens et Pont sur Yonne.
- Le GR 654 venant de Belgique et se dirigeant vers Saint-Jacques de Compostelle passe par Tonnerre, Chablis, Auxerre et Vézelay. Nous le rencontrerons entre Sens et Pont sur Yonne.
- Le GR 132
que nous avons parcouru dans sa totalité entre Montargis (Bois le Roi) à
Chaumot (Villeneuve sur Yonne)
Nous sommes dans les champs et arrivons à Courtois que nous traversons, nous passons devant une école et un ru (le Ru des Salles) ensuite nous venons butter sur une rue, prendre à gauche et nous faisons un virage à 90° à droite, nous passons sous l’autoroute et poursuivons par le chemin de droite GR 213, nous arrivons dans le bois de la Binoche qui est privé. le GR tourne à gauche, nous trouvons des
dans une rue qui monte et nous avons une perspective sur l’église, la mairie et le monument aux morts l'image ma plu, "mais la photo plus que banal". Nous grimpons dans les champs, découvrons l’aqueduc de la vanne Attention à ne pas se laisser embarquer par la descente nous prenons à gauche le long de l’aqueduc de la vanne souterrain, il y a un poteau avec une balise mais aucun signe de virage. Nous suivons l'aqueduc et je me dit que dans quarante kilomètres il y a l’orée de la foret de Fontainebleau et à une petite centaine de kilomètres le réservoir sous le parc de Montsouris.
[Dictionnaire géographique et administratif de la France, Paul Joanne, Hachette, Paris, 1906
Aqueduc de la Vanne
L'Yonne très haute pour Décembre |
- un aqueduc collecteur de plus de 20 km, qui par l'intermédiaire d'aqueducs secondaires et de 5 usines hydrauliques , récemment renforcées d'une usine à vapeur, recueille le débit de toutes les sources et celui de nombreux drains ;
- un aqueduc de 136 km de développement, qui amène à Paris, à 80 m d'altitude, les eaux ainsi rassemblées, et qui, rencontrant sur son parcours des vallées profondes et de longues dépressions du sol, présente 14,5 km d'arcades et 17 km de siphons.
comme à certaines époques elles deviennent trop faibles, on y a ajouté en 1882, comme renfort et comme rechange, une usine à vapeur qui, au moyen d'un aqueduc spécial, peut aider ou suppléer l'une quelconque d'entre elles. Après avoir reçu la conduite de refoulement de la dernière usine, le réseau collecteur, ayant terminé son rôle, verse dans l'aqueduc d'amenée, à l'altitude de 105,70 m, les eaux qu'il a recueillies, soit 110 000 m3 par jour.
Les sources
recueillies par l'aqueduc dans le bassin de la Vanne sont ainsi nommées, de
l'amont à l'aval : source de la Bouillarde, les 3 sources
d'Armentières, les 2 sources Gaudin (à Flacy), la source de Chigy,
la source du Maroy, la source de Saint-Philbert, les 5 sources
de Theil (2 à Malhortie, 3 à Theil, dont une dite Miroir de Theil,
une autre Caprais-Roy, la troisième fontaine du Chapeau), la source
de Noé ; de plus, en un vallon latéral, et plus haut qu'aucune autre,
la source de Cérilly dite la Bime (corruption d'Abime) ;
en tout 16 sources.
En partant
des sources d'Armentières, l'aqueduc longe à distances variables la rive gauche
de la rivière ; il passe à côté des sources Gaudin, voisines du
village de Flacy, laisse sur la rive droite Bagneaux, la ville de
Villeneuve-l'Archevêque, Molinons, Foissy ; puis au moment d'arriver à la source
de Chigy, il franchit en siphon la vallée de la Vanne et reçoit peu après,
en face du village de Chigy, la conduite secondaire dite aqueduc du Maroy,
qui apporte les eaux de plusieurs sources inférieures. Il passe ensuite à
Pont-sur-Vanne, à Malay-le-Roi où un siphon le fait communiquer avec l'aqueduc
de Theil et de Chigy, qui est l'artère de la plupart des sources basses de
la vallée acquises par la ville de Paris. À Mâlay-le-Vicomte, autre siphon de
communication avec l'aqueduc susnommé ; et peu après aqueduc de dérivation
des sources de Cochepies, grandes fontaines jaillissant à 10 km en
droite ligne au sud, non dans la vallée de la Vanne, mais dans un vallon
latéral de la rive droite de l'Yonne, le vallon de Saint-Ange, près
Villeneuve-sur-Yonne ; elles fournissent en moyenne 315 l/s ;
tel mois sec n'en a donné que 190, mais tel mois humide en a versé 458.
Au quartier
de la Croix du Grand-Maître, il est rejoint par l'aqueduc du Loing et du
Lunain, qui lui amène des eux hissées jusqu'à lui par l'usine élévatoire de
Sorques, laquelle est animée par une chute dudit Loing : ces eaux, montées
à la cote 92 m, sont celles des sources de Chaintreauville (236 à
248 l/s) et de la Joie à Saint-Pierre-lès-Nemours, de Villemer
(33 à 76 l/s), de Saint-Thomas (60 l/s), des Bignons et
du Sel à Bourron : toutes fontaines qui donnent en moyenne, par 24
h, 51 000 m3, soit 390 l/s.
L'aqueduc du
Loing et du Lunain est tout du long établi suivant le système des conduites
forcées ou siphon, sans une seule arcade : « ses sections en relief
sont couvertes d'un manteau protecteur de terres gazonnées ».
L'aqueduc de
la Vanne passe à 1,5 km au sud de la ville de Fontainebleau, et à un peu
plus de 2 km au sud du village d'Arbonne ; puis, laissant le bourg de
Milly à 3 km sur la gauche, il franchit le vallon de l'École à
Dannemois,
et laisse à droite Soisy-sur-École, Champcueil et Chevannes, à gauche Mennecy.
La traversée de la vallée de l'Essonne près de Mennecy, à Ormoy, à 5 km au
sud-ouest de Corbeil, ne lui a pas été facile : il a fallu beaucoup de
peine pour asseoir le siphon de passage sur les terrains mous et tourbeux des
deux versants de cette rivière limpide.
Suivant
maintenant, tantôt d'assez près, jamais de bien loin, la rive gauche de la
Seine, l'aqueduc de la Vanne rencontre Lisses, Courcouronnes, Grigny, Viry,
puis franchit en siphon le val de l'Orge à Savigny, et court sur le
plateau entre l'Orge et la Bièvre. Morangis, Paray, Rungis, l'avoisinent :
il passe ensuite au bas du fort des Hautes-Bruyères, et se porte, de colline à
colline, au-dessus de la Bièvre par 77 arcades, supportées en partie par les
arcades monumentales du vieil aqueduc d'Arcueil.
Arcueil,
c'est déjà Paris. L'eau de la Vanne s'arrête à Paris dans le réservoir de
Montrouge ou réservoir de Montsouris, à côté du parc de
Montsouris : on l'y emmagasine dans des bassins ayant ensemble 3 ha de
surface et près de 250 000 m3 de capacité ; et, de là, sa
pression naturelle la verse dans une grande partie de Paris, à tous les étages
des maisons. Le réservoir est quadrangulaire ; « il est couvert,
complètement édifié en maçonnerie de meulière et ciment, et composé de deux
étages superposés, divisés chacun en deux parties égales, ce qui forme 4
bassins indépendants. Il a coûté 7 millions de francs, dont 2 millions pour
l'acquisition des terrains et la consolidation des carrières » qui gercent
ici le sous-sol de la capitale.
[Dictionnaire
géographique et administratif de la France, Paul Joanne, Hachette, Paris,
1906]
Vous trouverez d'autres descriptions sur ses sites :{ http://keblo1515.free.fr/souterrinterdit/montsouris.htm ; http://www.eaudeparis.fr/uploads/tx_edpevents/DPAqueducsLoingvdef.pdf }
Deux chevreuils |
tournons à gauche dans ce
village pour reprendre un chemin dans les champs. (Sur la gauche, nous
apercevons [dans le brouillard] les deux constructions de tout a l’heure) A la
lisière du petit bois soit le champs c’est agrandit soit le bois prend un peut
plus de place, mais le chemin a
considérablement diminué. Le chemin qui contournais le bois à disparu
sous le socle de la charrue alors je prends le chemin traversant ce dernier qui
ne semble pas interdit. A la sortie du bois plus de chemin je prends sur la
droite suis la lisière sur quelques mètres et je retrouve mon itinéraire à la cote 177,7 ,
je prends à gauche. Nous arrivons à "Le Fay" traversons le village,
puis "Le Vau". Nous retrouvons à la sortie de ce village les champs, aucune
difficulté dans la suite du parcours, champs, lisières de bois et de nouveau les
champs. Pont sur Yonne

Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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Etape 7 Etape 12
Etape 8 Etape 13

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