jeudi 2 juin 2022

Promenade N – S& M ; Prom 41 Foret de Férrières

Deux modifications la première autour de la ferme des 30 Arpents j’avais pris la route Royale pour suivre le PR (Je n’ai pas vu une trace jaune.) Arrivée à la D 10, je me suis retrouvé devant une barrière fermée et de grand panneau propriété privée. Je n’ai pas vu de balisage jaune. La carte est-elle à jour ? Cette promenade jaune à t’elle été supprimée ? Ma trace me faisait longer l’étang de Vincennes. La zone n’étant pas parcellisée, je me doutais qu’elle serait privée, mais je pensais m’en sortir par le balisage jaune au lieu de la D 10. J’ai donc modifié ma trace pour vous éviter cette marche le long de la départementale.

A Ferrière, j’ai également modifié ma trace. Elle prenait l’allée des Séquoias jusqu’au Grille des Lions, puis la D 35. Je n’ai pas trouvé l’intérêt de voir le pavillon puis de longer la D 35. Le balisage jaune prend à gauche. Il me semble qu’il est possible de poursuivre tout droit par un chemin dans le bois de la Taffarette. Je vous propose donc de poursuivre par ce chemin que je n’ai pas fait. En cas de problèmes il reste le balisage jaune.

Pour cette promenade nous avons deux départs.

L'un situé sur la D 21 entre Pontcarré à Villeneuve Saint Denis. L’autre, de la gare du RER A, de Bussy Saint Georges (vous trouverez la trace en annexe. Avec la pandémie du covid 19, je n’utilise plus les transports en commun pour me rendre sur le lieu de mes promenades. Elle n’existe pas sur la carte IGN 2020.

Départ Voiture : Parking, au milieu de la foret de Ferrière sur la D 21. De Pontcarré suivre autres directions. Au grand rond point prendre la direction de Crécy la Chapelle, Villeneuve le Comte, Favière et Jossigny . Suivre la départementale jusqu’au carrefour de la D 10 que nous coupons direction Villeneuve St. Denis, Villeneuve le Comte, Crécy la Chapelle. Nous trouvons le parking environ 200 m sur la gauche, après le carrefour.

De Villeneuve Saint Denis, suivre la direction, d’Ozoir la Ferrière, Roissy en Brie, Pontcarré, Favière. Passé la ligne SNCF poursuivre la D 21 en direction de Pontcarré et Roissy en brie. Laisser un premier parking sur la droite et stationner au second grand parking.

De la Gare RER de Bussy Saint Georges ; (je n’ai pas fait cet itinéraire, le GR n’existe pas sur la carte IGN en 2020. J’ai découvert la trace en retrouvant le GR à l’orée de la foret de Ferrière.

 Carte IGN          Trace GPS & Topo sans Commentaires      Trace Principale Randogps

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 De la gare, il faut prendre la sortie Konrad Adenauer et du parc Génitoy, Gare Routière ou la sortie Aristide Maillot. Prenons cette dernière rue sur la droite, elle se poursuit par la rue Monfreid. Sur un panneau de circulation le GR prend à gauche et entre dans le parc Génitoy , [La ferme du Génitoy est un « lieu mentionné dans les titres aussi anciens que ceux qui parlent de Bussy » (Louis Michelin 1843). Son nom, genesterium en latin ou genestay en français, donnera génitoire ou génitoy, à cause des genêts qui poussaient en abondance en cet endroit. La ferme du Génitoy fut autrefois un fief important pourvu d’un château. En 1672, Mme de Montespan aurait accouché dans le château du Génitoy d’un fils de Louis XIV : Louis-César de Bourbon, comte de Vexin. Wikipédia.] Il ne prend pas me semble t’il, l’allée de la promenade Jean Matelain, mais la suivante longeant les bassins. [Le domaine du Génitoy est à l’abandon depuis une cinquantaine d’années, après avoir été dégradé par une utilisation dans le cadre d’activités agricoles. Il est site naturel inscrit par arrêté du préfet de Région du ministre des Beaux Arts du 25 septembre 1944 et inscrit à l’inventaire des monuments historique par arrêté du préfet de Région n° 96-2017 du 9 octobre 1996. Situé dans le secteur III de la Ville Nouvelle de Marne-la-Vallée, sur la commune de Bussy-Saint-Georges, ce site se poursuit par un important espace naturel qui assure la continuité écologique avec les espaces naturels de la forêt de Ferrières et les espaces agricoles de Jossigny. Dossier de création 89 pages http://www.driee.ile-de-france.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/1477A_domaine_du_G_R_nitoy_cle111c26.pdf . Véritable îlot de verdure situé en plein centre-ville, le Parc du Génitoy, aussi appelé parc urbain, est le lieu de promenade et de farniente privilégié des Buxangeorgiens aux beaux jours. Situé non loin de la gare RER, il relie, d’ouest en est, via les deux étangs, le centre-ville de Bussy Saint-Georges au quartier cultuel et à la future salle de spectacle, qui prendra place juste à son extrémité.
C’est de l’étang de l’Île-Mystérieuse qu’est tiré chaque année, le 13 juillet, le traditionnel feu d’artifice célébrant la Fête nationale. C’est également au cœur de ce parc que se tient au mois de juillet la manifestation Bussy Plage.
https://www.cirkwi.com/fr/point-interet/1048972-parc-du-genitoy] Longeons l’étang des Grives, traverser la D5. Poursuivons par l’Allée Montespan et longeons le Skatepark. Sur la gauche nous trouvons un Temple et un centre Islamique [Ce projet de quartier cultuel et culturel unique en France réunira à terme la pagode taïwanaise de l’ordre du Fo Guang Shan (la plus grande pagode bouddhiste d’Europe), une pagode laotienne, une mosquée, une synagogue et un centre arménien. https://www.marneetgondoire-tourisme.fr/fr/fiche/819786/esplanade-des-religions/]. Prenons sur la droite la rue Guillaume de Bordeaux (sur les images satellites c’est un vaste chantier peut être l’ancien château, comme je vous l’ai écrit, j’ai découvert cette trace à l’orée de la foret de Ferrière, puis j’ai découvert un balisage sur un poteau sur Google-map vers la gare du RER, je devine l’itinéraire. Sur les sites internet de la ville je n’ai pas trouvé grand-chose. J’espère que je ne me trompe pas de quartier. Nous débouchons sur la D 406 que nous prenons à gauche vers une tour ronde. Un ancien pigeonnier qui malheureusement ne ressemble plus au photo du site internet. [Cette tour est transformée en pigeonnier au début du 18ème siècle, après la démolition du château, dont elle constitue le dernier vestige. À l’extérieur, les fossés sont déblayés et laissent apparaître une partie des anciens remparts. À l’intérieur, une salle voûtée, soutenue par un pilier central, est dégagée. La tour s’élève sur trois étages, le dernier étant réservé aux pigeons. La tour a fait l’objet d’une restauration en 1990. https://www.marneetgondoire-tourisme.fr/fr/fiche/812180/tour-pigeonnier/] D’après la carte Google-map en 2019 le quartier est en plein chantier. Face à la tour il faut prendre sur la droite la rue ‘’sans issu’’ Pavée, bordée d’immeubles, couper l’avenue de l’Europe et prendre en face l’Allée des Bois de Bussy. Traversons le parc d’activité Eiffel, et passons le pont au dessus de l’autoroute. De l’autre coté, nous quittons enfin, mais peut être pour peu de temps encore l’urbanisation. Longeons un bois en bordure d’un champ, puis traversons le champ. Nous arrivons à l’orée de la foret de Ferrière. Laissons le chemin de gauche longeant sa lisière et pénétrons en foret par la route de la michelle. Passons un petit pont (Parcelles 85-67). Coupons l’Allée de la Pompe à Feu, la rue Pavée (quoi que l’on peu la prendre mais ce n’est me semble t’il pas le GR) (Parcelles 86-68). Notre chemin forme Té, nous rencontrons le GR 14 (Parcelles 86-87) prenons à gauche. Au carrefour prenons la route du Pavée sur la droite toujours le GR, (parcelles 87-69-70-71). Nous arrivons à un carrefour en étoile (Parcelles 70-72-73-59-57-56) nous poursuivons tout droit. Au carrefour suivant le GR tourne à gauche (Parcelles 73-59-58-57), nous coupons la D 10. Prenons en face (Parcelle 44-45) au carrefour de ces mêmes parcelles, nous prenons à droite, toujours le GR. Au carrefour des (parcelles 45-46-47) nous avons un carrefour mal foutu avec des chemins un peu décalés, il faut prendre à gauche. Ici débute la boucle décrit depuis le départ du parking.

Autres précisions. Après le château de Ferrières Le balisage jaune part dans les bois vers la grille de Belle Assise. On longe le parc du château. La route est fermée par des grilles. Je suis passé à l’heure du déjeuner et cette voie sans issue sert de parking pour les employés de la zone industrielle. J’ai perdu le balisage jaune. Comme tout est clôturé avec panneau propriété privée porte cadenassé je n’ai pas osé chercher dans les recoins un hypothétique trait jaune, de peur de déranger ou de jouer les voyeurs. J’espère que ce balisage existe… j’ai vu un groupe d’une vingtaine de personnes s’installer en bordure du réservoir d’eau de drainage. Il ne pouvait venir que de part là.  Fatigué, je ne m’en suis pas fait la réflexion. Jai donc longer le grillage par un chemin qui n’en était pas un. Se terminant dans un champ. Heureusement le grillage à été remplacé par une clôture électrique ce qui ma permis de rejoindre une branche du GR qui n’est pas sur la carte. En cas de fermeture je vous mets une trace permettant de vous en sortir sans écraser les plantations. (Trace, passant par la gare de Bussy).

Mai 2020

Km    temps     arrêt      V/d     V/g      Dénivelé

32       5            0h30       6,4    5,8        125 m

 

Le parking est très grand, il devait disposer d’une petite route circulaire. Prendre l’allée de droite et dans le virage prendre sur la droite un chemin forestier peut marquer au sol, nous coupons une large allée en stabilisée (l’allée de la Chasse), poursuivons en face (parcelle 46) et nous débouchons sur un chemin, nous rencontrons le GR 14 et un balisage jaune (parcelle 45-46-47).

Boucle commune.

 Prenons à droite. Nous débouchons sur une nouvelle allée (Allée Neuve) (parcelles 36-29) formant Té avec la notre que nous prenons à droite. C’est une allée bordée de beaux chênes. Puis au carrefour avec un poteau central en fonte, nous prenons à gauche l’Allée de la Chasse, (parcelles 29-37), Allée en stabilisée bordée de beaux arbres. Attention à ne pas s’endormir (il est trop tôt) à environ 200 m, nous trouvons un petit muret en pierre protégeant une buse pour le passage des eaux des fossés, il faut prendre à droite un petit sentier sur la droite, suivant une dépression peut profonde (parcelles 37-30), puis un chemin tourne sur la gauche (parcelles 30-31). Nous débouchons sur la belle Allée du Gros Hêtre (Parcelles 30-31-10), que nous prenons sur la droite. Heureusement que nous avons le fil d’Ariane Blanc et Rouge nous permettant de ne pas louper tous ses changement de direction. Nous coupons la D 21, poursuivons en face, (parcelles 32-11) (foret périurbaine on utilise des voitures comme barbecue ¿ ) Longeons les parcelles 11-12, nous arrivons à l’orée de la foret, nous poursuivons la lisière par la gauche, bien suivre le balisage, nous tournons le dos à la foret, en suivant la rue du Gros Hêtre bordée d’une haie arborée et de l’autre d’un champ. Nous entrons dans le village de la Dénicherie par la rue du Gros Hêtre. [La forêt de Ferrières est située sur le rebord nord-ouest du plateau de la Brie. C'est une forêt humide au relief peu marqué, avec des points hauts à 143 mètres et des points bas à 109 mètres. De manière générale l'altitude est plus élevée au nord-est et s'abaisse vers le sud et l'ouest. Elle constitue la partie occidentale de l'ancien massif couvrant la Brie occidentale comprenant les forêts d'Armainvilliers, de Crécy, Notre-Dame, Malvoisine, etc. Elle se situe entre le bois Saint-Martin à l'ouest, la forêt d'Armainvilliers au sud et la forêt de Crécy à l'est. Les forêts de Ferrières et d'Armainvilliers constituent le même massif forestier et partagent une longue limite commune d'ouest en est. Elles forment le plus vaste espace boisé de l'est parisien, partie de la ceinture verte d'Île-de-France. La forêt se situe sur la ligne de partage des eaux entre les affluents de la Marne au nord et de la Seine au sud.

Propriété de communautés religieuses, puis de la puissante famille de Rothschild, elle appartient aujourd’hui à la région Île-de-France. En 1829, James de Rothschild fait l'acquisition du massif forestier. La famille va ensuite structurer et modeler le domaine au cours du XIXe siècle. En 1973, la région Île-de-France rachète la forêt de Ferrières à la famille de Rothschild. Alors que Paris fêtait sa libération, des Allemands en retraite capturèrent le 25 août 1944 onze résistants appartenant au réseau de Tournan-en-Brie, qui étaient réunis dans la maison d'un garde dans la forêt de Ferrières. Ils furent emmenés immédiatement près de Villeneuve-Saint-Denis et fusillés en bordure de la RD 21. A l'emplacement du massacre, un monument, payé par souscription, a été inauguré le 10 novembre 1945.  Wikipédia.

la forêt de Ferrières s’étend sur plus de 3 000 hectares. Elle a conservé son charme avec ses vastes allées, sa superbe flore et ses ambiances variées.

Jadis, la forêt de Ferrières faisait partie intégrante de la vaste Brigia Sylva qui regroupait l'actuelle forêt Notre-Dame et les forêts voisines de Crécy, Malvoisine, Armainvilliers et Coubert. Son nom provient des nombreuses exploitations de minerai de fer qui y existaient au Moyen-Age. Religieux, séculiers puis particuliers se sont tour à tour partagé le massif forestier, avant que la famille de Rothschild ne l’acquière en 1829. Elle y fit construire un château par l’architecte anglais Joseph Paxton et aménager le domaine par les plus grands jardiniers et paysagistes. On leur doit notamment la majestueuse allée de séquoias, l’allée de la Ferrandière bordée d’alignements de platanes, et les essences remarquables présentes jusque dans le village. En 1973, la Région Île-de-France rachète la forêt de Ferrières à la famille de Rothschild afin de la préserver de l'urbanisation environnante et de l'ouvrir au public. Aujourd’hui encore, elle constitue un rempart solide contre les avancées urbaines de la ville nouvelle de Marne-la-Vallée, Collégien, Ferrières-en-Brie au Nord, et celles de la ville de Roissy-en-Brie, à l'Ouest.

La forêt régionale de Ferrières est une forêt humide, au relief peu marqué. Le chêne y est largement dominant mais une très grande diversité d’essences l’accompagnent : châtaigniers sur les sols sableux de l’Est de la forêt, ou encore frênes, tilleuls, érables, merisiers, bouleaux et trembles sont disséminés à travers la forêt. Ces arbres sont un refuge propice pour les nombreuses espèces d’oiseaux.
Dans les fourrés, chevreuils, cerfs, sangliers, lapins, écureuils et renards profitent de cet habitat somptueux, pour la plus grande joie des promeneurs. De larges clairières invitent au repos ou se transforment, le temps du week-end, en aires de jeux pour les enfants. Le sentier de Grande Randonnée qui traverse le massif de part en part offre aux marcheurs des séquences idylliques, à l’instar des abords de la mare du Cormier, sans oublier la cueillette du muguet ou le ramassage des châtaignes.
http://www.aev-iledefrance.fr/l-aev/le-patrimoine-nature-regional/le-patrimoine-nature-regional/prif-ferrieres] Nous débouchons sur la D 21E1 (rue Louis Victor Dortée) que nous prenons à gauche, puis tout de suite à droite l’allée du Moulin, nous quittons le village [la Dénicherie est un lieu-dit de Villeneuve Saint Denis]. Après les champs nous débouchons devant l’orée du bois de la Huppière (clôturé) sur la route Royale (bitumée), que nous prenons sur la gauche. Nous suivons toujours le GR 14. (Ici je modifie ma trace, je devais suivre le PR et je fus bloqué sur la D10, la route forestière étant fermée par une barrière et des panneaux sens interdit et propriété privée. En l’absence de balisage jaune (à moins que je ne les ai pas vu) je n’ai pas forcé le passage. La route royale longeant la ferme pédagogique des 30 arpents dispose également de barrières. Ouvertes lors de mon passage pour la livraison du foin, je préfère vous faire refaire un petit bout de chemin de la promenade précédente. ) Poursuivons le GR traversons la ligne de chemin de fer et prenons le premier chemin sur la droite, nous longeons la voie ferrée. Nous arrivons à une fourche, quittons le bord de la ligne SNCF et prenons la route des Bouleaux sur la gauche (route plus ou moins bitumineuse.) Traversons la foret. Nous arrivons à la ferme du Bois Breton, poursuivons par le bitume de droite. Longeons la lisière de la foret privée. Nous quittons la route dans le virage pour prendre sur la droite le chemin longeant la foret, passons la barrière, nous sommes à la petite Fortelle. Nous poursuivons jusqu’ au carrefour des Masselins, continuons le GR qui tourne sur la gauche, nous ne rentrons pas en foret mais longeons le champ bordé d’arbres. Nous débouchons après avoir passé une barrière sur la petite route bitumée des Masselins. Nous quittons le GR poursuivons la route sur la gauche et suivons le bitume sur la droite, nous passons le petit pont sur le ru de la Marsange la route fait fourche, nous prenons à droite. Normalement nous sommes sur un PR. Longeons les clôtures traversons la ligne de chemin de fer. Quittons le PR. Refroidit par les clôtures et les propriétés privées je ne vous aventure pas plus avant dans les bois et vous fait poursuivre le bitume Jusqu'à la D10. (Il faudrait que je retourne par là, pour améliorer la trace). Dans un virage la route fait fourche, nous poursuivons à droite et sortons de la foret. Traversons un champ, nous arrivons au village de Favière. Prenons la D10 sur la gauche (rue des Marronnier) et faisons un esse, prenons sur la droite la rue du chemin vert, laissons la rue des Farinats, et prenons sur la gauche la rue d’Hermières,  normalement nous sommes sur un PR. Au carrefour en forme de trident nous retrouvons le GR 14 (accès) que nous suivons par la rue sans issu de la Rucherie. La rue fait fourche nous prenons à gauche et sortons du village. De bitume, nous passons à chemin de terre, nous nous dirigeons vers les bois. Notre chemin carrossable fait de nouveau fourche, nous poursuivons tout droit le long de la petite haie. Longeons un bois, avant de rentrer dans la foret, nous sommes toujours sur le GR 14 accès. Attention bien suivre le balisage, de chaque coté du chemin nous trouvons des panneaux Propriétés Privées. Traversons le carrefour de la Garenne, poursuivons en face, puis passons un petit pont au dessus d’un ru en liaisons entre l’étang de Vincennes et celui d’Armainvilliers (étangs situé dans des enclaves privées). [Sur une carte du XVIIIème siècle, les lieux-dits figurent déjà. Puis carré, Origny, SaintOuen, Villemigeon, Mandegris existent toujours.
L'étang d'Armainvilliers, à gauche est toujours là. Les étangs à droite ont disparu, mais on en voit toujours les digues. L'étang de Vincennes a été créé au début du XIXème siècle et n'est donc pas encore visible sur cette carte ancienne.
http://www.renard-nature-environnement.fr/Communes/Favieres-en-Brie/DescrFavieres.html]. En cherchant des renseignements sur ses étangs, j’ai trouvé une histoire et description de la commune de Favières ["Ce village est situé à huit lieues de Paris du côté de l'orient, dans une vallée qui n'est éloignée de Tournan que d'une demi-lieue vers le nord. Le pays est fort aquatique, parce qu'il sert de passage aux eaux de plusieurs étangs, qui sont encore plus étoignés de Touman. D'où il est aisé de conclure que les prairies n'y sont pas rares. Il y a aussi des labourages, bien des boccages et la foret qu'on appelle de Crécy s'étend en partie sur cette paroisse. En 1709, on y comptait 90 habitants." Il ya a  Favières quelques écarts, à savoir le prieuré de Saint-Ouen, l'abbaye d'Hermières, Mendegris, Puiscarré, Ville-migeon, la Bretèche et le château de la Planchette. Au XIIIème siècle il y avait le canton de la Croix-Paillard."
(Extrait de l'Histoire de la ville et de tout le diocèse de Paris, Abbé Jean Lebeuf(1687-1760).
Les premiers chemins qui arrivaient à Favières-en-Brie n'étaient que des voies en terre sur lesquelles passaient les charrettes, bêtes et hommes. Le guide des chemins de France (Charles Estienne) édité en 1552 ne mentionne pas de chemin à Favières-en-Brie.
Il n'y avait donc pas de chemin pour des grandes liaisons qui passait sur la commune, mais seulement les itinéraires nécessaires aux relations locales. L'évolution des chemins de Favières-en-Brie est une longue histoire
dont nous ne relaterons, pour commencer, que quelques péripéties. La route Royale venant de Boissy-Saint-Léger, prolongée en 1762, traverse la commune de Favières et arrive à La Pointe, pouvant, à terme, être un itinéraire de liaisons douces reliant les massifs forestiers principaux de l'est de Paris : forêt Notre-Dame, forêt d'Armainvilliers et de Ferrières, notamment. Une partie de cette Route Royale est aujourd'hui un chemin ouvert au public. En 1833 est intervenu l'échange  entre la commune de Favières et S.A.R. Mme la Princesse Adélaïde, d'une partie  du chemin dit des Meuniers, contre une partie de la route de chasse dite de Mandegris. C'est M. Pierre Seriziat fils, propriétaire, demeurant au château  de Saint-Ouen, qui était maire de Favières-en-Brie. La commune de Favières, d'une superficie de 2.827 ha, comporte de grands espaces forestiers : la forêt régionale de Ferrières, la forêt domaniale d'Armainvilliers et de grandes ou de plus petites forêts privées, qui couvrent plus de 60 % de son territire. L'ensemble des ces forêts appartenait au domaine privé du Roi et de la Maison d'Orléans, puis a été acheté par des grands propriétaires comme les familles Rothschild et Péreire. Ces forêts, initialement d'un seul tenant, sont maintenant fragmentés par des infrastructures comme : le T.G.V., l'A 4, la R.D. 471, la R.N. 36, la R.D. 231 et les urbanisations de Marne-la-Vallée. http://www.renard-nature-environnement.fr/Communes/Favieres-en-Brie/DescrFavieres.html] Coupons un chemin et entrons dans la foret domaniale par la parcelle 25. Nous débouchons sur la Route Royale que nous prenons à gauche (parcelles 5-25). Nous quittons le GR partant sur la droite par le chemin de la Rucherie, poursuivons la route Royale traversant les parcelles 6 -26 coupons le carrefour du Début (Parcelles 7-27 & 9-29), poursuivons vers le carrefour des trois mares ou nous coupons le GR 14 (parcelles 31-10-9-12 & 32), nous y trouvons une ancienne maison forestière avec des constructions ressemblant à des chenils. Poursuivons tout droit, par la route bitumée donnant accès à l’ancienne maison de garde, vers le carrefour de la pointe le Roi ou nous coupons la D 471. Attention route à très grande circulation avec des poids lourds. Poursuivons en face parcelles 16-35, coupons le chemin de Braque (Parcelles 18-36) et nous arrivons au carrefour du Sanglier. Nous rencontrons le GR 14 que nous suivons à droite par la route gravillonnée des Usuelles (parcelles 18-36-37-19). Au carrefour des Usuelles et de la route neuve, nous quittons le GR 14 et prenons la route Neuve sur la gauche (gravillonnée) (parcelles 184-21-17-181). Nous arrivons au carrefour de Diane ou nous coupons la D 35 (parcelles 22-184-203-224-226). Prenons en face la petite route menant à une usine (en 2020 TSO) sur une dizaine de mètres et tout de suite un sentier qui devient chemin sur la droite (parcelles 226-224), utilisé par les VTT. Coupons la D 21 (parcelles 248-223). Poursuivons en face par un large chemin en calcaire. Nous arrivons au carrefour des Jondelles (parcelles 223-247-246-221) poursuivons en face (parcelles 246-221), par l’allée face au château de Croissy, nous quittons l’allée et prenons un sentier sur la gauche (parcelles 245), nous devons suivre un ru nommé Le Morbras (fossé sans eau en ce début d’automne). Nous débouchons sur un chemin que nous prenons à droite en direction d’un grand carrefour. Avez-vous remarqué que nous avons du sable de Fontainebleau dans cette partie de la foret… Coupons la route de Roissy (parcelles 258-271-270-257) et prenons en face la route de la mare pavée (parcelles 257-270). Au milieu de la parcelle 257 nous retrouvons le GR 14 que nous prenons à droite (c’est un petit sentier que l’on ne voit pas très bien. Longeons la mare du Cormier, avec deux îlots central, coupons de nouveau l’allée face au château de Croissy, (parcelle 243) poursuivons le GR. Nous l’abandonnons lorsqu’il tourne sur la droite en empruntant un petit sentier et poursuivons tout droit. Notre chemin devient plus large, il fait patte d’oie et poursuivons tout droit. Au grand carrefour en étoile du Pas du Cheval (parcelles 198-196-194-195-216-217) ou nous rencontrons les routes du parc de Croissy et le chemin du Pas au Cheval. Nous coupons l’allée du Tour du Parc, et prenons en face, l’allée du Pas au Cheval (parcelle 194). Nous sommes sur un balisage jaune. Notre allée est en stabilisée bordée de fossés, passons la barrière, nous débouchons sur une route que nous prenons à gauche, un peu avant le rond point le balisage jaune fait fourche, nous prenons sur la gauche la route en direction de la tuilerie. La route se termine au domaine de la Tuilerie, poursuivons par la piste cyclable en franchissant la chicane. Nous sommes sur le balisage jaune. Coupons la D 471 et poursuivons en face toujours le balisage jaune (parcelles 166-188). Notre chemin forme Té, (parcelle 188) prenons comme le balisage le chemin de droite. Nous coupons la magnifique allée des Séquoias [Une superbe allée (allée des Lions) de 97 séquoias géants, L'allée de Ferrières-en-Brie est l'un des plus grands alignements de séquoias géants en France. http://www.sequoias.eu/Pages/Locations/ferrieres.htm. La foret de Ferrière appartenait à la famille de Rothschild qui l’acquière en 1829. Elle y fit construire un château par l’architecte anglais Joseph Paxton et aménager le domaine par les plus grands jardiniers et paysagistes. On leur doit notamment la majestueuse allée de séquoias]. Nous quittons le balisage jaune et prenons en face le petit sentier de la Taffarette (J’espère que ce chemin est utilisable je n’ai pas fais cette petite partie de chemin. Ma trace prenais l’allée des séquoias pour se rendre au grille du lions (je pensais y voir quelque chose, le château peut être…) déçus de ne rien voir, il ne me restait soit de faire demi tour soit la D 35, j’ai pris le D 35 route très circulante sans bas coté pour le piéton.) Longeons un petit étang, et à l’approche d’un grand étang le chemin tourne à l’équerre sur la gauche. Nous débouchons sur l’allée bitumée de la Taffarette que nous prenons à droite longeons des bâtiments. Après le bâtiment, traversons le parking sur la droite et après des petits poteaux, nous entrons dans le parc par une allée longeant le lac, normalement balisé en jaune. Le balisage jaune, tourne à l’équerre sur la gauche. Nous sortons du parc, traversons le parking puis longeons une charpente en bois supportant la cloche [L’église de Ferrières-en-Brie est citée dans une charte d’Odon de Sully, évêque de Paris en l’an 1000. L’actuelle nef reprendrait l’emplacement d’une salle de justice construite au Xème siècle. L’histoire de l’église est intimement liée à l’histoire des seigneurs de Ferrières dont plusieurs stèles funéraires des XIVème et XVème siècles sont encore visibles. L’église fut incendiée en 1569 par les calvinistes. Charles IX accorda l’année suivante aux habitants la permission de couper dans la forêt de Crécy 21 chênes nécessaires à la reconstruction totale de la charpente. L’église St-Rémy est de style gothique, de l’époque primitive. La nef, composée de cinq travées, est longée de deux collatéraux s’ouvrant sur un transept. Sur certaines colonnes cylindriques, on peut encore apercevoir des restes de polychromie. Le chœur et les chapelles sont clos par une abside et par deux absidioles. La nef, dont les colonnes sont ornées de chapiteaux, est couverte de voûtes d’arête. Les clefs de voûte sculptées du XIIIème siècle, sont décorées de feuillages où alternent têtes d’hommes, têtes de femmes et têtes de diables. Don de la famille Rothschild, les vitraux datent de 1880 et ont été créés par le maître verrier Champigneul de Bar-le-Duc. https://www.fondation-patrimoine.org/les-projets/eglise-saint-remy-de-ferrieres-en-brie] Plusieurs stèles funéraires des XIVe et XVe siècles sont encore visibles dans l’église. L’une de ses pierres tombales (à droite de St-Jean) représente Jehan Lempereur et sa femme. On peut lire en partant en bas à gauche en lettres gothiques : Cy Jehan Lempereur Bourgeois de Ferrières qui trepassa en l’an M.CCC.XXXIIII (1334). A gauche du St-Jean, une autre stèle représentant une jeune femme ; on peut lire en partant du coin gauche en haut : Cy gist Noble Damoiselle Loyse le Picart en son vivant veuve du defunt Noble Homme Adam-Aymery Escuyer S.Chatelain de cette ville de Ferrières en Brie et de Chaville au Val de Gaylle laquelle trepassa l’an de grace M.V.XXX.IX (1539) au mois de juing. Autre stèle qui aurait été démontée lors des travaux menés à la fin du XIXème siècle : la partie centrale (au milieu du chœur) représente un religieux habillé comme un dominicain. Les deux autres blocs de la stèle sont répartis de part et d’autre. L’épitaphe qui est presque complète si la stèle était remontée, porte l’inscription suivante en lettres gothiques : Pour les curés de céans cy mis preste clercs aussi frères d’Hermières pour leurs parens pour leurs amis faites a dieu bonnes prieres et pour tous ceux de ferrieres parochians seigneurs et dames et touls autres mis e bieres afin qu’il ait de tous les ames parcat eis chritus cunetis dans regna polarium 1550." Les clefs de voûte (XIIIe siècle) sont décorées de feuillages où alternent têtes d’hommes, têtes de femmes et têtes de diables. https://www.patrimoine-religieux.fr/eglises_edifices/77-Seine-et-Marne/77181-Ferrieres-en-Brie/171319-EgliseSaint-Remy . Photos de l’église https://monumentum.fr/eglise-saint-remy-pa00086960.html] prenons la rue sur la droite de la place Auguste Trézy. Nous débouchons rue Jean Jaures (D 35) que nous prenons à droite, laissons la rue pasteur sur la gauche, et prenons sur la gauche la rue Roger Salengro. (Ici je retrouve ma trace). La rue change de nom et devient du Général de Gaulle, elle forme Té prenons à droite la rue du château. [Ferrières-en-Brie : Ses habitants sont appelés les Ferrobriards ou plus communément les Ferrièrois. Attestée sous les formes Ferreriae vers 1150, Villa Ferreolarum en 1197. « Installation pour extraire, fondre et forger le fer ». Ferreriae - Gerrières-en-Brye-lez-Lagny - Les Ferrières-en-Brye. Le village est mentionné au XIIe siècle sous le nom de Ferreriae. Il doit son nom à d'anciennes forges installées en ce lieu en raison de l'abondance des bois qui servaient de combustible pour le traitement du minerai de fer. La commune, instituée lors de la Révolution française sous le nom de Ferrières, prend en 1976 celui de Ferrières-en-Brie. Lors de guerre franco-allemande de 1870 et pendant le siège de Paris par les Prussiens, le 12 novembre 1870 le ballon monté Daguerre s'envole de la gare d'Orléans et termine sa course pourchassé par la cavalerie ennemie et l'enveloppe du ballon percée, en atterrissant en catastrophe à Ferrières-en-Brie après avoir parcouru 42 kilomètres. C'est à Ferrières, durant le Siège de Paris pendant la guerre franco-allemande de 1870, que se déroula les 19 et 20 septembre 1870, la célèbre entrevue entre Otto von Bismarck, qui y avait installé ses quartiers, et Jules Favre, ministre des Affaires étrangères de la toute jeune Troisième République. Le contenu de cette entrevue est resté secret. Wikipédia]. Nous longeons un espace vert avec un fossé plein d’eau devant récupérer les eaux de ruissellement entre, la zone industrielle, des petits immeubles. Nous passons devant les grilles d’honneurs du château [Le château de Ferrières se situe au nord de la propriété, ses grilles d'honneur ouvrent sur une longue perspective en direction du Génitoy. Élevé de 1855 à 1859, le château est un vaste quadrilatère de 65 mètres de côté, haut de deux étages, surélevé sur un soubassement à usage de vestiaires et de services, et flanqué aux angles de tours carrées. Le style est celui de la Renaissance italienne] [Le château de Ferrières, situé sur les communes de Ferrières-en-Brie pour son bâti et de Pontcarré pour son parc à l'anglaise, a été aménagé à partir de 1829 par Joseph Paxton pour le baron James de Rothschild. Le château, élevé de 1855 à 1859, fut inauguré le 16 décembre 1862 par Napoléon III. Derrière les façades de style néo-Renaissance prend place un escalier d'honneur, réplique de celui du Crystal Palace (créé par Joseph Paxton) de l'Exposition universelle de 1851 à Londres. La décoration intérieure est caractéristique du goût Rothschild. Les appartements, composés de 28 suites, possédaient dès l'origine un système de chauffage central avec également eau courante chaude et froide. Le château ne comprenait au départ pas de cuisine afin d'éviter les odeurs. Un souterrain, condamné pendant la Seconde Guerre mondiale, puis réhabilité en 2014, équipé de rails pour passer les plats sur de petits chariots, relie le sous-sol à une maison voisine, à l'angle nord-est, à environ 60 mètres : là se trouvaient le fourneau et la batterie nécessaires pour préparer les repas. Ce souterrain est visible dans un épisode de la série télévisée Les Brigades du Tigre (épisode Les fantômes de Noël) où il sert de cache pour le bandit de l'épisode en question. La demeure a remplacé l'ancien château de Fouché, ancien régicide, duc d'Otrante, ministre de la Police de Napoléon Ier, qui avait acheté à l'État, en 1801, les domaines de Pontcarré et de Ferrières qui appartenaient auparavant à Racine du Jonquoy, intendant général du Génie, et père du célèbre Racine de Monville. Il est entouré d'un immense parc à l'anglaise de 125 hectares, réputé pour être l'un des plus beaux de France. Le domaine touche celui d'Armainvilliers réparti sur les communes de Gretz-Armainvilliers et Tournan-en-Brie, autrefois propriété des frères Pereire et passé ensuite aux Rothschild ; les deux représenteraient la superficie de la capitale (6 000 hectares). Après la Libération, en 1945, la famille Rothschild a prêté une grande partie du château à l'OSE pour recevoir des enfants venus du château du Masgelier et d'autres de Buchenwald. Le château, inhabité jusqu'en 1959, fut légué en 1975 à la chancellerie des universités de Paris par le baron Guy de Rothschild et son épouse Marie-Hélène. Une fondation portant le nom de ses donateurs fait désormais partie du château, qui abrite également un centre d’Études et de recueillement intellectuel, ainsi qu’un lieu de rencontres universitaires et de colloques consacrés aux actualités scientifiques, artistiques et littéraires. Détentrice par dons et legs successifs d'un important patrimoine immobilier « d'un entretien coûteux et qui génère peu de rentrées financières », la chancellerie envisage dans les années 2000 d'aliéner, entre autres biens, le domaine de Ferrières. Le château est finalement rétrocédé en 2012 aux ayants droit des donataires qui choisissent de rétrocéder à leur tour le bien à la commune de Ferrières-en-Brie. En juillet 2013, le château est confié par la commune à une société privée pour y créer l'école Ferrières  qui a ouvert ses portes en octobre 2015 dans le château. Elle s'organise autour de trois pôles : gastronomie, hôtellerie et luxe. Ce projet est porté par Khalil Khater, président du groupe Accelis, qui s'est entouré de personnalités du secteur. L'école Ferrières préparera des diplômes de bachelor et mastère. Jean-Robert Pitte, ancien président de l'Université Paris-Sorbonne (Paris IV), est le président d'honneur de l'école. Un restaurant gastronomique, Le Baron, a ouvert au sein même du château de Ferrières. Les cuisines sont dirigées par le Chef Patrick Juhel, Meilleur Ouvrier de France 2000. Un restaurant bistronomique, Le Chai, a également été créé juste à côté du Château, dans le domaine, en novembre 2015. Le château a entre autres servi de cadre pour les films :  La Banquière (1980), Le Guignolo (1980), Papy fait de la résistance (1983), La Neuvième Porte (1999), Prêt-à-porter (1994), Palais royal ! (2005) et d’autres que vous retrouverez dans wikipédia.] Longeons les grilles du parc [Situé au cœur de la forêt régionale sans en faire partie, se trouve entre Pontcarré et Ferrières-en-Brie l'immense parc à l'anglaise de Ferrières, réputé pour être l'un des plus beaux de France. On y trouve notamment un parc botanique. ] J’ai perdu les traces jaunes, face à moi vient un groupe qui s’installe sur les bords du lac pour déjeuner, il fait beau, la rue sans issu est bordé de parkings qui rengorgent de voitures, les passagers grignotant au soleil leur casses croûtes, ou plats préparés. Il fait beau et après deux mois de confinement tout le monde prend l’air. Je bute sur les grilles. Je ne vois pas de balises le bout de la rue est remplie de voitures, je n’ose pas m’insérer entre les voitures et jouer les voyeurs. Au lieu de suivre le PR, je prends un chemin entre des grillages installées par l’office de la chasse s’en allant vers les champs (pour l’instant encore cultivé) en contournant la foret. Le chemin se perd dans les cultures, heureusement, ce sont des betteraves. Je marche dans le champ, sans abîmer les végétaux, vers la D 10. Cette partie de la foret de Ferrière est clôturée, impossible de s’y rendre, ce doit être pour éviter que les animaux sauvages ne viennent faire leur courses en ville. Après réflexion je me dis que le groupe ne pouvait pas être passé par là. Il y a certainement un passage que je n’ai pas vu à l’extrémité des grilles du parc.

Si vous désirez rejoindre la Gare RER de Bussy Saint Georges ; Prendre face au grille du château, l’allée Impératrice Eugénie bordée de jeunes arbres (en 2020) jusqu’à l’avenue Joseph Paxon. La rue se divise en deux par un terre plein central végétalisé. Traversons la zone industrielle, franchissons un premier petit rond point, nous arrivons au second ou nous prenons sur la droite la D 35 en direction du Val de Bussy, Collégien. Passons au dessus de l’autoroute, poursuivons la D 35 Val Bussy, Collégien. Au troisième rond point coupons la D 406, poursuivons la D 35 en direction de Lagny, Val Lagny, Guermante, Bussy centre. Nous arrivons sur un autre Rond Point avec des colonnes en son centre, nous prenons à droite l’avenue Jacques Cartier (parking Bienvenüe). Laissons la rue du Souvenir Français sur la gauche. Prenons le Boulevard Mendès France sur la gauche direction de la Pharmacie de la gare. Nous arrivons au parking cité plus haut et prenons la rue ‘’Place Fulgence Bienvenue’’ sur la droite, la gare se trouve au milieu de la place.   

Si cet itinéraire vous semble compliqué ou peut intéressant vous pouvez toujours continuer la trace jusqu’à l’embranchement situé dans la foret lors de la rencontre de la route Michelle. Il faudra prendre le GR sur la gauche, traverser le parc d’activités Gustave Eiffel. Ensuite je suppose que nous entrons dans le parc génitoy au niveau du Pigeonnier, ensuite le GR doit certainement prendre sur la gauche le long des plans d’eau (Il me semble qu’il vaut mieux prendre le coté droit des plans d’eau) jusqu'à la gare RER. Description détaillée en début de la promenade que nous devons faire en sens inverse.

Reprenons notre itinéraire : Nous arrivons au grille de la Belle Assise que nous franchissons nous sommes à l’angle des (parcelles 123-121) nous rencontrons le GR 14 que nous suivons à gauche, nous sommes commun au balisage blanc et rouge et du PR. A la fourche nous abandonnons le PR partant à droite et poursuivons le GR sur la gauche (route de la Belle Assise) Nous rencontrons une branche du GR se rendant à la gare de Bussy Saint Georges. Cette trace en 2020 n’existe pas sur la carte IGN. Au carrefour prenons la route du Pavée sur la droite toujours le GR, (parcelles 87-69-70-71). Nous arrivons à un carrefour en étoile (Parcelles 70-72-73-59-57-56) nous poursuivons tout droit. Au carrefour suivant le GR tourne à gauche dans la parcelle 58 et emprunte un petit sentier (Parcelles 73-59-58-57). Nous coupons la D 10. Prenons en face (Parcelle 44-45), GR et balisage jaune. Nous débouchons sur un chemin formant Té, et prenons à droite, toujours le GR. Attention au carrefour suivant nous devons quitter le GR (si l’on est garé au parking). Le chemin que nous devons prendre est un peut décalé, il faut passer un petit fossé et faire un esse gauche – droite (Parcelles 47-46) . Nous coupons l’Allée de Chasse (parcelle 47-50) et nous arrivons à notre parking.

   



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