dimanche 2 octobre 2022

Randonnée Le Plus Loin Possible ; Etape 1060 Saint Lary – Castillon en Couserans(GR 78)

Mercredi 11 mai

 Comme vous vous en doutez j’ai mal dormi, j’ai eu l’impression de marcher toute la nuit. La chambre d’hôtel est bien, le repas un peut moins, il appelle cela le repas du terroir et c’était exceptionnel qu’il soit au menu de la demi pension. Ce menu est bien cher pour ce que c’est.

  Un beau parcours comme me l'a dit ce matin des randonneurs qui marchaient dans l'autre sens. Ils faisaient le GR 78 depuis Bezier et marchais trois semaines vers Saint Jean Pied de Port. Vous le faites dans le sens de la descente ? J’explique mes raisons durant le petit déj, que nous prenons ensemble hors des heures d’ouvertures habituelles. Nous sommes en libre service.

 

Carte IGN             Trace GPS & Topo sans Commentaires            Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346356

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 KM     Temps      Arrêt     V/d        V/g         Dénivelés positifs       Dénivelés négatif   Indice d'effort

20         4h50        1h30       4,9         3,6                  489 +                         632                          3

                                                                                                                                sur une Echelle de 1 à 5



Le départ est sympa le long de la rivière. J’ai encore mal aux jambes. Descendons la D 618 et prenons le pont au dessus de la Bouigane [sous-affluent de la Garonne par le Lez et le Salat. De 24,2 km de longueur, la Bouigane prend sa source dans les Pyrénées au pic de la Calabasse en Ariège et se jette dans le Lez à Audressein. La vallée qui la concerne porte le nom de Bellongue. Wikipédia]. Nous retrouvons GR 78. Prenons la rue sur la gauche longeant la rivière. Après les dernières maisons, la rue se poursuit en chemin.  Nous entrons en foret. Ce qui est encore plus sympa lorsque l’on a mal aux jambes, c'est que l'on nous conseille de poursuivre le chemin le long de la rivière au lieu de monter sur le flanc de la montagne. Le chemin est parfois peu facile, peu large, puis il s’élargit et est taillé dans la lauze ou l’ardoise. Pas facile de marcher sur c’est cailloux qui bougent tout le temps sous les pieds. Nous retrouvons le GR un peu avant Augirien. Traversons le village puis la rivière. Par rapport à la carte le chemin à été un peu déplacé, à moins que ce ne soit la carte qui ne soit pas bien juste, il faut emprunter la route sur la droite et prendre le chemin qui grimpe sur notre gauche en direction du château. Derrière la montagne verte, nous apercevons les pics enneigés. Peut emprunter en son départ j’ai de l’herbe jusqu’aux genoux. Je fais une halte pour me protéger contre les tiques. Le chemin s’améliore rapidement, servant aux tracteurs pour rejoindre les prairies. Après les clôtures et une maison au milieu d’une prairie, nous débouchons au lieu dit le château sur une route carrossable, que nous prenons à droite en direction de Saint Jean et grimpons. Le paysage se dégage un peu avec les cimes enneigées. Nous arrivons à une intersection avec la D 304 et une croix, ou nous trouvons des panneaux d’informations nous sommes à 702 m. Perdu dans la montagne en bordure de son flanc l’église du village de Galey. Prenons à gauche, à la seconde fourche à droite la D 304A en direction de Saint Jean qui se trouve à 20mn. Traversons Saint Jean. Je quitte le GR pour me diriger vers la chapelle, retrouve le GR à l’extrémité de la rue et suis étonné de trouver une seconde église pour un si petit village [Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat. compte 22 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 310 habitants en 1851. La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches métamorphiques datant du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. Wikipédia]. Lorsque la rue tourne en épingle à cheveux sur la droite, nous prenons la rue de gauche qui devient chemin, nous grimpons, passons le ruisseau de l’Estrouède sur un pont de bois, et trouvons au carrefour une croix en pierre. Laissons le chemin sur la droite longeant le ruisseau, et prenons le second chemin sur la droite, poursuivons notre grimpette. A la sortie du bois, nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche et trouvons une petite bergerie (Escoumecoch) plus ou moins abandonnées dans les près avec au loin, les cimes enneigées. A la fourche suivante nous prenons à droite et descendons vers Buzan. Nous arrivons à une fourche prenons à droite et grimpons. Laissons les quelques bâtiments de Layer, (766 m). Le GR passe le ruisseau d’Esquet et tourne sur la droite, cette fois ci, nous descendons vers la Chapelle de Saint Jean Batiste et la croix de Cassette. C’est également le croisement de plusieurs promenades (la promenade 5 bleu, tour des croix. La 7 ; grange de Larou et un sentier jaune qui longe le GR). Nous avons une belle vue sur la montagne enneigée. Notre GR se poursuit par la route carrossable descendant vers Buzan [Sur le plan historique et culturel, la commune fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat. Elle compte 26 habitants en 2019, après avoir connu un pic de population de 438 habitants en 1846. Wikipédia]. Traversons Buzan, ou nous trouvons de l’eau potable à la fontaine. Je me détourné du tracé blanc et rouge pour me rendre à l'église, puis rejoint avec difficulté le GR. En effet les rues sont parallèles au flanc de la montagne et ne se rejoignent pas. Après deux échecs, je fais demi-tour pour rejoindre ce dernier. Nous passons devant la chapelle Sainte Brigitte [Un des plus longs chemins historiques de Compostelle, celui vient de Scandinavie a été raccordé cet été au chemin du Piémont pyrénéen. Il commémore le pèlerinage à Saint-Jacques en 1341 de sainte Brigitte de Suède, patronne des pèlerins, co-patronne de l’Europe et protectrice de la Suède. Durant son pèlerinage vers Compostelle, la sainte suédoise était accompagnée de son mari, de laïcs et d’ecclésiastiques : moines prêtres, de frères mendiants de divers ordres, comme le cistercien Don Svenung ou Pierre Olafson, prieur de l’abbaye d’Alvastra. Sur leur route, ils s’arrêtèrent probablement aux abbayes de Fontfroide, Gaussens et Rieunette (dans l’actuel département de l’Aude). Près de l’ancien Évêché de Saint Lizier, dans le petit village de Buzan (Ariège), un oratoire dédié à Sainte Brigitte commémore, selon la tradition locale, leur passage dans la région en allant à Compostelle. http://www.villemagne.net/blog/sur-les-pas-de-sainte-brigitte-de-suede-en-route-vers-saint-jacques-de-compostelle]. Nous trouvons un panneau d’information avec la direction de Castillon se trouvant à 8 km. Nous abandonnons la rue (D 504) lorsque qu’elle tourne sur la droite et prenons une petite rue sur la gauche, attention je n’ai pas trop vu de balisage. Après la dernière maison nous retrouvons un chemin qui descend vers Aucazein. Je trouve un pré, relativement propre, proche d’une ancienne grange et m’installe à l’ombre sous un arbre pour me restaurer et réaliser une bonne sieste. Aujourd’hui j’ai le temps je ne fait pas la course, il faut que je reprenne des forces pour les fatigues à venir. Poursuivons notre descente vers Aucazein. Le chemin se poursuit dans les champs puis est coupé par des fils électriques, nous entrons dans une prairie. Le balisage disparaît. On a un semblant de fourche, pour le passage des vaches d'un côté ou de l'autre du champ, il ne faut pas prendre la voie de gauche mais poursuivre la descente le long des taillis. Une fois sortie des fils électriques, le chemin de nouveau marqué au sol descend vers Aucazein, que nous traversons rapidement. [Les Templiers y construisirent une chapelle romane. Wukipédia]. Coupons la départementale dépassons la mairie, traversons la rivière, prenons la direction du Viellot et après un virage en angle aigu, la route s'élève, nous sommes au hameau du Viellot. Nous quittons le bitume lorsque la route fait un angle en épingle à cheveux sur la droite, et prenons le chemin sur la gauche. Le balisage est sur une grosse pierre mais ne se voit plus. Il fait fourche, poursuivons à droite, le chemin est forestier. Nous remontons un peu avant de redescendre sur Agein. Notre chemin devient route. Nous traversons de nouveau un hameau se nomment Viellot, nous avons une fourche poursuivre le GR, ne pas prendre la rue descendant dans la cour de la ferme. Nous traversons la rivière de Bouiganne. Après la rivière la route fait fourche à 3 dents poursuivons tout droit, nous débouchons sur la D 618 que nous prenons à gauche, laissons une rue sur la droite, prenons la seconde nous sommes toujours sur le GR.  Je me détourne pour voir l’église qui est malheureusement fermé. Poursuivons le GR. De rue nous passons à chemin. Je fais une nouvelle pose, où je fais bronzette j'ai le temps il est treize heures et j'ai presque terminé. De rue nous passons à chemin, coupons une nouvelle route poursuivons par un chemin qui longe la départementale. Nous débouchons sur la route que nous prenons à gauche. La route fait fourche, prenons à gauche en direction d'Audresein (D 618 A) nous longeons la rivière.[ Commune des Pyrénées située dans le Castillonnais en Couserans au sud-ouest de Saint-Girons au confluent du Lez et la Bouigane. L'église Notre-Dame de Tramesaygues est située au confluent du Lez et de la Bouigane d'où son nom signifiant "entre les eaux". C'est un haut lieu de pèlerinage dédié à la Vierge depuis le XIIe siècle. L'ancienne chapelle fut reconstruite au XIIIe siècle puis agrandie du XVe au XVIe siècle. Le portail d'entrée est de facture gothique. Le campanile du XIVe siècle et le porche orné de fresques du XVe siècle sont classés. Wikipédia]. Je quitte le GR qui ne passe pas ou j’ai trouvé un gîte. Traversons la rivière et allons voir l’église qui mérite le détour, rien que par ses peintures polychromes sur la pierre. [L'église Notre-Dame-de- Tramesaygues est une église du XIVe. Elle se situe à 503 m d'altitude à quelques pas de la confluence du Lez et de son affluent la Bouigane, les deux principales rivières du Castillonnais. De cette situation, elle tire son nom car tramesaygues signifie "entre les eaux". Une église antérieure est démolie à la suite de la création d'une confrérie Notre-Dame le 8 septembre 1315 pour faire place à l'édifice actuel dont les premiers éléments datent du début du XIVe siècle : la nef centrale, le portail principal e le porche couvert. Des constructions et extensions viennent la compléter aux XVe siècle, XVIe siècle et XVIIe siècle. Au XIXe siècle, un incendie ravage le chœur et le bas-côté sud qui sont reconstruits en voûte de plâtre sur lattis. C'est une église composite à trois nefs avec un clocher-mur. La nef centrale, le portail principal, le clocher-mur au-dessus de l'entrée, le porche couvert en pierre et une partie des peintures murales datent du XIVe siècle Au XVe siècle, l'édifice est agrandi au nord et doté d'un portail nord avec avant-porche attenant qui s'orne de peintures murales au début du XVIe siècle. En 1564, l'édifice s'accroît d'un bas-côté sud ouvert par un portail Renaissance. De cette époque datent la percée de la nef sur les deux bas-côtés ainsi que le voûtement du bas-côté nord où des sondages ont révélé une sculpture Renaissance. Wikipédia]. Je prends la rue principale, traverse la D 618 et poursuis en face la D 804B en direction de Sor, deux ou trois cent mètres plus loin nous traversons le Lez [Affluent du Salat en rive gauche, donc un sous-affluent de la Garonne. Il prend sa source dans les Pyrénées au pic de Maubermé (2 880 mètres d'altitude), situé à la frontière espagnole, Après un parcours de 35,8 km de longueur, gonflé par de nombreux et abondants petits affluents, il se jette dans le Salat en rive gauche, à Saint-Girons. Wikipédia]. En prenant sur la gauche le petit pont de pierre, nous débouchons sur la D804 que nous prenons à droite, nous longeons la rivière, longeons le stade et nous entrons dans Castillon. Pour atteindre le centre ville nous grimpons. [En occitan, castelhon, "petit château". La petite ville s'étale au pied d'une butte boisée couronnée par une chapelle bâtie sur l'emplacement d'un ancien château fort des comtes de Comminges. Des vestiges d'un château féodal du XIIe siècle, il ne reste qu'une chapelle castrale fortifiée au XVIe siècle. Un seigneur féodal : Odon de Castillon est mentionné pour la première fois en 1156. Les foires et marchés de Castillon étaient fréquentés à la bonne saison par les Espagnols venus à pied du val d’Aran ou de la vallée de la Noguera Pallaresa pour y vendre des laines et du sel. Ce fait est attesté par les écrits de Louis de Froidour, Grand-maître des Forêts nommé par Colbert, en 1667 lors de sa grande visite d’inspection dans le Couserans. Lors de la foire de Saint-Marc, le 25 avril, les pauvres se rassemblaient dans la rue Nougarol, les femmes avec une quenouille, les hommes avec un bâton de berger, pour offrir leurs services aux maîtres pour un an. Jusqu'en 1900, on parlait ainsi de la "Foire aux domestiques". De 1911 à 1937, un tramway électrique desservait Castillon au départ de Saint-Girons, dédié au transport des minerais des mines de Sentein et du port d'Orle. En 1940, le groupement 28 des chantiers de la jeunesse s'implante sur la commune avant d'être déplacé, en mars 1943, en Dordogne. Wikipédia]

La chapelle[La chapelle du Calvaire de Castillon-en-Couserans, également dénommée Église Saint-Pierre de Castillon-en-Couserans est une église romane du XIIe siècle, situé au dessus du bourg Elle se situe à 604 m d'altitude, sur une motte castrale. C’est une église romane de taille modeste à simple nef avec un clocher-mur à arcades. Elle était à l'origine la chapelle du château des comtes de Comminges. Wikipédia]

L’eglise Saint-Pierre de Castillon fut la chapelle de l'ancien Comminges château des Comtes de Datee du méridional est orné de voussures et chapiteaux sculptes. Xe-Xllème siecle, son portail L'edifice a été surélevé et fortifié au XVlème siêcle A lintêrieur, derrière le rétable du XVIllème siecle, la voûte du choeur est ornée d'un beau décor XIlle-XIVème). peint roman (probablement du La chapelle et le parc, avec ses cèdres multicentenaires ) sont classés. Panneau d’information un Bernard de Castillon dans la charte de coutumes de Cazavet de 1301. Panneau d’information

Nous n'avons pas de mention d'un ouvrage fortifié à cette période, mais le patronyme Odon de Castilione atteste de l'existence d'un château à Castillon dès 1176. Mais c'est en 1236 que l'on en trouve la première mention: in castro Castelhon. En 1216,Teregnusde Castillon et ses deux fils Roger et René prêtent hommage à Simon de Montfort, chef de la croisade et maitre d'un Comminges dont il vient de s'emparer militairement. On retrouve  un bernard de castillon dans la chartre de coutumes de Cazavet de 1301. Panneau d’information

En 1339, Castillon, qui dépendait de Salies du Salat, devient chef-lieu de châtellenie. Le château devient alors la résidence d'un châtelain comtal. En 1367, Castillon reçoit une charte de coutumes. Au milieu du XVe siècle, le Comminges est intégré à la couronne. ll en est ainsi de même pour Castillon qui est alors admi nistré par un officier du Roi, Dupac, dont les descendants héritent de cette charge de jusqu' à la Révolution. Panneau d’information

La fortification domine l'entrée de la vallée du Lez qui mène au sud vers les vallées du Biros et de Bethmale, et au nord-ouest vers la vallée de la Bellongue. Elle est composée d'un noyau castral, d'une basse-cour et d'une chapelle d'époque romane. Cette dernière fut dotée de créneaux et de merlons dans un contexte de troubles de la fin du Moyen.

 
 
 
 
 
 
 
 
 

 la chapelle Sainte Brigitte [Un des plus longs chemins historiques de Compostelle, celui vient de Scandinavie a été raccordé cet été au chemin du Piémont pyrénéen. Il commémore le pèlerinage à Saint-Jacques en 1341 de sainte Brigitte de Suède, patronne des pèlerins, co-patronne de l’Europe et protectrice de la Suède. Durant son pèlerinage vers Compostelle, la sainte suédoise était accompagnée de son mari, de laïcs et d’ecclésiastiques : moines prêtres, de frères mendiants de divers ordres, comme le cistercien Don Svenung ou Pierre Olafson, prieur de l’abbaye d’Alvastra. Sur leur route, ils s’arrêtèrent probablement aux abbayes de Fontfroide, Gaussens et Rieunette (dans l’actuel département de l’Aude). Près de l’ancien Évêché de Saint Lizier, dans le petit village de Buzan (Ariège), un oratoire dédié à Sainte Brigitte commémore, selon la tradition locale, leur passage dans la région en allant à Compostelle. http://www.villemagne.net/blog/sur-les-pas-de-sainte-brigitte-de-suede-en-route-vers-saint-jacques-de-compostelle].

[L'église Notre-Dame-de- Tramesaygues est une église du XIVe. Elle se situe à 503 m d'altitude à quelques pas de la confluence du Lez et de son affluent la Bouigane, les deux principales rivières du Castillonnais. De cette situation, elle tire son nom car tramesaygues signifie "entre les eaux". Une église antérieure est démolie à la suite de la création d'une confrérie Notre-Dame le 8 septembre 1315 pour faire place à l'édifice actuel dont les premiers éléments datent du début du XIVe siècle : la nef centrale, le portail principal e le porche couvert. Des constructions et extensions viennent la compléter aux XVe siècle, XVIe siècle et XVIIe siècle. Au XIXe siècle, un incendie ravage le chœur et le bas-côté sud qui sont reconstruits en voûte de plâtre sur lattis. C'est une église composite à trois nefs avec un clocher-mur. La nef centrale, le portail principal, le clocher-mur au-dessus de l'entrée, le porche couvert en pierre et une partie des peintures murales datent du XIVe siècle Au XVe siècle, l'édifice est agrandi au nord et doté d'un portail nord avec avant-porche attenant qui s'orne de peintures murales au début du XVIe siècle. En 1564, l'édifice s'accroît d'un bas-côté sud ouvert par un portail Renaissance. De cette époque datent la percée de la nef sur les deux bas-côtés ainsi que le voûtement du bas-côté nord où des sondages ont révélé une sculpture Renaissance. Wikipédia].

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Chapelle de Saint Jean Batiste et la croix de Cassette.
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 Les autres photos du parcours

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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  La souffrance ou les efforts physiques d'un itinéraire = état de forme physique + rythme de course + conditions météorologiques + IBP index

 

Classée 3 sur une échelle de 1 à 5


 

 Distance totale: 19,5 Km                                           Distance linéaire: 11.09 Km

Dénivelée positive accumulée: 467 m              Dénivelée négative accumulée: 585,5 m

                                                    Altitude maximale: 841,4 m

Pourcentage de montée: 5.95 %                           Pourcentage de descente: 7.06 %

Dénivelée positive par Km: 23,8 m                     Dénivelée négative par Km: 29,9 m

Temps total: 7:19:43 h                                             Temps de pause: 2:28:39 h

Raison de la différence des horaires. Au vu des nombreux arrêts j’ai coupé le GPS durant le frugale repas et la micro sieste.

Vitesse moyenne totale: 2.67 Km/h                        Vitesse moyenne en mouvement: 4.04 Km/h

 Montées  Distance Km  Km au total en %
   Entre 30 et 55%  0  0
   Entre 15 et 30%  0.581  2.97
   Entre 10 et 15%  0.688  3.52
   Entre 5 et 10%  2.326  11.88
   Entre 1 et 5%  4.26  21.76
   Total  7.855  40.12
 Terrain plat
   Dénivelées de 1 %  3.632  18.55
 Descentes
   Entre 1 et 5%  4.708  24.05
   Entre 5 et 10%  2.117  10.81
   Entre 10 et 15%  0.311  1.59
   Entre 15 et 30%  0.937  4.79
   Entre 30 et 55%  0.222  1.13
   Total  8.295  42.37
  Total trace:   19.58  100 %

 





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