Pour cette Promenade, nous partons au porte de l'Yonne et de l'Aube, autour des Aqueducs d’Armentières et de Cérilly.
Dans mon cycle de la Vanne à la Dhuys, je vais vous emmener en promenade autour des deux aqueducs. Parfois en les suivant, parfois l’aqueduc ne servira que de fil rouge et, nous fera découvrir les paysages qu’ils traversent. Depuis l’école ou j’ai appris que les Romains construisaient des aqueducs ou l’eau parcourait des kilomètres en traversant, collines et vallées par simple gravité, j’ai toujours été subjugué par ses ouvrages visible ou invisible amenant ‘’la vie’’ dans les villes ou l’eau manquait et tout cela sans machines infernales. Pourquoi Paris avait il besoin de ses aqueducs. Pour alimenter La ville en eau ‘’propre’’ afin d’éviter les maladies. (Le choléra, aussi appelé “maladie des mains sales”, est causé par la bactérie Vibrio cholerae. Elle se transmet par la consommation d’aliments ou d’eau contaminée par les selles de personnes infectées. Pour avoir de l’eau propre, il faut aller la chercher loin. Aqueduc de la Vanne au sud, de la capitale long de 156 km. Aqueduc de la Dhuys (en souterrain) 129 km à l’Est de la capitale, aqueduc de l’Avre 175 km à l’ouest de Paris. https://randosacaudos.blogspot.fr/2016/01/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-11.html et étape 7 RLPT Etape 8
https://randosacaudos.blogspot.fr/2012/10/randonnee-le-plus-loin-possible-gr-2_4.html
Vous trouverez si cela vous intéresse l’histoire de l’eau à Paris sur le site ; https://www.water-quality-journal.org/articles/wqual/pdf/1996/02/wqual1996272p97.pdf
http://ruedeslumieres.morkitu.org/apprendre/aqueducs/index.html
Pour ne pas alourdir le contenu, je ne vous mets pas tout les détails des aqueducs vous les trouverez dans mes articles d’écrivant mes autres promenades de La vanne à la Dhuis. Je vous mets uniquement les liaisons.
Topo sur la Vanne : https://france3-regions.francetvinfo.fr/paris-ile-de-france/paris/decouverte-secrets-eaux-paris-ile-france-aqueduc-arcueil-1660403.html
https://www.paristoric.com/index.php/paris/inclassables/913-l-alimentation-en-eau-de-paris
http://damien.jullemier.pagesperso-orange.fr/vsj/aqueduc-vanne.htm
Carte OpenStreet Trace GPS & Topo sans Commentaires Trace Randogps
Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici
Le code mobile de cette randonnée est b423197
KM Temps Arret V/d V/g Dénivelé
24,5 4h20 25 5,7 5,2 466+
Pour cette vingt-quatrième promenade je pars de Foissy sur Vanne dans l’Yonne
Pour si rendre : Foissy sur Vanne se trouve sur la D 660 route de Sens à Troyes. Nous trouvons un parking autour de l’église. Autoroute A5 sortie 19.
Le finage appartient avant 1150 à la fraction méridionale de la vaste seigneurie de Trainel qui s'étend de la Seine à la Vanne. Des branches cadettes de ces puissants féodaux s'y installent à plusieurs reprises de 1232 à 1372. Cette branche rayonne jusqu'à Villeneuve-l'Archevêque, Pouy, Mauny (Bagneaux). Pour autant, un lignage plus modeste, portant le nom du village, et dans la dépendance des Trainel, vit sur place et tient un rang chevaleresque. Ces chevaliers de Foissy n'ont pas de liens connus avec la famille de serviteurs du duc de Bourgogne connue depuis le XIVe siècle. Les Trainel voient leur puissance s'effondrer progressivement de 1290 à 1360. Ce recul d'influence se mesure avec la perte de leur château de Villeneuve-l'Archevêque. La famille des chevaliers de Courmononcle détient la seigneurie au XIVe siècle. À la fin de la guerre de Cent Ans, la seigneurie de Foissy est fractionnée en trois seigneuries. Une part de celle de Foissy est détenue par des bourgeois de Sens : les Hodoart et leurs descendants de 1528 à 1655. Deux petites seigneuries, sont situées sur la rive gauche de la Vanne : celle de Milly, est connue de 1526 à 1713 ; et celle de Monthodoart de 1620 à 1713. Une autre part de la seigneurie de Foissy, à laquelle est jointe la terre des Clérimois, passe des Piedefer (Parisiens) aux
Briscadiou (Provençaux) et du Choquet de 1493 à 1588. Le village de Foissy est fortifié dès 1563 comme de nombreux autres de la région, en raison des désastres de la politique de François Ier. Pour autant, l'aspect urbain restera très modeste. La situation sur le grand chemin de Troyes à Sens vaut la visite dévastatrice de toutes les armées en mouvement, en particulier durant les guerres civiles, dites de religion. Bénéficiant de très hautes charges au sein de l'Etat (intendances, première président du parlement de
Grenoble), la famille de Bérulle, originaire de Rigny-le-Ferron, acquiert la seigneurie de Foissy et la conserve de Louis XIV à Louis XVIII. Sous l'Ancien Régime, le village ne porte que le nom de Foissy, sans mention de la rivière qui coupe le finage en deux. En 1888, la commune des Clérimois est créée par démembrement de Chigy et de Foissy-sur-Vanne. Wikipédia]. Hier en traversant ce village je ne pensais pas que celui-ci était aussi important, les tours que nous apercevons doivent dater des fortifications, malheureusement ce village est vraiment mal situé, après les armées d’invasion c’est une armée de camions qui traversent le village. L’autoroute étant gratuite jusqu’à Montereau les camions ne l’emprunte pas pour se rendre à Troyes.
Longeons la D 660 (grande rue, jusqu’à la tour restant de la fortification. Revenons vers le monument aux morts et prenons la rue des bergeries à l’angle de la place avec la seconde tour de fortification (Voici un lien avec l’histoire de Foissy, de 1144 à 1944 https://patrimoine-vanne.info/foissy-sur-vanne/chronologie-foissy.html). Sortons du village, nous sommes dans les champs et arrivons au cimetière qui se trouve très éloigné du village. Prenons le chemin sur la gauche passant devant la Croix Saint Vincent 1895, le paysage est légèrement vallonné. Laissons un chemin sur la droite,
poursuivons tout droit. Nous débouchons sur la D 46 que nous prenons à droite. Laissons un premier chemin sur la gauche, poursuivons le bitume, prenons le second montant vers le bois. Longeons sa lisière, le chemin après un angle d’équerre sur la gauche traverse la corne de ce dernier, longe de nouveau sa lisière avant de rentrer de nouveau dans le bois pour déboucher dans le haut d’un champ. Prenons le chemin de gauche (le chemin de droite se terminant un peu plus haut à l’orée du bois). Nous débouchons sur une petite route bitumée se nomment la Pente du Salmon que nous prenons à droite. Nous sommes dans la Vallée des Caves. Nous arrivons à des bosquets d’arbres cachant quelques maisons isolées, prenons le chemin de droite à l’angle de l’une d’elle, traversons le bosquet et nous voici de nouveau dans
les champs, nous grimpons un peu (une centaine de mètres) et débouchons de nouveau sur la D 46 que nous prenons à gauche, cela monte toujours. Nous arrivons à la Chapelle Saint Léonard avec des tuiles vernissées [Chapelle du XVI siècle, blottie dans la forêt de la Chesnée, et totalement rénovée en 2017.
Cette chapelle possède en particulier une toiture en tuiles vernissées sur le versant sud, un porche en forme de caquetoire, et une mosaïque sur le sol de celui-ci. Construite par les moines de l'Abbaye de Vauluisant, la première mention de la Chapelle remonte au 15 septembre 1637, elle était à l'époque une desserte relevant du Seigneur de la Tournerie. Blottie dans les bois au point le plus haut de la région de Sens, elle desservait les fermes des alentours (Le Colombier, La Chesnée, Villeguillon, Montdogat), ainsi que le hameau Les Clérimois. Dédiée à Saint-Léonard de Noblat, la Chapelle avait une certaine renommée grâce à la proximité d'une fontaine guérissante. Bien modeste, l'édifice abritait une statut en bois de St Léonard avec deux captifs à ses pieds implorant leur délivrance. Proche de la Chapelle, la découverte de trois ferriers et 18 bas-fourneaux montre une activité sidérurgique intense en ce lieu durant l'antiquité. La Chapelle, qui n'était plus utilisée depuis 50 ans environ, a été vandalisée dans les années 1990 avec de profondes plaies dans les murs et la toiture. Après la remise en état, de nouveaux désordres ont été constaté en 2015, en
particulier le roulement de la charpente qui risquait d'entraîner à cours terme la ruine de l'édifice. La commune de Clérimois avec le concours de l'état, de la région, du département et de la fondation du Patrimoine a réussi le pari d'une restauration complète. https://www.clerimois.fr/histoire]. Revenons sur nos pas et prenons le chemin sur la droite après un bosquet de charmille qui deviendra bois dans quelques années. Nous descendons en suivant la lisière du bois, laissons un chemin sur la droite, le chemin fait un angle d’équerre sur la droite, un peu plus loin il fait le même angle sur la gauche, nous descendons vers le vallon des caves et arrivons à la ferme du même nom. Prenons la route sur la droite. Laissons les chemins avant le virage de la route
et au milieu de celui-ci prenons le chemin sur la gauche, nous grimpons un peu dans les champs. Nous arrivons devant un bois, laissons les chemins longeant sa lisière de droite et de gauche, poursuivons tout droit. Nous débouchons sur un chemin formant Té prenons à droite, puis le premier chemin sur la gauche, il fait un coude au niveau d’un bois. Poursuivons avec une alternative de bois et de champs, et débouche sur un chemin formant Té que nous prenons à droite, nous débouchons sur la petite route menant à la ferme de Belle vue au niveau de la croix de la Ruelle d’Hausserie (Je n’ai pas trouvé de Croix).
Prenons la route à gauche. Nous sommes sur la butte et avons un beau paysage sur la Bourgogne vallonnée. Si vous regardez des images de 2009 vous n’y verrez pas les éoliennes. Passons les bâtiments agricoles de Belle vue, Le lieu est en effet jolie on y aperçoit les vallons de la Bourgogne, dépassons le château d’eau. La route descend, et arrivons devant un bosquet nous trouvons sur la droite un chemin longent la lisière du bois, descendons dans les champs et débouchons sur l’aqueduc de la vanne que nous suivons sur la gauche. Laissons un petit chemin sur la droite, poursuivons le chemin de l’aqueduc, coupons la route des Clermois, (faire un esse gauche-droite). Poursuivons en direction des morceaux d’aqueduc. Non il n’est pas cassé c’est le Siphon de chigny [Un aqueduc permet d'obtenir de l'eau courante et assez abondante sans pompe. L'eau descend naturellement par le chemin où cela descend le plus (la ligne de plus grande pente, ou talweg), et surtout ne monte jamais les
pentes. Pour la rendre disponible sans pompe dans des endroits plus élevés que le fond d'une rivière, il faut la capter dans un endroit plus élevé en altitude et lui faire suivre un chemin qui n'est pas son chemin naturel, il faut créer un chemin artificiel. Pour cela un aqueduc est construit sur un itinéraire qui longe le plus souvent les flancs de colline, et il est nécessaire en certains points de franchir les obstacles que sont les creux et les bosses. Pour franchir les bosses, on fait un tunnel ; et pour traverser les creux, on construit un pont (dit « pont-aqueduc » ou « pont d'aqueduc »). La pente de la canalisation doit être la plus régulière possible malgré tous les obstacles. En violation du principe de l'eau qui descend naturellement, de nombreux aqueducs utilisent le principe du siphon (et ce
depuis l'époque romaine) pour franchir des parties basses, ce qui permet d'éviter de construire des ponts trop élevés ou trop longs. Dans ces siphons, l'eau est sous pression dans une conduite étanche, par exception puisque ce qui caractérise les aqueducs et qui est le cas sur la plus grande partie de leur longueur est que l'eau s'écoule dans un canal et n'est pas sous pression. (On appelle cela un écoulement à surface libre). Cette technique est néanmoins limitée par la pression que les tuyaux utilisés peuvent supporter. C'est seulement au XIXe siècle qu'il y a eu des progrès importants dans la
résistance des canalisations construites, lorsque les tuyaux en fonte sont devenus courants. Principe ; L'ouvrage est composé d'un réservoir de chasse en amont, et d'un réservoir de fuite en aval ; ce dernier est placé plus bas que le réservoir de chasse pour permettre le fonctionnement en vases communicants. L'ouvrage maçonné supportant la conduite, est en général constitué d'un pont à arcades ; il permet de gagner un peu de hauteur et donc de limiter la pression de l'eau circulant dans la conduite. Il est plus facile à construire et moins couteux que le pont-aqueduc qu'il aurait fallu ériger à sa place. Les conduites des ponts-aqueducs contemporains sont en fonte, mais les premières conduites étaient faites d'un assemblage de pierres percées, taillées pour s'emboîter bout à bout (Aspendos, Laodicée du Lycos, Patara en
Turquie) ou de sections de tuyaux en plomb noyés dans le mortier. Certaines d'entre-elles, provenant de la conduite qui traversait le Rhône près d'Arles, posée au fond du lit, sont visibles au musée de cette ville Wikipédia. Si je comprends bien, il suffit de réduire le diamètre du tuyau pour organiser une force suffisante à pousser l’eau de l’autre coté. Le principe est là mais ce ne doit pas être aussi simple. Diamètre intérieur de l’aqueduc de la vanne de 1,80m à 2,10m. Voici un lien vers les différents siphons notamment dans le sud de la France http://www.archeam.fr/sites/www.archeam.fr/files/pdf/archeam11/archeam_11_tiret_ponts_siphons.pdf ]. Longeons la partie aval de l’aqueduc, traversons la D 660, poursuivons vers la partie amont, l’avantage de suivre l’aqueduc c’est que nous avons toujours
une pelouse bien entretenue. Traversons la Vanne (prendre le chemin de gauche, sinon c’est un peut plus acrobatique) [La Vanne est situées dans les deux départements de l'Aube (Grand-Est) et de l'Yonne (Bourgogne-Franche-Comté). C'est un affluent de rive droite de l'Yonne, donc un sous-affluent de la Seine. Le mot « Vanne » vient du mot gaulois « Veen ou Vehen » qui signifie « tourbière ». La rivière naît dans la commune de Fontvannes (plus précisément sous l'église), petite localité de l'Aube située à
17 km à l'ouest de la ville de Troyes. La Vanne se dirige d'emblée vers l'ouest-sud-ouest, direction qu'elle maintient grosso modo tout au long de son parcours de 58,8 km. La rivière matérialise la frontière naturelle nord du Pays d'Othe, région fortement boisée (45 % de forêts) qui constitue par ailleurs la plus grande partie de son bassin versant et lui fournit la majeure quantité de son débit. Elle conflue avec l'Yonne en rive droite au niveau de la ville de Sens. Une Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique importante a été décrite dans les marais longeant le cours
de la Vanne. Elle est dénommée Marais de la Vanne à Villemaur-sur-Vanne et s'étend sur 99 hectares, 28 km à l'ouest de Troyes dans le département de l'Aube.][ Lors de mon passage je constate de gros travaux de la Ville de Paris, La prise d'eau de Chigy sur la rivièere Vanne au droit du siphon de Chigy a été identifié comme empêchant la libre circulation des poissons et des sédiments dans le cours d'eau.
Or,le rétablissement des continuités piscicoles et sédimentaires sur la Vanne est une obligation réglementaire au titre du code de 'environnement.
Date des travau x: Août à Novembre 2021
Nature des travaux: Effacement de l'ouvrage actuel (culées, piles, radier, etc.); Réalisation des nouvelles culées remblayées; Renforcement des berges par enrochement au droit des nouvelles culées; Remplacement de la passerelle en franchissement de la rivière ; Restauration du cours d'eau par une recharge granulométrique. Ce qui va changer ; Les travaux réalisés ont pour but de restaurer les continuités hydraulique et écologique par l’effacement des différents obstacles à l'écoulement.
Limpact sur les milieux naturels et les équilibres biologiques devrait être positif avec une amélioration générale de la biodiversité écologique et de la diversité des écoulements de la Vanne]. Longeons un grillage ou à l’intérieur ce trouve les prises d’eau des Sources des Pâtures et du Maroi, elles sont centralisées dans un aqueduc secondaire récoltant également celles de Saint Philibert (Pont Sur Vanne), du Miroir à Theil sur Vanne et dirigées vers l’usine élévatrice de la Forge pour être ensuite déversées dans l’aqueduc principal de la Vanne. Coupons la route de Foissy, après la route l’aqueduc fait un coude sur la gauche (attention ici il n’y a pas de chemin, nous suivons l’aqueduc enterré. Nous arrivons aux arcades de Mont Audouard. Longeons les arcades, quittons l’aqueduc au niveau de la dernière arche creuse et prenons le chemin sur la droite, contournons le bois, laissons un chemin sur la gauche, peu de temps après nous arrivons
sur une patte d’oie poursuivons tout droit, nous arrivons à la ferme du Trou aux renards. Nous y trouvons une belle porte charretière. Prenons sur la gauche le chemin carrossable permettant de rejoindre la petite route bitumée. Traversons le bois, nous débouchons sur la route que nous prenons à droite, sortons du bois et après les champs nous arrivons à la ferme du Genêtoy. Prenons le premier chemin carrossable desservant les bâtiments agricoles de la ferme, cela évite de passer par la cour de cette dernière et de faire de une mauvaises rencontres avec d’hargneux molosses. Par les temps qui courent, lorsque l’on est aussi isolé la protection peut ce faire par des chiens. A l’angle de la ferme nous trouvons un chemin sur la gauche, longeons un bâtiment agricole, nous retrouvons les champs. Arriver au bois le chemin tourne sur la gauche. Sur la carte le chemin se
nomme ‘’La Grande Garenne’’. Nous avons une alternance de bois et de champs et débouchons sur la D 137. Après le bois notre horizon se dégage sur les vallons de la bourgogne. Sur notre droite une route sans issu menant a la maison du Haut Chapeau, prenons à gauche le chemin carrossable longeant la lisière du bois, ce chemin permet de couper le virage de la route. Juste avant le bitume nous retrouvons l’aqueduc, suivons cette pelouse bien entretenu entre des poteaux en bois sur la gauche. Contournons un poste électrique, puis coupon un chemin bitumé donnant accès à une maison, nous traversons certainement une partie
privée coupé par l’aqueduc, le bord de la route étant joliment arboré. Nous arrivons à la grosse ferme de Milly qui a certainement eu son heure de gloire. Au niveau de la ferme descendons sur la route de Foissy que nous prenons à gauche, mais nous pouvons poursuivre l’aqueduc couper le chemin menant à un bâtiment agricole. Le chemin fait fourche la branche de gauche monte devant le bâtiment, le chemin face à nous longe la lisière du bois, nous devons trouver un sentier quittant la pelouse de l’aqueduc et descendant dans le bois vers la route. Ou l’on
peu suivre l’aqueduc enterré jusqu’à une arche semi enterré sur un large fossé. Lorsque nous apercevons une arche semi enterrée, prenons à droite un semblant de chemin qui descend directement vers la route après avoir traversée le taillis. (J’ai réalisé la balade dans le sens inverse de la description c’est en voyant l’arche semi enterré que je suis monté rejoindre l’aqueduc. La route fait fourche prenons à droite (route du moulin), passons la vanne, puis un bras d’eau ou nous trouvons un ancien moulin nous entrons dans Foissy et retrouvons notre parking de l’église.
Ce que nous trouvons en cours de promenade et qui ne rentre pas autour du texte


Vous trouverez toute mes randos de la journée en cliquant sur le lien ; https://randosacaudos.blogspot.com/p/blog-page_3.html
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