dimanche 2 octobre 2022

Randonnée Le Plus Loin Possible ; Etape 1059 – Castillon en Couserans – Rémillassé (Moulis)

 Rémillassé c’est ou ? Dans une vallée étroite le long du ruisseau de Sour, c’est un hameau de quelques maisons, mais situé au pied de la montagne de Crabas. Site très connu des grimpeurs, et disposant d’un hébergement.

Rémillassé à découvrir !

Falaise qui ne convient pas à l'initiation comme le précise le topo car il faut flirter avec le 6a/b pour trouver de belles lignes très bien équipées. (cotations serrées...). Ce site m'a laissé une très bonne impression après un début de journée laborieux, il faudra y revenir il y a vraiment de quoi s'amuser.
Beaucoup d'ombre au pied des voies et à l'abri du vent d'Ouest. 1h30 de Toulouse. De très belles photos de grimpe sur le site
https://couleurcailloux.blogspot.com/2012/09/remillasse_3.html

Premier jour de promenade en Couserant. Pourquoi en Promenade ? Comme je l’ai écrit dans ma page de présentation pour ce retour à la montagne, j’ai eu quelques soucis pour trouver des ébergements, que ce soit dans les Pyrénées ou le Jura. Mon idée était de rejoindre Ercé (fin de mon périple en 2018.). Le seul ébergement que j’ai trouvé, sur mon parcours et encore je faisais un bon détour se trouvait au Roubot. Malheureusement j’y fus refusé. Pour moi, c’est simplement parce-que j’étais seul, et que je couchais qu’une nuit. Pour les hôtes il n’avait plus de place attendant un groupe. Dit comme cela, on ne comprend pas mon mécontentement, mais lorsque l’on reprend le fil de la conversation, on se dit que je n’ai pas tout à fait tort.

1 – On prétend que c’est un long week-end. En mai 2022 il n’y en à qu’un et il se trouve quinze jours après.  J’insiste en disant qu’il n’y en a pas cette semaine là et que je viens un jeudi.

2- On me sort l’attente d’un groupe (en feuilletant son calendrier ils ont du ce rendre compte de leur erreur).

Ne comprenant pas ce que l’on me disait (oui, je suis dur de la feuille), mais surtout je n’ai rien trouvé comme hébergement avec des kilomètres raisonnables depuis mon point de départ. J’insiste de nouveau, je viens un jeudi. Pour moi un long week-end cela part du vendredi et se termine un dimanche. J’ai tord. Je constaterais quinze jour plus tard que cela part du jeudi jusqu’au dimanche. Ce n’est plus un pont c’est un viaduc. Lorsque je travaillais, j’en ai profité aussi en posant un RTT. Après deux ans privés plus ou moins de liberté, et malgré la forte inflation, les français ont besoin de sortir de chez eux. J’insiste, je viens un jeudi.

3- Justement le responsable du groupe vient le jeudi pour préparer sa sortie.

Euh… cela fait une chambre de prise, avec moi deux chambres, d’après le site ils ont quatre chambres, plus une autre maison d’hôte dans un hameau un peu plus loin. Lorsque l’on clique sur le second site on revient à la page du premier. C’est tout de même 10 personnes qu’ils peuvent héberger.

-        Connaissez-vous quelqu’un qui pourrais m’héberger ? Non.

-        Alors on me sort le grand jeu imparable. Avec le COVID beaucoup ne le font plus (j’ai eu pas mal de réponse de ce type dans mes différentes recherche cette année.). J’espérais un voisin qui aurais ou faisait cela en dépannage…

4- Cela se termine par quelques noms de villages que je sais beaucoup trop loin puisque c’est mon étape suivante.

Impossible madame c’est bien trop loin, plus de quarante kilomètres sans parler des dénivelés. Je suis vraiment ‘’C..’’ Je ne comprends pas qu’elle ne veut pas de moi. Cela ce termine par un …

5- Prenez le bus vous gagnerez une étape.

Les hébergements sont rares, on est loin du GR 10, le GRP passe dans une autre vallée. Reste le réseau des balisages locaux, ils sont plus ou moins abandonnés. Du moins ils auraient besoin d’une bonne cure de rajeunissement et d’entretien et ne doivent pas drainer grand monde.

J’avais également un autre problème… le transport entre Ercé et la gare de Boussens. Les bus ne sont pas légion. Cinq bus par jour. Pour rentrer sur Paris faut une bonne demi journée, deux bus, deux trains et parfois trois. J’ avais trouvé un bus de bonne heure le matin qui ne me faisait pas rentrer trop tard sur Paris. Bus que je ne retrouve plus aujourd’hui. Ce qui m’obligeait à coucher au centre d’Ercé. Mais je n’ai rien trouvé. La mairie ne connaissait pas d’hébergement en centre ville, et m’envoie à l’office de tourisme de Saint Giron, qui comme de bien entendu ne savait pas, et me conseil de téléphoner à la mairie d’Ercé. J’aurais fait l’effort d’un hébergement à quelques kilomètres, et d’un bus un peut plus tard. Mais tout fut remis en question, par ce manque d’hébergement.

De dépit, j’abandonne l’idée de me rendre à Ercé. D’après la carte il y a de quoi faire un beau circuit de promenade en moyenne montagne.

 

 Carte IGN             Trace GPS & Topo sans Commentaires            Trace Randogps

Le code mobile de cette randonnée est b346357

Pour envoyer le circuit sur votre appareil mobile : Regarder le tutoriel video en Cliquant ici

 KM     Temps      Arrêt     V/d        V/g         Dénivelés positifs       Dénivelés négatif  Index effort

20         4h50        1h30       4,9         3,6                  489 +                         632                       5

(Echelle de 1 à 5)

Jeudi 12 mai

Cette randonnée, de caractère sportif, vous amènera à la découverte des Pyrénées sauvages et authentiques. A votre rythme, laissez-vous guider à travers cette nature préservée que vous offre la montagne de Sourroque. Le long de cette large boucle, découvrez les multiples points de vue de la Haute Chaîne des Pyrénées et cotoyez les falaises jusqu'à la Table des 4 Seigneurs. Sachez admirer la faune diverse et les richesses cachées que vous dévoile enfin la Montagne de Sour roque. Prenez le sentier devant vous. Une partie de l'itinéraire est un cheminement raide et vertigineux pouvant s'avérer ponctuellement dangereux. Il est réservé aux randonneurs avertis et bien équipés. Restez sur le sentier et utilisez les dispositifs d'assurance mis à votre disposition. Vous l'empruntez sous votre propre responsabilité.

  Aujourd'hui promenade en montagne. Je quitte le GR 78, qui se rend trop rapidement à Saint Giron. Il me reste deux jours de balade, et je n’avais pas envie de rentrer si tôt à la maison. J’ai fait le choix de revenir en arrière sur mon parcours pensant qu’il était plus simple au niveau des transports de le faire ainsi. Aujourd’hui, je l’aurais tracé autrement. Saint Giron – Ercé à pied c’est faisable,je m’en serais certainement mieux sorti. Tant pis, une leçon pour la prochaine fois. En 2018 j’avais utilisé le bus à la demande, mais il me semblait difficile d’utiliser ce système étant donné le peu de régularité de la SNCF. Après le refus de l’hébergement, il aurait fallut retracer tout les parcours dans l’autre sens et rechercher peut être d’autres hébergements.

 

Je me méfie de ses petits balisages locaux, il y a deux ans je me suis rendu compte qu'ils n'étaient plus entretenus, même les GRP sont limites. Seul les GR sont bien entretenus. Je choisis des sentiers proches de larges chemins.

 

En partant de Castillon, par ma faute, cela commence mal. Une mauvaise lecture de la carte. Avant la chapelle j'avais imaginé en voyant un chemin puis un trait mauve surlignant le nom de la ville, que s'était un chemin balisé rejoignant la route plus haut. Je n’avais pas remarqué que le chemin s’arrêtait à un rectangle noir. Je devais ne pas être très concentré. Je rejoints la rue du Calvaire, ne trouve pas de chemin sauf celui qui même à la maison, et poursuis par la route. Un sacré crochet. Après la chapelle nous prenons la route de gauche en direction de Coucou, normalement nous devons être sur un balisage jaune mais je ne vois rien. Passons Charpec (gîte) on devrait avoir un beau paysage mais le brouillard nous cache tout. A la seconde fourche nous laissons sur la droite la direction de Lafitte et poursuivrons par la route de gauche, cela monte bien. Nous arrivons au coucut ou coucou, ou l’on trouve quelques maisons. Nous passons plusieurs hameaux ne comportant qu’une maison, passons la maison du Poquot, continuons la grimpette sur le bitume. Dommage que j’ai le brouillard lorsque l’on regarde sur Google Map nous avons de beaux points de vues sur la montagne. Je devrais encore atteindre les 1000 m de dénivelés positif aujourd’hui. On grimpe toujours, 6 km de monté. Les jambes tiennent. Aujourd'hui pas de photos, du moins pas beaucoup je serais dans le brouillard jusqu’à midi. La route longe ou traverse quelques hameaux, Le Moureu, le Coucou. Après un virage en épingle à cheveux j’ai l’impression de revenir sur mes pas. Nous rencontrons quatre épingles à cheveux, largement distant les uns des autres, nous arrivons à la fin de la belle route bitumée. Poursuivons par un chemin bitumineux jusqu’à 1081 m, 481m de dénivelé positif sur 6 km, cela représente tout de même une pente de 8%. Nous sommes sur un grand carrefour dans la forêt Du Castra. Nous y trouvons des tables de piques niques. N'ayant aperçue qu'une ou au plus deux balises jaune, je me pose la question ; dois-je poursuivre ma trace ? Je regarde mon tracé sur la carte papier, et me rends compte que si je prends la route de droite, je monte jusqu'à 1270 m, et dois redescendre par un petit sentier à flanc de montagne jusqu'au col de Saet. Si je poursuis tout droit par la route forestière du Castéra, je reste plus ou moins à flanc de montagne jusqu'au col. Nous sommes en forêt et je ne pense pas que nous déboucherons sur un point de vue, de toute façon avec le brouillard on n'y verra rien. Je modifie mon itinéraire et prends la route forestière de Castéra. Belle piste plus ou moins bitumée avec peu de trous. D'ailleurs au col, je verrai une pancarte indiquant Castillon par ce chemin. En voiture, ne connaissant pas la route, je ne serais pas rassuré. Poursuivons par la route forestière du Castéra, c’est un magnifique chemin forestier, par moment nous devrions avoir de beaux points de vues, mais le brouillard nous brouille tout. En mai la montagne bruisse de nombreux ruisseaux. Nous arrivons au col de Saet 1123 m. Je trouve des informations, et le sentier balisé en jaune que j'avais repéré sur la carte, existe bien et il est balisé. Nous trouvons également une information sur un autre itinéraire jaune. Ma trace prend un chemin sur la droite. Je cherche un peu normalement celui que je doit prendre est balisé. Je laisse le premier chemin sur la droite (route forestière de Boucail), il monte, et prend le seconde, c’est toujours la route forestière de Castéra qui descend. Malheureusement il n'est plus balisé sur le terrain. C’est un beau chemin. C’est un peu plus tard, que je saurais qu'il porte le même nom que la piste que je viens de suivre. Nous descendons un peu. Dans une épingle à cheveux sur un petit pont au dessus d’un ruisseau je remarque une ancienne marque jaune. Nous sommes dans une foret de hêtre. Après quelques kilomètres nous sortons de la forêt et avons quelques maisons où grange d'alpage. Je suis au refuge Edouart qui se trouvant à 500 mètres. (Si j’avais trouvé cet ébergement j’aurais pu faire mon périple jusquà Ercé…) Au carrefour avec la route bitumée, sur la droite, elle se dirige vers Alos, sur la gauche on va à la Serre et à Moulis (c’est le raccourci pour l’hébergement.) Je laisse la route sur la gauche se dirigeant vers la Serre et poursuit sur la droite en direction d’Alos. Nous retrouvons la forêt et par moment un trait jaune délavé. J'ai l'impression que le temps essaye de s'améliorer, par moment le brouillard est moins épais. Nous débouchons sur la départementale 137. J'ai de nouveau un choix à faire. En prenant la départementale sur la gauche je descends vers, la Traverse et Rames ainsi que vers mon point de chute de ce soir. En montant la départementale, jusqu'au col de Portech, je poursuis ma trace et devrait déboucher et apercevoir les cimes enneigées. Il n'est pas tard, le col est à moins d'un kilomètre, je peu toujours monter juste pour voir. Si le temps se dégage je poursuis. Dans le cas contraire j’irai à mon hébergement. Je grimpe, suis surpris par les maisons isolées que je rencontre en bordure de la route. Arrivé au col, 868 m, le terrain est dégagé il y a un départ de VTT mais pas de balisage piéton de répertorié. On peu faire le tour du Sourroque en VTT, plus loin je verrais qu'une piste va jusqu'à Saint Giron. Si le sentier est devenu VTT je devrais m'y retrouver. Le temps semble s’améliorer, je prends le sentier VTT sur la gauche. Quelques centaines de mètres plus loin une fourche, le vtt marron tourne à gauche et reste sur le flanc de la montagne. Une draille descend de la montagne, Ma trace prend la draille. Sur la carte le chemin VTT s'éloigne de ma trace et les sentiers permettant de retrouver ma trace sont en pointillés. Je décide de prendre ma trace, cela grimpe rudement, perpendiculaire à la montagne et sur le rocher. La draille se divise en plusieurs petits sentiers qui rejoignent le sentier principal. Au pla de Marchand, le temps se lève, maintenant je suis au dessus des nuages, la vallée étant toujours dans la purée de pois. C’est magnifique, les cimes enneigés la vallée dans le brouillard, et puis tout se bouche à nouveau, pour se déboucher complètement quelques minutes après. De temps en temps nous remarquons un reste de balisage jaune, miracle le ciel s'ouvre complètement et j'ai une belle vue sur les montagnes enneigées. Après le plat (qui n'est pas plat), cela grimpe un peu moins raide, mais la densité des arbres est plus forte, on ne voit plus la montagne enneigée. Nous entrons en forêt de hêtres. La draille disparaît sous les feuilles, le balisage VTT est bien fait. Peut ou pas de marque jaune. Je m'inquiète un peu, la piste VTT s'éloigne de ma trace, mais il n’y a plus de chemin, que la piste VTT. Je passe proche du gouffre de Soucaut sans m’en rendre compte. Je pensais trouver un balisage, une pancarte. Rien. Je suis hors de ma piste, hors du chemin soit disant baliser que l’on trouve sur la carte, la piste VTT étant bien mieux visible que le sentier montagnard. Je débouche sur une piste forestière carrossable pour 4x4 et engins forestiers. Nous sommes au Tuc de Clozet. Sur la droite j’aperçois deux panneaux, pensant que j’y trouverais des informations je vais voir, mais ce ne sont que des panneaux d’appartenances, d’un coté Foret de Moulis de l’autre coté la foret appartient me semble t’il à une association de producteurs. Je remonte sur la gauche, ce large chemin se rapprochant de ma trace, trouve un panneau d’information avec le Tour du Sourroque, et descente vers Saint Giron. Attention à ne pas ce planter, Saint Giron étant dans l’autre vallée. Je prends à droite la piste de VTT, j’ai retrouvé ma trace. Peut de temps après, je la perds de nouveau, je n’ai pas de choix il ne reste que la piste VTT qui part fortement à droite, Nous grimpons vers la Table des Quatre Seigneurs. ‘’Ils ne m’inviteront pas à leur tables’. Je m’inquiète un peu, je monte toujours et ne voit plus ma trace sur le GPS. Je quitte la piste VTT, et j'essaie de rejoindre ma trace à travers bois. J’entame un large virage sur la gauche dans un sous bois de hêtre. Je crois deviner un chemin, mais il me semble que ce n’est qu’une laie forestière ou une séparation entre deux parcelles. A vu je devine enfin un chemin et du coup je retrouve à la fois une piste et mes marques VTT, ainsi qu’un beau balisage jaune tout neuf. J’ai dus paniquer j’aurais suivi la piste VTT, je serais arrivé sur la crête des Rochers des Garberots. Je serais peut être arrivé au même endroit, mais cette pancarte Saint Giron m’a perturbé. Je ne désirais pas changer de vallée, n’y revenir en arrière. Notre sentier devient chemin. Nous Commençons à descendre un beau chemin au milieu des hêtres, certain sont sur le flanc, la dernière tempête à fait du dégât. Je fais une pose, au pied d’un beau hêtre je suis rassuré, je suis sur ma trace et sur le balisage jaune. Après le col de la Passade, indiqué uniquement sur la carte, le sous bois est constitué de buis, ils ont été malades de grandes ramures grises sans feuilles et de petites feuilles proches du tronc. Cela fait bizarre. Nous débouchons sur une piste carrossable, nous y retrouvons des informations vététistes et sur le poteau écrit au feutre noir la direction de Rames et la phrase ‘’itinéraire technique’. En effet ce n’ai qu’une draille descendant sur le rocher, pas facile à pied faut choisir ou l’on pose le pied pour ne pas être déséquilibré et entraîné par la forte pente. Sur la carte ce doit être un balisage jaune sur le terrain ce n’ai qu’un sentier. Je prends cette draille qui descend rudement. Nous arrivons dans les clôtures, ou nous devons franchir des portillons, je suis le chemin qui une nouvelle fois s’éloigne de ma trace, mais pas moyen de faire autrement, le chemin est entre deux barbelés. Nous débouchons sur un chemin formant Té que nous prenons à gauche. Passons proche de la grotte du Portillon sans la voire et nous arrivons à Rames, de chemin de terre, nous passons à chemin en béton puis à bitume. Je ne sais pas si le village est abandonné ou en cours de restauration. C’est peut être la fatigue, mais il ne me semble pas que ce hameau à beaucoup de vie, il n’est pas entretenu, ou alors c’est un regroupement de BOBO parisien qui laisse pousser l’herbe partout. Je ne remarque qu’une maison en restauration, le reste semble plutôt à l’abandon.  Poursuivons notre descente jusqu'à la Départementale 137 que nous prenons à droite. Départementale qui n’est pas plus large qu’une vicinal. Longeons les hameaux de Jouan d’Arau et de Caussour, quelques maisons étagées sur le flanc de la montagne. C’est hameaux me semble peut habités, mais nous sommes en semaine et je pense que les habitants sont au travail. Je descends jusqu'à mon gîte d'un soir qui est dans le même style que le reste des maisons dans la vallée, avec l’avantage que c’est en restauration. L’intérieur est rustique, mais j’adore. Poutres, pierre, petites fenêtres pas toujours à double vitrage. Pas pour le bruit le double vitrage, mais pour le froid. Ici le bruit c’est plutôt la rivière qui coule le long de la route. Une porte d’entrée d’origine avec pas mal de mousse pour combler les trous de la pierre, pour éviter au froid de renter. Génial. Le repas est à sortir du sac. Je pense que vous manger avec l’hôte dans sa salle à manger ou sa cuisine. De toute façon vous partager tout, pièce à vire et salle de bain. Mon hôte avait des occupations ailleurs et ma prévenu qu’il ne rentrerait pas ce soir. J’ai la maison pour moi. La chambre est personnelle au premier étage. Si vous disposer du réseau SFR vous serez les rois. Orange à oublié la vallée. Grace au wifi, vous profiterez des communications.

 

 
 
 
 
 
 

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
  La souffrance ou les efforts physiques d'un itinéraire = état de forme physique + rythme de course + conditions météorologiques + IBP index


 

Classée 5 sur une échelle de 1 à 5


 

 Distance totale: 24,9 Km                                           Distance linéaire: 5.69 Km

Dénivelée positive accumulée: 1068,79 m              Dénivelée négative accumulée: 1149,49 m

                                                    Altitude maximale: 1219,9 m

Pourcentage de montée: 8,81 %                           Pourcentage de descente: 9,98 %

Dénivelée positive par Km: 42,89 m                     Dénivelée négative par Km: 46,13 m

Temps total: 8:13:09 h                                             Temps de pause: 2:39:49 h

Raison de la différence des horaires. Au vu des nombreux arrêts j’ai coupé le GPS durant le frugale repas et la micro sieste.

Vitesse moyenne totale: 3.03 Km/h                        Vitesse moyenne en mouvement: 4.49 Km/h

 
 Montées  Distance Km  Km au total en %
   Entre 30 et 55%  0  0
   Entre 15 et 30%  1.122  4.5
   Entre 10 et 15%  3.217  12.91
   Entre 5 et 10%  4.831  19.38
   Entre 1 et 5%  2.959  11.87
   Total  12.129  48.67
 Terrain plat
   Dénivelées de 1 %  1.507  6.05
 Descentes
   Entre 1 et 5%  1.975  7.92
   Entre 5 et 10%  4.881  19.59
   Entre 10 et 15%  2.69  10.79
   Entre 15 et 30%  1.868  7.5
   Entre 30 et 55%  0.099  0.4
   Total  11.513  46.19
  Total trace:   24.92  100 %
 
 
 
 
 
 
 
Vous trouverez toute mon Périple en cliquant sur le lien ; 
https://randosacaudos.blogspot.com/p/mon-periple.html 

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