mardi 3 juin 2014

Boucle empruntant les GR 13-132-213-et 2 : Etape 11 Saint Martin du Tertre - Pont sur Yonne

Etape 11 : Saint Martin du Tertre - Pont sur Yonne 30,1km 

 En vert la partie réalisée dans les étapes de 1 à 5

 KM     Temps    Arret     V/d         V/g         Dénivelé

 30,1     5h48      45mn      5,2         4,6            500 +


 Carte IGN                      Trace GPS et Topo sans commentaires   

Trace Randogps                  Le code mobile de cette randonnée est b304770

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Avant de partir, un petit point sur les GR que nous avons empruntés :
- Le GR 13 : Cet itinéraire part de Fontainebleau pour rejoindre le mont Beuvray, au Sud du Morvan. (En partie commun avec le GR 654) traversant Auxerre,  Vézelay et Avallon, en serpentant dans les coteaux calcaires couverts de vignes et de cerisiers qui dominent la vallée de l’Yonne, puis remonte la vallée de la Cure pour pénétrer dans le Parc Naturel Régional du Morvan.

- Le GR 2 que nous prendrons à Pont-sur-Yonne pour rejoindre Montereau et se rapprocher de Fontainebleau. Le GR 2 suit la Seine. Du coté amont, vers Dijon, il descend la vallée de l’Oreuse pour rejoindre la source de la Seine. Du coté aval le GR chemine tranquillement vers son embouchure au Havre . Une partie du GR 2 est décrite sur ce site http://randosacaudos.blogspot.fr/2012/08/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-2.html de Samois au Havre GR 2 étape de 1 à 15 et http://randosacaudos.blogspot.fr/2013/01/grp-thibaut-de-champagne-etape-11.html?view=magazine  Pour l'étape Montereau Vulaine Le petit bout manquant entre Vulaine et Samois se trouve dans l'étape 1 de ce même topo.
balisage GR 654

- Le GR 213 assure la liaison entre le GR 2 et le GR 13, de Pont-sur-Yonne et Auxerre, avec comme fil conducteur la vallée de l’Yonne. Il permet de visiter, Sens, Villeneuve-sur-Yonne et Joigny.

- Le GR 654 venant de Belgique et se dirigeant vers Saint-Jacques de Compostelle passe par Tonnerre, Chablis, Auxerre et Vézelay. Nous le rencontrerons entre Sens et Pont sur Yonne.
- Le GR 132 que nous avons parcouru dans sa totalité entre Montargis (Bois le Roi) à Chaumot (Villeneuve sur Yonne)















Départ : Saint Martin du Tertre, je me gare sur le parking de l’école primaire, nous prenons la rue grande puis sur la droite la rue de la pointe à l’Aiguillon, nous arrivons sur la D 26 que nous prenons sur la gauche nous passons les rues des bœufs et Sublaines (elles sont l’une en face de l’autre) et nous retrouvons le GR 213 que nous prenons à droite. 
Nous sommes dans les champs et arrivons à Courtois que nous traversons, nous passons devant une école et un ru (le Ru des Salles) ensuite nous venons butter sur une rue, prendre à gauche et nous faisons un virage à 90° à droite, nous passons sous l’autoroute et poursuivons par le chemin de droite GR 213, nous arrivons dans le bois de la Binoche qui est privé. le GR tourne à gauche, nous trouvons des pancartes d’interdictions de pénétrer dans les sous bois, de ramasser des champignons, par endroit le balisage à été caché par de la peinture fluo, puis le sentier tourne à droite nous sortons du bois (comme le loup) et arrivons dans des champs très vallonnées, nous arrivons à Villenavotte, nous passons sous la ligne de chemin de fer et suivons une rue qui nous emmène en bordure de l’Yonne, je loupe le balisage qui me fait remonter vers le pont permettant de franchir la ligne SNCF. Et je fais le détour par un chemin me faisant découvrir des petites maisons de vacances dont certaine sont des masures à l’abandons mais d’autres très bien aménagés. Nous remontons vers Villeperrot  passons derrière l’église
dans une rue qui monte et nous avons une perspective sur l’église, la mairie et le monument aux morts l'image ma plu, "mais la photo plus que banal". Nous grimpons dans les champs, découvrons l’aqueduc de la vanne Attention à ne pas se laisser embarquer par la descente nous prenons à gauche le long de l’aqueduc de la vanne souterrain, il y a un poteau avec une balise mais aucun signe de virage. Nous suivons l'aqueduc et je me dit que dans quarante kilomètres il y a l’orée de la foret de Fontainebleau et à une petite centaine de kilomètres le réservoir sous le parc de Montsouris. 
[Dictionnaire géographique et administratif de la France, Paul Joanne, Hachette, Paris, 1906

Aqueduc de la Vanne



Grand aqueduc du bassin de la Seine, amenant à Paris des eaux prises à 110 km en moyenne, au Sud-Est de la capitale, en Bourgogne, dans le département de l'Yonne (et, subsidiairement, en Seine-et-Marne) ; eaux qui arrivent à leur destination par quatre départements (Yonne, Seine-et-Marne, Seine-et-Oise et Seine) [Depuis 1964 : Yonne, Seine-et-Marne, Essonne, Val-de-Marne, Paris]. Abstraction faite des sources de Cochepies (Yonne) et de celles des environs de Nemours (Seine-et-Marne), notamment de la superbe fontaine de 
L'Yonne très haute pour Décembre
Chaintreauville, l'aqueduc s'approvisionne à des niveaux très différents du sien. « Une moitié à peu près du débit, dit l'ingénieur Couche (Les Eaux de Paris), est fournie par trois sources hautes qui pénètrent directement dans l'aqueduc, et l'autre moitié par une douzaine de sources basses, dont il est nécessaire de relever les eaux par machines ; la dérivation forme donc un ensemble plus compliquée que celle de la Dhuis. Elle comprend : 
  1. un aqueduc collecteur de plus de 20 km, qui par l'intermédiaire d'aqueducs secondaires et de 5 usines hydrauliques , récemment renforcées d'une usine à vapeur, recueille le débit de toutes les sources et celui de nombreux drains ;
  2. un aqueduc de 136 km de développement, qui amène à Paris, à 80 m d'altitude, les eaux ainsi rassemblées, et qui, rencontrant sur son parcours des vallées profondes et de longues dépressions du sol, présente 14,5 km d'arcades et 17 km de siphons.

« L'aqueduc collecteur a pour point de départ la grande source d'Armentières (formée de trois jaillissements distincts), dont le niveau (111 m) a déterminé le sien. Cette source, qui est la principale de la vallée, et dont le débit a encore été augmenté par un drainage pratiqué souterrainement dans la craie, donne à l'étiage environ 20 000 m3 par jour, soit à peu près 230 litres par seconde. Elle est recueillie dans un grand bassin voûté qui, avec les galeries de captation, forme un ensemble auquel l'abondance et l'extrême limpidité des eaux donnent un aspect caractéristique. À la source d'Armentières vient se réunir une source moins importante, qu'une ramification secondaire va chercher à 1 500 m en amont, et qui forme la tête de la dérivation : c'est la source de la Bouillarde.

« Muni de cette première alimentation, l'aqueduc se dirige vers l'aval avec une pente très inférieure à celle de la rivière. À 4 km de distance, il est déjà notablement au-dessus du thalweg, et par conséquent les sources qu'il rencontre à partir de ce point dans la vallée de la Vanne doivent être relevées. Mais, en même temps, il passe devant un vallon secondaire vers l'extrémité duquel vient sourdre la plus élevée des sources captées, la source de Cérilly, qui, par son importance, est la seconde de la dérivation. Le débit de cette grande source (72 à 311 l/s) lui est amené par conduite forcée avec 22 m de charge. Cette chute représente en temps ordinaire une force motrice suffisante pour relever les deux premières sources basses, au moyen de deux usines élévatoires... Les autres sources basses sont réparties, par des aqueducs secondaires, entre trois usines mues par les eaux de la Vanne, dont Paris a acheté les chutes. Ces rois usines, espacées sur 8 km, représentent ensemble une force effective de 150 chevaux et envoient leurs eaux à l'aqueduc par des conduites spéciales de refoulement, à des hauteurs respectives de 15, 19 et 21 m. Enfin,
  comme à certaines époques elles deviennent trop faibles, on y a ajouté en 1882, comme renfort et comme rechange, une usine à vapeur qui, au moyen d'un aqueduc spécial, peut aider ou suppléer l'une quelconque d'entre elles. Après avoir reçu la conduite de refoulement de la dernière usine, le réseau collecteur, ayant terminé son rôle, verse dans l'aqueduc d'amenée, à l'altitude de 105,70 m, les eaux qu'il a recueillies, soit 110 000 m3 par jour.

« Ainsi, l'ensemble des ouvrages uniquement consacrés à réunir les sources qui fournissent ce total comprend en résumé : une douzaine de bassins de captation, et tout un réseau de drains ; 5 usines hydrauliques et une usine à vapeur ; enfin, près de 45 km d'aqueducs, dont un collecteur principal présentant sur son parcours 25 souterrains, 800 m d'arcades et 1 400 m de grand siphon. Les eaux ainsi rassemblées, reste à leur faire parcourir, avec les 25,70 m de pente dont on dispose pour les amener à la cote 80, les 136 km qui les séparent de Paris. »

Les sources recueillies par l'aqueduc dans le bassin de la Vanne sont ainsi nommées, de l'amont à l'aval : source de la Bouillarde, les 3 sources d'Armentières, les 2 sources Gaudin (à Flacy), la source de Chigy, la source du Maroy, la source de Saint-Philbert, les 5 sources de Theil (2 à Malhortie, 3 à Theil, dont une dite Miroir de Theil, une autre Caprais-Roy, la troisième fontaine du Chapeau), la source de Noé ; de plus, en un vallon latéral, et plus haut qu'aucune autre, la source de Cérilly dite la Bime (corruption d'Abime) ; en tout 16 sources.

« Les travaux de captation, entrepris à partir de 1868, ont augmenté le débit de toutes ces sources en abaissant leur niveau. En outre, comme l'a fait remarquer Belgrand, l'altitude exerce une influence sur leur régime. Ainsi, en considérant seulement les grandes sources, Armentières, Saint-Philbert, le Miroir de Theil et Noé, la première, située à 23 m environ au-dessus des trois autres, a varié du printemps à l'automne, pendant les années 1866 et 1867, dans les rapports de 666 à 332 et de 907 à 399. Les rapports des débits de la plus variable des trois autres sources, le Miroir de Theil, sont notablement plus petits : ils sont, pour ces mêmes années, de 186 à 135 et de 203 à 145. » (Daubrée, Les Eaux souterraines)

En partant des sources d'Armentières, l'aqueduc longe à distances variables la rive gauche de la rivière ; il passe à côté des sources Gaudin, voisines du village de Flacy, laisse sur la rive droite Bagneaux, la ville de Villeneuve-l'Archevêque, Molinons, Foissy ; puis au moment d'arriver à la source de Chigy, il franchit en siphon la vallée de la Vanne et reçoit peu après, en face du village de Chigy, la conduite secondaire dite aqueduc du Maroy, qui apporte les eaux de plusieurs sources inférieures. Il passe ensuite à Pont-sur-Vanne, à Malay-le-Roi où un siphon le fait communiquer avec l'aqueduc de Theil et de Chigy, qui est l'artère de la plupart des sources basses de la vallée acquises par la ville de Paris. À Mâlay-le-Vicomte, autre siphon de communication avec l'aqueduc susnommé ; et peu après aqueduc de dérivation des sources de Cochepies, grandes fontaines jaillissant à 10 km en droite ligne au sud, non dans la vallée de la Vanne, mais dans un vallon latéral de la rive droite de l'Yonne, le vallon de Saint-Ange, près Villeneuve-sur-Yonne ; elles fournissent en moyenne 315 l/s ; tel mois sec n'en a donné que 190, mais tel mois humide en a versé 458.

Ici la conduite s'éloigne définitivement de la Vanne, pour se rapprocher de la rive droite de l'Yonne à partir du village de Soucy. Elle ne peut rester de ce côté de la rivière jusqu'à son confluent avec la seine, car il lui faut éviter la traversée de la large plaine de Montereau ; tournant donc brusquement à l'Ouest, elle franchit la rivière Yonne à Villeperrot , à 2,5 km en amont de Pont-sur-Yonne, sur un pont-aqueduc de 1 500 m, qui offre un caractère frappant de légèreté, puis elle se développe sinueusement sur les collines de la rive gauche, en s'écartant lentement de l'Yonne, par ou près Pont-sur-Yonne, Villemanoche, Champigny-sur-Yonne, Chaumont, Villeblevin, La Brosse-Montceaux, Montmachoux, Noisy-le-Sec [aujourd'hui Noisy-Rudignon], Ville-Saint-Jacques ; après quoi, descendant dans la vallée du Loing, l'aqueduc franchit cette rivière et le canal de navigation qui en longe la rive droite sur un pont de moindres dimensions que celui de l'Yonne, mais qui, à part cela, lui ressemble fort ; puis il passe à une assez grande hauteur au dessus du chemin de fer de Paris à Clermont.

Il serpente ensuite dans la forêt de Fontainebleau, « où plus de 5 km de grandes arcades alternent avec 6 km de souterrains : ceux-ci ont été très difficiles à creuser, à cause de la nature du sol, qui est sable pur et grès ». L'aqueduc de la Vanne traverse les sables de Fontainebleau pendant 31 km, à partir de la vallée du Loing. Ce terrain est tellement perméable que le tracé n'y rencontre aucun ruisseau ; il franchit cependant plusieurs dépressions, celles des Sablons, de la Croix du Grand-Maître, du Vert-Galant, ou même des vallées assez profondes, telles que celles de la route d'Orléans, des Rochers de la Goulotte, d'Arbonne, de Montrouget.

Au quartier de la Croix du Grand-Maître, il est rejoint par l'aqueduc du Loing et du Lunain, qui lui amène des eux hissées jusqu'à lui par l'usine élévatoire de Sorques, laquelle est animée par une chute dudit Loing : ces eaux, montées à la cote 92 m, sont celles des sources de Chaintreauville (236 à 248 l/s) et de la Joie à Saint-Pierre-lès-Nemours, de Villemer (33 à 76 l/s), de Saint-Thomas (60 l/s), des Bignons et du Sel à Bourron : toutes fontaines qui donnent en moyenne, par 24 h, 51 000 m3, soit 390 l/s.

L'aqueduc du Loing et du Lunain est tout du long établi suivant le système des conduites forcées ou siphon, sans une seule arcade : « ses sections en relief sont couvertes d'un manteau protecteur de terres gazonnées ».

L'aqueduc de la Vanne passe à 1,5 km au sud de la ville de Fontainebleau, et à un peu plus de 2 km au sud du village d'Arbonne ; puis, laissant le bourg de Milly à 3 km sur la gauche, il franchit le vallon de l'École à 
Dannemois, et laisse à droite Soisy-sur-École, Champcueil et Chevannes, à gauche Mennecy. La traversée de la vallée de l'Essonne près de Mennecy, à Ormoy, à 5 km au sud-ouest de Corbeil, ne lui a pas été facile : il a fallu beaucoup de peine pour asseoir le siphon de passage sur les terrains mous et tourbeux des deux versants de cette rivière limpide.

Suivant maintenant, tantôt d'assez près, jamais de bien loin, la rive gauche de la Seine, l'aqueduc de la Vanne rencontre Lisses, Courcouronnes, Grigny, Viry, puis franchit en siphon le val de l'Orge à Savigny, et court sur le plateau entre l'Orge et la Bièvre. Morangis, Paray, Rungis, l'avoisinent : il passe ensuite au bas du fort des Hautes-Bruyères, et se porte, de colline à colline, au-dessus de la Bièvre par 77 arcades, supportées en partie par les arcades monumentales du vieil aqueduc d'Arcueil.

Arcueil, c'est déjà Paris. L'eau de la Vanne s'arrête à Paris dans le réservoir de Montrouge ou réservoir de Montsouris, à côté du parc de Montsouris : on l'y emmagasine dans des bassins ayant ensemble 3 ha de surface et près de 250 000 m3 de capacité ; et, de là, sa pression naturelle la verse dans une grande partie de Paris, à tous les étages des maisons. Le réservoir est quadrangulaire ; « il est couvert, complètement édifié en maçonnerie de meulière et ciment, et composé de deux étages superposés, divisés chacun en deux parties égales, ce qui forme 4 bassins indépendants. Il a coûté 7 millions de francs, dont 2 millions pour l'acquisition des terrains et la consolidation des carrières » qui gercent ici le sous-sol de la capitale.

En somme : des eaux « d'une limpidité parfaite, d'une température constante de 11° à 12°, gardées à l'abri de toute altération », prises à diverses altitudes, la plus grande étant de 133 m ; une section permettant le passage de 130 000 m3 par jour ou 1 500 l/s, 136 km sans les canaux d'amenée, les drains, la conduite de Cochepies et celle des eaux de Chaintreauville près Nemours, de Villemer et de Saint-Thomas près Moret ; 17 km de siphons, 14 500 m d'arcades : tel est ce grand ouvrage, décrété le 19 décembre 1866, sur les plans de l'illustre ingénieur Belgrand, achevé en 1875 et constamment perfectionné à partir de 1879. Il a coûté, ces améliorations non comprises, et sans le réservoir et les conduites d'eau dans Paris, une somme d'environ 40 millions de francs.

[Dictionnaire géographique et administratif de la France, Paul Joanne, Hachette, Paris, 1906] 
Vous trouverez d'autres descriptions sur ses sites :
{ http://keblo1515.free.fr/souterrinterdit/montsouris.htm ; http://www.eaudeparis.fr/uploads/tx_edpevents/DPAqueducsLoingvdef.pdf }
Nous passons devant deux constructions servant à l’aqueduc puis nous passons devant un puits (ou un trop plein de l'aqueduc) et sur la grille de protection découvrons les balises du GR 654 (encore inconnu sur la carte IGN). j'ai bien aimé ' ce puits' et cette balise..... en pensant aux pèlerins équipés d'un petit sac en bandoulière, d'un bourdon, de sabots avec leur gourdes en peau de mouton : vide. pouvoir se désaltérer sur ce long parcours. Il faut une petite bouteille et un long fil pour atteindre l'eau, et puis entre nous j'aurai pas confiance. Faut rêver un peu. Nous arrivons à Pont sur Yonne. Je fais un petit détour vers le centre ville, l’arche du vieux pont, l’église. Nous rencontrons le GR 2 (fin du GR 213) Je regrette qu'il n'y est pas de panneaux d'informations. je remonte par la rue du guichet retrouve après le pont de la SNCF le balisage du GR que je suis, sur la droite, puis nous grimpons sur la gauche nous laissons le chemin de droite (le balisage est après l’intersection). Poursuivons jusqu’à l’aqueduc que nous suivons sur la gauche. Fin de notre itinéraire avec balisage. Descendons vers l’aqueduc traverser la D143 prendre la petite route sur la gauche (ne pas suivre l’aqueduc nous tombons dans un cul de sac et le trop plein de l’aqueduc. Nous serpentons dans des petites maisons et grimpons vers les immeubles. En haut nous prenons la rue de la fosse du cierge sur la gauche, puis à droite la rue de Myremy, nous suivons la route jusqu'à Myremy 
Deux chevreuils
tournons à gauche dans ce village pour reprendre un chemin dans les champs. (Sur la gauche, nous apercevons [dans le brouillard] les deux constructions de tout a l’heure) A la lisière du petit bois soit le champs c’est agrandit soit le bois prend un peut plus de place, mais le chemin a  considérablement diminué. Le chemin qui contournais le bois à disparu sous le socle de la charrue alors je prends le chemin traversant ce dernier qui ne semble pas interdit. A la sortie du bois plus de chemin je prends sur la droite suis la lisière sur  quelques mètres et je retrouve  mon itinéraire à la cote  177,7 ,             
je prends à gauche. Nous arrivons à "Le Fay" traversons le village, puis "Le Vau". Nous retrouvons à la sortie de ce village les champs, aucune difficulté dans la suite du parcours, champs, lisières de bois et de nouveau les champs.                                                              Pont sur Yonne
              

Nous retrouvons l’autoroute et le GR 213, passons dessous retraversons le village de Courtois dans le sens inverse de se matin débouchons sur la D26, nous la prenons à droite puis le premier chemin sur la gauche balisage GR 213 et le balisage du GR 654 Saint jacques de Compostelle, nous repartons dans les champs pour boucler correctement ce parcours avec le précédent. En ville nous arrivons par la rue de la grande ruelle, en bout à droite rue du clos romain puis à gauche la grande rue jusqu'à l’école et notre parking.   

 


Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html

 Les autres Etapes
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Etape 8    Etape 13


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